Les limites des bonnes idées et les enjeux de demain
|
|
- Joel Henry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les limites des bonnes idées et les enjeux de demain René Amalberti Conseiller sécurité des soins HAS Directeur scientifique de la PreventionMedicale.org Contact - r.amalberti@has-sante.fr
2 Risques comparés dans les activités humaines Amalberti, R. Auroy, Y. Berwick, D., Barach, P. (2005) Five System Barriers To Achieving Ultrasafe Health Care, Ann Intern Med. 2005;142, 9: Alpinisme himalayen Chirurgie Activités ULM Agricole Risque médical Pêche artisanale Sécurité routière Vols charters Industrie chimique Anesthésie ASA 1-2 Aviation Civile Rail (France) Transfusion sanguine Pas de systèmes après ce point Industrie Nucléaire Très peu sûr Extrêmement sûr Risque de catastrophe 2
3 Construire la sécurité d un système complexe Une voie commune finale à 4 étapes montrée par l aéronautique et les systèmes sûrs Un étalon de comparaison entre systèmes
4 1. FIABILISER et CONSTRUIRE LE MODELE IDEAL Evaluer le risque Construire le modèle idéal de défense
5 Analyse des risques, outils Méthodes prospectives et rétrospectives Connaissance du retour d expérience des accidents du passé Analyse préliminaire des risques (APR) Analyse des modes de défaillance et leurs effets (AMDE) Analyse des modes de défaillance, de leurs effets et leur criticité (AMDEC) Hazard and operability study (HAZOP) Hazard analysis and critical control point (HACCP) Evaluation probabilistique des risques (EPR) 5
6 Un signalement qui utilise des voies assez différentes selon les systèmes.. Trois systèmes possibles de signalement Basés sur les professionnels 90% du matériel recueilli en médecine Rapporte 15% du réel Basés sur les patients/clients Relativement négligés par toutes les parties, médecine ou aviation Indépendants des traces (big brother) 90% du matériel recueilli en aéronautique Rapporte 80% du réel 6
7 Construire les défenses contre les risques identifiés Accident Défaillance Atténuation Récupération Prévention 7
8 2. CONFRONTER LE MODELE AU REEL, IDENTIFIER LES COMPORTEMENTS DEVIANTS
9 Observations en aviation civile (LOSA, Line-Oriented Safety Audit, ICAO, 2003, 5000 vols Violations 2 55 Procedural Communication 5 20 Proficiency 3 62 Decision 3 57 Pourcentage d'erreurs ayant des conséquences Fréquence des erreurs 9
10 Mêmes pathologies, mêmes combats, mêmes solutions Importer des bonnes idées CRM Briefings Check-lists Procédures Repos récupérateurs Simulations 10
11 La Haute Autorité l impose dans la certification en janvier /11/2010 DAQSS / SEVAM 11
12 Résultats (1/3) La check-list est mise en place quasiment partout et les opinions sur l utilité de principes sont plutôt favorables Les items sont dans l ensemble vérifiés par quelqu un Mise en place de la Check-list (1893 réponses) OUI (98,8%) NON 22 (1,2%) 18/11/2010 DAQSS / SEVAM 12
13 Résultats (2/3) 3. Mais la délégation totale aux IBODE/IADE est la norme 4. Les médecins n y participent pas du tout dans près de la moitié des cas Délégation Participation** A un autre professionnel, le plus souvent soignant Oui Non Toujours ,5% ,5% ,7% Parfois ,2% ,4% 53 15,1% Jamais 132 7,2% ,9% 8 6,1% Total % ,4% ,6% 18/11/2010 DAQSS / SEVAM 13
14 Synthèse : conformité acquise, mais peu encore de plus value réelle La Check-list est en place Les mentalités sont dans l ensemble plutôt favorables et reconnaissent l utilité de la vérification Mais la C/L est encore mal utilisée 1 objectif sur 3 atteint : la mise en place, restent l usage collectif et la traçabilité de la décision La France n est en rien différente du reste du monde (littérature convergente sur les mêmes difficultés) Directions pour l amélioration Convaincre dans le réel et dans le pragmatisme des situations Ne pas exiger des postures qui ne correspondent pas au fonctionnement réel des blocs (présence des chirurgiens et des anesthésistes en flux tendu) Mais faire réfléchir sur les solutions de GO-NON GO et demander à ce qu elles soient explicites Lutter pour une vraie implication des médecins Insérer la C/L (qui n est qu une vérification ultime) dans un contexte de vérification et de Qualité qui a dû commencer bien avant 18/11/2010 DAQSS / SEVAM 14
15 Une naïveté persistante dans le modèle de sécurité Accident Défaillance Atténuation Prévention Les établissements qui présentent le plus grand risque pour le patient ne sont pas ceux qui ont le plus gros taux de complications et d erreurs, mais ceux qui ne traitent pas bien les complications qu ils ont Récupération 15
16 Adopter la simulation Trois réponses de l industrie, trois buts différents La réduction de coût de formation De loin la raison qui a fait imposer le système en aviation L apprentissage technique des juniors, la maîtrise des gestes et des machines Une raison que tout le monde admet essentielle et de bon sens L expérience des situations à risques pour tous, l acquisition et le maintien du répertoire de réponses Bien accepté dans les métiers à risques, mais suppose une vision systémique pour être implémentée notamment, prévoir le ratio de personnel avec un coefficient 1,10, le 0,10 supplémentaire entièrement destiné à la formation dans l aviation et le nucléaire entre 8 et 12% des pilotes d Air france sont en formation chaque jour.
