Rapport agricole Résumé. Rapport agricole 2014
|
|
- Cécile Rochette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport agricole 214 Résumé Rapport agricole 214
2 Rapport agricole 214 Editeur Office fédéral de l agriculture (OFAG) CH-33 Berne Tél. : Fax : Internet : Copyright : OFAG, Berne 214 2
3 Rapport agricole 214 Résumé Le quinzième rapport agricole de l Office fédéral de l agriculture informe sur la situation économique, sociale et écologique de l agriculture en 213 et sur l évolution au cours des deux dernières décennies. Les principaux résultats sont présentés ci-après sous une forme condensée. Rapport agricole 214 n Situation et évolution dans le domaine économique Revenu sectoriel plus élevé qu en 212 Le revenu net d entreprise de tout le secteur s élevait en 213 à 2,939 milliards de francs, soit une augmentation de 189 millions de francs (+6,9 %) par rapport à 212. La production a dépassé de 113 millions de francs celle de 212 alors que les coûts ont baissé de 81 millions de francs. La hausse de la production en 213 s explique par les bons résultats obtenus en production animale (+417 millions de francs). Les prestations fournies par l agriculture (+5 millions de francs) et les activités secondaires non agricoles (+16 millions de francs) ont également augmenté. La production végétale a par contre enregistré une baisse de 325 millions de francs. La baisse des coûts dans ce domaine s explique principalement par celle des dépenses pour les consommations intermédiaires, inférieures de 58 millions de francs à 212. Résultats des Comptes économiques de l agriculture suisse Indications en prix courants, en millions de francs Production de la branche agricole Production végétale Production animale Production de services agricoles Autres consommations intermédiaires Valeur ajoutée brute aux prix de base Amortissements Valeur ajoutée nette aux prix de base autres impôts sur la production autres subventions (non liées aux produits) Revenu des facteurs rémunération des salariés Excédent net d exploitation / revenu mixte net fermages à payer intérêts à payer intérêts perçus Revenu net d entreprise En raison de la révision des Comptes nationaux de septembre 214, les séries temporelles des agrégats du présent tableau ont toutes été modifiées. 1 Résultats semi-définitifs, état au 5 septembre Chiffres provisoires, état au 5 septembre est désigné comme revenu net d entreprise dans la littérature et dans la méthodologie Eurostat Source : OFS 3
4 Rapport agricole 214 Revenu par exploitation en hausse en comparaison de l année précédente En 213, le revenu agricole à l échelon de l exploitation individuelle était supérieur de 9,7 % à celui de l année précédente. Le revenu non agricole a lui aussi augmenté par rapport à 212 (+1,3 %). Evolution du revenu des exploitations agricoles : moyenne de toutes les régions 1 9 UTAF Unités de travail annuel de la famille 8 fr. par exploitation / Revenu non agricole Revenu agricole Source : Agroscope IDU, dépouillement centralisé L appréciation de la situation économique des différentes exploitations se fonde sur l évaluation des résultats comptables de quelque 3 exploitations de référence. Les résultats des exploitations de référence couvrent une population totale d environ 5 exploitations. Progression du commerce extérieur de produits agricoles Le commerce des produits agricoles a connu dans l ensemble une évolution favorable au cours de l année sous revue. Les importations ont augmenté de,6 milliard en termes de valeur, passant ainsi à 12, milliards de francs, tandis que les exportations ont crû de,5 milliard de francs, pour atteindre 8,6 milliards de francs. La balance commerciale 213 des produits agricoles a affiché un excédent d importation de 3,4 milliards de francs, soit,1 milliard de plus qu en 212. L excédent d importation a toutefois diminué de 1,6 milliard de francs au total entre 2/2 et 213. Durant l année sous revue, 74 % des importations de produits agricoles provenaient de l UE et 62 % des exportations étaient destinées à l UE. En 213, la balance commerciale avec l UE pour les produits agricoles s est soldée par un excédent d importation de 3,6 milliards de francs. Evolution du commerce extérieur 2/ /2 13 Milliards de francs % Importations Total des produits agricoles 8,5 11,4 11,4 12, 41,2 dont en provenance de l UE 6,4 8,5 8,3 8,9 39,1 Exportations Total des produits agricoles 3,5 7,8 8,1 8,6 145,7 dont à destination de l UE 2,5 4,8 5, 5,3 112, Excédent d importation Total des produits agricoles 5, 3,6 3,3 3,4 32, dont à destination de l UE 3,9 3,7 3,3 3,6 7,7 Source : DGD 4
5 La Suisse est une grande importatrice de denrées alimentaires. Un nombre considérable de produits sont importés dans toutes les catégories. Les exportations concernent surtout les produits transformés. La Suisse exporte peu de légumes, de fruits, de viande et de produits à base de viande. Les excédents d importation sont importants dans ces catégories de produits. La balance commerciale est relativement équilibrée pour ce qui est des boissons, des préparations alimentaires et des produits laitiers. La Suisse affiche des excédents d exportation pour les produits d agrément (surtout le café). Rapport agricole 214 Importations et exportations de produits agricoles et produits transformés par catégorie de produits Produits animaux, poissons (1, 2, 3, 5, 16) Fruits (8) Légumes (7) Plantes vivantes, fleurs (6) Oléagineux, graisses et huiles (12, 15) Céréales et préparations (1, 11, 19) Boissons (22) Aliments pour animaux, déchets (23) Préparations alimentaires (2, 21) Produits laitiers (4) Tabac et divers (13, 14, 24) Produits d'agrément (9, 17, 18) en millions de fr. Importations Exportations Excédent d'importation ou d'exportation Source: DGD Taux d auto-approvisionnement 212 légèrement plus bas qu en 211 La production animale est le pilier principal de l agriculture suisse, ce qui explique le taux d autosuffisance plutôt élevé dans ce domaine. En 212, la part indigène de produits d origine animale était de 1,8 %, soit d environ,5 % de plus qu en 211 (1,4 %). En 212, la part indigène de produits d origine animale était de 44,9 %, soit 2,4 % de moins qu en 211. Cela s explique par les rendements plutôt moyens obtenus en 212 par les agriculteurs suisses en culture végétale après une année 211 exceptionnellement bonne. Au total, le taux d auto-approvisionnement brut, de 62,2 % en 212, était plus bas qu en 211 (63 %). En 212, le taux d auto-approvisionnement net était de 55,2 %, soit 1,3 % plus bas qu en 211. Une distinction est établie entre le taux d auto-approvisionnement brut et le taux d auto-approvisionnement net, lequel tient compte du fait qu une partie de la production indigène est basée sur du fourrage importé. La méthode de calcul du bilan alimentaire a été entièrement revue en 213. A cette occasion, les calculs effectués pour les années 28 à 21 ont été révisés en tenant compte de la nouvelle méthode appelée NMB8. Pour le calcul des données 211 et 212, on n a plus utilisé que cette nouvelle méthode. Dans le cadre de cette révision, la composition des groupes de denrées alimentaires issus de la production végétale a été modifiée. Les données nutritionnelles à la base des produits alimentaires ont été complètement revues à partir de données mises à jour et adaptées aux habitudes de consommation actuelles. Cela a conduit d une manière générale à une légère baisse des quantités de substances nutritives au niveau des valeurs absolues du bilan alimentaire (production indigène, importations, exportations et variations des stocks). Les séries temporelles des taux d auto-approvisionnement brut et net n ont toutefois subi aucune interruption significative. 5
6 Rapport agricole 214 Evolution du taux d'autosuffisance 12 Part de calories en % Denrées alimentaires végétales Denrées alimentaires d'origine animale Total brut des denrées alimentaires Total net des denrées alimentaires Du fait de la révision du bilan nutritif, les résultats relatifs aux denrées alimentaires et à celles d'origine animale ne peuvent pas être comparés avec les anciennes données en ce qui concerne chaque groupe de denrées alimentaires. De ce fait, il n'est plus possible de présenter d'évolution à long terme. Source: USP Stabilité des dépenses pour l agriculture et l alimentation Les dépenses totales de la Confédération durant l année sous revue se sont élevées à 63 7 millions de francs, soit 2 milliards de francs de plus qu en 212. Les dépenses consacrées à l agriculture et à l alimentation se sont montées à 3 76 millions de francs, soit 5 millions de francs de moins qu en 212. Elles arrivent en sixième position après la prévoyance sociale (21 16 millions de francs), les finances et les impôts (9 916 millions de francs), les transports (8 224 millions de francs), la recherche et la formation (6 894 millions de francs) et la défense nationale (4 789 millions de francs). La part de l agriculture et de l alimentation aux dépenses totales de la Confédération a baissé, passant de 7,5 % à 5,8 % entre 24 et 212. Evolution des dépenses de la Confédération pour l'agriculture et l'alimentation en millions de fr , 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1,, en % absolu (millions de fr.) en % des dépenses totales Source: Compte d'etat Les dépenses consacrées à la production et aux ventes ont légèrement crû par rapport à 212 pendant l exercice sous revue. Elles ont diminué de 98 millions de francs au total entre 27 et 213. Dans le même intervalle, les paiements directs ont augmenté de 23 millions de francs. 6
7 Evolution des dépenses de la Confédération pour l agriculture et l alimentation Poste de dépenses en millions de francs Production et ventes Paiements directs Amélioration des bases de production Autres dépenses Total agriculture et alimentation Remarque : l introduction, en 27, du nouveau modèle comptable de la Confédération (NMC) a entraîné un changement de système dans la présentation des comptes de la Confédération. Il n est plus possible d établir des comparaisons avec les années précédentes en raison de cette rupture structurelle. Sources : Compte d Etat, OFAG Rapport agricole 214 Poursuite de l évolution structurelle Au cours des treize premières années du nouveau millénaire, le nombre d exploitations agricoles a diminué de unités, soit un recul annuel de 1,9 %. Évolution du nombre d exploitations et de la main-d œuvre Paramètre Nombre d exploitations Variation annuelle en % Exploitations ,9 Région de plaine ,9 Région des collines ,7 Région de montagne ,9 A titre principal ,7 A titre accessoire ,2 Main-d œuvre ,9 Source : OFS L évolution du nombre d exploitations par région montre que le taux de diminution est resté le même entre 2 et 213 dans la région de plaine et la région de montagne mais qu il a légèrement baissé dans la région des collines. L évolution des exploitations révèle un taux de diminution légèrement plus élevé pour les entreprises exploitées à titre accessoire. Le secteur agricole emploie environ 44 9 personnes de moins depuis l an 2. Le pourcentage de diminution de la main-d œuvre était environ le même que celui des exploitations. 7
8 Rapport agricole 214 n Situation et évolution dans le domaine social Evolution différente de la santé chez les paysannes et chez les agriculteurs Les défis que doit relever l agriculture se sont amplifiés. Les changements au niveau de la charge professionnelle peuvent-ils également avoir des répercussions sur l état de santé? L enquête sur la santé réalisée en 212 par l Office fédéral de la statistique (OFS) montre que de manière générale la charge psychique («élevée» ou «moyenne») a été en 212 moins élevée chez les paysannes et chez les agriculteurs que dans leur groupe de référence respectif. Ce sont les femmes enquêtées du groupe de référence qui ont souffert de la charge psychique la plus élevée alors que le pourcentage le plus bas de charge psychique «élevée» a été enregistré chez les paysannes. La question n a été intégrée au questionnaire sur la santé qu à partir de 27 si bien qu il n est pas possible d établir des comparaisons avant cette date. Chez les agriculteurs, la charge psychique «élevée» a légèrement augmenté entre 27 et 212, alors qu elle a diminué chez les paysannes. En revanche, dans le groupe témoin des hommes, elle a eu tendance à diminuer, tandis que dans le groupe témoin des femmes, elle a légèrement augmenté. 8
9 Tensions psychiques (au cours des quatre dernières semaines) 3 2 Agriculteurs Groupe de référence Hommes Paysannes Groupe de référence Femmes Rapport agricole 214 en % Moyennes Elevées Source : OFS Tous les cinq ans, l Office fédéral de la statistique (OFS) mène une enquête sur la santé en Suisse. L échantillon enquêté est constitué de personnes choisies au hasard dans la population, parmi lesquelles des paysannes et des agriculteurs. Des données ont été recensées, entre autres sur l état de santé et sur le recours à des prestations du système de santé. Les dernières enquêtes ont eu lieu en 22, 27 et 212. En 212, ce sont les agriculteurs qui ont dans l ensemble le moins souffert de troubles du sommeil. Les femmes souffrent généralement plus souvent de troubles du sommeil. Ainsi, près d un tiers des paysannes et des autres femmes enquêtées ont présenté des troubles de l endormissement et du sommeil plus ou moins marqués, plus fréquents dans le groupe de référence des femmes. Durant la période 22 à 212, les cas de troubles «graves» du sommeil ont légèrement augmenté chez les agriculteurs et chez les paysannes, de même que dans le groupe de référence des femmes. Ils ont par contre diminué dans le groupe de référence des hommes autres que les agriculteurs. Troubles de l'endormissement et du sommeil (au cours des quatre dernières semaines) 5 Agriculteurs Groupe de référence Hommes Paysannes Groupe de référence Femmes 4 en % Un peu Beaucoup Source : OFS 9
10 Rapport agricole 214 La consommation d analgésiques («quotidiennement» et «une à plusieurs fois par semaine») a été dans l ensemble plus faible en 212 dans la population paysanne enquêtée que dans celle du groupe de référence correspondant. En 212, ce sont les agriculteurs qui en ont consommé le moins. La consommation d analgésiques a été toutefois plus importante en 212 que dix ans auparavant, aussi bien chez les hommes que chez les femmes de l échantillon enquêté. Consommation d'analgésiques (au cours de la dernière semaine) 3 Agriculteurs Groupe de référence Hommes Paysannes Groupe de référence Femmes 2 en % Une à plusieurs fois par semaine Tous les jours Source : OFS Diminution du temps investi dans l accomplissement des tâches En 1974 et 211, Agroscope a réalisé des enquêtes sur le budget-temps dans les exploitations agricoles. Ces enquêtes documentent le temps moyen investi dans différents domaines d activité et travaux effectués par la paysanne, son partenaire (chef d exploitation) et d autres personnes travaillant dans l exploitation. La période entre 1974 et 211 s est caractérisée par des avancées techniques importantes et par un recul du nombre de personnes vivant au foyer. Quelles répercussions cette évolution a-t-elle eu sur le budgettemps des paysannes et des chefs d exploitation? L investissement en temps des paysannes a enregistré une diminution entre 1974 et 211, passant de 78 à tout juste 65 heures. Ce recul concerne en particulier les travaux ménagers, auxquels les paysannes ne consacrent plus que 25 heures par semaine, contre 45 heures auparavant. Le temps qu elles ont investi dans l exploitation agricole a également diminué d environ un quart pour passer de 2 à 15 heures par semaine. En 211, les paysannes ont exercé des activités para-agricoles en moyenne deux heures par semaine. Le nombre d heures dévolues aux tâches administratives a légèrement augmenté en 1974 (+1,6 h/semaine). Les paysannes enquêtées ont passé nettement plus de temps à exercer une activité professionnelle en dehors de l exploitation (8,5 h/semaine au lieu de 1,5 h/semaine auparavant). 1
11 Investissement en temps des paysannes,3,4 3,1 3,5 1,6 3,2, 1,9 1,4 5,8 7,5 8,6 15,3 2,3 24, En heures hebdomadaires 45,2 Ménage Jardin et abords de la ferme Education Soins Tâches administratives Exploitation Activité proche de l agriculture Activité professionnelle à l'extérieur 4 5 Rapport agricole 214 Paysannes 1974 Paysannes 211 Source : Agroscope IDU Entre 1974 et 211, on a également observé pour les chefs d exploitation une importante diminution du nombre d heures hebdomadaires, qui sont passées en moyenne d environ 78 à moins de 66 heures. L investissement en temps a surtout reculé pour les travaux agricoles, qui ont nécessité une cinquantaine d heures par semaine, contre 66 heures auparavant. Le temps consacré aux tâches administratives a aussi régressé, passant de 3,5 à 2 heures par semaine, tandis que celui passé à exercer une activité professionnelle en dehors de l exploitation a augmenté de 2 heures par semaine pour atteindre 8 heures hebdomadaires. En 211, les chefs d exploitation se sont occupés de leurs enfants pendant 3 heures par semaine, contre environ,5 heure en Investissement en temps des chefs d'exploitation 1,1 1,2,2,5,4 3,,1,1 3,5 2,2 49,4, 1,1 Activité proche de l agriculture 6, 8,1 Activité professionnelle à l'extérieur En heures hebdomadaires 66,2 Ménage Jardin et abords de la ferme Education Soins Tâches administratives Exploitation Chef d exploitation 1974 Chef d exploitation 211 Source : Agroscope IDU 11
12 Rapport agricole 214 n Situation et évolution du domaine écologique Nette diminution des excédents de phosphore agricoles depuis les années 9 Cette évolution indique que l apport en phosphore a pratiquement diminué de moitié entre 199 et 212. Les achats d engrais minéraux ont surtout nettement régressé dans les années 9 : en 212, ils ont régressé d un tiers par rapport à 199. C est surtout l interdiction d employer les boues d épuration dans l agriculture qui est à l origine de la forte baisse de l utilisation d engrais de recyclage au début du siècle. En revanche, les importations d aliments pour animaux ont connu une nette augmentation au cours des vingt dernières années. Depuis 2, elles constituent l essentiel des apports de phosphore dans l agriculture suisse. Les exportations de cette substance ont connu une progression au cours de la période étudiée. Cette augmentation est largement due au fait que des déchets animaux doivent être éliminés par incinération en dehors de l exploitation depuis une vingtaine d années et qu ils sont de ce fait perdus pour l agriculture. 12
13 Bilan de phosphore et efficience du phosphore en 1 t P Efficience en % Rapport agricole 214 Input Fourrages importés Engrais minéraux Engrais de recyclage Importations de semences Dépôts atmosphériques Output Produits animaux Produits végétaux Bilan (input-output) Efficience (output:input) Source: Agroscope L efficience du phosphore, qui était de 22 % en 199/1992, a progressé pour atteindre 6 % en 21/212. Ainsi, l excédent annuel de phosphore a enregistré une diminution en chiffres absolus, passant de 2 à 5 9 tonnes environ pendant cette période, soit un total de plus de 2 tonnes de phosphore pour toute la période considérée. La Politique agricole prévoit d améliorer l efficience du phosphore, visant les 68 % d ici à 217, et de réduire l excédent annuel, qui devrait passer à 4 tonnes. L évolution du bilan de phosphore dans l agriculture suisse au fil des années est analysée à l aide de la méthode OSPAR du bilan apparent à l exploitation (Convention pour la protection du milieu marin de l Atlantique du Nord-Est). Cette méthode considère toute l agriculture suisse comme une seule exploitation. Les entrées sont tout ce qui entre dans cette «exploitation», comme les aliments pour animaux importés, mais pas ceux produits par l agriculture du pays. Il n est pas non plus tenu compte de la quantité et de l utilisation des engrais de ferme, puisqu ils sont produits dans l agriculture. Les extrants sont les volumes de phosphore qui quittent l exploitation sous forme de denrées alimentaires végétales et animales, mais pas les aliments pour animaux issus des grandes cultures et des cultures fourragères qui restent dans l exploitation. Forte diminution de la teneur en phosphore des lacs depuis les années 7 La teneur en phosphore des lacs constitue un indicateur important de la qualité de l eau. Une teneur en phosphore élevée favorise la production de biomasse. Or, lorsqu elle meurt, celle-ci consomme de l oxygène en se décomposant. Un excédent de biomasse peut ainsi provoquer un manque d oxygène dans les couches inférieures ou dans le sédiment de surface. Le phosphore parvient généralement dans l eau des lacs de deux façons, soit par des sources ponctuelles (stations d épuration, industrie, ménages, déversoirs d orage par temps de pluie des canalisations) ou des sources diffuses (agriculture, forêt et atmosphère). L apport et la teneur en phosphore des lacs ont considérablement diminué depuis une quarantaine d années, et ce pour les raisons suivantes : plus de 95 % des sources ponctuelles sont traitées dans des stations d épuration et surtout une très grande quantité du phosphore qu elles contiennent est éliminée des eaux usées, et, enfin, il est interdit d utiliser des phosphates dans la fabrication des lessives depuis Les apports de phosphore provenant de l agriculture ont également connu une baisse, mais pas dans la même mesure. 13
14 Rapport agricole 214 Intensification de la pression exercée sur les sols Le sol sert de base à la majeure partie de la production de denrées alimentaires. L eau de pluie qui tombe sur la terre est stockée dans le sol, permettant ainsi aux plantes de se développer, ou elle pénètre dans le sous-sol, où elle est filtrée pour devenir par exemple de l eau potable. Une quantité inimaginable de micro-organismes décomposent les composés organiques parvenus à la surface ou à l intérieur du sol, dont les composantes fourniront aux végétaux des éléments nutritifs ou des matières premières. Les microorganismes du sol produisent également de nouveaux composés organiques, qui constitueront un humus fertile. Le sol façonne les paysages qui nous entourent tout en fournissant les surfaces nécessaires à la création d habitations. La demande mondiale en sol fertile ne cesse d augmenter en raison de la croissance démographique et aussi, notamment, de la consommation accrue de denrées alimentaires d origine animale, qui requièrent nettement plus de surface par calorie alimentaire que les denrées à base de végétaux. A cela s ajoute la très forte pression à laquelle sont soumises les surfaces dont dispose actuellement l agriculture pour la production. D un côté, les meilleures terres agricoles sont souvent utilisées à des fins d urbanisation. Le Programme des Nations Unies pour l environnement estime que, d ici à 25, ces surfaces s élèveront dans le monde à près de 2 millions d hectares, soit un chiffre 2 fois supérieur à la surface agricole utile disponible en Suisse. D un autre côté, la fertilité des sols diminue en raison de leur dégradation sur une large échelle. L une des principales causes de ce phénomène est l érosion due à l eau et au vent, qui touche environ 1 5 millions d hectares sur la planète. Comme il est relativement difficile de trouver de nouvelles bonnes terres arables (env. 5 millions ha selon la FAO), il faut augmenter le rendement à l hectare pour pouvoir nourrir de plus en plus d individus. Importance du rôle protecteur de la couverture du sol La couverture du sol varie durant les saisons en fonction du développement de la végétation, des travaux des champs et des résidus végétaux de surface. L état de la surface du sol est déterminant pour plusieurs effets sur l environnement. Ainsi, une couverture élevée contribue à la protection physico-chimique des sols, réduit le risque d érosion et la perte de substances minérales et organiques (éléments nutritifs, pesticides et métaux lourds). La couverture du sol et les cultures sont directement liées. L assolement, la dynamique de développement saisonnier (du semis jusqu à la récolte) et la gestion des cultures intercalaires sont autant de facteurs qui jouent ici un rôle décisif. Les diverses pratiques culturales de la Suisse ont un impact différent sur le degré de couverture du sol. Degré de couverture du sol par type d exploitation 1 Couverture du sol moyenne en % Grandes cultures Combinaison lait commercialisé/ grandes cultures Cultures spéciales Combinaison vaches allaitantes Combinaison autres Combinaison perfectionnement Lait commercialisé Vaches allaitantes Autres bovins Source: Agroscope 14
15 Remise en question de la fertilité à long terme des sols agricoles en Suisse Les surfaces des sols agricoles sont menacées en Suisse, tout comme leur fertilité à long terme. L érosion et le compactage du sol ont une grande influence sur la fertilité au même titre que la teneur en métaux lourds et en humus. Les sols sont souvent contaminés par des métaux lourds dans les exploitations agricoles spécialisées qui utilisent des pesticides et des aliments concentrés contenant des additifs. L évolution des teneurs en métaux lourds au cours des vingt dernières années est dans l ensemble réjouissante. Ainsi, les teneurs en plomb et en mercure dans la couche supérieure ont nettement diminué depuis les années 8. Néanmoins, les métaux lourds ne sont pas décomposés dans le sol ; ils sont uniquement stockés ou transportés, dans des couches plus profondes du sol, dans les cours d eau sous forme de particules ou avec la récolte. La baisse des teneurs signifie que les apports ont reculé par rapport aux années 8. Les mesures prises à l époque pour la protection de l air et l interdiction d épandre des boues d épuration ont porté leurs fruits. En ce qui concerne le cadmium, les apports atmosphériques ont nettement diminué, mais les teneurs dans le sol sont restées constantes. Les raisons de ce phénomène ne sont pas claires. En effet, les sites de l observatoire national des sols présentent depuis toujours de faibles teneurs en cadmium, de telle sorte qu il est difficile de détecter d éventuelles