LE BENEVOLAT : QUELLES SOLUTIONS POUR UN SECTEUR ASSOCIATIF EN PLEINE MUTATION?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE BENEVOLAT : QUELLES SOLUTIONS POUR UN SECTEUR ASSOCIATIF EN PLEINE MUTATION?"

Transcription

1 DEMOCRATIE PARTICIPATIVE ET CITOYENNETE LE BENEVOLAT : QUELLES SOLUTIONS POUR UN SECTEUR ASSOCIATIF EN PLEINE MUTATION? AVIS N Présenté par la Commission «Citoyenneté, solidarité, mobilité» du CONSEIL LILLOIS de la JEUNESSE à l Assemblée Plénière du 2 octobre 2010

2 1. Préambule La commission citoyenneté, solidarité et mobilité, qui s est réunie pour la première fois le 5 novembre 2009, a souhaité travailler en priorité sur l engagement des jeunes au sein des associations et de manière plus large sur le bénévolat. Le Conseil Lillois de la Jeunesse comme les autres instances de Démocratie Participative a une action qui entre dans le champ du bénévolat. En effet, si l on prend la définition du bénévolat cela désigne une activité de services envers autrui, de son plein gré et sans rémunération. Les actions de bénévolat, qui ne sont pas une simple adhésion, s'exercent en général dans le cadre d'une association, d'un syndicat ou d'une structure publique. Le bénévole donne ainsi de son temps libre à une action qui l'intéresse. Pour le Conseil économique et social (avis du 24 février 1993) "est bénévole toute personne qui s'engage librement pour mener une action non salariée en direction d'autrui, en dehors de son temps professionnel et familial.» L investissement au sein du Conseil Lillois de la Jeunesse passe aussi par cette action «non salariée», donner un peu de son temps pour participer à l amélioration du bien vivre ensemble des jeunes dans la ville. C est dans cette optique que la commission a décidé de s inscrire aux Etats généraux du monde associatif (EGMA) organisés par la Ville de Lille dans le but d y exposer sa vision du bénévolat. Fort de membres impliqués dans la vie politique, sociale et associative de la métropole, la commission a décidé d émettre un avis sur les façons d améliorer le monde de l association, particulièrement dans les relations entre dirigeants et bénévoles. Ainsi, suite à des rencontres et débats, la commission expose dans ce texte le détail de ses travaux et les recommandations qui en découlent. En effet, la commission a travaillé, à travers plusieurs séances, sur le thème du bénévolat, de l engagement des jeunes. Lors de ces réunions, elle a entendu M. Frédéric ROUVIERE, Directeur par intérim de Lille Ville de la Solidarité (LVS), M. Jerôme HESSE, Directeur de la Maison des Associations (MdA), M. Frédéric AGOSTINI, Responsable du service Animation Seniors et le groupe lien social du conseil des aînés ainsi que M. Simon YVERNEAU, chargé de mission au service Economie Sociale et Solidaire. Page 2