17 Zoom sur le CRM en aviation UN dispositif complexe de formation, dix ans pour rendre le dispositif obligatoire, Des millions d en immobilisation pilote 10 ans pour l inscrire dans les règlements Coût de 3 Milliards annuel mondial Recurrent CRM 3Yrs cycle Modular/LOFT JAR FCL ATPL JAR OPS 1 st year HPL MCC LOFT Initial CRM Conversion course CRM training when changing operator Conversion course CRM training when changing aeroplane type Theoretical course in Human Factors according JAR FCL Command course CRM training Amalberti 17
18 La culture en question Les pilotes sont plus conscients de leur état de fatigue que le corps médical JB Sexton, EJ Thomas, RL Helmreich BMJ 2000;320: Même fatigué, je suis toujours aussi efficace dans les phases critiques J'arrive à laisser mes problèmes personnels de côté quand je prends ma garde Ma décision est aussi bonne en urgence qu'en situation de routine Pilots (n=30.000) Chirurgien PH Interne chirurgie IBODE Urgentiste Anesthésiste PH Interne Anesthésie IADE Les jeunes internes n'ont pas droit à remettre en cause les points des vues des séniors (%) CNC 21 mars 18
19 La pression de l innovation et du marché La qualité toujours sacrifiée. Le cycle moyen de la Qualité déployée au niveau international en aviation 2 ans pour voir le problème 5 4 Sur 100 revues de question publiées entre 2000 et 2010, le temps moyen de demi-vie de la connaissance médicale est de 5,5 années Shojania Ann Intern Med, 2007 Nombre moyen d innovations significatives par décennie en chirurgie (bilan préop, technique, post op)/ Vs aviation (prévol, vol, post vol) Introduction de techniques changeant la stratégie de travail 2 ans pour voir émerger des solutions locales 3 CHIRURGIE 10 ans minimum 1 an pour décider d une solution internationale 2 Radiographies Prophylaxies Ind. medicam Prothèses Anesthésie Techniques interventionnelles CYCLES DE QUALITE PARTIELS Est ce différent en médecine?? 5 ans pour la disséminer Formations des professionnels, réglage du retour d expérience Jets Guidages automatisés Avions automatisés AVIATION Années
20 3. ADOPTER UNE VISION SYSTEMIQUE
21 Une profonde évolution des idées Reason, J. 2003, L erreur humaine, PUF ERREURS LATENTES Pression à l erreur par défaut d organisation, de communication ou de conception sûre des matériaux et interfaces ERREURS PATENTES Erreurs & violations des acteurs médicaux Le modèle du fromage Suisse Auto détection et récupération DEFENSES EN PROFONDEUR dont certaines sont érodées par routine, manque de moyens, etc EVENEMENT INDESIRABLE Exemples Arrêt de progression par une barrière efficace Pression à la production Plateau technique incomplet Mauvaise organisation des interfaces Fatigue Personnel manquant Distractions CNC 21 mars 21
22 Amalberti, R. Auroy, Y. Berwick, D., Barach, P. (2005) Five System Barriers To Achieving Ultrasafe Health Care, Ann Intern Med. 2005;142, 9: Pas de limitation de performance Excessive autonomie des acteurs Attitude d artisan Accroître les marges, imposer des limites Jouer collectif Accepter de devenir acteur équivalent Sur protection égocentrée des différentes couches humaines du système, notamment couche managériale Perte de visibilité du risque, investissements paradoxaux, Conduite politique Accepter le risque résiduel Accepter de questionner les succès passé et changer de stratégies Alpinisme himalayen Activités ULM Agricole Risque médical (total) Pêche artisanale Sécurité routière Vols charters Industrie chimique Transfusion sanguine Aviation Civile Rail (France) Pas de systèmes après ce point Industrie Nucléaire Très peu sûr Extrêmement sûr Risque de catastrophe CNC 21 mars 22
23 4. RESISTER AUX SITUATIONS EXCEPTIONNELLES ET AUX CRISES : LA RESILIENCE
24 Resilience Robustesse Gérer l exceptionnel Penser le pire Survivre aux problèmes Degré de variabilité de la performance Evénement exceptionnel Temps CNC 21 mars 24
25 Systèmes ultra sûrs S t = S r + S e Les paradoxes de la résilience La sécurisation des systèmes se fait en détriment de la composant résilience Artisans S totale = S régles + S expertise SECURISATION La question actuelle est de savoir si l on peut concevoir un système du type: S t = S r + S e CNC 21 mars Sécurité et résilience_ Amalberti 25
26 Pourquoi l aviation civile est un système ultra sûr Un système homogène et régulé à l échelon mondial OACI, EASA, FAA, IATA Un système riche, mais maîtrisant totalement l innovation Une procéduralisation poussée à l extrême (tube rigide) Une exclusion des situations potentiellement dangereuses, plutôt qu un entraînement à faire face à ces situations Une immense standardisation des matériels Très peu de constructeurs Très grande stabilité ergonomique chez chaque constructeur Une immense standardisation des personnels Même qualification et cursus dans le monde entier Requalification et formations continues imposées et contrôlées Une incroyable supervision (big brother) ATC Boîtes noires, analyses systématiques des vols, LOSA Combien de ces propriétés sont transférables à la médecine? 26
27 Vers une vision plus stratégique des choix ULTRA ADAPTATIF SYSTEMES COMPETITIFS Progrès techniques Evolution lente du système quel que soit le modèle choisi NON ADAPTATIF PEU D APPRENTISSAGE Incompatible avec l acceptation sociale RESILIENCE Parier sur les Compétences individuelles HRO Parier sur les procédures et le groupe professionnel ULTRA SAFE SYSTEMS Parier sur la supervision incompatible Avec les exigences du marché Modérément sûrs Ultra sûr
Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC
Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Prof. Pascal BONNABRY Certificat qualité des soins Genève, 14 avril 2011 Agenda Introduction: analyse de risques Exemple d application de
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailLa Liste de Vérification Chirurgicale
La Liste de Vérification Chirurgicale Dre Shannon Fraser Professeure Assistant, Université McGill Chef de la division de chirurgie générale M Bobby Paré Coordonnateur en Soins Infirmiers bloc opératoire
Plus en détailDiriger comme un pilote. Analyses économiques & Techniques aéronautiques au service de la croissance
Diriger comme un pilote Analyses économiques & Techniques aéronautiques au service de la croissance 1 2 3 4 Diriger comme un pilote Une nouvelle vision du management Le cockpit Un laboratoire pour la prise
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détail*Avançons en confiance. BUREAU VERITAS Calendrier des formations aéronautiques 2015
*Avançons en confiance. BUREAU VERITAS Calendrier des s aéronautiques 2015 STANDARD QUALITE Système de Gestion de la Qualité EN 9100 Standard pour les Organismes de Conception et de Production Marseille
Plus en détailL entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli
L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli Du CRM au CRM Aviation: 70 % des accidents proviennent d erreurs humaines Cockpit Crew Company Resource Management
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailGestion des risques et protocoles de coopération (Article 51 Loi HPST) Document d aide pour les professionnels de santé
Gestion des risques et protocoles de coopération (Article 51 Loi HPST) Document d aide pour les professionnels de santé Février 2012 Ce guide est téléchargeable gratuitement sur www.has-sante.fr Haute
Plus en détailisrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle
isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle 2 isrs 7 : pour la santé de votre entreprise Pour répondre à l accroissement des multiples exigences de vos Parties Intéressées,
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailGestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques
Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques 6ème journée "Actualités et perspectives» Réseau d Hémovigilance Aquitaine Limousin 27/11/08 Dr P.Roussel Institut National
Plus en détailÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailMANDAT CONSEIL CONSULTATIF SUR LA RÉGLEMENTATION AÉRIENNE CANADIENNE (CCRAC) COMITÉ TECHNIQUE
MANDAT CONSEIL CONSULTATIF SUR LA RÉGLEMENTATION AÉRIENNE CANADIENNE (CCRAC) COMITÉ TECHNIQUE GROUPE DE TRAVAIL SUR LA FORMATION EN GESTION DES RESSOURCES DE L ÉQUIPAGE (GT CRM) HISTORIQUE Plus de 70 %
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?
Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde
Plus en détailLa pression sur la gestion des risques en médecine
La sécurité des patients : évolution des concepts et des politiques La sécurité du patient est tout sauf intuitive et facile à obtenir. Alors que l exigence augmente, les changements du système de santé
Plus en détailLa démarche lean dans le secteur public : conditions de mise en oeuvre et résultats potentiels
La démarche lean dans le secteur public : conditions de mise en oeuvre et résultats potentiels Mercredi de L INET Mercredi 28 mars 2012 CONFIDENTIEL ET PROPRIETAIRE Toute utilisation de ce matériel sans
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)
POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailLa sécurité des patients
Amélioration des pratiques et sécurité des soins La sécurité des patients Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins en établissement de santé Des concepts à la pratique Partie 5 Des fiches
Plus en détailHySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé
www.thalesgroup.com SYSTÈMES D INFORMATION CRITIQUES ET CYBERSÉCURITÉ HySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé Le cloud computing et la sécurité au cœur des enjeux informatiques L informatique
Plus en détail«L année 2013 a été marquée par le lancement du FALCON 5X, qui enrichit la gamme FALCON, et par la consolidation du socle France du RAFALE.
Prises de commandes 64 FALCON contre 58 en 2012 Livraisons 77 FALCON et 11 RAFALE contre 66 FALCON et 11 RAFALE en 2012 Chiffre d'affaires 4 593 millions d'euros, en hausse de 17% Résultat Net ajusté(*)
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailSécurisation des soins et indicateurs en réanimation : taxonomie générale Safety practice and safety indicators: Definition and terminology
Réanimation (2008) 17, 512 516 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Sécurisation des soins et indicateurs en réanimation
Plus en détailPrincipe et règles d audit
CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailLa conformité et la sécurité des opérations financières
La conformité et la sécurité des opérations financières Au service de vos systèmes d information critiques www.thalesgroup.com/security-services Des services financiers plus sûrs, même dans les passes
Plus en détailAméliorer la Performance des Fournisseurs
Les Solutions SQA de Solumina L Assurance Qualité Fournisseur Figure 1 Influence sur les affaires de nos clients actuels. Réduire des Stocks lors des Inspections Le Système de Contrôle Qualité Fournisseurs
Plus en détailProfil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique
Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Page 1/6 1. Introduction L enseignement de la Haute Ecole Louvain en Hainaut donne la place centrale à l étudiant. Celui-ci trouvera
Plus en détailSOFARTHRO.com. Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective
Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective Boyer P, Bouthors C, Ben Hamida F, Mylle G, Massin P service d orthopédie, Hôpital Bichat
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailDIRECTIVES PEDAGOGIQUES CHEF(FE) DE PROJET E-BUSINESS RNCP AU NIVEAU II*
DIRECTIVES PEDAGOGIQUES CHEF(FE) DE PROJET E-BUSINESS RNCP AU NIVEAU II* Mise à jour 2015 *Sous l autorité de l EIMP ADMTC Programme de formation - Titre «Chef(fe) de projet e-business» 1 CHEF(FE) DE PROJET
Plus en détailLa transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion
La transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion Pierre-Sébastien Fournier Sylvie Montreuil Maude Villeneuve Jean-Pierre Brun Un facteur de risque Intensification
Plus en détailEntrée en vigueur de la réglementation sur les licences du personnel navigant (Partie FCL)
Entrée en vigueur de la réglementation sur les licences du personnel navigant (Partie FCL) L Union européenne (UE) a entrepris d harmoniser la réglementation de l aviation civile à l échelle de l Europe.
