NOMENCLATURE DEPISTAGE DOUBLE LECTURE FROTTIS DE CONTRÔLE RECHERCHE HPV
|
|
- Jean Gauthier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr Anne Mathieu
2 NOMENCLATURE DEPISTAGE DOUBLE LECTURE FROTTIS DE CONTRÔLE RECHERCHE HPV
3 Honoraires pour la recherche lors d'un examen cyto pathologique de dépistage de cellules néoplasiques sur prélèvement cervicovaginal, quel que soit le nombre de prélèvements différents effectués et le nombre de frottis examinés une seule fois par période couvrant deux années civiles
4 "A.R " (en vigueur ) " Honoraires pour l'examen complémentaire de deuxième lecture du frottis examiné en première lecture pour la recherche lors d'un examen cyto pathologique de dépistage de cellules néoplasiques sur prélèvement cervico vaginal, quel que soit le nombre de prélèvements différents effectués et le nombre de frottis examinés Cette prestation ne peut être effectuée et portée en compte que par un médecin spécialiste en anatomie pathologique sur prescription du médecin spécialiste qui a effectué la prestation initiale La prescription mentionne la motivation de sa demande de deuxième lecture. Le protocole cyto pathologique de la prestation comprend un avis quant à l'attitude thérapeutique àsuivre. L'exécution des prestations et ne peut pas être cumulée par le même prestataire.
5 Honoraires pour l'examen cyto pathologique de dépistage de cellules néoplasiques sur prélèvement cervico vaginal, dans le cadre d'un suivi diagnostic ou thérapeutique quel que soit le nombre de prélèvements différents effectués et le nombre de frottis examinés Cette prestation ne peut être effectuée et portée en compte que par un médecin spécialiste en anatomie pathologique et n'est pas cumulable avec les prestations et Le protocole cyto pathologique de la prestation comprend aussi bien l'indication diagnostique ou thérapeutique que l'avis sur l'attitude thérapeutique àsuivre. La prestation peut être portée en compte deux fois par an, jusqu'à la négativation de l'examen.
6 EN RESUME Dépistage Tous les deux ans Double lecture du frottis de dépistage A la demande du pathologiste Doit comprendre la motivation Le protocole doit comprendre un avis quant à l attitude àsuivre Frottis de contrôle Deux fois par an jusqu à la négativation Le protocole doit comprendre un avis quant à l attitude àsuivre
7 Honoraires pour la recherche de l'hpv àhaut risque au moyen d'une méthode de diagnostic moléculaire sur le même prélèvement cervico vaginal que la prestation ou Cette prestation ne peut être effectuée et portée en compte que par un médecin spécialiste en anatomie pathologique ou un spécialiste en biologie clinique sur prescription du médecin spécialiste prestataire de la prestation ou et n'est remboursable qu'en présence démontrée de cellules atypiques (ASC US; ASC H; AGC ecc, NOS ou AGC ecc, favor neoplastic) dans le prélèvement cervico vaginal, confirmé en deuxième lecture (comme précisé au ). La prescription comporte la motivation de la demande de recherche de HPV à haut risque Les résultats de la prestation sont ajoutés au protocole cyto pathologique et interprétés en incluant l'attitude thérapeutique àsuivre.
8 Honoraires pour la recherche d'hpv àhaut risque sur des prélèvements cervico vaginaux au moyen d'une méthode de diagnostic moléculaire dans le cadre d'un suivi diagnostique ou thérapeutique, sur le même prélèvement cervico vaginal que la prestation Cette prestation ne peut être effectuée et portée en compte que par un médecin spécialiste en anatomie pathologique ou un spécialiste en biologie clinique sur prescription du médecin spécialiste prestataire de la prestation et n'est remboursable comme suivi qu'en présence démontrée préalablement de cellules atypiques (ASC US; ASC H; AGC ecc, NOS ou AGC ecc, favor neoplastic) dans le(s) prélèvement(s) cervico vaginal(aux) ou pour le suivi du traitement d'une néoplasie cervicale intra épithéliale de haut grade (CIN2 et CIN3 et AIS ecc) avec prélèvement(s) cervico vaginal(aux) négatif(s). La prescription comporte la motivation de la demande de recherche de HPV àhaut risque. Les résultats de la prestation sont ajoutés au protocole cyto pathologique et interprétés en incluant l'attitude thérapeutique à poursuivre. Les prestations et ne sont pas cumulables entre elles."
9 EN RESUME: Recherche HPV Dépistage: Présence de cellules atypiques (ASC US; ASC H; AGC ecc, NOS ou AGC ecc, favor neoplastic) dans le prélèvement cervico vaginal, confirmé en deuxième lecture Frottis de contrôle Présence préalablement de cellules atypiques (ASC US; ASC H; AGC ecc, NOS ou AGC ecc, favor neoplastic) dans le(s) prélèvement(s) cervico vaginal(aux) Frottis suivit d un traitement le suivi du traitement d'une néoplasie cervicale intraépithéliale de haut grade (CIN2 et CIN3 et AIS ecc) avec prélèvement(s) cervico vaginal(aux) négatif(s). Les résultats sont ajoutés au protocole cyto pathologique et interprétés en incluant l'attitude thérapeutique à poursuivre.
