Chambres d agriculture du Centre PRDAR

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chambres d agriculture du Centre PRDAR 2014-2020"

Transcription

1 N de l action 122 Améliorer la professionnalisation des élevages pour une meilleure rentabilité, une meilleure gestion des risques et un maintien des activités d élevages et de polycultureélevages en région Chef de projet Sylvain BLEUBAR (Chambre d agriculture du Cher) Référence aux ARCO (N) Contribution aux priorités thématiques Contexte ARCO B1 : Concevoir, accompagner et évaluer des systèmes de production doublement performants (50%) ARCO D4 : Raisonner les stratégies d équipement et d outils de production (20%) ARCO D5 : Améliorer l organisation du travail (15%) ARCO D6 : Faciliter les relations humaines dans les entreprises agricoles (15%) TP 2.1. : Reconcevoir, co-construire et diffuser des systèmes basés sur les principes de l agro-écologie renforçant l autonomie et la résilience des exploitations agricoles (50%) TP 4.4 : Accroitre la capacité de pilotage stratégique de leur exploitation par les agriculteurs (25%) TP 4.2. : Innover dans les formes d installation, les formes sociétaires, le recours au salariat et au remplacement (25%) L élevage et la polyculture élevage connaît une situation difficile en région Centre, situation confirmée par le récent recensement général agricole. Ces types de systèmes sont de plus en plus progressivement abandonnés au profit des systèmes grandes cultures spécialisés quelle que soit la filière de production. Les exploitations d élevage spécialisées souffrent également de problématiques de compétitivité et de productivité du travail assez importantes dans un contexte économique fluctuant de plus en plus et sans perspectives à moyen terme (fin des quotas en lait, risques sur l avenir de la filière d exportation vers l Italie premier débouché régional en bovin viande, difficultés chroniques de la filière ovine, récente déstructuration régionale en volailles, nouveaux zonages de la directive nitrates et mise aux normes des exploitations ). La charge travail, l astreinte, la pénibilité, le décalage par rapport à l évolution de la société et les attentes des éleveurs en matière de vie familiale complexifient encore cette situation déjà difficile aux plans économique et environnemental. Le maintien des systèmes d élevage et de polyculture élevage est un véritable enjeu territorial pour la région Centre. Il l est afin de ne pas spécialiser une grande part du territoire en grandes cultures et maintenir une diversité des systèmes présents en région et un équilibre entre productions. Il l est également pour eds zones où seul l élevage est une solution pour maintenir une activité agricole en milieu rural et stabiliser des outils industriels et artisanaux dans les territoires même au-delà de la région Centre. Les activités d élevages sont source d emplois et d activités en milieu rural. Répondre à cet enjeu du maintien des systèmes d élevage et de polyculture-élevages c est cependant répondre aux problématiques exposées ci-dessus. Sans pouvoir s intéresser aux dynamiques de filière au sein du PRDAR Centre et à leur compétitivité qui sont traitées au travers des projets de filière régionaux qui reçoivent l appui de l Etat et de la Région, il paraît opportun de pouvoir s engager d une façon innovante sur la question de la professionnalisation des élevages et de leur autonomie. En effet, professionnaliser ce n est pas seulement «moderniser» au sens matériel, bâtiment, c est étudier et proposer de co-construire des solutions avec les éleveurs afin de répondre à leurs préoccupations afin de permettre à leur système de s adapter aux contextes dans lesquels leurs systèmes évoluent (économique, aval ). Il s agit dès lors de mettre en avant les thématiques de gestion des exploitations au sens large avec en premier lieu la question des ressources humaines, de la compétitivité du système et des coûts de production, de l autonomie, de la modernisation au sens du travail afin d en réduire le temps et la pénibilité ainsi que l astreinte et améliorer sa productivité, de la gestion des risques notamment sanitaires, climatiques et économiques.

2 Améliorer la rentabilité des élevages dans un objectif de double performance en accentuant la professionnalisation des métiers au sein des exploitations et en innovant dans les réponses apportées en matière de d autonomie Objectif général de l action La thématique énergie et gaz à effet de serre est traitée par au sein de l action relative aux économies d énergie, de GES et au développement des énergies renouvelables et des agro-matériaux. Cette séparation a été réalisée dans un souci de cohérence d interventions des services en charge de ces actions. 1. Accompagner l amélioration des conditions de travail au sein des systèmes d exploitation dans un double objectif : social et économique (productivité) en tenant compte des enjeux environnementaux liés aux changements proposés dans les systèmes Objectifs opérationnels Indicateurs de résultats 2. Accompagner l embauche et l amélioration de la gestion de la main d œuvre et du développement des solutions en matière de ressources humaines au sein et entre les exploitations 3. Développer l autonomie au sein des exploitations et entre exploitations (complémentarité territoriale) en matière d alimentation (système de culture innovants) dans un objectif d amélioration des coûts de production (aliments fermiers) et de réduction de la dépendance protéique notamment (en complémentarité de l action Herbes et Fourrages régionale) Préconisations et références sur l amélioration du travail dans une logique globale de systèmes : 0 en 2014, 4 en 2017, 8 plans d amélioration de façon plus précise en 2020 Préconisations et références bâtiments économes et adaptés au travail : 0 en 2014, 1 en 2017, 1 à 2 plans d amélioration différenciés par système (bovin viande, caprin, bovin lait, volaille, porc ) de façon plus précise en 2020 Nombre d agriculteurs engagés dans des démarches de gestion des ressources humaines promues par l action : 5 en 2014, 5 par département en 2017 et années suivantes Préconisations et références sur des démarches d autonomie, en matière d alimentation, au sein des exploitations et entre exploitations : 1 démarche pour l ensemble de la région Centre en 2014, 3 démarches pour l ensemble de la région en 2017, 6 démarches pour l ensemble de la région en 2020 (1 par département). Références systèmes sur des pratiques en matière d autonomie : 1 en 2014, 3 en 2017 (sur 3 systèmes différents) et 7 en 2020 (1 par grand type de système pour l ensemble de la région Centre : bovin viande, caprin, bovin lait, ovin, équin, volailles et porcs) Nombre d éleveurs en région (indicateur de suivi global indirect pour l action) : systèmes d exploitation avec élevages herbivores et «granivores» en région selon la typologie INSOYS. Cet indicateur ne peut être renseigné pour 2017 et 2020, il est cependant un indicateur d impact global de l action. Cibles Publics visés : polyculteurs-éleveurs et éleveurs en distinguant par grande filière les actions : lait, viandes, volailles, porcs, equins Territoires concernés : région, zones d élevages et zones tampons entre plaines céréalières et territoires d élevages 1. AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL AU SEIN DES EXPLOITATIONS : Contenu du projet 1.1 Guider les éleveurs dans leur politique d agroéquipement de manière à améliorer les conditions et l organisation du travail. Réalisation de diagnostics ergonomiques, choix d équipements, mode d affouragement, veille technologique, innovation dans l organisation,

3 innovations en matière de mécanisation, automatisation notamment de la distribution alimentaire, de la manutention des fourrages et des pailles, de la contention et de la manipulation des animaux. Une capitalisation des données s appuiera sur la réalisation de diagnostics au sein des exploitations innovantes mais aussi au sein de systèmes sur lesquels la contrainte travail a été identifiée comme un levier de la performance de l exploitation. Ces diagnostics aboutiront à l élaboration dans une logique de co-construction d un plan d amélioration global du système sur cette composante travail, actions à court terme mais aussi à moyen terme notamment en matière d investissements sur l exploitation. 1.2 Accompagner les éleveurs dans la conception de leurs bâtiments pour les rendre plus économes. Participation à des groupes «métier bâtiments», capitalisation des données «coûts bâtiments», analyses de fonctionnement de bâtiments économes, veille et repérage des innovations pour les élevages pour limiter le travail d astreinte et assurer une meilleur surveillance des animaux, amélioration de la gestion et de la valorisation des effluents. Capitalisation et diffusion (formation, sites internet des Chambres, journées éleveurs, journaux agricoles) des expériences et des initiatives des agriculteurs dans les territoires Ces démarches pilotes seront capitalisées pour aboutir à l élaboration d une méthode d accompagnement des éleveurs valorisant les dispositifs existants. Ces démarches s appuieront sur les références produites dans le cadre de l action INOSYS et l approche globale d exploitations. 2. AMELIORATION ET DEVELOPPEMENT DE L EMBAUCHE ET DE LA GESTION DE LA MAIN D ŒUVRE AU SEIN ET ENTRE LES EXPLOITATIONS : L objectif est bien de faire des propositions innovantes aux éleveurs, au-delà des aspects techniques et notamment concernant l embauche de salariés, l organisation des tâches quotidiennes (partager la distribution alimentaire entre exploitations, travaux quotidiens et administratif par exemple). Il s agit également d accompagner des projets collectifs de gestion et de développement des solutions en matière de ressources humaines dans les exploitations d élevage aux échelles territoriales pertinentes. Emergence et élaboration des démarches en en amont de l accompagnement spécifique des ressources humaines en exploitation, Mise en place de solutions collectives et innovantes de gestion de la main d œuvre (groupement d employeur ), Rencontres thématiques (approche collective de sensibilisation) à destination des éleveurs par territoire et par filière, Organisation de visites sur sites et rencontres avec les partenaires d amont et d aval des filières, pour les agriculteurs éleveurs. 3. DEVELOPPER L AUTONOMIE SUR ET ENTRE EXPLOITATIONS : Au-delà des questions de travail et de gestion des ressources humaines, facteur important de la productivité des élevages et de leur multi-performance, il s agit également d améliorer les questions d autonomie et de dépendance à des intrants externes au sein des exploitations ou des territoires. Cette autonomie sera travaillée au travers de deux sous actions : la mise en place de systèmes de cultures innovants et la relocalisation de la fabrication d aliment sur les exploitations (aliments fermiers). 3.1 Mettre en place des systèmes de cultures innovants L amélioration de l autonomie au sein des exploitations peut reposer sur la mise en œuvre de différentes solutions. Aujourd hui, de nouvelles techniques permettent de lever certains freins. Plusieurs pistes sont à explorer : Les prairies sous couvert de céréales : sécuriser l implantation des prairies (protection contre le froid, réduction du salissement) et limiter son coût (simplification du travail du sol).

4 Les cultures peu exigeantes en eau (comme les nouvelles générations de sorghos). Les prairies à base de légumineuses : réduire les intrants et diminuer les achats extérieurs de protéines. Les cultures intermédiaires : suite à l extension des zones vulnérables vers les zones d élevage, il s agit d aider les éleveurs à valoriser ces cultures en articulant les espèces choisies, les rotations et les besoins du troupeau. Ces thématiques seront traitées en cohérence avec l action 121 du point de vue de la logique d expérimentations et de structuration 3.2 Relocaliser la fabrication d aliments pour les élevages de la région L amélioration de l autonomie alimentaire peut se réfléchir à l échelle de l exploitation mais aussi au niveau d un territoire ou d un département. Les systèmes de la région Centre sont caractérisés par des ateliers très spécialisés ou des exploitations en système polycultures élevage. La plupart des céréaliers vendent directement leurs céréales à des coopératives. Les éleveurs achètent quant à eux beaucoup d aliments complets. Par conséquent, l apport de valeur ajoutée au niveau local est quasiment inexistant. Face à ce constat, plusieurs pistes sont à explorer quant à la complémentarité des systèmes : Calendrier de l action : Conditions de travail Agro-équipements bâtiments Main d'œuvre Autonomie Systèmes de cultures Fabrication d'aliments Valorisation des céréales et sous-produits des systèmes céréaliers à un niveau local à travers de projets collectifs ou individuels dans un objectif d approvisionnement des filières animales de la zone. Valorisation de la production de céréales au niveau de l exploitation ou entre exploitations pour les systèmes polycultures-élevages. Ré-introduction de légumineuses dans les systèmes céréaliers avec vente du fourrage aux éleveurs locaux dans le cadre d une nouvelle complémentarité à bénéfices communs Nombre d études réalisées sur les thèmes développés en lien avec la professionnalisation (au moins 2 par département en 2014 au démarrage de l action, 20 par département en 2017, 30 par département en 2020) Indicateurs réalisation de Méthodes et outils d accompagnement conçus (0 en 2014, 3 en 2017, 6 à 9 en 2020) Nombre d expérimentations (1 en 2014 pour l ensemble de la région Centre) et de projets pilotes (3 pour l ensemble de la région en 2014) puis 2 expérimentations par an à partir de 2017 et 1 projet pilote par département à partir de 2017 sur la question de l autonomie. Productions prévues Méthode d accompagnement en matière d amélioration de la composante travail au sein des exploitations d élevage Documents de communication sur les questions de gestion des ressources humaines au sein des exploitations d élevage Fiches pratiques innovantes sur les stratégies en matière d agroéquipements et de conception de bâtiments Synthèse des pilotes et des expérimentations réalisés en matière d autonomie Evolution des méthodes de conseil

5 Communication et diffusion des résultats (N) Mise en ligne sur les sites internet des Chambres d agriculture des documents produits Diffusion et sensibilisation via les journées éleveurs et les groupes de développement Articles de presse Réalisateurs Chambres d agriculture du Centre : Cher, Eure-et-Loir, Indre, Indre-et-Loire, Loir-et- Cher, Loiret. PCA CUMA à étudier les questions de matériels Partenaires Institut de l Elevage via la participation des réseaux INOSYS et la valorisation des références produites en élevages herbivores FRSEA et réseau des FDSEA sur la partie groupements d employeurs et ressources humaines au sein des exploitations qui investissent Modalités pilotage de Instances de suivi (administratives, internes) : La Commission Elevage régionale est chargée de suivre la mise en œuvre du projet. Elle oriente l action et valide les acquis ainsi que la diffusion des références, des documents et des méthodes produites. Elle impulse le degré de régionalisation dans les approches et les méthodes. Elle arbitre les éventuelles priorités à réaliser en fonction des financements disponibles en lien avec le bureau de la CRAC et le COREDEF. Au niveau technique, l affectation des moyens et la coordination entre Chambres d agriculture de la région centre seront gérés par le groupe des chefs de service élevage au niveau régional. Un groupe ad-hoc est créé pour mettre en œuvre l action sous la responsabilité de Bertrand Bluet de la Chambre d agriculture de l Indre sur les questions de ressources humaines et de travail. Ce groupe se coordonnera avec les actions GEHODES et références existantes. Le groupe «fourrages» mettra en œuvre la partie relative à l autonomie des exploitations. Instances de concertation (professionnelles, partenariales) : type et rôle. La concertation en matière d élevage avec les autres partenaires des filières se réalisera dans deux types d instance : le COREL qui regroupe l ensemble des partenaires notamment filières d élevage au niveau régional permettra d assurer une concertation transversale aux filières sur l action les comités de filières régionaux qui coordonnent les actions relatives à chaque filière d élevage au niveau de la région sur des financements de l Etat et du Conseil Régional pourront également permettre de diffuser et de toucher un public plus large sur les résultats de l action et de lier cette action de développement aux problématiques d aval notamment particulièrement importantes dans le domaine de l élevage (dynamiques laitières et outilsbassins de production, problématique de filière d engraissement ) Contribution à l innovation (N) Les problématiques main d œuvre, travail et autonomie des systèmes ne sont pas traitées de façon transversale aux différentes productions en région si ce n est au travers de l approche herbes et fourrages depuis L innovation de l action repose donc dans l intégration de ces problématiques de façon transversale aux filières. La seconde contribution à l innovation de l action provient des essais réalisés et des pilotes sur les trois thématiques prioritaires identifiées ainsi que du processus de détection de ces innovations chez les éleveurs.

6 Moyens consacrés à l action en 2014 Moyens humains 4.04 ETP Moyens financiers Coût total = ,55 CASDAR = ,75 TAFNB = ,80 Conseil Régional = ,00 (projets de filière élevages) Conseils Généraux = ,00 Autres = ,00

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA

Plus en détail

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Secteur Tertiaire 6 ème édition - 2003 Réali sé par la Chambre de Commerce et d Industrie Centre en partenariat avec le pôle ORFE du Groupement

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...

Plus en détail

éco-construction bâtiments d élevage

éco-construction bâtiments d élevage éco-construction bâtiments d élevage Jacques Capdeville, service Bâtiment-Environnement, Institut de l Elevage Michel Colache, Maison Régionale de l Elevage SIMA février 2011 un contexte Des préoccupations

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

ANNEXE 2. Dossier de candidature. Appel à projet. Assistance technique Régionalisée. Année 2015. Structure :

ANNEXE 2. Dossier de candidature. Appel à projet. Assistance technique Régionalisée. Année 2015. Structure : Préfet de la région Poitou-Charentes Direction Régionale de l Alimentation, de l'agriculture et de la Forêt Région : POITOU-CHARENTES ANNEXE 2 Appel à Assistance technique Régionalisée Structure : Page

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales

Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Carl Gaigné Directeur de Recherche INRA RMT Economie des filières animales Compétitivité des filières animales françaises 10/12/13

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale

Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

PLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations

Plus en détail

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous

Plus en détail

ET EQUIPEMENTS ASSOCIES DES EXPLOITATIONS AGRICOLES» DEMANDE DE SUBVENTION 2015

ET EQUIPEMENTS ASSOCIES DES EXPLOITATIONS AGRICOLES» DEMANDE DE SUBVENTION 2015 Préfet de la région Bretagne Soutien aux investissements d'amélioration de la performance globale et de la durabilité de l'exploitation agricole Type d'opération 411 du Programme de Développement Rural

Plus en détail

REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT»

REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» Version : 31 mars 2014 VU : - Règlement (CE) n 1698/2005 du Conseil du 20 sept embre 2005 concernant le soutien

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

Accès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015

Accès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015 Accès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015 Un projet soutenu par : Avec la participation de : Quelques

Plus en détail

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1

Plus en détail

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion? Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013 Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité.

Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Septembre 2011 Contact : Muriel LESAINT, chef de projet. muriel.lesaint@educagri.fr Tel : 03 84 87 21 06 Contenu

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI

Plus en détail

Une démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand

Une démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Le pacte de responsabilité et de solidarité

Le pacte de responsabilité et de solidarité Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité

Plus en détail

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées. Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque

Plus en détail

Les puces RFID en élevage

Les puces RFID en élevage Les puces RFID en élevage Veille technologique Théo Harsant Yoann Valloo 1 Introduction Développement des systèmes NFC depuis les années 40 (système IFF) Puis transfert de technologie vers le secteur civil

Plus en détail

Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec

Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec «L agriculture du Québec mûre pour sa révolution tranquille» Rédaction : Union paysanne Dessins

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc

Plus en détail

Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard)

Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) FICHES 01 Expériences Depuis quelques années, grâce à l engagement de la mairie, la cantine scolaire de Barjac compose ses

Plus en détail

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET

Plus en détail

LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE

LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE ETUDE ET PROPOSITIONS SEPTEMBRE 2010 SOUS LA PRESIDENCE DE : Bruno BERTHIER, Président du CCC COMITE DE PILOTAGE : Bernard BELLER, GAM BNP Paribas Bruno BERTRAND,

Plus en détail

L Indice Environnemental

L Indice Environnemental L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre

Plus en détail

Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS

Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS 411-CVDL-2015-07-01 Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS Type d Opération 4.1.1 du Programme de Développement Rural CENTRE - VAL

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

Qu est-ce qu un service rendu?

Qu est-ce qu un service rendu? Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700

Plus en détail

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

N O R D - P A S D E C A L A I S

N O R D - P A S D E C A L A I S NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l

Plus en détail

Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)

Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre

Plus en détail

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services. 7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement

Plus en détail

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4

Plus en détail

A. Secteur des services aux entreprises

A. Secteur des services aux entreprises A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271

Plus en détail

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF

Plus en détail

Ergoconception et conception hygiénique

Ergoconception et conception hygiénique Les rencontres thématiques Cap Aliment 2014 Réunion 1 Ergoconception et conception hygiénique Jeudi 24 avril 2014 9h30 à 12h00 / Société Famille Mary, Saint-André-de-la-Marche La maîtrise des risques sanitaires

Plus en détail

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA)

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA) Présentation de la pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) et de ses spécialisations Pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) Adeline ALONSO UGAGLIA

Plus en détail

Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale

Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale La hiérarchisation des risques, une aide à la décision 2 ème congrès de l Afgris 16 et 17 octobre 2003 Direction de l Hospitalisation

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail