CONCLUSIONS DU COMITE PERMANENT SUR LA CHAINE ALIMENTAIRE ET LA SANTÉ ANIMALE
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- Beatrice Noël
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1 14 décembre 2007 ORIENTATIONS RELATIVES À LA MISE EN ŒUVRE DU RÈGLEMENT N 1924/2006 CONCERNANT LES ALLÉGATIONS NUTRITIONNELLES ET DE SANTÉ PORTANT SUR LES DENRÉES ALIMENTAIRES CONCLUSIONS DU COMITE PERMANENT SUR LA CHAINE ALIMENTAIRE ET LA SANTÉ ANIMALE Traduction française Original en anglais disponible sur le lien : 1/12
2 Table des matières INTRODUCTION 3 I. INTERACTION AVEC D AUTRES LÉGISLATIONS COMMUNAUTAIRES. 3 I.1 Interaction avec les dispositions communautaires énoncées dans la directive 89/698/CEE et dans les directives concernant les denrées alimentaires destinées à 3 une alimentation particulière.. I.2. Interaction avec le règlement (CE) n 258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients alimentaires et mesures appropriées II. ALLÉGATIONS COMPARATIVES 5 II.1. Dispositions du règlement. 5 II.2. Orientations pour l utilisation des allégations comparatives.. 6 II.2.1. Catégorie de denrées alimentaires 6 II.2.2. Produit de référence... 7 II.2.3. Comparaison significative.. 7 II.2.4. Indication de la différence de quantité d un nutriment et/ou d une valeur énergétique 7 III. CLASSIFICATION DES ALLÉGATIONS. 8 III.1. Allégations nutritionnelles / allégations de santé.. 8 III.2 Classification des allégations de santé. 9 III.2.1. Limites entre les «allégations fonctionnelles» et «les allégations de réduction de risque de maladie». 10 III.2.2. Limites entre les allégations se rapportant au développement et à la santé des enfants et les autres allégations de santé 11 III.2.3. Incidence de la classification en article 13 ou en article /12
3 INTRODUCTION Le règlement (CE) n 1924/ du Parlement européen et du Conseil concernant les allégations nutritionnelles et de santé portant sur les denrées alimentaires a été adopté le 20 décembre Ce règlement énonce des règles harmonisées pour l utilisation des allégations nutritionnelles et de santé et contribue à un niveau de protection élevé du consommateur. Il assure que toute allégation faite dans l étiquetage de denrées alimentaires dans l UE soit clair, précis et accompagné de preuves, permettant aux consommateurs d effectuer des choix informés et judicieux. Le règlement vise également à garantir une concurrence loyale, et à promouvoir et protéger les innovations dans le domaine alimentaire. Suite à un travail informel, la direction générale de la santé et de la protection des consommateurs de la Commission a créé avec des experts des États membres un groupe de travail afin d examiner une série de questions concernant la mise en œuvre du règlement, notamment la classification des allégations. Le Comité permanent de la chaine alimentaire et de la santé animale a approuvé les conclusions suivantes lors de sa séance du 14 décembre Le présent document vise à aider les parties prenantes à mieux comprendre et à appliquer correctement et uniformément le règlement. Cependant, ce document ne possède aucun statut légal et en cas de conflit, la responsabilité ultime de l interprétation du droit relève de la Cour européenne de justice. I. INTERACTION AVEC D AUTRES REGLEMENTATIONS COMMUNAUTAIRES Le règlement (CE) n 1924/2006 s applique à l utilisation des allégations, qui, conformément à la définition qui en est donnée dans le règlement, sont «tout message ou toute représentation, non obligatoire en vertu de la législation communautaire ou nationale [ ]». En conséquence, les allégations, autrement dit les messages formulés de façon volontaire, doivent être distingués des indications d étiquetage obligatoires requises par d autres législations, communautaires ou nationales. I.1. Interaction avec le dispositif communautaire énoncé dans la directive 89/398/CEE et les directives concernant les denrées alimentaires destinées à une alimentation particulière. L article 1 (5) du règlement indique que le présent règlement s applique sans préjudice des dispositions stipulées, entre autres, dans la directive 89/398/CEE et des directives spécifiques adoptées en ce qui concerne les denrées alimentaires destinées à une alimentation particulière. La directive 89/398/CEE comprend une disposition générale selon laquelle l étiquetage des denrées alimentaires destinées à une alimentation particulière doit décrire les caractéristiques des produits de l alimentation particulière. En outre, la directive spécifique 2006/141/CE concernant des préparations pour nourrissons et les préparations de suite, qui modifie la 1 JO L 12, , p3. 3/12
