Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?"

Transcription

1 Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert, actuaire, senior manager

2 Intro L environnement du marché de l assurance Des bouleversements majeurs Crise Décollecte en assurance vie Solvabilité II 8 Collecte nette mensuelle Supervision 6 Exigences Quantitatives Exigences Qualitatives Exigences d information Mise en valeur économique des passifs d assurance Calcul de l exigence de capital et évaluation des fonds propres éligibles Règles sur les placements L évaluation interne des risques et de la solvabilité (ORSA) Le système interne de gouvernance de la compagnie Audit interne Contrôle interne Principe de transparence Information publique Information pour les superviseurs Informations publiées par les superviseurs : 53,4 Md 2011 : 7,6 Md 2012 : -1,1 Md Qualité des données / Systèmes d informations Conduite du changement / Pilotage projet Communication interne / Echanges avec l ACP Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 2 / 24

3 SOMMAIRE Partie 1 : Tarification des produits : Comment objectiver la rentabilité des produits? Partie 2 : Stratégie de couverture : Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs Partie 3 : Gestion d actifs : Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 3 / 24

4 Partie 1 Comment objectiver la rentabilité des produits? Un nouveau référentiel de rentabilité Les projets Solvabilité II des compagnies d assurance ont priorisé le pilier 1 (établissement du bilan prudentiel et du capital réglementaire) La maturité des compagnies et la prochaine entrée en vigueur de Solvabilité II ont permis d initier les chantiers sur : Les budgets de risque et, Leur prise en compte dans le pilotage de l activité Importants moyens de production Revue des budgets de risques Intégration dans l ALM, la gestion d actifs et la tarification Rapports réglementaires Exigences de gouvernance Référentiel de rentabilité Solvabilité II Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 4 / 24

5 Partie 1 Comment objectiver la rentabilité des produits? Un pilotage prospectif inhérent à l inversion du cycle de production L ALM est indispensable du fait de l inversion du cycle de production qui implique un temps de latence plus ou moins important entre le pilotage de l activité et la constatation de ses bénéfices sur le bilan de la compagnie Réassurance ORSA 3 Direction Tarification Souscription Provisionnement 1 ALM IFRS Solvabilité II 4 Gestion d actifs Produits de couverture Agences de notation MCEV Comptes sociaux 2 Communication Financière Cycle de production Concurrence Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 5 / 24

6 Partie 1 Comment objectiver la rentabilité des produits? Les indicateurs traditionnels en ALM Solvabilité I Solvabilité II Objectif principal Rentabilité 1 16 % 1 Sinistres Primes Primes Sinistres SCR Respect des engagements Réserves comptables Objectifs secondaires Optimisation des fonds propres Croissance par rapport à la concurrence Respect des budgets de risque (VaR, Risk Appetite) Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 6 / 24

7 Partie 1 Comment objectiver la rentabilité des produits? Les contraintes ALM sous Solvabilité II Le passage de Solvabilité I à Solvabilité II impacte le ratio de solvabilité (Fonds propres / SCR) à la fois Sur son niveau : la baisse de l ordre de 25% du surplus induit une réduction de l appétence aux risques Sa volatilité qui deviendra un nouvel enjeu pour le marché de l assurance Décomposition des 25% de baisse du Surplus SII versus SI Volatilité du ratio de solvabilité à 5 ans 250% 200% 150% 100% Scénario central 50% Quantile 5% Quantile 95% 0% Source EIOPA Source Optimind Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 7 / 24

8 SOMMAIRE Partie 1 : Tarification des produits : Comment objectiver la rentabilité des produits? Partie 2 : Stratégie de couverture : Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs Partie 3 : Gestion d actifs : Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 8 / 24

9 Partie 2 Quels impacts sur la Réassurance? L économie en capital apportée par la réassurance Sans Réassurance Réassurance Solvabilité I Réassurance Solvabilité II Coût du SCR de contrepartie Coût du capital pour l assureur Coût du capital pour l assureur Aversion au risque pour l assureur Coût du risque de crédit Coût du capital pour le réassureur Coût du risque de crédit Coût du capital pour le réassureur Coût du risque Aversion au risque pour le réassureur Prime de risque P R I M E Aversion au risque pour le réassureur Prime de risque Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 9 / 24

10 Partie 2 L économie en capital apportée par la Réassurance SCR de contrepartie : Principes L approche modulaire retenue par Solvabilité II rend difficile l interprétation des calculs du capital Le SCR de contrepartie prend (notamment) en compte le risque de crédit sur les produits de couverture Réassureurs : réglementairement de Type 1 Banques : réglementairement de Type 1 SCR def, Type1 = i V V LGD i si si si V 5% V 20% V > 20% i i i LGD i LGD i LGD i Type 1 Créances concentrées ou non diversifiables Créances Type 2 Créances granulaires ou diversifiables V LGD i Variance de la distribution des pertes sur l ensemble des contreparties (elle-même fonction des LGD) Perte en fonds propres en cas de défaut de la contrepartie i Intermédiaires Autres (assurés, ) Créances court terme < à 3 mois Autres Créances > à 3 mois Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 10 / 24

11 Partie 2 L économie en capital apportée par la Réassurance SCR de contrepartie : Calcul de la Loss Given Default (LGD) La LGD est la perte de fonds propres en cas de défaut de la contrepartie La formule standard définit la LGD comme suit LGD = (1 RR) x (Créances + RM Valeur ajustée du Collatéral) Dettes nettables avec, RM : le risk mitigating effect ou l économie en capital réglementaire Valeur ajustée du Collatéral = SC x (Valeur de marché - Risque de marché) Dettes nettables : dettes compensables avec les créances en cas de défaut (sous condition que leur maturité soit supérieure aux créances) RR Réassureur 50% Réassureur ayant nanti plus de 60% de ses actifs 10% Produits dérivés 10% Cas 1 Cas 2 Cas 3 Main levée en cas de défaut de la contrepartie Oui Oui Non Main levée en cas de défaut du dépositaire Oui Non Non SC 100% 90% 0% Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 11 / 24

12 Partie 2 L économie en capital apportée par la Réassurance SCR de contrepartie : Un coût modéré en capital Evolution du SCR de contrepartie avant diversification avec une LGD équirépartie entre des réassureurs de la même notation Leviers de pilotage du SCR de Contrepartie 100 Notation des contreparties LGD SCR B SCR BB SCR BBB SCR A Lettre de crédit Diversification des contreparties Nombre de réassureurs SCR AA Collatéralisation des engagements Exemple RR=50% Rating A Diversification 30% RM = 200 LGD = 100 SCR Contrepartie = 6,7 +4,7 sur SCR Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 12 / 24

13 Partie 2 Quels impacts sur la Réassurance? Une nouvelle opportunité : Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs Sans Réassurance Réassurance Solvabilité II Coût du SCR de contrepartie Coût du capital pour l assureur Aversion au risque pour l assureur Coût du risque de crédit Coût du capital pour le réassureur Aversion au risque pour le réassureur Coût du risque Prime de risque Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 13 / 24

14 Partie 2 Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs La formule standard Adj ID : report du déficit fiscal Adj TP : annulation de la PPE La formule standard se fonde sur : Une cartographie des risques Des chocs standards appliqués à chacun d eux Des règles d agrégation des risques pour obtenir le SCR à 99,5% SCR Bénéfice de diversification des modules Ajustement BSCR Opérationnel Marché Santé Contrepartie Vie Non-vie Actifs incorporels Bénéfice de diversification des sous-modules Taux d intérêt SLT Catastrophe NSLT Mortalité Prime et réserve Diversification des chocs actions, concentration, Action Immobilier Spread Change Mortalité Longévité Incapacité Invalidité Rachat Prime et réserve Rachat Longévité Incapacité Invalidité Rachat Dépenses Rachat Catastrophe Adossement actif / passif Concentration Contracyclique Dépenses Révision Révision Catastrophe Ajustement dû à l effet d absorption des participations aux bénéfices futures Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 14 / 24

15 Partie 2 Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs Modèle interne Peu d acteurs auront présenté et reçu l approbation de l ACP sur leur modèle interne La réassurance donne accès indirectement au modèle interne du réassureur Choix de la méthode Formule standard Modèle interne partiel Modèle interne total Approbation de l ACP Production des états réglementaires Contrôle de l ACP Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 15 / 24

16 SOMMAIRE Partie 1 : Tarification des produits : Comment objectiver la rentabilité des produits? Partie 2 : Stratégie de couverture : Transfert du bénéfice de diversification des réassureurs Partie 3 : Gestion d actifs : Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 16 / 24

17 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Principe de Transparence Solvabilité II requiert une analyse des risques financiers par transparence Les principes de proportionnalité et de matérialité s appliquent également au principe de transparence Mandats Fonds Produits structurés : EMTN, CDO, Assimilés aux titres vifs Principe de transparence Choix de la méthode Formule standard Modèle interne partiel ou total Expositions réelles Limites de gestion Choc Action Proxy par application des principes de proportionnalité et de matérialité Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 17 / 24

18 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Comment objectiver la rentabilité? Solvabilité I Solvabilité II Objectif principal Rentabilité Résultat Financier Résultat Financier 16 % Primes SCR Respect des engagements Réserves comptables Objectifs secondaires Optimisation des fonds propres Croissance par rapport à la concurrence Respect des budgets de risque (VaR, Risk Appetite) Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 18 / 24

19 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Focus 1 : Gestion du risque de Concentration Le choc de concentration est déterminé par émetteur Les résultats du QIS5 montrent que les grands acteurs sont peu exposés au risque de concentration grâce Une politique d allocation des placements plus prudente que, La règle de dispersion du code des assurances qui limite la concentration sur un émetteur à 5% Contribution du risque de concentration aux risques de marché Source : Rapport de l EIOPA du QIS5 Illustration du choc de concentration Cas d un émetteur corporate 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Tier 1 Tier 2 Tier 3 Solo Groupe Choc sur l émetteur 50% 40% 30% 20% 10% 0% 1,0% 2,0% 3,0% 4,0% 5,0% Part de l émetteur dans les placements AAA et AA A BBB BB et - NR Exceptions : Etat, Immobilier covered bond, Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 19 / 24

20 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Focus 2 : Gestion du risque de crédit (1/3) La formule standard définit un choc de spread comme la somme de 3 chocs Spread sur obligations et prêts Spread sur produits structurés de crédit (ABS) Spread sur dérivés de crédit (CDS, CLN, TRS) Obligations et prêts SCR bonds = Σ Valeur de marché x Fup(notation ; sensibilité) Choc nul Choc réduit Choc plein Banque centrale européenne Banques et gouvernements européens Banques de développement multilatéral Organisations internationnales Covered bonds Certaines banques centrales Certains gouvernements Pour les sociétés d assurance et de réassurance non notées, le FUP dépend de leur ratio de solvabilité Lorsque l on applique la «matching premium», un facteur de réduction est appliqué en fonction de la notation Fup 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Sensibilité AAA AA A BBB BB B et - NR Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 20 / 24

21 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Focus 2 : Gestion du risque de crédit (2/3) La crise financière a matérialisé le risque de crédit, Solvabilité II donne une approche standard d appréhension du risque Le SCR spread peut être piloté en fonction De la notation De la duration Traitement des obligations souveraines EEE : pas de risque Hors EEE noté AA : pas de risque Hors EEE noté A ~ obligation AA Hors EEE noté BBB ~ obligation A Choc de spread sur obligation Fup 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Sensibilité AAA AA A BBB BB B et - NR Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 21 / 24

22 Partie 3 Quelles sont les nouvelles contraintes de gestion à l étude? Focus 2 : Gestion du risque de crédit (3/3) L évolution du SCR spread dans le temps est soumise A une évolution naturelle liée à la duration A la matérialisation du risque qui se traduit par une dégradation de la note Choc de spread sur obligation Fup 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Sensibilité AAA AA A BBB BB B et - NR Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 22 / 24

23 Partie 3 Intégration de l ORSA dans l ALM Les principes de gouvernance en ALM Direction Générale Politique permanente sur les placements Contraintes absolues par classe d actif (ex : 30% sur action) Contraintes techniques par classe d actif (monnaie, rating, ) Contraintes sur partenaire Direction ALM Etudes ALM : Optimisation de la performance par la prise en compte de contraintes de gestion garantissant le respect des objectifs Comité ALM Choix et validation de l allocation stratégique Fréquence annuelle hors évènement exceptionnel Direction gestion d actifs Mise en œuvre de l allocation stratégique par une gestion directe ou déléguée BFI Courtiers Société de gestion Dépositaires Courtage Structuration Courtage Mandat de gestion Fonds dédiés Fonds ouverts Compte titres Services accessoires : comptabilité, état réglementaire Reportings a posteriori sur les risques de marché Nouvelles contraintes de gestion des risques de marché : crédit, concentration,. Point de vigilance sur les méthodes et les outils Contrôle des procédures et des méthodes, Audit de performance Contrôle & Audit Interne Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 23 / 24

24 Partie 3 Intégration de l ORSA dans l ALM L indépendance de fait des équipes de gestion d actifs remise en cause Les entreprises d assurance doivent mettre en place un système de gouvernance efficace, qui garantisse une gestion saine et prudente de l activité Ce système doit être proportionné : A la nature A l ampleur Et à la complexité des opérations de l entreprise d assurance Il fait l objet d un réexamen interne régulier et de contrôles de l ACP Compétences et honorabilité (Art. 42) Externalisation (Art. 49) Système de gouvernance : Exigences générales (Art. 41) ORSA (Art. 45) Contrôle interne (Art. 46) Fonction de conformité Audit interne (Art. 47) Fonction actuarielle (Art. 48) Gestion des risques ORSA (Art. 44) Fonctions clés Pilier I : Comment piloter une entreprise d assurance IARD 24 / 24

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant

Plus en détail

Note TDTE N 44. Philippe Foulquier, Directeur du pôle «Analyse Financière et Comptabilité» de l EDHEC.

Note TDTE N 44. Philippe Foulquier, Directeur du pôle «Analyse Financière et Comptabilité» de l EDHEC. Note TDTE N 44 La gestion de l épargneretraite à long-terme : Attention au cadre prudentiel réglementaire! Auteur Philippe Foulquier, Directeur du pôle «Analyse Financière et Comptabilité» de l EDHEC.

Plus en détail

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Colloque du CNAM 6 octobre 2011 Intervenants OPTIMIND Gildas Robert actuaire ERM, senior manager AGENDA Introduction Partie 1 Mesures de

Plus en détail

De ces 6 blocs, le Groupe OFI est concerné par les blocs marché et défaut relatifs aux investissements financiers.

De ces 6 blocs, le Groupe OFI est concerné par les blocs marché et défaut relatifs aux investissements financiers. Calcul du SCR marché Rappel : Dans le cadre de la nouvelle réglementation de l assurance Solvabilité 2, le premier pilier quantitatif définit les normes de calcul des fonds propres réglementaires. Le SCR

Plus en détail

SOLVABILITE II Glossaire et notions clés

SOLVABILITE II Glossaire et notions clés SOLVABILITE II Glossaire et notions clés Version septembre 2013 A Actuaire Spécialiste qui applique la statistique et le calcul des probabilités pour la conduite d opérations financières et d assurance.

Plus en détail

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction

Plus en détail

SOLVABILITÉ 2 : DÉCRYPTAGE DES ACTES DÉLÉGUÉS

SOLVABILITÉ 2 : DÉCRYPTAGE DES ACTES DÉLÉGUÉS SOLVABILITÉ 2 : DÉCRYPTAGE DES ACTES DÉLÉGUÉS Pilier 1 (hors aspects purement quantitatifs) (44) Comme les bénéfices attendus inclus dans les primes futures de contrats d assurance et de réassurance non-vie

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

SESSION SPECIALE. Impacts de SOLVENCY 2 sur vos contrats d assurances

SESSION SPECIALE. Impacts de SOLVENCY 2 sur vos contrats d assurances Association pour le Management des Risques et des Assurances de l Entreprise SESSION SPECIALE Impacts de SOLVENCY 2 sur vos contrats d assurances AMRAE LE JEUDI 22 SEPTEMBRE 2011 -2- PLAN DE L INTERVENTION

Plus en détail

SOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale. Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne

SOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale. Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne SOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne 1 Pilier 2: la maitrise des risques Dans un premier temps, l attention s est portée sur la mesure quantitative du risque

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

Présentation du métier d actuaire vie

Présentation du métier d actuaire vie 06 Octobre 2010 Frédéric Daeffler 14/10/2010 Agenda Assurance vie : Produits concernés Actuaire produit : Tarification et conception d un produit Actuaire financier : Pilotage des résultats, Gestion actif-passif,

Plus en détail

rv de septembre - 09/09/2008 - XC

rv de septembre - 09/09/2008 - XC rv de septembre - 09/09/2008 - XC Rendez-vous de septembre 9 septembre 2008 - Monte Carlo LE TRANSFERT DE RISQUES DANS SOLVABILITÉ II Xavier Cognat Fédération Française des Sociétés d Assurances rv de

Plus en détail

Critères de validation des modèles internes en assurance vie :

Critères de validation des modèles internes en assurance vie : Critères de validation des modèles internes en assurance vie : Use tests, intégration des modèles dans les processus de prise de décision et approche ERM Vladislav GRIGOROV, CRO, SwissLife France David

Plus en détail

Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires

Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires 1 er a v r i l 2 0 1 1 Dan Chelly Directeur Métier "Risk management, Audit et Contrôle interne" SOMMAIRE Partie 1 Définition des risques

Plus en détail

Solvabilité 2 et mutuelles: état des lieux et priorités 2013. Paris, le 6 juin 2013

Solvabilité 2 et mutuelles: état des lieux et priorités 2013. Paris, le 6 juin 2013 Solvabilité 2 et mutuelles: état des lieux et priorités 2013 Paris, le Programme Évolutions quantitatives et impacts associés Enseignements à tirer des derniers travaux demandés par l EIOPA (Pilier 1)

Plus en détail

Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014

Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014 Comment s adapter aux modèles standards : de la recherche aux nouvelles offres de services et de produits Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014

Plus en détail

Solution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010

Solution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Présentation d ERMS Solution logicielle pour le pilotage et l ERM Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Sommaire 1 Présentation d ACTUARIS 2 Les problématiques rencontrées 3 Présentation d ERMS

Plus en détail

Solvabilité II : Vers une approche globale et cohérente de la solvabilité

Solvabilité II : Vers une approche globale et cohérente de la solvabilité FINANCIAL SERVICES Solvabilité II : Vers une approche globale et cohérente de la solvabilité Des principes à la mise en oeuvre KPMG AUDIT SOMMAIRE Contexte et enjeux du projet Solvabilité II Les objectifs

Plus en détail

Solvabilité II. De Solvabilité I àsolvabilitéii. Les trois piliers. Le processus «Lamfalussy» Le calendrier. Le rôle de la FFSA aujourd hui

Solvabilité II. De Solvabilité I àsolvabilitéii. Les trois piliers. Le processus «Lamfalussy» Le calendrier. Le rôle de la FFSA aujourd hui De Solvabilité I àsolvabilitéii Les trois piliers Le processus «Lamfalussy» Le calendrier Le rôle de la FFSA aujourd hui Les points de vigilance La France en Europe Réavie 15 octobre 2009 2 De Solvabilité

Plus en détail

Appétence au risque : intégration au pilotage d une

Appétence au risque : intégration au pilotage d une Appétence au risque : intégration au pilotage d une société d assurance Pierre-Emmanuel Thérond, Pierre Valade To cite this version: Pierre-Emmanuel Thérond, Pierre Valade. Appétence au risque : intégration

Plus en détail

Le Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II

Le Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Le Data Risk Center Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Sommaire Le conseil en Risk Management 1) Le projet Solvabilité II Objectifs et moyens à mettre

Plus en détail

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance

Réglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes

Plus en détail

Quantitative Reporting Templates Etats Réassurance. 28/02/2013 Auditorium de Groupama

Quantitative Reporting Templates Etats Réassurance. 28/02/2013 Auditorium de Groupama Quantitative Reporting Templates Etats Réassurance 28/02/2013 Auditorium de Groupama 1 QRT Etats Réassurance Etat J1_Basic Cet état recense pour chaque LOB les 10 plus importants risques réassurés en facultative

Plus en détail

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II 25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.

Plus en détail

Journées d études IARD de l Institut des Actuaires Risques de souscription / provisionnement

Journées d études IARD de l Institut des Actuaires Risques de souscription / provisionnement www.pwc.com Journées d études IARD de l Institut des Actuaires Risques de souscription / provisionnement Reims 31 mars 2011 Agenda Section Description 1 Une compagnie d assurance peut-elle faire faillite?

Plus en détail

Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs

Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Conférence ActuariaCnam Présentation 3 1 / 0 5 / 2 0 1 2 Julien Chartier, Actuaire Manager AGENDA Introduction Partie 1 - L arrêt «Test-Achats»

Plus en détail

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle

Plus en détail

Asset Quality Review

Asset Quality Review Asset Quality Review Eclairage, par Harwell Management 1 Table des Matières En quelques mots... 3 Contexte : une confiance sur la santé des bilans des banques européennes fragile... 3 Objectifs et Enjeux...

Plus en détail

Préparation à Solvabilité II. Présentation du calendrier et des projets de textes de niveau 3. 7 août 2014 version 1.0

Préparation à Solvabilité II. Présentation du calendrier et des projets de textes de niveau 3. 7 août 2014 version 1.0 Préparation à Solvabilité II Présentation du calendrier et des projets de textes de niveau 3 7 août 2014 version 1.0 Sommaire 1 Le programme de travail pour la finalisation du niveau 3 s échelonne sur

Plus en détail

LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier

LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Conférence ATEL - 11 décembre 2012 LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Marc-Antoine DOLFI, associé 1 PLAN DE PRESENTATION Le contrat de capitalisation 1. Description 2.

Plus en détail

n 44 avril 2015 Stress test EIOPA 2014 : échantillon européen, situation domestique et benchmarkings

n 44 avril 2015 Stress test EIOPA 2014 : échantillon européen, situation domestique et benchmarkings n 44 avril 2015 Stress test EIOPA 2014 : échantillon européen, situation domestique et benchmarkings Sommaire 1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE L EXERCICE... 6 1.1. Contours de l exercice... 6 1.1.1. Coordination

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Rapport au Président de la République relatif à l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant la directive

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET

Plus en détail

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter

Plus en détail

Résultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %

Résultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique

Plus en détail

Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions

Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions Le but de cette étude est de recueillir de l information afin d évaluer diverses méthodes possibles de calcul des exigences de capital liées

Plus en détail

Le financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire

Le financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire 16 juin 2015 Séminaire Sc Po / Banque de France Le financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire Lorenzo Bini Smaghi Président du Conseil d Administration Régulation bancaire en

Plus en détail

Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal

Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal Plateforme intégrée de gestion des risques et de conformité réglementaire Solvabilité II - Gestion et Qualité des données Des enjeux essentiels pour une remise

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU

Plus en détail

des compagnies d assurance : évolutions récentes

des compagnies d assurance : évolutions récentes Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l

Plus en détail

Nous avons l honneur de vous présenter le rapport de notre Caisse commune et de soumettre à votre approbation. au 31 décembre 2013.

Nous avons l honneur de vous présenter le rapport de notre Caisse commune et de soumettre à votre approbation. au 31 décembre 2013. 26 Nous avons l honneur de vous présenter le rapport de notre Caisse commune et de soumettre à votre approbation les comptes arrêtés au 31 décembre 2013. Accédez à des informations complémentaires via

Plus en détail

Solvabilité II et rentabilité ajustée au risque des produits en assurance-vie

Solvabilité II et rentabilité ajustée au risque des produits en assurance-vie Solvabilité II et rentabilité ajustée au risque des produits en assurance-vie Vladislav GRIGOROV, CRO SwissLife France Journées d études de l IA, Deauville, 21 septembre 2012 Introduction Solvency II représente

Plus en détail

Solvabilité II & IFRS 4

Solvabilité II & IFRS 4 INTRODUCTION Solvabilité II & IFRS 4 Vers la possibilité d une Convergence. FARIA Caroline Année Universitaire : 2012 2013 Mémoire présenté le 19 septembre 2013 Ecole Supérieure de l Assurance ESA MBA

Plus en détail

CONTRÔLER LES PARAMÈTRES

CONTRÔLER LES PARAMÈTRES CONTRÔLER LES PARAMÈTRES Accédez à des informations complémentaires via www.integrale2014.be/fr/gestion Integrale Rapport annuel 2014 Rapports de gestion & du Réviseur Contexte financier Le contexte financier

Plus en détail

Mesure et gestion des risques d assurance

Mesure et gestion des risques d assurance Mesure et gestion des risques d assurance Analyse critique des futurs référentiels prudentiel et d information financière Congrès annuel de l Institut des Actuaires 26 juin 2008 Pierre THEROND ptherond@winter-associes.fr

Plus en détail

Captives: l auto-financement des entreprises; Face aux réductions de capacités et de «

Captives: l auto-financement des entreprises; Face aux réductions de capacités et de « Atelier B5 Captives: l auto-financement des entreprises; Face aux réductions de capacités et de «prise de risques» des assureurs : l étude de l'auto-assurance, malgré un encadrement plus strict, n'est-elle

Plus en détail

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD RHONE ALPES SOCIETE COOPERATIVE A CAPITAL VARIABLE. Au capital actuel de 70 455 381, 25 EUROS

CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD RHONE ALPES SOCIETE COOPERATIVE A CAPITAL VARIABLE. Au capital actuel de 70 455 381, 25 EUROS CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUTUEL SUD RHONE ALPES SOCIETE COOPERATIVE A CAPITAL VARIABLE Au capital actuel de 70 455 381, 25 EUROS Siège social : 15-17 rue Paul Claudel 38100 GRENOBLE 402 121

Plus en détail

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle

Plus en détail

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014 Expertise Crédit Euro La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion Décembre 2014 destiné à des investisseurs professionnels au sens de la Directive Européenne MIF Performance cumulée

Plus en détail

Changement du business model des banques : une explication de la crise actuelle 1. François Longin 2

Changement du business model des banques : une explication de la crise actuelle 1. François Longin 2 Changement du business model des banques : une explication de la crise actuelle 1 François Longin 2 Résumé Cet article insiste sur le changement de business model des banques qui peut constituer une explication

Plus en détail

TECH COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INFOTECH # 33 INTRODUCTION RAPPEL : QUEL CONTOUR DU GROUPE D ASSURANCE AUJOURD HUI?

TECH COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INFOTECH # 33 INTRODUCTION RAPPEL : QUEL CONTOUR DU GROUPE D ASSURANCE AUJOURD HUI? COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INTRODUCTION Marie-Laure DREYFUSS ASSOCIÉE Responsable du Pôle Gouvernance Tel. : + 33 (0)4 72 18 58 58 E-mail : marie-laure.dreyfuss@actuaris.com En matière de

Plus en détail

Crédit Agricole Assurances. Données financières 2011

Crédit Agricole Assurances. Données financières 2011 Crédit Agricole Assurances Données financières 2011 sommaire 1 ACTIVITE ET INFORMATIONS SUR LE GROUPE CREDIT AGRICOLE ASSURANCES Principes et méthodes applicables dans le groupe...4 Environnement économique

Plus en détail

Les nouveaux ratios prudentiels applicables aux établissements de crédit au titre du droit communautaire

Les nouveaux ratios prudentiels applicables aux établissements de crédit au titre du droit communautaire Les nouveaux ratios prudentiels applicables aux établissements de crédit au titre du droit communautaire Frédéric Leplat Les recommandations du Comité de Bâle II ont été reprises par deux directives communautaires

Plus en détail

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014 Présentation à l EIFR 25 mars 2014 1 Contexte BCBS 239 Les établissements font face depuis les cinq dernières années aux nombreux changements réglementaires visant à renforcer la résilience du secteur:

Plus en détail

Capital Requirement Regulation

Capital Requirement Regulation Capital Requirement Regulation Sommaire du règlement UE n 575/2013 Exigences prudentielles applicables aux établissements de crédit et entreprises d investissement La directive CRD IV et le règlement

Plus en détail

Solvabilité II : Retour d expérience sur quelques aspects du Pilier II

Solvabilité II : Retour d expérience sur quelques aspects du Pilier II Solvabilité II : Retour d expérience sur quelques aspects du Pilier II Vladislav GRIGOROV SL France Journées d études IA de Deauville, 4 octobre 2013 Introduction Le Pilier I et les dispositifs de reporting

Plus en détail

QUANTIFICATION DU RISQUE

QUANTIFICATION DU RISQUE QUANTIFICATION DU RISQUE Journées d études de Deauville, le 16 septembre 2011 OPÉRATIONNEL 1.Solvabilité 2 et le Risque Opérationnel 2.La gestion du Risque Opérationnel 3.Les méthodes de quantification

Plus en détail

Impact de Solvabilité II sur l économie réelle : une approche micro-économique

Impact de Solvabilité II sur l économie réelle : une approche micro-économique Impact de Solvabilité II sur l économie réelle : une approche micro-économique Marius Frunza a,b,c a Schwarzthal Kapital, Université Paris 1, 34 quai de Dion Bouton, Puteaux, 92800, France b Centre d Economie

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007

COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007 COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007 Nouvelles normes IFRS7 Méthode de valorisation dans le contexte de crise financière Mars 2008 La nouvelle norme, Instruments financiers

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010

L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010 L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010 L impact de la crise financière récente sur le secteur financier et les économies a été extrêmement

Plus en détail

Actifs gérés en extinction

Actifs gérés en extinction 15 juin 2010 Actifs gérés en extinction Des risques sous contrôle Michel Péretié Directeur de la Banque de Financement et d Investissement Actifs gérés en extinction: une analyse externe confirme le niveau

Plus en détail

Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model»

Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2 Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Luca De Dominicis formation Sepia 10 juin 2008 Sommaire 1.

Plus en détail

Qualité des données sur la chaine de valeur globale du reporting réglementaire, du Pilier 1 au Pilier 3 de Solvabilité 2

Qualité des données sur la chaine de valeur globale du reporting réglementaire, du Pilier 1 au Pilier 3 de Solvabilité 2 Qualité des données sur la chaine de valeur globale du reporting réglementaire, du Pilier 1 au Pilier 3 de Solvabilité 2 Conférence XBRL Paris, le 3 avril 2014 Des données de plus en plus complexes D où

Plus en détail

Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP

Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel 2 Vidéo 3 Sommaire Conférence animée par Cyril Roux, premier secrétaire général adjoint de

Plus en détail

Conférence ActuariaCnam EFAB CNAM site : http://assurfinance2013.actuariacnam.net @AssurFinance13. Mardi 09 avril 2013 08h30-12h45

Conférence ActuariaCnam EFAB CNAM site : http://assurfinance2013.actuariacnam.net @AssurFinance13. Mardi 09 avril 2013 08h30-12h45 Conférence ActuariaCnam EFAB CNAM site : http://assurfinance2013.actuariacnam.net @AssurFinance13 Mardi 09 avril 2013 08h30-12h45 La banque de Financement et d Investissement est au cœur du modèle de banque

Plus en détail

Annexes Financières. au 30 juin 2010

Annexes Financières. au 30 juin 2010 Annexes Financières au 30 juin 2010 Septembre 2007 Présentation du résultat : passage du résultat opérationnel au RBE La décomposition du résultat à partir d un RBE jusqu au résultat net publié permet

Plus en détail

LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES

LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités

Plus en détail

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification

Plus en détail

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Rapport Pilier III Informations au 31 décembre 2011 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. INTRODUCTION...1 adéquation DES FONDS PROPRES...5 POLITIQUE DE GESTION DES FONDS PROPRES ET DES RISQUES.... 13 RISQUE DE CRÉDIT

Plus en détail

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT Banque & Marchés Cécile Kharoubi Professeur de Finance ESCP Europe Philippe Thomas Professeur de Finance ESCP Europe TABLE DES MATIÈRES Introduction... 15 Chapitre 1 Le risque

Plus en détail

Journées d études IARD

Journées d études IARD Journées d études IARD Gestion des risques liés à la refonte tarifaire d un portefeuille automobile Niort, le 20 mars 2014 Marie Foucher mfoucher@galea-associes.eu Pierre Thérond ptherond@galea-associes.eu

Plus en détail

Assurance : Notions de bases IMA 2011 Claire PELTIER. 07/07/2012 Claire PELTIER 1

Assurance : Notions de bases IMA 2011 Claire PELTIER. 07/07/2012 Claire PELTIER 1 Assurance : Notions de bases IMA 2011 Claire PELTIER 07/07/2012 Claire PELTIER 1 IMA 2011 1-VOCABULAIRE L assurance peut être définie comme une «opération par laquelle une partie (l assureur) s engage

Plus en détail

Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur

Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Préambule Fondation privée reconnue d utilité publique à but non lucratif, l Institut Pasteur dispose de différents types de ressources

Plus en détail

le rôle de la réassurance dans le calcul du SCR Cat Journées IARD de l Institut des Actuaires

le rôle de la réassurance dans le calcul du SCR Cat Journées IARD de l Institut des Actuaires 31 Mars 2011 le rôle de la réassurance dans le calcul du SCR Cat Journées IARD de l Institut des Actuaires Emmanuel Dubreuil Eric Paire www.guycarp.com Plan Petit rappel de l évolution du SCR Cat entre

Plus en détail

Guide méthodologique Utilisation de l état de contrôle de la participation aux bénéfices C22

Guide méthodologique Utilisation de l état de contrôle de la participation aux bénéfices C22 Guide méthodologique Utilisation de l état de contrôle de la participation aux bénéfices C22 Les montants sont exprimés en milliers d euros et arrondis au millier d euros le plus proche. I. Utilisation

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014 Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013 Avril 2014 Avertissement Ce document peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie du Crédit Mutuel

Plus en détail

Définitions. Les assurances de personnes. Les contrats et les garanties. Les assurances en cas de vie et les bons de capitalisation

Définitions. Les assurances de personnes. Les contrats et les garanties. Les assurances en cas de vie et les bons de capitalisation FFSA Définitions Les assurances de personnes Les contrats et les garanties Les assurances en cas de vie et les bons de capitalisation Assurance en cas de vie Contrat d assurance, souscrit individuellement

Plus en détail

RCI BANQUE S1 2013. Jean-Marc Saugier, membre du Comité Exécutif, Directeur Financements et Trésorerie. Yann Passeron, Directeur Marchés de Capitaux

RCI BANQUE S1 2013. Jean-Marc Saugier, membre du Comité Exécutif, Directeur Financements et Trésorerie. Yann Passeron, Directeur Marchés de Capitaux RCI BANQUE S1 2013 Jean-Marc Saugier, membre du Comité Exécutif, Directeur Financements et Trésorerie Yann Passeron, Directeur Marchés de Capitaux Le présent document a pour seul but d informer et son

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...

Plus en détail

Lancement de l Appel à Projets

Lancement de l Appel à Projets Lancement de l Appel à Projets dans toute la France pour relever les nouveaux défis du secteur financier 21 Janvier 2015 1 Les objectifs de l Appel à Projets Identifier et soutenir, par l attribution du

Plus en détail

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1 L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies

Plus en détail

INTEGRALE CAISSE COMMUNE D ASSURANCE EN VUE DE LA VIEILLESSE ET DU DÉCÈS PRÉMATURÉ DES EMPLOYÉS

INTEGRALE CAISSE COMMUNE D ASSURANCE EN VUE DE LA VIEILLESSE ET DU DÉCÈS PRÉMATURÉ DES EMPLOYÉS INTEGRALE CAISSE COMMUNE D ASSURANCE EN VUE DE LA VIEILLESSE ET DU DÉCÈS PRÉMATURÉ DES EMPLOYÉS Caisse commune de droit belge agréée par arrêtés royaux des 5 décembre 1931 et 10 novembre 1997 (l «Émetteur»)

Plus en détail

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance. GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un

Plus en détail

Réformes européennes et stabilité financière

Réformes européennes et stabilité financière Réformes européennes et stabilité financière 3/04/2012 Martin MERLIN Chef d'unité DG Marché intérieur et services Causes de la crise financière de 2007-2008 Déséquilibres macro-économiques Lacunes réglementaires

Plus en détail

Le Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR

Le Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR David Benamou +33 1 84 16 03 61 david.benamou@axiom-ai.com Philip Hall +33 1 44 69 43 91 p.hall@axiom-ai.com Adrian Paturle +33 1 44 69 43 92 adrian.paturle@axiom-ai.com Le Comité de Bâle vous souhaite

Plus en détail

La formule standard (version QIS5), leviers et/ou incertitudes pour des garanties Epargne et Retraite

La formule standard (version QIS5), leviers et/ou incertitudes pour des garanties Epargne et Retraite Ecole nationale d assurances Thèse professionnelle Présentée en vue d obtenir le MBA Manager d entreprise spécialisation Assurance Président du jury : François EWALD, Professeur au Cnam La formule standard

Plus en détail

LA GESTION INSTITUTIONNELLE SOUS MANDAT

LA GESTION INSTITUTIONNELLE SOUS MANDAT LA GESTION INSTITUTIONNELLE LA GESTION INSTITUTIONNELLE Face à la complexité de l environnement des marchés et aux exigences réglementaires sans cesse plus contraignantes, la gestion sous mandat offre

Plus en détail

Le risque Idiosyncrasique

Le risque Idiosyncrasique Le risque Idiosyncrasique -Pierre CADESTIN -Magali DRIGHES -Raphael MINATO -Mathieu SELLES 1 Introduction Risque idiosyncrasique : risque non pris en compte dans le risque de marché (indépendant des phénomènes

Plus en détail

Financial Services Avril 2013. Bâle III et la gestion de la liquidité Nouveaux éclairages sur la mise en œuvre

Financial Services Avril 2013. Bâle III et la gestion de la liquidité Nouveaux éclairages sur la mise en œuvre Financial Services Avril 2013 Bâle III et la gestion de la liquidité Nouveaux éclairages sur la mise en œuvre Sommaire Editorial 1 Bâle III et la gestion de la liquidité - Le point sur la mise en œuvre

Plus en détail

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures

Plus en détail

n 20 octobre 2013 La situation des mutuelles du code de la mutualité en 2012 n 23 novembre 2013 1

n 20 octobre 2013 La situation des mutuelles du code de la mutualité en 2012 n 23 novembre 2013 1 n 20 octobre 2013 La situation des mutuelles du code de la mutualité en 2012 n 23 novembre 2013 1 Sommaire 1. INTRODUCTION 5 1.1 Les mutuelles du code de la mutualité, des acteurs importants du secteur

Plus en détail

Les placements des organismes d assurance à fin 2012

Les placements des organismes d assurance à fin 2012 Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction

Plus en détail

Fabrice Jean-François, Consultant Manager. Mars 2006. BALE II : contexte et contraintes IT.

Fabrice Jean-François, Consultant Manager. Mars 2006. BALE II : contexte et contraintes IT. Fabrice Jean-François, Consultant Manager. Mars 2006 BALE II : contexte et contraintes IT. Le chantier Bâle II, normalisé par les accords éponymes, est au cœur des préoccupations des banques. D ici le

Plus en détail

Conférence XBRL France. Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014. Olivier BOYER et Aurélia MULLER

Conférence XBRL France. Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014. Olivier BOYER et Aurélia MULLER Conférence XBRL France Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014 Olivier BOYER et Aurélia MULLER 1 2 1- Présentation du Groupe CNP Assurances Un métier, la protection des personnes Assureur

Plus en détail

Bâle III : les impacts à anticiper

Bâle III : les impacts à anticiper FINANCIAL SERVICES Bâle III : les impacts à anticiper Mars 2011 2 Bâle III Bâle III 3 1. Contexte Bâle III a été entériné en novembre 2010 lors du sommet du G20 de Séoul. De nouvelles règles annoncées

Plus en détail