10 "A.R " (en vigueur ) " 10. Pour pouvoir porter en compte les prestations et : a) ces prestations doivent être effectuées dans un laboratoire qui, endéans les deux ans de la date d'entrée en vigueur de la prestation effectuée, possède une accréditation ISO ou une accréditation suivant une norme de laboratoire équivalente pour les prestations effectuées; b) le laboratoire doit pouvoir apporter la preuve d'une participation à des contrôles de qualité internes et externes qui satisfont aux normes de qualité nationales ou internationales; c) le laboratoire doit se soumettre aux contrôles effectués par l'institut Scientifique de Santé publique dès l'entrée en vigueur de la prestation effectuée; d) le laboratoire doit déjà apporter la preuve de l'existence d'un système de qualité pendant la période transitoire de 2 ans avant l'obtention d'une accréditation comme défini au point a) du présent paragraphe."
11 Acta Clinica Belgica 2009, 2009; 64-2
12 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment
13 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment > 25 ans, < 25 ans et post-ménopausiques
14 En résumé ASCUS/LSIL/AGC NOS Typage HPV Négatif: contrôle cyto 6 12m Contrôle à (3) 6mois Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV Colposcopie + biopsie
15 En résumé ASC H/HSIL/AGC favor neoplasia/ais Colposcopie + biopsie (+ HPV) Négatif: réévaluation de la cytologie/histologie/colposcopie Probable : excision diagnostique Non probable: contrôle cyto à3 6m+/ HPV
16 ASCUS >25y LSIL >25y Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test
17 ASCUS >25yC LSIL >25y Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test
18 ASCUS >25y LSIL >25y Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à6m Négatif: contrôle cyto à12m Contrôle à 6m Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test Colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à12m +/ HPV test
19 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment
20 Cytologie normale post traitement HSIL ou AIS Test HPV à6 mois + cytologie Les 2 négatifs: contrôle cyto + HPV à6m HPV avant 6 mois = risque de faux positif
21
22
23 ASCUS <25y LSIL <25y Test HPV (de préférence) Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante) Test HPV Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante)
24 ASCUS <25y LSIL <25y Test HPV (de préférence) Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante) Test HPV Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante)
25 ASCUS <25y LSIL <25y Test HPV (de préférence) Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante) Test HPV Haut risque: contrôle cyo à 6m Négatif: test HPV Négatif: contrôle à 12M +/ HPV Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à6m Colposcopie + biopsie (lésion persistante)
26 ASCUS :post ménopausique Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie LSIL :post ménopausique Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie
27 ASCUS :post ménopausique Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie LSIL :post ménopausique Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie
28 ASCUS :post ménopausique Test HPV (de préférence) Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie LSIL :post ménopausique Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle post traitement œstrogènes Positif: test HPV + colposcopie + biopsie Négatif: contrôle cyto à 6m Colposcopie + biopsie
29 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment
30 ASC H HSIL Colposcopie + biopsie (+ HPV) Positif: traitement en fonction des lésions Négatif: réévaluation de la cytologie/histologie/colposcopie HSIL probable: excision diagnostique HSIL non probable: contrôle cyto à 3 6m+/ HPV Un ou les 2 positifs: colposcopie + biopsie ASC H: conrtôle cyto à 6 12m ou HPV Colposcopie + biopsie Positif: traitement en fonction des lésions Négatif: réévaluation de la cytologie/histologie/colposcopie HSIL probable: excision diagnostique HSIL non probable: contrôle cyto à 3 6m+/ HPV Un ou les 2 positifs: colposcopie + biopsie
31 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment
32 AGC NOS Test HPV Haut risque: colposcopie + biopsie dans les 3 mois Bas risque: contrôle cyto à 6m Négatif: contrôle cyto à 12m Contrôle à 3 6m +/ HPV Les 2 négatifs: contrôle cyto à 12m +/ HPV Colposcopie + biopsie
33 RECOMMENDATIONS ASCUS LSIL ASC H HSIL AGC NOS AGC, favor neoplastic AIS Normal smear after treatment
34 AGC suspect néoplasie AIS Colposcopie + biopsie (+ HPV) Positif: traitement en fonction des lésions Négatif: réévaluation de la cytologie/histologie/colposcopie AIS probable: excision diagnostique AIS non probable: contrôle cyto à 3 6m+/ HPV Un ou les 2 positifs: colposcopie + biopsie Colposcopie + biopsie Positif: traitement en fonction des lésions Négatif: réévaluation de la cytologie/histologie/colposcopie AIS probable: excision diagnostique AIS non probable: contrôle cyto à 3 6m+/ HPV Un ou les 2 positifs: colposcopie + biopsie
Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec
Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailDonnées épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque
Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données
Plus en détailAvis. Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec. Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels
Avis Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Janvier 2009 AUTEURES Patricia Goggin, M.D., M. Sc. Direction
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailMai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DE LA RECHERCHE DES PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (HPV) DANS LE DÉPISTAGE DES LÉSIONS PRÉCANCÉREUSES ET CANCÉREUSES DU COL DE L UTÉRUS Mai 2004 Service évaluation technologique Service
Plus en détailDonnées épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus
Maladies chroniques et traumatismes Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus État des connaissances Actualisation 2008 Dr Nicolas Duport Sommaire Glossaire 2 Définitions Termes utilisés
Plus en détailLogiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel
Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel Pascale COUSIN 2 ème Rencontres internationales de la gouvernance des risques en santé 7 juin 2010 Présentation SNITEM
Plus en détail«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité»
Interview avec le Prof. Dr Fernando Schmitt «La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Prof. Dr Fernando Schmitt Anatomopathologiste En septembre 2014, le Prof. Fernando Schmitt a rejoint le Laboratoire
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détaild anatomo-pathologiste
Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailLaserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)
Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailConseil Supérieur de la Santé. Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain. CSS N 8367 - révision du N 8204
Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain DECEMBRE 2007 CSS N 8367 - révision du N 8204 Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailpapillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement
du VPH(virus papillome humain) Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement Table des matières Un message du D r André B. Lalonde, vice-président administratif
Plus en détailRépondre à un appel à projet - Vie d un projet
Répondre à un appel à projet - Vie d un projet Carine Coffre 1, Nathalie Juteau 1, Ken Haguenoer 2,3 16 décembre 2011 1. Centre d Investigation Clinique - Inserm 202 CHRU de Tours 2. Laboratoire de Santé
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailRévision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif
Révision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif Projet pour l audition, novembre 2009 1 Introduction La loi sur l analyse
Plus en détailRéférences juridiques. Biologie médicale
Direction Déléguée à la Gestion et à l'organisation des Soins Direction de l'offre de Soins Département des Produits de Santé Références juridiques Biologie médicale Septembre 2013 PREAMBULE Ce guide
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLes maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l
Les maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l appel européen et à développer un plan d action pour
Plus en détailcursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage
cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation
Plus en détailPublicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé
Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailLogiciel «My-Labo Cool!»
Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute
Plus en détailLe suivi des CIN après une conisation
Le suivi des CIN après une conisation Auteur : Lucie Alexandre Master 2 Biologie-Gestion Université de Rennes 1 UFR Sciences de la Vie et de l Environnement Tuteur : Professeur Jean Levêque UFR Sciences
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailLe Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données
www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailMédecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques
Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailMise en place d une démarche qualité dans un système d information
Mise en place d une démarche qualité dans un système d information IMGT The international ImMunoGeneTics information system Laëtitia Regnier, IE Bioinformatique, Responsable Management de la Qualité (RMQ).
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailREGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION
REGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION page 1/6 GENERALITES La personne physique candidate à la certification CREP démontre qu elle possède les connaissances
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailMaîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail
Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Dr Michel APTEL Laboratoire de Biomécanique et d'ergonomie Centre de recherche de l'inrs Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) liés au
Plus en détailArticle 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25
Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détail2011-2014. Plan national maladies rares. Axes, Mesures, Actions. Qualité de la prise en charge, Recherche, Europe : une ambition renouvelée
2011-2014 Plan national maladies rares Qualité de la prise en charge, Recherche, Europe : une ambition renouvelée Axes, Mesures, Actions 1 Axe A : Améliorer la qualité de la prise en charge du patient
Plus en détailLA TELE-EXPERTISE : UN ACTE MEDICAL A RECONNAITRE ET A REMUNERER
180 boulevard Haussmann- 75008 PARIS Pr Liliane DUSSERRE rapport adopté à la session de janvier 1999 LA TELE-EXPERTISE : UN ACTE MEDICAL A RECONNAITRE ET A REMUNERER Résumé La télé-expertise, aide au diagnostic
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailPEPS PRO L OFFRE SANTÉ DES PROFESSIONNELS INDÉPENDANTS
PEPS PRO L OFFRE SANTÉ DES PROFESSIONNELS INDÉPENDANTS UNE COUVERTURE SANTE ADAPTÉE LES GARANTIES PEPS PRO DES SERVICES PERFORMANTS UNE COUVERTURE SANTÉ ADAPTÉE AUX PROFESSIONNELS INDEPENDANTS Malakoff
Plus en détailBases de données Outils de gestion
11/03/2010 Bases de données Outils de gestion Mise en place d outils pour gérer, stocker et utiliser les informations d une recherche biomédicale ent réalisé par L. QUINQUIS d épidémiologie et de biostatistique
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détail