4 directive 1999/21/CE prévoit des règles spécifiques pour les allégations nutritionnelles et de santé concernant les préparations pour nourrissons. Les seules allégations autorisées concernant les préparations pour nourrissons sont énumérées à l annexe IV de la directive 2006/141/CE et doivent être formulées conformément aux conditions qui y sont exposées. Conformément au troisième alinéa de l article 4 (1) de la directive 89/398/CEE, la modification de la liste des allégations nutritionnelles et de santé doit être adoptée selon une procédure dite de comitologie, en cas de nécessité, après avoir consulté l Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA). Dans la mesure où aucune disposition similaire n existe pour les préparations de suite, les allégations nutritionnelles et de santé faites sur ces produits sont régies par le règlement (CE) n 1924/2006. Les autres denrées alimentaires destinées à une alimentation particulière régies par les directives adoptées sur la base de la directive 89/398/CEE, notamment les préparations à base de céréales et les aliments pour bébés destinés aux nourrissons et aux enfants en bas âge (directive 2006/125/CE de la Commission), peuvent porter des allégations autorisées sur la base du règlement 1924/2006, dans la mesure où ces directives ne comportent pas de dispositions spécifiques concernant les allégations nutritionnelles et de santé. Les éléments obligatoires dans l étiquetage, la présentation ou la publicité des denrées destinées à une alimentation particulière exigés par la directive 89/398/CEE ou par les directives spécifiques adoptées sur la base de celle-ci, visant à décrire les caractéristiques nutritionnelles particulières de ces denrées alimentaires ou l objectif qu elles poursuivent, sont bien entendu en dehors du champ d application du règlement 1924/ Interaction avec le règlement (CE) n 258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients alimentaires et mesures appropriées Le règlement (CE) n 258/97 définit les nouveaux aliments comme étant «les aliments et les ingrédients alimentaires pour lesquels la consommation humaine est restée négligeable dans la Communauté avant le 15 mai 1997». Le règlement (CE) n 258/97 détaille les règles d autorisation pour les nouveaux aliments et les nouveaux ingrédients alimentaires. La demande d autorisation pour les nouveaux aliments doit être soumise par le biais du règlement (CE) 258/97. Toute demande d allégation concernant les nouveaux aliments pour laquelle une demande d autorisation a été soumise est effectuée séparément et conformément aux dispositions du règlement (CE) n 1924/2006 concernant les allégations. Le règlement (CE) n 258/97 prévoit également la possibilité de mentions obligatoires d étiquetage pour les nouveaux aliments ou les nouveaux ingrédients alimentaires. Cependant, comme indiqué dans le 1 er article, les mentions obligatoires requises par le droit communautaire ne doivent pas être considérées comme des allégations et sont exclues du champ d application du règlement qui ne vise que les allégations formulées à titre volontaire. À titre d exemple, les mentions relatives au cholestérol pour les produits contenant des phytostérols, des phytostanols ou leurs esters requises par le règlement de la Commission (CE) n 608/2004 concernant l étiquetage des aliments et des ingrédients alimentaires contenant ces composants ajoutés sont exclues du champ d application du règlement (CE) 1924/ /12
5 II. ALLÉGATIONS COMPARATIVES Les allégations nutritionnelles ne sont autorisées que si elles sont énumérées à l annexe au règlement (CE) n 1924/2006 (article 8, paragraphe 1). II.1. Dispositions du règlement Les allégations comparatives sont régies par l article 9 du règlement. 1. Sans préjudice de la directive 84/450/CEE, une comparaison ne peut être faite qu entre des denrées alimentaires de la même catégorie, en prenant en considération un éventail de denrées de cette catégorie. La différence de teneur en nutriments et/ou de valeur énergétique est indiquée et la comparaison se rapporte à la même quantité de denrée alimentaire. 2. Les allégations nutritionnelles comparatives comparent la composition de la denrée alimentaire en question à celle d un éventail de denrées alimentaires de la même catégorie, dont la composition ne permet pas l emploi d une allégation, y compris des denrées alimentaires d autres marques. Le considérant 21 explique que «pour les allégations comparatives, il est nécessaire que les produits comparés soient clairement identifiés pour le consommateur final.» Les seules allégations comparatives énumérées à l annexe sont les suivantes : «enrichi en (nom du nutriment)», «réduit en (nom du nutriment)», «valeur énergétique réduite» et «allégé», pour lesquelles des conditions particulières sont énoncées dans l annexe au règlement : ENRICHI EN (NOM DU NUTRIMENT) Une allégation affirmant que la teneur en un ou plusieurs nutriments, autres que des vitamines ou des minéraux, a été augmentée, ou toute autre allégation susceptible d avoir le même sens pour le consommateur, ne peut être faite que si le produit remplit les conditions applicables à l allégation «source de» et si l augmentation de cette teneur est d au moins 30 % par rapport à un produit similaire. RÉDUIT EN (NOM DU NUTRIMENT) Une allégation affirmant que la teneur en un ou plusieurs nutriments a été réduite, ou toute autre allégation susceptible d avoir le même sens pour le consommateur, ne peut être faite que si la réduction de cette teneur est d au moins 30 % par rapport à un produit similaire, sauf s il s agit de micronutriments, pour lesquels une différence de 10 % par rapport aux valeurs de référence fixées par la directive 90/496/CEE est admissible, ou s il s agit de sodium ou d équivalent en sel, pour lesquels une différence de 25 % est admissible. VALEUR ÉNERGÉTIQUE RÉDUITE Une allégation selon laquelle une denrée alimentaire a une valeur énergétique réduite, ou toute autre allégation susceptible d avoir le même sens pour le consommateur, ne peut être faite que si la valeur énergétique est réduite d au moins 30 %, en indiquant la ou les caractéristiques entraînant la réduction de la valeur énergétique totale de la denrée alimentaire. 5/12
6 ALLÉGÉ Une allégation selon laquelle un produit est allégé ou «light», ou toute autre allégation susceptible d avoir le même sens pour le consommateur, doit remplir les mêmes conditions que celles applicables aux termes «réduit en»; elle doit aussi être accompagnée d une indication de la ou les caractéristiques entraînant l allègement de la denrée alimentaire. II.2. Orientations pour l utilisation des allégations comparatives Les allégations comparatives sont des allégations nutritionnelles. Il convient de préciser que les allégations «autant de que» ou toute allégation ayant le même sens ne sont pas considérées comme des allégations comparatives, l article 9 spécifiant qu une allégation comparative doit indiquer la différence de teneur en nutriments ou de valeur énergétique. Par ailleurs, l allégation «autant de que» ne figure pas dans l annexe du règlement et n est, par conséquent, pas autorisée. L allégation «super allégé» ne figure pas dans l annexe du règlement et n est par conséquent pas autorisée. II.2.1 Catégorie de denrées alimentaires L article 9.1 limite l utilisation d allégations comparatives aux denrées alimentaires de même catégorie, afin d éviter que la comparaison soit établie entre des denrées alimentaires ayant un contenu nutritionnel différent (par exemple, entre le lait et le beurre). Cependant, le règlement ne donne pas de définition des catégories de denrées alimentaires. Les produits faisant l objet d une comparaison devraient par conséquent appartenir à des groupes de denrées alimentaires similaires en termes de contenu nutritionnel. Certains groupes de denrées alimentaires sont trop étendus pour être considérés comme des catégories de denrées alimentaires pour l application de cette disposition, et certaines comparaisons pourraient induire en erreur. Par exemple, la catégorie de denrées alimentaires que constituent les «produits laitiers» serait trop étendue et entrainerait une comparaison inadéquate de la teneur en matière grasse d un fromage avec la teneur en matière grasse du lait. Par conséquent, dans cet exemple, seules les catégories de denrées alimentaires telles que les «laits» et les «fromages» doivent être considérées comme des «catégories» pour l application de cette disposition. Les denrées alimentaires similaires en termes de contenu nutritionnel global peuvent également être des produits de substitution, tels que la margarine et le beurre, qui sont tous deux des matières grasses. Par conséquent, la notion de catégorie de denrées alimentaires doit également tenir compte des circonstances et/ou de l objectif de la consommation. Les consommateurs peuvent trouver un intérêt dans la comparaison de certains produits et leurs substituts. Dans ces cas et afin de ne pas induire en erreur le consommateur, en tenant compte de l explication figurant au considérant 21 du règlement, il pourrait être exiger en application de l article 3 que le produit de référence soit mentionné explicitement. 6/12
7 II.2.2. Produit de référence L article 9.2 spécifie que pour la comparaison, un éventail de denrées alimentaires de la même catégorie doit être pris en compte, y compris des denrées alimentaires d autres marques. Il s agit d éviter une situation dans laquelle une comparaison avec un seul produit pourrait induire en erreur le consommateur, car ce produit ne serait pas représentatif de cette catégorie de produits. Par exemple, une entreprise alimentaire pourrait prendre, comme produit de référence, un produit ayant une teneur en énergie plus élevée que le produit moyen de cette catégorie de denrées alimentaires. La version allégée pourrait avoir 30 % de valeur énergétique en moins de ce produit de référence, mais la comparaison induirait en erreur, puisque ce dernier ne serait pas représentatif des produits de cette catégorie sur le marché. Sous réserve d être ainsi représentatif des produits de sa catégorie, une marque spécifique de produit peut être utilisée comme un élément de comparaison. En d autres termes, si un produit de marque spécifique a une composition qui est représentative du marché, le nom du produit peut fournir la référence pour la comparaison lorsqu il est suivi de l allégation «allégé». Par exemple, la mention «X allégé», X étant un produit standard, fournit l information sur le produit de référence. II.2.3. Comparaison significative Sur la base de l article 9. 2, et afin de ne pas induire en erreur le consommateur, il ne sera pas possible pour l exploitant de formuler une allégation «réduit» lorsque la réduction de 30 % est atteinte, mais que la différence entre la version standard et la version allégée n a aucune signification par rapport à l ingestion globale du nutriment en cause. Par exemple, il ne sera pas possible de formuler une allégation «teneur réduite en matière grasse» pour le pain. Pour des raisons similaires de quantité significative, les conditions régissant l allégation «enrichi en (nom du nutriment)» font que les denrées alimentaires permettant l emploi de l allégation «enrichi en (nom du nutriment)» doivent remplir les conditions pour l allégation «source de». II.2.4. Indication de la différence de teneur en nutriments et/ou d une valeur énergétique L article 9 requiert l indication de la différence de teneur en nutriment et/ou de valeur énergétique. La différence peut être exprimée en pourcentage ou en valeur absolue. Lorsque l allégation «allégé» ou «valeur énergétique réduite» est utilisée, la ou les caractéristiques qui rendent l aliment «allégé» ou «à valeur énergétique réduite» doivent être indiquées. Une seule indication peut satisfaire les exigences tant de l article 9 que des conditions d utilisation de l allégation «allégé» ou «valeur énergétique réduite». Par exemple, une étiquette indiquant «allégé 50 % de sucres en moins». Lorsque le nutriment est retiré de la composition du produit, cette indication peut être fournie par une allégation mentionnant cette absence de nutriment, par exemple «allégé sans sucres». 7/12
8 III. CLASSIFICATIONS DES ALLÉGATIONS Les définitions suivantes sont reprises de l article 2 du règlement. «Allégation nutritionnelle» : toute allégation qui affirme, suggère ou implique qu une denrée alimentaire possède des propriétés nutritionnelles bénéfiques particulières de par : a) l énergie (valeur calorique) qu elle : i) fournit, ii) fournit à un degré moindre ou plus élevé, ou iii) ne fournit pas, et/ou b) les nutriments ou autres substances qu elle : i) contient, ii) contient en proportion moindre ou plus élevée, ou iii) ne contient pas. «Allégation de santé» : toute allégation qui affirme, suggère ou implique l existence d une relation entre, d une part, une catégorie de denrées alimentaires, une denrée alimentaire ou l un des ses composants et, d autre part, la santé. «Allégation relative à la réduction d un risque de maladie» : toute allégation de santé qui affirme, suggère ou implique que la consommation d une catégorie de denrées alimentaires, d une denrée alimentaire ou de l un de ses composants réduit sensiblement un facteur de risque de développement d une maladie humaine. III.1. Allégations nutritionnelles / allégations de santé La première problématique de classification concerne l allégation «contient (nom du nutriment ou d une autre substance)». Conformément aux dispositions de l annexe au règlement, les conditions suivantes s appliquent : CONTIENT (NOM DU NUTRIMENT OU D UNE AUTRE SUBSTANCE) Une allégation selon laquelle une denrée alimentaire contient un nutriment ou une autre substance pour lequel ou laquelle le présent règlement ne fixe pas de conditions particulières, ou toute autre allégation susceptible d avoir le même sens pour le consommateur, ne peut être faite que si le produit respecte toutes les dispositions applicables du présent règlement, et notamment l article 5. Pour les vitamines et les minéraux, les conditions prévues pour l allégation «source de» s appliquent. Alors que l allégation «contient» est normalement une allégation nutritionnelle, l utilisation dans certains cas du terme «contient» dans une allégation vise des groupes de substances ayant un effet fonctionnel spécifique. Dans ces cas, l allégation «contient» est une allégation de santé et doit par conséquent être autorisée comme telle. 8/12
