Avulsion des. des dents définitives. Diagnostics, aspects cliniques et thérapeutiques
|
|
- Sophie Doré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Avulsion des dents définitives: Diagnostics, aspects cliniques et thérapeutiques Thomas von Arx, Andreas Filippi et Daniel Buser Klinik für Oralchirurgie, Zahnmedizinische Kliniken der Universität Bern Mots clés: traumatisme dentaire, avulsion, flacon de conservation des dents, réimplantation, pose de contention Adresse pour la correspondance: Klinik für Oralchirurgie Zahnmedizinische Kliniken der Universität Bern Freiburgstrasse 7, 3010 Berne tél. 031/ , fax 031/ (Illustrations et bibliographie voir texte allemand, page 731) Etant donné que les traumatismes des dents définitives touchent généralement les incisives de la mâchoire supérieure, l avulsion d une dent touchée a non seulement des conséquences fonctionnelles mais aussi et surtout des conséquences esthétiques. Etant donné qu un traitement prothétique par bridge ou un implant est contre-indiqué chez l enfant ou l adolescent ayant subi une avulsion de dent en raison de la croissance non terminée de la mâchoire, il est très important que la dent expulsée puisse être réimplantée. La problématique de la réimplantation consiste dans le pronostic parodontal à long terme, qui est essentiellement déterminé par les deux facteurs «durée» et «milieu» de la conservation extraorale de la dent expulsée. La réimplantation proprement dite avec la stabilisation par contention de même que les aspects endodontiques influencent la guérison. Le présent article décrit en détail les aspects diagnostics, cliniques et thérapeutiques dans le cas d une avulsion d une dent définitive. Le mode de conservation de la dent dans la période entre l accident et le traitement est également discuté en détail. Les conséquences ultérieures après la réimplantation de dents expulsées seront décrites dans un prochain article. Introduction Des dommages causés à des dents définitives sont très fréquents, surtout chez les enfants et les adolescents, leur nombre augmente ces derniers temps chez les adultes en raison de l évolution des loisirs (sports à risques) (ANDREASEN 1990, BAR- RETT & KENNY 1997a). Il ressort de différentes études épidémiologiques (effectuées à l étranger) que les traumatismes des dents définitives chez les enfants et les adolescents se montent à 20 35% (tab. 1). Il n y a par contre pratiquement pas de données sur le nombre de traumatismes dentaires chez les adultes. Une étude rétrospective sur 7500 personnes entre six et 50 ans de l institut national de recherche dentaire «National Institute of Dental Research» (NIDR) aux USA a été publiée en 1996 (KASTE et al. 1996). Les traumatismes des incisives définitives consécutifs à un accident ont été étudiés à partir d anamnèses et d examens cliniques, mais sans examens radiologiques. Le pourcentage total de traumatismes dentaires se monte à 25% pour le groupe étudié; à 18% dans la tranche d âge de six à vingt ans et à 28% dans la tranche d âge ans. Ces chiffres montrent que, dans 10% environ de la population (américaine), le traumatisme dentaire se produit chez l adulte. Des données épidémiologiques actuelles manquent en Suisse. L avulsion d une dent (également appelée exarticulation ou luxation totale) fait partie des lésions par luxation (ou mieux: lésions par dislocation), qui doivent être différenciées des lésions par fracture ou des lésions combinées fractures-dislocations. Le terme «luxation» implique à tord la présence d une articulation, Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/
2 Tab. 1 Tableau synoptique des études épidémiologiques sur les prévalences des traumatismes dentaires Etude Type d étude nbre de patients Groupe d âge des Prévalence des patients examinés traumatismes dentaires KASTE et al Etude rétrospective; uniquement examen ans 24.9% clinique des incisives et anamnèse, sans (6 20 ans) (18.4%) examen radiologique (21 50 ans) (28.1%) PETTI & TARSITANI 1996 Etude rétrospective; examens clinique ans 20.3% et radiologique BORSSEN & HOLM 1997 Etude rétrospective; anamnèse ans 35% HAMILTON et al Etude rétrospective; examen clinique ans 34.4% sans examen radiologique Tab. 2 Classification TEPAG des lésions de l unité alvéolo-dentaire Tissu Lésions T Tissu dur Lésions (fracture interne, fracture) de l émail et de la dentine E Endodonte Commotion/Contusion/rupture pulpaire; ouverture pulpaire l/tubuli dentinaires P Parodonte Commotion/Contusion/rupture des fibres parodontales A Os alvéolaire Contusion, fragmentation, fracture de la paroi alvéolaire; hémorragie; corps étrangers G Gencive Déchirure, excoriation, plaie contuse; hémorragie; corps étrangers ce qui n est pas le cas dans l organe dentaire. Du point de vue diagnostic et thérapeutique, il est aujourd hui recommandé de compléter cette classification simplifiée par un diagnostic approfondi (classification de TEPAG, tab. 2) des différents tissus endommagés de l unité alvéolo-dentaire (EBELESEDER & GLOCK- NER 1999). Les avulsions représentent 7 23% des lésions par dislocations et sont donc nettement plus rares que les subluxations, les dislocations latérales ou en égression (ANDREASEN 1994). Seules les ingressions sont moins fréquentes que les avulsions. Ce sont dans la majorité des cas les incisives de la mâchoire supérieure qui sont touchées et nettement moins souvent celles de la mâchoire inférieure. La problématique de l avulsion d une dent définitive consiste principalement dans le pronostic (à long terme) parodontal (VON ARX et al. 1998, EBELESEDER et al. 1998). Celui-ci dépend essentiellement de la durée et du milieu de la conservation extraorale de la dent expulsée (ANDERSSON & BODIN 1990, AND- REASEN et al. 1995, BARRETT & KENNY 1997b). De graves complications peuvent survenir si la conservation n est pas effectuée dans les règles ou si elle est prolongée, et empêcher, voire rendre impossible, la guérison parodontale ou le maintien de la dent. Plusieurs auteurs ont donc conseillé de nouveaux concepts thérapeutiques concernant l avulsion de dents