naturels, non naturelles Aspects économiques d une prévention efficace

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "naturels, non naturelles Aspects économiques d une prévention efficace"

Transcription

1 BANQUE MONDIALE NATIONS UNIES «Remarquable recueil d études de cas, de données à différentes échelles et de principes économiques appliqués [ce rapport] apporte une compréhension approfondie des rôles relatifs du marché, de l intervention publique, et des institutions sociales dans l amélioration de la prévention et de la riposte aux situations dangereuses.» KENNETH J. ARROW, Prix Nobel d économie, 1972 «Je recommande vivement cet ouvrage aux économistes comme aux non-initiés, ainsi qu aux fonctionnaires devant gérer des inondations, des marées noires, des tremblements de terre ou d autres catastrophes.» GARY S. BECKER, Prix Nobel d économie, 1992 «Fascinant et bien venu Vos travaux sont de la plus haute importance.» ELINOR OSTROM, Prix Nobel d économie, 2009 «Ce rapport est une merveille Je ne pense jamais avoir lu 248 pages aussi instructives et digestes sur un sujet aussi douloureusement sérieux.» Thomas C. Schelling, Prix Nobel d économie, 2005 «Cet excellent ouvrage présente des enseignements pratiques qui influenceront notre manière d appréhender les catastrophes et de les éviter. Ce rapport pourrait orienter et éclairer les analyses stratégiques et avoir un effet considérable sur les vies des populations vulnérables. Je me réjouis de sa publication.» Amartya Sen, Prix Nobel d économie, 1998 «Les interventions seront plus efficaces, avant et après l apparition des phénomènes, et les dégâts minimisés si les gouvernements, les organisations de secours et les autres parties concernées tirent les enseignements de cette étude.» Robert M. Solow, Prix Nobel d économie, 1987 NATIONS UNIES BANQUE MONDIALE naturels, non naturelles Aspects économiques d une prévention efficace Aperçu

2

3 Risques naturels, catastrophes non naturelles Aspects économiques d une prévention efficace Aperçu NATIONS THE UNITED UNIESNATIONS BANQUE MONDIALE Washington

4 Cette publication présente une vue d ensemble et la table des matières de l ouvrage (à paraître) intitulé Risques naturels, catastrophes non naturelles, Aspects économiques d une prévention efficace. Pour commander un exemplaire de la version intégrale de l ouvrage publié par la Banque mondiale, veuillez compléter le formulaire prévu à cet effet dans la publication Banque internationale pour la reconstruction et le développement/banque mondiale 1818 H Street NW Washington DC Téléphone : Internet : Tous droits réservés. Le présent rapport a été établi par les services de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement/banque mondiale. Les observations, interprétations et opinions qui y sont exprimées ne reflètent pas nécessairement les vues des Administrateurs de la Banque mondiale ni des pays que ceux-ci représentent. La Banque mondiale ne garantit pas l exactitude des données citées dans cet ouvrage. Les frontières, les couleurs, les dénominations et toute autre information figurant sur les cartes du présent rapport n impliquent de la part de la Banque mondiale aucun jugement quant au statut juridique d un territoire quelconque et ne signifient nullement que l institution reconnaît ou accepte ces frontières. Droits et licences Le contenu de cette publication fait l objet d un dépôt légal. La publication ou la transmission d une partie ou de l intégralité de la présente publication peut constituer une violation de la loi applicable. La Banque internationale pour la reconstruction et le développement/ Banque mondiale encourage la diffusion de ses études et, normalement, accorde sans délai l autorisation d en reproduire des passages. Pour obtenir l autorisation de reproduire ou de réimprimer toute partie de cette publication, veuillez adresser votre demande en fournissant tous les renseignements nécessaires, par courrier, au Copyright Clearance Center Inc., 222 Rosewood Drive, Danvers, MA 01923, USA ; par téléphone au ; par télécopie au ; ou directement sur le site Pour tout autre renseignement sur les droits et licences, y compris les droits dérivés, veuillez envoyer votre demande, par courrier, à l adresse suivante : Office of the Publisher, The World Bank, 1818 H Street NW, Washington, DC 20433, USA ; par télécopie au ; ou par courriel à pubrights@worldbank.org. La présente édition du manuscrit a pour objet de diffuser les résultats des travaux en cours afin d encourager l échange d idées sur les questions de développement. Il s agit d une version préliminaire qui ne doit pas être citée. Couverture : La couverture s inspire d une peinture Madhubani illustrant la destruction provoquée par le tsunami de L œuvre originale d Amrita Das, une artiste du district de Madhubani, dans l État du Bihar (Inde), fait partie d une collection privée. Depuis des siècles, les femmes de la région de Mithila, dans le Bihar, transmettent de génération en génération ces techniques de peinture sur sol et sur mur. Historiquement associé à des catastrophes naturelles, ce style de peinture est devenu populaire à la suite d une grave sécheresse qui a frappé la région entre 1966 et Dans un soucis de promotion de sources de revenus non agricoles, le Gouvernement indien a encouragé les femmes de la région à peindre sur papier (plutôt que sur sol ou sur mur) pour favoriser la vente de leurs œuvres. Ce mouvement jouit aujourd hui d une réputation internationale. Conception : Serif Design Group

5 Ils ont aimé Risques naturels, catastrophes non naturelles Aspects économiques d une prévention efficace «Ce rapport fait la synthèse des connaissances actuelles au sujet des effets des risques naturels sur le bien-être humain. C est un remarquable recueil d études de cas, de données à différentes échelles et de principes économiques appliqués aux problèmes posés par les séismes, les anomalies climatiques et autres. Il apporte une compréhension approfondie des rôles relatifs du marché, de l intervention publique, et des institutions sociales dans l amélioration de la prévention et de la riposte aux situations dangereuses.» KENNETH J. ARROW, Prix Nobel d économie, 1972 «Cette excellente étude arrive à point nommé pour rappeler à la réalité tous les responsables de la gestion et de l atténuation des inondations, des tremblements de terre et des autres catastrophes naturelles.» BRUCE BABBIT, Ancien Secrétaire d État à l intérieur, États-Unis «Cet excellent livre sur les risques naturels et les catastrophes non naturelles aborde un sujet d importance capitale et immédiate. J ai particulièrement aimé les chapitres sur la vitesse de récupération des pays et des régions frappés par des catastrophes un sujet débattu au moins depuis John Stuart Mill et sur la réaction positive des marchés en termes de valeurs immobilières et autres. Je recommande vivement cet ouvrage aux économistes comme aux non-initiés, ainsi qu aux fonctionnaires devant gérer des inondations, des marées noires, des tremblements de terre ou d autres catastrophes.» GARY S. BECKER, Prix Nobel d économie, 1992 «Trois mots clés viennent à l esprit après avoir lu ce rapport de la Banque mondiale : prévention, coopération internationale étroite et priorité à la compassion pour les victimes et à la sauvegarde de leur dignité. Ce rapport de la Banque mondiale attire l attention des acteurs internationaux, des autorités locales et des particuliers sur les questions devant être systématiquement prises en compte lors de l examen de mesures de prévention. Les gouvernements doivent montrer l exemple en prenant des mesures de prévention directes, tirant le meilleur parti des ressources publiques, et indirectes, montrant aux gens comment se protéger. C est là le vrai défi que la Banque mondiale et nous tous devons relever. C est notre rêve, qui deviendra réalité si nous sommes prêts à payer le prix (politique) nécessaire. Cet idéal reflète les convictions et les actions de la Protection civile italienne.» GUIDO BERTOLASO, Chef de la Protection civile italienne «Comment expliquer que certaines communautés réussissent à amortir les chocs associés à de rares phénomènes naturels tandis que d autres endurent de terribles souffrances? Risques naturels, catastrophes non naturelles est un excellent livre qui examine cette question de manière analytique et empirique.» SIR PARTHA DASGUPTA, Professeur d économie Frank Ramsey, Université de Cambridge

6 «La médiatisation de l aide est malheureusement telle que les services officiels d aide humanitaire et les ONG font d énormes efforts pour secourir les sinistrés et pratiquement aucun pour éviter les catastrophes. Ce rapport plaide courageusement en faveur d un rééquilibrage des priorités. Il insiste, comme aucun autre auparavant, sur le fait que les «catastrophes naturelles» ne sont pas si naturelles que cela : l absence de prévention coûte une multitude de vies, généralement parmi les plus pauvres. Et il lance un défi : pallier le honteux désintérêt pour la prévention afin de sauver ces vies.» WILLIAM EASTERLY, auteur de Le fardeau de l homme blanc (2006) «Les spécialistes du développement et de l aide humanitaire ont tous pour devoir moral de veiller à ce que chaque dollar soit dépensé au mieux. Cette étude est un ouvrage fondamental pour les responsables et professionnels de la réduction des risques de catastrophes et des secours aux sinistrés, plus encore en ces temps où la frugalité est de mise. En renforçant la sécurité et la résistance des collectivités, la bonne gestion des dépenses alliée à une transparence et une responsabilisation accrues permettront de faire plus et mieux et d aller plus loin dans la lutte contre les plus grandes vulnérabilités qui menacent l humanité. Ce rapport souligne le besoin de ressources supplémentaires et de partenariats novateurs, conformément à l expérience de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, qui montre qu il est opportun d investir dans la prévention des catastrophes.» BEKELE GELETA, Secrétaire général de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge «Ce livre est à lire absolument par les dirigeants et les personnes concernées du monde entier. Depuis trop longtemps, nos dirigeants font trop peu pour éviter la transformation des risques naturels en catastrophes (non) naturelles, puis agissent trop lentement lorsqu elles se produisent. Ces risques augmentent aujourd hui avec l urbanisation et le changement climatique. Ce livre présente une grande quantité d informations dans des analyses éloquentes et des messages clairs. Les auteurs formulent des suggestions pragmatiques allant des incitations commerciales à des règlements «intelligents» et des principes de bonne gouvernance. Ils méritent d être pris au sérieux.» SRI MULYANI INDRAWATI, Directrice générale de la Banque mondiale ; Ancienne ministre des Finances de l Indonésie «Les alertes en cas de danger imminent sauvent des vies et des moyens d existence. Mais nous pouvons faire mieux que cela, comme le montre cet excellent rapport! Il appelle, à l aide d arguments, de déclarations et de témoignages, les gouvernements du monde entier à améliorer la détection et la prévision des risques et à mettre en place de meilleurs dispositifs sectoriels d alerte pour réduire les pertes humaines et économiques qui compromettent le développement socioéconomique. L amélioration des systèmes d alerte rapide représente un investissement indéniable dans le développement durable, comme l illustrent de nombreux pays où les avantages dépassent de loin les dépenses encourues.» MICHEL JARRAUD, Secrétaire général de l Organisation météorologique mondiale «Lorsqu un risque naturel frappe d innocentes victimes, les gens de par le monde viennent à leur rescousse. Il incombe aux décideurs de veiller à ce que cette générosité soit utilisée à bon escient. Ce rapport est l un des premiers à aborder les risques dans une perspective économique axée sur la rentabilité des investissements. Cette perspective aussi sinistre qu elle puisse paraître permet de comprendre pourquoi nous devrions investir davantage dans la prévention (et pourquoi nous ne le faisons pas), pourquoi les règles et la planification classiques ne fonctionnent pas toujours, et pourquoi nous devrions envisager la prévention des risques de catastrophes dans un cadre de développement élargi. Ce rapport fournit un schéma directeur détaillé et opportun pour réduire les catastrophes à l heure où les risques naturels semblent augmenter.» HOMI KHARAS, Maître de recherche, Brookings Institution

7 «Je viens de lire votre rapport et le trouve à la fois fascinant et bien venu! Les problèmes de fond découlent d une piètre gouvernance qui prévaut depuis longtemps et qui sape la confiance dans les gouvernements et entre les gens. La reconstruction ne concerne pas uniquement le monde physique mais aussi la restauration beaucoup plus difficile de la confiance et du capital social. Malheureusement, les mesures nécessaires à cette fin ne sont ni faciles ni rapides. Vos travaux sont de la plus haute importance.» ELINOR OSTROM, Prix Nobel d économie, 2009 «Ni les chocs économiques ni les risques naturels ne peuvent être évités mais les citoyens, les agents économiques et les gouvernements peuvent considérablement limiter ou atténuer leurs pires effets grâce à un savant mélange de prévention, d assurance et de mécanismes de riposte appropriés. Comme le suggère son titre, ce livre explique comment faire face aux risques naturels pour éviter qu ils ne se transforment en «catastrophes» naturelles. Il met l accent sur les mesures de prévention pouvant être prises par les gouvernements Il examine également le rôle de l assurance contre les catastrophes et montre que les échecs du marché et des gouvernements sont nombreux dans ce domaine, en dépit de son importance capitale.» GUILLERMO PERRY, Ancien ministre colombien des Finances et du Crédit public «Cet ouvrage de la Banque mondiale sur les aspects économiques de la prévention des catastrophes (non) naturelles est appelé à faire autorité. L analyse économique, assortie de descriptions factuelles, de récits personnels, de diagrammes, de données, de photographies et de références, présente des arguments multidisciplinaires convaincants en faveur de différents types de mesures de prévention ciblant les causes spécifiques et les conséquences probables de catastrophes potentielles dans toutes les régions du monde.» RICHARD POSNER, auteur de Catastrophe : Risk and Response (2004) «Ce rapport est une merveille. Le style est limpide, l organisation logique, les illustrations verbales impressionnantes, les cartes et les diagrammes compréhensibles, les discussions théoriques accessibles et le sujet fascinant : comment comprendre les dangers et comment faire face, avant et après leur apparition, à des tremblements de terre, des tempêtes, des inondations, des sécheresses et des phénomènes extrêmes. C est un modèle à étudier et imiter. Il représente un travail d équipe, réfutant l idée reçue selon laquelle un chameau est un cheval décrit par un comité. Je ne pense jamais avoir lu 248 pages aussi instructives et digestes sur un sujet aussi douloureusement sérieux. Félicitations aux auteurs et à tous leurs conseillers et réviseurs.» THOMAS C. SCHELLING, Prix Nobel d économie, 2005 «Cet excellent ouvrage présente des enseignements pratiques qui influenceront notre manière d appréhender les catastrophes et de les éviter. Ce rapport pourrait orienter et éclairer les analyses stratégiques et avoir un effet considérable sur les vies des populations vulnérables. Je me réjouis de sa publication.» AMARTYA SEN, Prix Nobel d économie, 1998 «La principale thèse développée dans ce rapport, à savoir que la prévention est importante et nécessite autant de réflexions que de subventions, est valide. Mais tous les risques ne peuvent pas être évités et le rapport analyse avec brio comment partager ou assumer les risques résiduels. Je recommande ce rapport à toute personne désireuse de comprendre la vraie nature des risques de catastrophes et des marchés de l assurance, au-delà des questions relativement prosaïques de l offre, de la demande et du prix d équilibre concernant les risques. Il pourrait même aider à comprendre la

8 débâcle des prêts hypothécaires et ce qui s est vraiment passé lorsque ce marché a complètement perdu de vue les principes énoncés dans cet excellent ouvrage.» JOHN SEO, Cofondateur de Fermat Capital Management, LLC ; Ancien conseiller nommé par l État auprès du Fonds de secours suite au passage de l ouragan Katrina «J ai lu ce rapport minutieux, intelligent et sérieux au début de la saison des ouragans. Il y aura une autre saison des ouragans l année prochaine, puis l année suivante. Il y aura également des sécheresses, des inondations et des tremblements de terre. Les interventions seront plus efficaces, avant et après l apparition des phénomènes, et les dégâts minimisés si les gouvernements, les organisations de secours et les autres parties concernées tirent les enseignements de cette étude. L ignorance n est pas bienheureuse pendant la saison des ouragans.» ROBERT M. SOLOW, Prix Nobel d économie, 1987 «Risques naturels, catastrophes non naturelles offre aux responsables de l action gouvernementale une approche novatrice et intéressante axée sur les aspects économiques de la réduction des pertes humaines et physiques liées aux risques naturels. Ce rapport dresse une analyse critique de différents thèmes et s attaque à un certain nombre de tabous en attirant l attention sur le rôle critique des mesures d incitation (aussi bien privées que publiques), des marchés libres, de la libre circulation de l information et des dispositifs institutionnels, ainsi que sur les possibilités et limites de l action gouvernementale. Ce rapport, accessible à un public de non-initiés, décrit les aspects économiques de la réduction des risques en s appuyant sur la littérature la plus récente et en la complétant de nombreuses études empiriques et analytiques. Il servira de référence aux chercheurs et responsables de l action gouvernementale dans ce domaine.» RODNEY WEIHER, Ancien économiste en chef, NOAA «Ce livre représente la première analyse systématique de la gestion des risques extrêmes réalisée dans une perspective comparative mondiale. Il représente une contribution majeure à un domaine de plus en plus important.» MARTIN WEITZMAN, Professeur d économie, Université de Harvard «Le monde est sans cesse frappé de «catastrophes naturelles», déclenchées par des tremblements de terre, des sécheresses, de violentes tempêtes ou des rivières en crue. Ces catastrophes infligent de terribles souffrances humaines, en particulier chez les pauvres. Mais la nature n est pas la première responsable de ces pertes. Comme le montre cette vaste et incisive étude, ces pertes découlent de la synergie entre les forces de la nature et les malencontreuses décisions humaines. Nous accentuons les risques en endiguant les rivières et en libérant des gaz à effet de serre, et nous nous exposons aux risques existants en construisant des villes dans des zones inondables ou sans respecter les normes parasismiques. Et lorsque les dangers existent, notre action est souvent inefficace et axée sur la reconstruction plutôt que sur la prévention, bien moins coûteuse, et ne tire pas parti des efforts d atténuation privés et publics. Cette étude, remarquable par sa clarté et sa documentation fournie, pourrait modifier notre façon de faire face aux calamités.» RICHARD ZECKHAUSER, Professeur d économie politique Frank P. Ramsey, Université de Harvard «Ayant moi-même été confronté à maintes reprises et au plus haut niveau aux conséquences dévastatrices des risques naturels, j apprécie l énorme valeur de cet ouvrage. Sa publication arrive à point nommé. Sa rigoureuse analyse et ses judicieuses prescriptions politiques en font une lecture incontournable pour toute personne ayant des responsabilités ou un intérêt dans ce domaine.» ERNESTO ZEDILLO, Ancien président du Mexique ; Directeur du Yale Center for the Study of Globalization

9 Table des matières Remerciements MÉMORANDUM À L INTENTION D UN MINISTRE DES FINANCES PRÉOCCUPÉ Aperçu 1 MÉMORANDUM À L INTENTION D UN CITOYEN PRÉOCCUPÉ 23 Annexe : Table des matières de Risques naturels, catastrophes non naturelles 31 Figures 1 Nombre de pays qui archivent des données sur des risques spécifiques 4 2 Les prix de biens immobiliers comparables sont plus élevés dans les quartiers éloignés des zones de Bogotá qui sont vulnérables en cas de séisme 5 3 L insuffisance des dépenses d entretien engendre d énormes besoins de réhabilitation des infrastructures en Afrique subsaharienne 7 4 Trois modes de fonctionnement du tunnel SMART 7 5 Une frontière très visible entre Haïti et la République dominicaine 9 6 Les secours à la suite de catastrophes sont financés par environ un cinquième du total de l aide humanitaire 10 7 Les mesures de prévention prises par les particuliers sont rentables 15 8 Les dépenses postérieures aux catastrophes fluctuent davantage que les dépenses préalables 17 9 Le changement climatique raccourcit la période de retour des cyclones 22 Cartes 1 Le nombre de décès diminue en Asie et dans les Amériques, mais augmente en Afrique 11 2 Le coût des dommages diminue en Afrique mais augmente dans les pays à revenu intermédiaire 12 3 La population exposée aux cyclones et tremblements de terre dans les grandes agglomérations pourrait passer de 680 millions de personnes en 2000 à 1,5 milliard en viii xi vii

10 Remerciements C e rapport a été préparé par une équipe dirigée par Apurva Sanghi et composée de S. Ramachandran, Alejandro de la Fuente, Martina Tonizzo, Sebnem Sahin et Bianca Adam. S. Ramachandran a largement contribué à sa rédaction. Une équipe élargie comprenant des agents de plus de 25 organisations a participé aux recherches préliminaires à la préparation de ce rapport : Jose-Miguel Albala-Bertrand, Javier Baez, Daniel Bitran, Brian Blankespoor, Henrike Brecht, Shun Chonabayashi, Luc Christiansen, Maureen Cropper, Jesus Cuaresma, Uwe Deichmann, Sergio Dell anna, Stefan Dercon, Amod Dixit, Kerry Emanuel, Jocelyn Finlay, Thomas Fomby, Jed Friedman, Suzette Galinato, Maryam Golnaraghi, Lucy Hancock, Stefan Hochrainer, Yuki Ikeda, Nick Ingwersen, George Joseph, Hemang Karelia, Shyam KC, Philip Keefer, Charles Kenny, Carolyn Kousky, Randall Kuhn, Daniel Kull, Howard Kunreuther, Somik Lall, Stephen Ling, Joanne Linnerooth-Bayer, Norman Loayza, Ramon Lopez, Olivier Mahul, Anil Markandya, Reinhard Mechler, Robert Mendelsohn, Rina Meutia, Erwann Michel-Kerjan, Sanket Mohapatra, Robert Muir-Wood, Francis Muraya, Eric Neumayer, Eduardo Olaberria, Thomas Pluemper, Agnes Quisumb-ing, Nicola Ranger, Paul Raschky, Dilip Ratha, Jamele Rigolini, Olga Ros-tapshova, Gokay Saher, Indhira Santos, Manijeh Schwindt, John Seo, A.R. Subbiah, Thomas Teisberg, Michael Toman, Pantea Vaziri, Hyoung Gun Wang, Rodney Weiher, Ben Wisner, Chris Woodruff, Futoshi Yamauchi, Okuyama Yasuhide, Jaime Yepez, Yisehac Yohannes, Michael Young, Ricardo Zapata et Richard Zeckhauser. Nous sommes reconnaissants à Zoubida Allaoua, Milan Brahmbhatt, Marianne Fay, John Holmes, Saroj Jha, Kathy Sierra, Michael Toman et Margareta Wahlstrom pour leur supervision et conseils. Nous avons particulièrement bénéficié des échanges périodiques avec nos principaux réviseurs et conseillers : Milan Brahmbhatt, Shanta Devarajan, Bekele Geleta, Indermit Gill, Daniela Gressani, Michel Jarraud, Werner Kiene, Homi Kharas, Justin Yifu Lin, Frank Lysy, Vikram Nehru, Richard Posner, Muhammad Saidur Rahman, Richard Somerville et Eric Werker. Les directeurs des opérations de la Banque mondiale pour les pays, Ellen A. Goldstein (Bangladesh), Kenichi Ohashi (Éthiopie et Soudan), Yvonne viii

11 Tsikata (Haïti), Johannes Zutt (Comores, Érythrée, Kenya, Rwanda, Seychelles et Somalie), et Ulrich Zachau (Turquie), ont apporté des contributions précieuses aux sections sur les pays. Nous remercions également Elinor Ostrom pour ses remarques perspicaces à propos d Haïti. Nous avons bénéficié de nombreuses consultations et réunions et de nombreux ateliers et remercions les représentants des milieux universitaires, de la fonction publique, de la société civile et du secteur privé qui ont participé à ces manifestations. Nous remercions nos nombreux collègues, internes et externes, qui ont formulé des observations et révisions utiles et stimulé des discussions sur divers aspects du rapport : Issam A. Abousleiman, Roberto Adam, Jean-Christophe Adrian, Edward Charles Anderson, Mir Anjum Altaf, Jorge Saba Arbache, Enrique Blanco Armas, Margaret Arnold, Elif Ayhan, Edward Barbier, Scott Barrett, Reid Basher, Joanne Bayer, Sofa U. Bettencourt, Rosina Bierbaum, Sanjay Bhatia, Anna Bjerde, Jan Bojo, Alex Bowen, Edu-ardo Cavallo, Alison C.N. Cave, Raffaello Cervigni, Poulomi Chakarbarti, Shubham Chaud-huri, Ajay Chhibber, Loic Chiquier, Kenneth Chomitz, Linda Cohen, Richard Damania, Julie Dana, Saurabh Suresh Dani, Jishnu Das, Susmita Dasgupta, Ian Davis, James Douris, Edgardo Favaro, Wolfgang Fengler, Achim Fock, Jorge Garcia-Garcia, Ross Alexander Gartley, Francis Ghesquiere, Stuart Gill, Xavier Giné, Iwan Gunawan, Eugene Gurenko, Hongjoo J. Hahm, Pedro Hallal, Stephane Hallegatte, Kirk Hamilton, Sonia Hammam, Johu Harding, Nagaraja Rao Harshadeep, Andrew Healy, Rafk Fatehali Hirji, Niels B. Holm-Nielsen, Monika Huppi, Zahid Hussain, Stephen Hutton, Ahya Ihsan, Kremena Ionkova, Vijay Jaganna-than, Abhas K. Jha, Roberto Jovel, Mukesh Kapila, Ioannis N. Kessides, Zahed Khan, Jolanta Kryspin-Watson, Daniel Kull, Anne T. Kuriakose, Rodney Lester, Eduardo Ley, Oeyvind Espeseth Lier, Alexander Lotsch, Mott MacDonald, Sergio Margulis, Aditya Mattoo, Michael McCracken, Stephen McGroarty, Deepak K. Mishra, Pradeep Mitra, Jose F. Molina, Roger Morier, Mits Motohashi, Mohinder Mudahar, Siobhan Murray, Mustopha Nabli, Ambar Narayan, Urvashi Narayan, Stephen N. Ndegwa, Ian Noble, Ilan Noy, Michael Oppenheimer, Emily Oster, Amparo Pala-cios Lopez, Kiran Pandey, Praveen Pardeshi, Mark Pelling, Robert Pindyck, Prashant, Christoph Pusch, John Roome, Charles Scawthorn, Zmarack Shalizi, Sujai Shivakumar, Surya Shrestha, Kenneth Simler, Ravi Sinha, Nirmaljit Singh Paul, Emmanuel Skoufas, Robert Smith, Richard Somer-ville, Vivek Suri, Ferenc Toth, Vladimir Tsirkunov, Paula Uski, Willem van Eeghen, Marijn Verhoeven, Cesar G. Victora, Doekle Wielinga, William Wiseman, Winston Yu, Shahid Yusuf, Wael Zakout et Ivan Zelenko. La série de séminaires organisés pour recueillir des avis et idées sur un certain nombre de thèmes représente une composante importante de ce rapport. Nous remercions les orateurs et intervenants qui y ont participé et qui ont gracieusement offert leur temps à la Banque mondiale ou aux Nations Unies : Kenneth Arrow, Bruce Babbitt, Freeman Dyson, Daniel Kahneman, Homi Kharas, Howard Kunreuther, Wangari Maathai, Robert Mendelsohn, William Nordhaus, Edward C. Prescott, Richard Posner, Thomas Schelling, John Seo et Martin Weitzman. Nous remercions les partenaires du Dispositif mondial de réduction des effets des catastrophes et de relèvement pour leur soutien financier. Elina Palm a assuré la liaison essentielle entre les Nations Unies et la Banque mondiale. Oscar Apodaca, Fatoumata Doumbia, Max Jira et Alisa Lertvalaikul ont apporté un excellent soutien logistique tout au long du projet. Judy Ka Lai a assuré la gestion des ressources. Bruce Ross-Larson a joué le rôle de principal directeur de la publication. Le service d impression, d art graphique et de Remerciements ix

12 x Risques naturels, catastrophes non naturelles : Aspects économiques d une prévention efficace cartographie de la Banque mondiale a réalisé les cartes sous la direction de Jeff Lecksell. Le Bureau des publications a assuré des services de rédaction, de conception, de composition et d impression sous la supervision de Patricia Katayama, Nora Ridolf et Dina Towbin. Roger Morier et Brigitte Leoni ont fourni appui et conseils sur la stratégie de communication.

13 MÉMORANDUM À L INTENTION D UN MINISTRE DES FINANCES PRÉOCCUPÉ Objet : Risques naturels, catastrophes non naturelles : Aspects économiques d une prévention efficace Ce mémorandum concerne un rapport que vous trouverez probablement utile et intéressant. Axé sur la prévention des décès et des dégâts induits par les catastrophes «naturelles», il conclut que les gouvernements peuvent sensiblement augmenter la prévention. La bonne nouvelle est que la prévention est dans bien des cas efficace par rapport au coût. Elle nécessite de nombreuses actions et notamment d importantes mesures relevant du gouvernement. Mais elles ne sautent pas toujours aux yeux. L amélioration de certains services publics, tels que les transports en commun, permet par exemple aux populations de se déplacer de zones dangereuses à proximité de leur travail vers des lieux plus sûrs. La réduction du déboisement évite que les fortes pluies n entraînent des coulées de boue, de pierres et de débris dans des zones peuplées. Ce rapport examine comment définir de telles mesures et les dépenses associées, de sorte à les rendre efficaces. La bonne utilisation des crédits est une question complexe, et l analyse coûts/avantages (sous-utilisée) peut y contribuer, mais il est essentiel que les institutions encouragent une participation et une surveillance accrues de la part du public. Une plus grande transparence dans tous les aspects des processus décisionnels gouvernementaux présente d importants avantages. La façon dont le public répond à ces mesures de prévention dépend de la confiance que lui inspire le gouvernement. Cette confiance repose sur des institutions crédibles, comme le souligne invariablement ce rapport. Si la prévention s avère payante, elle ne coûte pas nécessairement plus cher. Les gouvernements peuvent par exemple faciliter l accès aux informations sur les dangers et les risques (cartes des plaines d inondation et des lignes de faille par exemple). L amélioration du fonctionnement des marchés peut également avoir une incidence positive car de nombreuses informations sont intégrées dans les prix. Le contrôle des prix, des échanges, etc., associé à des taux d imposition excessifs, a des effets néfastes et leur correction contribue pour beaucoup au développement de la prévention. xi

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

REDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.

REDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques. REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs

Plus en détail

Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications

Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications (Juillet 1989) La vitesse de l innovation technologique liée aux ordinateurs et aux télécommunications, ces dernières années, et l intégration

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité 6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté

Plus en détail

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique COUR DES COMPTES Synthèse du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique Janvier 2011 L emploi des fonds collectés par les associations en faveur des victimes du Tsunami du 26 décembre

Plus en détail

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique

Plus en détail

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Fonds de secours des employés Demande de bourse

Fonds de secours des employés Demande de bourse Fonds de secours des employés Demande de bourse Le fonds de secours des employés de MeadWestvaco a été établi pour répondre aux besoins immédiats des employés éligibles pendant les premières semaines cruciales

Plus en détail

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques

Plus en détail

Stratégie nationale en matière de cyber sécurité

Stratégie nationale en matière de cyber sécurité Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

«Une heure pour savoir»

«Une heure pour savoir» PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à : Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.

Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:

Plus en détail

À propos de Co operators

À propos de Co operators Co-operators est heureuse de présenter un mémoire en réponse au document de réflexion du Groupe de travail sur les pointages de crédit du CCRRA sur l utilisation des pointages de crédit par les assureurs,

Plus en détail

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8 Note explicative 1. Ce document est l avant-projet préliminaire du cadre de réduction des risques de catastrophe pour l après-2015. Il servira de base aux consultations informelles ouvertes à mener en

Plus en détail

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement. le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une

Plus en détail

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence

Plus en détail

Stratégie intelligente de reprise d activité pour les postes de travail : postes de travail sous forme de service (DaaS) LIVRE BLANC

Stratégie intelligente de reprise d activité pour les postes de travail : postes de travail sous forme de service (DaaS) LIVRE BLANC Stratégie intelligente de reprise d activité pour les postes de travail : postes de travail sous forme de service (DaaS) LIVRE BLANC Sommaire Résumé analytique.... 3 L improbable n a jamais été aussi probable....

Plus en détail

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur Diapositive 1 Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur L animateur se présente; ensuite, il présente le thème ainsi que les membres du groupe. Diapositive 2 Après les présentations,

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion

Plus en détail

Dossier de presse Catastrophes naturelles

Dossier de presse Catastrophes naturelles Fédération Française des Sociétés d'assurances Dossier de presse Catastrophes naturelles Le système d indemnisation mis en place par la loi du 13 juillet 1982 Avant 1982, l assurance ne couvrait que certains

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006

GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des

Plus en détail

NOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité

NOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus

Plus en détail

Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement

Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 6 décembre 2011 #dettes #hypothèque Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement Waterloo Les résultats du plus

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances

Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.

Plus en détail

Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise

Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise Nous assurons ce que vous avez construit sans pourquoi ni comment. Ainsi, l ensemble des propriétaires immobiliers des environ 400 000

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Gestion de la sécurité de l information par la haute direction

Gestion de la sécurité de l information par la haute direction Étude technique Gestion de la sécurité de l information par la haute direction _la force de l engagement MC Groupe CGI inc. 2004, 2010. Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut

Plus en détail

Mémoire Portant sur le rapport intitulé «Innover pour pérenniser le système de retraite» (Rapport D Amours)

Mémoire Portant sur le rapport intitulé «Innover pour pérenniser le système de retraite» (Rapport D Amours) Mémoire Portant sur le rapport intitulé «Innover pour pérenniser le système de retraite» (Rapport D Amours) Présenté à la Commission des finances publiques l Assemblée nationale du Québec 30 juillet 2013

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

Consultations prébudgétaires 2011-2012

Consultations prébudgétaires 2011-2012 Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Traité de Copenhague nécessaire

Traité de Copenhague nécessaire Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague

Plus en détail

Avantages économiques procurés par le secteur des assurances

Avantages économiques procurés par le secteur des assurances 6 Avantages économiques procurés par le secteur des assurances Sans les assurances, rien ne va plus dans notre monde moderne Le secteur des assurances constitue un pilier central de l économie helvétique

Plus en détail

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques Outil d autoévaluation LPRPDE Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques table des matières Utilité de cet outil... 3 Utilisation de cet outil... 4 PARTIE 1 : Guide

Plus en détail

Bonsoir, Mesdames et Messieurs,

Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de

Plus en détail

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia

Plus en détail

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers

Plus en détail

RESPONSABILITÉ CIVILE DE L OCCUPANT LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS ET CHUTES

RESPONSABILITÉ CIVILE DE L OCCUPANT LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS ET CHUTES RESPONSABILITÉ CIVILE DE L OCCUPANT LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS ET CHUTES ASSURANCE ENTREPRISE PARCOUREZ IBC.CA LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS, ET CHUTES donnent lieu à certaines des réclamations en

Plus en détail

EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES

EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES Résumé Executif / Haiti / 2011 Avant-propos d Eduard Tschan, directeur de

Plus en détail

Gestion des risques de fraude

Gestion des risques de fraude SERVICES-CONSEILS GESTION DES RISQUES Gestion des risques de fraude Une approche proactive visant à lutter contre le risque de fraude et de malversation kpmg.ca/juricomptabilite 2014 KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l.,

Plus en détail

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE 15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Musées et paysages culturels

Musées et paysages culturels La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,

Plus en détail

Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes

Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes À sa 9 e séance plénière, le 22 janvier 2005, la Conférence mondiale sur la prévention des

Plus en détail

Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept

Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Table des matières I II III IV V VI Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Le marché des Services de

Plus en détail

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Céline Grislain-Letrémy Résumé long - Thèse en sciences économiques sous la direction de Bertrand Villeneuve L objet de cette thèse

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,

Plus en détail

L érosion côtière et le Ministère de la sécurité publique

L érosion côtière et le Ministère de la sécurité publique L érosion côtière et le Ministère de la sécurité publique Hugo Martin Direction régionale de la sécurité civile et sécurité incendie du Bas-Saint-Laurent et Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 15 mai 2014 Contexte

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320 Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320 Assemblée générale Distr. limitée 30 octobre 2012 Français Original: anglais et russe Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Sous-Comité scientifique

Plus en détail

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L HOMME ET DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DES MONITORINGS Strasbourg, 11 juin 2010 Public Greco RC-II (2008) 4F Addendum Deuxième Cycle d Evaluation Addendum au Rapport

Plus en détail

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA

Plus en détail

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources

AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources COMMUNIQUÉ DE PRESSE Hong Kong, le 21 octobre 2013 AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources Protéger l homme grâce à la recherche sur les

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux

Plus en détail

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans

Plus en détail

Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires. Préparé par l Association des banquiers canadiens

Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires. Préparé par l Association des banquiers canadiens Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires Préparé par l Association des banquiers canadiens Le 7 mars 2000 Notre engagement : des documents hypothécaires en langage courant

Plus en détail

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour vos chantiers 30.34.001/00 08/14 L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour votre chantier La construction d un bâtiment,

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS Avril 2010 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1.

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la

Plus en détail

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL:

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: Comment REDD+ peut soutenir une Economie Verte Ce texte est une traduction provisoire de la synthèse à l intention des décideurs politiques. La version finale de cette synthèse

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail