LES UNITÉS D ACCUEIL MÉDICO- JUDICIAIRES PÉDIATRIQUES

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1 LES UNITÉS D ACCUEIL MÉDICO- JUDICIAIRES PÉDIATRIQUES Des milliers d enfants subissent des actes de maltraitance. En France, deux enfants meurent chaque jour sous les coups de leurs parents. Autrement dit, chaque année, 600 à 700 décès sont imputables aux mauvais traitements se déroulant au sein même de la famille. En France, enfants sont en danger. Parmi eux, sont à proprement parler «maltraités». Cette maltraitance, qui ne conduit pas toujours à un décès, prend bien d autres formes.. «Elle est physique, sexuelle ou encore psychologique». PERMANENCES ET UNITÉS D ACCUEIL MÉDICO-JUDICIAIRES PÉDIATRIQUES EN MILIEU HOSPITALIER (UAMJP) POUR LES ENFANTS VICTIMES DE MAUVAIS TRAITEMENTS ET/ OU DE VIOLENCES SEXUELLES. Déterminée à ce que la loi du 17 juin 1998 qui prévoit l enregistrement audiovisuel de l audition soit appliquée, la Voix De l Enfant a initié et soutenu depuis 15 ans, la création de plus de 50 permanences et UAMJP pour les enfants victimes de violences sexuelles et/ou de mauvais traitements. Dans le cadre de ce programme, la Voix De l Enfant continue de développer de nouveaux projets pour recueillir dans les meilleurs conditions possibles la parole des enfants victimes de maltraitance. Dans les juridictions pourvues d une UAMJP, entre 50 et 300 enfants et adolescents victimes sont chaque année accueillis, auditionnés, examinés et pris en charge médicalement dans un lieu et un climat serein, par des professionnels formés et sensibilisés à l écoute de l enfant et de sa famille. LES UAMJP : POURQUOI? Un enfant victime d agressions sexuelles est un enfant souffrant avant d être un enfant plaignant. La prise en compte de la souffrance et de la recherche de la vérité impose un total décloisonnement entre les services intevenants. Une unité de lieu, de temps et d action est aujourd hui pour nous la réponse la mieux adaptée à la prise en charge de ces enfants et adolescents en grande souffrance. Parce que «redire c est revivre», il faut éviter la répétition du traumatisme pour les enfants victimes de maltraitance La place d un enfant victime de maltraitance n est pas au commissariat. Les UAMJP sont l une des réponses pour la prise en charge adaptée des enfants victimes

2 L enfant ou l adolescent qui subit des violences sexuelles doit être considéré comme une personne victime, quelle que soit la gravité des actes et des traumatismes. Violentés au plus profond d eux mêmes, dans leur corps et dans leur psychisme, ils ont besoin d une prise en charge particulière en raison de la faiblesse de leurs moyens de défense et de leur vulnérabilité. La nécessité d un traitement judiciaire particulier des mineurs victimes d agressions ou de violences sexuelles s impose désormais à tous les professionnels. LES UAMJP : INTERVENANTS Le respect de la complémentarité des compétences préserve la spécificité des fonctions de chaque intervenant : magistrats, pédiatres, gendarmes et policiers, pédopsychiatres et psychologues, médecins légistes, services sociaux et associations de protection de l enfance et d aide aux victimes. LES UAMJP : OBJECTIFS Dans ces UAMJP, la parole de l enfant victime est recueillie dans les meilleures conditions possibles dans un lieu sécurisant et aménagé à cet effet. Les UAMJP ont pour objectif de concilier : - la prise en compte de la souffrance de l enfant sur le plan médical, psychologique et social, - les nécessités de l enquête et/ou de l instruction judiciaire ayant pour finalité de parvenir à la manifestation de la vérité. Témoignage Bertrand Lionet, psychologue clinicien au Centre Hospitalier de Dunkerque Salle d enregistrement des auditions, où sont retransmises en direct les images. Cette unité, qui rayonne sur le Dunkerquois et jusqu à la Flandre, est unique dans la région. Le lundi et le jeudi après-midi, au huitième étage du CHD (dans les locaux du service de pédiatrie), l équipe accueille les enfants et leur famille. «Ils sont pris en charge par les infirmières, qui ont l habitude de les mettre en confiance, poursuit le Dr Blanckaert. On leur explique le déroulement et on prend les renseignements administratifs.» Place ensuite à l audition, dans une salle aux tons apaisants. L officier de police judiciaire entend le jeune, sous l œil de deux caméras, l une fixe, l autre mobile, dont les images sont retransmises en temps réel par fibre optique dans un autre bureau où se trouvent les médecins, les psychologues et un autre officier. L audition, gravée sur DVD, servira de pièce à l enquête. Les examens médicaux et psychologiques suivent. «Le déroulement et la nécessité des examens complémentaires sont discutés entre tous, au cas par cas. Chacun reste à sa place, c est la force de notre équipe», ajoute Bertrand Lionet, psychologue.

3 LES UAMJP : ÉTAPES DE LA PROCÉDURE Suite à un signalement ou une plainte, le Parquet saisit le service de police ou de gendarmerie compétent. L enfant est amené à l Hôpital. La permanence ou l unité garantissent : Accueil de l enfant par l équipe. Présentation des lieux et des intervenants. Audition filmée menée par un policier ou un gendarme en présence d un pédopsychiatre ou d un psychologue. Examen médico-légal si besoin après l audition. LES UAMJP : PRISE EN CHARGE DE L ENFANT (Le médecin légiste est présent derrière la vitre teintée ou visionne la vidéo avant de pratiquer son examen pour éviter à l enfant de redire). Si l état ou la situation du mineur le nécessite : - hospitalisation - accompagnement du mineur par un service éducatif (déjà mandaté par le juge des enfants ou désigné dans le cadre de cette affaire). Si l agression est ancienne : - enregistrement des révélations (vidéo ou audio) - examen médico-légal si besoin Mise en confiance de l enfant ou de l adolescent : information sur le déroulement de l audition et de l importance de l enregistrement audio-visuel. Si l agression est très récente, la priorité est donnée : - aux soins d urgence - à l audition enregistrée - à l examen médico-légal si besoin LES UAMJP : LIEU D AUDITION La pièce insonorisée est adaptée à l accueil de l enfant. Tout est mis en oeuvre pour qu il y trouve confort, sérénité et sécurité. Une petite estrade de deux marches est installée dans la pièce pour que les plus petits puissent être à la hauteur de l adulte.

4 LES UAMJP : SALLE TECHNIQUE ET MATÉRIEL Parce que «redire c est revivre», il faut éviter la répétition du traumatisme : l enregistrement audiovisuel est une des réponses. Dans la salle d audition : - une caméra - des micros - un système oreillettes - une estrade - une table en verre et des chaises - des jouets Dans la salle technique : - une armoire avec 3 graveurs DVD - un écran de contrôle - un système oreillettes - un ordinateur Entre les deux salles : - une vitre teintée LES UAMJP : UN PARTENARIAT EXEMPLAIRE Fruit d une démarche partenariale, ces projets de Permanences ou Unités d Accueil ont suscité une réflexion en profondeur et débouché sur l élaboration de protocoles de prise en charge judiciaire et médicale des mineurs victimes de maltraitance. Ces partenaires signataires sont : Les magistrats du Parquet et du Siège, le Centre Hospitalier (service de pédiatrie, urgences pédiatriques), la Police, la Gendarmerie, le Conseil Général, l Education Nationale, un représentant du gouvernement, les Associations de protection de l enfance et d aide aux victimes. LES UAMJP : PROJETS EN COURS 55 UAMJP sont à ce jour ouvertes et de nombreuses autres sont en projet pour 2015/2016 sur le territoire français. Ces Permanences et Unités d Accueil sont co-financées par SFR pour l équipement d enregistrement audiovisuel et informatique et, selon les besoins, le mobilier, le petit matérielmédical et la prise en charge d un poste de psychologue à temps partiel. La Voix De l Enfant rue de la Brèche-aux-Loups Paris Tel : Fax:

5 Implantation des Permanences et Unités d Accueil Médico-Judiciaire Pédiatriques pour les mineurs victimes de violences sexuelles et autres maltraitances Senlis Caen Pontoise Saint-Lô Coutances Chalonsen-Champagne St Denis Martinique Fort de France Réunion Pointe-à-Pitre Guadeloupe Nouméa UAMJP ouvertes Projets 2015 Hors France: Projets Moscou Russie Cluj Roumanie Bucarest Craiova Avec le soutien de et la participation de Salle de confrontation protégée au tribunal et/ou au commissariat de Police Aménagement de service

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