Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie. jusqu en 1949

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie. jusqu en 1949"

Transcription

1 Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie Les relations fédéralesprovinciales en matière d impôt jusqu en 1949 Par JEFF BUCKSTEIN, CGA La Première Guerre mondiale brise l harmonie fiscale La Grande Crise ravive le conflit fiscal fédéral-provincial Un autre conflit mondial entraîne des changements fiscaux majeurs Le présent article est le premier d une série de trois articles que M. Buckstein signe dans le Reper. Du point de vue fiscal, la situation du Canada est quelque peu inhabituelle à cause du chevauchement de certaines responsabilités des gouvernements fédéral et provinciaux/territoriaux en matière de taxation. Tout au long de l histoire du pays, les deux ordres de gouvernement ont généralement coopéré dans ce domaine. Parfois, cependant, cette structure a créé de fortes tensions. Nous vivons actuellement une de ces périodes plus turbulentes. Les provinces et les territoires allèguent l existence d un prétendu «déséquilibre fiscal vertical» selon lequel le gouvernement fédéral a la capacité de mobiliser plus d argent que ce qu il est constitutionnellement tenu de dépenser pour les Canadiens dans des domaines comme la défense et l immigration, entre autres. Entretemps, les provinces et territoires estiment que leur situation est tout à fait à l opposé : leur capacité à générer des recettes est limitée, alors qu ils doivent en même temps assumer la plus grande part des dépenses de service dans leurs champs de compétence (selon la Constitution) comme la santé et l éducation. Les trois articles de la série portent sur ces questions et sur d autres questions litigieuses qui se sont posées dans les relations fédérales-provinciales (et, dans une moindre mesure, territoriales) au chapitre de la taxation depuis la Confédération de Le présent article examine la situation fiscale au Canada jusqu à la mise en place du premier impôt permanent par l adoption de la Income Tax Act en Le second article traitera des tensions croissantes entre le gouvernement fédéral et ses contreparties provinciales et territoriales tout au long de la deuxième moitié du XX e siècle ainsi que des facteurs qui ont contribué à l avènement de ce prétendu déséquilibre fiscal vertical. Le troisième article portera expressément sur les enjeux actuels du déséquilibre fiscal vertical dans la perspective des gouvernements fédéral et provinciaux/territoriaux. L Acte de l Amérique du Nord britannique (devenu la Loi constitutionnelle en 1982), qui créait le Dominion du Canada, a été adopté en Les articles 91 et 92 de l Acte de l Amérique du Nord britannique (AANB) donnaient au gouvernement central du Commonwealth et à ses provinces un pouvoir de taxation directe dans leur sphère de compétence respective. Aussi, au Canada, contrairement à la plupart des autres pays, y a- t-il un partage ou un chevauchement clair des responsabilités du fédéral et des provinces en matière de taxation.

2 Il y a toutefois une légère différence. En vertu de l AANB, tandis que le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux (l Ontario, le Québec, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse étaient membres fondateurs en 1867; le Manitoba, la Colombie-Britannique et l Île-du-Prince-Édouard avaient suivi en 1873) pouvaient lever des impôts et taxes, les provinces étaient limitées à la seule «taxation directe», comme l impôt sur le revenu. Le gouvernement fédéral pouvait aussi lever des taxes et impôts directs, mais également des taxes indirectes au moyen des droits de douane et des taxes d accise. La Colombie-Britannique a été la première province à lever un impôt sur le revenu des particuliers en 1873; le Québec a été la première à tenter de lever un impôt sur les sociétés en 1882; le Nouveau-Brunswick a suivi peu de temps après. Mais aucune de ces mesures n a été particulièrement populaire pendant les 30 premières années de l histoire du Canada. En 1896, par exemple, selon les chiffres des comptes publics publiés dans le rapport d une commission royale d enquête de 1940, seulement $ d impôt des sociétés et $ d impôt des particuliers avaient été levés au Canada cette année-là et dans tous les cas par les provinces, aucun par le gouvernement fédéral. Les droits successoraux représentaient de loin la source unique la plus importante de recettes fiscales pour les provinces. Les sept provinces de Confédération levaient de tels droits à l époque. De manière générale, toutefois, la stabilité a régné pendant les 50 premières années de la Confédération. Les responsabilités du fédéral et des provinces en matière de taxation étaient clairement définies et les provinces dominaient dans le champ de la taxation directe. Le gouvernement fédéral avait le droit d occuper ce champ de compétence, mais il ne l avait pas fait et, jusqu en 1914, il ne trouverait aucune raison impérieuse de le faire. La Première Guerre mondiale brise l harmonie fiscale Toutefois, la Première Guerre mondiale, avec les dépenses massives que le gouvernement fédéral a dû engager, n avait rien de commun avec ce que le Canada ou le monde avait connu jusque-là. Quand le conflit mondial a éclaté en 1914, le gouvernement canadien, déjà aux prises avec des conditions financières difficiles, a dû contracter des emprunts considérables, ce qui a entraîné une forte inflation; la dette nationale devait finalement quintupler par rapport à ce qu elle était L inflation, à son tour, a entraîné des troubles sociaux, dont des problèmes de relations de travail comme des grèves et l augmentation du nombre de syndicats certains très militants. Fermiers et travailleurs faisaient pression sur le gouvernement fédéral pour qu il taxe les Canadiens mieux nantis. En 1915, à elles seules, les dépenses militaires du gouvernement fédéral étaient égales à la totalité des dépenses qu il avait inscrites deux ans plus tôt. Son déficit budgétaire, exprimé en pourcentage du produit national brut (PNB), est passé de 10 % en 1913 à près de 15 % pendant la guerre, en dépit d une brusque progression du PNB; la croissance du déficit était nettement plus prononcée que le laissait croire sa croissance nominale. Le gouvernement fédéral a alors tenté d accroître ses recettes par ses mécanismes traditionnels de taxation indirecte. Ainsi, il a haussé les droits de douanes (qui, en 1913, représentaient environ 78 % de ses recettes totales) sur des produits comme le café, l alcool, le sucre et le tabac, et il a imposé des droits d accise spéciaux sur l alcool et le tabac. Mais ces mesures n ont rapporté qu environ 10 % des fonds additionnels nécessaires pour soutenir l effort de guerre et les autres responsabilités financières du gouvernement. Un impôt de guerre spécial a aussi été levé sur la circulation des billets de banque et sur le revenu brut de certaines institutions financières, et certains secteurs d activité ont fait l objet de mesures mineures mais, là encore, les recettes ne parvenaient pas à combler les besoins. Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie 2

3 D autres sources de recettes, dont des emprunts contractés à l étranger (d abord à Londres, puis à New York), puis, de façon plus importante, cinq émissions d obligations pour financer les dépenses de guerre («bons de la Défense nationale») à des citoyens canadiens pour une valeur de quelque 1,5 milliard de dollars devaient rapporter nettement plus. Mais ce n était pas encore assez, notamment à cause du fait que la guerre était plus longue que prévu et que le coût annuel du financement du conflit pour le Dominion avait grimpé à plus d un demimilliard de dollars. En 1917, sous le régime du Premier ministre Robert Borden (un conservateur réélu comme leader d un gouvernement d union par suite d un vote spécial en temps de guerre), le gouvernement fédéral a été forcé d instaurer un impôt général sur le revenu en adoptant la Loi de l impôt de guerre sur le revenu, ce qui a suscité d intéressants débats à la Chambre des communes. Ainsi, le 17 août 1917, Michael Clark, député de Red Deer, en Alberta, rappelait à ses collègues du Parlement que, depuis sa première élection en 1908, il avait fréquemment eu l occasion de souligner les désavantages de la taxation indirecte et la supériorité de la taxation directe. Selon lui, la Première Guerre mondiale avait été riche d enseignements en matière d impôt. Selon la Loi de l impôt de guerre sur le revenu de 1917, les particuliers célibataires ou les veufs et veuves sans personnes à charge qui gagnaient plus de $ étaient imposés au taux de 4 %; tous les autres particuliers étaient imposés au taux de 4 % sur leur revenu en sus de $. Diverses clauses d imposition progressive étaient aussi prévues, selon le revenu du contribuable. Au départ, l impôt sur le revenu se voulait une mesure temporaire en temps de guerre destinée à alléger les pressions financières exercées par le conflit mondial, même si, comme en témoignent les débats à la Chambre des communes, certains députés, comme M. Clark, n étaient pas très convaincus de son caractère temporaire. Comme il l affirmait, également en août 1917 : [TRADUCTION LIBRE] «Je suis certain, comme d autres l ont dit, que cette forme d imposition est là pour rester dans le Dominion. Les meilleurs experts disent que la guerre durera encore deux ans (ndlr : elle devait durer encore 15 mois), et à cause de la situation qui prévaudra après la guerre, nous aurons besoin de recettes qu il serait impossible de réunir au moyen des droits de douanes ( ) la personne qui détient le portefeuille des Finances devra faire de plus en plus appel à la taxation directe pour assumer les dettes que nous devons acquitter à cause de cette guerre et assurer le fonctionnement normal du pays.» Il avait raison. L impôt sur le revenu fédéral devait finalement s avérer une mesure permanente, même si cela n allait devenir officiel que quelque 30 ans plus tard. Même après la fin de la Première Guerre mondiale en novembre 1918, le gouvernement fédéral a continué, à cause du conflit, à engager d autres dettes attribuables à des dépenses annuelles, comme les 76 millions de dollars de pensions versées aux vétérans et aux personnes à charge de ceux qui ont perdu la vie au combat, et les 164 millions de dollars d intérêts sur la dette accumulée pendant la guerre. Tout compte fait, le gouvernement fédéral dépensait plus de 2,5 millions de dollars par jour une somme colossale lorsqu elle est exprimée en dollars de 1918 dans des circonstances que nul n aurait pu prédire avant la guerre. Par conséquent, le budget fédéral de 1920 prévoyait l instauration d une taxe de vente de 1 % sur la plupart des biens non essentiels, une taxe qui devait augmenter de façon constante pour atteindre 6 % en 1924 et qui aiderait le fédéral à afficher un surplus dès À ce moment, le taux de la taxe a recommencé à baisser une baisse fortement encouragée par les vives protestations des particuliers et des sociétés. Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie 3

4 La Grande Crise ravive le conflit fiscal fédéralprovincial La Première Guerre mondiale a exercé les premières grandes pressions fiscales sur le gouvernement fédéral canadien. Mais la Grande Crise des années 1930 devait exercer des pressions tant sur le gouvernement fédéral que sur les gouvernements provinciaux, les deux ordres de gouvernement cherchant désespérément à mobiliser les rares capitaux disponibles pour régler les graves difficultés d alors. Cette crise mondiale allait également mener au premier conflit majeur de l histoire canadienne entre le fédéral et les provinces au sujet de l impôt. À ce moment, la coordination entre les deux ordres de gouvernement au chapitre de la perception conjointe des impôts un champ dans lequel le gouvernement fédéral n avait pas été actif avant la Première Guerre mondiale était à peu près inexistante. Et certains s étaient accrochés au faux espoir de voir la Income War Tax Act disparaître après la guerre. Par conséquent, dès les années 1930, il n existait entre le fédéral et les provinces aucune structure d impôt commune ni uniformité des assiettes fiscales. Diverses formes nouvelles de taxation directe et indirecte depuis la Confédération, provenant de sources aussi diversifiées que les taxes sur l essence et sur l alcool, taxes sur les ventes des fabricants et taxes de vente, avaient vu le jour de sorte que ce qui relevait de la compétence du fédéral ou des provinces était de moins en moins clair. Qui plus est, l administration de ces impôts et taxes était très complexe et exigeait divers formulaires et différentes méthodes de calcul. En réponse, la Commission royale des relations entre le Dominion et les provinces (1940), également connue sous le nom de Commission Rowell-Sirois, recommandait que toutes les provinces cèdent la perception de l impôt sur le revenu des particuliers et des sociétés exclusivement au gouvernement fédéral (ce qu avaient déjà fait le Manitoba, l Ontario et l Île-du-Prince-Édouard en 1940). Le rapport de la Commission citait entre autres motifs pour justifier cette recommandation : la tension grandissante entre les administrations; l avènement d une double imposition inutile; le caractère arbitraire et discriminatoire du fisc et sa «voracité»; les frais administratifs élevés découlant du dédoublement des services liés à la perception de l impôt et au manque d uniformité et d efficience. Le rapport faisait également état des disparités croissantes entre les fardeaux fiscaux dans les diverses régions du Canada ainsi que des difficultés logistiques associées à l harmonisation de la perception de l impôt dans une province comme la Colombie-Britannique où la définition de «revenu imposable» différait de celle du gouvernement fédéral. Selon le rapport, le taux et la courbe progressive nécessaires pour réformer et contrôler la structure de l impôt ne seraient réalisés que si cet instrument d harmonisation de l imposition ne relevait que d un pouvoir. Et ce pouvoir, toujours selon le rapport de la Commission Rowell-Sirois, ne pouvait être que le Dominion. Comme on pouvait le prévoir, les provinces ont été réticentes, au départ, à abandonner un champ qu elles avaient dominé pendant plus de 70 ans, d autant plus que, selon le rapport de la Commission Rowell-Sirois, les changements économiques et sociaux survenus à l intérieur du cadre de la Constitution canadienne avaient amené les provinces et les municipalités à occuper une position très importante dans le système des finances publiques. Cependant, le rapport notait également que les provinces en étaient arrivées à une position qu elles ne pouvaient effectivement occuper à cause de leurs sources de recettes nécessairement limitées. Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie 4

5 Un autre conflit mondial entraîne des changements fiscaux majeurs La Deuxième Guerre mondiale ( ) allait à nouveau entraîner des changements majeurs au Canada qui devaient se refléter, comme dans le cas du premier conflit mondial, dans l effort de taxation du pays. Comme il l avait fait au cours du précédent conflit mondial et pour combattre les effets de la crise économique des années 1930, le gouvernement fédéral devait à nouveau occuper le premier rang et jouer un rôle important dans la mobilisation de fonds pour financer l effort de guerre. En fait, à cause de ces conflits ainsi que d autres facteurs, le Canada était devenu un pays plus centralisé que pendant ses 50 premières années d existence. Par conséquent, le gouvernement fédéral a, de façon permanente, assumé le rôle principal dans les questions de taxation et autres questions à caractère national. En vertu de la Wartime Tax Agreements Act (1941), les provinces ont cédé au gouvernement fédéral le contrôle de la perception des recettes provenant de l impôt sur le revenu, aussi bien que des droits successoraux. En retour, les provinces devaient recevoir des paiements compensatoires («rental payments») du gouvernement fédéral. À l origine, cet arrangement ne devait être valable que pour la durée de la Deuxième Guerre mondiale au moins; or, il allait se prolonger au-delà de la date de cessation des hostilités. Le 1 er janvier 1949, la Loi de l impôt sur le revenu remplaçait officiellement la Loi de l impôt de guerre sur le revenu, le gouvernement fédéral reconnaissant par voie législative ce qui était probablement déjà évident pour la plupart des Canadiens que l impôt sur le revenu était devenu une source de recettes permanente et non plus temporaire. Pendant près de 50 ans après la Confédération, les provinces ont joui de l autonomie à peu près exclusive en matière de taxation dont elles avaient besoin dans un monde relativement simple. Mais les pressions financières auxquelles le Canada a été soumis pendant la Première Guerre mondiale ont changé tout cela. L onde de choc économique a été ressentie dans les années 1920, ce qui a contribué à accroître les tensions entre les provinces et le gouvernement fédéral, qui devaient se perpétuer pendant les années de la Grande Crise. La Deuxième Guerre mondiale a dissipé toutes les illusions et plus personne ne croyait au retour de l ancien ordre économique au Canada. Le prochain article de la présente série montrera comment l impôt sur le revenu est devenu non seulement une source permanente de recettes, mais également une source permanente et manifeste de conflit entre le gouvernement fédéral et les provinces et territoires (qui commençaient à agir de façon plus autonome). M. Buckstein, CGA, est rédacteur pigiste; il vit à Ottawa. Le mois prochain : Dans le deuxième article de cette série de trois articles, M. Buckstein traite de l accroissement des tensions entre le fédéral et les provinces et territoires en matière de taxation au cours de la seconde moitié du XX e siècle. Le déséquilibre fiscal vertical au Canada Première partie 5

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX PRB 06-40F RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX FÉDÉRAUX INTRODUITS ENTRE 1998 ET 2005 Alexandre Laurin Alexandre Martin Division de l économie Le 28 août 2006 PARLIAMENTARY INFORMATION

Plus en détail

Taux et montants des crédits d impôt fédéraux et provinciaux non remboursables pour 2015 1

Taux et montants des crédits d impôt fédéraux et provinciaux non remboursables pour 2015 1 non remboursables pour 2015 1 indépendants affiliés à KPMG non remboursables pour 2015 1 Voir les notes aux pages suivantes. Remb. = crédit remboursable (voir note correspondante). 6 / Fédéral C.-B. Alb.

Plus en détail

Comparaisons internationales de la dette

Comparaisons internationales de la dette Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement

Plus en détail

Article. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010

Article. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010 Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir

Plus en détail

La dette. du gouvernement du Québec

La dette. du gouvernement du Québec La dette du gouvernement du Québec La dette du gouvernement du Québec Dépôt légal - Bibliothèque et Archives nationales du Québec Décembre 2007 ISBN 978-2-550-51547-0 (Imprimé) ISBN 978-2-550-51548-7 (PDF)

Plus en détail

Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité

Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Ministère des Finances Communiqué Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Le Plan d action économique de 2015

Plus en détail

L éducation au Québec : L état de la situation

L éducation au Québec : L état de la situation Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des

Plus en détail

Soumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011

Soumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011 1 Soumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011 La Fédération des travailleurs et travailleuses du Nouveau-Brunswick apprécie cette occasion de présenter les priorités budgétaires

Plus en détail

ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA

ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE Banque du Canada MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA 1. Par les présentes, le ministre des Finances donne avis que

Plus en détail

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux 6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3

Plus en détail

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier

Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu

Plus en détail

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

Soumission à la consultation prébudgétaire du Nouveau-Brunswick Février 2013

Soumission à la consultation prébudgétaire du Nouveau-Brunswick Février 2013 1 Soumission à la consultation prébudgétaire du Nouveau-Brunswick Février 2013 La Fédération des travailleurs et travailleuses du Nouveau-Brunswick se réjouit d avoir l occasion de présenter les dépenses

Plus en détail

PROCÉDURE POUR LES DÉPLACEMENTS

PROCÉDURE POUR LES DÉPLACEMENTS PROCÉDURE POUR LES DÉPLACEMENTS PRÉAMBULE La Fondation juge que les déplacements des membres de sa communauté sont nécessaires et souhaitables dans une optique de recherche, d apprentissage, de dissémination

Plus en détail

L ACTUALITÉ FÉDÉRALE

L ACTUALITÉ FÉDÉRALE L ACTUALITÉ FÉDÉRALE Des ressources naturelles pour tous les Canadiens Madelaine Drohan Correspondante canadienne de l hebdomadaire The Economist Elle contribue également sur une base régulière à une de

Plus en détail

«Société de placement» est définie de la même façon dans le sous-alinéa 149(1)o.2)(iii) de la Loi de

«Société de placement» est définie de la même façon dans le sous-alinéa 149(1)o.2)(iii) de la Loi de Le 11 février 2014 [TRADUCTION] Par courriel : mickey.sarazin@cra-arc.gc.ca; mary-pat.baldwin@cra-arc.gc.ca Monsieur Mickey Sarazin Directeur général Direction des décisions en impôt Agence du revenu du

Plus en détail

Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie

Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie 100 e édition En vigueur le 1 er janvier 2015 T4127(F) Rév. 15 Ce guide s adresse-t-il à vous? Utilisez ce guide si vous êtes un développeur

Plus en détail

Retirer des fonds d un régime immobilisé

Retirer des fonds d un régime immobilisé SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE STRATÉGIE PLACEMENTS ET FISCALITÉ N O 5 Retirer des fonds d un régime immobilisé Les fonds de pension constituent une source importante de revenu

Plus en détail

Nouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique

Nouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique Nouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique 45% des Canadiens sont d accord pour dire que les actions sérieuses en matière de changements

Plus en détail

Coup d œil sur les inégalités de revenus au

Coup d œil sur les inégalités de revenus au Coup d œil sur les inégalités de revenus au Québec L expression «nous les 99 %», qui avait servi de cri de ralliement des mouvements Occupy, résume les préoccupations que soulève la tendance mondiale à

Plus en détail

Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013

Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013 Taux d imposition des sociétés et législation / Numéro 4 / Le 9 janvier 2014 Services de gestion et de comptabilisation des impôts Situation sur le plan comptable 4 e trimestre 2013 Le présent bulletin

Plus en détail

Le Plan libéral pour les soins familiaux

Le Plan libéral pour les soins familiaux Le Plan libéral pour les soins familiaux 1 Le Plan libéral pour les soins familiaux AUX CÔTÉS DES FAMILLES CANADIENNES Les membres d une famille s appuient entre eux. Les familles canadiennes veulent s

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

Document d information n o 4 sur les pensions

Document d information n o 4 sur les pensions Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,

Plus en détail

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres

Plus en détail

Sondage 2010 des ACVM sur la retraite et les placements

Sondage 2010 des ACVM sur la retraite et les placements Sondage 2010 des ACVM sur la retraite et les placements Réalisé pour les Autorités canadiennes en valeurs mobilières Résumé le 28 septembre 2010 www.ipsos.ca TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ... 1 Principales

Plus en détail

Statistiques de finances publiques consolidées

Statistiques de finances publiques consolidées Statistiques de finances publiques consolidées Introduction Le concept de la consolidation est couramment utilisé dans le domaine de la comptabilité, tant dans le secteur privé que public. Définie simplement,

Plus en détail

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD).

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD). CANADA Nomenclature AC Assurance chômage AE Assurance emploi (remplace l AC depuis le 1 er juillet 1996) RAPC Régime d'assistance publique du Canada RPC et RRQ Régime de pensions du Canada et Régime de

Plus en détail

POLITIQUE SUR LES DÉPLACEMENTS

POLITIQUE SUR LES DÉPLACEMENTS POLITIQUE SUR LES DÉPLACEMENTS 1. INTRODUCTION La présente politique sur les déplacements énonce les objectifs, principes et procédures appliquées par la Fondation Pierre Elliott Trudeau (la «Fondation»)

Plus en détail

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement. le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une

Plus en détail

PÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE

PÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE PÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE Présentation au SEPB Par Marie Josée Naud, conseillère à la FTQ L état des lieux au Canada 2 Les cinq étages du système de retraite canadien

Plus en détail

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près

Plus en détail

Conseils fiscaux de fin d année pour 2013

Conseils fiscaux de fin d année pour 2013 CONSEILS FISCAUX Conseils fiscaux de fin d année pour 2013 Jamie Golombek, CPA, CA, CFP, CLU, TEP Directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour les Services consultatifs de gestion

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

PRIORITÉS POUR LE BUDGET FÉDÉRAL DE 2012

PRIORITÉS POUR LE BUDGET FÉDÉRAL DE 2012 PRIORITÉS POUR LE BUDGET FÉDÉRAL DE 2012 DOCUMENT PRÉPARÉ PAR L ASSOCIATION CANADIENNE DES COMPAGNIES D ASSURANCE MUTUELLES À L INTENTION DU COMITÉ PERMANENT DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES Août

Plus en détail

Rapport sur le budget du Québec

Rapport sur le budget du Québec le 21 avril 2005 Rapport sur le budget du Québec Faits saillants Introduction Taux d imposition d une société est augmenté Instauration d un taux d imposition pour la petite entreprise Les taux de la taxe

Plus en détail

Date de diffusion publique : lundi 15 décembre 2008, 6h00 heure normale de l Est

Date de diffusion publique : lundi 15 décembre 2008, 6h00 heure normale de l Est Suite à la récente crise constitutionnelle, un nouveau sondage démontre que les Canadiens manquent de connaissances élémentaires sur le système parlementaire canadien La moitié des Canadiens (51%) croient

Plus en détail

Fiscalité et émission des reçus pour fins d impôt

Fiscalité et émission des reçus pour fins d impôt Fiscalité et émission des reçus pour fins d impôt AFÉSAQ Audioconférence 18 mars 2013 Mélissa Rioux Conseillère principale Service de fiscalité (514) 878-2691 poste 1839 rioux.melissa@rcgt.com Objectifs

Plus en détail

Aidemémoire. fiscal. kpmg.ca/aidememoire

Aidemémoire. fiscal. kpmg.ca/aidememoire Aidemémoire fiscal 2013 2014 kpmg.ca/aidememoire Organisme Site Web KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l....www.kpmg.ca The Funding Portal...www.thefundingportal.com Agence du revenu du Canada...www.cra-arc.gc.ca Agence

Plus en détail

DEMANDE D AGRÉMENT DU RÉGIME DE RETRAITE

DEMANDE D AGRÉMENT DU RÉGIME DE RETRAITE Commission des pensions N o de téléphone : (204) 945-2740 N o de télécopieur : (204) 948-2375 Courrier électronique : pensions@gov.mb.ca Le paiement doit être fait à l ordre du MINISTRE DES FINANCES a

Plus en détail

RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA

RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA 1. Définitions Pour les fins du présent régime, les termes énumérés ci-dessous ont le sens suivant : «actions ordinaires» désigne

Plus en détail

Une augmentation du taux d imposition sur les dividendes non admissibles 2,3 milliards de dollars.

Une augmentation du taux d imposition sur les dividendes non admissibles 2,3 milliards de dollars. BUDGET FÉDÉRAL 2015 Par Jerry S. Rubin, B.E.S., B.Comm.(Hons), CMA, TEP, CFP Points saillants fiscaux du budget fédéral 2015 Le ministre des Finances, Joe Oliver, a déposé le budget fédéral 2015, le 21

Plus en détail

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Décembre 2008 TABLE DES MATIÈRES MESSAGE AUX INTERVENANTS... 3 PROGRAMME CANADIEN POUR L ÉPARGNE-ÉTUDES (PCEE)... 4 MÉTHODOLOGIE DU RAPPORT...

Plus en détail

Comptes publics du Canada

Comptes publics du Canada Gouvernement du Canada Government of Canada Établis par le Receveur général du Canada Comptes publics du Canada 2014 Volume I Revue et États financiers consolidés Canada Ministre des Travaux publics et

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

Solutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise

Solutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout

Plus en détail

Étude de cas n o 2. L épargne-retraite de Maria produit un revenu à vie optimal et offre des possibilités de croissance. Des solutions qui cliquent

Étude de cas n o 2. L épargne-retraite de Maria produit un revenu à vie optimal et offre des possibilités de croissance. Des solutions qui cliquent Vers une meilleure Étude retraite de cas n o 2 Des solutions qui cliquent Étude de cas n o 2 L épargne-retraite de Maria produit un revenu à vie optimal et offre des possibilités de croissance À l intention

Plus en détail

Quand arrive la retraite

Quand arrive la retraite Quand arrive la retraite Régime de rentes du Québec La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Ce document n a pas force de loi. En cas de conflit

Plus en détail

Solutions de protection. Guide du conseiller Marge de crédit sur la valeur de rachat. (valeur résiduelle)

Solutions de protection. Guide du conseiller Marge de crédit sur la valeur de rachat. (valeur résiduelle) Solutions de protection Guide du conseiller Marge de crédit sur la valeur de rachat (valeur résiduelle) Table des matières Description du produit 4 Renseignements généraux 6 Identification et renseignements

Plus en détail

Taxes indirectes. Concepts de base. Premières Nations du Québec

Taxes indirectes. Concepts de base. Premières Nations du Québec Taxes indirectes Concepts de base Premières Nations du Québec Conférence sur la fiscalité autochtone 4 septembre 2013 Mise en garde Ce document a été conçu uniquement à des fins de formation et ne doit,

Plus en détail

Les enjeux de la retraite pour les prochaines générations

Les enjeux de la retraite pour les prochaines générations 13 Par Yves Hébert Rédacteur en chef Mot du rédacteur en chef L imposition s est au fil du temps modelée selon les collectivités, les conjonctures, les systèmes économiques et politiques. Aujourd hui,

Plus en détail

Stratégie de gestion de la dette 2006-2007

Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Ministère des Finances Canada Department of Finance Canada Sa Majesté la Reine du chef du Canada (2006) Tous droits

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui INFORMATIONS GÉNÉRALES Présentation du pays Délai de création : 5 jours Sociétés pré-constituées : Oui Comptabilité : Obligatoire Secrétariat : Obligatoire Actionnariat anonyme : Oui Directeur nominé :

Plus en détail

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des

Plus en détail

CONSTITUTION D UNE ENTREPRISE

CONSTITUTION D UNE ENTREPRISE novembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Avantages de la constitution en société Avantages d une SEPE Résumé CONSTITUTION D UNE ENTREPRISE Si vous exploitez une entreprise, sa simple constitution en société vous

Plus en détail

Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada

Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada www.bucksurveys.com Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada Résultats 2011 Introduction: Faibles augmentations à tous les niveaux Depuis que Buck a lancé, en 2001, sa première Étude

Plus en détail

Budget du Québec de juin 2014 Faits saillants

Budget du Québec de juin 2014 Faits saillants des Services fiscaux Numéro 2014-26F Budget du Québec de juin 2014 Faits saillants Le 4 juin 2014 En bref Le ministre des Finances, M. Carlos Leitao, a présenté aujourd'hui, le 4 juin 2014, le budget 2014-2015

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation

LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation Wendy Pyper Prendre du retard dans ses paiements LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation au Canada a suscité un certain nombre de préoccupations. En octobre 2001, quelque 44 millions de cartes de

Plus en détail

PRÊTS SUR SALAIRE : UN MOYEN TRÈS CHER D EMPRUNTER. Prêts et hypothèques

PRÊTS SUR SALAIRE : UN MOYEN TRÈS CHER D EMPRUNTER. Prêts et hypothèques PRÊTS SUR SALAIRE : UN MOYEN TRÈS CHER D EMPRUNTER Prêts et hypothèques Table des matières Qu est-ce qu un prêt sur salaire? 1 Comment fonctionne un prêt sur salaire? 1 Combien coûtent les prêts sur salaire

Plus en détail

Cessation d emploi et protection d assurance collective

Cessation d emploi et protection d assurance collective SOINS MÉDICAUX ET SOINS DENTAIRES / INVALIDITÉ, VIE ET MMA 14-11 Cessation d emploi et protection d assurance collective Le présent bulletin est une mise à jour du numéro 07-02 de l Info- Collective. Parmi

Plus en détail

QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL AMÉRICAIN POUR LES CANADIENS

QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL AMÉRICAIN POUR LES CANADIENS février 2015 TABLE DES MATIÈRES Comment s applique l impôt successoral Historique de l impôt successoral Taux et exemptions de l impôt successoral Idées de planification Résumé QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL

Plus en détail

Conseils fiscaux de fin d année pour 2014 Auteur : Jamie Golombek

Conseils fiscaux de fin d année pour 2014 Auteur : Jamie Golombek Octobre 2014 Conseils fiscaux de fin d année pour 2014 Auteur : Jamie Golombek Comme l année tire à sa fin, nous vous présentons une mise à jour de nos conseils fiscaux de fin d année dont vous souhaiterez

Plus en détail

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14

Approches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14 TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour

Plus en détail

Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires

Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE

Plus en détail

Mémoire de la Corporation des associations de détaillants d automobiles présenté dans le cadre du processus prébudgétaire 2014

Mémoire de la Corporation des associations de détaillants d automobiles présenté dans le cadre du processus prébudgétaire 2014 Mémoire de la Corporation des associations de détaillants d automobiles présenté dans le cadre du processus prébudgétaire 2014 Présenté au : Comité permanent des finances de la Chambre des communes Présenté

Plus en détail

CARTES PRÉPAYÉES AU CANADA : IDENTIFICATION DES ENJEUX JURIDIQUES ET GESTION DU RISQUE. Institut Canadien 28 novembre 2012 Nicolas Faucher

CARTES PRÉPAYÉES AU CANADA : IDENTIFICATION DES ENJEUX JURIDIQUES ET GESTION DU RISQUE. Institut Canadien 28 novembre 2012 Nicolas Faucher CARTES PRÉPAYÉES AU CANADA : IDENTIFICATION DES ENJEUX JURIDIQUES ET GESTION DU RISQUE Institut Canadien 28 novembre 2012 Nicolas Faucher LA RÉGLEMENTATION APPLICABLE AUX CARTES PRÉPAYÉES 1. INTRODUCTION

Plus en détail

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des

Plus en détail

REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?

REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter

Plus en détail

CCRRA. Québec, le 4 juillet 2002

CCRRA. Québec, le 4 juillet 2002 CCRRA Canadian Council of Insurance Regulators Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance Copie à: Mr. Michael Grist Chair, CCIR Committee on Streamlining and Harmonization Québec,

Plus en détail

conseils de gestion budgétaire tout simples pour vous aider à améliorer votre situation financière

conseils de gestion budgétaire tout simples pour vous aider à améliorer votre situation financière Prenez vos finances en main DIX conseils de gestion budgétaire tout simples pour vous aider à améliorer votre situation financière Si vous vous sentez dépassé à l idée de prendre vos finances en main pour

Plus en détail

Votre propriété de vacances aux États-Unis pourrait vous coûter cher

Votre propriété de vacances aux États-Unis pourrait vous coûter cher Votre propriété de vacances aux États-Unis pourrait vous coûter cher Auteur : Jamie Golombek Juin 2015 Il semble que de plus en plus de Canadiens font l achat de propriétés de vacances aux États-Unis.

Plus en détail

Nouvelles et opinions

Nouvelles et opinions Publications Nouvelles et opinions Volume 12 numéro 3 Mars 2015 Dans ce numéro 1 Modifications au règlement fédéral sur les pensions 3 La baisse de la solvabilité des régimes de retraite pourrait avoir

Plus en détail

Comité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011

Comité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011 Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information La croissance rapide des «fiducies de revenu» Les «fiducies de revenu» ou entités intermédiaires cotées en bourse 1 sont de plus en plus présentes dans le milieu canadien des affaires.

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus La retraite n est pas un privilège! Fascicule 1 Avantpropos Depuis plusieurs mois déjà, de grands médias tirent à boulets rouges sur les régimes

Plus en détail

Statistique Canada Centre canadien de la statistique juridique ENQUÊTE SUR L AIDE JURIDIQUE 2006-2007 OBJECT DE L ENQUÊTE SUR L AIDE JURIDIQUE

Statistique Canada Centre canadien de la statistique juridique ENQUÊTE SUR L AIDE JURIDIQUE 2006-2007 OBJECT DE L ENQUÊTE SUR L AIDE JURIDIQUE Statistique Canada Centre canadien de la statistique juridique ENQUÊTE SUR L AIDE JURIDIQUE 26-27 Loi sur la statistique, L.R.C. 1985, c. S19 Confidentiel une fois rempli STC/CCJ-16-614; CCJS/55452-3 OBJECT

Plus en détail

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources

Plus en détail

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7

Demande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7 RÉGIME DE RETRAITE Page de 0 0 Le Régime de retraite d Hydro-Québec est un régime de retraite contributif à prestations déterminées, de type fin de carrière. Ce régime est enregistré auprès de la Régie

Plus en détail

Actif et dons. des fondations donatrices du Canada SEPTEMBRE 2014

Actif et dons. des fondations donatrices du Canada SEPTEMBRE 2014 Actif et dons des fondations donatrices du Canada SEPTEMBRE 2014 Actif et dons des fondations donatrices du Canada Introduction...1 Objet et structure du rapport...1 Les fondations au Canada...2 Fondations

Plus en détail

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors

Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Fonds hypothécaire et de revenu à court terme Investors Rapport financier annuel 31 MARS 2015 Groupe Investors Inc. 2015 MC Marques de commerce de Société financière IGM Inc. utilisées sous licence par

Plus en détail

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................

Plus en détail

UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières

UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières Guide sur l application des TAXES À LA CONSOMMATION (incluant la TVH pour la province de l Ontario en vigueur le 1 er juillet 2010) Mai 2010 Guide sur l application

Plus en détail

Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale.

Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale. Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale. 1) Régime d imposition du gain en capital Régime d imposition

Plus en détail

Exemple 1.2.3.4. Les deux types de protection au dernier décès Le coût de protection libéré au premier décès

Exemple 1.2.3.4. Les deux types de protection au dernier décès Le coût de protection libéré au premier décès 10 Assurance vie Exemple Guylaine et Yves sont mariés depuis 30 ans. Ils ont eu quatre enfants et sont sept fois grands-parents. Ils aimeraient laisser une certaine somme à leur décès pour leurs descendants.

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations

Plus en détail

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie

Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Assurance-vie essentielle pour enfants Premiers Pas Dans la présente police, «nous» et «nos» renvoient à Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie. Nous nous engageons

Plus en détail

STRUCTURES ORGANISATIONNELLES

STRUCTURES ORGANISATIONNELLES Introduction 9 STRUCTURES ORGANISATIONNELLES Par Sven Milelli INTRODUCTION Structures organisationnelles 11 Il existe une grande variété de structures juridiques possibles pour l exploitation d une entreprise

Plus en détail

Difficultés financières?

Difficultés financières? Difficultés financières? Vous avez droit aux meilleures solutions. Nous sommes là pour vous aider. Parlons-en. ginsberg-gingras.com Syndics de faillite Votre situation Le saviez-vous? Au Canada, plus de

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale.

Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale. Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale. 1) Nouveau régime d imposition des dividendes Désignation tardive

Plus en détail