Tchad Profil pays EPT Contexte général. Principaux indicateurs de l EPT 2012 ou année la plus récente.

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1 Profil pays EPT 4 Contexte général Le est un vaste territoire enclavé et à majorité désertique de,3 millions de km² situé au cœur de l Afrique, Avec environ,5 millions d habitants en, la population tchadienne a crû de façon soutenue à un rythme annuel moyen de 3,4% au cours des douze dernières années. Au vu de sa taille, le pays est faiblement peuplé. En moyenne, on dénombre un peu moins de 9 habitants au km² en 9, contre une moyenne de 3 pour l Afrique. Ceci peut constituer un véritable défi pour l offre éducative de proximité. Par ailleurs, la population est majoritairement rurale (78%), avec 4% des populations urbaines concentrées sur N Ndjamena (la capitale) et sa banlieue. Le pays est caractérisé par une pauvreté endémique. En, le se situe au 84 ème rang sur 87 pays en termes d indice de développement humain (IDH). Depuis 3, l exploitation du pétrole brut prend une part de plus en plus importante dans l économie, même si le produit intérieur brut (PIB) demeure majoritairement agricole. En, le pétrole représenterait un peu plus du tiers (%) du PIB du pays, contre une valeur quasi insignifiante en. Ainsi dopé par les revenus provenant de la vente pétrolière, entre et, le PIB a augmenté à un rythme annuel moyen de 7,6% en termes réels. En conséquence, étant donné que la croissance économique a été nettement plus importante que la croissance démographique, le PIB/habitant en valeur réelle a été multiplié par,6 sur la période et s établit en à 868 $US. Contexte macroéconomique et démographique () PIB par habitant ($ E.U.) 868 Population totale (),448 % de la population en âge de fréquenter le primaire 8. % des enfants d'âge du primaire non scolarisés 36. Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans) 3.% IDH (classement) 84/87 Principaux indicateurs de l EPT ou année la plus récente. Indice africain de développement EPT (IAD/EPT) () ASS (57) Max ASS (9) Min ASS (8) Le ne fera pas partie en 5 de la liste des pays qui auront atteint les objectifs de l EPT. Le pays a fait de réels progrès vers l EPT, en passant d un indice de développement africain de l EPT de,3 en à,5 en. Cela dit, malgré ce doublement, l indice africain de développement de l EPT du reste encore très loin du niveau moyen de ses pairs d Afrique subsaharienne (indice EPT moyen de 57,). Par rapport aux composantes de l indice EPT, la parité dans la scolarisation (objectif 5) constitue encore un objectif lointain (77,8% en ), les autres dimensions demeurant nettement sous-développées. Le taux d alphabétisation des adultes (objectif 4) et le taux

2 d achèvement du primaire (objectif ) ne dépassent guère % l un et l autre. Pour l alphabétisation des adultes (objectif 4), avec un taux initial d environ 6% en et un taux estimé à % en, le gain n a été que de 9 points, soit également environ un point de pourcentage chaque année. Au niveau de l objectif, le niveau très faible du TBS du préscolaire en (,5%) indique qu il n y a quasiment pas eu de progrès dans le développement de l accueil de la petite enfance. En déjà, les élèves du préscolaire ne représentaient que,6% de la population scolarisable de ce niveau. Le sous-cycle reste concentré dans les grands centres urbains, et seulement 3% de l offre éducative de ce niveau est publique. A ce niveau, le pays est très en retard par rapport à ses pairs d Afrique sub-saharienne où la moyenne du TBS du préscolaire est de %. Concernant l objectif 3, le taux d achèvement du premier cycle du secondaire n a enregistré que de faibles progrès, et à 6 %, se situe encore à un niveau inférieur à la moitié de la moyenne subsaharienne ( %). Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire Objectif Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire 67 Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes 94 Objectif 5 Équité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire () () 8 (9) (6) (6) Objectif 6 Qualité de l éducation Proportion d élèves de 5ème année du primaire ayant le niveau minimal requis* à l évaluation PASEC Français Mathématiques Légende Objectif à 5 (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Objectif 6 Moyenne Pays PASEC (5 ) Fourchette de valeurs (min/max) Pays PASEC (5-) Note : * Au moins 4% de bonnes réponses

3 Scolarisation : pyramide éducative ou année la plus récente. Une légère amélioration a été notée au niveau du taux d achèvement du primaire, avec le passage du taux d accès au CM de % en à % en, soit en moyenne un gain d un point de pourcentage tous les ans ce qui apparait nettement insuffisant. La scolarisation au er cycle de l enseignement secondaire demeure faible, avec seulement 9% d une génération pour l accès et 6% pour l achèvement en. En comparaison, ces statistiques sont respectivement de 49% et 34% pour l ensemble de l Afrique sub-saharienne. Les performances du pays sont encore plus faibles au niveau du nd cycle du secondaire où accèdent seulement 5% des enfants d une génération (contre une moyenne de 6% pour l Afrique sub-saharienne). Finalement, on s aperçoit que la part de l EFTP dans les effectifs de l enseignement secondaire est passée de % en à % en. Équité dans l accès à la scolarisation et dans le parcours scolaire ou année la plus récente. De légers progrès ont également été enregistrés en matière de disparités de genre pour le primaire pour lesquelles l indice est passé de,6 en à,78 en. A mesure que l on progresse dans le système, des écarts plus importants sont enregistrés selon le genre, avec en des indices de parité respectifs de,5 et,38 aux er et nd cycles de l enseignement secondaire en défaveur des filles.

4 Qualité des apprentissages ou année la plus récente. Pour ce qui est de la qualité des apprentissages (objectif 6), nous disposons d analyses menées sur la probabilité de savoir lire aisément pour les -44 ans et des résultats de la participation du à une évaluation du PASEC. En, la probabilité de savoir lire aisément pour les individus de à 44 ans ayant réalisé 6 années d études primaires était de 5% et cette part a diminué pour passer à 47% en 4. Ce chiffre est très en dessous de la moyenne des pays africains pour lesquels cette donnée est disponible (63%). Si on se réfère à l évaluation PASEC, en 5 ème année du primaire, à partir d items comparables dans le temps, le a obtenu un score moyen en français de 3/ en 4 et de 38/ en soit une progression sur la période. La même tendance s observe en mathématiques en 5 ème année du primaire avec un score de 34/ en 4 et de 38/ en. Toutefois, ces scores demeurent encore faibles au regard de ceux des autres pays. Si on s intéresse à la proportion d élèves en échec scolaire (moins de 4% de bonnes réponses), on s aperçoit que cette proportion, même si elle diminue dans le temps, reste relativement importante au où elle concerne en français en 5 ème année 73 % des élèves en 4 et 63 % en. En mathématiques, les valeurs correspondantes sont de 67 % en 4 et 58 % en. Si la qualité des apprentissages semble s être améliorée entre 4 et, elle est encore très nettement insuffisante et reste une des plus faibles en Afrique sub-saharienne au regard des évaluations PASEC. A titre de comparaison, le Cameroun, en 4 sur des items communs, ne présentait que 9 % d élèves de 5 ème année en échec scolaire en français et 36 % en mathématiques.

5 Financement de l éducation ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, Répartition du budget courant de l éducation, Ressources propres en % du PIB 66 % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat 8 4 % Supérieur % Autres niveaux En termes de mobilisation de ressources domestiques et du financement du secteur, le se situe dans la moyenne supérieure des États de l Afrique subsaharienne. Le pays mobilise % de son PIB en ressources propres et % des dépenses publiques courantes sont consacrées à l éducation. Il s agit là d une nette amélioration car la situation au début des années était moins favorable, les ressources propres correspondant à moins de % du PIB alors que % du budget courant de l État était consacré à l éducation. Pour la partie sub-saharienne du continent, ces chiffres sont respectivement de % et % en. Un peu plus de la moitié (53%) des dépenses courantes d éducation est consacrée à l enseignement primaire, ce qui semble en ligne avec le niveau faible de son taux d achèvement et avec l objectif visé d une scolarisation primaire universelle. Ici également, le niveau d engagement politique (engagement budgétaire en faveur de l enseignement primaire) est relativement plus élevé dans le pays que dans le reste de l Afrique subsaharienne (en moyenne 44 % du budget de l éducation consacré à l enseignement primaire). Paramètres de la politique éducative ou année la plus récente. Si on analyse le coût unitaire de l enseignement primaire, on se rend compte que celui-ci est faible au regard de la moyenne de l Afrique sub-saharienne (6% du PIB/habitant au contre % en moyenne). Ce faible coût unitaire s explique en partie par la faiblesse du niveau moyen de rémunération des enseignants et par un ratio élèves-maître élevé. Le niveau moyen de rémunération des enseignants, toutes catégories confondues, équivaut dans le primaire à,3 unités de PIB/habitant. C est nettement moins que la moyenne estimée en Afrique sub-saharienne (3,4). Comme dans nombre de pays africains, ce niveau de rémunération cache des disparités relativement fortes selon le statut des enseignants (fonctionnaires, communautaires). Le niveau d encadrement des élèves est peu satisfaisant avec un ratio élèves/enseignant de 64: contre une moyenne de 44: en Afrique sub-saharienne. Le, à travers ces arbitrages de politiques éducatives, a choisi de donner la priorité aux dépenses hors salaire enseignant au primaire (essentiellement les dépenses administratives et pédagogiques) puisque celles-ci comptent pour 9% du budget du sous-secteur alors qu elles n en forment que % en Afrique sub-saharienne.

6 Minimum Afrique Subsaharienne Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Ratio élève maître dans le public, Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab, Part des dépenses hors salaire enseignants (%), Pourcentage de redoublants, Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur

7 Par ailleurs, le système éducatif tchadien est caractérisé par un niveau de redoublement important à tous les niveaux d enseignement : 3% au primaire (,6% en Afrique sub-saharienne, % au er cycle du secondaire (contre 3,4 %) et,5% au nd cycle du secondaire (contre 3,3 %). Ces redoublements consomment une partie non négligeable des ressources allouées au secteur de l éducation ; on connait également les liens importants qui existent entre redoublements et abandons. Il n est donc pas difficile de comprendre pourquoi le système éducatif tchadien connaît une si faible rétention avec seulement % et 6% d une génération parvenant en dernière année du primaire et du er cycle du secondaire contre une moyenne de 67% et % respectivement pour l Afrique sub-saharienne. Enfin, notons que le coût unitaire de l enseignement secondaire, incluant l EFTP, est également plus faible que celui observé en moyenne en Afrique sub-saharienne (3% du PIB/habitant contre une moyenne de %). Par contre, ce n est pas le cas du coût unitaire de l enseignement supérieur qui est un peu plus élevé que la moyenne régionale (8% du PIB/habitant contre 79 %).

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