La Guinée présentait en 2000 un indice africain de développement EPT de 17,3, une valeur assez éloignée de la moyenne de l Afrique subsaharienne de

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La Guinée présentait en 2000 un indice africain de développement EPT de 17,3, une valeur assez éloignée de la moyenne de l Afrique subsaharienne de"

Transcription

1 Guinée Profil pays EPT 4 Contexte général Pays situé sur la côte atlantique de l Afrique de l'ouest, la Guinée-Conakry compte une population de près de 5 habitants, et avec son PIB par habitant de 49 $US en, se classe parmi les pays à revenu faible. Le pays a traversé autour de l année 9 une période d instabilité sociopolitique qui a affecté son environnement macroéconomique, mais semble renouer progressivement avec la croissance économique, qui se chiffre désormais à des taux de,9% en, mais de 3,9% en et. Cette performance économique reste encore trop modeste pour permettre de mobiliser les ressources nécessaires au niveau national en vue de satisfaire la demande sociale, notamment de la population en âge d être scolarisée. En, la population en âge de fréquenter le primaire représentait 5,7% de la population totale et près de,5% des enfants d âge du primaire n étaient pas scolarisés. Ces chiffres ne sont pas éloignés de la moyenne africaine, mais illustrent le poids des contraintes auxquelles le pays doit faire face dans sa politique éducative. Si le pays se porte mieux que la moyenne sur le plan de la prévalence du VIH&SIDA (le taux de prévalence est estimé à,4%, contre 5,3% pour la moyenne africaine), il se classe en revanche en queue de classement en ce qui concerne l indice de développement humain (78 ème sur 87). Contexte macroéconomique et démographique () PIB par habitant ($ E.U.) 49 Population totale (),45 % de la population en âge de fréquenter le primaire 5.7 % des enfants d'âge du primaire non scolarisés.5 Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans).4% IDH (classement) 78/87 Principaux indicateurs de l EPT ou année la plus récente. La Guinée présentait en un indice africain de développement EPT de 7,3, une valeur assez éloignée de la moyenne de l Afrique subsaharienne de Indice africain de développement EPT 39,3, traduisant un niveau initial très défavorable. La (IAD/EPT) valeur de cet indice n a pas suffisamment évolué sur la Max ASS période et est montée à 9,6 en, un niveau 5% 8 (9) plus faible que la moyenne africaine de. Les progrès accomplis par le pays sur les différentes 6 ASS dimensions mesurées par l indice africain de 4 (57) développement EPT n ont donc pas été suffisants pour combler le retard lié à sa situation de départ très défavorable. Guinée (3) Min ASS (8) Lorsqu on considère les différentes dimensions de l indice, on note que le taux d achèvement du primaire

2 (objectif ) a doublé, en passant de 3% en à 6% en. Sa valeur actuelle reste encore un peu en-dessous de la moyenne d Afrique subsaharienne (estimée à 67%) et indique que plus du tiers des enfants guinéens n achèvent toujours pas encore le cycle primaire. Ces chiffres suggèrent que le pays a encore un long chemin à parcourir pour atteindre l achèvement universel du primaire. L indice de parité de genre (objectif 5) a également progressé de,69 en à,84 en, mais reste encore en-dessous de la moyenne africaine de,94 et apparait d ailleurs loin de la cible de %. Quant à la proportion de personnes alphabétisées de 5 ans et plus (objectif 4), elle a en revanche connu une baisse et est passée de 9,5% en 5 à 5,3% en. Pour les autres dimensions clé de l EPT, le TBS du préscolaire (objectif ) a plus que doublé en passant de 7,7% en 3 à 5,% en, mais reste encore à un niveau très faible, bien inférieur d ailleurs à la moyenne africaine estimée à,%. En lien avec l objectif 3, on constate que le taux d achèvement du premier cycle du secondaire, tout comme celui du primaire, a doublé ; mais ici pour atteindre à peinte 3 %, trois points de pourcentage de moins que la moyenne continentale. Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire 8 Objectif Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle 8 3 Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes Objectif 5 Équité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire (8) (3) 8 (4) (9) (69) Objectif 6 Qualité de l éducation Légende Qualité éducative Objectif à 5 Guinée (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Scolarisation : pyramide éducative ou année la plus récente. Les données présentées dans la fiche-pays, notamment celles tirées du profil de scolarisation et des pyramides éducatives, permettent de détailler davantage l évolution des indicateurs de scolarisation (accès, rétention, transition) et d équité. On note tout d abord une progression significative du taux brut d accès au primaire passé de 6,5% en à % en. Mais cette dernière valeur ne

3 signifie pas forcément que tous les enfants en âge d entrer à l école le sont effectivement, en partie à cause des phénomènes de multi-cohortes. Cependant, avec un taux d achèvement du primaire qui a presque doublé en passant de 3% en à 6% en, le pays semble avoir amélioré la rétention au sein du primaire. On note également au cours de la période une amélioration de la rétention à l intérieur des sous-cycles du secondaire, de 59% à 69% pour le er cycle et de 5% à 8% pour le nd cycle. On note en revanche une baisse de la transition entre les cycles, relativement faible entre le primaire et le er cycle du secondaire (de 76% en à 74% en ), mais plus prononcée entre le er et le nd cycles du secondaire (de 8% en à 7% en ). Cette dynamique a tout de même permis d accroitre significativement la couverture de l enseignement supérieur, de 53 étudiants pour habitants en à 78 étudiants pour habitants en, un chiffre qui, aujourd hui, dépasse la moyenne de l Afrique Subsaharienne (63 étudiants pour habitants) et pose clairement la question de l adéquation quantitative et qualitative de la production du système éducatif par rapport aux besoins de l économie nationale. Finalement, la part de l enseignement technique et professionnel dans le total des effectifs du secondaire a progressé de,4% en 3 à 5,% en, mais qu elle reste encore inférieure à la moyenne africaine, estimée à % en.

4 Équité dans l accès à la scolarisation et dans le parcours scolaire ou année la plus récente. En ce qui concerne l équité, les données les plus récentes montrent des chances de scolarisation défavorables aux filles. En le taux d accès à l école est de 93% chez les filles contre 7% chez les garçons et l écart entre filles et garçons se creuse au fur et à mesure qu on monte dans la pyramide éducative. Au bout du compte, les filles ne sont plus que % à achever le nd cycle du secondaire, contre 3% des garçons. Il n est pas exclu que des disparités similaires soient observées selon le niveau de vie, mais les données disponibles ne permettent pas de le mettre en évidence. Qualité des apprentissages ou année la plus récente. En ce qui concerne la qualité des apprentissages (objectif 6), les données disponibles ne permettent pas de se faire une idée de l évolution de la situation au cours de la période. On peut néanmoins noter à partir des données de l évaluation PASEC menée en 999 que le pays présentait une situation de départ pas trop mauvaise sur le plan de la qualité. En effet, la proportion d élèves guinéens en fin du primaire à présenter encore des difficultés d apprentissages était estimée à 3,%, contre une moyenne de,7% dans les pays francophones ayant bénéficié d une évaluation similaire au cours de cette période.

5 Financement de l éducation ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Guinée Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, Répartition du budget courant de l éducation, Ressources propres en % du PIB 66 % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat % Supérieur % Autres niveaux Les résultats obtenus par la Guinée au regard des objectifs de l EPT l ont été dans un contexte de mobilisation relativement faible des ressources pour le secteur de l éducation. En effet, la performance du pays en matière de recouvrement des recettes publiques n a pas significativement évolué dans le temps : les ressources domestiques sont passées de % du PIB en à % du PIB en, des chiffres bien en dessous de la moyenne africaine estimée à %. De la même manière, la part des dépenses courantes affectées à l éducation n a pas beaucoup progressé puisqu elle est passée de 7% en à 9% en, ce qui situe la Guinée en dessous de la moyenne africaine (%). Sur le plan de l allocation intra-sectorielle, le primaire continue toujours de bénéficier de la plus grande part des dépenses courantes d éducation (de 4% en à 43% en ). C est un niveau d allocation qui se situe un peu en-dessous de la moyenne africaine (44 %), mais qui reste néanmoins caractéristique des pays encore loin de la scolarisation primaire universelle. Le secondaire compte pour 3% des dépenses courantes du secteur en, une valeur qui a beaucoup baissé sur la période (elle était de 34% en ) pour se situer désormais en dessous de la moyenne africaine estimée à 3 %. Le supérieur connait en revanche une dotation relative en hausse, puisqu elle est passée de 6,% en à 34,% en. Cette augmentation pourrait résulter de l accroissement massif des effectifs dans l enseignement supérieur. Paramètres de la politique éducative ou année la plus récente. Ces budgets rapportés au nombre d individus scolarisés aux différents niveaux d enseignement font apparaître des coûts unitaires relativement plus faibles que ceux de la moyenne africaine. Ils sont de 7% du PIB/habitant au primaire (soit 33% plus faible que la moyenne africaine), de 9% du PIB/habitant au secondaire (soit un peu plus du tiers de la moyenne africaine) et de 7 % du PIB/habitant au supérieur (contre une moyenne africaine de 66 %).

6 Minimum Afrique Subsaharienne Guinée Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Ratio élève maître dans le public, Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab, Part des dépenses hors salaire enseignants (%), Pourcentage de redoublants, Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur

7 La conjonction des coûts unitaires faibles et de performances modestes, notamment au regard des objectifs de l EPT, suggèrent que des marges d amélioration doivent être explorées, dans l accroissement des crédits publics alloués à l éducation d abord, et ensuite dans l utilisation efficiente des ressources disponibles. Les salaires moyens des enseignants se chiffrent à,7 fois le PIB/habitant au primaire (contre 3,4 pour la moyenne africaine), à,9 fois le PIB/ habitant dans le er cycle du secondaire (contre 4,8 fois le PIB/habitant pour la moyenne africaine), et à,9 fois le PIB/habitant dans le nd cycle (deux fois moins que la moyenne africaine). Les ratios élèves-maîtres sont, en revanche, relativement défavorables avec des valeurs de 45: au primaire mais surtout de 5: au er cycle du secondaire et 45: au nd cycle du secondaire (contre respectivement 44:, 35: et 6: pour les moyennes africaines correspondantes).

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

W. Zacharia TIEMTORE, Docteur en Sciences de l éducation Courriel: zacharia.tiemtore@uhb.fr. Rennes, 5 et 6 juin 2007. http://www.marsouin.

W. Zacharia TIEMTORE, Docteur en Sciences de l éducation Courriel: zacharia.tiemtore@uhb.fr. Rennes, 5 et 6 juin 2007. http://www.marsouin. LES ENSEIGNANTS STAGIAIRES ET INTERNET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE : QUELLES PRATIQUES ET QUELS USAGES? LE CAS DE L UNIVERSITÉ DE KOUDOUGOU AU BURKINA FASO. W. Zacharia TIEMTORE, Docteur en Sciences de l

Plus en détail

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010 Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord

Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord RAPPORTS SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA RÉGION MENA Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord Résumé analytique BANQUE MONDIALE Washington 2007 The International

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Influences de la Banque mondiale sur les poli3ques éduca3ves en Afrique de l Ouest

Influences de la Banque mondiale sur les poli3ques éduca3ves en Afrique de l Ouest February, 22, 2011 Influences de la Banque mondiale sur les poli3ques éduca3ves en Afrique de l Ouest Thibaut Lauwerier Université de Genève 1 Plan 1. L éduca*on en Afrique de l Ouest 2. La Banque mondiale

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

L éducation au Québec : L état de la situation

L éducation au Québec : L état de la situation Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets

Plus en détail

ÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI

ÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI ÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI la jeunesse au cœur du développement plan D actions 2013 2015 agence française de Développement sommaire À RETENIR 04 i. Éducation, formation, emploi : piliers sociaux du développement

Plus en détail

Education pour Tous d ici 2015

Education pour Tous d ici 2015 A N A L Y S E d e l I E Education pour Tous d ici 2015 La réponse de l Internationale de l Education au Rapport mondial de suivi 2008 Développer la protection et l éducation de la petite enfance Rendre

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

Les critères d identification des pays les moins avancés

Les critères d identification des pays les moins avancés Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml

Plus en détail

Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre

Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique

Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et

Plus en détail

Cadre d action de Dakar

Cadre d action de Dakar mondial sur Forum l éducation Dakar, Sénégal du 26 au 28 avril 2000 Cadre d action de Dakar L Éducation pour tous : tenir nos engagements collectifs Adopté par le Forum mondial sur l éducation Dakar, Sénégal,

Plus en détail

PROGRESSION TIC AU PRIMAIRE. Document de référence. Commission scolaire des Découvreurs

PROGRESSION TIC AU PRIMAIRE. Document de référence. Commission scolaire des Découvreurs PROGRESSION TIC AU PRIMAIRE Document de référence Commission scolaire des Découvreurs Les tableaux que vous trouverez aux pages suivantes présentent les quatre niveaux des Carnets TIC et leur progression

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Partage des coûts vs gratuité

Partage des coûts vs gratuité Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))

Plus en détail

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre

Plus en détail

COOPÉRATION EN ÉDUCATION

COOPÉRATION EN ÉDUCATION CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

NOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014

NOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014 DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en

Plus en détail

Modélisation de la réforme des pensions

Modélisation de la réforme des pensions Modèle PROST de la Banque Mondiale Modélisation de la réforme des pensions Mécanisme de simulation des options de réforme des retraites, de la Banque Mondiale L es politiques de pension d aujourd hui peuvent

Plus en détail

Les inégalités de conditions de vie dans le monde

Les inégalités de conditions de vie dans le monde Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU

FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU 1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec

Plus en détail

Pôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation

Pôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation FORMULAIRE ATELIER S IMUL ATIONS 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation La projection de certaines variables se base sur une hypothèse de taux de croissance annuelle régulier et constant.

Plus en détail

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin

Plus en détail

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1 Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier

Plus en détail

REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES

REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE

Plus en détail

Initiative allemande BACKUP pour l éducation en Afrique

Initiative allemande BACKUP pour l éducation en Afrique Initiative allemande BACKUP pour l éducation en Afrique Un partenaire pour assurer une éducation de qualité pour tous en Afrique «Je n ai jamais encore rencontré de donateur comme celui-ci : il écoute

Plus en détail

Accès des populations rurales au capital en Agroland

Accès des populations rurales au capital en Agroland PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE UNITÉ-DIGNITÉ-TRAVAIL PLAN DE TRANSITION 2014-2017 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE

REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE UNITÉ-DIGNITÉ-TRAVAIL PLAN DE TRANSITION 2014-2017 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE UNITÉ-DIGNITÉ-TRAVAIL PLAN DE TRANSITION 2014-2017 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE 5 SEPTEMBRE 2014 Table des matières Liste des sigles et abréviations

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe Analyse démographique pour la prise des décisions. Tendances, et inégalités de mortalité et de fécondité en Afrique francophone : les outils en ligne de l UNFPA / UIESP pour l'estimation démographique.

Plus en détail

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES 3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe

Plus en détail

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION 1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour

Plus en détail

CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE

CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE CHAPITRE VI : UN ESSAI DE SYNTHESE Introduction 1) La relation dialectique entre dynamiques démographiques et développement 2) Les dynamiques démographiques et les théories

Plus en détail

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Existe-t-il un taux d endettement optimal des États?

Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.

Plus en détail

SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 )

SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 ) SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 ) PRESENTATION DE LA PRODUCTION DES STATISTIQUES DOUANIERES GUINEE Conakry I -

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. iii

TABLE DES MATIERES. iii RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...

Plus en détail

Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale

Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale (Le Québec économique 2011, chap. 1) Luc Godbout et Marcelin Joanis Université de Sherbrooke 31 mai 2012 Forum de l Association

Plus en détail

Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?

Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro? Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA)

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Mixité des sources de financement, diversité des régimes de couverture maladie : l impératif de cohérence 2 ème Conférence nationale

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

L ALPHA. L alphabétisation aujourd hui. N 159 Juillet - Août 2007

L ALPHA. L alphabétisation aujourd hui. N 159 Juillet - Août 2007 LE JOURNAL DE Belgique-België P.P. Bruxelles BRUSSEL X BC 1528 L ALPHA L alphabétisation aujourd hui N 159 Juillet - Août 2007 Périodique bimestriel - Bureau de dépôt Bruxelles X - N d agréation : P201024

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Étude sur l enseignement supérieur dans les pays de l UEMOA

Étude sur l enseignement supérieur dans les pays de l UEMOA Étude sur l enseignement supérieur dans les pays de l UEMOA PHASE 1 SYNTHÈSE ET OPTIONS D APPUI Pour une nouvelle vision de l enseignement supérieur : Rapport final Novembre 2004 TABLE DES MATIÈRES AVANT

Plus en détail

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants

Plus en détail

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

S.A.E.I.F - Bureau d Études

S.A.E.I.F - Bureau d Études La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études

Plus en détail

Rapport financier - Exercice 2013

Rapport financier - Exercice 2013 Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers

Plus en détail

ReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax

ReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Bruxelles, 18 juin 2014 2 Une cellule de réflexion composée d experts

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

73A.- ÉQUILIBRE ENTRE CONCURRENCE, SOLIDARITÉ ET DÉVELOPPEMENT

73A.- ÉQUILIBRE ENTRE CONCURRENCE, SOLIDARITÉ ET DÉVELOPPEMENT e n l a r g E d u c a t i o n V A L I S E P É D A G O G I Q U E " É L A R G I S S E M E N T D E L U N I O N E U R O P É E N N E " Cofinancée par l Union européenne VALISE PÉDAGOGIQUE "ÉLARGISSEMENT DE

Plus en détail

REPUBLIQUE DU CAMEROUN

REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix- Travail - Patrie ------------------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work - Fatherland ------------------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS

Plus en détail

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest MicroFinance Transparency Initiative sur la Transparence des Coûts en Afrique de l Ouest Juillet 2010 Plan

Plus en détail

Rapport sur la Performance du Portefeuille

Rapport sur la Performance du Portefeuille 12 15 novembre 2012 Banjul, The Gambia 7ème Forum Régional des Projets financés par le FIDA Afrique de l Ouest et du Centre Rapport sur la Performance du Portefeuille Objectif à moyen terme du FIDA établi

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Le travail des enfants et l Education pour tous

Le travail des enfants et l Education pour tous Internationale de l Education Le travail des enfants et l Education pour tous Outil de ressources pour les syndicats et appel à l action contre le travail des enfants et en faveur de l éducation pour tous

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés Atelier pour l Afrique Subsaharienne FORMATION DE MASSE EN MILIEU RURAL, ÉLÉMENT DE RÉFLEXION POUR LA DÉFINITION D UNE POLITIQUE NATIONALE Ouagadougou, Burkina Faso 30 mai au 3 juin 2005 Post-alphabétisation

Plus en détail

Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés

Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés Equity and Quality in Education. Supporting Disadvantaged Students and Schools Summary in French Accédez au texte intégral: 10.1787/9789264130852-en Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir

Plus en détail

Le rôle de l état de santé chez les seniors de plus de 50 ans

Le rôle de l état de santé chez les seniors de plus de 50 ans Rencontre de la Chaire Transition démographique «PEUT-ON RÉFORMER LES RETRAITES SANS REPENSER LE TRAVAIL DES SENIORS?» Université Paris Dauphine, vendredi 19 février Le rôle de l état de santé chez les

Plus en détail