SGS EST LE LEADER MONDIAL DE L'INSPECTION, DE LA VÉRIFICATION, DE L'ANALYSE ET DE LA CERTIFICATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SGS EST LE LEADER MONDIAL DE L'INSPECTION, DE LA VÉRIFICATION, DE L'ANALYSE ET DE LA CERTIFICATION"

Transcription

1 SGS EST LE LEADER MONDIAL DE L'INSPECTION, DE LA VÉRIFICATION, DE L'ANALYSE ET DE LA CERTIFICATION

2 DES SERVICES MONDIAUX ADAPTÉS A TOUS LES SECTEURS D'ACTIVITÉS INSPECTION ESSAIS VÉRIFICATION CERTIFICATION FORMATION CONSEIL EXTERNALISATION 2

3 EN UN COUP D'ŒIL N 1 LEADER MONDIAL 80,000 COLLABORA- TEURS 2,500 FRANCE 1,650 BUREAUX ET LABORATOIRES >60 FRANCE 10 BUSINESS LINES 2 ENVIRONMENT- AL AND CERTIFICATION SERVICE MONDIAL EXPERTISE LOCALE 3

4 CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE/NORMATIF FRANCE / OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE Article 8 de La Directive Européenne 2012/27/UE sur l Efficacité énergétique Obligation d audit énergétique pour les «grandes entreprises» tous les 4 ans, le 1er audit avant le 5 décembre 2015 Exemption en cas de système de management de l énergie, certifié par un organisme accrédité L article 40 de la Loi DADDUE du 16 juillet 2013 Reprend les termes de la Directive Fixe les sanctions : amende < 2% du dernier CA HT (< 4% en cas de récidive) Le décret simple du 4 décembre 2013 Précisant les entreprises concernées (SIREN) : Soit effectif de plus de 250 personnes (ETP) Soit CA > 50 M Soit Total de bilan > 43 M (valeur consolidée) Critères sur les 2 exercices comptables consécutifs précédent l année de l obligation 4

5 CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE/NORMATIF FRANCE / OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE Décrêt du 24 novembre 2014 Arrêté du 24 novembre 2014 Le périmètre 65% Facture Energie Les référentiels d audit EN16247 Les exemptions Le principe d échantillonnage Racine Carré sur bâtiments Les auditeurs possibles Les compétences des auditeurs Les modalités de transmission à l administration Le contenu de la synthèse du rapport 5

6 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE QUI EST CONCERNÉ? Décret n du 4 décembre 2013 L entreprise est définie par son numéro SIREN. Définition SIREN (Système Informatique du Répertoire des Entreprises) est un code INSEE unique qui sert à identifier une entreprise française Il est national, invariable et dure le temps de la vie de l'entreprise. Une entreprise peut comprendre des établissement Secondaire identifiés par le SIRET SIREN 9 chiffres SIRET 14 (9 + 5) chiffres Un numéro pour une raison sociale Etablissement Secondaire 6

7 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE OUI MAIS, BESOIN DE REFAIRE UN AUDIT? Si réalisés entre le 4/12/2012 et 26/11/2014 Bâtiment Procédés Transport Conforme au cahier des charges ADEME Conforme au référentiel BP X Si réalisé dans le cadre d une charge «Objectif CO2» Quel référentiel était utilisé pour les précédents audits? A refaire dans les 4 ans à la date d émission de ce dernier 7

8 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE COMPÉTENCES DE L AUDITEUR Auditeur Externe Titulaire d un signe de qualité selon la Norme NF X et expériences professionnelles Auditeur Interne Responsabilités, positionnement organisationnel et méthodes d émissions clairement définies Personnel d audit fournit des services audits énergétiques qu à l entreprise ou au groupe d entreprise dont il fait partie Le personnel d audit énergétique possède les compétences appropriés pour comprendre et être capable d appliquer la méthodologie de la norme NF EN Un référent technique est nommée BAC + 5 : 2 ans xp BAC + 3 : 3 ans xp Autre : 5 ans xp 8

