CRITERE N : 7a INTITULE : Gestion de l eau



Documents pareils
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène

Installations de plomberie

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires

EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

Qualité Sécurité Environnement

Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

Fiche de poste : Agent d entretien FICHE DE POSTE. AGENT d ENTRETIEN 1/7

Hygiène alimentaire. Introduction

Le Plan Départemental de l Eau

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective

Système Management Environnemental

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO dans une entreprise

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009

Référent et management

Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans :

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

concession obligatoire pour installer l eau ou le gaz

RENCONTRE PERFORMANCE ENERGETIQUE

L organisation de chantier

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Individualisation de votre contrat de fourniture d eau

Parties communes et services

Synthèse des réponses au questionnaire

PRESENTATION GROUPE LHP

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Bio nettoyage au bloc opératoire

Le confort toute l année

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Notice d'utilisation. Installation solaire avec appareil de régulation KR /2002 FR Pour l'utilisateur

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets

ETUDE. Aff. : MR 9013 Version 1.0 VILLE DE MONTELIMAR ETUDE DE DIAGNOSTIC ET SCHEMA AEP PHASE 3 - ANALYSE DU FONCTIONNEMENT

Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne.

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Risques psychosociaux et petites entreprises Outil "Faire le point"

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

Le 10 ème programme ( ) de l Agence de l eau Seine-Normandie

L hygiène alimentaire en EPHAD

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain

CENTRE HOSPITALIER CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET DES SYSTEMES DE CLIMATISATION

Traitement de l eau par flux dynamique

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

Et après mes travaux?

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP GRADIGNAN CEDEX TÉL. : FAX :

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière Saint-Gély-du-Fesc

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE

Congrès INFRA Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal

VERSION Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé les travaux

Références et partenaires :

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments

STOP à la Transmission des microorganismes!

I. Etapes du service et procédés utilisés

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS

Contexte de la chimiothérapie à domicile

1 222 rue de l Université PARIS 07 téléphone

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1

Hygiène alimentaire en restauration

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?

Le Chef-Gérant LES MÉTIERS DE LA RESTAURATION CHEZ RESTALLIANCE

Transcription:

CRITERE N : 7a INTITULE : Gestion de l eau 1 Note introductive (chapô) La mise en place d une démarche globale de gestion de la qualité de l eau consiste à assurer la maîtrise des risques sanitaires liés à l utilisation de l eau, et doit être réalisée en cohérence avec la gestion du risque al. La gestion du risque al doit prendre en compte la réduction de la consommation, la limitation des pollutions ainsi que la problématique des effluents. Précisions : Champ du critère concerne l eau 1. destinée à la consommation humaine (eau du réseau, eau conditionnée, eau des fontaines réfrigérantes, boissons, glace alimentaire, préparation des repas) 2. L eau à usage sanitaire (eau chaude à usage sanitaire, eau froide à usage sanitaire, toilettes des patients, blanchisserie, lavage des sols, lave bassins ) 3. Les Eaux à usages techniques (eau adoucie, eau distillée, eau déminéralisée, eau traitée, la centrale de traitement d air dont les tours aéro-réfrigérantes et les humidificateurs), la piscine, le chauffage, l arrosage du bassin décoratif ) 4. Les eaux à usages techniques spécifiques (autoclaves, lave-instruments, rinçage final de dispositif médical, automates de laboratoire ) 5. Les eaux à usage médicale (eau purifiée, eau stérile, eau pour hémodialyse, injection, lavage des mains préopératoire) Lien avec les autres critères du manuel : Critère 2e indicateurs, tableaux de bord et pilotage de l établissement Critère 6f Achats éco responsables et approvisionnements Critère 7 e gestion des déchets Critère 8g Maîtrise du risque infectieux Lien référentiel HQE ES : 1. C 5 Gestion de l eau 2. C14 qualité sanitaire de l eau 2- Objectif(s) du critère: 1. ES Identifier et évaluer les principaux risques sanitaires liés à l utilisation de l eau dans les établissements Engager les établissements dans une démarche d économie d eau Limiter et maîtriser les effluents polluants ou non Améliorer le traitement des effluents 2. EV Evaluer l existence d une politique de gestion globale et durable de la ressource en eau, sa mis en œuvre et les résultats Evaluer la maitrise du risque infectieux date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 1/6

3 Champs d application NA à la prise en charge HAD 4 Les éléments d appréciation Questionnement : L établissement prend t-il en compte la qualité sanitaire de l eau au regard de la réglementation en vigueur Un suivi des consommations en eau est-il organisé? si oui, comment? Une prise en compte des impacts aux de son activité sur l eau Connaissance des rejets et leur(s) impact(s) sur les milieux? Eléments d appréciation Eléments explicatifs Modalités d investigation Etape E1 EA Une démarche globale de gestion de la qualité de l eau est définie et validée par l EOH et la CME Compréhension de l EA (de quoi parle-t-on?) la démarche globale prend en compte : La qualité sanitaire de l eau : maîtrise du risque infectieux (contrôle de la qualité des eaux distribués, la prévention du risque de légionellose, le respect des normes de qualité pour les usages spécifiques (dialyse, désinfection ) L éco-gestion : connaissance de son impact al (prise en compte de la consommation, évaluation de la qualité des rejets..) Une réflexion sur des alternatives à la consommation d eau qui peuvent être mise en place : récupération Document(s) de preuve à consulter Stratégie (ou politique ale) définie dans un document : Celui-ci inclut : 1. l approche sanitaire incluant les risques (microbiologiques, chimiques et radiologiques) patrimoniale (réseau, les traitements spécifiques nécessaires) 2. Environnementales (ressources et Personne(s) rencontrée(s) EOHH CLIN Services techniques Direction Question(s) à poser L établissement prend-til en compte la qualité sanitaire de l eau au regard de la réglementation en vigueur? L ES a-t-il connaissance de la typologie de l eau? Connaissance de ses impacts? Les modalités d association du CLIN sont-ils définis? Des moyens de maitrise de la consommation d au Observation(s) sur le terrain (qu est-ce que je regarde et comment?) 1. Résultats d analyse de la qualité de l eau. - Des services - De l eau de boisson - De l eau livrée - De l eau rejetée 2. Il existe un recueil de données sur les consommations des sous traitants. 3. Une politique d achat existe en date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 2/6

E1 La nature des effluents et les risques qu ils génèrent sont identifiés. d eau (autoclave = circuit fermé) La démarche globale intègre la problématique des rejets, notamment avant la mise en place d une nouvelle technique La stratégie globale associe l EOH, le pharmacien (responsable des eaux de dialyse), le responsable du service technique, le responsable du laboratoire assurant l analyse des eaux, au moins un technicien en charge du réseau d eau et des représentants du personnel soignant et le coordonnateur de la gestion des risques pour une 1 ère approche des effluents, il est tout d abord nécessaire d identifier l origine des rejets, puis de connaître les risques générés Exemple de rejets : les rejets de nature domestique (de la cuisine, des produits détergents, des garages et ateliers, de la blanchisserie) Les rejets spécifiques aux hôpitaux (produits désinfectants et antiseptiques, de germes pathogènes, les médicaments, les métaux lourds ) Puis, en fonction des priorités, d autres préoccupations peuvent porter sur la mise en œuvre d une politique de substitution des modes de bio nettoyage (ex vapeur ) rejets) 3. Le carnet sanitaire Fiches techniques Plan de réduction des déchets Plan de réduction des produits nocifs utilisés Convention de rejet Les résultats des contrôles externes (exemple, cas des effluents radios actifs) Registre des déchets dangereux Contrats de traité des effluents dangereux EOHH CLIN Responsables de la maintenance Autres secteurs : labo, rx, cuisine, blanchisserie sont ils recherchés (circuit fermé, toilette, récupération eau de pluie)? Les produits de bio nettoyage utilisés sont pris en compte? En cas de travaux, le clin est systématiquement consulté? Connaissance des rejets et leur(s) impact(s) sur les milieux? la matière. Rencontre CLIN La collecte des effluents est organisée. Un traitement spécifique est mis en œuvre Un traitement des eaux grises existe 1. Un recueil des fiches techniques des produits générant des effluents liquide existe et est a jour. 2. Les volumes sont suivis 3. Leur évolution est analysée. 4. Un plan de réduction des effluents est en place. 5. Des formations sur le sujet sont en place auprès des utilisateurs. 6. La politique d achat intègre date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 3/6

E2 E2 Un plan de maintenance préventif et curatif des installations élaboré avec l EOH (ou équivalents) est mis en œuvre. Des contrôles périodiques de l eau sont menés en lien avec l EOH et tracés. connaissance du réseau : plan, localisation des risques (installations, services), sens de circulation, matériaux Un plan de maintenance est organisé : protocole de désinfection, purge des bras morts et réservoir, détartrage de la robinetterie Fréquence de surveillance de la température chaque semaine au niveau des points d usage, notamment dans les services qui accueillent des patients vulnérables Détermination des points d usage à risque pour les prélèvement en concertation par l équipe technique et l EOH Existence du carnet sanitaire, tableau de bord Plan du réseau d eau Plan de maintenance et Protocoles Connaissance des risques Document assurant la traçabilité des actions (registre des interventions, carnet sanitaire ) Formation du personnel Système de communication en cas de mauvais prélèvement (ex : patient fragilisé identifié si l eau d une chambre est contaminée Carnet sanitaire Résultats des analyses bactériologiques et physico-chimiques réalisés protocoles date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 4/6 EOHH Responsables de la maintenance EOH Le responsable des services techniques Laboratoire d hygiène hospitalière ou de bactériologie chargé des contrôles de l Un dispositif est-il défini dans le cadre de la maintenance des installations? Le dispositif est-il communiqué aux professionnels concernés par la maintenance et le contrôle de l eau? Des dispositifs alternatifs aux traitements chimiques sont mis en œuvre? Les points critiques de contamination du réseau d eau sont ils identifiés et maitrisés? Quelles sont les actions identifiées en cas de mauvais résultats? Ces actions sont elles tracées? des critères spécifiques. Rencontre CLIN Liste des incidents Plan d actions correctrices Rencontre avec les sous traitants qui entretiennent les réseaux 1. Résultats d analyse Rencontre CLIN

E2 E2 Un suivi des postes de consommation d eau est assuré. Un suivi des différents types de rejets est assuré. identifier les points de prélèvement d eau, les circuits de distribution, par exemple mise en place de compteurs divisionnaires afin de connaître la consommation par service, de Réducteurs de pression (si pression supérieure a 3 bars), Solutions hydroéconomes Un dispositif de surveillance et d entretien des effluents est mise en place : connaissance des points de rejets et la nature des effluents rejetés. Par exemple : système de dégrillage en place, réseaux séparatifs, élimination de la présence de médicaments, La traçabilité des rejets liquide jusqu à l élimination est assurée Exemples origine des rejets Les services dits généraux (blanchisserie, la cuisine..), les services médicaux (labo, médecine nucléaire, bloc ) document de Traçabilité du diagnostic Le diagnostic doit porter sur : Identification et caractérisation des équipements/ appareils consommateurs d eau Identification des éventuelles fuites sur le réseau Etudier la possibilité d installer des dispositifs hydro économes (appareils de stérilisation, toilettes, appareils de nettoyage..) document de Traçabilité du diagnostic Le diagnostic doit porter sur : L identification des différents points de rejets (eaux sanitaires, eaux industrielles, eau pluviales, eaux des cuisines) L évaluation (si possible) du débit de ces rejets L identification Le responsable des services techniques Le responsable des services techniques Laboratoire d hygiène hospitalière ou de bactériologie chargé des contrôles de l Un suivi des consommations en eau est-il organisé? si oui, comment (par secteur, par activité)? La consommation d eau générée par les sous traitants est-elle connue ainsi que l évolutivité? Un circuit de collecte des effluents liquides existe t-il? Les résultats d analyse de la qualité de l eau rejetée sont-ils connus et analysés? Quels sont les actions mises en place? exemple : système de traitement des effluents existe Visite - Des compteurs divisionnaires sont en place - Affichage - TB - plan - TB - plan Rencontres date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 5/6

E3 Des actions d amélioration sont mises en œuvre. des dispositifs de traitement en place La vérification de la conformité réglementaire des rejets L identification des types de polluants Plan d action Résultats d évaluation Suivi d indicateurs EOH Quel(s) sont les dysfonctionnements Quelles actions avezvous menées ou envisagez-vous de mener? - Le plan d action. - Les ratios et leur évolution Rencontres Pour en savoir plus : Circulaire N DGS/EA4/2010/448 du 21 décembre 2010 : http://www.circulaires.gouv.fr/pdf/2010/12/cir_32280.pdf Arrêté du 1er février 2010 relatif à la surveillance des légionelles dans les installations de production, de stockage et de distribution d'eau chaude sanitaire : http://www.legifrance.gouv.fr/affichtexte.do?cidtexte=jorftext000021795143&datetexte=&categorielien=id Surveiller et prévenir les infections associées aux soins, volume WVIII N 4 -septembre 2010 date de création : 260309 date de modification : 18 02 2011 6/6