Les priorités de l ACPR L évolution des règles internationales
|
|
- Danièle Gauvin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EIFR Risques opérationnels Enjeux structurels et défis à venir Paris, 5 novembre 2014 Les priorités de l ACPR L évolution des règles internationales Philippe BILLARD Chef du service des affaires internationales Banque 1
2 Sommaire 1. Priorités de l ACPR 2. l évolution des règles internationales 2
3 1 Priorités du superviseur La maitrise des risques opérationnels constitue de longue date une priorité des autorités de supervision Sous l impulsion de la réglementation (règlement n 97-02, Bâle 2) et des recommandations effectuées à la suite des contrôles, la maîtrise des risques opérationnels a enregistré des progrès continus, parmi lesquels Renforcement des moyens dédiés au contrôle interne Structuration des filières risques et de contrôle de la conformité Formalisation des procédures de contrôle, y compris des activités externalisées Mise en place de plans de continuité d activité Constitution de bases de données de pertes Développement de modèles internes Leçons tirées de la survenance de défaillances importantes (Lutte contre la fraude dans les activités de marché) 3
4 1 Priorités du superviseur Les exigences accrues en matière de gouvernance Implication de l organe de surveillance Bonne compréhension du profil de risque et approbation du niveau de «tolérance des risques» Prise en compte de l évolution du profil de risque opérationnel résultant de décisions stratégiques Validation du dispositif de gestion des risques opérationnels et examen régulier de son efficacité S assure du développement d une saine culture du risque au sein de l entreprise (et d un comportement conforme aux lois et règlements) 4
5 1 Priorités du superviseur Les exigences accrues en matière de gouvernance Implication des dirigeants Mise en place d une organisation claire et robuste de gestion des risques opérationnels dans le cadre du dispositif de contrôle interne Veille à la mise en œuvre et mise à jour régulière de politiques, procédures et outils de maîtrise des risques opérationnels Garant du déploiement de cette organisation et de ces processus sur l ensemble du périmètre de l établissement et de ses filiales Tenu régulièrement informé de l évolution de la nature et de l importance des risques opérationnels ( mesure, formalisation, reporting) Développement au sein de l entreprise d une culture des risques, qui repose sur des pratiques et des décisions encourageant les comportements sains et éthiques 5
6 1 Priorités du superviseur Des efforts constants à mener en matière de Mesure et identification des risques Existence d une information centralisée sur les risques opérationnels, couvrant un périmètre exhaustif Choix des indicateurs synthétiques clé adaptés à l activité et au profil de risque (mesure des risques et de performance des contrôles) Intégration du risque opérationnel dans la mesure de capital interne (notamment pour les établissements en approches de base et standard) Qualité des bases de données de pertes internes (établissements en approches standard et AMA), ainsi que dans la tarification des opérations et dans les mesures de performance Le cas échéant, enrichissement continu des approches internes (révision des scénarios, backtesting, prise en compte de données historiques externes) 6
7 1 Priorités du superviseur Une attente forte pour une approche globale des risques L approche globale des risques a toujours été mise en avant par la Commission bancaire/acp/acpr, dans le cadre de l application du règlement n Les attentes du Comité de Bâle réaffirment fortement cet objectif voir notamment le document sur les «Principes aux fins de l agrégation des données sur les risques et de la notification des risques» Les autorités attendent des banques qu elles définissent leur «appétence pour le risque», c est-à-dire le niveau et le type de risque qu un établissement peut et souhaite assumer dans ses expositions et ses activités, compte tenu de ses objectifs opérationnels et ses obligations (cf. rapport de décembre 2010 du Senior Supervisors Group intitulé Observations on Developments in Risk Appetite Frameworks and IT Infrastructure) 7
8 1 Priorités du superviseur Il convient de rester attentifs Parmi les causes/faiblesses observées le plus souvent, face auxquelles il convient de rester attentifs: Complexité des groupes, des activités et de l environnement légal Surveillance imparfaite du périmètre d activité (entités étrangères, lignes de métier périphériques) Développement de nouveaux risques, en lien avec les évolutions technologiques et la crise financière Intensité accrue des événements de perte (ex: sanctions, rogue trading, ) Manque de moyens affectés au contrôle interne (effectifs en quantité et/ou qualité insuffisantes, faiblesse des outils de contrôle) 8
9 Sommaire 1. Priorités de l ACPR 2. l évolution des règles internationales CRD4 Révision des approches standard Résolution 9
10 2 Évolution des règles internationales Le nouvel arrêté contrôle interne (remplace le CRBF 97-02), transpose les dispositions de la CRD4 Définition du risque opérationnel alignée à celle du CRR: Risques de pertes découlant d une inadéquation ou d une défaillance des processus, du personnel et des systèmes internes ou d événements extérieurs, y compris le risque juridique Inclut notamment les risques liés à des évènements de faible probabilité d occurrence mais à fort impact, les risques de fraude interne et externe, et les risques de modèle Risque juridique: «risque de tout litige avec une contrepartie, résultant de toute imprécision, lacune ou insuffisance susceptible d être imputable à l établissement au titre de ses opérations» Renforce les dispositifs de gouvernance: Confirme le rôle confié au comité des risques (devant être institué si total de bilan > 5 G ) Création d un chapitre dédié au risque opérationnel (articles 214 et 215), reprenant l article 85 de la CRD4 10
11 2 Évolution des règles internationales Le règlement délégué 529/2014 de la Commission européenne Précise les règles applicables en matière de modifications et d extension des modèles internes S inscrit dans le cadre du «livre unique», visant à assurer une harmonisation maximale des pratiques de supervision au sein de l Union Selon l importance des évolutions opérées: Validation préalable par le superviseur Notification a priori Simple notification ex-post dans un rapport adressé au moins une fois par an Un standard technique (en cours de finalisation à l EBA) vise par ailleurs à harmoniser les méthodologies de validation par le superviseur des approches internes AMA (Advanced Measurement Approaches) 11
12 2 Évolution des règles internationales Le Comité de Bâle prépare la révision des approches standard Document actuellement en consultation jusqu au 6 janvier 2015 S inscrit dans le cadre de la revue d ensemble des standards internationaux décidée au lendemain du déclenchement de la crise financière Permet d ajuster le dispositif Bâle 2 (publié en 2004), en s appuyant sur les données de risques plus riches collectées depuis Le Comité est parti du constat que le nombre et la sévérité des pertes opérationnelles observés s est accru au fil des ans, alors même que les exigences en fonds propres demeuraient globalement stables, reflétant ainsi imparfaitement l évolution des profils de risque En particulier, volonté de refléter le fait que le risque opérationnel s accroit de façon non linéaire avec la taille d un groupe bancaire 12
13 2 Évolution des règles internationales Le Comité de Bâle prépare la révision des approches standard Simplification des approches (3 approches remplacées par une seule approche standard; maintien de l AMA) Introduction d un «business indicator» Basé sur des éléments du compte de résultat Valeurs absolues pour limiter les effets de réduction en cas de pertes Poids des composantes variable Revue des coefficients appliqués à l assiette Homogénéisation selon les lignes métiers Application de coefficients progressifs en fonction de la taille Doit s accompagner d une mise en œuvre complète des «principes pour une gestion saine des risques opérationnels», publiés en
14 2 Évolution des règles internationales Directive BRRD établissant un cadre pour le redressement et la résolution des établissements de crédit et des entreprises d investissement Travaux du FSB : «Key attributes for effective resolution regimes for financial institutions» Les plans préventifs de rétablissement et de résolution conduisent à identifier les scénarios qui impactent la banque, les fonctions et services critiques. La gestion des risques opérationnels que de tels plans sont susceptibles d entraîner doit être l un des éléments essentiels étudiés lors de la conception des plans 14
15 Conclusion La gestion des risques opérationnels et leur prévention a de longue date été une priorité du superviseur français Les règles et principes de saine gestion ont été enrichis et complétés régulièrement Dans le même temps, les risques se sont accrus avec la complexification des organisations et de l environnement technique et réglementaire Les risques opérationnels demeurent au cœur des travaux des régulateurs au plan international 15
Présentation à l EIFR. 25 mars 2014
Présentation à l EIFR 25 mars 2014 1 Contexte BCBS 239 Les établissements font face depuis les cinq dernières années aux nombreux changements réglementaires visant à renforcer la résilience du secteur:
Plus en détailSF ou ECS: quel statut choisir? Le reporting prudentiel des SF
SF ou ECS: quel statut choisir? Le reporting prudentiel des SF ASFFOR le 13 février 2014 1 Introduction L arrêté du 23 décembre 2013 relatif au régime prudentiel des sociétés de financement a donné à l
Plus en détailwww.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014
www.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014 En bref L arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détailLes défis du reporting macro-prudentiel
Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance
Plus en détailEIFR Risques Opérationnels
Thomas RIVET Directeur Associé - EIFR Risques Opérationnels Mutation des métiers et nouveaux Risques 5 Novembre 2014 Mutation des métiers et nouveaux Risques Evolutions structurelles majeures et Mutation
Plus en détailOptimisation de la gestion des risques opérationnels. EIFR 10 février 2015
Optimisation de la gestion des risques opérationnels EIFR 10 février 2015 L ADN efront METIER TECHNOLOGIE Approche métier ERM/GRC CRM Gestion Alternative Approche Technologique Méthodologie Implémentation
Plus en détailSite de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement
Site de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement Anne Claire PAULET Responsable Risques Opérationnels GASELYS AGENDA PRÉSENTATION GASELYS LES RISQUES OPÉRATIONNELS CONTINUITÉ
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailTravaux internationaux et grandes lignes du dispositif français
Secrétariat général de la Commission bancaire Direction de la Surveillance Travaux internationaux et grandes lignes du dispositif français Paris, 24 novembre 2009 Dominique Laboureix, Directeur de la Surveillance
Plus en détailPractice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.
Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Rapport au Président de la République relatif à l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant la directive
Plus en détailBANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit
Plus en détail3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)
3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détailIdentification, évaluation et gestion des incidents
Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE
Plus en détaileframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires
eframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires TIME WINDOW DRIVEN REPORTING POUR DES ANALYSES ET DES RAPPORTS COMPLETS ET EXACTS, À TEMPS TOUT LE TEMPS www.secondfloor.com eframe pour optimiser
Plus en détailL assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010
L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010 L impact de la crise financière récente sur le secteur financier et les économies a été extrêmement
Plus en détailL UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION
1. L UNION BANCAIRE Dans la zone euro, l extension de la crise à certains marchés de dettes souveraines a illustré qu une union monétaire réclame, outre une coordination renforcée des politiques budgétaires
Plus en détailContrôle interne Le nouveau cadre prudentiel
Contrôle interne Le nouveau cadre prudentiel ASF Formation 10 février 2015 Sommaire 1. Introduction 2. Focus sur le nouvel arrêté relatif au contrôle interne 3. Les principales mesures de transposition
Plus en détailPréparation à Solvabilité II. Présentation du calendrier et des projets de textes de niveau 3. 7 août 2014 version 1.0
Préparation à Solvabilité II Présentation du calendrier et des projets de textes de niveau 3 7 août 2014 version 1.0 Sommaire 1 Le programme de travail pour la finalisation du niveau 3 s échelonne sur
Plus en détailGestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies?
Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? gil.delille@forum-des-competences.org Agenda Les enjeux liés aux systèmes d information
Plus en détailEvolution de la gouvernance depuis la crise et relations avec les commissaires. 15 octobre 2013 Fabrice Odent
Evolution de la gouvernance depuis la crise et relations avec les commissaires aux comptes 15 octobre 2013 Fabrice Odent Sommaire 1. Une chaîne de gouvernance 2. Le rôle du commissaire aux comptes 3. La
Plus en détailLe risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires
Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires 1 er a v r i l 2 0 1 1 Dan Chelly Directeur Métier "Risk management, Audit et Contrôle interne" SOMMAIRE Partie 1 Définition des risques
Plus en détailColloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle?
Colloque Groupama AM CEPII La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Table ronde 1 : la stabilité et l unité du système financier européen vont- elles être rétablies? Patrick Goux et Christophe h Morel
Plus en détailRéférentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit
Annexe Circulaire _2009_19-1 du 8 mai 2009 Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Champ d'application: Commissaires agréés. Réglementation de base Table
Plus en détailCrise des «subprimes»: des leçons pour l UBS
Crise des «subprimes»: des leçons pour l UBS L UBS a mené de nombreuses enquêtes internes visant à analyser les adaptations nécessaires et à tirer des leçons de la crise. Elle a pris de vastes mesures
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailIntroduction Fabrice Pesin, Secrétaire général adjoint de l ACP
Introduction Fabrice Pesin, Secrétaire général adjoint de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Sommaire 1 ère partie : le contrôle des systèmes d information par l ACP : objectifs,
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détail25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II
25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.
Plus en détailLe système bancaire parallèle : vers plus de transparence?
Le système bancaire parallèle : vers plus de transparence? CNIS, commission Système financier et financement de l'économie Jeudi 25 septembre 2014 Omar Birouk DGS-Banque de France Yamina Tadjeddine EconomiX,
Plus en détailsociété anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 A U D I K A société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailLes établissements de crédit et la communication financière
Les établissements de crédit et la communication financière INTRODUCTION La montée récente de certains risques (risques-pays, risques sur les entreprises) a souligné l importance pour les grands groupes
Plus en détailComment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013
Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Eléments de contexte Un coût significatif, une évolution des typologies Selon l ALFA (sur la base
Plus en détailLinks Consulting. Support de présentation. L expertise métier au service de la transformation et de la performance
Links Consulting L expertise métier au service de la transformation et de la performance Support de présentation Dans quels domaines nos experts de la transformation accompagneront votre entreprise à vos
Plus en détailPROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim
RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailExternaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN
Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...
Plus en détailLa mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables
La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale
Plus en détailRéformes européennes et stabilité financière
Réformes européennes et stabilité financière 3/04/2012 Martin MERLIN Chef d'unité DG Marché intérieur et services Causes de la crise financière de 2007-2008 Déséquilibres macro-économiques Lacunes réglementaires
Plus en détailINSIGHT. Challenges et enjeux du nouveau FINREP
La collection Insight publiée par NGR Consulting vise à apporter au travers de documents analytiques courts un point de vue sur les problématiques à venir concernant le secteur financier. Retrouvez l ensemble
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailSupervision sur base consolidée
SEMINAIRE ANNUEL REGIONAL Supervision et restructuration bancaires Supervision sur base consolidée Abidjan 13 au 17 janvier 2014 Bruno FLANCHEC Conseiller résident en supervision et restructuration bancaires
Plus en détailSofiprotéol : la gestion de portefeuille de projets au carré
www.itbusinessreview.fr N 4 Sofiprotéol : la gestion de portefeuille de projets au carré page 16 N 4 - Avril 2013 RETOUR D EXPéRIENCE Un centre de services pour mieux gérer les applications à l INA études
Plus en détailJean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012
www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction
Plus en détailPrincipales dispositions du projet de règlement
Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur
Plus en détailAtelier Risques. Optimisation de la gestion des risques opérationnels. En partenariat avec : INFORMATIONS PRATIQUES OBJECTIFS PUBLIC VISÉ
Atelier Risques En partenariat avec : Optimisation de la gestion des risques opérationnels La conjugaison de l accroissement des exigences réglementaires imposées aux institutions financières, de l augmentation
Plus en détailRESULTATS DES TRAVAUX DU GROUPE DE PLACE ETABLI SOUS L EGIDE DE L AMF. Le dispositif de Contrôle Interne : Cadre de référence
RESULTATS DES TRAVAUX DU GROUPE DE PLACE ETABLI SOUS L EGIDE DE L AMF Le dispositif de Contrôle Interne : Cadre de référence Sommaire I- INTRODUCTION GENERALE 1.1 Préambule 1.2 Le contexte 1.3 L approche
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ
LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ Avril 2009 Table des matières Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour... 6 1. Cadre de gestion de la conformité...
Plus en détail1.1. Composition et conditions de préparation et d organisation du Conseil. Attributions du Conseil de surveillance
RéSultatS ConSolIDéS Du GRoupe RéSultatS SoCIaux Paris Orléans ET ses actionnaires Autres informations GouVeRneMent D entreprise Rémunération des mandataires sociaux RappoRt Du président Du ConSeIl De
Plus en détailGuide relatif à la surveillance bancaire
Guide relatif à la surveillance bancaire Novembre 2014 Banque centrale européenne, 2014 Adresse postale 60640 Francfort-sur-le-Main, Allemagne Téléphone +49 69 1344 0 Internet http://www.ecb.europa.eu
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détailLe Collateral Management
Le Collateral Management Éclairage, par Harwell Management 1 Table des Matières Grises Collateral Management 2 GESTION DU COLLATERAL En quelques mots Collatéral : actif financier servant de garantie dans
Plus en détailLa supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation
La supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation Danièle NOUY, Secrétaire général de l Autorité de contrôle prudentiel
Plus en détailCADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1
CADRE DE TRAVAIL Principes à suivre pour les coopératives de services financiers adoptant une approche de notation interne pour le risque de crédit et / ou une approche standard ou de mesure avancée pour
Plus en détailL Univers SWIFTNet. Transformons l essai. Multiplexons les relations
L Univers SWIFTNet Transformons l essai Multiplexons les relations High performance. Delivered. High performance. Delivered.* Globalisation de la communication bancaire Vincent.Lebeault Partner Accenture
Plus en détailCapital Requirement Regulation
Capital Requirement Regulation Sommaire du règlement UE n 575/2013 Exigences prudentielles applicables aux établissements de crédit et entreprises d investissement La directive CRD IV et le règlement
Plus en détailAUDIKA. société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 AUDIKA société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailP résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)
P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des
Plus en détailLes réformes prudentielles : évolutions et impacts sur la gouvernance des établissements
Les réformes prudentielles : évolutions et impacts sur la European Institute of Financial Regulation Paris Matinale EIFR du 17 mai 2010 Danièle NOUY Secrétaire Général de l Autorité de Contrôle Prudentiel
Plus en détailBâle III : les impacts à anticiper
FINANCIAL SERVICES Bâle III : les impacts à anticiper Mars 2011 2 Bâle III Bâle III 3 1. Contexte Bâle III a été entériné en novembre 2010 lors du sommet du G20 de Séoul. De nouvelles règles annoncées
Plus en détailRECOMMANDATIONS COMMISSION
L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes
Plus en détailComment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?
Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,
Plus en détailDÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER
DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans
Plus en détailApproche Méthodologique de la Gestion des vulnérabilités. Jean-Paul JOANANY - RSSI
Approche Méthodologique de la Gestion des vulnérabilités Jean-Paul JOANANY - RSSI Generali un grand nom de l Assurance Le Groupe Generali Generali en France 60 pays 65 millions de clients 80.000 collaborateurs
Plus en détailDécret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité
Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,
Plus en détailCodes des banques 9 septembre 2009
Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le
Plus en détailCONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER
CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE
C 352/4 FR Journal officiel de l'union européenne 7.10.2014 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 25 juillet 2014 sur une proposition de directive
Plus en détailMaîtriser l Outsourcing. Les clés de son projet d externalisation
Maîtriser l Outsourcing Les clés de son projet d externalisation Sommaire Pourquoi externaliser? Décider d un projet d externalisation Les acteurs Les apports d un spécialiste en externalisation Contact
Plus en détailQu est-ce qu un système d Information? 1
Qu est-ce qu un système d Information? 1 Une définition du système d information «Tout moyen dont le fonctionnement fait appel à l électricité et qui est destiné à élaborer, traiter, stocker, acheminer,
Plus en détail1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
Rapport Pilier 3 Informations au 31 décembre 2012 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. INTRODUCTION...1 adéquation DES FONDS PROPRES...7 POLITIQUE DE GESTION DES FONDS PROPRES ET DES RISQUES.... 17 RISQUE DE CRÉDIT
Plus en détailPiloter le contrôle permanent
Piloter le contrôle permanent Un cadre règlementaire en permanente évolution L évolution des réglementations oblige les institutions financières à revoir leur dispositif de contrôle Secteur bancaire CRBF
Plus en détailLes nouveaux ratios prudentiels applicables aux établissements de crédit au titre du droit communautaire
Les nouveaux ratios prudentiels applicables aux établissements de crédit au titre du droit communautaire Frédéric Leplat Les recommandations du Comité de Bâle II ont été reprises par deux directives communautaires
Plus en détailPolitique de gestion des risques
Objectif de la politique La gestion efficace des risques vise à assurer la continuité des opérations, le maintien de la qualité des services et la protection des actifs des organisations. Plus formellement,
Plus en détailAchats de prestations logistiques : les bonnes pratiques
Salon Logistics 360 2011 Parc Exposition La Beaujoire Nantes Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques par Philippe de COUESBOUC, cabinet conseil Creach Partenaire, administrateur CDAF (Compagnie
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailLes dispositifs de gestion des risques et de contrôle interne. Cadre de référence
Les dispositifs de gestion des risques et de contrôle interne Cadre de référence AVANT-PROPOS Le Cadre de référence qui est ici proposé par l AMF aux sociétés françaises dont les titres sont admis à la
Plus en détailDes capacités de cybersécurité et de confiance numérique pour accélérer votre transformation digitale
CYBERSÉCURITÉ Des capacités de cybersécurité et de confiance numérique pour accélérer votre transformation digitale Delivering Transformation. Together. Sopra Steria, leader européen de la transformation
Plus en détailCYBERSÉCURITÉ. Des capacités globales de cybersécurité pour une transformation numérique en toute confiance. Delivering Transformation. Together.
CYBERSÉCURITÉ Des capacités globales de cybersécurité pour une transformation numérique en toute confiance Delivering Transformation. Together. Sopra Steria, leader européen de la transformation numérique,
Plus en détailIII.2 Rapport du Président du Conseil
III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales
Plus en détailDÉCOUVRIR L AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION
DÉCOUVRIR L AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION Autorité administrative indépendante adossée à la Banque de France, l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution est en charge de l agrément
Plus en détailExercice 2005. Mesdames, Messieurs,
SQLI Société anonyme à Directoire et Conseil de surveillance Au capital social de 1.332.339,15Euros Siège social : Immeuble Le Pressenssé 268, avenue du Président Wilson 93200 La Plaine Saint-Denis RCS
Plus en détailSTRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI
STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin
Plus en détailMECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP)
MAPPP/12-16 FICHE : CRISTALLISATION DES TAUX MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) Introduction Cette note examine les différentes modalités de couverture du risque
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT
LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque
Plus en détailBUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise
BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT I PLANZER I 2010 BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT Notre plan C pour situations d'urgence et de crise La sécurité n'est pas une valeur absolue. Une gestion de risque peut éventuellement
Plus en détailPré-requis Diplôme Foundation Certificate in IT Service Management.
Ce cours apporte les connaissances nécessaires et les principes de gestion permettant la formulation d une Stratégie de Services IT ainsi que les Capacités organisationnelles à prévoir dans le cadre d
Plus en détailNovembre 2007 Recommandations en matière de Business Continuity Management (BCM)
Novembre 2007 Recommandations en matière de Business Continuity Management (BCM) Recommandations en matière de Business Continuity Management (BCM) Table des matières 1. Situation initiale et objectifs...2
Plus en détailPROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS
PROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS Janvier 2013 TABLE DES MATIÈRES Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Prise d effet et processus de mise à jour...
Plus en détailGUIDE RELATIF À LA SURVEILLANCE BANCAIRE
GUIDE RELATIF À LA SURVEILLANCE BANCAIRE. Septembre 2014 Banque centrale européenne, 2014 Adresse Kaiserstrasse 29, 60311 Francfort-sur-le-Main, Allemagne Adresse postale Postfach 16 03 19, 60066 Francfort-sur-le-Main,
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailRécapitulatif: Du 30 Mars au 10 Avril 2015. Rapports de l OICV sur les plans de continuité d activité.
Du 30 Mars au 10 Avril 2015 Récapitulatif: Rapports de l OICV sur les plans de continuité d activité. Mise à jour de la liste des Contreparties Centrales autorisées en Europe. Lancement d un projet conjoint
Plus en détailAtelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?
Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle
Plus en détailCrédit Agricole CIB. Année 2014. Le présent rapport est établi conformément à l'article 450 du règlement (UE) N 575/2013 du 26 juin 2013.
Crédit Agricole CIB Rapport annuel relatif à la politique et aux pratiques rémunération s personnes définies à l article L. 511-71 du co monétaire et financier et en application du règlement délégué (UE)
Plus en détailL ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?
Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle
Plus en détailRecommandation sur le traitement des réclamations
Recommandation sur le traitement des réclamations 1. Contexte 2015-R-03 du 26 février 2015 L information du client sur les modalités d examen des réclamations ainsi que le traitement de ces dernières font
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détail