Un climat des affaires conforté

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1 JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée par une meilleure utilisation des capacités de production. Ce bilan est le plus favorable dans les services aux entreprises, l industrie, pour les entreprises exportatrices et les PME de 50 salariés et plus. Il s améliore pour le commerce de détail et le transport. Globalement, les difficultés de trésorerie se tassent, même si on enregistre quelques tensions pour des secteurs dont l activité a redémarré. Si le manque de confiance sur la situation économique générale reste majoritaire, la tendance au pessimisme marque néanmoins un nouveau recul. Les perspectives à court terme et pour l ensemble de l année tendent également globalement à s améliorer. Elles restent néanmoins prudentes et apparaissent hétérogènes selon les secteurs. Cette embellie relative de la conjoncture présente pour l instant peu de traduction en termes d emploi : les ¾ des entreprises comptent stabiliser leur effectif dans les trois mois et pour les autres, les prévisions à la hausse et celles à la baisse sont équilibrées. Les entreprises sont toutefois un peu plus nombreuses à recourir à l emploi intérimaire. L orientation est favorable en matière d investissement, avec dorénavant une nette majorité des TPE-PME qui réalisent des investissements programmés ou lancent de nouveaux projets. 57 % des TPE-PME se disent ainsi dans une situation d investissement, soit un niveau qui n avait pas été atteint depuis trois ans. L amélioration est notamment enregistrée dans l industrie et pour les PME de 50 salariés et plus. Les résultats présentés sont issus d une enquête téléphonique réalisée du 1 er au 15 juillet 2015 par la CCI de région et les CCI de Rhône-Alpes auprès d un panel de 371 entreprises représentatives du tissu de TPE-PME de l industrie, du BTP, du commerce et des services de l ensemble des départements de Rhône-Alpes.

2 L activité Un climat des affaires en amélioration au 2 e trimestre Au début du printemps, les TPE-PME de Rhône-Alpes avaient exprimé un moindre pessimisme quant à la situation économique générale. A l heure du bilan de leur activité pour le 2 e trimestre, ce moindre pessimisme sur le climat général s accompagne d une amélioration globale de la situation des entreprises. Si ce bilan trimestriel apparaît toujours très partagé, avec des entreprises qui se répartissent grosso modo en trois tiers entre hausse, stabilité et baisse du chiffre d affaires, cette situation traduit néanmoins une nette amélioration. La part des entreprises en hausse de chiffre d affaires progresse de 7 points en trois mois. Le solde entre la part des entreprises en hausse de chiffre d affaires et celle en baisse redevient positif, bien que très légèrement à + 1. Ce solde n avait pas été positif depuis avril Le bilan du 2 e trimestre est le plus positif dans les services aux entreprises (hors transport), l industrie et pour les entreprises exportatrices, avec des soldes «hausse-baisse» de respectivement + 13, + 9 et En termes de taille de PME, celles de plus de 50 salariés sont clairement dans une situation plus favorable avec un solde à + 10 contre + 1 pour les TPE et - 3 pour celles comptant entre 10 et 49 salariés. La conjoncture des TPE-PME du transport/logistique apparaît nettement moins défavorable au 2 e trimestre, avec un net recul de la part des entreprises en baisse de chiffre d affaires et un solde hausse-baisse qui s établit à + 4. Le commerce de détail affiche également un bilan en amélioration avec un solde «hausse - baisse» qui s établit à + 1. Dans le BTP, le bilan reste défavorable même s il est moins dégradé qu en début d année. Dans ce contexte d amélioration, les TPE-PME régionales du commerce de gros et de l hôtellerie-restauration apparaissent par contre en retrait. Des capacités de production plus sollicitées En lien avec un bilan en progrès en termes d activité, le niveau d utilisation des capacités de production enregistre une hausse : 59 % des TPE-PME disent début juillet ne pas sous-utiliser leurs capacités, soit + 6 points en trois mois. JUILLET

3 La part des entreprises disant largement sous-utiliser leurs capacités de production tombe en dessous de 10 %. 10 % des TPE-PME disent être dans une situation de saturation, utilisant totalement leurs capacités de production sans pouvoir faire face à toute la demande. C est dans le commerce de détail et les services aux entreprises (hors transport) que cette situation est la plus fréquente. Nouveau repli des difficultés de trésorerie Après - 3 points au 1 er trimestre, la part des TPE-PME disant rencontrer des difficultés de trésorerie se tasse de nouveau d un point au 2 e trimestre, tout en restant à un niveau élevé à 34 %. La part des entreprises en situation très difficile se replie particulièrement. JUILLET

4 C est dans le commerce et les services aux particuliers que la situation de trésorerie est la plus tendue avec plus de 40 % des TPE-PME en situation difficile ou très difficile. Vient ensuite le BTP (38 %). Le tassement des difficultés n est pas général à tous les secteurs. La part des entreprises en difficulté progresse un peu dans le commerce et les services aux particuliers, le BTP et le transport. Si l on rapproche cette évolution de la tendance à l amélioration du bilan d activité pour le commerce de détail et le transport, on peut penser que les difficultés de trésorerie s expliquent pour partie par la reprise de l activité. Globalement les entreprises se disent un peu moins freinées dans leur développement Les freins au développement des entreprises se desserrent un peu. Les TPE-PME disant ne pas rencontrer de freins sont un peu plus nombreuses, et les fréquences de citation des différents freins sont en recul, à l exception des difficultés d accès aux financements bancaires qui progressent de nouveau d un point : 6 % en janvier, 7 % en avril, 8 % en juillet. En six mois, la part des entreprises déplorant le manque de vigueur de l activité est passée de 67 % à 61 %. La complexité/instabilité réglementaire demeure le 2 e frein cité par les entreprises. Certaines TPE-PME dans leurs commentaires libres expriment des doutes sur les plans de simplification, déplorant que de nouvelles contraintes administratives viennent contrebalancer ce qui a été facilité. On peut ainsi citer le verbatim suivant d une PMI répondante «Depuis le choc de simplification, sur un effectif de 22 personnes on est passé de 1,2 personne à 1,8 pour assurer les tâches administratives». C est dans le BTP, le transport-logistique et les services aux entreprises que les entreprises sont le plus fréquemment gênées dans leur développement par une rentabilité insuffisante. JUILLET

5 L optimisme sur le climat économique général gagne encore un peu de terrain Si les TPE-PME expriment toujours majoritairement (58 %) un manque de confiance dans la situation économique générale, cette part enregistre néanmoins un nouveau recul : diminuant de 12 points au premier trimestre, elle se replie encore de 4 points entre avril et juillet. Dans tous les secteurs, la part des TPE-PME manquant de confiance dans la situation économique générale reste plus importante que celle des entreprises se disant confiantes. Par contre, en termes de taille d entreprises, on observe que parmi les PME de 50 salariés et plus, celles qui sont confiantes sont dorénavant plus nombreuses que celles qui ne le sont pas. et les prévisions des entreprises pour leur activité sont mieux orientées Si la plus grande part des entreprises s attend à une stabilité du chiffre d affaires au 3 e trimestre, globalement, les prévisions sont mieux orientées avec un solde «part des entreprises à la hausse - part des entreprises à la baisse» qui tend à se rapprocher de l équilibre à - 1, en progression de 9 points en trois mois. Chacun des grands secteurs d activité connaît une amélioration des prévisions. Après un repli il y a trois mois, l industrie retrouve un solde positif à + 5. Le commerce de gros/services aux entreprises se redresse pour se rapprocher de l équilibre. Quant au commerce/services aux particuliers, il poursuit sa remontée après le point bas de l automne JUILLET

6 Si l on regarde plus finement les activités, on retrouve les constats du bilan du 2 e trimestre. Outre l industrie, le transport/logistique, les entreprises exportatrices, les services aux entreprises et le commerce de détail affichent un solde «part à la hausse - part à la baisse» positif. L orientation est par contre défavorable pour l hôtellerie-restauration, le commerce de gros et le BTP. Le niveau des non-réponses sur les perspectives à trois mois est relativement élevé pour plusieurs activités : commerce de gros, hôtellerie-restauration, commerce de détail, transport/logistique. Cela peut traduire une incertitude sur le court terme encore plus forte que précédemment. Pour l ensemble de l année 2015, les prévisions des TPE-PME évoluent de la façon suivante, par rapport à avril : Elles sont plus nombreuses à se prononcer, la part des non-réponses tombant de 7 à 4 %, La part des entreprises s attendant à la stabilité de leur chiffre d affaires baisse de 5 points, Les entreprises s attendant à un chiffre d affaires en hausse sont plus nombreuses à 30 % (+ 6 points). Les entreprises se répartissent ainsi pratiquement en trois tiers entre perspectives de hausse, de stabilité et de baisse, et le solde «part à la hausse - part à la baisse» s établit à - 1, en progression de 4 points en trois mois. Dans l industrie, le transport/logistique, le commerce de détail, les services aux entreprises, parmi les entreprises exportatrices et les PME de 50 salariés et plus, les entreprises qui s attendent à une progression annuelle de leur chiffre d affaires sont plus nombreuses que celles qui s attendent à une baisse. Ce n est pas le cas dans le BTP, l hôtellerie-restauration, le commerce de gros et pour les PME de moins de 50 salariés. JUILLET

7 Par rapport aux perspectives annuelles exprimées en début d année, on note une progression de l optimisme dans l industrie. Pour les entreprises exportatrices, qui sont les entreprises les plus confiantes pour 2015, on note toutefois une légère correction des perspectives annuelles par rapport à janvier. La même évolution est enregistrée pour les services aux entreprises (hors transport). Pour le commerce de détail et plus encore pour le transport, on note un changement de perspectives entre janvier et juillet. Le solde «part à la hausse - part à la baisse», qui était négatif en début d année est devenu positif en juillet. Pour le BTP, le commerce de gros et l hôtellerie-restauration, les perspectives se sont par contre dégradées en six mois. Des leviers de développement qui confirment l amélioration du climat des affaires On note peu d évolutions en trois mois concernant les leviers sur lesquels tablent les TPE-PME pour assurer leur développement. La conquête de nouveaux marchés en France voit sa place de levier privilégié se confirmer avec une citation par 53 % des entreprises (+ 2 points). Dans le même temps, la conquête de marchés à l international ne progresse pas. Pour les entreprises exportatrices, le premier facteur de développement reste néanmoins la conquête de marchés à l international (cité par 69 % des entreprises, en recul de trois points). JUILLET

8 Le dynamisme de la demande est un facteur de développement cité par 22 % des entreprises (+ 3 points par rapport à avril). La fréquence de citation est notamment en progression sensible dans le transport (à 33 %) et le commerce de détail (31 %). Le climat des affaires plus favorable ne modifie par les prévisions en termes d emploi L amélioration du climat des affaires ne s accompagne pas d une perspective de développement de l emploi à court terme. Ce sont les perspectives de stabilité de l effectif qui s affirment : 75 % des TPE-PME s attendent ainsi à un effectif stable dans les trois mois, soit + 6 points par rapport à avril. Les autres entreprises se répartissent entre des perspectives de hausse (12 %) et des perspectives de baisse (11 %), soit un solde 1 «hausse - baisse» légèrement positif de + 1 (comme en avril dernier). 1 Il s agit d un solde en nombre d entreprises et non en nombre d emplois. JUILLET

9 C est dans les services aux entreprises (hors transport) et le commerce de détail que le solde «part à la hausse - part à la baisse» est le plus favorable, avec respectivement + 9 et Pour les services aux entreprises, les activités liées au numérique continuent de jouer un rôle moteur. Pour le commerce de détail, les perspectives connaissent un retournement à la hausse par rapport à la situation d avril. La tendance reste défavorable dans le BTP et le devient dans l hôtellerie-restauration. Le recours aux heures supplémentaires progresse un peu : 43 % des TPE-PME n annoncent pas d heures supplémentaires, soit - 3 points en trois mois. La tendance est similaire pour l emploi intérimaire : 59 % des TPE-PME n y ont pas recours, soit un recul de 6 points en trois mois. JUILLET

10 Une nette majorité de TPE-PME dit maintenant être dans une perspective d investissement Après une progression de 3 points au 1 er trimestre, la part des TPE-PME se situant dans une perspective d investissement (réalisation d investissements programmés ou lancement de nouveaux projets) connaît une nouvelle hausse sensible de 5 points au 2 e trimestre. Avec 57 %, c est le plus haut niveau atteint depuis 3 ans. Cette progression de la part des entreprises se situant dans une perspective d investissement se vérifie particulièrement dans l industrie (+ 6 points et une part d entreprises réduisant ou différant des investissements diminuée de moitié) ainsi que dans le BTP. Cette tendance est également très sensible pour les PME de 50 salariés et plus (+ 9 points pour la part des entreprises se situant dans une perspective d investissement). Globalement, la part des entreprises disant réduire ou reporter des investissements tombe en dessous de 10 %. JUILLET

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