L Herceptin : un nouveau standard du traitement du cancer de l estomac?
|
|
- Raoul Mercier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 . concepts et pratique L Herceptin : un nouveau standard du traitement du cancer de l estomac? Hercetpin : a new standard treatment for gastric carcinoma? doi: /hpg Frédérique Maire Hôpital Beaujon, Service de gastroentérologiepancréatologie, 1, boulevard du Général-Leclerc, 9211 Clichy, France <frederique.maire@bjn.aphp.fr> Référence Trastuzumab in combination with chemotherapy vs chemotherapy alone for treatment of HER2-positive advanced gastric or gastro-oesophageal junction cancer (ToGA): a phase 3, open-label, randomised controlled trial. Bang YJ, Van Cutsem E, Feyereislova A, et al. Lancet 21 : 376 : L a survie des patients ayant un cancer de l estomac inopérable ne dépasse pas 2 % à cinq ans. Des essais de phases 2 et 3 ont montré qu une polychimiothérapie à base de 5-FU et de platine permettait d allonger la survie de ces patients, comparativement à des soins de confort ou à une monochimiothérapie. Des résultats intéressants ont été rapportés en y associant du docétaxel ou de l épirubicine [1, 2]. L human epidermal growth factor receptor 2 (HER2 ou ERBB2) est un récepteur impliqué dans la prolifération cellulaire, l apoptose, l adhésion, la migration et la différenciation cellulaire. Il est exprimé dans 7 à 34 % des cancers gastriques. Le trastuzumab (Herceptin ) est un anticorps monoclonal inhibant la voie de signalisation médiée par HER2. Chez les patientes ayant un cancer du sein exprimant HER2 (2 à 3 % des cas), le trastuzumab a permis d observer un allongement significatif de la survie globale. L évaluation du trastuzumab pour traiter le cancer de l estomac se justifie par la faible efficacité des chimiothérapies conventionnelles, l expression d HER2 dans un tiers des cas, des essais précliniques rapportant un effet antitumoral de cette molécule en association avec la capécitabine ou le cisplatine et sa bonne tolérance. Le but de l étude de Bang et al. [3], rapportée dans le Lancet, était d évaluer l efficacité et la tolérance du trastuzumab en association avec une chimiothérapie par 5-FU et cisplatine en première ligne de traitement du cancer de l estomac à un stade avancé. Patients et méthode Cette étude internationale multicentrique était menée dans 24 centres en Asie, Amérique centrale et du Sud et en Europe. Il s agissait d une étude ouverte contrôlée randomisée de phase 3, incluant des patients ayant un adénocarcinome de l estomac ou de la jonction œsogastrique histologiquement prouvé, à un stade localement avancé ou métastatique ou en récidive et exprimant HER2. Cette expression était affirmée par une immunohistochimie (IHC) positive à 3+ ou une fluorescence in situ hybridation (FISH) positive [4]. Les critères d exclusion étaient, en plus des critères classiquement retenus, une hypertension artérielle non contrôlée, une coronaropathie nécessitant un traitement ou une valvulopathie cardiaque. Randomisation Les patients étaient randomisés, avec un ratio de 1/1, pour recevoir soit du 5-FU (par voie intraveineuse ou de la capécitabine par voie orale) et du cisplatine, soit ce même schéma plus du trastuzumab. Six cycles étaient administrés toutes les trois semaines selon le schéma représenté sur la figure 1. Une stratification était réalisée selon l index de performance initial, le type de chimiothérapie (5-FU i.v. ou capécitabine), la localisation du cancer primitif et l extension de la maladie. 589
