LES INDUSTRIES DE FABRICATION ET DE TRANSFORMATION DU PAPIER ET DU CARTON AINSI QUE LES INDUSTRIES GRAPHIQUES
|
|
- Bruno Michaud
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Situation environnementale des entreprises LES INDUSTRIES DE FABRICATION ET DE TRANSFORMATION DU PAPIER ET DU CARTON AINSI QUE LES Avril 2007 pour le compte de la Direction Générale des Ressources naturelles et de l Environnement INSTITUT DE CONSEIL ET D'ETUDES EN DEVELOPPEMENT DURABLE ASBL Boulevard Frère Orban, 4 à 5000 NAMUR Tél : Fax : icedd@icedd.be
2
3 TABLE DES MATIERES 1. L aperçu du secteur Bref historique Et le papier est né Petite histoire de l imprimerie Historique récent de l industrie du papier en Wallonie Les activités du secteur Industrie du papier et du carton Edition et imprimerie Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques L emploi et les établissements L évolution de l emploi La répartition de l emploi par sous-secteur Le nombre et la taille des établissements Répartition de l emploi par province La valeur ajoutée L évolution de la valeur ajoutée La productivité Les exportations Les investissements Les investissements totaux Les investissements environnementaux Les enjeux du secteur en matière de développement durable Les enjeux économiques Les enjeux sociaux Les enjeux environnementaux Les procédés La fabrication de la pâte à papier La sélection des matières premières La cuisson Le lavage Le blanchiment de la pâte Le séchage Le recyclage des déchets de papiers La fabrication du papier et du carton La préparation de la pâte et le raffinage... 40
4 Les circuits de tête de machine La partie humide Les presses La sécherie ou partie sèche L enduction Les apprêts La finition Les contrôles L impression La préparation de la forme imprimante L offset L héliogravure La flexographie La sérigraphie La finition La pliure Le brochage La reliure La transformation Le découpage Le pliage et collage La production de produits auto-adhésifs Les inputs Les consommations de matières premières Le flux de matériaux La demande de matières premières estimée Le transport des matières premières La consommation finale d énergie L évolution de la consommation énergétique finale L évolution de la consommation énergétique finale par sous-secteur La consommation énergétique finale par vecteur L intensité énergétique Les consommations d eau L évolution des volumes consommés L évolution des usages de l eau L évolution par sources d approvisionnement L évolution des volumes d eau consommés par sous-secteur Les outputs La production et les produits fabriqués...79
5 La pâte à papier Le papier La production par sous-secteur Le transport des produits Les émissions atmosphériques Les gaz à effet de serre Les polluants acidifiants Les polluants photochimiques Les émissions de métaux lourds Les polluants organiques persistants Les poussières (PM 10) Les odeurs Les rejets dans l eau Les volumes d eaux usées déversées La charge polluante totale L identification de la charge Les modes de déversements Les déchets Le gisement du secteur Les volumes de déchets dangereux Les sous-secteurs générateurs L évolution de la gestion des déchets du secteur Les actions intégrées de management des inputs et des outputs Les systèmes de management environnemental Les conventions environnementales Les mesures réglementaires La directive IPPC La directive Seveso II La directive relative à la responsabilité environnementale La directive relative à l étude d impact sur l environnement Conclusions La situation du secteur L évolution des inputs et outputs du secteur...130
6 LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 - Ventilation en sous-secteurs et activités des industries papetières et graphiques selon de la nomenclature NACE rev Tableau 2 - Positionnement de l emploi en 2003 pour le secteur papetier et graphique Tableau 3 - Répartition des sièges d exploitation et de l'emploi selon leur taille données Tableau 4 - Répartition par province de l emploi dans les industries papetières et graphiques en Tableau 5.- Positionnement du secteur en terme d investissements en Tableau 6 Caractéristiques des différents procédés de fabrication de pâte à papier Tableau 7 Principales caractéristiques des procédés d impression les plus courants Tableau 8 - Catégories de matière première entrant dans la fabrication des encres d'impression Tableau 9 - Liste indicative des polluants suceptibles d'être émis dans l'air par les industries graphiques et papetières visées par l'annexe 1 de la directive IPPC Tableau 10 - Liste indicative des polluants suceptibles d'être émis dans l eau par les industries graphiques et papetières visées par l'annexe 1 de la directive IPPC Tableau 11 - Liste des documents BREFS relatifs à l industrie papetière et graphique, mars Tableau 12 - Liste des activités des industries papetières et graphiques visées par le E-PRTR
7 LISTE DES FIGURES Figure 1 Histoire de la fabrication du papier et du carton... 9 Figure 2 - Consommation totale du secteur papier et production de pâte à papier en Wallonie Figure 3 - La filière du secteur du papier, carton, édition et imprimerie en Wallonie Figure 4.- Evolution de l emploi dans les industries papetières et graphiques ( ) Figure 5.- Répartition de l emploi par sous-secteur NACE en Figure 6 - Evolution de la valeur ajoutée brute aux prix de base - à prix courants des industries papetières et graphiques wallonnes ( ) Figure 7.- Evolution de la productivité des industries papetières et graphiques et de l industrie wallonne ( ) Figure 8.- Evolution des exportations des industries papetières et graphiques ( ) Figure 9.- Evolution des investissements de l industrie du papier, carton, édition, imprimerie et reproduction ( ) Figure 10 - Les quatre variantes de la chaîne graphique Figure 11 Principe du procédé offset Figure 12 - Schéma d une presse rotative Figure 13 Utilisations industrielles du bois Figure 14. Evolution du taux d incorporation de vieux papiers dans l industrie papetière belge Figure 15. Pyramide du recyclage du papier Figure 16. Consommation de vieux papiers en Belgique de 1990 à Figure 17 - Filière du papier Figure 18 - Evolution de la consommation énergétique des industries papetières et graphiques ( ) Figure 19 - Evolution de la consommation d énergie par sous-secteur en PJ ( ) Figure 20.- Evolution de la consommation énergétique des industries papetières et graphiques entre 1993 et Figure 21 - Intensité énergétique des industries papetières et graphiques ( ) Figure 22 - Evolution de la consommation d'eau des industries papetières et graphiques wallonnes ( ) Figure 23 - Evolution des volumes d eau consommés par les industries papetières et graphiques wallonnes par type d utilisation ( ) Figure 24 - Evolution des volumes d eau consommés par les industries papetières et graphiques wallonnes par source d approvisionnement ( ) Figure 25 - Evolution de la consommation d eau par sous-secteur et des indices de production ( ) Figure 26 - Evolution de la production de pâte à papier en Wallonie ( ) Figure 27 - Evolution de la production de papier wallonne entre 1990 et Figure 28 Evolution des installations de production de pâte à papier et de papier en Wallonie entre 1985 et Figure 29 - Evolution désaisonnalisée de la production des secteurs NACE 21 et 22 ( ) Figure 30 - Evolution des émissions de gaz à effet de serre des industries papetières et graphiques ( )... 85