définitives (KRASNER & RANKOW 1995, KIRSCHNER et al. 1998, WEIGER et al. 1999). La présente étude décrit les différentes étapes du diagnostic et présente de façon condensée et aussi proche que possible de la pratique les nouveaux aspects ressortant de la recherche. Diagnostic Le diagnostic d une avulsion de dent doit avoir lieu selon le schéma expérimenté: anamnèse examen diagnostic. Un diagnostic ou un diagnostic provisoire sur les différents tissus endommagés de l unité alvéolo-dentaire est établi à partir de l interrogatoire et du premier examen. Anamnèse Dans le cas d un traumatisme dentaire, l anamnèse sur l accident est essentielle. Le patient ou les témoins sont interrogés sur le lieu, l heure et la cause (où, quand, comment). Les questions sur l état général (voir ci-après) dans la période entre l accident et l examen et naturellement sur l endroit et le mode de conservation de la dent expulsée sont également importantes. L anamnèse sur l accident doit être complétée d une anamnèse de médecine générale (anamnèse de risques) pour recueillir des informations sur les maladies, les traitements médicaux et les médications. Il faut également s assurer de la qualité de l immunisation contre le tétanos et le cas échéant la compléter (voir thérapie). Une anamnèse de la médecine dentaire lors d une lésion dentaire est également importante; il faut en particulier tenir compte des traitements parodontaux en cours ou prévus ainsi que des traitements reconstructifs et orthopédiques dentofaciaux lors du choix de la thérapie. Examen extraoral Lors de l examen extraoral, l état général du patient doit être tout d abord évalué. Lors d accidents à la tête, il faut tout d abord exclure la présence de lésions centrales du cerveau. Dans le cas d une perte de connaissance (somnolence, amnésie), de vomissements ou de forts maux de tête, une commotion cérébrale (Commotio cerebri) doit être absolument envisagée. Des saignements par le nez ou les oreilles, une réaction de la pupille partant unilatéralement ou des problèmes de prises de conscience ou d expression peuvent être des indications d une blessure crânienne ou d une lésion céphalique. En présence de signes cliniques et/ou anamnétiques d une autre blessure très grave, le patient doit être immédiatement mené chez le médecin de garde ou à l hôpital. La thérapie de la médecine dentaire se limite dans de tels cas au plus urgent et doit être différée. Lors de l examen extraoral, il faut noter les blessures, saignements, tuméfactions, asymétries et déplacements dans la zone craniofaciale). Un examen neurologique simple des principaux nerfs du visage est de même indiqué (N. facialis, N. trigeminus). La mobilité de la mâchoire inférieure doit être en outre contrôlée (ouverture de la bouche, pro- et latérotrusion). Ceci apporte d importantes informations sur une éventuelle fracture maxillaire (région condylienne); fracture qui n est pas rare après une chute sur le menton. Examen endobuccal L examen endobuccal, en général après un traumatisme dentaire, comprend le contrôle visuel, la palpation, la transillumination, le test de percussion, le périotest, et le test de sensibilité (tab. 3). Lors d un examen endobuccal, l état des dents (numé- 740 Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/2000
3 Avulsion des dents définitives Tab. 3 Examens endooraux des tissus endommagés selon la classification TEPAG TEPAG Contrôle Palpation Trans- Test de Test de Périotest Radiographie illumination sensibilité percussion Tissu dur de la dent x x x x Endodonte x x Parodonte x x x x x Os alvéolaire x x x Gencive x rique) est d abord relevé et chez les enfants la phase d évolution de la dentition notée. Les lésions dentaires sont ensuite examinées avec précision et celles des différents tissus de l unité alvéolo-dentaire notées selon la documentation TEPAG (détails, voir aspects cliniques). Les dents voisines et antagonistes apparemment non touchées doivent être également examinées. Un contrôle de la gencive et des tissus mous éloignés des dents doit être également effectué (plaies contuses, excoriations, saignements, corps étrangers, perforation des lèvres, etc.) (fig. 1). La présence de lésions de l os maxillaire (déplacement, séquestres, fragments d os, etc.) doit être également examinée et identifiée. Examen radiologique Lors de traumatismes dentaires, la radiographie de chaque dent est préférée (fig. 2). Dans le bloc incisif supérieur dans lequel les lésions dentaires sont les plus fréquentes, un cliché occlusal du maxillaire supérieur, en tant qu image de deux niveaux, fournit souvent des informations complémentaires. Des radiographies de la boîte crânienne ou panoramiques ne sont indiquées que si les lésions dentaires sont étendues ou si l on suppose une fracture maxillaire ou crânienne. Il en est de même pour la tomographie conventionnelle par ordinateur. Des tomographies séparées oro-faciales peuvent être utiles dans certaines indications; par exemple lors de fractures verticales des racines. Documentation photographique Pour des questions médico-légales ou d assurances, il est judicieux de conserver au moins les examens photographiques initiaux (fig. 3). Lors de contrôles ultérieurs, en particulier lors d un suivi sur plusieurs années, d autres clichés sont utiles pour la documentation d évolutions importantes. Aspects cliniques Comme il l a déjà été mentionné, en traumatologie moderne, non seulement les lésions dentaires ne doivent plus être uniquement décrites selon leur type de fracture ou dislocation mais aussi les lésions des différents composants de l unité alvéolodentaire doivent être documentées. Les examens cliniques d une lésion par avulsion sont décrits ci-dessous à l aide de la classification TEPAG. L avulsion d une dent est définie comme séparation totale du système d attache de la dent, celle-ci étant peut-être encore mobile dans l alvéole (à différencier dans ce cas de l expulsion), mais le plus souvent totalement extraite de l alvéole. Tissu dur de la dent (TEPAG) Lors d une avulsion, la présence de lésions simultanées du tissu dur de la dent est plutôt rare car un choc est en règle générale à l origine de la lésion traumatique. Si le tissu dur de la dent présente tout de même une lésion, il faut enregistrer exactement son étendue et son allure. Dans le cas de petites particules manquantes, une dislocation dans l alvéole ou dans les blessures des parties molles (généralement lèvre inférieure, plus rarement lèvre supérieure ou langue) doit être écartée. Endodontie (TEPAG) Le mécanisme de la lésion entraîne une ouverture pulpaire totale dans la zone du Foramen apical. En fonction du niveau de maturité de la racine ou de l apexification, la forme exposée de la pulpe est de pointue à plate (fig. 4). Lors d une fracture simultanée de la dentine dans la zone coronale, de nombreux tubuli dentinaires sont ouverts. Parodonte (TEPAG) Les fibres parodontales sont totalement rompues lors d une avulsion, c est pourquoi, une expulsion généralement complète de la dent de l alvéole en résulte. Des fragments du tissu parodontal couvrent la surface radiculaire (fig. 5) ainsi que la paroi alvéolaire. L état du desmodonte résiduel sur la surface radiculaire est déterminé essentiellement par la durée extraorale et par le moyen de conservation (voir aspects thérapeutiques). Os alvéolaire (TEPAG) Après une dislocation totale de la dent, l alvéole est en général remplie d un caillot de sang (fig. 3). Une fracture ou une fragmentation de la paroi alvéolaire sont relativement rarement observées lors de l avulsion d une dent; il faut par contre envisager un étirement ou un écrasement de l os. L os alvéolaire présente une certaine élasticité justement chez les jeunes patients, ce qui s oppose à une fissuration ou à une fracture de l os. Gencive (TEPAG) La dent s arrache de la gencive dans la région de l attache supracrestale. La gencive reste toutefois en règle générale encore liée à l os alvéolaire. Des ruptures des papilles interdentaires sont plus courantes (fig. 3). Dans le cas d un arrachement ou d une fracture de la paroi alvéolaire faciale, la gencive peut présenter des fissures verticales. Aspects thérapeutiques Etant donné que le pronostic d une dent définitive expulsée dépend essentiellement de la prévention des infections ou des régénérations pulpaire et parodontale, ces deux facteurs et l état des tissus sont essentiels pour la thérapie. Dans l intervalle de temps entre l accident et le traitement, la prévention de l infection et les régénérations pulpaire et parodontale dépendent de deux facteurs: (1) le temps et (2) le milieu de conservation. Etant donné que des complications au niveau du tissu pulpaire peuvent être en général évitées par des mesures endodontiques dans les 10 jours après l accident (trépanation et produits médicamenteux ou traitement primaire du canal radiculaire), l atten- Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/
4 tion se porte aujourd hui surtout sur les mesures qui favorisent la guérison parodontale ou la régénération des ligaments parodontaux. Ceci dépend principalement du taux de survie des cémentoblastes de la surface radiculaire. Il faut donc tout entreprendre pour protéger ces cellules et assurer leur survie. Si la dent reste plus de 30 minutes à l air ou si elle est conservée dans un milieu inadapté, les cellules ligamentaires meurent, entraînant une réduction importante de la capacité de régénération parodontale. L idéal serait une réimplantation immédiate de la dent expulsée dans l alvéole. Il n est pas évident que l on puisse attendre du patient ou du profane présent de se conformer à une telle recommandation. Le risque d introduire des impuretés dans l alvéole n est pas non plus exclu. La conservation de la dent dans la cavité buccale (dans le vestibule ou sous la langue) sur le trajet jusqu au cabinet médical n est plus conseillée en raison des risques d ingestion ou d inhalation d une part et des risques de contamination par les micro-organismes de la cavité buccale d autre part. Ces derniers provoquent une rapide altération et une détérioration des cémentoblastes. Milieux de conservation L immersion de la dent dans de l eau est uniquement une solution d urgence très limitée dans le temps: l eau n est pas isotonique; les cellules de la surface radiculaire (cémentoblastes, fibroblastes parodontales) ainsi que la pulpe (odontoblastes) «éclatent» sous la différence de pression osmotique. Il ne peut donc en principe pas être conseillé de conserver la dent dans de l eau. Les solutions de lactate de Ringer ou de sérum physiologique stérile sont plus appropriées mais ne se trouvent généralement qu en pharmacies, cliniques ou cabinets médicaux (dentaires). Ils assurent par isotonie une plus longue survie des cellules, mais ne constituent pas un milieu nutritif des cellules. La conservation dans ces milieux est donc limitée à 2 3 heures. Le lait, souvent disponible, du moins lors d accidents domestiques, possède de nettement meilleures propriétés (ASHKENAZI et al. 1999). Le lait est comparativement isotonique et est un milieu suffisamment nutritif pour permettre une survie des cellules jusqu à 6 heures (NASJLETI et al. 1975, BLOMLÖF 1981, TROPE & FRIEDMAN 1992). Il est néanmoins important d employer du lait froid et de préférence du lait stérilisé UHT (ultra haute température) (LEKIC et al. 1996). Ce dernier ne contient pas de micro-organismes qui modifieraient le ph par leur rapide multiplication, rendant ainsi le milieu toxique pour les cellules. Le lait froid a l avantage de ralentir la rapide multiplication des bactéries amenées avec la dent. Si d autres sortes de lait, comme le lait cru ou le lait pasteurisé, sont employées, la durée de survie des cellules est nettement raccourcie car la diminution du ph induite par les bactéries est un facteur limitateur du lait. Chez les enfants et les adolescents, il est particulièrement important d assurer la survie physiologique de la dent. Il n y a aucune alternative définitive à la réimplantation dans l os maxillaire en pleine croissance. En effet, un remplacement permanent de la dent ou un implant ne peuvent être réalisés que lorsque la croissance est terminée. Une détérioration étendue des cellules de la surface radiculaire entraîne souvent une ankylose de la dent avec résorption externe radiculaire consécutive (type résorption de remplacement), qui peut avoir pour conséquence non seulement la perte de la dent mais aussi un trouble local encore plus grave de conséquence de la croissance de l os maxillaire. Les dents concernées paraissent cliniquement «plus courtes» car la croissance verticale des dents voisines intactes continue avec la croissance de la mâchoire. En outre, l énorme préjudice économique avec les coûts consécutifs globaux après la perte accidentelle d une dent n est pas la moindre des conséquences. Flacon de conservation de la dent Le flacon de conservation de dent DENTOSAFE (Société Medice, Iserlohn, Deutschland, Distribution en Suisse: Société Mephem, Baar) (fig. 6) a été développé après une importante recherche fondamentale afin d optimiser la survie de dents expulsées et d améliorer, pour le transport des dents, la disponibilité des milieux physiologiques à l école, dans les salles de sport ou de jeux mais aussi à la maison (KIRSCHNER et al. 1992, KIRSCHNER et al. 1998, POHL et al. 1999). Le DENTOSAFE contient un milieu physiologique nutritif des cellules, développé auparavant pour la transplantation des tissus des îlots (pancréas) lors de diabète mellitus type-i, un système tampon complexe, sous forme modifiée pour une application en médecine dentaire, pour la stabilisation du ph et un indicateur de couleur qui colore en jaune le milieu rose lorsque le ph diminue dans une plage toxique pour les cellules (tab. 4). Le flacon de conservation de dent garantit la survie des cémentoblastes et des odontoblastes jusqu à 25 heures à la température ambiante. Selon les données du fabricant, il n est pas recommandé de conserver le milieu dans le réfrigérateur. Si, dans des cas isolés, la dent expulsée doit être conservée extraoralement plus longtemps, elle peut être mise après 25 heures dans un nouveau flacon de conservation: il est ainsi possible de la conserver 50 heures au total. La manipulation du flacon de conservation est simple. La dent expulsée est simplement mise dans le flacon, sans opération complémentaire, et le couvercle vissé. Bien que la durée de survie des cellules soit longue, il faut immédiatement consulter un médecin-dentiste. Le milieu nutritif du flacon de conservation permet néanmoins de consulter en premier lieu un médecin ou de se rendre au service d urgence dans le cas d autres blessures graves. Des périodes prolongées peuvent ainsi être couvertes sans que le pronostic sur l évolution favorable de la dent expulsée ne soit modifié. Comparé à une réimplantation immédiate, la mise de la dent expulsée dans un tel milieu nutritif spécial semble même améliorer le pronostic à long terme (KRASNER & PERSON 1992, TROPE & FRIEDMAN 1992, KRASNER & RANKOW 1995, KIRSCHNER et al. 1998). Le flacon de conservation de dent DENTOSAFE peut être conservé à la température ambiante pendant trois ans (date de péremption). Les écoles, les piscines et les halls de sports d Allemagne et d Autriche, sont pourvus de flacons de conservation. Les surveillants et les professeurs sont ainsi devenus nettement plus conscients des risques d accidents dentaires, la conservation pour la survie de la dent a été optimisée et les coûts en résultant (parfois à vie) des assurances accidents ont été nettement diminués. Alors que la distribution dans les équipements publics cités n est jusqu à présent que partielle en Allemagne, toutes les écoles primaires autrichiennes sont pourvues de flacons Tab. 4 Composition du milieu nutritionnel du flacon de conservation DENTOSAFE Milieu RPMI* (= substance de base) Sel anorganique Acides aminés Glucose Vitamines Tampon et indicateur (ph) * Roswell Park Memorial Institute 742 Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/2000
5 Avulsion des dents définitives de conservation. La distribution globale dans les centres sportifs et les piscines doit avoir lieu dans les prochains mois. Les études actuelles, menées à Francfort, attestent le succès de cette méthode de conservation des dents (FILIPPI et al. 1999). Marche à suivre sur le lieu de l accident Mettre le plus rapidement possible la dent dans le flacon de conservation. En l absence de flacon, la conserver dans du lait froid (sortant du réfrigérateur) ou dans de l eau froide (ne pas ajouter de sel ni autre substance) comme solution d urgence. La dent ne doit être saisie que par la couronne en préservant le collet de la dent et la surface radiculaire. Le nettoyage mécanique de la racine souillée est obsolète. Le patient doit ensuite immédiatement se rendre chez un médecin-dentiste. Marche à suivre dans un institution médicale mais non dentaire La dent expulsée apportée par le patient est immédiatement mise dans un flacon de conservation dans la mesure où cela n a pas encore été fait, ou, si aucun n est disponible dans une solution stérile de sérum physiologique ou dans une solution de Ringer (0.9%). Saisir et nettoyer la dent selon les conseils mentionnés ci-dessus. Le patient est alors envoyé chez un médecindentiste pour la suite du traitement. Marche à suivre chez un médecin-dentiste La dent expulsée apportée par le patient est immédiatement mise dans un flacon de conservation si elle n a pas été transportée ainsi. Etant donné qu une conservation de la dent dans le flacon améliore plutôt le pronostic de l évolution (voir ci-dessus), un examen de la dent expulsée peut être effectué sans contrainte de temps et le plan thérapeutique établi. L unité alvéolo-dentaire traumatisée est soignée selon la procédure suivante «os alvéolaire gencive parodonte endodonte». Os alvéolaire Si un caillot se trouve dans l alvéole, celui-ci doit être retiré avec précaution avant la réimplantation afin de libérer la place de la racine. L alvéole est nettoyée par rinçage, elle ne doit jamais être curetée. Les parties du ligament parodontal adhérant encore à la paroi alvéolaire sont ainsi conservées. Les impuretés et les fragments d os sont retirés à l aide d une pincette fine, d une pincette à esquille par exemple. Les parties d os encore fixées par le périoste ne doivent pas être enlevées. Les fragments d os côté buccal sont délicatement replacés avec une légère pression digitale prudente. Gencive Les plaies de la gencive sont nettoyées et rincées. Les souillures peuvent être retirées à l aide d instruments adaptés tels qu excavateurs, pincettes à esquille, petites cuillers dentaires et à l aide de solutions stériles de rinçage (solution de sérum physiologique ou solution de Ringer). Si nécessaire, la plaie peut être suturée à l aide de points. Les papilles rompues doivent être suturées. Les petites fissures de la gencive ne nécessitent généralement aucun point de suture. Il faut veiller à un arrêt suffisant du saignement pour la pose ultérieure d une contention. Parodonte Le traitement parodontal initial consiste au maintien en vie des cémentoblastes adhérant à la surface radiculaire par une conservation humide dans un milieu physiologique de cellules. La dent expulsée ou la surface radiculaire sont traitées en fonction de la durée et du type de conservation extraalvéolaire de la dent et compte tenu des facteurs endodontiques. La dent est ensuite réimplantée ou stabilisée à l aide d une contention filcomposite. La contention s étend si possible de chaque côté de la dent à réimplanter sur une à deux dents non mobiles. Le fil de la contention (fil carré, contention boucle selon Krenkel) doit être coupé et appliqué contre les surfaces coronales faciales de façon à ce qu il soit totalement passif (fig. 7 et 8). La dent expulsée est alors replantée avec précaution. Un premier contrôle de l occlusion doit être alors effectué. Les surfaces coronales buccales sont ensuite mordancées à l acide phosphorique à 37% pendant 30 secondes puis rincées pendant une minute à l eau et séchées avec précaution par soufflage. La contention est tout d abord fixée sur les dents à l extrémité puis sur les dents immédiatement voisines par application de composite polymérisant à la lumière. La dent expulsée est fixée en dernier tout en contrôlant l occlusion. Outre à la stabilité, avec une certaine mobilité, de la dent replantée, il faut veiller à l accessibilité du parodonte marginal et des espaces interdentaux pour un entretien dentaire optimal. Une contention à «brackets» (bagues) est une alternative, son application dans la bouche est relativement simple (fig. 9). Le fil souple de maintien est posé, croisé en huit, autour de la bague à «bouton». Une précourbure intrabuccale du fil n est pas nécessaire. L extrémité du fil et les bagues sont ensuite couverts de composite polymérisant à la lumière. Endodonte Les surfaces exposées de la dentine sont couvertes de Ca(OH)2, même si la dent doit être trépanée ultérieurement. Ceci permet d éviter la pénétration de bactéries et de toxines par les tubuli dentinaires ouverts. Si une thérapie endodontique (traitement du canal radiculaire) est indiquée, celle-ci doit avoir lieu dans les sept à dix jours. Un traitement rétrograde immédiat extra-oral du canal radiculaire peut être indiqué dans certains cas (ZIM- MERMANN et al. 1991, FILIPPI & KIRSCHNER 1992). La trépanation doit être effectuée avant le retrait de la contention afin de ne pas altérer la guérison parodontale. Il est par ailleurs indiqué dans la littérature que des obturations temporaires de Ca(OH)2 perturbe la régénération parodontale dans la phase initiale (1 3 semaines) (risque élevé d ankylose avec résorption de remplacement) et qu il faut donc recourir à une pâte corticostéroïde antibiotique (Ledermix, Lederle, Zug) (VANDERAS 1993, GREGO- RIOU et al. 1994). L obturation peut être changée après la guérison parodontale par du Ca(OH)2. Médication Une antibiose systématique est en règle générale conseillée lors d une avulsion traumatique (préparation amoxycilline ou tétracycline). L efficacité d une telle préparation sur la régénération est toujours contestée (contrairement à l application locale). L antibiose a également une importance prophylactique (locale et du système) en raison de l éventuelle propagation de microorganismes de la racine contaminée (pulpe et surface radiculaire) via les vaisseaux sanguins alvéolaires ouverts. Des préparations de paracétamol suffisent généralement contre la douleur. Une solution à 0,1% de chlorhexidin-digluconate est conseillée en complément de l hygiène buccale mécanique. Des applications humides-froides pendant 2 à 3 jours pour diminuer les tuméfactions contribuent au bien-être du patient. En ce qui concerne l alimentation, il faut éviter des aliments particulièrement durs. Il faut également éviter la prise exclusive d aliments en purée ou mous pour des raisons fonctionnelles et pour Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/
6 empêcher une accumulation excessive de plaque dentaire. Le patient doit de plus être informé sur l hygiène de la contention pour ne pas compromettre la guérison parodontale. Tétanos L immunisation (active) de base des nouveau-nés contre le tétanos est effectuée en Suisse par les pédiatres en trois injections, respectivement à l âge de deux, quatre et six mois (O.F.S.P. 1996). Des rappels sont effectués à 15 mois, à sept ans et à douze ans. Un rappel tous les 10 ans est ensuite suffisant. Si le patient a été vacciné selon ce calendrier, une injection contre le tétanos ne doit être effectuée que si le dernier rappel date de plus de cinq ans. Si l immunisation de base n est pas correcte, le patient doit contacter le médecin (pédiatre) traitant. Etant donné que le temps d incubation du tétanos est de trois jours au minimum, en général de 10 jours, il est inutile de se précipiter pour effectuer le traitement. Le contrôle sur l immunisation contre le tétanos par le médecin-dentiste est très important pour des raisons médico-légales. après la réimplantation ou la pose de la contention. La thérapie endodontique décrite ci-dessus peut commencer sept à dix jours après. La contention en composite-fil ou à bagues doit être également retirée après cette période, elle reste donc in situ deux semaines au maximum. Des contrôles cliniques et radiologiques réguliers, après trois et six semaines, puis après trois, six et douze mois sont indiqués après une avulsion traumatique. Il faut plus particulièrement surveiller l apparition éventuelle de phénomènes inflammatoires périradiculaires et de résorptions radiculaires internes ou externes. En ce qui concerne les altérations de la pulpe, un vrai contrôle de la vitalité (flowmétrie laserdoppler), c.