Le tourisme cultuel : séjours par pèlerinage en 2004
|
|
- Léonie Gignac
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Direction du Tourisme Département de la stratégie, de la prospective, de l évaluation et des statistiques N Le tourisme cultuel : séjours par pèlerinage en 2004 En 2004 les touristes français ont effectué plus de 188 millions de séjours en France et à l étranger, générant plus de 985 millions de nuitées pour diverses raisons. La visite à la famille occupe la première position avec plus de 71 millions de séjours, suivie des déplacements pour vacances tourisme et loisirs avec presque 70 millions de séjours, Le pèlerinage se situe plus loin avec une part de marché cependant supérieure à un demi-million de séjours, d une durée moyenne de 5,1 nuitées occasionnant donc plus de 2.5 millions de nuitées. Cette participation, relativement modeste, est beaucoup plus importante pour quelques profils particuliers de touristes, notamment pour les personnes de plus de 60 ans. Neuf séjours pour pèlerinage sur dix sont effectués en France ; quatre sur dix à Lourdes. Ils ont plus souvent lieu en octobre et en hébergement marchand
2 Le pèlerinage concerne pour moitié les plus de 65 ans 6 selon l'âge en 2004 Les déplacements pour raisons cultuelles sont plus fréquemment le fait des femmes que pour l ensemble des séjours. Ce qui est sans doute une conséquence de l âge relativement élevé des personnes partant en pèlerinage. selon le sexe en ,2% ,3% 51,7% Homme Femme 45,4% 54,6% En effet, quatre pèlerins sur cinq sont au moins quinquagénaires, tandis que leur participation n est que de deux déplacements sur cinq tous motifs de séjour confondus. En outre, un pèlerin sur deux a plus de 65 ans alors que la contribution de cette tranche d âge n est que de 17% pour l ensemble des séjours. Hors effet de structure, l Aquitaine est la région la plus émettrice La cause de ces déplacements est plutôt dépendante des ,5% 21,1% 8,3% 26,6% 21,8% 28,3% 16,9% ans ans ans ans 65 ans et plus caractéristiques des individus. Mais la région Aquitaine est la plus fortement émettrice de départs pour motif cultuel relativement à l ensemble des déplacements. Elle génère 13.2% de ces déplacements contre 4.9% de l ensemble des déplacements. En particulier la Gironde (département 33) participe à hauteur de 8.8% des séjours cultuels contre 2.9% de l ensemble des séjours, La proximité de Lourdes y est peut-être pour beaucoup. La région Nord-pas-de-Calais contribue à hauteur de 3.9% pour l ensemble des séjours et de 8.3% pour les séjours pour pèlerinage. En général les touristes bretons effectuent 4.9% de l ensemble des séjours et 7.8% des séjours pour pèlerinage, Quant aux régions générant le moins de séjours cultuels par rapport à l ensemble de leurs séjours, on trouve, en premier lieu, la région Ile-de-France participant à hauteur de 26.2% dans l ensemble des séjours mais ne représentant «que» 15.6% des séjours cultuels ainsi que la région Rhône-Alpes respectivement Corse Limousin Franche Comte Bourgogne Alsace Lorraine Centre Picardie Basse Normandie Haute Normandie Auvergne Pays de la Loire Poitou Charentes Champagne Ardennes Rhône Alpes Languedoc Midi Pyrénées Bretagne Nord Provence Côte d'azur Aquitaine Ile de France selon la région d'origine en , 0,2% 1,8% 2,6% 3,1% 2, 4, 2, 2,2% 1,9% 2,7% 2,9% 2,1% 3,9% 5,7% 4,4% 2,5% 4,9% 1,7% 5,4% 10,9% 5,9% 3,9% 7,3% 4,3% 7,8% 4,9% 8,3% 3,9% 8,8% 6,6% 13,2% 5,4% ,6% 26,2% 5% 1 15% 2 25% 3
3 de 10.9% contre 5.4%. Les territoires ruraux sont ceux qui émettent proportionnellement le plus de pèlerins, à hauteur de 31.7% contre 19.6% pour tous séjours. 55% 54% 13% selon le statut matrimonial en % 22% 19% 9% 5% 5% Marié Concubinage Célibataire Divorcé Veuf 16%. Le pèlerinage concerne peu les PCS supérieures et plutôt les personnes seules dont les revenus mensuels sont inférieurs à La proportion des séjours touristiques des personnes qui ont un niveau scolaire primaire est de 14.6% dans les séjours cultuels, elle est de 4.6% dans l ensemble des séjours. Pour celles ayant acquis un diplôme de l enseignement secondaire ces proportions sont respectivement de 9.8% contre 6.2% ; et de 22% contre 17.3% pour les titulaires de CAP-BEP, quant à ceux ayant un niveau universitaire 2ième et 3ième cycle leurs contributions est respectivement 13.6% pour tous séjours contre 7.3% pour le tourisme cultuel, et de 12.6% contre 10.2%. Presque 4 des pèlerinages sont effectués par des foyers d une personne contre 19% tous séjours confondus ; 46.3% des séjours cultuels sont le fait de foyers de deux personnes contre 37% pour l ensemble des séjours. Signe de l âge moyen élevé des pèlerins, les familles nombreuses (dont la taille dépasse 4 personnes) ne sont que 4.9% à pratiquer le tourisme cultuel alors qu elles génèrent 26.5% de l ensemble des séjours. La répartition des pèlerins selon leur situation matrimoniale illustre bien ce qui est observé selon l âge et la taille du foyer. Les veufs ou veuves participent à hauteur de 16.1% dans le tourisme cultuel contre 4.6% pour l ensemble des séjours. L écart est aussi du simple au double pour les divorcés 9.3% pour le pèlerinage et 4.8% tous séjours, Les familles et les concubins ne montrant pas de choix affirmés dans la pratique du tourisme cultuel. Plus de 3 des séjours cultuels sont effectués par des touristes issus de foyers dont le revenu mensuel est inférieur à 1500 ; ces foyers ne participant qu à hauteur de 15% à l ensemble des déplacements. C est essentiellement pour les revenus situés entre 300 et 1900 mensuels que l on note la propension la plus élevée pour ces déplacements religieux. Audessus de ce niveau de revenu, et jusqu à 3000 mensuels, la contribution des ménages au tourisme cultuel est assez proche de leur contribution globale aux séjours touristiques. Logiquement ces déplacements sont à 60 % le fait de retraités contre 23%. Quant aux cadres supérieurs, professions libérales, intermédiaires et contremaîtres ces catégories participent à hauteur d un séjour sur deux pour l ensemble des séjours, et d un séjour sur cinq pour le tourisme cultuel. Les étudiants n y contribuent qu à hauteur de 0.5% pourtant leur participation avoisine les 1 pour l ensemble des séjours. selon le niveau scolaire en 2004 selon les tranches de revenu mensuel par foyer en 2004 Ens-sup 22,9% 33,2% 5301 euros et plus 3001 à 5300 euros 2, 6, 15,1% 27,6% Ens-technique 51,2% 56, 2301 à 3000 euros 23,4% 22,9% Enseignement secondaire 6,2% 1501 à 2300 euros 29,3% 26,9% Jamais _étud+primaire 4,6% 15,1% ,5% 901 à 1500 euros 12,3% 8,8% Moins de 900 euros 3,7% 5% 1 15% 2 25% 3 35% - 3 -
4 selon la PCS en 2004 Inactif Retraité Etudiant Ouvrier Employé, Services Prof. interméd., Contrem. Cadre sup., Prof.libérale Commercant, Artisan, Chef d'entrep. Agriculteur 11,2% 6,1% 23, 9,3% 4,4% 8,2% 4,4% 16, 5,9% 18, 10,7% 16,8% 2,2% Les pèlerinages des Français se déroulent d abord en France Neuf pèlerinages sur dix sont effectués en France métropolitaine, et quatre sur dix à Lourdes. Le département Hautes-Pyrénées accueille à lui seul plus de séjours religieux, ce qui correspond à 41% de l ensemble de ces séjours qui durent en moyenne un peu plus de quatre nuits. Ainsi Lourdes accueille plus de 820 mille nuitées de pèlerin en 2004 (année de la visite du pape), avec un pic de fréquentation durant le mois d octobre. Les saisons des fréquentations touristiques cultuelles sont plutôt le printemps et l automne, presque 37% de ces séjours sont effectués en avril, mai et juin, dont 17% pour le seul mois de mai. Quant à l automne les déplacements de septembre à novembre représentent plus de 21% de l ensemble des séjours, contre presque 33 % pour les pèlerinages dans la même période. Deux tiers des déplacements cultuels ont lieu en ville, et un tiers à la campagne. Toutefois l espace «montagne» est lui aussi fréquemment cité au regard de sa place dans l ensemble des déplacements touristiques. Quant à la mer le tourisme religieux n y est pas fréquent 9.5% de ces séjours contre 27% de l ensemble des séjours. Plus d un séjour cultuel sur trois est pour une durée de séjour de 4 à 7 nuitées, inscrit dans la catégorie de longs séjours, contre 1 séjour sur quatre pour la même durée mais pour l ensemble des séjours, il y a autant de courts que de longs séjours cultuels, tandis qu il y a 55.7% de séjours courts et de 44.3% de longs séjours pour l ensemble des séjours. Mer Montagne Campagne Lac Ville Autre selon l'espace fréquenté en , 2,6% 3, 5,8% 9,5% 14,8% 26,9% 28,9% 35,7% 32,6% 35,9% 53,2% Presque 85% de ces séjours religieux sont effectués en hébergement marchand (expliquant la forte concentration de l infrastructure hôtelière à Lourdes) contre presque 4 pour l ensemble des séjours. Les séjours en hébergement non marchand ( chez la famille, les amis ou en résidence secondaire) sont de l ordre de 15% au cours des séjours religieux, contre 6 pour tous séjours selon le mode d'hébergement en ,2% 84,2% 60,8% 15,8% Hébergement marchand Hébergement non marchand
5 Les séjours pour pèlerinage selon la saison en 1997 et % 16% 17,1% 16,6% 15,6% 14% 14,1% 12% 10,9% 11,2% 1 8% 6% 5,5% 6,6% 5,4% 5,6% 9, 9,7% 7,8% 6,8% 8, 6,8% 6,5% 5,9% 7, 4% 2% 2, 2, janv-97 Fevrier 97 mars-97 avr-97 mai-97 juin-97 juil-97 Aout 97 sept-97 oct-97 nov-97 Decembre 97 La fréquentation religieuse varie sensiblement d une année à l autre La comparaison entre années de déplacements touristiques pour pèlerinage révèle l impact des grands évènements religieux sur la fréquentation. Ainsi la destination Île-de- France qui représente 5.7% de ces séjours en 1997 (année des Journées Mondiales de la Jeunesse) passe à 1.5% en Année où les séjours se sont plutôt concentrés dans la région Midi-pyrénées, avec plus de 44 % des séjours, du fait de la visite du souverain pontife à Lourdes en août de cette année là. En 1997, les JMJ ont eu une influence significative sur les déplacements et la mobilisation de la jeunesse dans les séjours cultuels. Les jeunes de 15 à 24 ans ont contribué à près de 17% des séjours pour pèlerinage, alors qu ils n ont représenté que 2.4% de ces séjours en Ainsi la saison «religieuse» en 1997 a connu un pic de fréquentation au mois d août sachant que ce tourisme est traditionnellement printanier et automnal. : structure par âge en 1997 et 2004 L'organisation des JMJ à Toronto au Canada en 2002 a mis en évidence l intérêt que cela représentait pour nombre de nos compatriotes. En effet la part des départs des Français pour cette destination a été de l ordre de 3 % des déplacements alors qu'elle est habituellement de d'ordre de 1.2% vers la destination Amérique du nord. Le pèlerinage des musulmans de France : En 2004, les musulmans de France ont effectué presque séjours de pèlerinage visitant les lieux saints de l Islam en Arabie Saoudite, dont 85% pour le grand pèlerinage le «HAJJ» et 15% pour le petit pèlerinage la «OMRA». Le premier nécessite au moins un mois de séjour, pour honorer les différents rituels du cinquième pilier de la religion musulmane réservé aux capables physiquement et matériellement, et la «OMRA» s effectue généralement en deux semaines principalement le mois de Ramadan au cours de l observation du jeun. L ensemble de ces séjours a occasionné plus de nuitées représentant presque 25% des nuitées totales pour pèlerinage, générant un impact économique non négligeable dans les lieux saints. Le visa, obligatoire, est délivré par les autorités consulaires saoudiennes en France ans 14,5% 16,7% 13,5% ans 2 8,3% 21,1% 8,3% ans 26,5% 16,1% 26,6% ans 19,7% 17,7% 21,8% 28,3% 65 ans et + 18,3% 41,7% 16,9% 51,2% - 5 -
6 selon la destination en 1997, 2002 et Base Pélerinage Pélerinage Pélerinage Ile de France 7,7% 5,7% 7,3% 4,4% 7,5% 1,5% Champagne Ardenne 1,5% 0, 1,5% 0,8% 1,8% Picardie 2,3% 2,1% 1,6% 2, 0, Haute Normandie 2,3% 2, 0, 1,9% 2, Centre 4,5% 5,2% 4,3% 3,6% 4,5% 3,4% Nord Pas de Calais 2,8% 2,7% 0, 2,8% 1,5% Lorraine 2,7% 2,1% 2,2% 0,8% 2,3% 1,5% Alsace 1,4% 2,1% 1,7% 1,2% 1,7% 1,5% Franche comte 1,6% 1,7% 0,4% 1,8% 0, Basse normandie 3,2% 2,1% 3,2% 4,8% 3,1% 2,9% Pays de la Loire 7, 3,6% 6,8% 0,8% 6,6% 2,9% Bretagne 6,2% 2,1% 6,7% 2, 6,7% 3,4% Limousin 1,1% 1,3% 1,2% 1,3% 2, Auvergne 1,6% 2,7% 2, 2,9% 2,9% Poitou Charentes 4,3% 1,6% 4, 1,6% 3,6% 2, Aquitaine 5,6% 6,8% 6, 4,4% 5,7% 5,9% Midi-Pyrenees 4,7% 26,6% 5, 28, 4,7% 44,4% Bourgogne 3,9% 5,2% 3, 3,6% 3,1% 3,9% Rhone-Alpes 10,1% 7,3% 10,3% 12, 10,2% 4,9% Languedoc Roussillon 5,8% 2,1% 5,6% 6,4% 5,9% Provence Cote d'azur 8,7% 2,1% 8,4% 4,4% 8,2% 2, Corse 0,4% 0,8% 1,6% 0, France 89,9% 80,7% 89,5% 85,6% 88,8% 89,3% Etranger 10,1% 19,3% 10,4% 14,4% 11,1% 10,7% Europe 7, 15,1% 7,1% 10,8% 7,5% 8,8% Asie Oceanie 0,8% 1,5% Afrique 1,2% 1,6% 1,5% 0, 1,9% Amerique 1,4% 1,6% 1,2% 2,8% 1,2% 0, monde 100, 100, 100, 100, 100, 100, Données réalisées à partir de l enquête : DT-TNS Sofres «Suivi de la Demande Touristique» : interrogation mensuelle d un panel de individus, représentatifs de la population des personnes de plus de 15 ans résidant en France, sur leurs déplacements terminés le mois de l enquête. Pour en savoir plus : Mél :abdel.khiati@tourisme.gouv.f - 6 -
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailQuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009
ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailTypologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007
Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailQuelle image avez-vous de la Belgique?
Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait
Plus en détailPlus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires
Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailMutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13
62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailREGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014
REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailExterne : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions
Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions 18/08/2013 Rodolphe LEDIEU 0 Sommaire Introduction 1. Du DFSGM au DFASM : du Régime de Sécurité Sociale Etudiante au Régime Général
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailProtocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013
Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailFICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.
FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détail30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne.
Un nouveau circuit de saut d obstacles Au format très télévisuel Support de paris sportifs en ligne 30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLe nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.
Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailQue ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)?
Que ferais-tu si quelqu un de ton lycée, de ton entourage, de ton quartier était agressé, verbalement ou physiquement, en raison de son look, de son sexe, de son accent, de sa religion ou de sa couleur
Plus en détailAwoO en 2013. Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013
AwoO en 2013 Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013 Un partenariat fort Entre les acteurs Par la Mutualisation Pour un but commun : développer l activité Un outil qui fonctionne Témoignages
Plus en détailSaint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud
PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité
Plus en détailL emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort
Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.
Plus en détailEdition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502
1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Génie Mécanique et Productique Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance)
Plus en détailINSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J
INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE
Plus en détailMAISONS FAMILIALES RURALES. Moniteur-Monitrice. Mieux connaître. les Maisons en Familiales Rurales
MAISONS FAMILIALES RURALES Mieux connaître Moniteur-Monitrice les Maisons en Familiales Rurales UNMFREO Septembre 2007 >Sommaire > > > «Plus qu une profession, une carrière éducative» Les Maisons Familiales
Plus en détailOCTOBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 CALENDRIER SCOLAIRE 2015-2016 2016-2017
SEPTEMBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 OCTOBRE L M M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détaill EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire
l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi
Plus en détailDossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster
Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailCette nouvelle édition du Lien «spécial
Décembre 9 Editorial éditorial Editorial Editorial SPECIAL STATISTIQUES Evolution du nombre d'étudiants et de stagiaires à l'iufm de BOURGOGNE SITUATION 7 novembre 9 Evolution du nombre Effectifs d'étudiants
Plus en détailIndicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains
Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont
Plus en détailFICHE DE RENSEIGNEMENTS
FICHE DE RENSEIGNEMENTS Nom : Nom marital (éventuellement) : _ Prénoms : (souligner le prénom usuel) ETAT-CIVIL Situation familiale : Célibataire Marié(e) Nombre d'enfants : N INSEE : /_/ / / / / / / /
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailRésultats du sondage
Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailrapport de l observatoire des tarifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires PRÉAMBULE La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif du secteur financier une mission de suivi de
Plus en détailAUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES
AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS
Plus en détailVous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger, vous voulez aménager votre intérieur?
CNRS_290708 19/08/08 9:34 Page 1 E, U N E V N E I B R I D N A R G S N O S I A F E L B M E S EN! S T E J O R P S VO Vous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger,
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV L année 2005 sera-t-elle l année des grands changements dans les relations banques - clients? Les établissements bancaires veulent en convaincre les
Plus en détailRÉSIDENCE AFFAIRES QUARTZ. RÉSIDENCE le. www.terresens.com
RÉSIDENCE AFFAIRES RÉSIDENCE le QUARTZ French Riviera www.terresens.com 2 la situation Paris : A6 Lyon - Marseille, A8 Cannes puis sortie 42 Cannes-centre / Le Cannet Lyon : A7 Marseille, A8 Cannes puis
Plus en détailFonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011
Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détail