Thèse de doctorat soutenue par : Cédric Desprez. 21 juillet Encadrée par : Jacky Mazars et Panagiotis Kotronis
|
|
- Augustin Pruneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sols, Solides, Structures - Risques Agence Nationale de la Recherche Analyse et Réduction de la Vulnérabilité Sismique des Structures Existantes en béton armé: Renforcement par Collage de Tissus de Fibre de Carbone (TFC). Thèse de doctorat soutenue par : Cédric Desprez 21 juillet 2010 Encadrée par : Jacky Mazars et Panagiotis Kotronis
2 Risque sismique et vulnérabilité des structures Risque = Aléa x Vulnérabilité x Coût 21 mai 2003 (6,7 échelle de Richter) Régions de Boumerdès et d Alger Constructions neuves Structures existantes Diagnostic Renforcement 2
3 Programme ANR : ARVISE Analyse et Réduction de la Vulnérabilité sismique des Structures Existantes Analyse de la vulnérabilité Réduction de la Vulnérabilité Valorisation Agence Nationale de la Recherche Diagnostic des structures Confortement Outils et méthodes Structures représentatives du bâti Français Rhône Alpes (Zone Ib) Guadeloupe (Zone III) Approche d ensemble Approche ciblée 3
4 Contexte Aléa sismique Récurrence, effet de site Données Structure existante Nature, géométrie, matériaux Dommages admissibles Exploitation immédiate, non effondrement Léger Modéré Evaluation du niveau de dommage Approche ciblée Important Décision d intervention Non intervention, renforcement, destruction Enjeu Très Important Ruine 4
5 Réduction de la vulnérabilité Réduction de la demande Augmentation de la capacité Isolateurs Amortisseurs Reprise d éléments Contreventement Masse mobile Reprise par matériau additionnel 5
6 Contexte 1. Stratégie d analyse de la vulnérabilité 2. Stratégie de modélisation du renforcement par TFC 3. Etude de cas : Evaluation et renforcement de l Hôtel de Ville de Grenoble Conclusions et perspectives 6
7 Contexte 1. Stratégie d analyse de la vulnérabilité 2. Stratégie de modélisation du renforcement par TFC 3. Etude de cas : Evaluation et renforcement de l Hôtel de Ville de Grenoble Conclusions et perspectives 7
8 Approches ciblées Evaluation de la vulnérabilité Evaluation mécanique d un ouvrage Approche globale Outils de modélisation Approche locale (Ile & al, 2007) Principales Méthodes d Analyse Eurocode 8, UE 1998 RISKUE (LM2), UE, 2003 HAZUS (N2 et 3), USA, 1999 Approche multifibres (Giry, 2009) 8
9 Eléments finis de type poutres multifibres Modélisation 3D simplifiée Béton d enrobage Acier Cinématiques Bernouilli ou Timoshenko Adhérence parfaite entre les fibres Béton confiné par cadres (Guedes & al 1994, Kotronis & al 2004) Codes de calcul FEDEASLab : Toolbox de Matlab (Filippou & al 2004) Cast3m : CEA (Combescure, 2000) 9
10 Méthodes d analyse Analyse linéaire Analyse non linéaire Statique équivalente Statique par poussée progressive Evolution force-déplacement Modale spectrale Dynamique Non linéarité introduite par un coefficient de comportement : q Mal adapté aux structures existantes 10
11 ε Expression uniaxiale du modèle : ε= σ+ ε ε totales élastiques E(1 D 1 ) + σ Béton : modèle d endommagement unilatéral ε σ = f(ε) anelastiques E(1 D 2 ) + β 1.D 1 E(1 D 1 ) F0 (σ)+ β 2.D 2 E(1 D 2 ) Variables d endommagement 1 1+[A i (Y i Y 0i )] B i D i =1 1+[Ai (Y i Y 0i )] B i (La Borderie, 1991) σ ε Paramètres Traction Compression Module d'young Coefficient de Poisson Contrainte de refermetures des fissures Seuils en énergie Coefficients de comportement Gestion des déformations anélastiques 11
12 Acier d armatures : Modèle de plasticité (Menegotto & al, 1973) Ecrouissage cinématique σ Flambement des armatures ε Module d'young Coefficient de Poisson Limites d'élasticité Début d'écrouissage Limites de rupture Paramètres Coefficients de comportement Rapport de la rigidité d'écrouissage cyclique sur la rigidité élastique Rapport de l espacement des cadres sur le diamètre de la barre 12
13 Qualification du niveau de dommage Echelle de dommage EMS-98 Indicateurs globaux Léger (RISK-UE (LM2), 2003) Déplacement en tête (HAZUS, 1999) Drift Modéré Résistance latérale de l ouvrage Réserve de capacité Important Très Important Ruine (Lang, 2002) Indicateurs locaux Courbure, rotation d un élément Efforts internes Déformations Variables d endommagement 13
14 Prise en compte du TFC Outils de modélisation Méthode d analyse Renforcement par TFC Objectif : évaluation avant et après confortement de la structure 14
15 Contexte 1. Stratégie d analyse de la vulnérabilité 2. Stratégie de modélisation du renforcement par TFC 3. Etude de cas : Evaluation et renforcement de l Hôtel de Ville de Grenoble Conclusions et perspectives 15
16 Les fibres sont orientées axialement Renforcement axial Confinement de poteaux Les fibres sont orientées circonférentiellement 16
17 Renforcement axial Effet du TFC (Spadea & al, 1998) Effort Flèche Modélisation Béton Acier TFC E (Gpa) TFC : Elastique linéaire fragile Limite élastique (Mpa) Rupture (Mpa) Allongement à rupture (%) Prise en compte du délaminage : C ε.efficace = C x ε.ultime 17
18 Essais expérimentaux Vs Analyse numérique Essais de flexion 4 points (Spadea & al, 1998) C=50% C=73% C=86% 18
19 Confinement de poteaux par TFC Effet du TFC (Ongpeng & al, 2003) 19
20 Béton confiné : modèle Eid & Paultre (Eid & Paultre, 2008) Modèle prédictif basé sur des études expérimentales (poteaux circulaires) Relation uniaxiale: σ c = f(ε c ) Pré-pic Avant rupture TFC Après rupture TFC Diamètre extérieur du poteau D Épaisseur d une couche de TFC Enrobage du poteau c Module d Young du TFC Résistance au pic en compression du béton non confiné Contrainte de rupture en traction du TFC Déformation au pic du béton non confiné Coefficient de performance du TFC Déformation dans la partie post-pic pour une contrainte égale à 50% du pic Module d Young de l acier transversal Module d Young initial du béton E Contrainte de plastification de l acier Coefficient de poisson du béton Espacement des cadres s Nombre d aciers longitudinaux Diamètre des cadres Diamètre des aciers longitudinaux Type de cadres (spirales ou étriers) 1 ou 2 20
21 Construction d un modèle cyclique de béton confiné Construction d un modèle basé sur : (Desprez et al, 2009) -le modèle cyclique La Borderie - le modèle Eid & Paultre pour béton confiné. Modification de l évolution en compression du modèle cyclique La Borderie afin de prendre en compte l effet du confinement (modèle LMCC) 21
22 Expression du modèle La Borderie en compression En compression uniaxiale : (après refermeture des fissures) ε= σ+ σ E(1 D 1 ) + E(1 D 2 ) + β 1.D 1 E(1 D 1 ) F0 (σ)+ β 2.D 2 E(1 D 2 ) D2 pilote l évolution de l endommagement en compression, _ σ = E.ε(1 D 2 ) β 2 D 2 Constante de comportement anélastique Conservation du comportement plastique lié aux déformations anélastiques (β2) Evolution de D2 en fonction des contraintes et déformations. D 2 = E.ε σ E.ε + β 2 22
23 Evolution de D 2 en compression uniaxiale σ = f(ε) D 2 = E. ε σ E. ε +β 2 D 2 D 2c σ c = f(ε c ) D 2c = E. ε c σ c E.ε c +β 2 D2c remplace D2 dans le modèle unilatéral La Borderie. E(1 D 1 ) + σ E(1 D 2c ) + β 1.D 1 E(1 D 1 ) F0 (σ)+ β 2.D 2c E(1 D 2c ) ε= σ+ GMCC 23
24 Validation expérimentale Essais cycliques Modélisation numérique h=2 m D=0,3m (Trudeau & al, 2009) Essai prédictif 24
25 Validation expérimentale Charge axiale = 10% Ag.f c Sans confinement TFC Avec confinement TFC 25
26 Validation expérimentale Charge axiale = 35% Ag.f c Sans confinement TFC Avec confinement TFC 26
27 Renforcement d une pile de pont Modélisation numérique (Roy & al, 2006) Confiné Non-confiné Confiné 7 essais pseudo-dynamiques + 1 essai cyclique 27
28 Renforcement d une pile de pont Résultats expérimentaux Vs Simulation numérique Hypothèses : rupture d armatures par fatigue 28
29 Effet de la fatigue Evolution au cours du temps Fatigue provoquée par les cycles de déformations Pseudo dynamique Cyclique L endommagement par fatigue est déterminé avec la théorie de Miner Dommage au cours d un cycle (absence d endommagement en dessous d un seuil) (Miner 1945, Coffin & Manson 1954) 29
30 Etude de cas n 1 : prise en compte de la fatigue Sans effet de la fatigue Avec effet de la fatigue 30
31 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Contexte 1. Stratégie d analyse de la vulnérabilité 2. Stratégie de modélisation du renforcement par TFC 3. Etude de cas : Evaluation et renforcement de l Hôtel de Ville de Grenoble Conclusions et perspectives 31
32 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Présentation de la structure Nord 13m 43m Dernier étage Sud Étages courants 52m Tablier transfert Rdc 1 Rdc 2 Sous-sol Instrumentation Permanente (LGIT) Tablier transfert Pile Nord 32
33 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Présentation de la structure Pile 3 Pile 4 Étage courant Pile 1 Pile 2 Rez de chaussée 33
34 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Discrétisation spatiale (Cast3m) Y X Béton : 372 fibres Acier : 48 fibres 5 éléments par étages 15 éléments 5 éléments par étages Béton : 531 fibres Acier : 64 fibres Conditions d appuis : Encastrement éléments 4658 éléments non linéaires ddl. 34
35 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Paramètres matériaux Paramètres Traction Compression Module d'young Coefficient de Poisson Contrainte de refermetures des fissures Seuils en énergie Coefficients de comportement Gestion des déformations inélastiques Module d'young Coefficient de Poisson Limites d'élasticité Début d'écrouissage Limites de rupture Paramètres Coefficients de comportement Rapport de la rigidité d'écrouissage cyclique sur la rigidité élastique Rapport de l espacement des cadres sur le diamètre de la barre 35
36 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Validation du modèle numérique Mesures de vibrations ambiantes (LGIT) (Michel & al, 2007, 2009) Fréquences propres In-situ Modèle Drift Comportement fréquentiel Comportement sous séisme faible (El Arem & al, 2010) In-situ Dir X In-situ Dir Y Model Dir X Model Dir Y Direction X Direction Y 36
37 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Analyse dynamique non linéaire : séisme EC8 Séisme artificiel tri-directionnel respectant le spectre EC8 (LGIT). Spectres réglementaire EC8 Coût de calcul : 1 semaine pour 20 s de signal (échantillonné à 0,01s) 37
38 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Pile 1 Comportement dynamique de la structure Déplacements relatifs de 3 points au sommet Evolution des déformées Comportement de flexion Absence de torsion Effort tranchant non préjudiciable 38
39 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Indicateurs de dommages locaux (échelle des fibres) Endommagement du béton en traction D1 max = 1 Endommagement du béton en compression D2 max = 0.25 Déformations des armatures métalliques ε max = 5, Y X Y X (courbe enveloppe) Variables d endommagement : modèle La Borderie Plastification des armatures dans les piles 39
40 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Qualification du niveau de dommage Léger Analogie EMS-98 : Définition structurelle (classification européenne ) (Lang, 2002) Modéré Important Très Important Fissuration en traction du béton Plastification des armatures (εmax = 5,2.10-3) Absence de dommages en compression du béton Souhait de ne pas dépasser un état de dommage Léger : Confortement à effectuer afin d éviter la plastification : Ruine Renforcement par collage de TFC 40
41 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Confortement de l HDV Renforcement axial des piles Epaisseur constante 6mm 41
42 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Analyse dynamique : Influence du TFC Diminution des déformations Le TFC reste peu sollicité (ε.max < ) Formation de nouvelles zones sensibles Augmentation des efforts et déplacements Modéré Objectif non atteint : Optimisation du renforcement 42
43 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Analyse dynamique : Influence du TFC Renforcement dégressif sur 6 étages Léger Objectif atteint Analyse dynamique non linéaire : Apports et limites Peu d hypothèses sur le fonctionnement de l ouvrage Analyse très détaillée Peu utilisée en bureau d étude (minimum 3 test selon l EC8) Absence d information sur la réserve de capacité de l ouvrage Pushover 43
44 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Analyse statique par poussée progressive : Pushover Chargement statique équivalent TFC 6 étages variable Sans TFC TFC 4 étages constant Sans TFC Permet de quantifier la réserve de ductilité Permet d estimer le déplacement envisagé en dynamique (cible) Nécessite des hypothèses fortes sur le fonctionnement de la structure 44
45 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Contexte 1. Stratégie d analyse de la vulnérabilité 2. Stratégie de modélisation du renforcement par TFC 3. Etude de cas : Evaluation et renforcement de l Hôtel de Ville de Grenoble Conclusions et perspectives 45
46 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Conclusions et perspectives 1/2 Stratégie de modélisation 3D simplifiée par éléments finis poutres multifibres Analyse 3D non linéaire devient abordable en coût de calcul Complément de l analyse Pushover Définition réglementaire de dommage à partir des indicateurs locaux Re-Localisation des déformations au droit des fissures (vers du multi-échelle) Adhérence acier -béton 46
47 Contexte Stratégie d analyse Renforcement par TFC Cas d étude Conclusions Conclusions et perspectives 2/2 Prise en compte du renforcement par TFC dans la modélisation multifibres Evaluation avant et après confortement Développement d un modèle cyclique unilatéral de béton confiné Validation expérimentale et implémentation code EF Intérêt de la prise en compte de la fatigue Application à d autres géométries de poteaux Extension à d autres types de matériaux (ductiles) 47
48 Sols, Solides, Structures - Risques Agence Nationale de la Recherche Merci de votre attention Thèse de doctorat soutenue par : Cédric Desprez 21 juillet 2010 Encadrée par : Jacky Mazars et Panagiotis Kotronis
ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailLE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailChapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique.
12.1 Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique. 12.1. Introduction. Il existe des solutions mixtes acier-béton très diverses dans le domaine du bâtiment. A côté des classiques ossatures
Plus en détailPrise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation.
Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Projet de Fin d Etude Auteur : GODARD Sandy Elève ingénieur en
Plus en détailAnnexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3
Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailCONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES
COURS DE CONSTRUCTION PARASISMIQUE VOLUME 2 CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES Introduction à la conception PS des structures - Approche qualitative
Plus en détailConception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16
Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailII - 2 Schéma statique
II - 2 Schéma statique Philippe.Bouillard@ulb.ac.be version 7 septembre 2006 Schéma statique Définition Appuis et liaisons [Frey, 1990, Vol. 1, Chap. 5-6] Éléments structuraux Sans références Les dias
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailPCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678
Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE
Plus en détailProjet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen
Génie Civil Septembre 2006 Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Tournier Guillaume, élève ingénieur 5 ème année Partie résidentielle Atrium & jardins intérieurs Espace
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailConcepts généraux de la surveillance électronique des ponts routiers au ministère des Transports du Québec
Concepts généraux de la surveillance électronique des ponts routiers au ministère des Transports du Québec Marc Savard, ing, Ph. D. et Jean-François Laflamme, ing, M. Sc. Service de l entretien, Direction
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailRenforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle
Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle A B C D 12,00 D1 C1 D2 34,76 C2 34,76 12,00 N 34,76 A2 34,76 12,00 A1 B1 12,00 B2 Corbeau + appui néoprène Parking D C
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détail10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010
1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma
Plus en détailFermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme
* Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats
Plus en détail1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil
1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil Unité d Enseignement VHS V.H hebdomadaire Coeff. Créd Mode
Plus en détailInstitut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement
Renforcer la compétitivité des entreprises françaises des secteurs forêt, bois, pâte à papier, bois construction, ameublement face à la mondialisation et à la concurrence inter-matériaux Institut technologique
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailLA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS
> LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L
Plus en détailGuide de conception. Sécurité incendie des halls industriels
Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.
Plus en détailÉ L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER
I N S T I T U T C A N A D I E N D E L A T Ô L E D A C I E R P O U R L E B Â T I M E N T É L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER Tables des charges admissibles : colombages et solives ICTAB
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailGLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ
GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement
Plus en détailElaboration de Fer à Béton
Elaboration de Fer à Béton Cisailles électriques Combinées (cisailles-cintreuses) Cintreuses électriques Cintreuses à étriers électriques Cisailles électro-hydrauliques manuelles et lieuse de barres d
Plus en détailLexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.
Plus en détailRÈGLE ALPHA MGSI. www.mgsi.pt. 52 Rue de la Belle Île - 77500 Chelles - France - Tel./Fax:+33 1 60 20 89 95 - E-mail:mgsifrance@yahoo.
ÈGLE ALPHA MGSI 52 ue de la Belle Île - 77500 Chelles - France - Tel./Fax:+33 1 60 20 89 95 - E-mail:mgsifrance@yahoo.fr ÈGLE ALPHA MGSI La règle Alpha MGSI est un système de coffrage de dalles en beton
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailCours de Résistance des Matériaux (RDM)
Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailLa Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois
Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature
Plus en détailSSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP
Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14
Plus en détailNouvelles fonctionnalités Scia Engineer 2013
Nouvelles fonctionnalités Scia Engineer 2013 Les nouvelles fonctions de Scia Engineer, telles que les Engineering Report, Open Checks, Scia Design Forms, ainsi que de nombreuses autres extensions sont,
Plus en détailPartie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46
Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au
Plus en détailSYLLABUS SEMESTRE 9 Année 2011-2012
SYLLABUS SEMESTRE 9 2011-2012 Parcours GM «Génie Mer» Responsable : Olivier Kimmoun Tel.: 04 91 05 43 21 E-mail : olivier.kimmoun@centrale-marseille.fr TRONC COMMUN GM Nb heures élèves (hors examen) GMR-51-P-ELMA
Plus en détailLe plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.
Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailArval. Planchers collaborants. Cofraplus 60
Cofraplus 6 es photos : Image de synthèse (a Tour) Sport City Tower, Doha (Qatar) Architecte : Concept Architect Hadi Simaan, Floride (USA) Structure : Arup, ondres (Royaume-Uni) Au milieu, à droite Parking
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailConstruire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques
La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET
Plus en détailAnalyse statique d une pièce
Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages
Plus en détailLa fabrication des objets techniques
CHAPITRE 812 STE Questions 1 à 7, 9, 11, 14, A, B, D. Verdict 1 LES MATÉRIAUX DANS LES OBJETS TECHNIQUES (p. 386-390) 1. En fonction de leur utilisation, les objets techniques sont susceptibles de subir
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI M T P T C M I C T Septembre 2010 MTPTC : Ministère des Travaux Publics, Transports et Communications MICT
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailProcessus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique
Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Mokhfi Takarli Laboratoire de Génie Civil et Génie Mécanique - INSA de Rennes - 20 Avenue
Plus en détailESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES
ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION
Plus en détailExemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée
Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF
Plus en détailGlissière linéaire à rouleaux
LRX Guidage linéaire Introduction Rail de guidage Joint Graisseur Corps Rouleaux cylindriques Joint Cage Couvercle d extrémité Les guides linéaires à rouleaux de la série LRX offrent une haute fiabilité
Plus en détailCASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE
CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détailGI.BI.DI. BENELUX NV. Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos
Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos Installateur: (Nom, adresse, téléphone) GUIDE UNAC N. 4 POUR LA MOTORISATION DE PORTES SECTIONNELLES POUR GARAGES CONFORMEMENT A LA DIRECTIVE MACHINES 98/37/CE
Plus en détailDISPOSITIONS GÉNÉRALES
DISPOSITIONS GÉNÉRALES ÉTAIEMENT 2 MANUTENTION La manutention manuelle est aisée en raison de la légèreté des poutrelles FILIGRANE. Toutefois, en cas de manutention par grue avec élingues ou palonnier,
Plus en détailJournée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR
Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics
Plus en détailBâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense
5 ème Forum International Bois Construction FBC 2015 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense P. Gontier 1 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense Pascal Gontier Architecte
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un
Plus en détailVis à béton FBS et FSS
Vis à béton FBS et FSS Un montage rapide et de hautes performances. ETA-11/0093 ETAG 001-6 Usage multiple pour application non structurelle dans le béton Z-21.8-2015 ETA-11/0095 ETAG 001-3 Option 1 pour
Plus en détailTP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse.
ACTIVITE ITEC TP2 Durée : 2H Centre d intérêt : COMPORTEMENT D UNE PIECE AUBE D UN MIRAGE 2000 BA133 COMPETENCES TERMINALES ATTENDUES NIVEAU D ACQUISITION 1 2 3 * * Rendre compte de son travail par écrit.
Plus en détailFiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie
ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13
Plus en détailGuide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP
Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier
Plus en détailFRIULSIDER Via Trieste,1 I 33048 San Giovanni al Natisone (UDINE) ITALIE
Member of Centre Scientifique et Technique du Bâtiment 84 avenue Jean Jaurès CHAMPS-SUR-MARNE F-77447 Marne-la-Vallée Cedex 2 Tél. : (33) 01 64 68 82 82 Fax : (33) 01 60 05 70 37 Evaluation Technique Européenne
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailCoffrage MBA pour ceintures et linteaux
Coffrage MBA pour ceintures et linteaux Une console d armature d un nouveau genre et un système d éléments à insérer les uns dans les autres pour fixer les barres d armature Le premier système de A à Z!
Plus en détailProduits préfabriqués lourds
Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi
Plus en détailAUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS
Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN 202 - Iscles des Arboras 06200 NICE Téléphone : 04 92 29 60 60 Télécopie : 04 93 83 83 36 Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service
Plus en détailn 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX
n 180 photographie secousses sismiques et équipements électriques Eric MELMOUX Ingénieur diplômé en 1981 de l INSA de LYON option génie mécanique, il obtient la même année un DEA "vibrations". Après 10
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailDossier de presse Treppenmeister
Dossier de presse Treppenmeister Comment bien choisir son escalier? Un groupement de professionnels depuis plus de 20 ans à votre écoute. En France, 19 partenaires menuisiers ont rejoint le groupement
Plus en détailCalcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation
Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et
Plus en détailSystèmes de levage et de fixation
Systèmes de levage et de fixation ocal Presence Global Competence Sommaire 01. rtéon: présentation de la société 04 02. Système de levage artéon 06 03. Système de levage par ancres plates 14 04. Système
Plus en détailEN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs
EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailLes outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses»
Les outils de la gestion patrimoniale des réseaux r d eau. d Le logiciel «Casses» Eddy RENAUD Périgueux le 3 septembre 2008 L équipe «Réseaux» du Cemagref CEMAGREF Groupement de Bordeaux Unité «Réseaux,
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailActions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd
10 Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd Laurent Moulin, Renault VI, 99, route de Lyon, 69802 Saint Priest, e-mail : laurent.moulin@renaultvi.com D epuis 1974 à aujourd hui, la réglementation
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailPrévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique...
Contrôle non destructif par émission acoustique appliqué au domaine des matériaux et des structures Prévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique... Anticiper et détecter les défauts de
Plus en détail«SERVICES D INGENIERIE»
PUNCH POWERGLIDE STRASBOURG 45 années d expériences Le pôle R & D de PPS rassemble plus d une centaine d experts, chefs de projet, ingénieurs et techniciens expérimentés en recherche et développement,
Plus en détailGUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE
GUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE Document établi par : CSTB 84, avenue Jean Jaurès Champs-sur-Marne F-77447 Marne-la-Vallée Cedex
Plus en détail