Les opérations bancaires



Documents pareils
CONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES

LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013

Edition Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes

Décrets, arrêtés, circulaires

Sommaire. La famille. L immobilier. Le couple. La gestion des biens du couple. La séparation. La gestion des biens des mineurs et des incapables

S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PIECES COMPTABLES ET DOCUMENTS DE PAIEMENT

Le compte bancaire est un compte ouvert. Foire aux questions. Le COMPTE et son fonctionnement. Trouvez des réponses à vos questions.

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

GUIDE PRATIQUE SUCCESSION

Processus 6 : Gestion de la trésorerie et du financement

Économie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.

TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE CHAPITRE PREMIER L ORGANISATION DE LA PROFESSION, LE STATUT ET LE CONTRÔLE DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT

LIVRET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE CONDITIONS GÉNÉRALES

le livret 10/12 conditions générales

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES

Une banque démarre son activité sans un euro de dépôt

Aperçu des prix SOMMAIRE. Valables à partir du 1 er janvier Sous réserve de modifications

Partie III INSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CREDITS Section 1 - Instruments de paiement

Aperçu des prix SOMMAIRE. Valable à partir du 1 er septembre Sous réserve de modifications

livret grand format Conditions générales

CIRCULAIRE AUX BANQUES COMMERCIALES ET AUX BANQUES D ÉPARGNE ET DE LOGEMENT

Finlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010

Crédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011

COMPTES ET CLASSES IUT GRENOBLE FEVRIER OLIVIER PARENT

Cas de synthèse n 1 : Société BIGFLASH SA Bilan d ouverture, journal, grand-livre et balance

GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES

CONVENTION DE COMPTE COURANT POSTAL PARTICULIERS CONDITIONS GÉNÉRALES

INTRODUCTION 3 1. TAUX D INTÉRÊT POUR LES COMPTES DE PASSIF DES CLIENTS 4 2. PRÊTS, CRÉDITS, DÉPASSEMENTS ET DÉCOUVERTS 4

IMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme

Fiche pratique n 10 : les droits des clients en matière bancaire (25/01/2010)

CONDITIONS TARIFAIRES

choix de la banque tirée choix de la date de rédaction du chèque absence de frais bancaires à ce jour

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET BANQUE CENTRALE DU CONGO

Le revenu et le pouvoir d achat

Section 1. - Statut des établissements de crédit. PARTIE 1 Les acteurs du droit bancaire 13/11/2011. Introduction Définition du droit bancaire

LE LIVRET 10/12 CONDITIONS GENERALES

HORS SÉRIE. GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES. décembre 2005

Tarifs et Conditions extrait des prix et services (ttc) au 01/01/2013

Barème de frais et de commissions

LE LIVRET 10/12 Conditions Générales

LIVRET GRAND PRIX. Conditions Générales

VOS DROITS. LE COMPTE BANCAIRE (I) Ouverture et clôture INC. Fiche J217/8-01 L OUVERTURE D UN COMPTE EN BANQUE LES MODALITÉS D OUVERTURE D UN COMPTE

COMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales

INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG

OPERATIONS NON BUDGETAIRES

L importance de la monnaie dans l économie

LIVRET JEUNE CONDITIONS GENERALES

Livret Matmut CONDITIONS D OUVERTURE ET DE FONCTIONNEMENT SOMMAIRE DISPOSITIONS PROPRES AU LIVRET MATMUT... 2

Session Juin 2013 Gestion financière. Donnée de l examen

CONVENTION DE GESTION DE COMPTE DE DEPOT

Demande d'ouverture de compte d'instruments financiers

Demande d'ouverture de compte d'instruments financiers

Extrait Standard des tarifs

Le compte joint LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Nouvelle édition Juin 2007

CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME

CONDITIONS GENERALES PARTS SOCIALES DE L EPARGNE DE LA NEF ET INFORMATIONS SUR LES EN VIGUEUR AU 27/05/2015 PROFESSIONNELS

Chapitre 5 : Les paiements et le change.

sommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE

Petites entreprises, votre compte au quotidien

DES MEUBLES INCORPORELS

La responsabilité civile délictuelle et les quasi-contrats

Le compte joint LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Site d informations pratiques sur la banque et l argent. Repère n 18

Monnaie, banques, assurances

Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014

Règlement. Gestion des comptes de collaborateur et des dépôts d actions

LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CHAPITRE 6. Les comptes courants

TRAITÉ DE. G. Ripert/R. Roblot sous la direction de Michel Germain. TOME 2 Effets de commerce - Banque Contrats commerciaux Procédures collectives

N 110 S É N A T. 7 mai 2014 PROPOSITION DE LOI. relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d assurance vie en déshérence.

SMART SAVINGS : PROTECTION DES CLIENTS DANS LA PROCEDURE D EPARGNE

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :

QU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques

Compte à Terme Solidarité du Crédit Municipal de Paris Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

Le besoin de trésorerie

Qu est-ce que le relevé de compte?

COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE

À quoi sert une banque?

FORMATION IOBSP Niveau 1

LIVRET A CONDITIONS GÉNÉRALES

LIVRET GRAND PRIX (MARCHE DES PARTICULIERS) CONDITIONS GENERALES

Jusqu au 1 er janvier 2007, le Pacte civil de solidarité (PACS) est demeuré soumis aux inconvénients de la

CONDITIONS TARIFAIRES

LIVRET GRAND PRIX CONDITIONS GENERALES DECEMBRE 2013

SO00BM24 Introduction aux politiques économiques

Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base

n 7 F é v r i e r Note d information sur le Credit Bureau

COMMISSION BANCAIRE ET FINANCIERE

Gérer son patrimoine Demande d ouverture de comptes

BANQUE NATIONALE AGRICOLE

Guinée. Régime des relations financières relatives aux transactions entre la République de Guinée et l étranger

FICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE

Inventaire personnel des biens et documents importants. Pour simplifier la tâche des proches en cas d inaptitude ou de décès

Transcription:

Les opérations bancaires Formation professionnelle duale en assistant bancaire Madagascar 1

Table des matières 1 LE CIRCUIT ECONOMIQUE 12 1.1 Flux monétaires et flux de marchandises dans le circuit économique simple 12 1.2 Produit intérieur brut 13 1.3 Digression: Monnaie 14 1.3.1 Fonctions de la monnaie 15 1.3.1.1 Fonction de moyen de paiement 15 1.3.1.2 Fonction de réserve de valeur 15 1.3.1.3 Fonction de mesure de valeur 15 1.3.2 Petit historique de la monnaie 15 2 LE MARCHE 17 2.1 Qu est-ce que c est un marché? 17 2.2 Formes de marché 17 2.2.1 Le monopole 18 2.2.2 Le duopole 19 2.2.3 L oligopole 20 2.2.4 Le polypole 21 3 LE ROLE DU SYSTEME BANCAIRE DANS L ECONOMIE 22 3.1 Services d établissements de crédit (selon type) 24 3.1.1 Services de paiements 24 3.1.2 Services de placement d argent 24 3.1.3 Services de financement 25 3.1.4 D autres services bancaires 25 3.2 Services d établissements de crédit (selon donneur d ordre) 25 3.2.1 Opérations de clientèle 25 3.2.2 Opérations de la banque pour son propre compte 25 3.3 Tâches de transformation des établissements de crédit 26 3.3.1 Transformation de lots 26 3.3.2 Transformation d échéances 26 3.3.3 Transformation de risques 27 3.3.4 Transformation locale 27 2

4 LE SECTEUR FINANCIER MALGACHE 28 4.1 La Banque Centrale 29 4.1.1 Fonctions 29 4.1.2 Structure 29 4.1.2.1 Le Gouverneur 29 4.1.2.2 Le Directeur Generale 30 4.1.2.3 Le Conseil d Administration 30 4.1.2.4 Les Censeurs 30 4.2 Les banques commerciales 30 4.3 Les institutions de microfinance 31 4.3.1 Type 1 : Les Institutions Financières Mutualistes 31 4.3.2 Type 2 : Les Institutions de MicroFinance Non Mutualistes 32 4.3.3 Type 3 : D'autres structures de microfinance 32 4.4 Paositra Malagasy (la banque postale malgache) 32 4.5 La Caisse d'epargne de Madagascar (CEM) 33 4.6 Les assurances 34 5 INTRODUCTION DANS LES OPERATIONS D EPARGNE 35 5.1 Taux d épargne 35 5.2 Raisons pour l épargne 35 5.3 Formes d épargne 36 5.3.1 L épargne avec un livret d épargne 37 5.3.2 Versement unique 38 5.3.3 Versements périodiques 38 5.3.4 Compte de dépôt à terme 39 5.3.5 Digression: L épargne-logement 39 6 INTRODUCTION AUX OPERATIONS DE CREDIT 40 6.1 Raisons pour les emprunts 40 6.2 Coûts de crédit et risques de crédit 41 6.3 La solidité financière d un client 42 6.4 L examen de la qualité d un débiteur 42 6.5 Formes de crédit 42 3

6.5.1 Le découvert en compte 42 6.5.2 Le crédit à tempérament 43 6.5.3 Le prêt amortissable par annuités 44 6.5.4 Le microcrédit 46 7 INTRODUCTION AU COMPTE A VUE 47 7.1 Fonctions du compte à vue 47 7.1.1 Fonction de ventes croisées 47 7.1.2 Fonction de refinancement 47 7.1.3 Fonction d information 48 7.1.4 Fonction de rendement 48 8 INTRODUCTION A LA BOURSE 49 8.1 Actions et bourses d action 50 8.2 Titres à revenu fixe et bourses de valeurs 52 8.3 Digression: Bourses de commerce 54 9 LES SERVICES CLIENTELE DE LA CEM 55 9.1 Livrets d épargne 56 9.1.1 Livret d épargne particulier (MITSIMBINA) 56 9.1.2 Livret jeune (MIHARY) 57 9.1.3 Livret junior (SOMBINIAINA) 58 9.2 D autres produits d épargne 59 9.2.1 Compte Spécial Epargne (CSE) 59 9.2.2 Compte Spécial Retraite (CSR) 60 9.3 Les transferts d argent internationaux par Western Union 62 10 INTRODUCTION DANS LA COMPTABILITE 64 10.1 Introduction 64 10.2 Le compte 65 10.3 L inventaire 66 10.4 Le bilan 69 10.5 Pas d écriture comptable sans pièce justificative 70 10.6 L énoncé de l écriture comptable 71 4

10.7 Comptes d actif et passif 71 10.8 L écriture comptable 73 10.8.1 Exemple 1 : Achat de matériel de bureau 74 10.8.2 Exemple 2 : Remboursement d un prêt 75 11 LES OPERATIONS DE CREDIT 78 11.1 La procédure de l octroi de crédit 79 11.1.1 Phase 1: Demande de crédit 79 11.1.2 Phase 2: Analyse de crédit 81 11.1.3 Phase 3: Décision de crédit 81 11.1.4 Phase 4: Décaissement du crédit 82 11.1.5 Phase 5: Tenue de dossiers de crédit 82 11.1.6 Phase 6: Supervision de crédit 83 11.1.7 Phase 7: Remboursement de crédit 83 11.1.8 Phase 8: Gestion de crédits préoccupants 84 11.2 L analyse de crédit 84 11.2.1 Les cinq éléments principaux de l octroi de crédit 84 11.2.1.1 Caractère 84 11.2.1.2 Capacité de verser les paiements en capital 84 11.2.1.3 Fonds propres 85 11.2.1.4 Sûretés 85 11.2.1.5 Conditions générales 85 11.2.2 Sources d information 85 11.2.3 Analyse des états financiers (analyse quantitative de crédit) 86 11.2.3.1 Les états financiers: types et objectifs 86 11.2.3.2 Le compte de résultats 86 11.2.3.2.1 Introduction 86 11.2.3.2.2 Les éléments et le format du compte de résultats 87 11.2.3.3 Le bilan 89 11.2.3.3.1 Introduction 89 11.2.3.3.2 Les éléments constitutifs du bilan 89 11.2.3.3.3 Le format du bilan 91 11.2.3.4 Le tableau de financement 93 11.2.3.4.1 Introduction 93 11.2.3.4.2 Les éléments constitutifs du tableau de financement 95 11.2.4 Analyse qualitative de crédit 96 11.2.4.1 Facteurs de risque externes 97 11.2.4.1.1 Environnement 97 11.2.4.1.2 Marché et potentiel de croissance (offre / demande) 97 5

11.2.4.1.3 Situation concurrentielle 98 11.2.4.1.4 Dépendances 98 11.2.4.2 Facteurs de risque internes 99 11.2.4.2.1 Gérance/Directoire 99 11.2.4.2.2 Personnel 99 11.2.4.2.3 Lieu de production et équipement technique 100 11.2.5 Sûretés 100 12 CONDITIONS JURIDIQUES GENERALES 102 12.1 Introduction 102 12.2 Les notions relatives au client 103 12.2.1 La distinction des personnes 103 12.2.1.1 Les personnes physiques 103 12.2.1.1.1 Eléments et instruments d identification 103 12.2.1.1.2 Les conditions des personnes 103 12.2.1.2 Les personnes morales 105 12.2.1.2.1 Définition 105 12.2.1.2.2 Effets de la personnalité morale 105 12.2.1.2.3 Les différentes catégories de personnes morales 105 12.2.2 Le régime matrimonial 105 12.2.2.1 Le régime de droit commun : le «zara mira» 106 12.2.2.1.1 Les dettes des époux 107 12.2.2.1.2 Les actes portant sur les biens communs 107 12.2.2.1.3 La dissolution et la liquidation de la communauté 107 12.2.2.1.4 Liquidation et partage 107 12.2.2.2 Le contrat de mariage 107 12.2.2.2.1 Caractères 108 12.2.2.2.2 Limites 108 12.2.2.2.3 Conditions de formes 108 12.2.2.3 Le régime de la séparation des biens 108 12.2.3 La dévolution successorale 108 12.2.3.1 Introduction 108 12.2.3.2 Les héritiers 108 12.2.3.3 La transmission de la succession 109 12.2.3.4 Option de l héritier 109 12.2.3.5 La liquidation de la succession 109 12.2.3.5.1 Cas d un héritier unique 109 12.2.3.5.2 Cas de pluralité d héritier 110 12.2.3.6 Le testament 110 6

12.3 Relation avec le client 111 12.3.1 Généralités sur les contrats 111 12.3.2 Formation es conditions de validité 111 12.3.2.1 La capacité de contracter 111 12.3.2.2 Les volontés 111 12.3.2.3 L objet et la cause 112 12.3.2.4 Les conditions de forme 112 12.3.3 Les différents types des contrats 112 12.3.3.1 Contrat unilatéral et contrat synallagmatique 112 12.3.3.2 Contrat à titre gratuit et contrat à titre onéreux 112 12.3.3.3 Contrat instantané et contrat successif 113 12.3.4 Les nullités 113 12.3.4.1 La nullité absolue 113 12.3.4.2 Les nullités absolues 113 12.4 Le crédit bancaire 114 12.4.1 La convention de crédit 114 12.4.1.1 La formation 114 12.4.1.2 Effets 114 12.4.1.2.1 A l égard de la banque 114 12.4.1.2.2 A l égard du crédité 115 12.4.1.3 Cessation de la convention de crédit 115 12.4.2 Les différentes formes de crédit bancaire 115 12.4.2.1 Distinction selon la durée 115 12.4.2.2 Distinction selon la forme du crédit 115 12.4.2.3 Distinction selon leur emploi 115 12.4.2.4 Distinction selon le degré de confiance du banquier 115 12.4.2.5 Distinction selon le nombre de créditeurs en cause 116 12.4.3 Les garanties 116 12.4.3.1 Les sûretés personnelles 116 12.4.3.2 Les sûretés réelles 116 12.5 Le métier de banquier 117 12.5.1 Les contrôles des activités bancaires 117 12.5.1.1 La Commission de Supervision Bancaire et Financière 117 12.5.1.1.1 Ediction de règles par voie d instructions 117 12.5.1.1.2 Droit de contrôle 117 12.5.1.1.3 Pouvoir de proposition 118 12.5.1.1.4 Pouvoir de sanction 118 12.5.1.1.5 Obligation de rapport annuel 118 12.5.1.2 L association professionnelle des banques 118 7

12.5.2 Les réservés bancaires 118 12.5.2.1 Les obligations du banquier vis-à-vis du client 118 12.5.2.1.1 Obligation de diligence 118 12.5.2.1.2 Devoir de s informer et devoir de non ingérence 119 12.5.2.1.3 Le devoir d informer 119 12.5.2.2 Le secret professionnel 119 12.5.2.2.1 Le principe 119 12.5.2.2.2 Les exceptions 119 12.5.3 Les responsabilités bancaires 120 12.5.3.1 La responsabilité contractuelle 120 12.5.3.2 La responsabilité délictuelle 120 12.5.3.3 La notion de risque juridique 120 12.5.4 Le blanchiment de capitaux 121 12.5.4.1 L acte de blanchiment 121 12.5.4.2 Prévention et lutte 121 12.6 Les instruments paiement 122 12.6.1 Le cheque 122 12.6.1.1 Les réglementations cambiaires 122 12.6.1.1.1 Les conditions de validité et mentions non obligatoires 122 12.6.1.1.2 La provision du chèque 123 12.6.1.1.3 La circulation du chèque 123 12.6.1.1.4 Modalités de paiement 123 12.6.1.1.5 Le barrement 124 12.6.1.1.6 L opposition au paiement 124 12.6.1.2 Les réglementations sécuritaires 124 12.6.1.2.1 Le traitement des incidents de paiement 124 12.6.1.2.2 Les autres infractions en matière de chèque 125 12.6.2 Le virement 125 12.6.2.1 Jeu de mandats 125 12.6.2.1.1 Mandat de payer 125 12.6.2.1.2 Mandat d encaisser 126 12.6.2.2 Jeu d écritures 126 12.6.2.2.1 Ecriture au débit 126 12.6.2.2.2 Ecriture au crédit 126 13 LA COMMUNICATION AVEC LE CLIENT 127 13.1 L importance du client 127 13.2 L impression extérieure 127 13.2.1 Les vêtements 127 8

13.2.2 Le langage gestuel 128 13.3 Le bon comportement dans le contact avec le client 129 13.3.1 Le contact personnel 131 13.3.2 Le contact téléphonique 132 9

Table des illustrations ILLUSTRATION 1: FLUX MONETAIRES ET DE MARCHANDISES DANS LE CIRCUIT ECONOMIQUE (SIMPLE) 12 ILLUSTRATION 2: PIB PAR TETE EN USD 14 ILLUSTRATION 3: LE MONOPOLE 18 ILLUSTRATION 4: LE DUOPOLE 19 ILLUSTRATION 5: L'OLIGOPOLE 20 ILLUSTRATION 6: LE POLYPOLE 21 ILLUSTRATION 7: LE ROLE DU SYSTEME BANCAIRE DANS L ECONOMIE 23 ILLUSTRATION 8: FLUX MONETAIRES ET DE MARCHANDISES DANS LE CIRCUIT ECONOMIQUE 23 ILLUSTRATION 9: LE SECTEUR FINANCIER MALGACHE 28 ILLUSTRATION 10: TRIANGLE MAGIQUE 37 ILLUSTRATION 11: EXEMPLE CREDIT A TEMPERAMENT 44 ILLUSTRATION 12: EXEMPLE PRET AMORTISSABLE PAR ANNUITES 45 ILLUSTRATION 13: EXEMPLE ACTION 51 ILLUSTRATION 14: EXEMPLE OBLIGATION 53 ILLUSTRATION 15: LA PROCEDURE DE TRANSFERT D'ARGENT DE WESTERN UNION 63 ILLUSTRATION 16: STRUCTURE D UN COMPTE 65 ILLUSTRATION 17: INVENTAIRE D UNE ENTREPRISE VIRTUELLE (MONTANTS EN EUR) 68 ILLUSTRATION 18: STRUCTURE DU BILAN 69 ILLUSTRATION 19: COMPTE D ACTIF 72 ILLUSTRATION 20: COMPTE DE PASSIF 72 ILLUSTRATION 21: EXEMPLE D UN COMPTE DE RESULTAT 88 ILLUSTRATION 22: ELEMENTS DU BILAN (FORMAT COMPTABLE) 91 ILLUSTRATION 23: CYCLE D EXPLOITATION D UNE ENTREPRISE DE PRODUCTION 92 ILLUSTRATION 24: EXEMPLE D UN BILAN (FORMAT COMPTABLE) 93 ILLUSTRATION 25: EXEMPLE D UN TABLEAU DE FINANCEMENT 96 ILLUSTRATION 26: FACTEURS DE RISQUE EXTERNES 97 10

Préface Ce manuel a été élaboré dans le cadre de la coopération entre la Caisse d Epargne de Madagascar et la (Fondation Allemande de Caisses d Epargne pour la Coopération Internationale) et promu par des fonds publics mis à disposition par le Ministère allemand de la Coopération économique et du Développement. Le manuel constitue la base technique pour la formation professionnelle en assistant bancaire qui sera introduit à Madagascar à partir du mois d octobre de 2008 par la Sparkassenstiftung en coopération avec les Chambres de Commerce et d Industrie de Madagascar. L objectif de la formation est la création d un standard de formation uniforme et accepté dans tout le pays et la création d une alternative axée sur la pratique par rapport aux études universitaires. La formation vise en outre à augmenter la qualification du personnel du secteur bancaire et à assurer la formation systématique de la jeune génération. Grâce au lien entre unités théoriques et la formation pratique sur le lieu de travail, des connaissances professionnelles pour l activité dans une banque à part entière seront transmises dans le cadre de cette filière de formation. En outre, le concept de formation comprend également la promotion de capacités dans le domaine des compétences sociales, de méthodes et de vente. La formation se composera de 80 % de formation pratique dans l entreprise et de 20 % d unités de cours théoriques. La formation se terminera après 10 mois par un examen officiel devant la Chambre de Commerce et d Industrie de Madagascar. Ce manuel constitue la base pour la partie théorique de la formation et est axé sur les contenus professionnels du règlement de formation pour la profession de l assistant bancaire à Madagascar. Le manuel sert tant à la préparation qu à la récapitulation des cours et peut être utilisé également comme matériel accompagnant les unités théoriques. Le manuel ne sert pas à l auto-étude; son contenu sera transmis et discuté lors de la formation théorique par des formateurs qualifiés. Marco Rimkus Antananarivo en Août 2008 11