8 Figure 31 - Evolution des émissions de CO2 et de l indice de production de la première transformation du papier ( ) Figure 32 - Evolution des émissions de polluants acidifiants des industries papetières et graphiques ( ) Figure 33 - Evolution des émissions de SO 2 et NO x et de l indice de production ( ) Figure 34.- Evolution des émissions de polluants photochimiques des industries papetières et graphiques ( ) Figure 35 - Evolution des émissions de CO et COVNM et production du secteur sous la forme d indice ( ) Figure 36.- Evolution des émissions de métaux lourds des industries papetières et graphiques ( ) Figure 37 - Evolution des volumes d eau déversés par les industries papetières et graphiques et de l indice de production ( ) Figure 38 - Evolutions de la charge totale déversée par les industries papetières et graphiques et de l indice de production ( ) Figure 39 - Évolution de la composition de la charge polluante des rejets d'eaux usées des industries papetières et graphiques wallonnes ( ) Figure 40 - Evolution des modes de déversement et de la charge évaluée en UCP en provenance des industries papetières et graphiques ( ) Figure 41- Evolution du volume estimé de déchets générés et de l indice dessaisonnalisé de la production ( ) Figure 42 - Evolution des volumes de déchets dangereux estimés par les industries papetières et graphiques entre 1997 et Figure 43 - Evolution des quantités de déchets générés par sous-secteurs entre 1997 et Figure 44 - Evolution des types de traitement appliqués aux déchets des industries papetières et graphiques entre 1997 et Figure 45 - Vue d'ensemble des industries papetières et graphiques en Figure 46 - Evolution des inputs et outputs d'eau des industries papetières et graphiques ( ) Figure 47 Evolution de la production et des volumes de déchets générés par les industries papetières et graphiques entre 1995 et Figure 48 - Evolution de la consommation d'énergie finale, de la production et des émissions de GES et de polluants acidifiants des industries papetières et graphiques entre 1993 et Figure 49 - Evolution de l indice de production, des émissions de polluants photochimiques et de COV des industries papetières et graphiques entre 1993 et
9 1. L aperçu du secteur L aperçu du secteur 1.1. Bref historique Et le papier est né 1 Techniquement, les papiers et cartons sont des feutres de fibres végétales cellulosiques, comportant éventuellement d'autres matières. Le papier se distingue du carton par sa finesse. On ne parle de carton qu à partir d un grammage supérieur à 170 gr/m². Ce dernier se présente généralement sous formes de feuilles semi-rigides ou rigides, de deux feuilles planes enveloppant une feuille ondulée ou encore en masse pour effectuer des moulages. Des premières découvertes chinoises à la production en continu du XIX ème siècle, le papier a puisé ses origines à travers de nombreux pays et sur une période longue de près de dix-sept siècles : Figure 1 Histoire de la fabrication du papier et du carton Source La fédération française du cartonnage, 2005 L'industrie du papier est issue de techniques chinoises très anciennes. Le premier feutre de fibres en feuilles minces a en effet été élaboré par les chinois. En 105 après.jc, le chinois Tsaï-Lun, Ministre de l agriculture, élabore un produit à partir d'une pâte aqueuse de fibres de chanvre et d'écorce de mûrier et de filet qu'il étale en couches minces pour fabriquer du papier. Il s'est inspiré des guêpes qui édifiaient des structures en carton à partir de fibres végétales. Progressivement, le procédé s'étendit à l'utilisation d'autres fibres végétales, issues notamment du recyclage de vieux tissus et à celle de fibres de bambou et fut transmis au cours du VIIème aux Japonais puis au VIIIème aux Mongols, aux Perses et aux Arabes. Par l'intermédiaire de ces derniers, il pénétra en Espagne peu après l'an C'est près de Cordoue, puis Séville, qu'apparaissent les premiers moulins à papier en Europe. Notons que le Missel de Silos est le plus ancien document connu élaboré sur papier créé en Europe. Le bambou est alors complètement remplacé par la seule transformation de veilles étoffes. Vers 1250, sont installés à leur tour les premiers moulins italiens à Fabriano mais ce n'est qu au 14ème siècle que sont construits les premiers moulins à papier français : à Troyes (1348) et Essones (1354) et Saint Cloud (1376). 1 Données issues de la fédération française du cartonnage (cf. site internet : et de Copacel - Confédération française de l industrie des papiers, cartons et celluloses (cf. site internet : Rapport Papier 2007 ok.doc/ Institut Wallon asbl 9/132
10 L aperçu du secteur Les premières installations de production de papier se multiplièrent dans de nombreux pays. Mais l'europe dont les besoins restaient limités, demeura longtemps attachée aux techniques très anciennes qu'étaient les peaux finement traitées comme le parchemin (peau de mouton) et le vélin (peau ultra-fine de veau mort né). Peu à peu pourtant cette nouvelle industrie se développe partout en Europe et l invention de l imprimerie par Gutenberg, en 1445, lui donne l impulsion nécessaire à son développement. Jusqu au début du XVIIIème siècle, le papier est fabriqué à la main. Les feuilles sont produites une à une à la forme, ce qui limite la quantité de papier produite. Avec l essor de l imprimerie, le besoin de produire davantage de papier - et moins cher devient impérieux. C est ainsi que va naître la célèbre machine à papier en continu de Louis-Nicolas Robert qui sera par la suite exploitée par Didot Saint- Léger. Le principe de la machine, qui suit les procédés de la fabrication du papier à la main, est relativement simple : on verse la pâte à papier déjà affinée dans une grande cuve, d où elle est déversée par une roue à écopes sur une toile métallique sans fin en rotation, animée d un branlement continu qui permet l égouttage de la pâte. La feuille en formation passe alors entre des cylindres de presse garnis de feutres, puis s enroule sur des bobines installées au bout de la machine. Vers 1850 apparaît la première machine à fabriquer le carton multi-couches. A la même époque, on dénombre plus de 300 machines en Angleterre, près de 250 en France et presque autant en Allemagne. Chacun de ces engins, quoique très étroit et très lent comparé aux machines modernes, était capable d assurer la production de 10 cuves traditionnelles desservies à la main. C est donc grâce à l invention de Louis-Nicolas Robert que le papier peut, depuis le début du XIXème siècle, être fabriqué en grande quantité et à prix moindre, ce qui a contribué au développement général de l industrie, de la diffusion des connaissances et du conditionnement des produits de consommation. Le recours aux fibres de bois à partir de cette époque a également contribué à la diffusion large du média «papier». Depuis, l industrie papetière a en effet su accompagner les mutations technologiques et sociologiques en innovant et en adaptant ses produits à la demande des consommateurs de papier. Au XXème siècle, des qualités nouvelles de papier ont été ainsi proposées pour répondre aux besoins toujours nouveaux de la clientèle : citons par exemple les papiers pour machines à écrire, le papier continu pour ordinateurs et imprimantes, les papiers spéciaux pour duplicateurs (carbone, photocopie...) Petite histoire de l imprimerie 2 Parallèlement au support qu est le papyrus, le parchemin ou le papier, les techniques de transmission du savoir ont elles aussi évolué au cours des siècles. C est ainsi que bien avant Gutenberg, plusieurs techniques se succèdent pour propager le savoir. Les Assyriens écrivent sur des tablettes d argile, les Égyptiens sur des rouleaux de papyrus et les Chinois sur des livres de bois et de soie. Les Romains adoptent le parchemin et emploient le livre non roulé reprenant la forme des tablettes. Plus facile d emploi, cette forme reçoit le nom de codex. L évolution de la tablette écrite vers la tablette gravée pour obtenir plusieurs exemplaires au moyen d une impression, apparaît en Chine dès le II eme siècle après J.-C. Gravées initialement dans la pierre, puis dans le bois, ces tablettes donnent naissance à la xylographie. Ce développement chinois, point 2 Imprimerie : la révolution numérique, Gérard Coste (EFPG), 31 mai 2005 Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 10/132
11 L aperçu du secteur de départ de l imprimerie, se répand largement en Occident dès le Moyen Âge, pour réaliser des livres tabellaires au détriment de la copie. Au début du XV e siècle, la xylographie permet des impressions feuille à feuille pour reproduire une iconographie essentiellement religieuse et imprimer des cartes à jouer ainsi que des calendriers. Pour graver en relief, le graveur évide les parties blanches et épargne le dessin laissé au niveau initial. Contrairement à la gravure en creux, c'est le relief qui reçoit l'encre, à la manière d'un tampon. La gravure en relief est encrée au rouleau, puis imprimée soit à la main, soit à l'aide d'une presse typographique, au plateau descendant à la verticale. L utilisation de plaques en métal gravées en creux, vers le milieu du XV e siècle, donne naissance à la taille-douce, réservée à l origine exclusivement à la reproduction d images. Il ne s'agit pas encore de typographie, puisque que ce procédé est en creux. Pendant plus de 400 ans, la typographie va régner sans partage pour reproduire des textes en s appuyant sur les caractères mobiles en plomb et en relief. Pour les illustrations, elle utilise des xylographies ou du métal gravé (cuivre ou zinc). Les xylographies restent très en vogue jusqu au XIX eme siècle car elles s insèrent facilement dans une forme typographique contenant du texte. Il faut attendre le XIX eme siècle pour que l'imprimerie connaisse sa première révolution depuis Gutenberg. Révolution mécanique d abord, avec l apparition de nouvelles presses à imprimer et des rotatives - révolution physico-chimique ensuite grâce aux travaux du physicien Nicéphore Niepce et de l'inventeur de la photographie Jacques Daguerre. Dans le même temps, la taille-douce renaît. Dès 1796, l'auteur dramatique allemand, Aloys Senefelder, qui cherche à reproduire ses textes, découvre un nouveau procédé : la lithographie qui utilise une pierre calcaire de Bavière comme forme imprimante ainsi que les propriétés de non miscibilité d une encre grasse hydrophobe et de l eau très hydrophile. La taille-douce et surtout la lithographie, vont connaître un essor considérable pour reproduire illustrations en couleur, affiches ou estampes. La révolution industrielle du XIX ème siècle favorise l émergence de l information et du savoir technique ou culturel, et entraîne le développement des techniques permettant d accroître sans cesse les vitesses de production d imprimés. Jusqu'à présent manuelle, la composition des textes devient mécanique avec l apparition de la lynotype en 1886 qui permet de composer du texte à partir d un clavier. Les recherches sur la chimie, les métaux et la lumière ainsi que les travaux de l'imprimeur Firmin Gillot ( ) débouchent sur de nouvelles techniques photomécaniques pour préparer des formes imprimantes à partir d images créées sur des films par photographie. Si Firmin Gillot créa en 1850 la panicographie, c'est son fils, Charles, qui en 1872 adapta le procédé au traitement d'images photographiques. Il mit au point plusieurs méthodes afin d'obtenir un effet de trame ou de grain. La technique du "guillotage" était ensuite appliquée pour graver le métal. Elle permit d'imprimer les photographies, connut un grand succès et prit parfois le nom de photogravure directe. Deux nouveaux procédés industriels utilisant ces techniques s ajoutent à la typographie qui, croyaiton, avait atteint la perfection en matière d impression : d'une part, l offset initié par l apparition d un cylindre blanchet sur la presse lithographique du constructeur Henri Voirin en 1879, est issu de la lithographie ; d'autre part, l héliogravure initiée par les travaux sur la photographie provient de la photogravure. Ces deux procédés vont s'imposer dès 1900, avant de supplanter totalement la typographie dans le dernier quart du XX ème siècle. Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 11/132
12 L aperçu du secteur Après 1945, l imprimerie doit une nouvelle fois faire face à une explosion du besoin en imprimés de toutes sortes. Le film et la photogravure deviennent à leur tour un goulet d étranglement pour les cadences de production. Récemment développé pour effectuer des calculs statistiques et complexes, l ordinateur introduit une nouvelle révolution. La photocomposeuse révolutionne les cadences pour obtenir des textes au début des années La publication assistée par ordinateur (PAO) pour acquérir des textes et des illustrations et pour préparer des formes imprimantes devient inéluctable dès les années 1980 avant de se transformer en prépresse puis gestion des flux numériques. La dernière décennie du XXème siècle voit la progression fulgurante d un nouveau média utilisant l électronique pour concevoir, supporter et diffuser la quasi-totalité de nos documents. Après la copie, le plomb, la photographie et le film - qui avaient tous la finalité d utiliser un papier plus que bimillénaire - une nouvelle révolution dans la diffusion du savoir et des informations s est engagée pouvant augurer de très sérieuses modifications dans les habitudes actuelles. Rien cependant ne peut affirmer que le papier est appelé à disparaître et que l'informatique supplante à jamais la cellulose Historique récent de l industrie du papier en Wallonie Les principales entreprises wallonnes du secteur, que ce soit de la pâte à papier ou du papier proprement dit, ont pour la plupart des histoires assez mouvementées: arrêts, faillites, pannes s y sont succédés. Cette succession d évènements n est pas sans conséquence sur les impacts environnementaux du secteur, ainsi que le montre le graphique ci-dessous, montrant l évolution de la consommation d énergie du secteur et la production de pâte à papier en Wallonie en fonction des arrêts, pannes, faillites etc : reprise d'activité d'intermills Steinbach 160 et reprise du site du Pont de Warche 140 par Sybille Dale 1990= : 60 inauguration de l'usine de papier couché de la Cellulose, 40 faillite d'intermills Steinbach et d'intermills 20 Pont-de-Warche 1994: début de production de papier en plus de la pâte chez Burgo. 1993: faillite de la Cellulose des Ardennes : reprise de Steinbach Intermills par le Groupe Gilberti 1994: reprise de la Cellulose par Cellardennes puis par Burgo Ardennes : augmentation de la capacité de production de pâte et de papier chez Burgo 1998: arrêt de l'usine de pâte de Burgo durant 58 jours Production de pâte à papier Consommation du secteur pâte à papier, papier et imprimerie Figure 2 - Consommation totale du secteur papier et production de pâte à papier en Wallonie Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 12/132
13 L aperçu du secteur 1.2. Les activités du secteur La filière papier est intimement liée à la filière bois. A l heure actuelle, sous le vocable filière bois sont regroupées une grande variété d activités économiques qui ont pour point commun la matière première renouvelable travaillée : le bois. Schématiquement, la filière du bois se compose de quatre étapes : en amont la production sylvicole et son exploitation, la première transformation du bois, la deuxième transformation du bois et en aval la commercialisation. La papeterie et l emploi de bois en tant que combustible constituent des débouchés importants de la matière première bois en provenance de l exploitation forestière ou de la première transformation. La Figure 3 ci-dessous schématise la filière papier. Industrie du bois Industrie papetière et graphiques Sylviculture Première transformation Fabrication de la pâte à papier Fabrication du papier et carton Seconde transformation du papier et carton Fabrication d articles en papier et carton Industries graphiques Edition Imprimerie et activités annexes Reproduction d enregistrements Industrie Consommate ur final Autres secteurs économiques Amont Secteur Aval Figure 3 - La filière du secteur du papier, carton, édition et imprimerie en Wallonie Source : DGRNE ICEDD 2005 Le secteur des industries papetières et graphiques dont il est question dans ce document, englobe les différents stades de la production, de la transformation du papier et du carton ainsi que les activités industrielles liées aux usages graphiques de ce support. Le secteur défini selon la nomenclature NACE rev.1.1 se présente comme suit : Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 13/132
14 L aperçu du secteur Industrie du papier et du carton, édition et imprimerie Sous-section DE Industrie du papier et du carton 21 Fabrication de pâte à papier, de papier et de carton 21.1 Fabrication d articles en papier et en carton 21.2 Edition et imprimerie 22 Edition 22.1 Imprimerie 22.2 Reproduction et enregistrement 22.3 Tableau 1 - Ventilation en sous-secteurs et activités des industries papetières et graphiques selon de la nomenclature NACE rev Source : Règlement 29/2002/CE Ce tableau montre que la nomenclature NACE rev 1.1 distingue 2 sous-secteurs : le premier regroupe les activités de première et seconde transformation sous la forme de deux groupes d activités distincts : la fabrication de la pâte, du papier et du carton d une part et la fabrication des articles en papier et carton d autre part. Le second sous-secteurs rassemble sous forme de 3 groupes d activités, l ensemble des activités qui utilisent essentiellement le papier voire d autres matériaux mais dans une moindre mesure comme support graphique. Il s agit de l imprimerie, de l édition et de la reproduction et de l enregistrement. Les activités situées en amont du secteur sont la sylviculture et l exploitation forestière et les scieries qui alimentent le secteur en sa matière première principale: le bois d éclaircie ou les déchets de scierie que sont les dosses, les délignures ou les copeaux. Le secteur de la gestion des déchets peut également fournir de la matière première au secteur sous la forme de papier à recycler mais c est peu le cas en Wallonie Industrie du papier et du carton Le premier sous-secteur des industries papetières et graphiques regroupe donc les activités de première et seconde transformation du papier Fabrication de pâte à papier, de papier et de carton La fabrication de pâte à papier, de papier et de carton (NACE 21.1) recouvre en Wallonie un petit nombre d établissements dont une seule entreprise de grande taille qui produit également de la pâte à papier (production intégrée). La manufacture de papier peut en effet soit simplement utiliser de la pâte fabriquée ailleurs (usines non intégrées), soit intégrer la fabrication de la pâte sur le même site (usines intégrées).dans cette usine, la fabrication de la pâte et celle du papier couché se font sur le même site, mais la majorité de la pâte à papier qu elle fabrique (environ deux tiers) est vendue ensuite sur le marché, notamment à l'étranger. Le tiers restant de la production de pâte est intégrée à la production sur site de papier. Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 14/132
15 L aperçu du secteur Pour le secteur de la fabrication de la pâte à papier, qui utilise le bois comme matière première, des liens étroits avec le secteur de la foresterie sont essentiels. Ces liens peuvent revêtir plusieurs formes: ils vont du simple achat de grumes, de bois d'éclaircie ou de copeaux de bois et de déchets de scieries, à l'exploitation de surfaces forestières appartenant à l'entreprise. Par suite de durées de rotation très longues entre le moment de la plantation et l'abattage des arbres, une planification à long terme est indispensable pour cette exploitation. En dehors de l usine de pâte intégrée mentionnée ci-dessus, les usines de papier wallonnes sont non intégrées, c-à-d, qu elles produisent leur papier à partir de pâte (pâte commerciale ou marchande) approvisionnée de l'extérieur. Ils dépendent presque tous de groupes étrangers : un constat qui n'a rien d'étonnant dans un contexte de mondialisation, de surcroît dans un secteur qui s'avère particulièrement capitalistique. Ces établissements sont également principalement des grandes entreprises (plus de 50 employés). Les établissements wallons du secteur des papiers et cartons, réalisent chacun des produits spécifiques et destinés à des applications très variées. Tellement variées que tous ces produits sont, "in fine", non concurrents entre eux. Par exemple : une PME d'origine belge, est spécialisée dans la fabrication d'un produit composé de fibres de cellulose, imprégnées de latex, et destiné, en particulier, aux secteurs de la chaussure et de la maroquinerie. une filiale suédoise, se concentre sur la production de mouchoirs en boîtes et de papiers hygiéniques haut de gamme. une filiale d un groupe français, réalise des plaques de cartons imprégnées de bitume, à usage du secteur de la construction. une filiale d un groupe italien, concentre ses activités sur les domaines des papiers "couchés une face" (pour étiquettes, notamment) et des papiers graphiques spéciaux haut de gamme. un groupe finlandais a acquis et reconverti, voici quelques années, une ancienne usine de papier couché une face dans la production de "non-tissés" (revêtements muraux, supports de broderie, matériaux anti-condensation et destinés à la filtration). deux établissements d un même groupe franco-anglais sont spécialisés dans la production de papiers autocopiants pour factures, notes d'envoi, bordereaux, etc. une filiale d un autre groupe italien se concentre sur la production de papiers couchés haut de gamme (édition, publicité, posters,...). Le marché du papier est complètement mondialisé : la Belgique importait en % de la consommation de papier et exportait 80% de sa production. D'où l'extrême spécialisation. Il en va ainsi pour les 9 producteurs actifs en Wallonie Fabrication d articles en papier et carton La fabrication d articles en papier et carton (NACE 21.2) regroupe différents types d entreprises comme des producteurs de cartons ondulés, de boîtes en carton ondulé, de boîtes pliantes, de cartonnages en tous genres, de sacs à grandes, petites et moyennes contenances, d emballages flexibles, d enveloppes,. Pour la production de ces produits, différents procédés sont utilisés et 3 COBELPA, Annual Statistics 2004 Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 15/132
16 L aperçu du secteur dans certains cas les produits sont imprimés. Ses différentes spécialités présentes sur le territoire wallon sont par ordre d importance (en nombre d établissements) : la fabrication de carton ondulé et d'emballages en papier ou en carton (NACE 21.21) la fabrication des articles de papeterie (NACE 21.23) la fabrication des articles en papier à usage sanitaire ou domestique (NACE 21.22) la fabrication d'autres articles en papier ou en carton (NACE 21.25) la fabrication de papiers peints (NACE 21.24) Parmi les activités de transformation du papier et carton, les plus développées sont en Wallonie comme dans toute l Europe celles de fabrication d emballage. Environ 2/3 de la main d œuvre de la transformation du papier et carton y est occupée. La fabrication d articles sanitaires et domestiques et d articles de papeterie viennent ensuite loin derrière Edition et imprimerie Le second sous-secteur que compte l industrie papetière et graphique wallonne regroupe l ensemble des métiers graphiques et s articule comme suit : L édition (NACE 22.1) peut se diviser, en Wallonie, en différents secteurs (présentés par ordre d importance): L édition de journaux (NACE 22.12) L édition de revues et périodiques (NACE 22.13) l édition de livres (NACE 22.11) l édition d'enregistrements sonores (NACE 22.14) d autres activités d'édition (NACE 22.15) La grande majorité de ce secteur est composée de micro-entreprises (moins de 10 employés par établissement). L imprimerie et autres activités annexes (NACE 22.2) peut se diviser, en Wallonie, en : autres activités d imprimerie (NACE 22.22) la composition et la photogravure (NACE 22.24) autres activités annexes à l'imprimerie (NACE 22.25) impression des journaux (NACE 22.21) reliure et finition (NACE 22.23) L activité la plus largement répandue au sein des industries graphiques est l impression. Les établissements ayant pour activité principale le pré-presse, la finition ou d autres activités annexes à l imprimerie ne représentent que 1/3 de la population totale des employeurs graphiques. Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 16/132