9 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE OBLIGATION DE L ENTREPRISE A transmettre au Préfet de région d implémentation du siège La définition du périmètre retenu en application de l article 1er, La synthèse du rapport d audit énergétique, selon un format défini par arrêté du ministre chargé de l énergie Une copie du certificat de conformité en cours de validité délivré par l organisme certificateur (ISO ) Le rapport d audit, si la transmission est effectuée par voie électronique. Conservation des rapports 8 ans. Transmission à l autorité mentionnée dans un délai de quinze jours. Une application informatique de collecte gérée par l'ademe est prévue 9

10 AGENDA Audit Energétique et SMén Contexte normatif : Différences et similitudes Bâtiment, Industrie, et Transport Consommation de références et notions clés : PIMVR, Ipé, facteurs d influences, et usages significatifs Retour d Expérience SMEn et/ou audit énergétique Plan d actions et bonnes pratiques de l industrie 10

11 AGENDA Audit Energétique et SMén Contexte normatif : Différences et similitudes Bâtiment, Industrie, et Transport Consommation de références et notions clés : PIMVR, Ipé, facteurs d influences, et usages significatifs Retour d Expérience SMEn et/ou audit énergétique Plan d actions et bonnes pratiques de l industrie 11

12 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE CADRE NORMATIF Audit Energétique [SOURCE : EN , 3.1] examen et analyse méthodiques de l usage et de la consommation énergétiques d un site, bâtiment, système ou organisme, ayant pour objet d identifier les flux énergétiques et les potentiels d amélioration de l efficacité énergétique et d'en rendre compte Source : Audit énergétique bâtiment - Rapport type - Juin

13 OBLIGATION D AUDIT ENERGÉTIQUE CADRE NORMATIF Contact Préliminaire Réunion de démarrage Recueil de données Travail sur place Analyse Rapport Réunion de clôture EN NF EN , Septembre Audits énergétiques - Partie 1 : exigences générales, NF EN , Juillet Audits énergétiques - Partie 2 : bâtiments, NF EN , Juillet Audits énergétiques - Partie 3 : procédés, NF EN Juillet Audits énergétiques - Partie 4 : transport ISO 50001:2011 Systèmes de management de l'énergie ISO 50002: Audits énergétiques -- Exigences et recommandations de mise en œuvre ISO 50003: Systèmes de management de l'énergie -- Exigences pour les organismes procédant à l'audit et à la certification de systèmes de management de l'énergie 13

14 CADRE NORMATIF EN16247 PROCESSUS D AUDIT ÉNERGÉTIQUE Ce processus se doit d être : appropriée au domaine d application, aux objectifs et au degré d approfondissements pertinents, exhaustive : afin de définir l'objet audité et l'organisme, représentative : en vue de recueillir des données fiables et pertinentes, traçable : pour permettre de remonter à l'origine des données et d'en tracer le traitement, utile : pour inclure une analyse coût-efficacité des opportunités d'économies énergétiques identifiées, vérifiable : pour permettre à l organisme de surveiller que les objectifs correspondants aux opportunités d'amélioration de l'efficacité énergétique mise en œuvre sont atteints. 14

15 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE Bâtiment Procédés Transport Les vecteurs énergétiques présents et disponibles les données relatives à l énergie les facteurs d ajustement ayant un effet sur la consommation d énergie les informations sur les modifications importantes qui ont eu lieu pendant les 3 dernières années les valeurs à utiliser (surface au sol, volume) les documents et les informations de conception, d exploitation et de maintenance le modèle informatisé du bâtiment et/ou des modèles de conception du bâtiment les équipements consommateurs d énergie dans les espaces occupés et les autres charges internes Transport, manutention des matériaux et des produits dans l usine, Procédé de fabrication, Chaufferie, Échange de chaleur, Réseaux de distribution de fluide, Générateurs d énergie mécanique, thermique ou électrique, Distribution électrique et équipements, Tours de réfrigération, Refroidisseurs, Pompes, Ventilateurs, Air comprimé, Circuit de dépression, Chauffage, ventilation et climatisation (HVAC), Eau chaude sanitaire (ECS), Éclairage, les critères utilisés pour la planification des affectations des opérations de transport la description des parcours empruntés et de la politique de planification la composition du parc les formations des opérateurs les méthodes de ravitaillement en carburant les preuves du comptage de la consommation de carburant les documents sur le prix des sources d énergie la distance parcourue pour chaque véhicule les données concernant les marchandises et les passagers afin de permettre le calcul du facteur de charge les données pour permettre le calcul du pourcentage de distance et de temps productifs des opérateurs les programmes de maintenance les politiques pour la spécification, l exploitation, l achat, la maintenance, la remise en état et le remplacement les actions pour le développement et l essai de nouvelles techniques 15

16 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE / ECHANTILLONNAGE Bâtiment Procédés Transport Lorsqu une méthode d échantillonnage est utilisée, tout échantillon d espaces, de systèmes ou d équipements sélectionné doit être représentatif du bâtiment dans son ensemble ou d un groupe de bâtiments. Les informations sur la création d une liste de mesures, leur fréquence et leur durée peuvent dépendre de l échantillonnage. L échantillonnage est décrit dans l Annexe B.5 de l ISO 19011:2011 Lorsqu une méthode d échantillonnage est utilisée, l échantillon sélectionné de véhicule(s) doit être représentatif du parc ou de la partie concernée du parc. 16

17 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE / BESOIN DE MESURE Bâtiment Procédés Transport L auditeur doit vérifier la cohérence de la consommation d énergie modélisée par rapport à la consommation d énergie réelle mesurée Campagne de mesures a valider avec auditeur par échantillonnage Lorsque les données historiques existantes ne sont pas fiables, il est possible d utiliser un appareil d enregistrement pour enregistrer les données Lorsque la quantité de données disponibles est insuffisante, l auditeur énergétique peut demander de participer à au moins un voyage 17

18 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE Le travail d analyse se décompose comme suit Situation de référence la répartition de la consommation énergétique par usage et par type d'énergie, les flux énergétiques et le bilan énergétique de l'objet et ou procédé, l évolution de la demande énergétique dans le temps, le lien existant entre la consommation énergétique et les facteurs d'ajustement, un ou plusieurs indicateurs de performance énergétique adaptés 18

19 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE Le travail d analyse se décompose comme suit d identifier et d évaluer les opportunités d'amélioration des économies financières permises par les mesures d'amélioration de l'efficacité énergétique, des investissements nécessaires, du retour sur l'investissement ou d'autres critères économiques convenus avec l'organisme, des autres gains possibles non énergétiques (tels que la productivité ou la maintenance), de la comparaison des différentes mesures d'amélioration de l'efficacité énergétique, en termes de coût et de consommation énergétique, des interactions techniques entre plusieurs actions. 19

20 CADRE NORMATIF EN16247 MÉTHODOLOGIE Revue Energétique Source : NF EN ISO L'organisme doit concevoir une revue énergétique, la réaliser périodiquement et en conserver les enregistrements. La méthodologie et les critères utilisés pour la conception de cette revue doivent être documentés. Cas 1 Cas 2 Audit Energétique Source : Article L233-3 du code de l énergie Les personnes qui mettent en œuvre un système de management de l'énergie certifié par un organisme de certification accrédité [ ] sont exemptées des obligations prévues à l'article L si ce système prévoit un audit énergétique satisfaisant aux critères mentionnés à ce même article 20

21 AGENDA Audit Energétique et SMén Contexte normatif : Différences et similitudes Bâtiment, Industrie, et Transport Consommation de références et notions clés : PIMVR, Ipé, facteurs d influences, et usages significatifs Retour d Expérience SMEn et/ou audit énergétique Plan d actions et bonnes pratiques de l industrie 21

22 CONSOMMATION DE REFERENCE Constat: Les économies d énergie sont une absence d utilisation énergétique: On ne peut pas «mesurer» les gains directement En revanche: On peut mesurer les consommations d énergies On analyse les consommations énergétique pour déterminer les gains. 22

23 CONSOMMATION DE REFERENCE Le Protocole International de Mesure et de Vérification du Rendement consiste à mesurer l énergie consommée pendant une période de référence, analyser les variables qui influencent significativement cette consommation d énergie et déterminer l équation d ajustement ; mesurer l énergie consommée pendant une période de suivi, après la mise en œuvre des Actions de performance Energétique (APE). ISO = 23

24 CONSOMMATION DE REFERENCE 24

25 CONSOMMATION DE REFERENCE Les variables périodiques : paramètres qui évoluent dans le temps et qui ont un impact mesurable sur les consommations d énergie d un système ou d un site. Exemples : la température extérieure, caractérisée par les degrés jours, le volume de production d une usine, faut noter que ces grandeurs varient de manière récurrente. 25

26 CONSOMMATION DE REFERENCE Les facteurs statiques: caractéristiques d un système ou d un site impactant la consommation d énergie mais non utilisées pour les ajustements périodiques. Exemples : les volumes chauffés, la quantité d apports thermiques internes (informatique, ), le niveau de confort ou de service. 26

27 CONSOMMATION DE REFERENCE Période de référence: les principales contraintes sont la qualité et la pertinence des données. Il s agit d utiliser une période suffisamment longue pour retracer un cycle complet d utilisation de l énergie et assez courte pour limiter les coûts. 27

28 CONSOMMATION DE REFERENCE Méthode pour le site entier : Mesure tous les effets dans le site Optimisation énergétique ET autres changements (prévus et imprévus). Utilise souvent le compteur du fournisseur d énergie. Les ajustements peuvent être complexes. Mesure seulement l effet de la modification Le périmètre de mesurage permet d isoler les facteurs impactant les économies d énergie. Requiert souvent l installation d un compteur. Les ajustements peuvent être simples. 28

29 CONSOMMATION DE REFERENCE À partir de ces 2 principes, PIMVR introduit 4 options : Isolation de modifications : Option A Option B Site entier : Option C Option D (Utilisation partielle pour les options A ou B possible) Tout dépend ce que vous voulez étudier Pour évaluer la consommation totale d énergie : Sélectionnez la méthode du Site entier. une ou plusieurs modifications en particulier : Sélectionnez la méthode d isolement de la modification. 29

30 REX Incertitudes, plusieurs sources d erreurs Modélisation : La formulation mathématique n est pas représentative du phénomène physique, des variables indépendantes pertinentes ne sont pas prises en compte. Echantillonnage : L échantillon récupéré n est pas représentatif de la population (Quantitative, qualitative, temporelle, ). Mesurage : Appareils utilisés, méthode de mesure employée, calibrage, 30

31 CONSOMMATION DE REFERENCE Coût vs incertitude Il n y a pas d évaluation des économies sans incertitude Il y a un équilibre à trouver entre coût et incertitude. La M&V coûte toujours Bonne pratique : 10% des Économies au maximum 3 à 5 % Est le plus souvent Rencontré Mieux vaut des économies Garanties que des Économies estimées. 31

32 AGENDA Audit Energétique et SMén Contexte normatif : Différences et similitudes Bâtiment, Industrie, et Transport Consommation de références et notions clés : PIMVR, Ipé, facteurs d influences, et usages significatifs Retour d Expérience SMEn Plan d actions et bonnes pratiques de l industrie 32

33 REX Revue énergétique : intérêt à intégrer dans la matrice de criticité les points suivants : Pour hiérarchiser les usages : Consommations énergétiques Nombre d actions avec un potentiel d économies d énergies (de sorte de ne pas faire apparaitre un UéS sur lequel aucune piste d amélioration ne peut-être envisagé) Pour hiérarchiser les actions d amélioration : Facilité de mise en œuvre (ressources, temps d étude ) Economie attendue Investissement prévu 33

34 REX Consommation de référence Difficulté à faire corréler les facteurs d ajustements avec la consommation énergétique de l entreprise Les DJU ne sont pas toujours pertinents face à une consommation globale entreprise Les volumes de production doivent être récupérés en Tonne produite et non en Tonne vendue (les données sont parfois difficiles à récupérées) Le taux d occupation n est pas toujours pertinent et n influence pas vraiment la consommation de chauffage Il est important de définir un processus de traitement des écarts à chaque dérive de la consommation au regard de la référence : c est pourquoi un écart-type doit être déterminé pour chaque consommation de référence Pertinence d établir une consommation de référence / usage 34

35 REX Maitrise documentaire et documentation Intégrer le système existant (Iso 14001, 9001, Ohsas ) permet de gagner un temps précieux Création d un processus énergie versus intégration de l énergie dans la cartographie des processus actuelle Veille réglementaire des exigences légales et autres Difficulté à trouver de la ressource pour l identification des textes réglementaire et surtout l évaluation de la conformité Surveillance, Analyse, mesurage Etablir un plan de comptage n est pas toujours aisé (manque de compteurs) envisager d intégrer dans le plan d action des mesures ponctuelles et/ou la mise en place de compteurs ou GTC Un manque d étalonnage des compteurs demande de la mesure ponctuelle 35

36 REX Responsabilités Le Smé demande d identifier les ressources et reponsabilités ayant des rôles et missions précises dans le Smé et à intégrer dans les fiches de fonction (implication des RH) Achats / Conception Réaliser un cahier des charges / équipement entrant dans les usages énergétiques significatifs Quels critères d évaluation des fournisseurs d équipements doivent être intégrés? ROI Potentiel d économies d énergie? CEE Contrat d entretien Taux de service Conformité 36

37 REX ACHATS D EQUIPEMENT Connaitre parfaitement la destination de l équipement et son environnement l équipement et son environnement Établir une fiche de fonctionnalité et de performances par équipement performances par équipement Faire une réception énergétique de chaque équipement en vue de vérifier la équipement en vue de vérifier la performance et de la valider la valider Faire un suivi ponctuel ou continu de fonctionnement et des consommations par tranche fonctionnement et des consommations par tranche de process et de temporalité 37

38 REX MISE EN ŒUVRE D UN SMÉ Emergence d une fonction dédiée a l énergie dans l entreprise. Souvent un binôme (technique + système) Entreprises entre 200 et 550 employés, 2 a 3 collaborateurs sont dédiés au SME en moyenne. La fonction du représentant de la direction pour le SME est celle d un responsable qualité, environnement et/ou énergie/maintenance.» Réalisation d économies d énergie. Economie sur la facture énergétique s élevant jusqu a 25 % (10 % en moyenne) la première année et un gain sur la performance énergétique pouvant aller jusqu a 35 % (11 % en moyenne), avec des temps de retour sur investissement compris entre un et quatre ans pour près de 80% des entreprises». L obtention de la certification prend moins d un an (dans le cas d une entreprise déjà certifiée sur l ISO 14001). Confère aux organismes une image d entreprise responsable et leur permet d accéder a des mesures incitatives (ex. prime liée à la bonification des CEE obtenus dans le périmètre de la certification) ainsi qu à pérenniser la démarche.» 38

39 AGENDA Audit Energétique et SMén Contexte normatif : Différences et similitudes Bâtiment, Industrie, et Transport Consommation de références et notions clés : PIMVR, Ipé, facteurs d influences, et usages significatifs Retour d Expérience SMEn Plan d actions et bonnes pratiques de l industrie 39

40 PLAN D ACTIONS ET BONNES PRATIQUES Facteurs de Pondération USAGES Consommati on 2014 PART DE LA CONSOMMATION [%] GAINS ATTENDUS SUR L'USAGE [MWh] GAINS POTENTIEL PAR USAGE [%] PONDERATION [MWh] Conso Gains potentiel Procédés % 255 5,00% Chauffage % ,00% Climatisation % ,00% Eclairage % ,00% Utilités 450 3% 5 1,00% IT 100 1% 40 40,00% Divers 80 1% 4 5,00% TOTAL % ,50% NOTE FINALE 40

41 PLAN D ACTIONS ET BONNES PRATIQUES Validation mathématique du modèle de régression Modèle de régression n 1 Vapeur [T] = x HDD (19 C) Indicateurs IPMVP - Option C Modélisation Valeur limite Vérifica tion Chapitre IPMVP Coefficient de détermination R² Statistique de Student (Confiance 95%, échantillon de 24 valeurs) Vérification Bias (Spécifications ASHRAE) 0,95 0, ,000% 0,005% Source B Source B Source B.2 41

42 PLAN D ACTIONS ET BONNES PRATIQUES IpE normalisé Par exemple: Benchmark unité industriel 42

43 PLAN D ACTIONS ET BONNES PRATIQUES Machines tournantes et autres opérations transverses Moteurs et agitateurs, Pompes, Régulation automatique des équipements, Comportemental, GTB (éclairage, chauffage, ventilation) Equipements spécifiques Séchage, Distillation, Réacteurs Installations de combustion Gestion de la vapeur Echangeurs de chaleur Autres utilités 43

44 PLAN D ACTIONS ET BONNES PRATIQUES UIC DT 112 GUIDE d ACCOMPAGNEMENT À l EFFICACITE ENERGETIQUE 44

45 Q/A 45

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Partageons le succès de nos expériences Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Pascal Lesage Directeur Commercial 06 86 68 85 92 01 41 42 33 95 14 Novembre 2014 5 domaines d intervention

Plus en détail

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover Page 1 Innover en mécanique Page 2 Rencontre Solutions Energie Entreprises Lille le 20 mai 2014 Atelier : «Audit énergétique obligatoire : quelles sont les entreprises concernées?» Eric SENECHAL-CETIM

Plus en détail

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ)

FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Certificats d économies d énergie Fiche explicative n FE 50 FICHE EXPLICATIVE Système de management de l Énergie (SMÉ) Fiches d opérations standardisées concernées : N BAT-SE-02 et IND-SE-01. Ce document

Plus en détail

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER

Plus en détail

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies

Plus en détail

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne

Plus en détail

Classification des actions d efficacité énergétique

Classification des actions d efficacité énergétique Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie

Plus en détail

L efficacité énergétique dans les bâtiments

L efficacité énergétique dans les bâtiments https://intranet.swe.siemens.com/fr/intra/infrastructure-cities/bt/offre/ssp/buildingautomation/energie/pages/notre-offre.aspx L efficacité énergétique dans les bâtiments siemens.com/answers Kurt Detavernier

Plus en détail

Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production. Programme Energy Action pour l industrie

Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production. Programme Energy Action pour l industrie Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production Programme Energy Action pour l industrie Un programme d économies d énergie. Les solutions Energy Action de Schneider Electric. Des économies d énergie

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf

Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Présentation de Thierry DJAHEL, Schneider Electric Dans le cadre de la matinée technique IFPEB CSTB du 28 novembre 2012. 28/11/2012 1 En chiffres 35

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES «Lean Energy Analysis» : une étude de 3e-performance pour traquer vos gaspillages et bâtir une stratégie d action 1 LEAN ENERGY ANALYSIS: DISTINGUER

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : DEVR1412297D et DEVR1412294A Intitulé du texte : Décret et arrêté relatifs aux modalités d application de l audit énergétique prévu par le chapitre III

Plus en détail

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Deux outils d Amélioration Continue en Facilities Management chez Merck Millipore à Molsheim Thèse professionnelle présentée

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire

Plus en détail

Confort, sécurité et gestion énergétique

Confort, sécurité et gestion énergétique Fonctionnalités d une système de GTB Offre globale pour la productivité des bâtiments, Sécurité des personnes et des biens Sécurité Incendie Signalétique d évacuation Détection d Intrusion Vidéosurveillance

Plus en détail

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température

Plus en détail

FLUXUS Energie. Gérer efficacement l'énergie en utilisant la technologie de mesure non-intrusive. Mesure de débit énergétique et d'air comprimé

FLUXUS Energie. Gérer efficacement l'énergie en utilisant la technologie de mesure non-intrusive. Mesure de débit énergétique et d'air comprimé Gérer efficacement l'énergie en utilisant la technologie de mesure non-intrusive FLUXUS Energie débit énergétique et d'air comprimé Chauffage et climatisation des consommations thermiques : Chauffage Réfrigération

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Les outils de la transition énergétique ISO 50001

Les outils de la transition énergétique ISO 50001 Les outils de la transition énergétique ISO 50001 26 mars 2013 Michel HIRAUX +32 496 58 12 04 Le Management énergétique dans son contexte Management et Système de Management Objectif d un EnMS Facteurs

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Evaluation des émissions

Evaluation des émissions Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr

Plus en détail

Catalogue de services standard Référence : CAT-SERVICES-2010-A

Catalogue de services standard Référence : CAT-SERVICES-2010-A Catalogue de services standard Référence : CAT-SERVICES-2010-A Dans ce catalogue, le terme Client désigne l entité légale intéressée à l achat de services délivrés par ITE- AUDIT, que cet achat soit un

Plus en détail

Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs

Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Septembre 2012 Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Immeubles collectifs (gérance et copropriété) Depuis une ordonnance n 2011-504 du 9 mai 2011, l article L 241-9 du Code

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires

Plus en détail

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau

Plus en détail

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

Énergies FORMATIONS 2014-2015. Formations métiers certifiantes. ISO 50001 et audit de systèmes de management

Énergies FORMATIONS 2014-2015. Formations métiers certifiantes. ISO 50001 et audit de systèmes de management FORMATIONS 2014-2015 Énergies Formations métiers certifiantes ISO 50001 et audit de systèmes de management Audit énergétique NF EN 16247 : bâtiment et industrie - Méthodologie d audit énergétique NF EN

Plus en détail

Grands Consommateurs du Canton de Genève. Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique

Grands Consommateurs du Canton de Genève. Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de la sécurité Office cantonal de l'énergie (OCEN) Grands Consommateurs du Canton de Genève Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique 16

Plus en détail

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général

Plus en détail

Direction Générale des Services Techniques et de l'environnement. Colloque CEE

Direction Générale des Services Techniques et de l'environnement. Colloque CEE Direction Générale des Services Techniques et de l'environnement 27 Septembre 2011 Colloque CEE Colloque CEE du 27 septembre 2011 Présentation de la structure/organisation Politique et actions en matière

Plus en détail

Introduction à l ISO/IEC 17025:2005

Introduction à l ISO/IEC 17025:2005 Introduction à l ISO/IEC 17025:2005 Relation avec d autres normes de Management de la Qualité Formation Assurance Qualité LNCM, Rabat 27-29 Novembre 2007 Marta Miquel, EDQM-CoE 1 Histoire de l ISO/IEC

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans l industrie

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans l industrie Audits énergétiques L efficacité énergétique dans l industrie Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer l efficacité énergétique de vos installations

Plus en détail

Mesurer, collecter et monitorer pour agir

Mesurer, collecter et monitorer pour agir Mesurer, collecter et monitorer pour agir Services de gestion de l'énergie Lausanne, 6 novembre 2014 Antoine Hayek, Energy Management Services Eric Magnin, Energy Management Specialist Michael Grelier,

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION

Plus en détail

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7 N 24 avril 2015 Secrétariat de la CCMOSS 1/7 ACTUALITES Publication d un «mode d emploi sur les achats socialement responsables»..... 3 D E F I N I T I O N Qu est-ce que le système de management environnemental

Plus en détail

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface

Plus en détail

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz. FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la

Plus en détail

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001 SARRAMAGNAN Viviane Master II Économie et Gestion de l Environnement Année universitaire 2008/2009 Sommaire Présentation

Plus en détail

Séminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques»

Séminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques» Monitoring Energétique Gestion de sites à distance Séminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques» JP Puissant, 28 mai 2015 Jean-Pierre Puissant 0492/73 36 74 Enersolutions sprl 2011 Expertise

Plus en détail

Catalogue de formations Coaching énergie

Catalogue de formations Coaching énergie Catalogue de formations Coaching énergie SOMMAIRE Journée de mise en place des indicateurs de suivi...2/7 Formation coaching énergie Type court...3/7 Programme de formation...4/7 Formation coaching énergie

Plus en détail

Fiche conseil n 16 Audit

Fiche conseil n 16 Audit AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS

Plus en détail

Grenoble ZAC de Bonne

Grenoble ZAC de Bonne Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En

Plus en détail

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer

Plus en détail

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de gaz à effet de serre Banque Courtois A Description de la personne morale concernée : Raison sociale : BANQUE COURTOIS Sigle : BANQUE

Plus en détail

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Aménagement, nature MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Direction de l habitat, de l urbanisme et des paysages MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 REGLES DE CERTIFICATION MARQUE MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Audit énergétique du groupe scolaire et du foyer communal

CAHIER DES CHARGES Audit énergétique du groupe scolaire et du foyer communal CAHIER DES CHARGES Audit énergétique du groupe scolaire et du foyer communal et Etude de faisabilité d une chaufferie bois et d un réseau de chaleur Commune de St Etienne du Bois Page- 1 - Contenu 1 Audit

Plus en détail

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction

Plus en détail

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients

Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire

Plus en détail

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source

Plus en détail

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012 Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012 31 Mai 2012 Plan Présentation d Ad3e Présentation de la mission d audit énergétique Présentation des résultats Présentation d Ad3e Qui sommes

Plus en détail

Organisme Notifié N 1826 REFERENTIEL POUR LA CERTIFICATION DE CONFORMITE CE DES PLOTS RETROREFLECHISSANTS

Organisme Notifié N 1826 REFERENTIEL POUR LA CERTIFICATION DE CONFORMITE CE DES PLOTS RETROREFLECHISSANTS ASCQUER Référentiel pour la certification de conformité CE Organisme Notifié N 1826 REFERENTIEL POUR LA CERTIFICATION DE CONFORMITE CE DES PLOTS RETROREFLECHISSANTS EN 1463 partie 1 & 2 Révision n 2 Edition

Plus en détail

Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité

Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre

Plus en détail

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique

Plus en détail

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003 CONFERENCE DES SERVICES CANTONAUX DE L'ENERGIE KONFERENZ KANTONALER ENERGIEFACHSTELLEN Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air 1. Contexte Une série d'aides

Plus en détail

Rapport d'audit étape 2

Rapport d'audit étape 2 Rapport d'audit étape 2 Numéro d'affaire: Nom de l'organisme : CMA 76 Type d'audit : audit de renouvellement Remarques sur l'audit Normes de référence : Autres documents ISO 9001 : 2008 Documents du système

Plus en détail

Atelier " Gestion des Configurations et CMDB "

Atelier  Gestion des Configurations et CMDB Atelier " Gestion des Configurations et CMDB " Président de séance : François MALISSART Mercredi 7 mars 2007 (Nantes) Bienvenue... Le thème : La Gestion des Configurations et la CMDB Le principe : Échanger

Plus en détail

Acquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage :

Acquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage : Acquisition d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES Maître de l'ouvrage : INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Etablissement public à caractère Scientifique et Technologique

Plus en détail

Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage

Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage Le contrat d exploitation de chauffage en copropriété La lecture d un contrat d exploitation de chauffage reste un exercice

Plus en détail

FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE

FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE Introduction Les PME sont confrontées à plusieurs difficultés dans leurs recherches de ressources adéquates pour

Plus en détail

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 1 Séminaire Bâtiment Durable: Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 21 octobre 2014 Bruxelles Environnement LA REGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB Alain BEULLENS, DPT CHAUFFAGE ET CLIM

Plus en détail

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5 Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

L individualisation des frais de chauffage

L individualisation des frais de chauffage L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir

Plus en détail

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Madame, Monsieur, Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Depuis plusieurs années, les trois Régions et l'etat fédéral ont travaillé au développement d'une procédure commune visant

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final

Plus en détail

SYNTHESE D INSPECTIONS

SYNTHESE D INSPECTIONS Direction de l Inspection et des Etablissements Département Inspection en Contrôle du Marché Unité Inspection des dispositifs médicaux SYNTHESE D INSPECTIONS THEME : Prothèses Dentaires Il importe de souligner

Plus en détail

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,

Plus en détail

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 I/ HISTORIQUE DE LA QUALITE La qualité est un souci permanent de l homme depuis longtemps. Jusqu au XIX ème siècle, c est l ère artisanale

Plus en détail

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

L assurance de la qualité à votre service

L assurance de la qualité à votre service Atelier L assurance de la qualité à votre service Présentation de Jean-Marie Richard 24 et 25 novembre Sujets Qu est-ce que l assurance de la qualité? Initiation aux concepts de l assurance de la qualité.

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments Audits énergétiques L efficacité énergétique dans les bâtiments Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer les performances énergétiques de votre bâtiment.

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

Certification de Systèmes de Management Recertification

Certification de Systèmes de Management Recertification Certification de Systèmes de Management Recertification Organisme CCTB SA Adresse 7, Impasse du Battoir CH-1845 Noville Représentant(e) Monsieur Stephan Grangier Référentiel(s) ISO 9001:2008 N certificat(s)

Plus en détail

COMPTE RENDU DE MESURES ACOUSTIQUES. Audibilité sirène PPI Presqu'île d' AMBES

COMPTE RENDU DE MESURES ACOUSTIQUES. Audibilité sirène PPI Presqu'île d' AMBES Analyse vibratoire et pulsatoire API 618 Systèmes de simulation Mesures et études acoustiques des réseaux de compresseurs et de pompes d écoulement de fluides Détermination des traitements Optimisation

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail