R é s i d e n c e F l e u r s d A u t o m n e 1 rue de la soie décines RESIDENCE FLEURS D AUTOMNE DECINES 69 PROJET DE SOINS JANVIER 2005 V1

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1 1 PR JET DE S INS R é s i d e n c e F l e u r s d A u t o m n e 1 rue de la soie décines

2 2 1. Introduction La résidence pour personnes âgées Fleurs d automne s est engagée dans la signature de la convention tripartite avec les organismes de tutelle. Dans ce cadre le projet d établissement et le projet de vie ont été élaborés. Le référentiel Angélique a été renseigné précisément de manière participative. Il est un point de soutien à la politique qualité pour l ensemble des professionnels. Le projet de soins est envisagé suite à la signature de la convention tripartite. Il est élaboré à un moment clé de l évolution de l équipe soignante : renouvellement de l équipe infirmières dans les 4 dernières années, recrutement récent d un médecin coordonnateur, recrutement d aides-soignants prévu lors de la sortie de la promotion de début La démarche : Des préalables ont été pris en compte afin de clarifier les orientations et la place du projet de soins en tant que composante du projet d établissement Liens avec le projet de vie : Il est communément admis dans le champ gérontologique que le projet de soins est inclus dans le projet de vie. En effet il est fondé sur des valeurs humaines, il est centré sur la personne âgée et gère les relations entre les individus en termes d interactions ou de vie individuelle. Le terme de «soin» a une signification particulière dans un établissement qui accueille des personnes âgées. Il amène à une réflexion de l ensemble des professionnels y compris du corps médical. Les grands axes du projet de vie de la résidence Fleurs d automne affirment l orientation d une prise en charge individuelle de chaque résident dans une perspective de «prendre soin» de la personne âgée dans un cadre de vie personnalisé Définition du projet de soins Le projet de soins définit ce que l on a l intention de faire à partir de l existant. Ce projet est porteur des idées induites par la politique de santé. Il s appuie sur les textes réglementaires et sur les références institutionnelles. Inscrit dans la réalité économique, l esprit du projet est caractérisé par une projection sur les 5 années à venir. Il intègre une réflexion éthique sur nos pratiques professionnelles.

3 2.3. Objectifs du projet de soins 3 La réflexion pluriprofessionnelle engagée autour du projet de soins doit permettre : - de dynamiser les capacités des résidents en maintenant leur autonomie fonctionnelle et mentale au niveau optimal - de préserver et promouvoir l estime de soi - de favoriser l intégration des résidents à leur nouvel environnement - de privilégier la qualité de vie de la personne en institution et la communication avec son entourage - d améliorer la qualité des soins dispensés par la concrétisation d une prise en charge globale du résident en organisant la complémentarité entre les différents intervenants - d assurer la continuité des soins par l élaboration des divers documents facilitant la transmission des informations Aspects réglementaires Les normes du service infirmier précisent que «le cadre infirmier élabore avec son équipe le projet de soins de son secteur, en accord avec la politique de soins de l établissement préalablement définie». L arrêté du 26 avril 1999 précise que le projet de soins est «élaboré et mis en œuvre par le médecin coordonnateur avec le concours de l équipe soignante et si possible avec les intervenants libéraux». La procédure d accréditation, dans sa première version, précise que le projet médical et le projet de soins sont «élaborés avec les professionnels et définissent les modalités d organisation de la prise en charge des patients». Les recommandations de bonne pratique en EHPAD visent à «aider les professionnels à améliorer leurs pratiques gériatriques afin d apporter une prise en charge spécifique articulant les traitements des affections avec la mise en œuvre d actions de prévention de la dépendance et d amélioration, de la qualité de vie et de surveillance» Méthodologie retenue L établissement a fait appel à un formateur extérieur pour animer la réflexion permettant de dégager les orientations du projet de soins dans les 5 ans à venir. Il a été tenu compte du projet de vie élaboré pour s appuyer sur les axes retenus et les micro-projets retenus dans ce cadre.

4 Les difficultés actuelles de recrutement aide-soignant ont limité la participation de cette catégorie professionnelle à l élaboration du projet. Les 3 infirmières de l établissement ont défini le projet de soins et l ont présenté pour validation au médecin coordonnateur et à la directrice. Une présentation du projet de soins est prévue à l ensemble des professionnels en Février Le suivi de la mise en place du programme d amélioration de la qualité retenu est confié à l infirmière coordinatrice Présentation de la résidence Nous reprendrons les éléments clés, en complément de ceux retrouvés dans le projet de vie et dans le projet d établissement, afin de cerner le contexte des orientations du projet de soins Les résidents «Le GIR Moyen pondéré est de 538,57 en mai 2004, ce qui situe le niveau de dépendance moyen des résidents en dessous du niveau national moyen des établissements de même catégorie (maison de retraite privée associative à but non lucratif). Le GMP bas masque le fait que la résidence abrite plusieurs résidents atteints de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés». «A la faveur d une liste d attente importante la direction maîtrise l évolution du GMP. Pour les 5 ans qui viennent la résidence Fleur d automne entend maintenir son niveau moyen de dépendance à la hauteur actuelle». Les critères d admission retenus prennent en compte les possibilités de prise en charge afin de maintenir une prise en charge sécurisée de qualité. Ces orientations ont été prises en tenant compte des moyens alloués pour les 5 années à venir. A noter qu une structure spécifique de type unité de vie Alzheimer, prévoyant un accueil de jour, est envisagé dans le cadre du projet d établissement afin de répondre aux besoins de prise en charge sécurisée des personnes âgées démentes déambulantes L équipe soignante L évolution des effectifs à capacité d accueil constante a permis le recrutement de 0,20 ETP de médecin coordonnateur et prévoit la création d un poste d aide-soignant en 2005 et d un 0,25 ETP infirmier également en L établissement continuera à faire appel aux médecins et soignants libéraux. Les difficultés de recrutement de personnel aide-soignant rendent actuellement difficile d organiser les soins dans la limite des compétences et d intégrer cette catégorie professionnelle à l élaboration du projet de soins. Les perspectives de sortie de centres

5 de formation début 2005 permettent d envisager le recrutement nécessaire au fonctionnement de l établissement et à la structuration de l équipe soignante afin d intensifier la démarche d amélioration de la qualité entreprise. 4. Les valeurs partagées Elles ont été identifiées lors de l élaboration du projet de vie dans son chapitre 3 : - adhésion à la charte des droits et liberté de la personne âgée dépendante - respect du résident et entre les professionnels - liberté d expression privilégiée - écoute à l égard des personnes accueillies - solidarité. Ces valeurs sont reprises dans le projet de soins afin de permettre une prise en charge globale de la personne dans ses dimensions bio-psycho-sociales Les grands axes du projet de soins 5.1. Articulation avec le projet de vie Le projet de soins se veut être complémentaire du projet de vie en se basant sur des valeurs identiques tout en développant les micro-projets spécifiques. Il a l ambition de d organiser la prise en charge des résidents afin d apporter des soins de qualité en toute sécurité tout en veillant à la satisfaction des résidents et de leurs familles Les modalités opérationnelles Les priorités fixées ici pour les cinq prochaines années se déclineront en modalités opérationnelles. Les modalités opérationnelles constituent les objectifs, les actions, les moyens et l échéancier qui seront mis en œuvre et suivi concrètement sur le terrain par les professionnels et l ensemble des partenaires de soins de la résidence Fleurs d automne afin de parvenir à une couverture qui soit au niveau de qualité qu attendent les résidents et répondent au référentiel Angélique.

6 5.3. Le Plan d action qualité 6 L ensemble des modalités opérationnelles constituera plan d action qualité qui servira de trame à la démarche d amélioration continue de la qualité engagée. 5.4 La démarche de soins «La démarche de soins doit contribuer à la réussite du projet de vie La préoccupation première de la résidence Fleurs d automne est celle de la valorisation de l autonomie de ses hôtes La démarche de soins doit aussi faire participer directement le malade La démarche consiste à rendre le résident libre d accepter ou de refuser les soins qui lui sont proposés à condition qu ils lui aient été suffisamment expliqués A défaut de pouvoir recueillir le consentement ou le refus éclairé de la personne concernée, toutes les explications utiles devront être délivrées à la personne de confiance La démarche de soins doit être celle de la vie qu a choisie le résident La démarche de soins doit être individualisée Chaque pensionnaire trouvera dans son dossier le tryptique suivant : un projet de vie individualisé, un plan d aide et de valorisation de l autonomie, un plan de soins personnalisé La démarche de soins doit être organisée de façon à ce que tous ses acteurs s y impliquent de la même façon sans discordance» Les domaines prioritaires La résidence Fleurs d automne entend œuvrer prioritairement, dans les six domaines suivants : - valorisation de l autonomie (soins d entretien et de v rééducation/réadaptation) - prise en charge spécifique de la démence - accompagnement de fin de vie (soins palliatifs) - traçabilité et suivi des soins - organisation des soins - soins de réseau. Les trois premiers domaines, à la frontière du projet de soins et du projet de vie, sont intégrés à ce dernier projet.

7 6. Analyse de l existant Connaissance de la personne et prise en compte de ses besoins : L accueil du résident Dans le cadre de la réflexion engagée au niveau du projet de vie une amélioration de l accueil a été envisagée et se met en place progressivement à partir du questionnaire de vie élaboré sur support écrit en dehors des possibilités du logiciel informatique et de la mise en place des référents des résidents. Une nouvelle procédure d admission établie à partir de 10 points clés est établie, elle prévoit une consultation médicale avec le médecin coordonnateur. Elaboration d un questionnaire de vie Mise en place d un référent, membre du personnel chargé de faciliter l intégration du résident et d être une personne ressource pour améliorer la connaissance de la personne Questionnaire non rempli au moment de l admission Absence de bilan d intégration avec la participation du résident et de sa famille Absence de désignation de la personne de confiance La démarche de soins L équipe soignante ne s est pas positionnée sur la théorie de soins qui sous-tend la démarche de soins individualisée engagée auprès du résident. Les besoins fondamentaux de Virginia Henderson sont connus des professionnels et peuvent être retrouvés pour certains dans le questionnaire de vie. Le logiciel de gestion du dossier du résident prévoit la traçabilité de la démarche de soins à partir des besoins fondamentaux, sous la forme des transmissions ciblées. Les infirmières ne maîtrisent pas la méthodologie des transmissions ciblées et ne peuvent donc envisager, sans formation préalable, la traçabilité de la démarche de soins sous cette forme dans le dossier résident informatisé.

8 8 7 besoins fondamentaux retrouvés dans les données générales du questionnaire de vie : - hygiène (être propre et protéger ses téguments) - respirer - mobilisation (se mouvoir et maintenir une bonne posture) - s alimenter (boire et manger) - animation s occuper en vue de se récréer) - éliminer - spiritualité (agir selon ses croyances et ses valeurs) Recueil de données non spécifique par rapport aux soins ne prenant pas en compte l ensemble des besoins fondamentaux. Coordination de la démarche de soins infirmiers assurée par les infirmières Absence de prise en compte d une théorie commune de soins permettant de structurer la démarche de soins entreprise Traçabilité des données non exhaustive par rapport à la démarche de soins entreprise Le dossier de soins Une réelle volonté de la direction, des infirmières et de trois médecins libéraux a permis la mise en place et une utilisation d un certain nombre de fonctionnalités du dossier informatisé. L insuffisance de formation de l ensemble de l équipe soignante et de l ensemble des intervenants libéraux n a pas permis d arriver à établir un dossier médical et un dossier de soins infirmier unique informatique Il subsiste un dossier médical papier et deux supports (ordonnance papier ou informatique) des prescriptions médicales. Pour le dossier de soins infirmiers la fiabilité et l exhaustivité des données traçées n est pas assurée sur l outil informatique dans la mesure où les infirmières libérales n interviennent pas dans la saisie des données et où les professionnels aide-soignants et auxiliaires de vie consignent plus ou moins les données dans le logiciel en fonction de leur maîtrise de l outil informatique.

9 Les infirmières soulignent la survivance de nombreux supports écrits faisant double emploi et d une utilisation non rationnelle de l informatique. La liaison par cahier avec l équipe de nuit ne permet pas totalement de communiquer l ensemble des informations nécessaires à la continuité de prise en charge des résidents. L organisation actuelle est vécue comme insatisfaisante par les infirmières qui souhaitent améliorer la rationalisation des supports d information en utilisant au mieux le logiciel qui sera choisi pour répondre au cahier des charges. 9 Dossier individualisé pour chaque résident prenant en compte les composantes médicale et de soins infirmiers Le dossier médical est établi soit sur support papier sur support informatique en fonction de la connaissance et de l utilisation de l outil informatique par les médecins libéraux. Logiciel de gestion du dossier du résident adapté à la prise en charge en gériatrie Existence d un diagramme de traçabilité des soins Rapidité d établissement d un dossier de liaison à partir du dossier informatisé en cas de transfert Le dossier de soins infirmiers informatisé n est pas utilisé par les infirmières libérales ce qui limite la fiabilité et l exhaustivité des données ainsi que la circulation de l information pour la prise en charge des résidents Multiplicité des supports d information faisant cohabiter de nombreux supports papiers du fait du maintien des outils papiers pré-existants et du manque de formation de certains médecins et para-médicaux libéraux Démarche de soins entreprise non formalisée Possibilité limitée aux résidents pour lesquels le dossier médical est informatisé Absence d évaluation du support en fonction des recommandations de bonnes pratiques dans ce domaine Classement et archivage du dossier du résident organisé Les infirmières évaluent d une façon subjective à ce jour un manque de fiabilité du dossier par manque de rigueur dans le recueil des données par l ensemble des soignants et par absence de validation des données tracées

10 6.2. Prise en compte des besoins spécifiques des personnes âgées en Etablissement de personnes âgées dépendantes : Agitation et agressivité L établissement bénéficie de l aide du secteur psychiatrique qui assure un soutien efficace à la prise en charge des résidents présentant des troubles du comportement. Le médecin psychiatre de secteur assure le suivi des résidents. Il peut lui être fait appel téléphoniquement en cas de besoin d aide et de conseil. Les hospitalisations en secteur psychiatrique sont réalisées en priorité à l hôpital spécialisé du Vinatier. Une infirmière psychiatrique de secteur assure un suivi régulier des patients pris en charge à la résidence. La situation de prise en charge des résidents désorientés la nuit est actuellement difficile à organiser du fait de l absence de lieu d accueil spécifique aux personnes Alzheimer, sécurisé et surtout du fait de la présence d une seule veilleuse de nuit. 10 Suivi organisé des résidents présentant des troubles du comportement par le secteur psychiatrique Recours permanent possible au médecin psychiatre pour les médecins et les infirmières Suivi à la résidence des patients par l infirmière psychiatrique Absence de convention de fonctionnement avec le secteur psychiatrique Coordination à développer au niveau de la démarche de soins Participation de l infirmière psychiatrique au dossier de soins informatisé Alimentation L établissement fait appel à un prestataire de service concernant la restauration. Les préparations sont réalisées sur place ce qui facilite la coordination avec l équipe de cuisine. L équilibre nutritionnel est assuré avec l aide de la diététicienne de la société de restauration. Afin d améliorer la prestation une commission des menus se réunit chaque mois. Elle participe à la validation des menus et à la prise en compte de l aspect restauration dans le cadre de l animation.

11 Une réflexion est engagée afin de faire évoluer la prise en charge des régimes prescrits, en particulier la diététique concernant les résidents diabétiques. Le suivi du poids des résidents est organisé mensuellement. Une fiche de surveillance alimentaire est mise en place et suivie en cas de problème ciblé. Des compléments nutritionnels hyperprotidiques industriels sont à disposition des soignants mais ils ne sont pas utilisés en lien avec un suivi par bilan protidique. La texture peut être adaptée à la demande. A ce jour l établissement n a pas eu à prendre en charge de résidents alimentés par sonde. Au besoin du matériel adapté est mis à disposition des résidents pour maintenir leur autonomie pour s alimenter. Les horaires des repas permettent de respecter au mieux le rythme de vie des résidents : amplitude de 7 h à 9h30 pour le petit déjeuner, horaire reculé d 1/4h le midi afin de prévoir le déjeuner à 11h45 et dîner à 18h30 afin de porter le délai entre le repas du soir et le petit déjeuner à 12 heures. Les repas pris aux 2 restaurants peuvent être servis en chambre en cas de besoin. Il est envisagé de rassembler l ensemble des résidents dans un même restaurant afin d améliorer la gestion du personnel au moment des repas. Ce projet est bâti également dans la perspective d améliorer la communication et de stimuler l ensemble des résidents. 11 Amplitude de la prise du petit déjeuner préservant le rythme de chaque résident L organisation du portage des repas en chambre en cas de besoin Service de restauration dans deux lieux Possibilités de choix alimentaires limités, en particulier l absence d un deuxième choix pour le menu Hydratation, déshydratation La prise en charge du besoin de boire est assurée et suivie. La fiche alimentation, hydratation permet d assurer le suivi. Une fiche spécifique établie avec rigueur suivant un protocole établit permettrai d améliorer sensiblement la qualité de la prise en charge. La mise en œuvre des recommandations du plan canicule a permis d établir un protocole spécifique à cette situation et de mettre à disposition des résidents deux pièces climatisées. Sur prescription médicale l hydratation peut être envisagée avec la mise en place de perfusions sous-cutanées.

12 12 Ma mise en place des recommandations du plan canicule Les possibilités d hydratation par perfusion sous-cutanée, en particulier pour la prise en charge des patients en fin de vie La formalisation de la procédure en cas de canicule et en particulier le protocole de suivi individuel de l hydratation L absence de personnel qualifié en nombre pour assurer le suivi des prescriptions sur les 24 heures Les chutes La prise en compte de ce risque est assurée par des conseils oraux afin d aménager la chambre, par l élaboration d une fiche de déclaration, par la mise en place de nombreuses actions d amélioration à visée préventive : prise en charge de rééducation par les kinésithérapeutes, activité de gymnastique douce, attention particulière aux chaussures, mise à disposition de cadres de marche et de fauteuils roulants, appareillage de l incontinence. L aménagement des locaux fait subsister quelques risques : fermeture des portes coupe feu, escaliers non sécurisés accessibles aux résidents désorientés. Prise en compte du risque de chute dans les actions préventives et curatives menée par les professionnels Fiche de déclaration établie Absence de suivi statistique des fiches ne s inscrivant pas dans le cadre d un programme de gestion des risques Locaux insuffisamment sécurisés en absence d un lieu de vie adapté pour la prise en charge de résidents déments déambulants Prise en charge des résidents confus Les infirmières et le médecin coordonnateur privilégient le dialogue et l écoute des professionnels devant les difficultés de prise en charge des résidents désorientés. Des réunions de concertation sont envisagées avec la nomination du médecin coordinateur. La formation a permis aux professionnels d engager la réflexion sur la prise en compte des résidents présentant des signes de désorientation. Il parai t souhaitable de poursuivre la formation afin d approfondir la réflexion et de sensibiliser l ensemble des professionnels aux comportements déviants pouvant relever de la maltraitance.

13 13 Concertation entre les infirmières, le médecin coordonnateur et l ensemble de l équipe soignante afin d organiser une prise en charge des résidents désorientés portée par des valeurs de respect de la personne Formation à la prise en charge des personnes démentes Formation à approfondir et à généraliser à l ensemble du personnel La contention La mise en place d une contention respecte les recommandations de bonne pratique dans ce domaine. Elle est ressentie comme un acte médical, fait systématiquement l objet d une prescription médicale et se veut être de durée la plus courte possible. Elle fait l objet d une information des familles. Le renouvellement de la prescription reste à améliorer et est envisagé deux fois par semaine par le médecin coordonnateur. Des alternatives sont étudiées : matelas au sol, achat de lits électriques à hauteur variable permettant une position au sol pour la future structure à l accueil de personnes de type Alzheimer. L établissement n envisage pas de prendre en charge des patients déments déambulants afin d être attentifs à leur sécurité. Devant cette situation il est recherché avec la famille un autre lieu d hébergement. Souci de respecter les recommandations de bonne pratique relatives à la contention Réflexion suivie pour trouver des alternatives Information des familles Fréquence actuelle du renouvellement de la prescription (en moyenne hebdomadaire) Prise en charge de la douleur L évaluation de la douleur est basée sur l observation des soignants menée sans se référer aux échelles d évaluation peu connues des professionnels mais intégrées au logiciel du dossier du résident.

14 Il est envisagé de se référer à une échelle analogique pour les patients à même d apporter une appréciation et à une échelle basée sur l observation pour les patients dans l incapacité de s exprimer verbalement. La prise en charge de la douleur relève pour la mise en place de thérapeutiques d une prescription médicale. Des protocoles médicaux relatifs à la prise en charge de la douleur sont en cours d élaboration. 14 Prescriptions médicales prenant en compte l observation non codifiée des soignants Absence d évaluation de la douleur prenant en compte les recommandations de bonne pratique dans ce domaine : échelles d évaluation, protocoles permettant la prise en charge en absence d un médecin Prévention des escarres La reconnaissance du risque d escarre et du stade de gravité est effectuée par l équipe soignante en fonction des connaissances relatives à la classification et aux facteurs favorisants. La procédure de prise en charge des escarres n est pas formalisée. Les facteurs de risque tels que la dénutrition, l incontinence et l immobilisation sont pris en compte et les moyens respectifs de prévention sont mis en place (matelas et coussins anti-escarres correspondants aux différents besoins, substituts de repas hyperprotidiques, protections de l incontinence urinaire et fécale. Un médecin libéral formé à la prise en charge des plaies est reconnu comme référent par l ensemble des médecins et par l équipe soignante, son avis est requis systématiquement en cas de besoin. Les instruments d évaluation des facteurs de risque ne sont pas utilisés bien que le logiciel comporte ces échelles, en particulier celle de Norton. L efficacité de la prise en charge médicale des escarres par le médecin référent formé dont la compétence reconnue est sollicitée La prise en charge de la dénutrition et de l incontinence L absence d évaluation et de suivi du risque d escarre pour chaque résident par l utilisation d une échelle choisie par les professionnels, connue et utilisée de tous L absence d étude des besoins en matériel en fonction d une étude des différents besoins des résidents

15 Prise en charge du risque de fausse route 15 L évaluation systématique des résidents à risque reste à organiser afin d envisager l amélioration du suivi et de la prise en charge. La prise en charge des résidents connus à risque du fait de leur pathologie est organisée avec la participation du personnel de restauration : texture des aliments, utilisation d eau géléïfiée, surveillance de la prise alimentaire. La sensibilisation du personnel à l intérêt de la paille qui favorise la bonne position de la tête et le danger de la pipette et du canard est à poursuivre. Les mesures palliatives mises en place chez le résident présentant des fausses routes L absence d évaluation systématisée du risque de fausse route La sensibilisation de l ensemble du personnel au matériel sécuritaire d aide à l hydratation La prise en charge de l incontinence La stratégie de prise en charge de l incontinence urinaire ne prévoit pas systématiquement de bilan étiologique. Le calendrier mictionnel n est pas réalisé et il n est pas envisagé de consultation uro-dynamique. La procédure de prise en charge de l incontinence urinaire et fécale n est pas formalisée bien que l aide et la sollicitation à apporter aux résidents soit organisée. L ensemble du personnel a bénéficié d une information relative à l utilisation des protections assurant la protection en cas d incontinence urinaire et fécale (ex : utilisation de «babygros» d adultes). Une fiche de suivi des protections est à disposition dans chaque chambre. Formation du personnel à l utilisation des protections adaptées aux différents besoins des résidents Fiche de traçabilité de la prise en charge de l incontinence Programmation de la mise aux toilettes Absence de procédure formalisée de prise en charge de l incontinence prenant en compte l ensemble des recommandations de bonnes pratiques dans ce domaine

16 Prévention et surveillance du risque infectieux 16 La lutte contre les infections nosocomiales n a pas été jusque là une priorité de l équipe soignante du fait du type de structure considéré comme un lieu de vie présentant moins de risques qu une structure de soins curatifs. La multiplication des hospitalisations source d infections nosocomiales acquises en dehors de la résidence, les problèmes d environnement en particulier de l eau chaude sanitaire, la prévention des accidents d exposition au sang, les obligations de mise en assurance qualité du processus de stérilisation ont amené une prise de conscience progressive des professionnels. Peu de protocoles sont formalisés et validés par un professionnel compétent en hygiène. Les professionnels se référent à des protocoles élaborés dans d autres établissements. Le lavage simple des mains est protocolisé et le gel hydro-alcoolique est mis à disposition de l ensemble des professionnels. L entretien des chambres fait l objet de fiches techniques. La réflexion sur les modalités de l isolement septique en EHPAD n est pas engagée. Le recours à une équipe opérationnelle en hygiène n est pas organisé à ce jour. Le suivi vaccinal des résidents et des professionnels est organisé, en particulier pour le vaccin antigrippal. La réflexion reste à poursuivre pour assurer la stérilisation du matériel sans recourir au poupinel. L utilisation des antibiotiques n a pas fait l objet d une réflexion entre les médecins prescripteurs. Le suivi vaccinal des résidents et du personnel Le protocole de lavage des mains et l introduction du gel hydroalcoolique Absence de possibilités de recours à une équipe opérationnelle en hygiène Absence de programme d amélioration de la qualité formalisé prenant en compte la surveillance, la prévention, la formation, l évaluation au regard du risque infectieux L insomnie L évaluation de la qualité du sommeil et du repos des résidents ne fait pas l objet d un recueil de données systématique. En cas d insomnie constatée par les soignants l information est transmise au médecin en vue de la mise en place d une thérapeutique adaptée. La prise des somnifères fait l objet d une organisation et d un suivi.

17 17 Prise en charge de l insomnie Le recueil de données sur les habitudes d endormissement et de sommeil des résidents La prise en charge de l urgence Le personnel a bénéficié de formations aux gestes de l urgence dispensées par le SAMU. En vue d améliorer l organisation de la prise en charge un chariot d urgence a été constitué. Les procédures de prise en charge de l urgence en absence d un médecin restent à formaliser. Chariot d urgence mis en place Formation du personnel aux gestes de l urgence Absence de protocoles de prise en charge de l urgence en absence d un médecin Les soins palliatifs Le projet de vie fait apparaître la détermination des professionnels à accompagner le résident en fin de vie et d assurer la présence et le confort nécessaire à cet accompagnement. La prise en charge de la douleur, les soins de confort et de bien être, la prise en compte du consentement éclairé du patient concourent à la qualité de cette prise en charge. L absence de personnel infirmier à certaines heures, en particulier la nuit, limite les possibilités de prise en charge (possibilité de perfusion sous-cutanée mais impossibilité d utiliser une PCA de morphine). En cas de besoin des massages détentes sont effectués par les kinésithérapeutes. La présence d un psychologue est envisagée afin d apporter un soutien psychologique au résident, à sa famille et aux professionnels.

18 18 Réflexion engagée sur le respect de la dignité de la personne en fin de vie et sur le projet d accompagnement Soins de maintenance et massages mis en place pou assurer le confort et le bien être Absence à ce jour d un psychologue Limites de possibilités de prise en charge par rapport aux effectifs infirmiers alloués

19 7- Programme d actions d amélioration de la qualité Accueil du résident Objectif global Connaître le nouveau résident pour permettre une prise en charge individualisée dès son admission Suivre l intégration du nouveau résident Objectifs opérationnels Assurer le recueil de données avant l admission Respecter le consentement éclairé du patient dans toute circonstance Accompagner le nouveau résident pendant son premier mois à la résidence Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Questionnaire de vie traçé lors de l entretien de pré-admission Etablir une fiche de désignation de la personne de confiance Mise en place du bilan d intégration avec la participation du résident, de sa famille, du médecin coordonnateur, de l infirmière coordinatrice et du soignant référent Mise en place systématique de la consultation médicale et soignante de préadmission 100% de fiches désignant la personne de confiance établie pour les nouveaux résidents et les résidents présents Procédure d intégration formalisée et suivie

20 7-2 Projet de soins individualisé 20 Objectif global Mettre en place la démarche de soins relevant du rôle propre infirmier Objectifs opérationnels Recueillir les données relatives aux 14 besoins fondamentaux de Virginia Henderson afin d engager une démarche de soins individualisée Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Recueil des besoins fondamentaux à l entrée du résident Plan de soins individualisé négocié avec le résident Résultats de l audit clinique du dossier de soins à partir de la grille de l ANDEM % de plans de soins individualisés validés par les résidents

21 7-3 Dossier de soins et transmissions écrites 21 Objectif global Assurer le suivi de la prise e charge individualisée du résident Objectifs opérationnels Assurer la traçabilité des informations relatives à la prise en charge pluruprofessionnelle des résidents Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Formations aux transmissions ciblées Utilisation de l application «transmissions ciblées» du logiciel par l ensemble des soignants de l établissement et des IDE libérales Mise en place du diagramme de traçabilité des soins infirmiers Nombre de professionnels formés 100% des soignants formés à l application Résultats de l audit clinique du dossier de soins

22 7-4 Prise en charge spécifiques : agitation, agressivité, confusion du sujet âgé, déambulation 22 Objectif global Eviter la maltraitance Objectifs opérationnels Permettre la sensibilisation de l ensemble des professionnels à la prise en charge des résidents présentant des signes de désorientation Engager une réflexion sur l organisation du travail privilégiant le respect des limites de compétence Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Tutorat du personnel remplaçant et des stagiaires organisé Mettre en place un groupe de parole régulé par le psychologue Recruter le personnel AS qualifié requis Nombre de bilan d intégration réalisés dans le cadre du tutorat Nombre de professionnels participant au groupe de paroles et nombre de réunions Nombre de personnel formé parmi le personnel recruté

23 7-5 Prise en charge spécifiques : alimentation, chaleur, hydratation 23 Objectif global Assurer le confort et la sécurité des résidents par rapport au besoin de boire et de manger Objectifs opérationnels Veiller à l hydratation des résidents Veiller à l équilibre nutritionnel pour l ensemble des résidents en particulier pour les résidents diabétiques Gérer au mieux le temps repas pour les résidents et le personnel Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Créer une fiche permettant de suivre l hydratation des résidents à risque Formaliser la procédure relative à la conduite à tenir en cas de canicule Mettre en place une coordination avec les cuisiniers afin de valider les menus Organiser la prise des repas dans un seul restaurant Fiche établie Suivi en continu du nombre de résidents présentant des signes de déshydratation ayant nécessité une prise en charge médicale Suivi de la commission des menus Procédure établie et mise en place

24 7-6 Prises en charge spécifiques : chute, contention, fausse-route, errance, infections nosocomiales 24 Objectif global Sécuriser les locaux Respecter la liberté de mouvement des résidents Eviter les fausses-routes Objectifs opérationnels Mettre en place les actions préventives repérées comme utiles à la prévention des chutes Mettre en place les recommandations de bonne pratique dans ce domaine Cibler les patients à risque de fausses-routes Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Analyse et suivi de la fiche Nombre de fiches de déclarative des chutes déclaration traitées Prescription de la contention renouvelée 2x/semaine par le médecin coordonnateur Achat de lits adaptés à la prévention des chutes au cantou Etablir une procédure de prise en charge à partir des recommandations de bonnes pratiques Achat d aspirateurs de mucosités % des contentions appliquée, y compris la pose de barrières de lit, relevant d une prescription médicale renouvelée Suivi en continu du nombre de fausses-routes Lutter contre les infections nosocomiales Eviter et gérer l errance Mettre en place les mesures préventives nécessaires Utiliser les moyens de prévention mis à disposition Organiser le recours à une équipe opérationnelle en hygiène Protocoles de soins à formaliser : lavage des mains, entretien des points d eau, isolement septique Etablir un protocole relatif à la gestion des bracelets de sécurité Convention EOH Audits de pratiques planifiés Nombre d épisodes d errance constaté et analyse de l arbre des causes

25 7-7 Prises en charge spécifiques : décisions difficiles à prendre et prescriptions médicamenteuses 25 Objectif global Respecter le consentement éclairé du résident ou de la personne de confiance Améliorer le suivi des prescriptions Objectifs opérationnels Etre capable d identifier la personne de confiance pour chaque résident Tracer dans le dossier médical le consentement recueilli Rendre les prescriptions médicales informatisées opérationnelles Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Etablir la fiche relative à la personne de confiance Engager une réflexion entre l ensemble des médecins prescripteurs sur le respect du consentement du résident Former l ensemble des médecins prescripteurs à l utilisation du logiciel 100% de fiches renseignées Audit clinique du dossier médical à partir de la grille de l ANDEM 100% de prescriptions médicales informatisées

26 7-8 Prises en charge spécifiques : douleur, escarres, incontinence, soins palliatifs 26 Objectif global Prendre en charge la douleur Prévenir l apparition des escarres Prendre en charge l incontinence Objectifs opérationnels Etre capable d évaluer la douleur afin de pouvoir y répondre efficacement Prendre en charge la douleur psychique du résident et apporter un soutien psychologique aux professionnels Etre capable de cibler les résidents à risque Etre capable de diagnostiquer le type d incontinence afin d apporter une réponse adaptée Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Audit d utilisation des échelles Mettre en place les échelles d évaluation pour les résidents capables et incapables de communiquer verbalement Mettre en place les protocoles médicaux relatifs à la prise en charge de la douleur en l absence du médecin Recrutement d un psychologue Etudier les possibilités de recourir à une équipe mobile en soins palliatifs Etablir une procédure de prévention des escarres prévoyant l utilisation de l échelle de Norton Mettre en place les bilans nécessaires Etablir une procédure de prise en charge de l incontinence Protocoles établis et diffusés Poste de psychologue alloué Possibilités de recours effectives Audit clinique réalisé à partir de «l audit clés en mains» proposé par l ANAES Nombre de bilans réalisés par rapport au nombre de résidents incontinents Audit de suivi de la procédure en place

27 7-9 Prise en charge de l urgence 27 Objectif global Assurer la sécurité des résidents, des personnels et des visiteurs en cas d urgence vitale Objectifs opérationnels Etre capable de répondre aux différents types d urgence rencontrées Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Mise en place des protocoles médicaux permettant d agir en absence d un médecin Diffusion et appropriation des protocoles médicaux 7-9 La démarche d amélioration continue de la qualité Objectif global Veiller à la qualité et à la sécurité des soins ainsi qu à la satisfaction des usagers Objectifs opérationnels S engager dans une démarche d amélioration continue de la qualité Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Formation à la démarche qualité et à la maîtrise des outils de la qualité Auto-évaluation annuelle à partir du référentiel Angélique Protocoles et procédures nécessaires formalisés et gestion documentaire organisée Projet qualité et prévention des risques spécifiques établi Tableau de bord d indicateurs de suivi Nombre de professionnels formés Référent qualité désigné et formé Programme annuel d audits de suivi Groupes de travail constitués Bilan annuel du plan d action qualité Revues de direction à périodicité définie

28 7-10 Formation, information, communication 28 Objectif global Objectifs opérationnels Actions Critères de réussite Délais de mise en œuvre Maintenir et développer les compétences des professionnels Dynamiser les professionnels, plus particulièrement les soignants prochainement recrutés, à adapter leurs compétences aux besoins du poste de travail Mise en place d un plan de formation annuel reposant sur les besoins de formation constatés pour l adaptation de chaque soignant à son poste de travail Formations à prévoir : manutention, informatique, gérontopsychiatrie, accompagnement en fin de vie, alimentation du sujet âgé et du diabétique, démarche et outils qualité, incendie Prévoir un abonnement à la revue de l aide soignante Avoir un accès facilité à internet Entretien annuel d évaluation permettant d identifier les besoins et les souhaits de formation Nombre de professionnels formés et de jours de formation par an Abonnement réalisé et diffusion des revues organisée Utilisation d internet par rapport aux recommandations de bonnes pratiques et à la réglementation

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