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1 L éducation au logement : Introduction Très tôt, les associations et organismes qui travaillent dans le secteur du logement ont été amenées dans leur pratique quotidienne à développer différents outils pour sensibiliser leurs publics à bien habiter. Ainsi par exemple en 1976, les associations logement créèrent une coordination d associations ou le groupe logement. Ce groupe voulait apporter une réponse spécifique à la problématique du logement dans les quartiers populaires, former et sensibiliser le public à la fois aux problèmes liés au logement et également à agir au niveau politique. Des quartiers populaires à un public plus étendu, l éducation à «bien habiter» ou éducation au logement touche aujourd hui un ensemble de thèmes et un ensemble de publics diversifiés. 1. Habiter Habiter un logement revêt différentes facettes : il y a la relation entre le propriétaire et le locataire, relation contractuelle où il sera important d informer les locataires fragilisés et les propriétaires parfois désemparés de leurs droits et de leurs devoirs. Ces droits sont encore aujourd hui mal connus : qui répare la chasse d eau, qui doit entretenir la chaudière, dois-je ramoner, dois-je m assurer. Il y a également tout ce qui concerne ce qui n est pas forcément visible et qui peut s avérer dangereux : les acariens qui vivent partout et sont invisibles à l œil nu, le CO surnommé à juste titre «le tueur silencieux» qui en 2006 faisait encore des morts ou dans une catégorie plus visible celle-là, ce qui concerne les animaux nuisibles tels que cafards, rongeurs.. Au quotidien, habiter signifie aussi soigner son logement et son portefeuille en tendant vers une consommation réduite, vers des produits d entretien pas chers, efficaces et écologiques. Ces différentes facettes peuvent être classées sous différentes thématiques comme la thématique «droits et devoirs des locataires et des propriétaires» pour ce qui concerne la relation contractuelle et questions annexes, ou la thématique «pollution intérieure pour ce qui concerne le CO, les acariens, les rongeurs et les stratégies pour consommer de manière intelligente et durable se retrouveront dans la thématique «éco-consommation». Les publics Les publics, eux, offriront une multiplicité de visages différents et iront de personnes peu alphabétisées ou parlant mal une des deux langues nationales à des publics maîtrisant parfaitement la lecture. De publics peu scolarisés à des publics diplômés. Les outils Les différents outils développés par les associations pour informer, conscientiser, sensibiliser leur public pourront être des brochures, des formations, des maquettes, des vidéos

2 2. Des outils d éducation au logement méconnus Les différentes associations membres du RBDH avaient le sentiment que des outils qui avaient été développés par l un ou l autre n était pas forcément connu. Le Rassemblement bruxellois pour le Droit à l Habitat qui coordonne une cinquantaine d associations membres qui travaillent avec des publics défavorisés ou des publics moyens devait se pencher sur la situation. Le premier constat fut de s apercevoir que les associations développaient chacune dans leur coin des outils de sensibilisation ou de mobilisation pour les habitants. Ensuite, vint le constat, tel que le pensaient les associations membres du RBDH, que les associations ne connaissaient peu le travail des unes et des autres. Entre 2005 et 2006, le RBDH a dressé un inventaire des différentes associations et différents outils d éducation au logement ainsi que des publics auxquels ils s adressent, de sorte à pouvoir développer des collaborations et faire connaître les outils. Le travail s est effectué en en deux phases : une première phase était l inventaire des outils d éducation au logement des associations membres et une deuxième phase a constitué en l inventaire des outils d éducation au logement réalisés par d autres (Télévision, syndicats, mutuelles ). De l inventaire au concret, le RBDH a également organisé une foire de deux jours où les associations pouvaient venir exposer leurs outils. L idée était de regrouper ces différents outils dans un catalogue, avec pour ambition de devenir un outil de travail pour toutes les associations travaillant dans le domaine du logement mais aussi pour les autres associations, organismes et réseaux, et l organisation de la foire devait permettre aux associations de voir concrètement les réalisations des uns et des autres. 3. Le catalogue 28 associations, pour la plupart bruxelloises mais également wallonnes ont bien voulu répondre la demande et ont décrit plus d une centaine d outils. Les associations et les organismes répondants travaillent sur trois dimensions : l une est communale, l autre régionale et enfin sur l ensemble du territoire. Elles développeront des outils en fonction du public qu elles veulent toucher : pour l ONE, on s adressera aux enfants et aux parents, pour certaines elles s adresseront aux professionnels de la santé. Certaines associations de terrain ou associations de première ligne qui travailleront dans des quartiers défavorisés concevront des outils à destination de ce public, d autres comme les associations pour les réfugiés concevront des outils pour des personnes maîtrisant peu ou mal la langue française. Au-delà des thématiques identifiées en début de ce document, l inventaire a fait apparaître une thématique «code du logement» qui est propre à la région 2

3 bruxelloise : le code du logement y est d application depuis juillet 2004 seulement et de nouvelles normes sont parues en mars Outils Outils développés dans le cadre du code du logement Tous les outils développés dans ce thème ont visé à informer sur ce nouveau code et les contraintes qu il apportait Outils développés dans le cadre de la relation entre le propriétaire et le locataire Les outils développés dans cette thématique visent à accompagner le candidatlocataire dès le départ (recherche de logement, location, installation ), le locataire dans sa relation locative (contrat de bail, durée du bail, la garantie locative, l état des lieux, le préavis ), les obligations telles que l assurance incendie, le ramonage. Des outils recensés dans le catalogue concernant cette thématique on peut distinguer deux approches dans la conception des outils : une approche plus «ludique» basée sur des jeux et une approche plus pratique basée sur des brochures. Outils développés dans le cadre de la sensibilisation à l éco-consommation Les outils développés dans cette thématique viseront à changer les habitudes de consommation des locataires afin de leur permettre de mieux habiter leur logement et de faire des économies. Outils développés dans le cadre de l éducation citoyenne Habiter, ce n est pas seulement payer son loyer, respecter ses devoirs et faire entendre ses droits. Mais c est également être citoyen et se tenir au courant de ce qui se passe au niveau politique afin de pouvoir agir pour un meilleur logement pour tous. Les outils développés dans cette thématique tendront à permettre l expression et la sensibilisation citoyenne. Outils développés dans le cadre des pollutions intérieures Sont concernés par cette appellation un ensemble d agents tel que le CO, l humidité, les acariens, le plomb, pesticides.. Les outils développés viseront à permettre d identifier ces polluants et leur conséquence ainsi que les gestes à portée de tous pour pouvoir lutter contre ces pollutions 5. Le bilan de la foire «Habitools» Il s agissait là d une plate-forme unique, étalée sur une durée de deux jours : enfin les associations pouvaient faire connaître leurs outils d autant que parfois disposant de peu de moyens, les associations n arrivent pas à faire la promotion de leur outil. L objectif principal de la foire visait à la rencontre et la meilleure connaissance des uns et des autres, ainsi qu à l échange. Cette foire s accompagnait également d ateliers Les ateliers 3

4 Les ateliers ont été divisés en quatre thématiques : Droits et Devoirs, écoconsommation, pollutions intérieures et pratiques, choisies sur base des données recueillies pour le catalogue, en prenant les thématiques les plus fréquemment rencontrées. L organisation pratique de l atelier se construisait sur base de présentation des outils développés par deux associations. Les associations avaient été choisies en fonction de la connaissance que le groupe de travail avait des outils et méthodes de travail développées par ces associations. L objectif était d arriver à ce que les personnes présentes à l atelier échangent sur leur pratique, de dégager des «bonnes pratiques», les réussites, les freins rencontrés et d éventuelles pistes de résolution par rapport à ceux-ci. La présentation des outils avait un objectif de «mise en bouche», de «lancer» le débat. Quelles pistes dégagées lors de l atelier «Droit et Devoirs» Il est essentiel de bien déterminer à quel public je m adresse : comment peut-il me comprendre, comment vulgariser, quels types d outils : plutôt visuels ou autre..la difficulté étant comment être simple et complet? L important est d également bien fixer ses objectifs. En ce qui concerne la méthode de travail, il faut déterminer si on va travailler de manière individuelle ou en groupe, les deux apportant une combinaison intéressante. Le travail en groupe nécessite toutefois de bien déterminer les préoccupations des personnes présentes, en effet si elles sont préoccupées par la recherche d un logement, il sera difficile de faire de l éducation au logement. Pour l organisation de séances d information, il est important de bien cibler le public auquel on s adresse. Truc : profiter d une intervention à domicile pour faire venir voisins et amis susceptibles d être intéressés Quelques pistes dégagées lors de l atelier «Eco-consommation» Le travail en réseau inter-disciplinaire semble être une piste pour développer des changements de comportements : travail avec les médecins généralistes, les maisons médicales afin de sensibiliser le public par ce moyen. Par exemple pour convaincre le public que l eau du robinet équivaut aux eaux en bouteilles productrices elles de déchets, un travail avec l association des médecins est nécessaire. Pour que l information circule, du côté des associations porteuses du projet un travail en réseau semble également être nécessaire : si l on travaille à informer dans une société de logements sociaux, il est bien plus efficace de rencontrer d abord les assistants sociaux de la société. Pour que l information circule du côté public concerné, les associations ont développé des trucs et astuces : petits cadeaux donnés lorsqu on vient aux séances d information, ne pas organiser des séances durant les heures des feuilletons télé favoris.. Par ailleurs, il est important que l information circule par des relais bénévoles : concierges, locataires, voisins La difficulté essentielle de l éco-consommation sont les «doubles» messages : ceux lancés par l industrie qui pousse à l achat de produits toxiques pour l environnement et également pour les utilisateurs en leur donnant l impression qu ils font bien pour que «ça sente le propre et soit désinfecté». Une information est nécessaire mais 4

5 également de la faire répéter, répéter et répéter et de combattre ces clichés. Un travail devrait être effectué au niveau politique. De plus, les jeunes générations n ont pas forcément été formés aux gestes de grandmère tout aussi efficaces, moins polluants et plus économiques comme le vinaigre. Le problème également avec l industrie est la tendance à la production de déchets : grands paquets qui comprennent d autres paquets, qui contiennent eux-mêmes des produits emballés. Un des projets présentés comprenait un travail avec le secteur de la grande distribution afin que celle-ci promeuve certains produits ayant moins d impact sur l environnement. Le travail avec ce secteur est difficile et lent, quelques enseignes semblent disposer à travailler sur ce point, l une des grandes enseignes étant à la pointe du progrès en matière d écologie : consommation électrique diminuée par un ensemble de dispositifs (frigo fermé, lampes basses consommation ), consommation fuel diminuée ( conditionnement d emballages revenus pour pouvoir en mettre plus dans un camion et limiter les transports, camions étudiés pour consommer le moins possible, formation du personnel à la conduite souple, production d électricité propre sur base de panneaux solaires et éolienne.. Le problème est que les discounters eux ne semblent pas sensibles à ce type de travail et il s agit là des magasins fréquentés par la population la plus défavorisée. Quelques pistes dégagées par l atelier «pratique» Les outils regroupés sous ce label étaient par exemple des outils comme «la maison des dangers» qui met en scène une maison (sous forme de panneaux illustrant les pièces) et les dangers y attenant ainsi que une expo-interactive sur le même thème. Des outils pratiques existent également comme des appareils de mesure, des sacs à dos remplis des outils nécessaires pour faire des relevés lors de la visite d un logement. Les questions qui sont apparues durant cet atelier relèvent de la difficulté de travail avec certains outils : la maison des dangers entraîne parfois une certaine lassitudes de la par des animateurs qui utilisent sans cesse le même outil. Par ailleurs, comment laisser la place à la parole des usagers, à leur expérience, à leur mode d éducation? Il faut donc travailler à la création de l outil avec le public visé Les freins évoqués - Le coût d élaboration des outils : temps, manque de compétence et nécessité d avoir alors un réseau de «bonnes» adresses : graphistes, as en informatique - Le travail en réseau et en partenariat entraîne des changements de partenaire, parfois même en cours d action - Le nombre trop limité de partenaires crée un essoufflement - Manque de rigueur, de méthodologie, comment évaluer, qu est-ce qu on évalue? Dans quel but? qui évalue? Qu est-ce qui a changé? Dans les démarches individuelles, il est facile de savoir s il y a eu changement de comportements ou non, mais dans les démarches collectives, cela reste problématique. - La question se pose de la manipulation, du désir de «faire changer l autre» pour qu il corresponde d avantage à mes idées, conceptions, besoins. Il s agit là d une piste de développement pour un prochain Habitools 5

6 - La difficulté est également est de ne pas pouvoir offrir aux usagers ce qu ils demandent ( des logements corrects), d être sans solutions directes à leurs problèmes et de travailler pour faire évoluer la demande vers ce qui est plus réaliste dans la conjoncture actuelle, c est-à-dire faire tout ce qu on peut pour maintenir la personne dans son logement actuel, aller vers des changements de comportements, des manières d occuper le logement. Les perspectives d avenir : Certains thèmes ont pléthore d outils. Ce n est pas toujours nécessaire, il faudrait développer la circulation d outils entre associations qui leur adaptent si besoin est en fonction de son particularisme. Pour les développements d un prochain Habitools, il serait intéressant donc de travailler sur l évaluation des outils, la méthodologie et également de mieux connaître les ressources et les compétences de chacun les évaluations Les évaluations des exposants Un très faible taux d exposants ont répondu à l évaluation faite ultérieurement. Toutefois les réponses recueillies au chaud durant le forum et lors de ces évaluations ultérieures montrent que le forum a été perçu comme très positif. L évaluation «papier» ultérieure : Les questions posées portaient sur les attentes par rapport au forum et les changements a faire, sur le nombre de visiteurs, la durée du forum, les outils de communication (site, cd rom ), les ateliers Les attentes concernant le forum ont été rencontrées : faire connaître l outil, découvrir les outils des autres, échanger sur le outils, la rencontre avec les autres Les questions portant sur l organisation pratique du forum (durée, lieu, horaires..) n ont pas permis de répondre à une question que les organisateurs se posaient : faut-il un forum de deux jours, un jour, des rencontres Certains exposants étaient absolument enchantés de la formule deux jours, d autres moins. Les questions portant sur les ateliers ont démontré que l organisation d ateliers s avérait intéressante mais qu une meilleure communication autour de l organisation et communication des objectifs de ceux-ci étaient nécessaires. Les outils de communication ont été appréciés avec des pistes intéressantes de développements ultérieurs comme de permettre en ligne de charger des outils d associations répertoriées. La communication elle-même sur l événement doit tendre vers l amélioration : trois invitations l une pour les exposants, l une pour tout public, l une pour les ateliers rendent les choses floues. L évaluation «à chaud» Quelques chiffres : Nombre de personnes inscrites à l accueil : 90 Nombre de catalogues donnés : 110 6

7 Nombre de CD Rom : 80 Le cadre a été jugé très agréable quoique ne permettant pas toujours l ouverture vers les autres de part la présence de boxes fermés sur trois côtés. Les visiteurs : Le nombre de visiteurs a été jugé insuffisant mais toutefois les exposants estimaient que ce petit nombre permettait également l échange. L organisation a été très favorablement appréciée, et le principal bénéfice de ces journées a été l échange et la meilleurs connaissances des outils développés. La qualité des outils exposés a semblé surprendre certains exposants et plusieurs se sont étonnés de voir la redondance de certains outils. L évaluation du groupe de travail Le groupe de coordination : La taille du groupe de coordination a été jugée suffisante. Le forum L aspect échange d information entre associations exposantes était riche La communication Le même problème de communication sur les trois courriers : une recommandation envoyer une seule invitation, deux mois à l avance annonçant l organisation de l événement, sa finalité et donnant les possibilités de s inscrire aux différentes parties La forme Deux jours, deux demi-jours, des soirs l organisation pratique reste un point à discuter dans la perspective d une organisation ultérieure. Le public Le public est resté le public des associations, peu d échanges avec l extérieur. L objectif principal de la foire qui visait à la rencontre et la meilleure connaissance des uns et des autres et à l échange a donc été atteint. 6. L éducation au logement L éducation au logement va différer d un quartier à l autre, d une commune à l autre, d une région à l autre. Par exemple, la problématique du radon est plus présente en région wallonne. L éducation au logement à Bruxelles va nécessiter une approche multiculturelle des choses, Bruxelles étant multiculturelle L éducation au logement ne concerne pas la culture, n est pas de l éducation permanente, éduquer au logement ne mène pas à l accès à l emploi, mais bien à faciliter la recherche de logement ou à mettre tout en œuvre pour maintenir le locataire dans celui-ci 7

8 Actuellement, l éducation au logement en Région bruxelloise parvient parfois à se développer de part les subsides accordés via l insertion logement, subsides qui tiennent plus d un saupoudrage de moyens financiers, nécessitant de la part des associations de la débrouille ou d aller frapper à d autres portes à la recherche de financement. Selon la sensibilité des autorités contactées, le projet recevra alors des moyens qui lui permettront de viser plus haut ou de viser plus loin. Les résultats ainsi obtenus cadrent-ils encore avec la volonté d éduquer au logement et aux valeurs de l insertion logement? Les données actuellement recueillies ne permettent pas de répondre à cette question. D autre part, l on peut constater que les associations avant ce catalogue et ce forum n avaient pas forcément le réflexe de voir l existant autour d elles avant de développer un outil. La redondance des outils démontre cette réalité. Un exemple parmi d autres sont les brochures, informations, prévention par rapport à la problématique du CO. D un autre côté, la difficulté est que si on prend cet exemple, ce polluant tue encore des gens chaque année et ce malgré les campagnes de prévention On peut donc se demander si la logique serait de supprimer un outil ou au contraire d intensifier les moyens d information, d améliorer les outils existants et d aller vers une information organisée de manière structurelle en utilisant tous les média possibles pour sensibiliser : écoles, radio, voisins, médecins, commerçants du quartier La démarche éducation par le logement doit donc probablement s inscrire dans une logique de travail en réseau avec un ensemble d acteurs de tous horizons dans une logique de partenariat et de partage des forces et des compétences afin de démultiplier la force d action. Une association seule peut faire de l éducation au logement, mais son travail sera intensifié si à côté de son action, elle peut aussi compter sur des relais qui transmettront chacun avec leur spécificité le même message. Par ailleurs, un travail est nécessaire également de manière plus large avec les propriétaires par exemple, les associations de consommateurs, les enseignes de la grande distribution, et en fin au niveau politique. Si le logement est déclaré comme priorité, il apparaît essentiel que toutes actions posées pour faciliter l accès au logement ou permettre le maintien au logement soit encouragé par les autorités et que celles-ci par des gestes significatifs encouragant les outils développés qu ils soient préventifs ou curatifs. D autre part, le questionnement des associations perçu au travers des ateliers interpelle : il est nécessaire de développer à travers un autre recensement (voie de développement pour un autre Habitools) concernant les compétences existantes dans les associations et la possibilité de «prêter» celles-ci. D autre part, le premier recensement fourni par le catalogue peut permettre aux associations de se rencontrer et d échanger des «trucs et astuces». Il va à nouveau de la responsabilité des autorités de donner les moyens aux associations de pouvoir mettre en place de tels échanges d expérience. Conclusion L éducation au logement mérite une reconnaissance en tant que telle. 8

9 Les associations grâce au travail d inventaire du catalogue et à la foire ont pu mieux connaître le travail des unes et des autres ; Il est nécessaire de renforcer ce premier inventaire et de continuer en allant plus loin vers la mise en commun des compétences, des trucs et des astuces. 9

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