Bilan 2012 et perspectives sur un an d actions

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1 Bilan 2012 et perspectives sur un an d actions 1

2 6100 personnes en 2011 ont découvert leur séropositivité VIH, un chiffre comparable à celui de % des découvertes ont été faites lors de consultation en médecine de ville. Ile-de-France, Côte d'azur et Guyane restent les régions les plus touchées. Environ personnes vivent avec le VIH et l'ignorent. 5,2 millions de sérologies VIH réalisées en 2011, soit une augmentation de 4% par rapport à (Pas d'accroissement du nombre de sérologies positives pour le moment.) Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) et les personnes contaminées par rapports hétérosexuels nées à l étranger restent les deux groupes les plus concernés et représentent chacun 40 % des découvertes de séropositivité en Chez les hétérosexuels nés à l étranger, le nombre de cas diagnostiqués diminue depuis 2003, de façon plus marquée chez les femmes (-42 % entre 2003 et 2011) que chez les hommes (-31 %). 2

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4 Impacter l épidémie : «2040 fin de l épidémie?» Permettre aux populations les plus vulnérables d accéder autant qu elles le veulent à un test parce que le dépistage est un droit et parce qu il faut réduire le temps entre la contamination et la découverte de séropositivité 4

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6 Militants formés fin Militants (volontaires et salariés) - 3 Délégués régionaux du SNEG 9 militants associations afro-caribéennes Le RAAC Des outils de communication variés Des moyens adaptés : 6 véhicules camping-car dont 5neufs. 6

7 Entretien préalable de formation pour les militants Formation spécifique d une durée de 4 jours - Les aspects biomédicaux de l infection à VIH et les IST (anticipation de la remise d un résultat, approche motivationnelle, contraintes légales et réglementaires relatives à l élimination des déchets, cadre réglementaires et éthique entourant le dépistage du VIH - Les aspects spécifiques des entretiens de prévention (counseling) lors de la pratique du dépistage du VIH - Une dimension pratique sur l utilisation des tests Partenaires de l association : Ils peuvent faire partie de l équipe d intervenant. Cependant, seuls les intervenants de AIDES ayant reçu une formation et une habilitation peuvent réaliser des tests. + associations avec convention de mise à disposition des membres formés et habilités aux Dépistage.

8 Les stratégies d intervention proposées intègrent le fait que : 1 : Notre objectif n est pas de tenir «des permanences de dépistage ou de faire du CDAG bis» 2 : Le dépistage n est pour AIDES qu un des outils de RDRs à coté et en lien avec les entretiens de RDRs. 3 : Aucune personne ne peut être obligée à «subir» un entretien de RDRs comme porte d entrée pour accéder à un dépistage. 4 : L acte du dépistage comprend un minimum obligatoire d échange entre les deux personnes impliquées pour garantir un consentement éclairé sur les enjeux et la signification du résultat du test.

9 En proximité avec les publics, dans des lieux fixes identifiés - Les locaux de AIDES, sans abuser de cette possibilité et en ne proposant pas des permanences dépistage mais autour de la santé sexuelle - Les locaux des partenaires : centres LGBT,, Ets commerciaux gays / migrants, associations identitaire, PASS, CAARUD, - Lieux de rencontre HSH en extérieur et ou lieux de prostitution. - GARE RER, Métro, centres commerciaux. - Lieux d expérimentation :Pharmacies, centres de vaccinations. Dans des unités mobiles (bus, tente, stand itinérant ) qui peuvent être utilisées dans des lieux extérieurs ou en proximité d un lieu fixe quand par exemple un bar gay ou un commerce Africain n offre pas de conditions de confidentialité suffisantes.

10 Les lieux doivent être adaptés à la réalisation des entretiens de RDRs et des TROD Lieu calme et éclairé, propice aux entretiens pré et post dépistage Garantissant une stricte confidentialité Avec des conditions minimales d hygiène et d asepsie, assurant le recyclage des DASRI.

11 Cahier de traçabilité et autres outils MODELE DE CAHIER DE TRACABILITE DES TROD 1 cahier par équipe de dépistage. L e cahier doit être enfermé dans un coffre ou armoire fermant à clé en dehors des heures de dépistage. Grille à reporter sur un cahier central avec toutes les pages numérotées (page/nombre de pages total) Construction du numéro de participation Numéro de participation : èreS case : initiales de la région (AGL, NOIF, RAM, GO, SO, GE, CA) 2èmeS cases : deux premières lettres de la région ARS 4ème cases : année en cours 5ème cases : numéro d ordre dans le site Date Lieu N participation (à rapporter sur la fiche d observation) Nom déclaré par la personne (facultatif) N tél de contact Par exemple, M. X est le 26ème participant dépisté à Montpellier en 2011 AGL-LA Marque et N lot du test Résultat du test Nom de l intervenant

12 Cahier de suivi des tests positifs/indéterminés CAHIER SUIVI RESULTATS POSITIFS/INDETERMINES- A remplir pour chaque personne ayant réalisé un test de dépistage (TROD) avec un résultat positif ou indéterminé. L objectif est de pouvoir évaluer l accès à une prise en charge rapide pour les personnes découvrant leur séropositivité. N PARTICIPATION (cahier traçabilité) : N CODE FICHE (DOLORES) : Date Résultat positif Résultat indéterminé Lieu Intervenant-e de AIDES ayant réalisé l accompagnement Réalisation du dépistage Informations complémentaires La personne connaissait sa séropositivité Marque du test et n de lot. Il s agit d un faux positif Confirmation par Elisa+Western Blot Si le test rapide était indéterminé, nouveau résultat : positif négatif Première consultation dans un service spécialisé VIH Autre type d accompagnement Autres informations complémentaires Nous n avons plus eu de nouvelles de la personne : après le dépistage rapide après le test de confirmation après la première consultation 12

13 Lieux de dépistage Local de AIDES Etablissement commercial 3% 6% 7% 1% 6% Lieu de rencontre exterieur Action de rue 21% 12% 40% 4% Association Etablissement de santé/soins Structure sociale Service public-institution Autre Des Lieux multiples et variés : Actions réalisés en 2012 sur + de 400 lieux différents 13

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15 100% des personnes dépistées positives par TROD ont été orientées vers un test de confirmation. sur les 90 personnes ayant découvert leur séropositivité (18 le sachant déjà) seules 47 personnes ont gardé le lien avec nous, nous permettant de connaître leur confirmation de test et leur insertion dans le parcours de soins. Sur les 18 personnes connaissant déjà leur séropositivité, 6 étaient sorties du système de soins et ont été accompagnés dans une démarche de reprise de rendez-vous. 13 personnes ont refusé de nous laisser leurs coordonnées, rendant impossible le recueil d informations concernant leur confirmation et leur insertion dans un parcours de soins. 30 personnes ne donnent pas suite à nos appels téléphoniques, sachant que nous essayons de rappeler la personne à trois ou quatre reprises, puis, sans suite de sa part, cessons de la joindre pour ne pas la «harceler». 15

16 Antécédent de recours au dépistage : Dans les 5 dernières années : 5885 Premier test =3295 Nb de personnes ayant déjà réalisé dépistage par TROD : 661 Nbre d hommes : 7715 dont 90 positifs Nbre de femmes : 3120 dont 18 positives Parmi les 3404 tests réalisés auprès des HSH, 456 étaient des migrants. 3% de ces HSH-migrants ont reçu un résultat positif 16

17 Les points positifs selon nous : Le déploiement d actions dans la plupart des lieux de vie des publics prioritaires Partenariat avec des acteurs clés : Ets gay et afro, les assoc LGBT et afro caribéennes, les conventions avec les foyers IDF, les pharmacies des quartiers populaires, les expérimentation dans les centres de vaccination, Un ensemble de partenariats permettant un rapide déploiement des actions Communication efficace, L accueil du public avec une forte satisfaction et effets ressentis positif des entretiens, Des militants salariés et volontaires très investis, attentifs aux nombreux points d assurance qualité 17

18 Points à améliorer en 2013 : Comment cibler mieux encore les populations vulnérables mais ne refuser à personne de faire le test Qu elle communication? Quel ciblage chez les gays, dans les populations migrantes? Nouvelles technologies sur nos actions auprès des gays sites de rencontres Internet, GRINDR réseaux sociaux.. Tablettes Smartphone? Développer les actions en fonction des saisons (éviter les actions de rue l hiver!! ) La confirmation des positifs et la prise en charge (en IDF) Les Nouveautés 2013 / 2014 : L arrivée des auto tests? Les tests Hépatites et IST? La formation de partenaires associatifs 18

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