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1 1 FICHE A1 LA FILIERE MUSICALE RAPPEL DES METIERS! LA SPHERE CREATIVE Les créateurs Ils sont en amont et à la source de toute l activité musicale. On regroupe sous ce terme générique l auteur (qui écrit les textes des chansons, encore appelé «parolier»), le compositeur (qui crée la musique) et l arrangeur éventuel (qui signe les arrangements et l orchestration d une composition). Les créateurs sont rémunérés par les droits d auteur générés par l exploitation et la diffusion de leurs œuvres. Ces droits sont perçus et répartis par une société de gestion collective (comme le BURIDA en Côte d Ivoire, le BBDA au Burkina Faso ou le BSDA au Sénégal ).! Une même personne peut être créateur à la fois des textes et de la musique d une chanson. On parle alors d auteur/compositeur. Le compositeur est souvent lui-même arrangeur de ses compositions. On parle d arrangeur quand il y a intervention d une tierce personne une fois la composition réalisée.! Par ailleurs, certains créateurs sont interprètes de leurs propres œuvres. On parle alors d auteur-compositeur-interprète (ACI). Il convient cependant dans ce cas de bien distinguer les statuts cumulés : celui de créateur et celui d artiste-interprète, qui sont à l origine de droits distincts et de rémunérations différentes. L éditeur graphique Souvent simplement désigné par le terme «éditeur», l éditeur graphique est celui qui édite l œuvre et gère son exploitation sous toutes ses formes. A l origine, il s agissait de l édition des partitions des œuvres, d où le terme «graphique». Le plus souvent exercé dans l ombre, le métier d éditeur est généralement mal connu. En Afrique de l Ouest, il est fréquemment «le grand oublié» de la filière musicale. Pourtant, son rôle est primordial et recouvre plusieurs facettes. Ainsi, l éditeur :! recherche, «signe» et développe des auteurs et des compositeurs ; il les met en contact pour susciter des équipes créatives ; c est un «facilitateur» de création ;! veille au placement des œuvres créées auprès d interprètes (sauf dans le cas d auteurcompositeur-interprète) ;! veille à l exploitation des œuvres sous toutes ses formes : cassettes, disques, concerts, diffusion publique (radio, TV, clubs ), numérique, etc. ;! veille au placement d œuvres ou d extraits d œuvres dans des contenus audiovisuels : publicité, jingle radio, émission ou générique TV, film, jeu vidéo... ; c est ce qu on appelle la «synchronisation» ;! a en charge la protection juridique des œuvres qu il a à son catalogue. L éditeur est en quelque sorte le manager de l œuvre. Il est lié par un contrat d édition conclu avec un auteur ou un compositeur. C est le partenaire professionnel le plus en amont de la filière musicale. Il peut intervenir financièrement pour favoriser la création, verser des avances et des primes de commandes aux créateurs et contribuer à améliorer leurs conditions de travail. L éditeur est rémunéré pour l essentiel par une part des droits d auteur générés par l exploitation des œuvres (celle-ci lui est versée par une société de gestion collective comme le BSDA, le BURIDA ou le BBDA), ainsi que par les synchronisations qu il négocie directement (et dont le revenu est partagé avec les auteurs/compositeurs) et par les ventes de partitions (qui constituent aujourd hui une part très marginale de ses revenus). Attention : ne pas confondre l éditeur graphique («publisher» en anglais) avec l éditeur phonographique qui gère l exploitation du disque et non de l œuvre (voir plus bas). La clé de répartition des droits d auteur est fixée par les organismes de gestion des droits et peut varier selon les pays. A titre indicatif, au Burkina Faso, les droits d auteur sont répartis comme suit : 1/3 auteur, 1/3 compositeur, 1/3 éditeur en ce qui concerne les droits d exécution publique (diffusions radio, TV, spectacles ) et idem pour les droits de reproduction mécanique (disques).

2 2! LA SPHERE ARTISTIQUE L artiste-interprète L artiste-interprète principal est celui dont le nom figure sur le disque (étiquette et jaquette) et sur l affiche d un spectacle. C est autour de lui et de l exploitation de ses prestations qu est organisée la filière musicale. Ses sources de rémunération sont, pour l essentiel, les royalties (redevances) sur les ventes de disques et les autres exploitations des enregistrements, les cachets reçus pour ses séances d enregistrement et ses prestations scéniques, et les droits voisins (voir la fiche n 8 sur les droits). Quand l artiste interprète ses propres titres (ACI), il perçoit aussi des droits d auteur pour l exploitation de ses œuvres, mais il s agit de deux activités (et rémunérations) différentes qui se cumulent. Les musiciens Sauf à pratiquer son activité en solo s il est lui-même instrumentiste, l artiste-interprète est le plus généralement entouré de musiciens, lesquels n ont pas leurs noms mentionnés au recto de la pochette du disque ni sur le support lui-même. Au contraire de l artiste-interprète principal, les musiciens (artistes-interprètes dits d accompagnement) ne perçoivent pas de redevances sur les recettes d exploitation des disques auxquels ils participent. Leurs principales rémunérations sont les cachets reçus pour les séances d enregistrement et leurs prestations scéniques, ainsi que les droits voisins. Dans le cas d un groupe (dont les membres sont permanents), chacun des musiciens est considéré comme artiste-interprète principal. Le manager C est celui qui défend et représente en toutes circonstances les intérêts (artistiques, moraux et financiers) de l artiste. Son rôle est de conseiller l artiste afin de l aider à gérer et à développer sa carrière artistique : orientations, choix de répertoire, disque, scène, produits dérivés, image, numérique, merchandising, partenariats, etc. Dans certains pays, le manager est parfois appelé «agent artistique», bien que cette appellation soit réductrice car elle fait surtout référence au placement d artistes et n inclut pas nécessairement le développement et la gestion de la carrière de l artiste. Le manager est un intermédiaire professionnel entre l artiste et les différents acteurs de l industrie musicale. Il est à la fois son représentant, son porte-parole, son négociateur, son défenseur, son promoteur Le manager est lié par un contrat avec l artiste qui fait de lui son mandataire exclusif. Il est rémunéré par un pourcentage sur les revenus générés par l artiste, dont le montant et l assiette doivent être clairement définis dans le contrat.! LA SPHERE DU DISQUE Le producteur de disque Le producteur de disque (encore appelé «producteur phonographique») est celui qui a l initiative de l enregistrement. Il prend à sa charge tous les frais qui y sont liés : location du studio d enregistrement, rémunération des techniciens, de l ingénieur du son, du réalisateur artistique («producer» en anglais), location de matériel (instruments, effets ), frais techniques, mixage, mastering. Le producteur est propriétaire du «master» de l enregistrement. Il est lié avec l artiste par un contrat dit contrat d artiste, contrat d enregistrement ou contrat d exclusivité, qui peut porter sur plusieurs disques. Le producteur verse des cachets à l artiste et aux musiciens pour les séances d enregistrement auxquelles ils participent. Par ailleurs, il rémunère l artiste par un pourcentage sur les recettes liées à l exploitation de l enregistrement. Cette redevance, dont le montant et l assiette sont clairement définis dans le contrat, est appelée «royalty».

3 3 L éditeur phonographique A ne pas confondre avec l éditeur «graphique» (voir plus haut), l éditeur phonographique est celui qui a en charge l exploitation et la commercialisation de l enregistrement. Il prend à sa charge la fabrication des exemplaires du disque, le paiement des droits d auteur afférents (dits «droits de reproduction mécanique»), les frais de promotion et de marketing. Le distributeur C est celui qui a en charge la distribution du disque. Il intervient sur le produit fini, conditionné et prêt à être mis en vente. Il veille au placement des exemplaires dans les circuits de distribution, magasins, etc. Il gère les commandes, les stocks, le référencement, les retours, etc. Quand il s agit d une distribution purement numérique (référencement des fichiers sur les plateformes telles itunes, fnac.com, amazon.com ), le distributeur est souvent appelé agrégateur. Certaines sociétés cumulent parfois les activités d édition phonographique et de distribution. Il importe toutefois de ne pas confondre ces deux métiers qui génèrent des rémunérations distinctes. Répartition des revenus et cumul des rôles Ces trois métiers, ces trois rôles, peuvent se cumuler. Une fois le master réalisé, le producteur d un enregistrement peut assurer lui-même la fabrication, la promotion, le marketing et la distribution du disque. Il peut aussi négocier un contrat de licence avec un éditeur phonographique, par lequel il cède pour une durée et sur des territoires déterminés les droits d exploitation du master qui lui appartient. Le producteur peut également prendre en charge la fabrication (et le paiement des droits de reproduction mécanique), la promotion et le marketing du disque et négocier seulement un contrat de distribution avec un distributeur, auquel il livre les disques prêts à être commercialisés. Le producteur peut aussi vendre définitivement, pour une somme forfaitaire, le master à l éditeur phonographique. En perdant la propriété du master, il perd du même coup son statut de producteur au profit de l éditeur phonographique. Les termes label ou maison de disques désignent les structures qui assurent les rôles de producteur et/ou d éditeur phonographique. Une maison de disques peut développer en son sein plusieurs labels (noms commerciaux désignant des lignes éditoriales ou collections spécifiques). La rémunération essentielle de ces trois «acteurs» provient des ventes de disques, dont les recettes sont ensuite réparties selon les relations contractuelles. Le distributeur prélève sa part et reverse le solde à l éditeur phonographique (ou directement au producteur si celui-ci est aussi l éditeur phonographique). L éditeur phonographique reverse ensuite la part revenant au producteur selon le pourcentage prévu au contrat de licence. Si la même maison de disques cumule les fonctions de production, d édition phonographique et de distribution, il n y a évidemment aucun reversement. Producteurs et éditeurs phonographiques ont aussi pour revenus les autres exploitations des enregistrements (téléchargements légaux, musique sur téléphone mobile ) et les produits qui en sont dérivés. Ils perçoivent aussi des droits voisins (voir la fiche n 8 sur les droits). Les contrats de distribution se négocient généralement à 40 % (pour le distributeur), et les contrats de licence à 20 ou 25 % (pour le producteur).! LA SPHERE DU SPECTACLE Le producteur de spectacles C est celui qui est à l initiative de la création du spectacle. Il en assure financièrement le coût de réalisation (répétitions, décors, costumes, frais artistiques, techniques et administratifs). Il a la responsabilité du spectacle. Il conçoit et monte le spectacle, coordonne les moyens humains, financiers, techniques et artistiques nécessaires. Le producteur est l employeur des artistes et des techniciens pendant cette étape de la réalisation du spectacle. Le tourneur C est celui qui a en charge, une fois le spectacle créé, sa diffusion auprès des exploitants de salles ou des organisateurs locaux. Le tourneur prend en charge la recherche de dates (booking) et le montage d une tournée, en faisant appel à des réseaux de diffusion. Il prend en charge le coût

4 4 d exploitation de la tournée (salaires, frais artistiques, techniques et administratifs) et gère les déplacements, transports, hébergements et la restauration de l ensemble du plateau artistique. Le diffuseur Le terme est employé pour désigner celui qui est l exploitant permanent d une salle, d un lieu de spectacles ou l organisateur (encore appelé promoteur local) qui loue une salle, un lieu de spectacles. Il a la responsabilité de la billetterie, de la promotion locale du spectacle, de l accueil des artistes, de l accueil du public, de la sécurité et des assurances. Le promoteur local Le terme de promoteur local recouvre souvent deux réalités :! soit il achète le spectacle au producteur ou au tourneur pour le revendre à un diffuseur ; sa responsabilité n est alors que commerciale ;! soit il organise le spectacle pour le compte d un producteur ou d un tourneur et en assure la promotion au moyen d un contrat de prestation de services. Rémunération et cumul des rôles Le producteur de spectacles et le tourneur tirent leur rémunération de la vente du spectacle. Le diffuseur ou l organisateur se paient, pour l essentiel, sur les marges réalisées sur la recette d exploitation du spectacle (billetterie). Ces activités peuvent aussi être cumulées par la même personne ou structure. L ensemble de ces professions est regroupé sous la dénomination d «entrepreneur de spectacles». Dans certains pays (au Burkina Faso par exemple), ces professions sont encadrées par une réglementation qui a pour objet de garantir que le droit social, le droit commercial, le droit à la concurrence, le droit à la propriété intellectuelle et le respect des règles de sécurité sont correctement maîtrisés. Dans d autres pays, l activité d entrepreneur de spectacles n est, pour le moment, pas soumise à l obtention obligatoire d une licence ni à une réglementation spécifique.! ANNEXE 1! Schéma : les métiers de la musique et leurs rémunérations Fiche conçue en 2010 dans le cadre du programme ARPEM (Appui au Réseau ouest-africain de Pépinières d Entreprises de la filière de la Musique) par Culture et développement en partenariat avec le Nzassa (Abidjan Côte d Ivoire) et GL Connection, et avec le soutien du Programme d appui UE-ACP aux industries culturelles ACP, de l UNESCO (Alliance globale pour la diversité culturelle) et du ministère espagnol des Affaires étrangères et de la coopération.

5 FICHE A1 ANNEXE 1

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