-à-d. un contrôle de la (re)vascularisation du tissu pulpaire constituera à l avenir un grand progrès. Les méthodes d examens correspondantes ne sont actuellement pas encore suffisamment éprouvées pour une application pratique. Les éventuelles conséquences ultérieures, ainsi que leurs diagnostics et thérapies, après une réimplantation d une dent définitive expulsée seront décrites en détail dans un prochain article. Suivi Le suivi initial doit être intensif afin de détecter et de traiter rapidement une éventuelle infection. Ceci signifie que le patient doit être convoqué pour un premier contrôle deux à trois jours 744 Rev Mens Suisse Odontostomatol, Vol 110: 7/2000
Cavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailBrochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.
Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailRÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC
RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC TABLE DES MATIÈRES ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailRégime d assurance collective
Régime d assurance collective Assurance vie de base (participation obligatoire) 3 mois de service actif Fin d emploi Montant assuré (arrondi au multiple supérieur de 500 $) Employé actif (cadres, professeurs,
Plus en détailInformation pour le patient
Information pour le patient Plus de qualité de vie avec des implants dentaires SWISS PRECISION AND INNOVATION. 1 Table des matières Quelle est l importance des dents pour notre qualité de vie? 4 Qu est-ce
Plus en détailQUELS SONT LES FRAIS COUVERTS?
Vous avez demandé la couverture au titre de l assurance dentaire. Le Conseil de la rémunération et des nominations dans les collèges (le Conseil) peut modifier aux moments opportuns le régime d'assurance
Plus en détailLa CCAM pour l activité bucco-dentaire. Cahier d exercices. au quotidien, quelques exemples
La CCAM pour l activité bucco-dentaire Cahier d exercices au quotidien, quelques exemples Obturation 3 faces sur 46 NGAP Cavité composée, traitement global intéressant trois faces et plus SC 17 CCAM HBMD038
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailCentre desoins Dentaires 1/5
2.1.3. PRESTATIONS CENTRE DE SOINS DENTAIRES 2.1.3.1. PRESTATIONS ODONTOLOGIQUES (decision 02/05/12) - tarif 2013 *à chaque fois qu'il y aura métal précieux et/ou usinage, cela sera facturé en supplément
Plus en détailsoins dentaires CCAM Base du remboursement
soins dentaires CCAM Base du remboursement Consultation C 23,00 Radiographie panoramique HBQK002 21,28 Détartrage et polissage des dents HBJD001 28,92 Inlay/onlay sur 1 face Inlay/onlay sur 2 faces Inlay/onlay
Plus en détailIMPLANTS DENTAIRES. Informations destinées aux patientes et aux patients
FONDATION IMPLANTS SUISSE POSTE DE DOCUMENTATION c/o Secrétariat SSIO/SSOS Marktgasse 7 3011 Berne Téléphone +41 (0)31 311 94 84 Téléfax +41 (0)31 312 43 14 dok@fondationimplants.ch www.fondationimplants.ch
Plus en détailDESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES
Frais admissibles DESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES Les frais admissibles sont les frais raisonnablement engagés, recommandés par une ou un dentiste et justifiés par la pratique courante
Plus en détailRetrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients
Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailTraumatologie en odontostomatologie du sport
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.
Plus en détailLes cas implantaires que nous
Cabinet Laboratoire Dents artificielles et prothèses implantaires en 24-48 heures C. SIREIX, V. SIREIX Prothésistes dentaires C. RISPAL Chirurgien-dentiste Quelles dents artificielles utiliser? Comment
Plus en détailRÉSUMÉ DU PROGRAMME. Mars 2014 - Police n o 31943
Prix compétitifs Couverture à valeur ajoutée Service personnalisé RÉSUMÉ DU PROGRAMME Mars 2014 - Police n o 31943 Programme d assurance de l Association québécoise des informaticiennes et informaticiens
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailRÉSUMÉ DU PROGRAMME. Octobre 2014 - Police n o 53072. Programme d assurance de l Association des jeunes médecins du Québec, administré par
Prix compétitifs Couverture à valeur ajoutée Service personnalisé RÉSUMÉ DU PROGRAMME Octobre 2014 - Police n o 53072 Programme d assurance de l Association des jeunes médecins du Québec, administré par
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 3 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,60 = = 37
Plus en détailLA BONNE PROPHYLAXIE DES DENTS SAINES, UNE VIE DURANT
CHEF DE FILE EN BROSSESÀ DENTS CHEF DE FILE EN BROSSETTES INTERDENTAIRES CHEF DE FILE EN ÉDUCATION LA BONNE PROPHYLAXIE DES DENTS SAINES, UNE VIE DURANT Un savoir qui motive Un savoir-faire qui assure
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailRÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC
RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC TABLE DES MATIÈRES ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le tourisme dentaire Des informations pratiques dont vous aurez besoin avant de partir vous faire soigner les dents en Hongrie E-BOOK GRATUIT 1. INTRODUCTION
Plus en détailKIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS
KIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS KIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS Soins et nettoyage d implant Les implants peuvent résister toute une vie De nouvelles dents peuvent représenter une amélioration de
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailOptez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive.
Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive. La préparation d un canal est souvent une opération complexe pour le dentiste. Le mouvement technologique Adaptive relève cependant
Plus en détailRetrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel.
Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel. La Valeur d un Sourire 2 Qu est ce qu un implant dentaire? 3 Comparaison entre implant et dent naturelle
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICO-DENTAIRES
TRAITEMENTS MEDICO-DENTAIRES LES PRESTATIONS POUR SOINS DE MEDECINE DENTAIRE Dispositions communes 1. L intervention de la CMCM se limite aux prestations pour soins de médecine dentaire prévues aux tarifs
Plus en détailRecherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T
lexiquedentaire Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T A Adjointe Prothèse adjointe : Prothèse amovible, totale ou partielle, caractérisée par la présence d une plaquebase ; Amovible Prothèse
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDOCUMENT D AIDE À LA FACTURATION CHIRURGIENS DENTISTES
DOCUMENT D AIDE À LA FACTURATION CHIRURGIENS DENTISTES TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 1 ADMISSIBILITÉ DE LA PERSONNE ASSURÉE... 4 1.1. PRESTATAIRE D UNE AIDE FINANCIÈRE DE DERNIER RECOURS Ministère
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailDESCRIPTION DES SOINS DENTAIRES ET OCULAIRES. assuré par. Contrat 5492 Participants actifs
DESCRIPTION DES SOINS DENTAIRES ET OCULAIRES assuré par Contrat 5492 Participants actifs En vigueur le 2 avril 2010 DESCRIPTION SOMMAIRE SOINS DENTAIRES Frais de prévention (ex. : examen, radiographie,
Plus en détailL hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée
L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10
Plus en détailLe domaine d'activité de l'odontologiste médico-légal
Le domaine d'activité de l'odontologiste médico-légal définition et historique Docteur Anne BECART (IML de LILLE) ODONTOLOGIE LEGALE Sommaire rôle de l'odontologiste dans l'équipe médico-légale identification
Plus en détailDépartement de chirurgie dentaire Service de parodontologie Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie
Université BADJI Mokhtar Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Faculté de Médecine Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie Introduction : 1. Définitions 2. Objectifs 3. Classification
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Inscription de l activité : / Type d autorisation : Agrément délivré par la Direction des Services de Santé de la Wilaya
FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Chirurgie Dentaire Codification NAA : NN8514 Codification ONS : 85.12 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC : /
Plus en détailUNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE. 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE
UNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE Dr M.ZAGHEZ Polycopie de Parodontologie http://zaghez.net76.net/ 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,31 = = 37
Plus en détailProfil professionnel
Profil professionnel Contenu 1. Introduction 5 2. La profession en bref 7 3. Cahier des charges et compétences 8 d une hygiéniste dentaire dipl. ES 4. Exigences posées à l hygiéniste dentaire dipl. ES
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailBACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE
BACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE Session 2014 EPREUVE E2 EPREUVE TECHNOLOGIQUE SOUS-EPREUVE E21 TECHNOLOGIE PROFESSIONNELLE ET DESSIN MORPHOLOGIQUE Durée : 5 heures Coefficient : 4 Le sujet
Plus en détailAppareil d expansion palatine
Appareil d expansion palatine Les types de problèmes orthodontiques causés par un manque de croissance en largeur du palais sont plutôt fréquents. Dans certains cas, on constate un manque d'espace pour
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailUniversité Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016
Université Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016 Orthodontie Ma. 07/07/2015 Je. 09/07/2015 Ve. 10/07/2015 Sa. 11/07/2015
Plus en détailFAQ CLEARFIL SE BOND. Pagina 1 van 5
FAQ CLEARFIL SE BOND 1. Quels sont les avantages des systèmes automordançants? 2. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus utilisé? 3. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus étudié?
Plus en détailManuel pour l examen spécialisé SSRD
Swiss Society for Reconstructive Dentistry Schweizerische Gesellschaft für Rekonstruktive Zahnmedizin Société Suisse de Médecine Dentaire Reconstructive Società Svizzera di odontoiatria Ricostruttiva En
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailPAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire
PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailLA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE
Programme de formation dentaire continue 2011-2012 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Dre Stéphane R. Schwartz ou Dr Duy-Dat Vu 1 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Introduction Tous les cours en dentisterie pédiatrique
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailÀ L A D I S P O S I T I O N D E S M E M B R E S D E S Y N D I C A T S A F F I L I É S À L A C E N T R A L E D E S S Y N D I C A T S D U Q U É B E C
R É G I M E C O M P L É M E N T A I R E 1 D E S O I N S D E N T A I R E S J À L A D I S P O S I T I O N D E S M E M B R E S D E S Y N D I C A T S A F F I L I É S À L A C E N T R A L E D E S S Y N D I C
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64
ÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64 SSQ, Société d assurance-vie inc. 90 Dispositions générales Le présent document décrit les dispositions contractuelles en vigueur le 1 er janvier 2009. Catégorie
Plus en détailFoire aux questions Régime d assurance étudiante
Foire aux questions Régime d assurance étudiante 1- Qu est-ce que couvrent les soins de santé et à quel pourcentage? 2- Qu est-ce que couvrent les soins dentaires et à quel pourcentage? 3- Combien coûte
Plus en détailRÉSUMÉ DU PROGRAMME. Mars 2011 - Police n o 0375. Programme d assurance du Barreau de Montréal, administré par. Prix compétitifs. Service personnalisé
Prix compétitifs Couverture à valeur ajoutée Service personnalisé RÉSUMÉ DU PROGRAMME Mars 2011 - Police n o 0375 Programme d assurance du Barreau de Montréal, administré par Bleu CMYK 100, 5, 0, 47 RGB
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailRÉGIME D ASSURANCE SANTÉ FSSS-FP (CSN)
Cette version électronique de l assurance soins dentaires est tirée du Régime d assurance collective à l intention des personnes salariées du secteur de la Santé et des Services sociaux FSSS-FP (CSN).
Plus en détailListes des actes CCAM paramétrés sous JULIE
J_Obturations CCAM s de C2F1 HBMD050 SC 14 Restauration d'une dent d'un secteur incisivocanin sur 2 faces par matériau inséré en phase plastique sans ancrage radiculaire 33.74 N (ZZLP025, HBQK061) C2F2
Plus en détailOn constate couramment la position. Luxations volontaires. et mobilisation. mésioversées. de dents postérieures. chirurgie
1 2 Luxations volontaires et moilisation e ents postérieures mésioversées François Barruel, Eva Ameisen On sait epuis longtemps que les molaires inférieures, ans les cas e ysharmonie ento-maxillaire, ont
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailNOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO
NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO ARRETE MINISTERIEL N 84-688 DU 30 NOVEMBRE 1984 MODIFIE PAR : L Arrêté Ministériel n 98-633 du 21 décembre 1998 L Arrêté Ministériel
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailSe sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie.
Se sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie. Évitez-vous de sourire parce qu'il vous manque une ou plusieurs dents? À quand remonte la dernière fois où vous avez croqué
Plus en détailD.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016)
D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) 1 er Séminaire : UE 1 : Les maladies parodontales : étiopathogénie, diagnostic et plan de traitement. UE 2 : La phase étiologique de la thérapeutique
Plus en détailDents et Résines. www.sid-dental.com
www.sid-dental.com Pendant des siècles, les hommes ont tenté de substituer leurs dents manquantes par des matériaux les plus divers tels que l ivoire, l or et même le plâtre. Ce n est qu au début du 20ème
Plus en détailFluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation
Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation Auteurs_ Pr. Irina K. Lutskaya, Dr Natalia V. Novak & Valery P. Kavetsky, République de Biélorussie Fig. 1 Fig. 2 Fig. 1_Revêtements
Plus en détailPourquoi des soins dentaires scolaires? Les objectifs des soins dentaires scolaires
Pourquoi des soins dentaires scolaires? Dans tous les cantons des lois, des ordonnances et des décrets régissent l organisation et la mise en œuvre des soins dentaires scolaires; il s agit pour partie
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détail1) Indemnité horo-kilométrique par km DK1 0,47 2,30
TARIFS DE LA NOMENCLATURE DES ACTES ET SERVICES DES MEDECINS-DENTISTES TENANT COMPTE DE L'ARTICLE 4DES DISPOSITIONS FINANCIERES DE LA LOI DU 17 DECEMBRE 2010, PAR DEROGATION A L'ARTICLE 65 DU CODE DE LA
Plus en détailImplants dentaires. Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES
Implants dentaires Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES Introduction La réussite d une thérapeutique implantaire
Plus en détailPrestations. 1. Implantologie
1 Prestations 1. Implantologie 1.1. Remplacement de 5 différents systèmes d implantation adaptés aux exigences spécifiques des patients (implantation osseuse, esthétique, Risques médicaux généraux etc.)
Plus en détailZENOTEC Instructions de préparation
ZENOTEC Instructions de préparation Matériau et indication Esthétique exceptionnelle grâce à l oxyde de zirconium de WIELAND L oxyde de zirconium a fait ses preuves depuis plus de dix ans comme matériau
Plus en détailLe sport canin: les revers de la médaille
07 2011 InfoChiens COUP D ŒIL 25 Le sport canin: les revers de la médaille Les mouvements rapides sans échauffement préalable peuvent provoquer des blessures musculaires comme par exemple un claquage du
Plus en détailASSURANCE DES SOINS DENTAIRES. Votre numéro de groupe est 67100
ASSURANCE DES SOINS DENTAIRES Votre numéro de groupe est 67100 Table des matières Introduction.............................................................. 1 Admissibilité.............................................................
Plus en détailCodes dentaires, sujets à changements sans préavis.
Codes dentaires, sujets à changements sans préavis. PARTIE 1 DENTISTE GÉNÉRALISTE 00011 Exam. buccal pour les patients âgés de 3 ans et moins 01601 Examen général/diagnostic, chirurgie 01101 Examen complet/diagnostic,
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailRégime Assurance Dentaire d ero/rto
Régime Assurance Dentaire d ero/rto LIENS RAPIDES Quand est-ce que les protections entrent en vigueur? Quelle est l'étendue des garanties? Qu'est-ce qui n'est pas couvert? Comment présenter une demande
Plus en détail