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailREGLEMENTER LA FORMATION FACTEURS HUMAINS DES PILOTES : OUTIL DE GESTION DES RISQUES OU ILLUSION DU CONTROLE?
REGLEMENTER LA FORMATION FACTEURS HUMAINS DES PILOTES : OUTIL DE GESTION DES RISQUES OU ILLUSION DU CONTROLE? Stéphane Deharvengt Direction Générale de l Aviation Civile 50 rue Henry-Farman - 75720 Paris
Plus en détailRésumé CONCEPTEUR, INTEGRATEUR, OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES
Aristote ----- Cloud Interopérabilité Retour d'expérience L A F O R C E D E L I N N O V A T I O N Résumé Les systèmes d'information logistique (SIL) sont des outils qui amènent des gains de productivité
Plus en détailjeudi 19 septembre 2013, Bournezeau Services et Solutions en Carrière
jeudi 19 septembre 2013, Bournezeau Services et Solutions en Carrière 1 Schneider Electric - le spécialiste mondial de la gestion de l énergie Des géographies équilibrées CA 2012 Milliards d euros de CA
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailDéfinir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités
Chapitre 1 Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités La politique de maintenance, entre prévention et correction 25 f Qu est-ce que le «préventif» et le «correctif»?
Plus en détailA.3 Les méthodes : L applicabilité
SOMMAIRE A. Première partie A.1 Ingénierie système : du besoin au système (produit/service) A.2 SDF, Maintenance et concepts sous-jacents A.3 Les méthodes : L applicabilité A.4 GMAO = GM + AO B. Deuxième
Plus en détailDifférenciation de fonction
Axe de recherche : Étude de l organisation l de l activitl activité infirmière re Différenciation de fonction infirmière re Geoffroy Berckmans Assistant - PRISCI - IRSS - ESP UCL Projet de recherche fédéral
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailL ERP mobile répond aux challenges des entreprises! RP mobile. challenges
L ERP mobile répond aux challenges des entreprises! RP mobile challenges L ERP mobile répond aux challenges des entreprises! Pour les moyennes et grandes entreprises, avoir un accès rapide, sécurisé et
Plus en détailLES SOLUTIONS MEGA POUR LA GOUVERNANCE, RISQUES ET CONFORMITÉ (GRC)
LES SOLUTIONS MEGA POUR LA GOUVERNANCE, RISQUES ET CONFORMITÉ (GRC) Donnez à votre comité de direction une visibilité à 360, en temps réel, du cadre de Gouvernance d Entreprise REGULATORY COMPLIANCE Rc
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détailCritical Power : Solutions pour une distribution électrique sécurisée répondant à la
Critical Power : Solutions pour une distribution électrique sécurisée répondant à la criticité de votre activité Sommaire 1. Préambule 2. Focus sur les établissements de santé 3. Focus sur les data center
Plus en détailAvertissement. Copyright 2014 Accenture All rights reserved. 2
Avertissement Ce document et les informations contenues sont la propriété d Accenture. Ce document en totalité ou en partie, ne peut être reproduit sous aucune forme ni par aucun moyen sans autorisation
Plus en détailASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008. www.triadis.fr. Management des situations de crise. S organiser. Communiquer. Patrick PIZA
ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008 Management des situations de crise www.triadis.fr S organiser Communiquer Patrick PIZA LES MISSIONS CONSEIL L ÉQUIPE TRIADIS 5 consultants seniors - 2 assistantes 3 consultants
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailQuestions/Réponses. Selfassurance Santé. 1. Souscrire une assurance santé
Selfassurance Santé Questions/Réponses 1. Souscrire une assurance santé Les différents Régimes Obligatoires Le Régime Obligatoire d assurance maladie de Sécurité sociale française dont relève l assuré
Plus en détail8 bonnes raisons d utiliser un CRM pour une PME
8 bonnes raisons d utiliser un CRM pour une PME Résumé Analytique : En tant que PME, l utilisation d une solution CRM présente de multiples avantages. En premier lieu, elle vous permettra d accroître votre
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailFMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu
FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailChapitre 1 Comprendre l évolution du marketing
Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux
Plus en détailDéveloppement itératif, évolutif et agile
Document Développement itératif, évolutif et agile Auteur Nicoleta SERGI Version 1.0 Date de sortie 23/11/2007 1. Processus Unifié Développement itératif, évolutif et agile Contrairement au cycle de vie
Plus en détailBILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.
- 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour
Plus en détailLa gestion des données de référence ou comment exploiter toutes vos informations
La gestion des données de référence ou comment exploiter toutes vos informations La tour de Babel numérique La gestion des données de référence (appelée MDM pour Master Data Management) se veut la réponse
Plus en détailsommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE
La cyberdéfense sommaire LE PACTE DéFENSE CYBER...3 La cyberdéfense au ministère de la Défense...4 L organisation opérationnelle de la Cyberdéfense...5 l expertise technique en cyberdéfense dga maîtrise
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailCAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises
CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises Lycée Bel Air de TINTENIAC Le titulaire de ce CAP doit être capable d assurer, en prenant en compte la sécurité et la qualité, le service transport de marchandises
Plus en détailLa solution IdéoSanté une suite Web 2.0
La solution IdéoSanté une suite Web 2.0 SQLI et la santé : Une Histoire Des engagements dans la durée Etapes clés de l industrialisation de la suite Idéo santé Conseil SIS MOA, Urbanisation Réseaux de
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailCONFÉRENCE HOPITECH 2011
CONFÉRENCE HOPITECH 2011 Bénéfices attendus de l intégration GTC & GMAO ANIMÉE PAR : ARNAUD PICHARD, RESPONSABLE MARKETING CODRA LAURENT TRUSCELLO, RESPONSABLE PRODUITS ET SERVICES CARL Software Hopitech
Plus en détailLean management et conditions de travail!
Lean management et conditions de travail! Conférence APIRAF! IUT Lumière 18 février 2014! www.aravis.aract.fr! 18/02/14! N 1! Au delà du seul lean " Quels liens entre «#évolution des organisations#» et
Plus en détailFaire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise.
IBM Global Services Faire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise. Les services d infrastructure et d intégration IBM Pour une infrastructure informatique qui participe
Plus en détailCEM: les comptes d épargne médicale
CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING
COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING 12/01/15 La Direction Financière du Groupe Chèque Déjeuner innove en optant pour une solution Cloud d élaboration budgétaire, gage d agilité
Plus en détailP s a sep e o p r o t S e S r e vi v ce c s Fabrice Dubost
Passeport Services Fabrice Dubost 2.6 Gestion des Mises en Production ITIL, Soutien des services Entreprise, Clients et Utilisateurs Outil de Supervision Dysfonctionnements Questions / Renseignements Incidents
Plus en détailEPL/S Pilote de Ligne 2015
EPL/S Pilote de Ligne 2015 2 Sommaire Dates du concours 3 Lieux des épreuves 3 Conditions d admission 3 Les epreuves du concours 5 Les études 6 Le métier de Pilote de Ligne 7 S inscrire aux concours EPL/S
Plus en détailGUIDE DE REDACTION D'UN MANUEL D'EXPLOITATION PARTIE D
Page : 1/7 Note : Le contenu des différents chapitres de la partie D doit être traité par des responsables de l exploitation et non du TRTO. Les éléments qui concernent les personnels navigants doivent
Plus en détailPROFIL DE POSTE AFFECTATION. SERIA (service informatique académique) DESCRIPTION DU POSTE
PROFIL DE POSTE BAP : CORPS : NATURE : SPÉCIALITÉ : E ITRF Externe IGR 2, Chef de projet développement ÉTABLISSEMENT : Rectorat SERVICE : VILLE : SERIA (service informatique académique) DESCRIPTION DU
Plus en détailUn logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir!
Un logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir! En compétition chaque minute compte. Bref aperçu de vos avantages Avec Kartosoft nous mettons à votre disposition un outil permettant
Plus en détailMesurer le succès Service Desk Guide d évaluation pour les moyennes entreprises :
LIVRE BLANC SUR LES MEILLEURES PRATIQUES Mesurer le succès Service Desk Guide d évaluation pour les moyennes entreprises : Choisir la meilleure solution de support technique et améliorer le retour sur
Plus en détailLa gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES
La gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES Gilbert Mounier 1 La SoFGRES association loi 1901 à but non
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailDU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*
R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailL OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE
L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE LA TRANSFORMATION DES ENTREPRISES De l idée simple de mettre en relation les différents acteurs du progrès est née une plateforme de travail collaboratif proche du métier
Plus en détail