2 Cycle 1 J1 Cycle 2 Cycle J21 = J1 Bras trastuzumab + chimiothérapie Capécitabine 1 mg/m 2 x 2/j PO ou 5FU 8 mg/m 2 /j IV Cisplatine 8 mg/m 2 IV Trastuzumab 8 mg/kg IV Trastuzumab 6 mg/kg IV Critères d évaluation Le critère principal était la survie globale. Les critères secondaires étaient la survie sans progression, le temps jusqu à progression, le taux de réponse, la durée de la réponse et la tolérance du traitement. Analyse statistique Partant de l hypothèse d une survie médiane de dix mois avec la chimiothérapie conventionnelle, il fallait inclure 584 patients dans cette étude pour démontrer un bénéfice de survie d au moins trois mois avec l adjonction du trastuzumab. Résultats Bras chimiothérapie seule Capécitabine 1 mg/m 2 x 2/j PO ou 5FU 8 mg/m 2 /j IV Cisplatine 8 mg/m 2 IV Figure 1. Schémas de chimiothérapie dans les deux bras de traitement. 2 % de cardia), l extension de la maladie (97 % de formes métastatiques), un antécédent de gastrectomie (24 %) et l expression d HER2 (95 % de FISH+, quelle que soit l IHC, et 5 % d IHC 3+, avec FISH négative ou ininterprétable) (figure 2). D Randomisation des patients Sur les 3 83 patients éligibles entre septembre 25 et décembre 28, l expression d HER2 était analysable chez et présente chez 81 d entre eux (22 %). Au final, 584 patients étaient inclus dans cette étude : 294 dans le bras trastuzumab-5-fu-cispaltine et 29 dans le bras 5-FU-cisplatine. Il n existait pas de différence significative entre les deux bras pour l âge (59 ans en médiane), le sexe (75 % d homme), l index de performance (9 % de à 1), l origine ethnique, le type de chimiothérapie (capécitabine dans 8 % des cas), la tumeur primitive (8 % d estomac de type intestinal dans 75 % des cas et 5 µm Figure 2. Adénocarcinome gastrique immunohistochimie HER2 cotée à
3 Concepts et pratique Suivi des patients Le suivi médian était de 18,6 mois (11-25) dans le bras trastuzumab et de 17,1 mois (9-25) dans le bras conventionnel. La dose cumulée de chimiothérapie, la durée de traitement et la dose-intensité étaient similaires dans les deux bras de traitement. Une deuxième ligne de chimiothérapie était administrée chez respectivement 45 et 42 % des malades des bras trastuzumab et conventionnel. Survie globale La survie globale médiane était de 13,8 mois (12-16) dans le bras trastuzumab et de 11,1 mois (1-13) dans le bras conventionnel (p =,46) (figure 3), correspondant à une réduction du taux de mortalité de 26 %. L analyse dans les différents sous-groupes (selon l âge, le sexe, l index de performance, le cancer primitif et l extension de la maladie) confirmait un bénéfice de survie globale dans le bras trastuzumab, significatif ou non selon les effectifs. Autres critères d évaluation La survie sans progression médiane était de 6,7 mois (6-8) dans le bras trastuzumab et de 5,5 mois (5-6) dans le bras conventionnel (p =, 2) (figure 4). Le délai jusqu à progression (7,1 vs 5,6 mois), la durée de réponse (6,9 vs 4,8 mois) et le taux de réponse tumorale (47 vs 35 %) étaient significativement supérieurs dans le bras trastuzumab par rapport au bras conventionnel. Le bénéfice du trastuzumab était particulièrement net chez les patients ayant un haut niveau d expression de HER2 (défini par FISH+/IHC 2+ ou IHC 3+) : la survie médiane A Events Median HR (95% CI) p value Trastuzumab (.6-.91).46 Chemotherapy alone Time Figure 3. Survie globale des patients ayant un cancer de l estomac/cardia exprimant HER2 et recevant soit l association trastuzumab et chimiothérapie (5-FU-cisplatine), soit la chimiothérapie seule. était respectivement de 16 et de 11,8 mois dans les bras trastuzumab et conventionnel (figures 5, 6). Tolérance Les effets secondaires de grades 3-4 survenaient à une fréquence comparable dans les deux groupes (32 vs 28 % des patients). Les nausées-vomissements, les neutropénies et l anorexie étaient les effets secondaires le plus souvent observés. Une diarrhée était plus fréquente dans le bras trastuzumab (9 vs 4 %). La mortalité liée au traitement était de 3 et de 1 % respectivement dans les bras trastuzumab et conventionnel. Les effets secondaires cardiaques (ischémie, troubles du rythme, insuffisance cardiaque) étaient rares dans les deux groupes (6 %). Les réactions B Events Median HR (95% CI) p value progression free Trastuzumab ( ).2 Chemotherapy alone Time Figure 4. Survie sans progression des patients ayant un cancer de l estomac/cardia exprimant HER2 et recevant soit l association trastuzumab et chimiothérapie (5-FU-cisplatine), soit la chimiothérapie seule Events Median HR (95% CI) Trastuzumab ( ) Chemotherapy alone Time Figure 5. Survie globale des patients ayant un cancer de l estomac/cardia avec un haut niveau d expression de HER2 (FISH+/ IHC 2+ ou IHC 3+) et recevant soit l association trastuzumab et chimiothérapie, soit la chimiothérapie seule. 591
4 HR (95% CI) Number of patients Median HR (95% CI) vs (.6-.91) IHC /FISH positive IHC 1+/FISH positive IHC 2+/FISH positive IHC 3+/FISH positive IHC 3+/FISH negative vs vs vs vs vs ( ) 1.24 (.7-2.2).75 ( ).58 ( ).83 (-3.38) liées à la perfusion du trastuzumab étaient observées chez 6 % des patients. Commentaires IHC or 1+/FISH positive IHC 2+/FISH positive or IHC Favours trastuzumab Le trastuzumab est un anticorps monoclonal humanisé recombinant de la classe IgG1 dirigé contre le récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2). Son mécanisme d action est aujourd hui mieux connu. L anticorps trastuzumab se lie à la région extracellulaire de la protéine HER2, ancrée à la membrane. Cette liaison anticorps-récepteur entraîne l internalisation du récepteur HER2, bloque sa dimérisation et stimule la formation de tétramère de protéine HER2 : ces trois mécanismes inhibent l activité kinase et donc la prolifération cellulaire. La demivie du trastuzumab est longue, permettant des injections séparées par des délais d une à plusieurs semaines. Sa tolérance est bonne, avec principalement une toxicité cardiaque (le plus souvent réversible) et des réactions allergiques dans moins de 1 % des cas. La demi-vie du trastuzumab est longue, permettant des injections séparées par des délais d une à plusieurs semaines Cette étude montre que l adjonction de trastuzumab à une chimiothérapie conventionnelle par 5-FU et cisplatine permet d augmenter la survie globale des patients ayant un cancer de l estomac ou du cardia à un stade avancé et exprimant HER2 [3]. Le bénéfice de survie est particulièrement vs vs Favours chemotherapy alone 1.7 ( ).65 ( ) Figure 6. Survie globale médiane selon le niveau d expression d HER2 chez les patients ayant un cancer de l estomac/cardia et recevant soit l association trastuzumab et chimiothérapie, soit la chimiothérapie seule. net en cas de haut niveau d expression de HER2 (c està-dire FISH+ et IHC 2+ ou IHC 3+, soit 77 % des patients). L association 5-FU et cisplatine est largement utilisée chez les patients ayant un cancer de l estomac inopérable. Une méta-analyse a montré que la capécitabine n était pas inférieure au 5-FU en termes de survie globale et de survie sans progression [5]. Ces dernières années, deux molécules ont montré leur intérêt en association au schéma classique : le docétaxel et l épirubicine. Ainsi, la survie médiane était de 9,2 mois avec le schéma DCF (docétaxel-5-fu-cisplatine) dans l étude de Van Custem et al. [1], au prix d une toxicité hématologique importante. Le schéma ECF (épirubicine- 5-FU-cisplatine) permettait, quant à lui, d observer une survie médiane de 9,3 à 11,2 mois dans l essai REAL2 [2]. Les données de tolérance et d efficacité de cette étude REAL montraient une équivalence entre le cisplatine et l oxaliplatine, le 5-FU et la capécitabine. Dans l étude de Bang et al. [3], la survie globale observée dans le bras chimiothérapie seule (5-FU-cisplatine) était en médiane de 11,1 mois, c est-à-dire supérieure à celle antérieurement rapportée avec ce schéma. Plusieurs explications sont possibles : beaucoup de patients (45 %) ont reçu une deuxième ligne de chimiothérapie ; l expression de HER2 dans cette population est peutêtre un facteur de bon pronostic comme cela a été suggéré, mais reste controversé [6] ; enfin, beaucoup de patients dans cette série ont un adénocarcinome gastrique de type intestinal, de meilleur pronostic. Malgré ce résultat dans le bras conventionnel, le bénéfice de l adjonction du trastuzumab était significatif (13,8 vs 11,1 mois ; p =,4 6). 592
5 Concepts et pratique Plusieurs limites de cette étude peuvent être notées. Tout d abord, il s agissait d une étude ouverte, ni les patients ni les médecins n étaient en aveugle quant au bras de traitement. Cependant, le critère principal étant la survie, ce biais a probablement peu d impact. Par ailleurs, il n a pas été fait de relecture centralisée de la réponse tumorale. Enfin, les modalités optimales pour rechercher l expression de HER2 n étant pas consensuelles lors de l initiation de cette étude, une nouvelle analyse centralisée a été faite en cours d étude tenant compte des critères d Hoffmann et al. [4]. La tolérance du trastuzumab était acceptable dans cette étude ; les principaux effets secondaires étaient une neutropénie, de la diarrhée et des nausées. La toxicité hématologique était moindre qu avec le schéma DCF. La toxicité cardiaque et les réactions allergiques étaient rares. L adjonction de trastuzumab à la chimiothérapie conventionnelle par 5-FU et cisplatine permet d améliorer la survie des patients ayant un cancer de l estomac ou du cardia à un stade avancé et exprimant HER2 Conclusion L adjonction de trastuzumab à la chimiothérapie conventionnelle par 5-FU et cisplatine permet d améliorer la survie des patients ayant un cancer de l estomac ou du cardia à un stade avancé et exprimant HER2. Ce bénéfice est particulièrement intéressant en cas de haut niveau d expression d HER2, ce qui, dans ce travail, correspond à 77 % des patients exprimant HER2, soit 17 % des patients ayant un cancer de l estomac. L association trastuzumab- 5-FU-cisplatine peut être considérée comme un nouveau standard thérapeutique pour les patients ayant un cancer de l estomac/cardia à un stade avancé et exprimant HER2. Conflits d intérêts : aucun. Références 1. Van Cutsem E, Moiseyenko VM, Tjulandin S, et al. Phase 3 study of docetaxel and cisplatin plus fluorouracil compared with cisplatin and fluorouracil as first-line therapy for advanced gastric cancer: a report of the V325 Study Group. J Clin Oncol 26 ; 24 : Cunningham D, Starling N, Rao S, et al. Capecitabine and oxaliplatin for advanced esophagogastric cancer. N Engl J Med 28 ; 358 : Bang YJ, Van Cutsem E, Feyereislova A, et al. Trastuzumab in combination with chemotherapy vs chemotherapy alone for treatment of HER2-positive advanced gastric or gastro-oesophageal junction cancer (ToGA): a phase 3, open-label, randomised controlled trial. Lancet 21 ; 376 : Hofmann M, Stoss O, Shi D, et al. Assessment of a HER2 scoring system for gastric cancer: results from a validation study. Histopathology 28 ; 52 : Okines AF, Norman AR, McCloud P, Kang YK, Cunningham D. Metaanalysis of the REAL2 and ML1732 trials: evaluating capecitabine-based combination chemotherapy and infused 5-fluorouracil-based combination chemotherapy for the treatment of advanced oesophago-gastric cancer. Ann Oncol 29 ; 2 : Gravalos C, Jimeno A. HER2 in gastric cancer: a new prognostic factor and a novel therapeutic target. Ann Oncol 28 ; 19 : n 593
ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailLe retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.
Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailEXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?
EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailGEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010
I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCANCERS BRONCHO-PULMONAIRES
OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailCANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE
ERBITUX - cetuximab RÉFÉRENTIELS DE BON USAGE HORS GHS CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE Situations hors-amm pour lesquelles l insuffisance des
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailAvis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV
Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV INTRODUCTION Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailSituation de la chimiothérapie des cancers en 2009
TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailBilan du suivi des produits traceurs 2008
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq
qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailAnticorps et tumeurs solides Cibles établies et pistes prometteuses
MEDECINE/SCIENCES 2009 ; 25 : 1090-8 > Grâce aux progrès biotechnologiques récents, les anticorps monoclonaux constituent une nouvelle classe de médicaments pour le traitement des tumeurs solides. Afin
Plus en détailAnormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules
J Fran Viet Pneu 2015; 17(6): 1-53 2015 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info CrossRef: http://doi.dox:10.12699 JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailcytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe
LES LYMPHOMES B DE LA ZONE MARGINALE: un nouveau modèle d oncogenèse lymphoïde? Depuis de nombreuses années, l équipe de recherche «Pathologie de Cellules Lymphoïdes» au sein de l UMR5239, en collaboration
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailARD12166 Cabazitaxel Compared to Topotecan for the Treatment of Small Cell Lung Cancer
DESCRIPTIF DES ESSAIS 2012 Par ordre alphabétique AB Science Etude de phase I/II multicentrique, randomisée, ouverte avec 2 groupes parallèles pour évaluer l efficacité et la tolérance du traitement par
Plus en détailEssais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes
Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes Clinical trials in elderly patients: the lymphoma experience D. Garbay*, P. Soubeyran* RÉSUMÉ Longtemps, les sujets âgés ont été exclus
Plus en détailLa chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation
La chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation C. Tournigand, A. Plantade et A. de Gramont Le concept La chimiothérapie intrapéritonéale a été étudiée depuis plus de cinquante ans. Ce traitement régional
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailCOMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE
COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE Unité de Recherche Clinique Avec le soutien de Roche 2 3 Sommaire Avant-propos 3 Accueil 4 Généralités 6 1. Qu est-ce qu une étude clinique? 2. Pourquoi participer à une
Plus en détailChimiotherapie neo-adjuvantes dans les cancers du rectum : perspectives
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2015, 14 (1) : 075-081 75 Chimiotherapie neo-adjuvantes da les cancers du rectum : perspectives Neoadjuvant Chemotherapy in the Treatment of Locally Advanced
Plus en détailIndication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailNouveaux antiangiogéniques : état de la recherche
Cancéro dig. Vol. 2 N 3-2010 - 199-204 199 10.4267/2042/34592 DOSSIER THÉMATIQUE : ANTIANGIOGÉNIQUES ET CANCER COLORECTAL MÉTASTATIQUE Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Update on novel
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailCarcinome hépato-cellulaire
Carcinome hépato-cellulaire V. Boige et S. Dominguez-Tinajero Généralités, épidémiologie Le carcinome hépato-cellulaire (CHC) est l un des cancers les plus fréquents dans le monde (un peu plus de 5% de
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailCancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules
Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules M.-C. Pailler et J.-F. Morère Introduction Avec plus de 700 000 nouveaux cas annuels, le cancer bronchique
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailUtilisation péri-opératoire des filtres caves
Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailThérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours
Réanimation 15 (2006) 297 302 Mise au point Thérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours J. Fayette a,b, *, J.-Y. Blay a,b a Service
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détail4 octobre 2011. Le consentement dit «éclairé» Der sogenannte «informed consent» Pr B. Hirschel
4 octobre 2011 Le consentement dit «éclairé» Der sogenannte «informed consent» Pr B. Hirschel Préambule (1) Le consentement informé est un processus: Explication orales Discussion avec des proches Réponses
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détail