9 Les exemples suivants visent à mieux expliquer la différence entre les deux catégories d allégations utilisant le terme «contient» : Une allégation est une allégation nutritionnelle si la dénomination de la substance ou de la catégorie de substances ne contient que des informations factuelles. Exemples : «contient du lycopène» ; «contient de la lutéine». Une allégation est une allégation de santé si la dénomination de la substance ou de la catégorie de substances contient la description ou l indication d une fonctionnalité ou une incidence implicite sur la santé. Exemples : «contient des antioxydants» (la fonction est un effet antioxydant) ; «contient des probiotiques/prébiotiques» (la référence à un probiotique/prébiotique implique un bénéfice santé). De même, les allégations qui visent l indication d une fonctionnalité dans la description d un nutriment ou d une substance (par exemple, comme un adjectif de la substance) doivent également être classées comme des allégations de santé Exemples : «avec des fibres prébiotiques» ou «contient des fibres prébiotiques». Il convient de rappeler que toutes les allégations sont soumises aux principes généraux des articles 3 et 5. Dans le cas de l allégation «contient», la substance visée par l allégation est présente en quantité significative et a démontré qu elle avait un effet nutritionnel ou physiologique bénéfique. En outre, l utilisation d allégations nutritionnelles et de santé donne lieu, d après l article 7 du règlement, à l obligation de fournir des informations nutritionnelles conformément à la directive 90/496/CEE. III.2. Classification des allégations de santé Le règlement donne la définition suivante pour les allégations de santé : «Allégation de santé» : toute allégation qui affirme, suggère ou implique l existence d une relation entre, d une part, une catégorie de denrées alimentaires, une denrée alimentaire ou l un de ses composants et, d autre part, la santé. Le règlement distingue différents types d allégations de santé et fournit différentes procédures d évaluation et d autorisation à suivre : «Les allégations au sens de l article 13» sont des allégations de santé qui décrivent ou mentionnent : (a) le rôle d un nutriment ou d une autre substance dans la croissance, dans le développement et dans les fonctions de l organisme ; ou (b) les fonctions psychologiques et comportementales ; ou (c) sans préjudice de la directive 96/8/CE, l amaigrissement, le contrôle du poids, une réduction de la sensation de faim, l accentuation de la sensation de satiété ou la réduction de la valeur énergétique du régime alimentaire. 9/12
10 Elles sont mentionnées ci-après comme des «allégations fonctionnelles». Sur le fondement des listes nationales que les États membres doivent fournir d ici le 31 janvier 2008, la Commission consultera l EFSA et adoptera, au plus tard le 31 janvier 2010, un registre des allégations autorisées. Les allégations fondées sur des preuves scientifiques nouvellement établies et/ou qui incluent une demande de protection des données relevant de la propriété exclusive du demandeur sont soumises à la procédure d autorisation fixée à l article 18. À compter du 1 er février 2008, les États membres peuvent envoyer des demandes valides à l AESA en vue d une évaluation scientifique (*) conformément à l article 18 (3). «Les allégations au sens de l article 14» sont : - les allégations se rapportant au développement et à la santé des enfants, - les allégations relatives à la réduction d un risque de maladie. En ce qui concerne les allégations de santé relatives à la réduction d un risque de maladie ou se rapportant au développement et à la santé des enfants, les demandes peuvent être présentées à compter du 1 er juillet 2007, date d entrée en application du règlement 2. III.2.1. Limites entre les «allégations fonctionnelles» et les «allégations relatives à la réduction d un risque de maladie» Le règlement fournit la définition suivante : «Allégation relative à la réduction d un risque de maladie : toute allégation de santé qui affirme, suggère ou implique que la consommation d une catégorie de denrées alimentaires, d une denrée alimentaire ou de l un des composants réduit sensiblement un facteur de risque de développement d une maladie humaine. Lorsque l allégation mentionne un facteur de risque de maladie reposant sur des preuves scientifiques généralement admises, elle doit être considérée comme une allégation au sens de l article 14 uniquement lorsqu une réduction de ce facteur de risque est affirmée, suggérée ou impliquée. Les autres cas doivent être considérés comme des «allégations fonctionnelles», c est-à-dire comme des allégations relevant d une des catégories énumérées à l article 13 du règlement. 2 Les demandes suivent les indications de l AESA figurant dans l «Avis du groupe scientifique sur les produits diététiques, la nutrition et les allergies (NDA) concernant la demande de la Commission relative aux orientations scientifiques et techniques pour la préparation et la présentation de la demande d autorisation d une allégation de santé». 10/12
11 Le tableau suivant résume les critères servant à établir la distinction dans le cas où des facteurs de risque de maladie sont mentionnés : L allégation fait référence : - à une fonction normale de l organisme, -à un facteur de risque de maladie, sans affirmer, suggérer ou impliquer sa réduction Exemple : maintient [nomme la fonction vitale normale de l organisme]. -une réduction du facteur de risque d une maladie, en mentionnant ou non le nom de la maladie Exemple : fait baisser [nomme le facteur de risque]. Classification Article 13 Article 14 III.2.2. Limites entre les allégations se rapportant au développement et à la santé des enfants et les autres allégations de santé L article 14 vise les allégations qui se référent «au développement et à la santé des enfants». Le terme «enfant», qui n est pas défini dans le règlement, doit s entendre comme s étendant jusqu à la fin de la période de la croissance de l enfant. Une limite de 18 ans peut être mentionnée à titre indicatif, mais cette indication n entend pas définir ce terme dans le cadre du règlement. Le droit communautaire en matière de denrées alimentaires fournit la définition de nourrissons et d enfants en bas âge à l article 2 de la directive 2006/141/CE concernant les préparations pour nourrissons et les préparations de suite, à savoir : - «nourrissons» : les enfants de moins de douze mois, - «enfants en bas âge» : les enfants âgés de un à trois ans. Les nourrissons et les enfants en bas âge sont des sous-groupes «d enfants» tels que mentionnés à l article 14 du règlement. Les allégations suivantes doivent être considérées comme des allégations au sens de l article 14 : - les allégations de santé se référant uniquement au développement et à la santé des enfants, et lorsque les preuves scientifiques ne sont valables que pour les enfants. Dans ce cas, les preuves scientifiques sont des données obtenues à partir d études menées sur des enfants Exemple : «le calcium est bon pour la croissance des enfants», - les allégations de santé utilisées au sujet de produits destinés exclusivement aux enfants, tels que les préparations de suite, les préparations à base de céréales et les aliments pour bébés, tels que définis par la directive 2006/141/CE et la directive 2006/125/CE, sont considérées comme des allégations au sens de l article /12
12 Les allégations suivantes doivent être considérées comme des allégations au sens de l article 13 - Les allégations mentionnant le rôle d un nutriment ou d une autre substance dans la croissance, dans le développement et dans les fonctions de l organisme lorsque les preuves scientifiques couvrent la durée totale de la vie ou un groupe plus large que celui des enfants. Dans ce cas, les demandes, les avis de l AESA et les conditions d utilisation de l allégation doivent indiquer avec précision le groupe de consommateurs pour lequel l allégation est scientifiquement prouvée et valide. - Exemple : pour la cible «pour enfants et femmes enceinte», une allégation au sens de l article 13 n est possible que si la preuve scientifique couvre le groupe des enfants ainsi que celui des femmes enceintes. III.2.3. Incidence de la classification en article 13 ou en article 14 La classification ci-dessus est élaborée essentiellement sur la base des preuves scientifiques fournies pour la justification de l allégation. Le requérant doit proposer une classification de ses allégations sur la base des données contenues dans sa demande. Un contact avec les autorités des États membres peut aider à résoudre les questions de classification. La classification n a pas d incidence sur le niveau de justification nécessaire à l autorisation. La forme et le contenu du dossier scientifique sont les mêmes pour les deux types d allégation. Dans les cas exceptionnels, la classification peut dépendre de l évaluation scientifique de l AESA. Par exemple, les preuves scientifiques fondées sur des essais cliniques effectués exclusivement sur des enfants donnent lieu à une allégation relevant de l article 14, tandis que celles fondées sur des essais cliniques effectués sur des enfants et sur d autres groupes de population ne donnent pas automatiquement lieu à des allégations relevant de l article 13. Si l AESA conclut que l allégation est scientifiquement prouvée exclusivement pour les enfants, cette allégation sera considérée comme une allégation au sens de l article /12
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