3 2. Quel constat sur le monde associatif? La commission a priorisé cet axe de travail suite à sa rencontre avec le directeur de la Maison des Associations, M. Jérôme Hesse, en janvier Lors de cette discussion, la commission a pris conscience de l évolution du monde associatif et de la difficulté à obtenir de jeunes bénévoles. En effet, ce domaine est en pleine mutation. Celle-ci se décline sous plusieurs formes : Tout d abord, le but de l engagement qui change. Il est constaté qu aujourd hui les bénévoles s investissent plus dans les clubs sportifs, associations culturelles ou humanitaires alors qu auparavant, ils s engageaient davantage dans des groupements professionnels. Ainsi, il semblerait qu ils recherchent davantage l accomplissement individuel que la recherche d un idéal collectif. Mais cela est plus complexe. On peut constater qu il existe 3 types d associations : il y a les associations dites «militantes» qui vont vivre de bénévoles sans vraiment obtenir de subventions importantes (type petite association de quartier qui va vouloir développer l accès à la culture pour tous). Et puis il existe les associations type clubs sportifs qui vont vivre de dons, subventions, bénévoles et enfin les structures associatives dont la mission est principalement liée à l action publique (exemple : les clowns de l espoir). Ce dernier type d associations va subir la baisse de financement, notamment les subventions de l Etat. Ce sont vraiment ces dernières qui tendent à la professionnalisation. Ces associations deviennent comme des petites entreprises dans lesquelles il faut gérer «plein de choses». Elles doivent rendre des comptes de plus en plus souvent et précisément sur les subventions obtenues, comment elles sont «correctement» utilisées, etc. De plus, les demandes de subventions sont de plus en plus complexes et ces structures passent du temps à remplir des dossiers. Ensuite il y a une évolution dans la structure même de l association et son fonctionnement. Le constat est indéniable, l association se professionnalise de plus en plus. Cela a pour conséquence pour les associations de pouvoir compter sur du personnel qualifié. En effet, la gestion d une structure associative demande de plus en plus de compétences administratives, comptables, juridiques etc. Cela coûte et des petites associations ont du mal à survivre. Enfin, c est la façon de s engager qui change. Notre commission a notamment constaté autour d elle que beaucoup d associations demandent un engagement régulier et précis (ex : tous les lundis de 18h à 20h). Or il est difficile avec la vie que nous menons de s engager aussi précisément. Notamment quand on est jeune! C est pourquoi, il y a un grand nombre de bénévoles retraités dans les associations ou des étudiants qui ont peu de cours. Pourtant l envie des jeunes de s engager ne manque pas! Nous, CLJ, avons fait le choix de nous engager dans une instance de démocratie participative. Nous remarquons que les difficultés sont les mêmes que pour les associations (manque de temps, difficultés de mobilité, etc.) A partir de ces constats, il nous semblait nécessaire de faire un focus sur l engagement des jeunes. Page 3

4 Pourquoi un jeune s engage-t-il? Quelles sont ses motivations? Comment valoriser son engagement? Il est manifeste que l engagement dans une association relève d une double démarche. D un côté une association fait face à des besoins en bénévoles pour mener à bien des actions, faire fonctionner la structure, et de l autre, des individus cherchent à se mettre au service de la société. Il y a un rapport entre un demandeur en individus non rémunérés et des individus prêts à offrir leur temps et leur force au sein d une association. Les Etats Généraux du monde associatif ont pour but de clarifier ce rapport et le Conseil Lillois de la Jeunesse (CLJ) a souhaité apporter sa contribution en réfléchissant sur ce qui incite un jeune à s engager dans le monde associatif et comment inscrire cet engagement dans le moyen / long terme? Lorsque l on a interrogé les jeunes autour de nous, ils nous ont répondu majoritairement qu un jeune qui souhaite s investir dans une association le fait dans un premier temps pour servir une cause qu il trouve noble en nourrissant certaines attentes. Mais le manque de valorisation du travail bénévole, la désillusion et les difficultés d intégration le détournent rapidement de la structure. Il faut alors que l association trouve des moyens pour valoriser l engagement de ses bénévoles pour que ceux-ci s engagent sur le long terme. I L engagement associatif : un acte difficile insufflé par des convictions. A) La difficulté pour les jeunes de s engager. L allongement de la durée des études et la dégradation des conditions d entrée sur le marché du travail altèrent la volonté des jeunes de s engager. B) La rencontre entre l individu et l association : un moment clé. - Les premiers pas d un bénévole dans une association sont capitaux, or ce n est pas un acte forcément réfléchi. Nécessité de prendre en charge les nouveaux bénévoles (parrainage?). - L importance d évaluer le type de bénévoles suivant les différents profils possibles pour adapter son suivi. II Le manque de reconnaissance des bénévoles A) Le bénévolat, une activité prenante - L association prend énormément de temps, elle a une part d aliénation. Par exemple, la construction d un local pour des activités, qui est un chantier immense, amène les bénévoles à s investir davantage. - La nécessité d adapter les travaux au niveau d engagement des bénévoles. B) Les difficultés relatives à l intégration au sein de l association Comme expliqué précédemment, la prise en charge des bénévoles à leur arrivée est capitale. Elle conditionne le fait qu ils restent ou non dans l association sur le moyen/long terme. III- La nécessité de valoriser le don de sa personne A) L engagement sur le long terme nécessite la reconnaissance du bénévole La force des convictions a des limites chez tous les bénévoles. S ils ne sont pas attirés par autre chose, ils ne restent pas actifs. Cette «autre chose» peut être la satisfaction d avoir aidé, la reconnaissance de la société ou la prise de responsabilités. Page 4

5 B) qui est de plus en plus prise en compte par les politiques. Les politiques se rendent compte des problèmes qu engendre le manque de reconnaissance et mettent en place des actions. Exemple : Le projet de financement du permis de conduire contre un investissement bénévole par la mairie de Lille. «Si on payait mieux les bénévoles, ça donnerait peut-être envie à plus de gens de travailler gratuitement.» Geluck Page 5

6 3. Les Etats Généraux du Monde Associatif Lillois La journée d ouverture des Etats généraux du monde associatif s est déroulée à Lille le samedi 12 juin 2010 sur le thème «associations et bénévoles, quels engagements pour quelle société?». La journée s est divisée en deux temps : une matinée dédiée à trois tables rondes et un après-midi autour de trois ateliers. La commission solidarité, citoyenneté et mobilité a été invitée à s exprimer sur le thème des nouvelles formes d engagement et celui de la formation et la motivation des bénévoles. Aux côtés de Michel Guarini, de France Bénévolat et du Comité Départemental Olympique et Sportif, deux membres du CLJ ont pu faire part de leur vision de l engagement et témoigner sur la difficulté de plus en plus grande pour un jeune de s engager. Ceux-ci ont pointé du doigt le fait que les jeunes n ont pas moins envie de s engager mais sont confrontés à des parcours de vie de plus en plus atypiques comprenant l allongement de la durée des études et les difficultés concernant l entrée sur le marché du travail. De plus, il leur a semblé que la notion d apport individuel de l engagement est un critère important pour permettre au bénévole d inscrire son acte dans le long terme. Un individu non soutenu, formé ou valorisé ne reste pas longtemps dans le monde de l association. Suite à cela, les ateliers se sont réunis pour se pencher sur différents thèmes. Un membre du CLJ a participé au second atelier intitulé «formation et valorisation des bénévoles». Différentes problématiques ont été abordées : l adéquation entre projet associatif et bénévoles, relations bénévoles/salariés, renouvellement générationnel, relations intergénérationnelles, passeport bénévole. Présidé par le directeur de France Bénévolat, M. Michel GUARINI, cet atelier s est scindé en deux courants représentant chacun une vision de l association, ce qui nous a permis d enrichir notre réflexion. Des questions ont été soulevées concernant les relations intergénérationnelles, le fonctionnement du passeport bénévole et celui de la charte du bénévolat. Ces interrogations nous ont permises de mettre en exergue quelques difficultés dans le fonctionnement du monde associatif lillois. Ainsi, à l issue de cet atelier, trois recommandations ont été formulées à l attention de la Ville de Lille. Les personnes ayant participé à l atelier (dont faisait partie un membre du CLJ) demandent à la Ville de Lille de donner les moyens aux associations de reconnaître l engagement bénévole ; mieux communiquer autour de la valorisation de compétences bénévoles dans le cadre d une Validation des Acquis de l Expérience (V.A.E) et enfin généraliser le passeport bénévole à toutes les associations. Il est à noter que la Ville de Lille est en train de travailler à institutionnaliser le passeport bénévole. Page 6

7 4. Les propositions qui en découlent Suite à la journée de débat et aux recommandations formulées, la commission souhaite faire 3 propositions à la Maison des Associations pour améliorer la situation du monde associatif lillois et plus spécifiquement pour permettre l implication plus grande du public «jeune» qui est bien souvent volontaire pour du bénévolat : Première proposition : La mise en place d une carte bénévole, en complément du passeport bénévole. Celle-ci serait une carte distribuée aux membres des associations signataires de la charte de la vie associative lilloise. La carte permettrait aux bénévoles d avoir accès à des tarifs préférentiels dans les domaines du sport, de la culture, des loisirs et du bien-être sur le modèle du «pass senior». La carte serait délivrée par les associations membres de la Maison des Associations et valable 6 mois. Il faudrait un minimum de temps de bénévolat pour y avoir accès. Le but est de valoriser l action bénévole. C est suite aux témoignages de nos entourages respectifs que la commission s est rendue compte que le manque de valorisation était un frein à l engagement des jeunes et au développement des associations. Les associations attribuant cette carte devraient être signataires de la charte de la vie associative. Son non-respect pourrait aboutir au retrait de la compétence d attribution de cette carte. Deuxième proposition : La charte de la vie associative nous semble obsolète. Pour ce faire, la commission propose sa refonte. En recrutant un stagiaire, par exemple un étudiant se destinant à devenir juriste à qui il serait possible de confier la mission d étudier la charte et, de concert avec le CLJ, de proposer des améliorations. Les différentes rencontres avec des acteurs de la vie associative lilloise ont permis de nous rendre compte du côté «figé» de la charte et de sa non-adéquation avec l évolution que subit le monde associatif. Ainsi, un travail d amélioration de celle-ci nous semble nécessaire. Troisième proposition : La mise en place d un système d information sur le bénévolat permettrait de remplir deux missions. - La première est de sensibiliser un public à l importance des associations dans notre société et peut-être susciter des vocations, - et la seconde, est d informer sur le recruteur éventuel que peut représenter l association sachant qu un salarié sur six est employé dans une association. Ainsi, le public visé par ces interventions serait jeune, à savoir les lycéens et étudiants de la métropole. Les interventions pourraient être faites par un représentant de la Maison des Associations ou de France Bénévolat. Page 7

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail

LA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE

LA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE LA JEUNESSE l es sen tiel LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE sommaire LA JEUNESSE PAGES 4 À6 PAGES 7 À9 PAGE 10 PAGE 11 Le BIJ, lieu ressources Pour s informer et se documenter -

Plus en détail

L ACCES A L INFORMATION DES JEUNES

L ACCES A L INFORMATION DES JEUNES DEMOCRATIE PARTICIPATIVE ET CITOYENNETE L ACCES A L INFORMATION DES JEUNES AVIS N 10.06 Présenté par la Commission Vie Sociale du CONSEIL LILLOIS de la JEUNESSE à l Assemblée Plénière du 2 octobre 2010

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

9 Référentiel de missions de l agence du service civique

9 Référentiel de missions de l agence du service civique BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6

Plus en détail

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

le tour européen du bénévolat et du volontariat fait étape à paris

le tour européen du bénévolat et du volontariat fait étape à paris année européenne du bénévolat et du volontariat le tour européen du bénévolat et du volontariat fait étape à paris du 14 au 20 avril 2011 place de l Hôtel de ville programme Ouvert de 11h à 19h Entrée

Plus en détail

Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville

Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe

Plus en détail

Candidature des participants. PEJ-France Caen

Candidature des participants. PEJ-France Caen Candidature des participants PEJ-France Caen Du 29 mai au 8 juin 2014 2 Le mot du président Malo MOFAKHAMI Président du PEJ-France Chers participants, En 2014, le Parlement Européen des Jeunes - France

Plus en détail

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel

Plus en détail

1 Travailler dans le secteur social

1 Travailler dans le secteur social 1 Travailler dans le secteur social Proposer des formations aux métiers de la solidarité. Accéder à un emploi dans un secteur porteur. Parmi les acteurs : AskOria, les métiers des solidarités Cet organisme

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

Ministère des sports. Le ministre des sports

Ministère des sports. Le ministre des sports Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE

Plus en détail

Enquête sur les Week-Ends d Intégration [WEI] Par : Juliette FEBURIE, responsable du pôle prévention du BNEI

Enquête sur les Week-Ends d Intégration [WEI] Par : Juliette FEBURIE, responsable du pôle prévention du BNEI Enquête sur les Week-Ends d Intégration [WEI] Par : Juliette FEBURIE, responsable du pôle prévention du BNEI 1 Préambule Chaque année, les Bureaux Des Élèves [BdE] des écoles d ingénieurs organisent des

Plus en détail

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Décembre 2009 Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Sommaire Introduction La loi handicap Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Résultats de l enquête nationale Recrutement, sous-traitance,

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions

Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Présentation Rassemblant les syndicats et associations

Plus en détail

«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation»

«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation» «Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation» Note de présentation Le réseau des pôles ressources d aide au développement de la vie associative du Nord - Pas de Calais propose à

Plus en détail

1- Présentation de la structure

1- Présentation de la structure 1- Présentation de la structure Cadre L école Paul Langevin se situe sur la commune de Pontivy, les locaux des classes de maternelle et d élémentaire se rejoignent par la cantine. L école maternelle compte

Plus en détail

Participez à la démarche en rédigeant ce cahier d acteurs. Comment nous retourner votre cahier d acteur?

Participez à la démarche en rédigeant ce cahier d acteurs. Comment nous retourner votre cahier d acteur? Participez à la démarche en rédigeant ce cahier d acteurs. C est simple, il suffit de remplacer les textes grisés à compléter par votre texte. Votre cahier d acteurs sera mis en forme avant publication

Plus en détail

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Paris, le 5 février 2008 BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Le dispositif consiste dans la prise en charge par la commune d une partie du coût du permis de conduire en échange d une activité bénévole d intérêt

Plus en détail

Conseil de Quartier. Malcense - Egalité

Conseil de Quartier. Malcense - Egalité Conseil de Quartier Malcense - Egalité du 14 septembre 2009 1 Avant de commencer le Conseil de Quartier, Monsieur TALPAERT, Président du Conseil de Quartier excuse l absence de Madame DAHMANI L KASSIMI,

Plus en détail

Le Conseil Municipal des Jeunes Qu est-ce qu un Conseil Municipal des Jeunes? Le Conseil Municipal des Jeunes (CMJ) est une assemblée qui réunit des jeunes Volvicois de la 6 ème à la 4 ème. Il est composé

Plus en détail

REGLEMENT DE LA BOURSE BAFA

REGLEMENT DE LA BOURSE BAFA REGLEMENT DE LA BOURSE BAFA Préambule Considérant que la bourse au BAFA constitue aujourd hui un atout incontestable pour l emploi ou la formation, Considérant que l obtention du BAFA nécessite des moyens

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015

A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015 A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015 Dédié aux 11-25 ans «Depuis le 7 juillet 2014, le Service jeunesse (consacré aux pré-adolescents, adolescents et jeunes adultes de 11 à 25 ans) est

Plus en détail

L ATELIER DYNAMO. à Nancy

L ATELIER DYNAMO. à Nancy Écologie, économie et social L ATELIER DYNAMO à Nancy 6 années d existence 1200 adhérents à l année 1000 vélos récupérés et 600 remis en circulation 4 salariés, 2 volontaires en Service Civique et 15 bénévoles

Plus en détail

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion? Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers

Plus en détail

La politique marseillaise en faveur des Seniors

La politique marseillaise en faveur des Seniors La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes

Plus en détail

BIPESS 2.0 format pdf - 2014

BIPESS 2.0 format pdf - 2014 1. Fiche d identité du référent BIPESS et du groupe évaluateur Le statut du référent BIPESS (1 personne) de votre structure : Veuillez choisir toutes les réponses qui conviennent : Salarié Dirigeant Administrateur

Plus en détail

Mécénat intergénérationnel : l Ircantec lance son appel à projets pour l année 2014

Mécénat intergénérationnel : l Ircantec lance son appel à projets pour l année 2014 Mécénat intergénérationnel : l Ircantec lance son appel à projets pour l année 2014 Contact presse Isabelle Vergeat-Achaintre Responsable de la communication Tél. 33 (0)2 41 05 21 74 ou 33 (0)6 07 70 13

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE Des animations de qualité pour les enfants 10 Allée du Cortil La Vacherie 74230 THÔNES Téléphone : 04 50 63 10 64 Messagerie : ofaq@aliceadsl.com Formations continues

Plus en détail

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

Cahier des charges. Eligibilité au Club "Bien-être"

Cahier des charges. Eligibilité au Club Bien-être Cahier des charges Spa indépendant Site thématique : Votre contact : Intitulé : Armelle Floc h a-floch@tourismebretagne.com 02 99 28 44 59 Eligibilité au Club "Bien-être" Valable au : 01/01/2015 2 / 9

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR

Plus en détail

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Bénévolat Portefeuille de compétences Modes d emploi pour Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Tout bénévole Votre mode d emploi Le Portefeuille de compétences vous aide

Plus en détail

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités

Plus en détail

charte des relations internationales de sénart cadre déontologique et politique réciprocité équité solidarité durabilité

charte des relations internationales de sénart cadre déontologique et politique réciprocité équité solidarité durabilité charte des relations internationales de sénart cadre déontologique et politique é d i t o r i a l Sénart est composée de 10 communes dont 7 engagées dans 22 jumelages en direction de 8 pays. Une concertation

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Je veux faire mon service civique au Conseil Général du Bas-Rhin

Je veux faire mon service civique au Conseil Général du Bas-Rhin Je veux faire mon service civique au Conseil Général du Bas-Rhin Le Conseil Général souhaite vous accorder une place importante dans la vie publique en encourageant vos capacités de responsabilité et d

Plus en détail

des Bénévoles d associations

des Bénévoles d associations FORMATION des Bénévoles d associations avec le soutien de la Mission d Accueil et d Information des Associations PRÉFECTURE DU FINISTÈRE Bulletin d inscription 2014-2015 Vous pouvez vous inscrire aux formations

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE

PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT À L ATTENTION DES USAGERS DU SERVICE PROJ AIDE Service Proj aide / Direction des Relations à la Population / 2015 Page 1 SOMMAIRE PREAMBULE... 3 CHAPITRE 1. DISPOSITIONS COMMUNES

Plus en détail

2) NOTRE ORGANISME EST-IL PRÊT À RECRUTER DES BÉNÉVOLES

2) NOTRE ORGANISME EST-IL PRÊT À RECRUTER DES BÉNÉVOLES 2) NOTRE ORGANISME EST-IL PRÊT À RECRUTER DES BÉNÉVOLES DE PLUS DE 50ANS? O N Si non : Voir trucs et astuces SOMMES-NOUS PRÊTS À RECEVOIR LES BÉNÉVOLES DE PLUS DE 50 ANS? Savons-nous pourquoi nous voulons

Plus en détail

Définition des temps périscolaires et extrascolaires

Définition des temps périscolaires et extrascolaires ANNEXE 3 Définition des temps périscolaires et extrascolaires Le temps périscolaire est constitué des heures qui précèdent et suivent la classe durant lesquelles un encadrement est proposé aux enfants

Plus en détail

Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé

Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels Proposition de partenariat public-privé Résumé En règle générale, les artistes et les autres professionnels

Plus en détail

L Economie Sociale et Solidaire

L Economie Sociale et Solidaire 1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES

Plus en détail

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

Statuts. La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin.

Statuts. La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin. Statuts La désignation des personnes s entend aussi bien au féminin qu au masculin. Nom et siège 1. La Fédération romande des consommateurs (FRC) est une association à but non lucratif au sens des articles

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

du 11 mars au 17 avril EURATECHNOLOGIES HAUTE BORNE PLAINE IMAGES EURASANTÉ MAISONS DE L EMPLOI PÔLE EMPLOI ENTREPRISES ET CITES

du 11 mars au 17 avril EURATECHNOLOGIES HAUTE BORNE PLAINE IMAGES EURASANTÉ MAISONS DE L EMPLOI PÔLE EMPLOI ENTREPRISES ET CITES Les rencontres emploi du numérique métropole 2014 du 11 mars au 17 avril 2014 EURATECHNOLOGIES HAUTE BORNE PLAINE IMAGES EURASANTÉ MAISONS DE L EMPLOI PÔLE EMPLOI ENTREPRISES ET CITES JOBS DATING VISITES

Plus en détail

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert

Plus en détail

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,

Plus en détail

Sondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle 2012

Sondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle 2012 Sondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle 2012 Un sondage Anacej / Ifop L Anacej a lancé en novembre 2011 la campagne 2012, je vote pour inciter les jeunes à vérifier leur inscription

Plus en détail

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé

Plus en détail

TITRE DE VOTRE PROJET :...

TITRE DE VOTRE PROJET :... PREFET DE L AIN Nous vous invitons à prendre contact avec l un des référents mentionnés à l annexe 7 pour l accompagnement et le suivi de votre projet. Nous vous invitons à prendre connaissance avec attention

Plus en détail

CONTRAT EDUCATIF LOCAL

CONTRAT EDUCATIF LOCAL CONTRAT EDUCATIF LOCAL Année 2002-2003 CANDIDATURE ET PROJET D ACTIONS SUR LES TEMPS PERI ET EXTRA-SCOLAIRES sur la commune ou le groupement de communes de... Ce dossier comprend : Page 2 : Page 3 : Page

Plus en détail

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014 A Paris, le 17 juillet 2014 Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS Mardi 8 juillet 2014 I / INTRODUCTION Monsieur DAUBIGNY, Préfet de la région d Ile-de-France, Préfet de Paris, Président de la mission

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA CONFERENCE-DEBAT

COMPTE-RENDU DE LA CONFERENCE-DEBAT RESONANCES HUMANITAIRES Samedi 06 Octobre 2007 11h 13h Espace CERISE, 46 Rue Montorgueil, Paris 2ème COMPTE-RENDU DE LA CONFERENCE-DEBAT «Les métiers du Développement Durable et de la Responsabilité Sociale

Plus en détail

Vade-mecum pour la présentation d un projet de club

Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Ce document a pour objectif de donner quelques repères pour la présentation du projet de club : description, valorisation et priorisation des objectifs.

Plus en détail

Statuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009

Statuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009 Statuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009 Sommaire : Art. 1 : Personnalité Art. 2 : Siège et durée Art. 3 : Buts Art. 4 : Etendue géographique et fonctionnement Art. 5 : Les Membres Art. 6

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement

Plus en détail

PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT. de l engagement bénévole. en loisir et en sport

PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT. de l engagement bénévole. en loisir et en sport PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT de l engagement bénévole en loisir et en sport Plan de présentation 1. La description du programme o Les acteurs et partenaires ciblés et les objectifs o La logistique

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

Règlement intérieur de la Cité

Règlement intérieur de la Cité Règlement intérieur de la Cité 19 mai 2015 p.1 PREAMBULE Objectifs La Cité est un équipement municipal de soutien à la vie associative. C est un lieu d accueil, de promotion, d information, de formation

Plus en détail

COMPTE RENDU de l Assemblée Générale annuelle du Jeudi 2 Avril 2015. Les personnalités présentes et excusées :

COMPTE RENDU de l Assemblée Générale annuelle du Jeudi 2 Avril 2015. Les personnalités présentes et excusées : COMPTE RENDU de l Assemblée Générale annuelle du Jeudi 2 Avril 2015 Les personnalités présentes et excusées : Statut Identité Qualité Présent Excusé Représenté BOUVIER Marie-Christine Présidente ROY Frédéric

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne

Plus en détail

Une première expérience professionnelle avant 18 ans!

Une première expérience professionnelle avant 18 ans! l e ssentiel Une première expérience professionnelle avant 18 ans! L information jeunesse en RHÔNE-ALPES S ommaire Quelques conseils... p. 2 Les jobs les plus accessibles... p. 3 Vos droits... p. 4 Les

Plus en détail

LE BUREAU DIRECTEUR. TRESORIER M. Stéphane KRASNOPOLSKI Ingénieur Informatique stephane78@gmail.com

LE BUREAU DIRECTEUR. TRESORIER M. Stéphane KRASNOPOLSKI Ingénieur Informatique stephane78@gmail.com CE QU IL FAUT SAVOIR SAISON 2014/2015 LE PAC Création de l association PAC en septembre 1998 Le siège social : Avenue des Myosotis 94 370 Sucy en Brie tél. : 06 12 33 16 07 www.pac-paintball.com SOMMAIRE

Plus en détail

!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5

!! # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5 "$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013

Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013 Dossier commun de demande de subvention au titre de la part territoriale du Centre National pour le Développement du Sport - 2013 ------------- C. N. D. S. ------------ Retour des dossiers des Ligues Régionales

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION 2016

DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION 2016 DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION 2016 Dossier à renvoyer complet avant le 30 septembre 2015 à Mairie de Chassieu Monsieur le Maire 60 rue de la République 69680 CHASSIEU NOM DE L'ASSOCIATION q Première

Plus en détail

Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON F. 04 90 80 81 32

Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON F. 04 90 80 81 32 SUR LES SEJOURS LINGUISTIQUES DOSSIER DE PRESSE Mercredi 15 février de 13 h à 17 h Ancienne caserne des pompiers rue Carreterie Avignon Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON

Plus en détail

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour»

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille

Plus en détail

Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020

Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020 Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020 2007-2013 Education formelle et professionnelle : Erasmus, Comenius, Grundtvig, Léonardo Education non formelle : Jeunesse en Action Actions

Plus en détail

pour une métropole solidaire et attractive

pour une métropole solidaire et attractive pour une métropole solidaire et attractive A l origine de Paris Métropole 5 décembre 2001 : premier débat à la Maison de la RATP o 400 acteurs publics du cœur de l agglomération o réunis pour envisager

Plus en détail

Historique du coaching en entreprise

Historique du coaching en entreprise Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin

Plus en détail

Restaurant Scolaire d Ampuis REGLEMENT

Restaurant Scolaire d Ampuis REGLEMENT Restaurant Scolaire d Ampuis REGLEMENT Préambule : La commune d Ampuis organise un service de restauration destiné à accueillir les enfants de maternelle (service à table) et de primaire (sous forme de

Plus en détail

Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire

Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes

Plus en détail

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Mairie de Trèves (Rhône) 450 route des Deux Vallées 69420 TREVES COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Le Conseil Municipal, dûment convoqué le 13 décembre 2013 s est réuni

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION «NOUVEL HORIZON»

STATUTS DE L ASSOCIATION «NOUVEL HORIZON» STATUTS DE L ASSOCIATION «NOUVEL HORIZON» TITRE 1 : DEFINITION DE L ASSOCIATION Article 1 : Dénomination Il est fondé entre toutes les personnes morales ou physiques qui adhèrent aux présents statuts une

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail