ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS MÉTIERS DE LA MACONNERIE DECEMBRE 2013 1
1. L emploi 3 900 maçons en 2011 soit 15% des salariés de la production du BTP +1% en 1 an, +6% en 2 2 ans Les entreprises 50% 40% 30% 20% 10% 0% Part des entreprises de maçonnerie selon leur taille ainsi que leur nombre Source : INSEE 2011 454 263 182 100 97 0 salarié 1 à 2 salariés 3 à 5 salariés 6 à 9 salariés 10 et plus 41% des entreprises sont sans salarié 1 096 entreprises de maçonnerie étaient dénombrées en 2011, soit 12% des entreprises de production du BTP de la région. Nombre d entreprises de maçonnerie en 2010 : 1 052. - de 25 ans 200 356 nouveaux entrants 25 ans et + 156 Les arrivées Source : UCF au 15 mars 2011 207 nouveaux entrants en 2011 dont 56% de - de 25 ans. 2 633 nouveaux entrants dans les métiers de la production du BTP en 2011 : 14% dans les métiers de la maçonnerie La pyramide des âges Source : UCF au 15 mars 2011 Age moyen : 37,8 ans Moins de 25 ans : 13,8% 60 et + 55 à 59 50 à 54 45 à 49 40 à 44 35 à 39 30 à 34 25 à 29 de 25 76 249 347 Age moyen des métiers de la production du BTP en 2010 0 : 37,9 ans et 13,6% de - de 25 ans 506 515 537 556 539 575 Les qualifications des ouvriers 0 100 200 300 400 500 600 700 Source : UCF au 15 mars 2011 Evolution de l'effectif ouvrier selon leur qualification 18% 53% 29% Peu qualifié Qualifié Très qualifié Coefficients conventions collectives (150-170) Coefficients conventions collectives (185-210) Coefficients conventions collectives (230-270) 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Peu qualifié Qualifié Très Qualifié 2008 2009 2010 2011 356 nouveaux maçons en 2011 3 900 maçons étaient recensés en 2011, soit 1% de plus qu en 2010. Ils sont en moyenne moins âgés que l année précédente de 0,1 an. La répartition des maçons par âge est quasi-égale pour les moins de 25 ans jusqu aux maçons de 45 à 49 ans. La part d ouvriers peu qualifiés a diminué de 3 points entre 2010 et 2011. 71% des ouvriers sont qualifiés ou très qualifiés. 2
2. La formation 381 jeunes formés aux métiers de la maçonnerie en 2012-14% en 1 an Evolution de l effectif total en formation initiale par mode Evolution de l'effectif total en formation initiale en maçonnerie, par mode Réalisation : Région Alsace DEF Etudes et prospective p Sources : Systèmes d information «Scolarité» et «SIFA» (MEN Rectorat de l Académie de Strasbourg) 600 500 400 300 200 100 Apprentissage Voie scolaire 0 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 Les jeunes entrants en formation Réalisation : Région Alsace - DEF- Etudes et prospective Sources : Systèmes d information «Scolarité» et «SIFA» (MEN- Rectorat de l Académie de Strasbourg) 167 Nouveaux entrants CAP 110 167 nouveaux entrants en formation en 2012 dont 34% en niveau IV. Bac Pro 36 BP 21 Effectif en formation initiale Réalisation : Région Alsace - DEF- Etudes et prospective Sources : Systèmes d information «Scolarité» et «SIFA» (MEN- Rectorat de l Académie de Strasbourg) Réussite aux examens Réalisation : Région Alsace - DEF- Etudes et prospective Sources : Systèmes d information «Scolarité» et «SIFA» (MEN- Rectorat de l Académie de Strasbourg) Niveau V Niveau IV App. Voie Scol. App. Voie Scol. Part de l'a app. App. 79,5% Voie S. 85,2% App. 81,3% Voie S. 73,7% 1 ère année 87 23 27 30 167 68% 2 ème année 92 26 26 30 174 68% 3 ème année 0 0 14 26 40 35% Niv.V 81,0% Total Niv.IV 77,9% 179 49 67 86 228 153 381 65% 79,6% La formation en maçonnerie: l apprentissage en baisse depuis 2008 Le nombre de formés en apprentissage diminue depuis 2008 (-40%). Le nombre de formés via la voie scolaire est en hausse depuis les années 2000, sauf 4 années où les effectifs se sont réduits. 34% des nouveaux entrants ont intégré une formation de niveau IV, dont 63% en Bac Pro. L apprentissage reste la voie privilégiée des formations au métier de maçonnerie, excepté en 3 ème année où le Bac Pro par voie scolaire prédomine. 3
3. La carte des formations Haguenau ALSACE DU NORD 35 CFA du LPI J. Verne CAP Maçon : 24 (13) BP Maçon : 11 (16) Saverne CENTRE ALSACE STRASBOURG Strasbourg Illkirch 35 37 LEGTPI Heinrich-Nessel CAP Maçon : 8 (3) Bac Pro Technicien du bâtiment : organisation et réalisation du gros œuvre : 27 (8) CFA du LPI X. Nessel CAP Constructeur en béton armé du bâtiment : 5 (3) CAP Maçon : 32 (13) 17 CFA des Compagnons du devoir CAP Maçon : 17 (17) 30 CFA Centre Alsace Rudloff CAP Maçon : 30 (11) Cernay Colmar COLMAR 45 54 LETPB Le Corbusier CAP Maçon : 13 (5) Bac Pro Intervention sur le bâti : 32 (8) CFA du LETPB Le Corbusier CAP Maçon : 27 (13) Bac Pro Technicien du bâtiment : organisation et réalisation du gros œuvre : 27 (14) 50 73 LETPB G. Eiffel CAP Maçon : 18 (6) Bac Pro Technicien du bâtiment : organisation et réalisation du gros œuvre : 32 (9) CFA du LETPB G. Eiffel CAP Maçon : 44 (22) BP Maçon : 29 (13) ALSACE DU SUD 50 73 effectif total formé en lycée par commune - 2013/2014 effectif total formé en CFA par commune - 2012/2013 Lycée public : effectif total (effectif dernière année) CFA : effectif total (effectif dernière année) Réalisation : Région Alsace - DEF- Etudes et prospective Sources : Systèmes d information «Scolarité» et «SIFA» (MEN- Rectorat de l Académie de Strasbourg) 4
4. Les entreprises à l horizon 2018 AUJOURD HUI Perception de la situation de l entreprise La satisfaction des chefs d'entreprise quant à la situation générale de l'entreprise e : (1) Sourc 5% 59% 28% 4% Très satisfaisante Satisfaisante Moyennement satisfaisante Insatisfaisante Les 2/3 des dirigeants sont satisfaits voire très satisfaits de la situation actuelle de leur entreprise. Seuls 4% ne la jugent pas satisfaisante du tout. Près de la moitié des entreprises sont confiantes voire très confiantes quant à l avenir de leur entreprise. rce : (1) Sou Leur ressenti quant à l'évolution de l'entreprise 9% 36% 8% 3% 45% Très confiant Confiant Peu confiant Pas confiant du tout Ne se prononcent pas AUJOURD HUI Le métier majeur de l entreprise Autre (rénovation, chape, pavage ) Les activités des entreprises 33% La spécialisation sur une autre activité 1% 1% 1% Crépissage Carrelage Isolation Béton armé Gros œuvre du bâtiment 5% 9% 12% 22% 39% 97% Isolation Electricité Cheminées Aucune Maçonnerie générale 99% En plus de la maçonnerie générale, plus de la moitié des entreprises a comme activité principale le gros œuvre du bâtiment et le béton armé. Plus d 1/4 des entreprises sont polyvalentes (rénovation, toiture, dallage ). 96% des entreprises ne pensent pas se spécialiser sur une autre activité. Celles qui ont prévu d élargir leur champ d activités vont s orienter vers l isolation, l électricité ou les cheminées. Les compétences dans l entreprise Les nouvelles compétences souhaitées par l'entreprise Aucune 83% Bureau d'études 3% Commerciales Encadrement de chantier Techniques métier 4% 4% 5% 17% des entreprises souhaitent développer leur entreprise en acquérant de nouvelles compétences. Ces nouvelles compétences concernent surtout les techniques liées au métier de maçon (5%). 83% des entreprises ne souhaitent pas développer de nouvelles compétences dans les années à venir. 5
5. Le recrutement à l horizon 2018 L entreprise et l embauche Les difficultés rencontrées pour embaucher des maçons Niveau insuffisant des demandeurs d'emploi 6% 8% des entreprises prévoient d embaucher 83% recherchent avec expérience professionnelle dont : 60% de plus de 3 ans 16% des entreprises envisagent de réduire leur taille 64% des entreprises pensent garder le même nombre de salariés Charges trop élevées 11% 1)31% Trop peu de candidats dans ce métier Source : (1 Candidats pas assez fiables 35% Compétences non maîtrisées 56% 8% d entreprises envisagent d embaucher d ici 5 ans. Elles souhaitent toutes que l embauché ait une expérience professionnelle : pour plus de la moitié d entre elles, cette expérience doit être de plus de 3 ans. 64% comptent garder le même nombre de salar riés, 16% prévoient une diminution de l effectif effectif. 71% des entreprises rencontrent des difficultés pour embaucher des maçons. Ces difficultés sont dues pour plus de la moitié d entre elles à des compétences non maîtrisées, pour 35% à un manque de rigueur des candidats. 11% d entre elles évoquent également des charges trop élevées pour se permettre d embaucher. AUJOURD HUI L entreprise et les intérimaires Les raisons pour lesquelles les entreprises embauchent des intérimaires Plus facile de recruter en contrat intérimaire Pour compenser les arrêts maladie Pour ne pas mettre l'entreprise en difficulté 9% 18% 36% 24% d entreprises envisagent de faire appel à des intérimaires à l avenir Besoin d'aide sur une courte période 64% Actuellement, 14% des entreprises embauchent des maçons en intérim. Si elles passent par ce type de contrat, pour plus du 3/4 d entres elles, c est parce qu elles ont besoin d aide sur une courte période et la moitié pour ne pas se mettre en difficulté. L intérim devrait connaitre une évolution favorable d ici 5 ans. Les évolutio ons du métier Les évolutions majeures du métier de maçon d ici 5 ans, selon le point de vue des entreprises Ne se prononcent pas 72% Normes Sourc ce : (1) 5% 3% 4% 16% Energie Isolation Nouveaux matériaux/machines Pour plus d 1/4 des entreprises, les évolutions majeurs du métier de maçon d ici 5 ans concernera les nouveaux matériaux (16%), l isolation (3%), les normes (5%) et l énergie (4%). 6
6. Les jeunes dans le métier à l horizon 2018 L opinion des entreprises sur l image qu ont les jeunes du métier L image du métier Sou urce : (1) Ne se prononcent pas Ne pensent pas que les jeunes ont une bonne image du métier Pensent que les jeunes ont une bonne image du métier 12% 61% 28% Parmi les entreprises qui pensent que les jeunes n ont pas une bonne image du métier : 70% seraient prêtes à accueillir un jeune pour lui faire découvrir le métier 6% seraient prêtes à organiser des portes ouvertes dans leurs locaux Un peu plus d 1/4 des entreprises pense que les jeunes ont une bonne image des métiers de la maçonnerie. Parmi celles qui n ont pas le même sentiment, à savoir 61%, plus de la moitié serait prête à accueillir un jeune dans son entreprise pour lui faire découvrir le métier et 6% à organiser des portes ouvertes. 6% ne feront pas de démarche particulière, par manque de temps, d argent ou de motivation des jeunes. AUJOURD HUI La formation initiale Mode de formation privilégié L'apprentissage 20% des entreprises ont recours à l apprentissage 50% 43% Le contrat de professionnalisation Ne comptent pas faire appel à un jeune 7% 20% des entreprises ont des apprentis et près de la moitié des entreprises privilégieront l apprentissage dans les années à venir. 7% préfèreront le contrat de professionnalisation tandis que la moitié des entreprises ne prendront pas de jeunes en formation initiale dans les 5 prochaines années. L emploi Le niveau de qualification des jeunes embauchés par les entrep prises de maçonnerie BP 17% Bac Pro CAP 17% 88% 88% des entreprises ayant déjà embauché un jeune sorti de formation initiale se sont tournées vers des diplômés en CAP. 17% recherchent quant à elles des diplômés de bac professionnel ou de brevet professionnel. Les entreprises qui prévoient d embaucher n ont pas l intention de recruter des jeunes sortis de formation initiale dans les prochaines années. 7
7. La formation professionnellee continue à l horizon 2017 L entreprise et la formation professionnelle Les motivations de participation aux formations Les raisons de ne pas faire de formation Ne se prononcent pas 20% Aucune 17% Sou urce : (1) La réponse à la demande L'obligation L'évolution de l'offre et de l'entreprise 13% 17% 25% Autre Offre ne correspondant pas aux besoins Pas d'offre à proximité de l'entreprise Non souhaitée hité par les salariés Coût de formation trop élevé 1% 1% 7% 24% 30% La maîtrise des évolutions du métier 29% Manque de temps / de personnel 49% 62% des entreprises envoient leurs salariés en formation. Parmi elles, 29% le font pour maîtriser les évolutions du métier, 25% pour faire évoluer leur offre. Une partie (17%) le fait par obligation légale. 17% des entreprises ne voient aucune raison de ne pas former leurs salariés. Presque la moitié, contrairement, manquent de temps ou ne sont pas assez nombreux et 30% trouvent que le coût de la formation est trop élevé. Par ailleurs, pour 24% d entre elles, ce sont les salariés qui n éprouvent pas le besoin de se former. Les formations qui semblent prioritaires aux entreprises Technologies économie d'énergie 29% Normes et réglementations Technique liée au métier 29% 47% D ici 5 ans,,près de la moitié des entreprises privilég ieront les formations sur les techniques liées au métier. 28% préfèreront les technologies en matière d économie d énergie et les normes et réglementations. AUJOURD HUI Les compétences techniques Les compétences développées ces dernières années Nouvelles compétences techniques à développer ces prochaines années Aucune (géomètre, informatique) Autre Relation client Etude et lecture de plan Gestion de chantier Connaissance des outillages Performance énergétique Hygiène et sécurité Connaissance des nouveaux matériaux au 4% 3% 3% 8% 8% 12% 26% 28% 51% Aucune (amiante, isolation) Autre Relation client Etude et lecture de plan Connaissance des outillages Performance énergétique Gestion de chantier Hygiène et sécurité Connaissance des nouveaux matériaux 4% 1% 3% 7% 7% 7% 11% 26% 57% Ces dernières années, les entreprises ont axé le développement des compétences sur la connaissance des nouveaux matériaux et l hygiène et la sécurité. Dans les prochaines années, les compétences recherchées resteront dans la même tendance. 8
8. SYNTHESE Quelle est la situation actuelle des entreprises de la maçonnerie? Les entreprises de maçonnerie sont très polyvalentes : elles ont très souvent plusieurs activités (carrelage, isolation, etc.). Elles sont de plus en plus contraintes de se spécialiser pour faire face à la conjoncture actuelle. Cependant, elles sont globalement satisfaites, voire très satisfaites de leur situation. Quelle perception ont les entr reprises quant à leur avenir? Les gérants se montrent plutôt mitigés quant à l avenir de leur entreprise. Une partie d entre eux a du mal à se projeter dans l avenir et à savoir ce qui attend leur entreprise. Comme beaucoup d entreprises ont déjà plusieurs activités, très peu souhaitent se spécialiser sur un autre métier dans les prochaines années. De même, la majeure partie des entreprises ne souhaite pas développer de nouvelles compétences. Celles qui sont favorables à cette idée pensent pour la plupart développer la technique liée au métier de maçon. Quelle perspectivee de recrutement? Les entreprises qui envisagent d embaucher sont peu nombreuses. Celles-ci souhaitent t toutes des candidats justifiant d une expérience professionnelle, qui doit être de plus de 3 ans pour plus de la moitié des entreprises. Par ailleurs, un grand nombre d entreprises rencontre des difficultés pour embaucher des maçons. Ces difficultés sont dues, dans la plupart des cas, à des candidats jugés incompétents ou qui ne sont pas fiables. Plusieurs entreprises regrettent également le manque de motivation des candidats. Peu d entre elles font appel à des intérimaires actuellement, mais ce type d embauche devrait se développer dans les années à venir. Quelles sont les évolutions du métier? Laplupart des entreprises ont du mal à définir lanature d éventuelles évolutions dans les métiers de la maçonnerie. Beaucoup soulignent que le développement est constant pour les matériaux et les techniques du métier. Certaines ont tout de même évoqué des changements au niveau de l isolation, des normes et de l énergie. Selon les entreprises, les jeunes ont-ils une bonne image du métier? Pour plus de la moitié des entreprises, les jeunes n ont pas une bonne image des métiers de la maçonnerie. Parmi elles, la plupart sont prêtes à accueillir des stagiaires ou à organiser des portes ouvertes. Un mode de formation et un diplôme sont-ils privilégiés par les entreprises? La moitié des entreprises ne prévoit pas de faire appel à un jeune, en raison de mauvaises expériences, mais également d une crainte que les candidats n aient pas les compétences nécessaires. Le mode de formation privilégié par les autres entreprises est d abord l apprentissage, puis le contrat de professionnalisation. A l embauche des jeunes, les entreprises recherchent en premier lieu des diplômés de CAP. Quelles sont les attentes et quelles sont les priorités en matière de formation professionne lle continue? Les formations sont suivies par un peu plus de la moitié des entreprises pour maîtriser les évolutions du métier et pour faire évoluer leur offre. La difficulté principale rencontrée par les entreprises pour suivre des formations est le manque de temps. Le coût des formations est également jugé trop élevé. Par ailleurs, des salariés n éprouvent pas le besoin de se former. La formation qui semble prioritaire aux entreprises est la technique liée au métier de maçon. Les compétences qui ont été le plus développées chez les maçons ces dernières années ont été l hygiène et la sécurité et la connaissance des nouveaux matériaux. Dans les prochaines années, les entreprises continueront de se former dans ces domaines. 9
9. La méthodologie de l enquête (1) ENQUETE 2013 SUR LES METIERS DE LA MACONNERIE L enquête a été réalisée auprès de l ensemblee des entreprises de maçonnerie adhérentes à la Fédération du Gros Œuvre et de la Charpente du Bas-Rhin, de la Corporation des patrons Maçons des arrondissements de Colmar, Guebwiller et Ribeauvillé et de la Corporation des entrepreneurs du Bâtiment et des travaux Publics des arrondissements de Mulhouse, Altkirch et Thann Population mère : 405 entreprises Répondants : 76 entreprisess Taux de réponse : 19% Modalités de l enquête La CEBTP-Alsace a réalisé une enquête (par mail et téléphone) auprès des entreprises avec salarié(s). Articulé autour d une trentaine de questions, le questionnaire portait sur la perception qu ont les chefs d entreprise sur le métier de la maçonnerie (situation économique de l entreprise et de l emploi de maçons dans l entreprise, la formation et le recrutement des maçons) et leur perception vis-à-vis de ses évolutions d ici cinq ans. Calendrier d exécution: d octobre à décembre e 2013 Réalisation : CEBTP-Alsace Limites Les entreprises ayant répondu au questionnaire sont les entreprises qui sont sensibilisées aux questions d emploi, de formation et de compétences. 16% 16% 8% 10% 1 à 2 salariés 3 à 5 salariés 6 à 9 salariés 10 salariés et plus 10
Avec le soutien financier de la Région Alsace En en partenariat avec l Observatoire Régional Emploi-Formation d Alsace En collaboration avec la Fédération Française du Bâtiment d Alsace Avec la collaboration de la Fédération du Gros Œuvre et de la Charpente du Bas-Rhin. En collaboration avec la Corporation des patrons Maçons des arrondissements de Colmar, Guebwiller et Ribeauvillé. En collaboration avec la Corporation des entrepreneurs du Bâtiment Mulhouse, Altkirch et Thann et des travaux Publics des arrondissements de Cellule Économique du BTP d'alsace 2 route d'oberhausbergen - B.P. 81005/F - 67070 STRASBOURG CEDEX Tél : 03.88.13.08.31 - Fax : 03.88.13.08.32 E-mail : CEBTP.SEP.DRE-Alsace@i-carre.net Site Internet : www.cebtp-alsace.asso.fr 11