17 L aperçu du secteur Ces sous-secteur est également très morcelé avec une prépondérance des PME et une forte présence de micro entreprises. Les statistiques PRODCOM permettent de caractériser plus finement les activités d impression par le bais des types d imprimés réalisés. En Belgique comme en Europe, l imprimé publicitaire domine suivi par les journaux et périodiques et les livres et brochures. Enfin, le sous-secteur de la reproduction et de l enregistrement (NACE 22.3) ne compte en Wallonie qu un seul petit établissement spécialisé dans la reproduction d'enregistrements sonores (NACE 22.31). Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 17/132
18 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques 2. Les tendances du marché et les statistiques socioéconomiques Cette section présente le poids socioéconomique des industries papetières et graphiques. Elle analyse les données concernant l emploi, les établissements, la valeur ajoutée, les exportations et les investissements du secteur. Un bref aperçu des enjeux économiques et environnementaux auxquels sont confrontées les industries papetières et graphiques est présenté à la fin de cette section L emploi et les établissements Les industries papetières et graphiques wallonnes comptaient, en 2003, travailleurs et 599 établissements. En 2003, le secteur est le sixième pourvoyeur d emplois industriels de Wallonie derrière la métallurgie, l industrie des machines et des équipements, la chimie, l industrie alimentaire et celle de la fabrication de minéraux non métalliques. Part de l'emploi des industries papetières et graphiques wallonnes en 2003 Wallonie Belgique Europe Industrie Industries papetières et graphiques Population active manufacturière 6,18% 0,68% 21% 0,37% Tableau 2 - Positionnement de l emploi en 2003 pour le secteur papetier et graphique Sources : IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS 2006, Ministère fédéral de l Emploi et du Travail 2006 et Eurostat 2006 Le secteur se compose de différentes banches d activités. En Région wallonne, leur répartition par ordre d importance se fait comme suit : l imprimerie est le premier employeur du secteur avec plus de 3700 salariés en 2003, la fabrication de pâte, de papier et de carton vient ensuite avec près de 2400 personnes occupées. En troisième et quatrième positions, se classent la transformation du papier et du carton qui employait un peu moins de 1700 salariés en 2003 et l édition qui occupait quant à elle un peu moins de 1600 personnes. Les industries papetières et graphiques wallonnes représentent environ 6,2% de l emploi industriel wallon et 0,7% de la population active en Wallonie. Elles représentent également près de 21% de l emploi total de l industrie papetière et graphique belge et environ 0,4% de celui de l industrie européenne du même secteur, ce dernier se chiffrant à personnes en S agissant plus particulièrement de l industrie papetière (NACE 21), les entreprises wallonnes représentent en 2003 avec leurs quelques emplois, 0,05% de l emploi de l industrie papetière européenne qui compte emplois. Les données également disponibles pour les industries graphiques (NACE 22), permettent de situer la part de l emploi wallon à quelques 0,3% de l emploi de l industrie graphique européenne dont le volume atteignait personnes en D après Intergraf, la fédération européenne des industries graphiques, ce chiffre est largement sous estimé du fait de l exclusion des statistiques Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 18/132
19 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques officielles des entreprises de moins de 10 personnes. Le chiffre réel est donc évalué au double du chiffre présenté ci-dessus L évolution de l emploi La Figure 4 montre l évolution de l emploi de 1995 à 2003 et sa part dans le total de l industrie % % Nombre de postes de travail Emploi du secteur du papier, carton, édition et imprimerie Part de l'emploi dans l'industrie 6% 5% 4% 3% 2% 1% Part du total dans l'industrie 0 0% Année Figure 4.- Evolution de l emploi dans les industries papetières et graphiques ( ) Source : IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS 2006 Durant la période , l emploi direct dans le secteur qui atteint en moyenne postes de travail ainsi que sa part dans le total de l industrie wallonne (6,5%) n ont que faiblement régressés. Si on compare l évolution de l emploi des industries papetières et graphiques avec celle de l emploi industriel en général, on constate qu au cours de la période étudiée, l emploi industriel wallon a baissé de 6,3% alors que dans le même temps le volume d emploi des industries papetières et graphiques régressait de 14,6%. En part relative, cela se traduit par une baisse de 6,8 à 6,2% de la part de l'industries papetières et graphiques dans l emploi total industriel. La baisse de l emploi du secteur est due comme pour les autres secteurs économiques à la conjoncture pour les dernières années ( ), aux mouvements de rationalisation de l industrie enregistrés depuis le milieu des années 70, et à l'augmentation de la productivité de l'emploi par l optimisation de la mécanisation. Le développement de la sous-traitance due au recentrage des activités sur le core business n est pas non plus étranger pour certains acteurs du secteur à cette baisse de la masse salariale La répartition de l emploi par sous-secteur La Figure 5 fait apparaître la répartition de l emploi par activité NACE rev. 1 en En terme d emplois, l imprimerie et ses activités annexes apparaît comme la principale activité du secteur en Wallonie (40%), suivi par la fabrication de pâte à papier, de papier et de carton (25%), la Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 19/132
20 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques fabrication d articles en papier ou en carton (18%) et enfin l édition (17%). La reproduction d enregistrements est en Wallonie une activité tout à fait marginale à l heure actuelle Imprimerie et activités annexes Fabrication de pâte à papier, de papier et de carton Fabrication d'articles en papier ou en carton Edition Reproduction d'enregistrement 0% 18% 17% 25% 40% 0% 10% 20% 30% 40% 50% Figure 5.- Répartition de l emploi par sous-secteur NACE en 2003 Source : IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS 2006 Selon les données 2003 de l ONSS, la répartition des établissements 4 par activité est la suivante : 2% des établissements du secteur produisent de la pâte à papier, du papier et du carton, 7% des établissements fabriquent des articles en papier ou en carton, 26% des établissements font de l édition et enfin 65% des établissements sont des imprimeries. L industrie de la pâte à papier, du papier et du carton se caractérise par des sièges d exploitation de grande taille alors que les activités d imprimerie et de fabrication d articles en papier et carton sont surtout le fait de PMEs. Les industries graphiques de petites et moyennes tailles travaillent principalement au niveau local alors que les firmes de plus grande taille ont une clientèle peu diversifiée et internationale. Par rapport aux autres régions du pays, c est la fabrication de pâte à papier, de papier et de carton où domine la Wallonie : elle y intervient pour 54,5% des emplois du secteur belge. Pour les autres soussecteurs, la part wallonne des emplois se situe aux alentours de 15 à 20%. En terme de croissance des emplois, les sous-secteurs porteurs au cours de la période 1993 à 2003 en Wallonie sont, par ordre de croissance, l édition (+114%) et la fabrication de pâte, de papier et de carton (+30%). A contrario, les sous-secteurs qui enregistrent les baisses de postes les plus importantes au cours de la même période sont les activités de fabrication d articles en papier et carton et l imprimerie. C est ainsi que les activités de transformation du papier présentent un repli de leur emploi qui se chiffre à 54% sur la période L imprimerie voit également ses effectifs diminuer de même que son nombre d établissements. Elle a perdu près d un quart de ses salariés au cours de la période L établissement ne doit pas être confondu avec l entreprise, entité juridique propre composée de plusieurs établissements (sièges d exploitation, sièges commerciaux et sièges sociaux). Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 20/132
21 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques Selon le rapport du 8 mars 2004 du Conseil Central de l Economie, les industries graphiques signalent que le secteur souffre d un manque de travailleurs qualifiés notamment des imprimeurs et des finisseurs Le nombre et la taille des établissements En Wallonie, les industries papetières et graphiques sont un secteur dual. Concentré et fortement internationalisé en ce qui concerne les activités de fabrication de pâte, de papier et de carton, il est par ailleurs surtout constitué de PME et de micro entreprises 5 au niveau des activités de transformation de papier et carton mais également au niveau de l édition et de l imprimerie. Le Tableau 3 présente la répartition de l emploi (en postes de travail) et du nombre d établissements selon leur taille en Taille des établissements Nombre d établissements Postes de travail % emploi % établissement > personnes 0 0 0% 0,0% personnes % 0,3% personnes % 1% personnes % 2% personnes % 3% personnes % 9% personnes % 11% > 10 personnes % 74% Total en % 100% Tableau 3 - Répartition des sièges d exploitation et de l'emploi selon leur taille données 2003 Source IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS PME= Petite et moyenne entreprises La Commission a adopté le 6 mai 2003 une nouvelle recommandation 2003/361/CE concernant la définition des micro-entreprises ainsi que des petites et des moyennes entreprises européennes qui remplace la Recommandation 96/280/CE à partir du 1er janvier Seuils applicables aux PME, petites entreprises et micro entreprises Catégorie entreprise moyenne < 250 petite entreprise < 50 micro-entreprise < 10 Effectifs (inchangés) Chiffre d'affaires = 50 millions d'euros (en 1996: 40 millions) = 10 millions d'euros (en 1996: 7 millions) = 2 millions d'euros (précédemment non défini) Ou total du Bilan = 43 millions d'euros (en 1996: 27 millions) = 10 millions d'euros (en 1996: 5 millions) = 2 millions d'euros (précédemment non défini) Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 21/132
22 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques En 2003, 32% des emplois du secteur sont concentrés dans 7 établissements occupant 200 personnes et plus. Ce sont les fabricants de pâte et de papier. Ces activités de fabrication de pâte et de papier et carton, hautement capitalistiques, nécessitent des sites de production importants. Une nouvelle ligne de production de papier/carton représente un investissement de 250 à 600 millions d euros qui se rentabilise sur une période de 20 à 30 ans. Ces besoins importants en capitaux expliquent notamment le caractère hautement internationalisé de ces activités. C est ainsi que presque toutes les entreprises wallonnes développant ce type d activités font partie de groupes internationaux. Ces activités sont par ailleurs tout à fait internationalisées tant au niveau de leur approvisionnement en matières premières qu au niveau des marchés où elles écoulent ses produits. A l exception d une ou deux entreprises de grande taille, les transformateurs de papier wallons sont essentiellement des PMEs. De même, les imprimeurs et les maisons d édition sont elles aussi en grande majorité des PMEs ou même des petites voire micro entreprises. On est donc face à un tissu contrasté composé d une part d un nombre limité de grands établissements spécialisés dans la production de pâte à papier, du papier et du carton et d autre part d une multitude de PME et TPE actives dans les domaines de la transformation du papier et du carton voire de l imprimerie et de l édition. Sur les 599 établissements que comptait le secteur en 2003, 74% emploient moins de 10 personnes. Pour le secteur dans son ensemble, le nombre moyen de postes de travail par établissement est de 15,5. Quoique la tendance soit à une légère réduction, ce secteur n a pas connu depuis 1995 de mutation importante de sa structure globale Répartition de l emploi par province Le Tableau 4 montre la répartition de l emploi par province en Province Nombre d emploi % de l emploi du secteur Brabant wallon % Hainaut % Liège % Luxembourg % Namur 725 9% Wallonie % Tableau 4 - Répartition par province de l emploi dans les industries papetières et graphiques en 2003 Source IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS 2006 En 2003, le secteur dans son ensemble emploie directement 9314 personnes réparties comme suit : le Hainaut en occupe 38%, Liège 26%, le Brabant Wallon en emploie 16%, Namur 9% et la province du Luxembourg en utilise 11%. L importance première du Hainaut s explique notamment par la présence de nombreuses imprimeries parmi les plus importantes du secteur, d un établissement de fabrication de papier et de carton employant plus de 500 personnes et de plusieurs transformateurs de papier et de carton dotés d au moins 100 salariés. Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 22/132
23 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques La seconde place occupée par la province de Liège découle du poids de Verviers et de Malmédy dans le secteur du papier. L ancienne cité lainière, abrite trois entreprises productrices de papier et c est à Malmédy, ville riche d une longue tradition papetière que sont situés 2 autres sites de production de papier. La part de la province du Luxembourg est en grande partie atteinte grâce à la présence sur son territoire de la seule usine de pâte à papier et de papier intégrée existante en Wallonie qui emploie environ 750 personnes. Cette installation est située au cœur même des forêts wallonnes au plus près de sa matière première principale : le bois La valeur ajoutée Les industries papetières et graphiques sont le septième secteur industriel wallon générateur de valeur ajoutée sur les onze 6 définis dans le cadre de cette étude. Il se place derrière la chimie, l industrie d équipements, la métallurgie, la production d énergie, l alimentaire et le secteur des minéraux non métalliques. Leur apport à la valeur ajoutée de l industrie wallonne en 2003 atteint 6,9% L évolution de la valeur ajoutée La Figure 6 montre l évolution de la valeur ajoutée des industries papetières et graphiques wallonnes et de leur part dans celle de l industrie wallonne de 1995 à Valeur ajoutée en mio. d'euros Valeur ajoutée du secteur Part de la valeur ajoutée de l'industrie manufacturière Années 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0% Part dans le total de l'industrie Figure 6 - Evolution de la valeur ajoutée brute aux prix de base - à prix courants des industries papetières et graphiques wallonnes ( ). Source : Institut des Comptes Nationaux / Banque Nationale de Belgique Bois, textile, industrie extractive, équipement, minéraux non métalliques, production d énergie, chimie, métallurgie, alimentaire, papier, gestion des déchets Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 23/132
24 Les tendances du marché et les statistiques socio-économiques La valeur ajoutée a progressivement augmenté depuis 1996 pour atteindre environ 760 millions d euros en Cependant, l apport du secteur à la valeur ajoutée tant de l industrie qu au PIB wallon est resté presque constant de 1995 à 2003 gravitant respectivement autour de 6,7% et 1,2% La productivité La Figure 7 illustre l évolution de la productivité du secteur et de l industrie wallonne Euros/emploi Secteur du papier et imprimerie Industrie wallonne Années Figure 7.- Evolution de la productivité des industries papetières et graphiques et de l industrie wallonne ( ) Source : ICN/BNB 2006 et IWEPS sur base des statistiques décentralisées de l ONSS 2006 La productivité 7, mesurée en termes de valeur ajoutée par employé, a progressivement augmenté de 38% dans les industries papetières et graphiques wallonnes contre 21% dans l ensemble de l industrie wallonne sur la période En 2003, la productivité du secteur est 11% supérieure à celle de l industrie wallonne, ce qui indique que les industries papetières et graphiques wallonnes restent encore productives en Wallonie par rapport à d autres secteurs industriels de la Région Les exportations Les industries papetières et graphiques sont le septième secteur industriel exportateur de la Wallonie. Leurs ventes à l étranger atteignent en millions d euros. La contribution du secteur aux exportations industrielles représente 4,7% du total exporté par l industrie wallonne. Entre 1990 et 2003, la valeur des exportations est passée de 1,1 milliards d euros en 1990 à 1,3 milliards d euros en Il est important de souligner que ce ne sont pas toutes les industries qui ont besoin d un taux de croissance de la productivité élevé pour être compétitives. Pour certaines industries, c est la différentiation du produit (c.-àd. un produit possédant une caractéristique unique difficile à reproduire) qui constitue le facteur déterminant. Rapport Papier 2007 ok.doc ICEDD ASBL 24/132
L imprimerie numérique professionnelle et responsable.
L imprimerie numérique professionnelle et responsable. LE CONTEXTE Un monde de l imprimerie en profonde mutation Quoi de neuf depuis Gutenberg? Les Assyriens écrivaient sur des tablettes d argile, les
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailPRESENTATION PAPIER Avril 2011. Le papier, c est la vie!
PRESENTATION PAPIER Avril 2011 Le papier, c est la vie! Introduction Le papier est le facteur commun entre tous nos produits : de l'original à la copie, du fax à l'impression, du format A4 au grand format.
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailExplicatif acheteurs professionnels
Explicatif acheteurs professionnels DEFINITIONS Les cartouches compatibles et recyclées sont une alternative aux produits d origine. Elles ne sont pas développées par les fabricants d'imprimantes. Le
Plus en détailAnnexe 4. Activité économique et installations classées.
Annexe 4. Activité économique et installations classées. La nomenclature d'activités économique a été élaborée dans un cadre européen harmonisé, imposé par un Règlement (CEE) du Conseil (n 3037/90 du Conseil
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailGraisses MULTIS COMPLEX. La haute technologie au service d environnements industriels extrêmes
Graisses La haute technologie au service d environnements industriels extrêmes , le haut de gamme des graisses multi-fonctions n SHD Graisses synthétiques PAO Températures très basses à fortes Vitesses
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailChauffage à granulés de bois
0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLa Joconde. (1503-1506, 0,77x 0,53 m) de Léonard de Vinci TEMPS MODERNES
La Joconde (1503-1506, 0,77x 0,53 m) de Léonard de Vinci TEMPS MODERNES La Joconde de Léonard de Vinci est incontestablement le tableau le plus célèbre. Il est conservé au musée du Louvre à Paris et a
Plus en détailEnquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle
Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Vous pouvez répondre à ce questionnaire en vous connectant sur Internet avec le code ci-contre : http://enquetes.u-bordeaux.fr/orpea/lp2012/questionnaire.htm
Plus en détailThème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise
Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailPapier recyclé. Rapide. Préserver. Économique. Gestion des déchets PEFC. Rigoureux. Un monde durable. Plaques. Calage. Imprim Vert.
Sommaire Studio Édito. PAO 3 4 5 Impression Offset Créative Composition Réactif 6 Attentif Ligne Retiration Vernis acrylique Web to Print Impression Numérique Délais Mise en Coloré Pantone Qualité Couleurs
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailL énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge
L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux
Plus en détailChimie et physique informatiques
Chimie et physique informatiques 1 ère partie Information et ordinateurs 2 ème partie Programmation en Turbo Pascal 1 ère partie Information et ordinateurs Objectif de la 1 ère partie 1) Introduction 2)
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailL'âge industriel (XIXème siècle).
L'âge industriel (XIXème siècle). Introduction : A partir de la fin du XVIIIème siècle, un certain nombre de pays ont connu la plus profonde mutation que les sociétés humaines ont expérimenté : la révolution
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailLes plastiques en débat 2014
Les plastiques en débat 2014 Pratique Léger Astucieux Solide Transformable Indispensable Qualifié Utile Esthétique 3eD_college_LES_CAMPELIERES Collège Les Campelières 121 Chemin Campelières 06250 Mougins
Plus en détailL'AMIANTE : RÉGLEMENTATION
L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance
Plus en détailLA RELIURE OU LE FAÇONNAGE DES PRODUITS IMPRIMÉS
La reliure et les problèmes techniques liés à la PAO CAHIER 3 blues@cuk.ch Dans ce cahier No 3, mon but est de vous présenter des bases de reliure et de façonnage, ainsi que d aborder les problèmes techniques
Plus en détailCOURS D INDUSTRIES... Techniques d impression. Pascal Prévôt Fabien Rocher
COURS D INDUSTRIES......... G R A P H I Q U E S Techniques d impression Pascal Prévôt Fabien Rocher LES FORMATS DE PAPIER LES FORMATS DE PAPIER Introduction L imprimeur utilise du papier en bobine ou en
Plus en détailDossier de presse PRESENTATION DE L INDICE ECOLOGIQUE DES MAGAZINES. Mercredi 20 juin 2012
Dossier de presse PRESENTATION DE L INDICE ECOLOGIQUE DES MAGAZINES Mercredi 20 juin 2012 Naissance du projet Les points de départ Un questionnement grandissant des consommateurs et des acheteurs media
Plus en détailÉdito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas.
Édito Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Depuis janvier 2011, le Syndicat Emeraude s est engagé résolument dans un programme local de prévention. Ne nous limitons pas à l objectif
Plus en détailLA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)
LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur
Plus en détailLe livre numérique désigne le contenu de lecture que l on intègre dans ces liseuses. Ses synonymes sont : le livre électronique, l ebook et le livrel.
Cette installation vous propose de tester de nouveaux appareils de lecture : les liseuses électroniques. Le mot liseuse désigne le contenant, le matériel permettant de lire un livre numérique. Il existe
Plus en détailComptes de la folie (auto)routière 1
INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Rue des Fusillés, 7 B-1340 Ottignies Tél : 010.41.73.01 E-mail : idd@iddweb.be Comptes de la folie (auto)routière 1 par Philippe
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailBesoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement
Phase 2: Analyse du besoin des entreprises Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Les plus fortes demandes en «Construction durable» Estimation
Plus en détail[GRAPHIQUES. 5240 IMPRESSION NUMÉRIQUE 840 heures. 5313 IMPRIMERIE 1350 heures 5344 INFOGRAPHIE 1800 heures VOUS PRÉSENTE SES LE CFP MARIE-ROLLET
LE CFP MARIE-ROLLET VOUS PRÉSENTE SES PROGRAMMES D ÉTUDES EN COMMUNICATIONS [GRAPHIQUES [ 5240 IMPRESSION NUMÉRIQUE 840 heures 5313 IMPRIMERIE 1350 heures 5344 INFOGRAPHIE 1800 heures LES COMMUNICATIONS
Plus en détailSommaire. Problématique :
Adel Tihianine Marie Deruytere Jérémy Tachel Problématique : Sommaire Plan : I) Introduction II) Premiers supports d écriture III) Mécanisation et numérisation IV) Les écrans tactiles V) Expérience VI)
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailUne réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne
Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Ce document illustrera comment cette réussite est arrivée, il est composé des parties suivantes : 1. Qu'est
Plus en détailMoins d accidents et moins de victimes en 2009
DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUE DE PRESSE 12 avril 2011 Moins d accidents et moins de victimes en 2009 Les chiffres des accidents de la route portant sur 2009 viennent
Plus en détailEXPO ROUGE-CLOITRE 27.10.2011 > 05.02.2012 CHROMOS, L ENFANCE DE LA PUBLICITÉ DOSSIER DE PRESSE
27.10.2011 > 05.02.2012 EXPO ROUGE-CLOITRE CHROMOS, L ENFANCE DE LA PUBLICITÉ DOSSIER DE PRESSE CHROMOS, L ENFANCE DE LA PUBLICITÉ «Si tu es sage, tu auras une image» Objets de curiosité et parfois de
Plus en détailConstruisons en aluminium pour les générations futures
Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailN 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7
N 24 avril 2015 Secrétariat de la CCMOSS 1/7 ACTUALITES Publication d un «mode d emploi sur les achats socialement responsables»..... 3 D E F I N I T I O N Qu est-ce que le système de management environnemental
Plus en détailAgence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire
Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales
Plus en détailLa transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012
7 Conclusions clés La transition énergétique L Energiewende allemande Par Craig Morris et Martin Pehnt Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 www. 7 Conclusions clés La
Plus en détailTaille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique.
Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique Alexandre SOKI cole Supérieure du ois Atlanpôle P 10605 Rue hristian Pauc 44306
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailMÉMOIRE RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU
MÉMOIRE POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU RÉACTEUR NUCLÉAIRE DE PUISSANCE DE LA CENTRALE DE GENTILLY - 2 MARS 2011 Avant
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3011 Convention collective nationale IDCC : 700. PRODUCTION DES PAPIERS-CARTONS ET DE CELLULOSES (Ingénieurs
Plus en détailProcontain Construction modulaire : l architecture créative
ARCHITECTURE CONSTRUCTION MODULAIRE Procontain Construction modulaire : l architecture créative Filiale du groupe allemand Alho, Procontain est le spécialiste en France de la construction modulaire. Dans
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailMusée temporaire. Le jeu
Musée temporaire Le jeu Bienvenue à la Banque nationale de Belgique! La Banque nationale de Belgique n est pas une banque comme les autres Par exemple, tu ne peux pas y ouvrir de compte bancaire : seules
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailLA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE
LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE Vincent Sepulchre ( p. V s u larcier Table des matières Introduction. Les moyens et objectifs de la fiscalité environnementale 5 PARTIE I Les différents instruments
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailAnnexe A : tableau des Indicateurs GRI
Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement
Plus en détailVosdocumentsd entreprise Correspondance, événementiel, communication produit, grand format, décoration, habillage véhicule.
Vosdocumentsd entreprise Correspondance, événementiel, communication produit, grand format, décoration, habillage véhicule. LA CRÉATION DE VOS DOCUMENTS N AURA JAMAIS ÉTÉ AUSSI SIMPLE Sommaire Impression
Plus en détailRéseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté
Plus en détailAUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE
AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE Ne laissez pas vos tickets reçus vous coûter du temps et de l argent Un livre blanc NCR Vos applications d impression thermique direct ne
Plus en détailDÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure
Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau
Plus en détailD1402 - Relation commerciale grands comptes et entreprises
Appellations (IT (nouvelles technologies, TIC) - Gestion commerciale / Vente) Commercial / Commerciale en services auprès des entreprises Commercial vendeur / Commerciale vendeuse d'espaces publicitaires
Plus en détailUNION INTERNATIONALE DES TELECOMMUNICATIONS BUREAU DE DEVELOPPEMENT DES TELECOMMUNICATIONS
UNION INTERNATIONALE DES TELECOMMUNICATIONS BUREAU DE DEVELOPPEMENT DES TELECOMMUNICATIONS CONFÉRENCE MONDIALE DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS (CMDT-98) La Valette, Malte, 23 mars - 1 avril 1998
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailLes Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement
Les Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement Selon le rapport "Impacts of Information and Communication Technologies on EnergyEfficiency", réalisé par BIOIS
Plus en détailUn logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir!
Un logiciel pour sécuriser le futur de mon entreprise? Je veux l avoir! En compétition chaque minute compte. Bref aperçu de vos avantages Avec Kartosoft nous mettons à votre disposition un outil permettant
Plus en détailNOUVEAU PAPIER GRAND FORMAT POUR TRACEURS JET D ENCRE ET PPC
NOUVEAU PAPIER GRAND FORMAT POUR TRACEURS JET D ENCRE ET PPC Blanc, lisse et respectueux de l environnement sans émission de CO 2 Ce nouveau papier 100% recyclé ne génère aucune émission de C0 2 et est
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailL EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013
Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du
Plus en détailCrédit : June et Sylvain Hitau
Crédit : June et Sylvain Hitau Géraldine Poivert Crédit : Zabou Carrière Jean-Charles Caudron Filières Responsabilité élargie du producteur Crédit : Antoine Doyen Édito Comme de nombreux produits, les
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main 2 Le développement durable au cœur de la stratégie d ASSA ABLOY de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailDIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :
Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg
Plus en détailMONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014
MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41
Plus en détailÉCO-GUIDE OBJETS PROMOTIONNELS
ÉCO-GUIDE OBJETS PROMOTIONNELS GUIDE DE CHOIX FACTEURS DE RÉUSSITE GUIDE MATIÈRES AUTO ÉVALUATION DD-GUID-012 indice 1 GUIDES POUR UNE COMMUNICATION RESPONSABLE Charte Petzl pour une communication responsable
Plus en détail