baisses dans le sol. Par contre, certains sites ont connu une nette augmentation des teneurs en zinc et en cuivre, en particulier dans les prairies intensives. Les données d exploitation ont révélé que de grandes quantités d engrais de ferme avaient été épandues sur les parcelles concernées. Les bilans de flux des substances montrent que le zinc et le cuivre apportés dans le sol proviennent essentiellement des engrais de ferme. Rapport agricole 214 L humus tend également à diminuer dans certaines exploitations, surtout dans celles pratiquant les grandes cultures sans bétail ou avec un nombre restreint d animaux. Un phénomène qui entraîne sur le long terme une baisse de la fertilité des sols. Bilan d humus annuel par type d exploitation 2 15 kg humus/ ha Cultures spéciales Grandes cultures Combinaison vaches allaitantes Combinaison lait commercialisé/ grandes cultures Autres bovins Combinaison autres Lait commercialisé Combinaison perfectionnement Source: Agroscope 15
16
AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailLettre de rappel sur HODUFLU
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Office fédéral de l agriculture Secteur Paiements directs - Programmes Département fédéral de l environnement, des transports,
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailTreize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses
Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailRencontre avec les médias Vendredi, le 24 juin 2011, 10.30 h Business Center Vatter, Berne. Le mythe de l «agriculture suisse écologique»
Rencontre avec les médias Vendredi, le 24 juin 2011, 10.30 h Business Center Vatter, Berne Le mythe de l «agriculture suisse écologique» Rencontre avec la médias sur le mythe de l «agriculture suisse écologique»
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailEnquête sur les investissements dans l industrie
Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailPolitique agricole 2014-2017: pour une agriculture productive et durable
Département fédéral de l'économie DFE Politique agricole 2014-2017: pour une agriculture productive et durable Berne, 23.03.2011 - En mettant en oeuvre la politique agricole PA 14-17, le Conseil fédéral
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailLa campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:
Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailBas Saint-Laurent. Fiche régionale. Portrait régional de l emploi
Portrait régional de l emploi (*) (*) (en milliers) Bas Saint-Laurent 200 756 habitants % du Québec 2,6 % Agriculture 3,1 Services publics 0,0 Construction 4,9 Emploi par groupe d âge (*) Bas Saint-Laurent
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailMessage concernant l évolution future de la politique agricole
06.038 Message concernant l évolution future de la politique agricole (Politique agricole 2011) du 17 mai 2006 Messieurs les Présidents, Mesdames et Messieurs, Nous vous soumettons, avec le présent message,
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détailUniversita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale
Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailNOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES
NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détail20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse
20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailJ'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailL industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014
L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailCONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles
Plus en détailFiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin
Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef
Plus en détailCent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006
Août 2006 F COMITÉ FINANCIER Cent quinzième session Rome, 25-29 septembre 2006 Recommandations et décisions de la Commission de la fonction publique internationale et du Comité mixte de la Caisse commune
Plus en détailUne planète. Six engagements.
Une planète. Six engagements. Nous ne pouvons plus continuer ainsi L humanité est confrontée à son plus grand défi Chaque jour, notre planète se réveille avec 200 000 nouvelles bouches à nourrir. 1 Chaque
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détail