T ABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE : CONTEXTE ET EFFETS DES POLITIQUES



Documents pareils
Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13

Plan de la présentation

Le diagnostic Partagé,

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

Portfolio du choix professionnel

Manuel utilisateur Contenu

Séminaire 20 avril 2006 REMUNERATIONS VARIABLES. Options sur actions. Jean-Louis Davain

CHARLES MULLENDERS Fiche d identité

GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE

Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants.

ASSEMBLEE GENRALE 2015

LUTTER CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Fiche de projet pour les institutions publiques

MANAGEMENT DES SYSTEMES D INFORMATION ET DE PRODUCTION MSIP

Portage salarial : caractéristiques et formalités obligatoires du CDD

LIVRET D ACCUEIL. Je vous félicite d avoir pris la décision de. Le mot de la Directrice du CFA SACEF

LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin /5

Règlement d Ordre Intérieur du service «Accueil Assistance» Remplacement de personnel dans les milieux d accueil

Nos enfants: Notre présent notre avenir! Présentation du «Chèque-Service Accueil»

Etape 1 : paramétrage et choix du modèle d organisation

Quel est le temps de travail des enseignants?

Les planificateurs financiers

Permettez à un jeune de consolider sa formation professionnelle à l international dans le domaine de l humanitaire, +

Restaurant Scolaire d Ampuis REGLEMENT

EH Intelligence by Sidetrade. Maîtriser le risque sur le bout des doigts

LE HARCELEMENT A L ECOLE

Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international

Le guide des parents

Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité»

Sensibilisation à la première affiliation au Régime Général de l Assurance Maladie des jeunes sous statut salarié

MMA - Projet Capacity Planning LOUVEL Cédric. Annexe 1

La place des territoires pour une politique de rénovation énergétique ambitieuse des logements

L approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL

COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015

Cahier des Clauses Techniques Particulières. Convergence Voix - Données

Stéphanie Delvaux. Responsable Espace associatif, Agence Conseil en Economie Sociale (AGES)

Définition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

Réforme des rythmes scolaires Les nouvelles activités péri-éducatives. S e r v i c e péri-scolaire

Expert. en Protection Sociale Complémentaire

Notions et définitions utiles

document non contractuel - Juin réalisation : mgefi vos démarches Sécu Mutuelle

Pour vos études à l étranger, avez-vous pensé à votre santé?

CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES

La sécurité sociale de l'indépendant

Séminaire des chefs de centre

Réformedes. rythmes, quel. temps pour. Rythmes scolaires : plus de 80% de participation au questionnaire diffusé par la Ville

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise?

Module Projet Personnel Professionnel

Comment dimensionner un réseau logistique européen? Quels enjeux pour la Supply Chain?

Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich

Dossier d inscription

Notre mission : Faciliter l'export Un atout en PLUS

Critères de qualité des projets

L Application Performance Management pourquoi et pour quoi faire?

Faut-il développer la scolarisation à deux ans?

données à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;

PRDFP Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.

Le grand livre du DSI

GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins!

Tout dépend de ce qu on veut évaluer

REPUBLIQUE TUNISIENNE. Ecole Supérieure d Agriculture de Mograne

Les assurances et les congés

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur A. Les notions de base de mathématiques financières B. Les annuités constantes...

ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT

Mai est le mois de l activité physique

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

Une école adaptée à tous ses élèves

LES REGLES DE VOL VFR

INFORMATION LOGEMENT POUR LES CDD (contrat de travail à durée déterminée)

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Transport à la demande Mille Pattes. Règlement d exploitation

scolaire, votre avis compte pour nous

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

QUESTIONNAIRE D INTÉGRATION

REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation Chapitre 1 L intérêt Chapitre 3 Les annuités III. Entraînement...

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

LES PME EN 2010 ATTENDRE OU ENTREPRENDRE?

ma référence solidaire

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Ressources humaines. Joëlle Imbert. Les tableaux de bord RH. Construire, mettre en œuvre et évaluer le système de pilotage

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Base de données documentaires [financement ACSE]

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

Maîtriser les mutations

Site Internet. Tapez « dans la barre d adresse d Internet Explorer

Évaluation et recommandations

Accélérer l agilité de votre site de e-commerce. Cas client

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA

Les documents primaires / Les documents secondaires

Transcription:

T ABLE DES MATIÈRES Table des matières Sommaire....................................................... 7 PREMIÈRE PARTIE : CONTEXTE ET EFFETS DES POLITIQUES INTRODUCTION Politiques et outils de «l école de la performance» : accountability, régulation par les résultats et pilotage.................................................... 13 1. LES NOUVELLES POLITIQUES DE RÉGULATION PAR LES RÉSULTATS : UNE TENDANCE INTERNATIONALE ET MULTIFORME...................... 15 2. LES POLITIQUES DE RÉGULATION PAR LES RÉSULTATS : QUATRE DIMENSIONS COMMUNES................................... 22 3. PROBLÉMATIQUES ET QUESTIONNEMENTS DE L OUVRAGE................. 25 CHAPITRE 1 Évaluation standardisée des élèves et inégalités scolaires d origine sociale : discours théoriques et réalité empirique................ 33 1. INTRODUCTION.................................................. 34 2. ÉVALUATION STANDARDISÉE ET ÉGALITÉ DE RÉSULTATS SCOLAIRES : LES CADRES THÉORIQUES POLITIQUES ET PÉDAGOGIQUES.................. 36

242 L école à l épreuve de la performance 2.1 Le cadre théorique politique de l évaluation standardisée : un instrument de régulation des systèmes éducatifs................ 36 2.1.1 Évaluation standardisée et rénovation de la gestion de l État : le New Public Management................................ 36 2.1.2 La logique économiste de l évaluation standardisée............. 37 2.2 Le cadre théorique pédagogique de l évaluation standardisée : des modèles encore en construction............................ 39 3. LES EFFETS RÉELS DE L ÉVALUATION STANDARDISÉE SUR LES INÉGALITÉS SCOLAIRES DE RÉSULTAT........................... 42 4. ÉVALUATION STANDARDISÉE ET PROCESSUS ÉDUCATIFS : ATTITUDES ET USAGES AMBIVALENTS PAR LES ENSEIGNANTS............... 45 DEUXIÈME PARTIE : TRAJECTOIRES DES POLITIQUES CHAPITRE 2 La réforme managériale comme moyen d améliorer les performances scolaires nationales. Le cas du rapport Dovrat en Israël......................... 53 1. INTRODUCTION.................................................. 54 2. PERSPECTIVES THÉORIQUES SUR LES RÉFORMES ÉDUCATIVES ET APPROCHE NÉOWEBERIENNE..................................... 56 3. LA CONSTRUCTION DU DISCOURS MANAGÉRIAL......................... 60 3.1 Première période de structuration du discours managérial et construction des objets sociaux (1980-2000)................... 60 3.1.1 La décentralisation....................................... 60 3.1.2 L autonomie des établissements et le school- based management............................ 61 3.1.3 Choix des parents....................................... 62 3.2 Seconde période de structuration du discours managérial (2000- ) : le problème social de «l écart de performances scolaires entre pays», la Commission Dovrat et la construction des objets sociaux.......... 63 3.2.1 La construction du problème social de «l écart de performances scolaires entre pays».............. 63 3.2.2 La Commission Dovrat et le savoir managérial pratique........... 65 3.2.3 La construction d objets sociaux réformistes................... 66 3.2.4 Évaluation, standards et mesure............................ 66 3.2.5 Amélioration du statut des enseignants et empowerment des chefs d établissement................... 68 4. CONCLUSION.................................................... 68

Table des matières 243 CHAPITRE 3 Une expérience hongroise visant à gouverner par les nombres genèse et évolution du Système National de Mesure des Compétences................... 71 1. CHUTE DU COMMUNISME ET TRANSITION POLITIQUE : DE LA PROMOTION DE L AUTONOMIE AUX PREMIÈRES TENTATIVES DE RENFORCEMENT DU CONTRÔLE POLITIQUE CENTRAL................... 72 2. CONTEXTE INTERNATIONAL ET GOUVERNANCE PAR LES CHIFFRES........... 74 3. PAS INCERTAINS EN VUE D IMPLANTER LA DÉMARCHE QUALITÉ DANS LES ÉCOLES............................. 75 4. LA QUALITÉ UN OBJECTIF À ATTEINDRE............................. 76 5. L ÉVOLUTION DU SYSTÈME NATIONAL DE MESURE DES COMPÉTENCES DE L ÉVALUATION FORMATIVE À LA REDDITION DE COMPTES............ 78 5.1 Questions d échantillonnage................................... 82 5.2 Dimension des populations soumises aux épreuves................. 83 5.3 Publicité des résultats et modalités du retour des informations....... 83 5.4 Sanctions.................................................. 84 6. CONCLUSION.................................................... 86 CHAPITRE 4 Perspective historique de la construction du modèle québécois de gestion scolaire axée sur les résultats....................................... 89 1. POLITIQUES DE REDDITION DE COMPTES ET GESTION AXÉE SUR LES RÉSULTATS EN ÉDUCATION UNE TENDANCE INTERNATIONALE.................................. 91 2. LE MODÈLE QUÉBÉCOIS DE GESTION DE L ÉDUCATION PAR RÉSULTATS : DU RAPPORT PARENT AU PROJET DE LOI 88, EN PASSANT PAR LE PROJET DE LOI 82......................................... 93 2.1 La construction du modèle : du souci de participation locale aux objectifs de réussite mesurables............................. 93 2.2 Le modèle actuel............................................ 96 3. ENJEUX ET DÉFIS DU MODÈLE...................................... 103 4. CONCLUSION.................................................... 105 CHAPITRE 5 La construction des dispositifs d évaluation externe en Belgique : un processus de traduction............... 107

244 L école à l épreuve de la performance 1. LE DISPOSITIF SOCIO- TECHNIQUE AUJOURD HUI......................... 109 1.1 La construction des épreuves.................................. 109 1.2 Le traitement et la communication des résultats................... 112 2. DE L INVENTION À L INNOVATION................................... 113 3. LE MODÈLE DE L INTÉRESSEMENT.................................... 115 4. OUTILS D ÉVALUATION : ESQUISSE D UNE COMPARAISON................. 117 5. CONCLUSION.................................................... 120 TROISIÈME PARTIE : RÉCEPTIONS ET USAGES DES POLITIQUES CHAPITRE 6 Modalités de mise en œuvre des instruments d évaluation externe et institutionnalisation de la régulation par les résultats dans les établissements scolaires......................... 125 1. INTRODUCTION.................................................. 126 2. POLITIQUE D ÉVALUATION ET NOUVEAU MODE DE RÉGULATION SCOLAIRE EN COMMUNAUTÉ FRANÇAISE DE BELGIQUE........................... 127 3. LES PERSPECTIVES THÉORIQUES...................................... 128 4. L ENQUÊTE..................................................... 130 5. LES PRATIQUES, RÔLES ET CATÉGORIES SOCIAUX ASSOCIÉS À L INSTITUTIONNALISATION DES ÉVALUATIONS EXTERNES................. 131 6. LA CONSTRUCTION DE FORMES LOCALES DE LÉGITIMITÉ.................. 134 7. LES ÉVALUATIONS EXTERNES ET LE RECOUPLAGE........................ 136 8. CONCLUSION.................................................... 137 CHAPITRE 7 La gestion axée sur les résultats dans le système éducatif du Québec : du discours à la pratique......... 141 1. LA GAR DANS L ADMINISTRATION PUBLIQUE ET LE SYSTÈME ÉDUCATIF.......................................... 142 2. UN EXAMEN DES CONVENTIONS DE PARTENARIAT ET DES CONVENTIONS DE GESTION ET DE RÉUSSITE SCOLAIRE (CGRÉ)........................ 146 2.1 La convention de partenariat : le contenu exigé................... 146

Table des matières 245 2.2 La convention de partenariat : le contenu réel et les constats dégagés du regard analytique et critique............ 146 2.3 La convention de gestion et de réussite éducative (CGRÉ) : le contenu exigé et réel....................................... 148 2.4 La CGRÉ : les constats dégagés du regard analytique et critique...... 148 3. LA FAÇON DONT A ÉTÉ PERÇUE ET VÉCUE LA CONTRACTUALISATION........ 149 3.1 L accueil................................................... 149 3.2 Le processus de production des conventions...................... 150 4. DES ORIENTATIONS VÉHICULÉES PAR LA GAR QUÉBÉCOISE ET UN EFFET PARADOXAL.......................................... 152 5. CONCLUSION.................................................... 155 CHAPITRE 8 Les systèmes d indicateurs des établissements scolaires de Suisse : quelle cohérence avec les déterminants de la performance scolaire?.... 157 1. INTRODUCTION ET OBJECTIFS....................................... 158 2. DÉTERMINANTS DE LA PERFORMANCE SCOLAIRE........................ 160 2.1 Autonomie de l établissement scolaire........................... 161 2.2 Caractéristiques des enseignants................................ 162 2.3 Examens externes............................................ 163 2.4 Environnement familial et caractéristiques parentales............... 165 2.5 Ressources................................................. 166 2.5.1 De manière générale..................................... 166 2.5.2 Taille des classes........................................ 166 2.6 Concurrence................................................ 167 2.7 Effets de pairs............................................... 168 2.8 Taille de l établissement....................................... 168 3. SYSTÈME D INDICATEURS UTILISÉS................................... 169 3.1 Précisions méthodologiques................................... 169 3.2 Constats dans les établissements de la scolarité obligatoire.......... 171 3.3 Indicateurs développés dans les établissements de la scolarité obligatoire..................................... 175 3.3.1 Prestations............................................. 175 3.3.2 Processus.............................................. 176 3.3.3 Ressources............................................. 176 3.3.4 Apprentissage organisationnel.............................. 176 4. ALIGNEMENT DES INDICATEURS AVEC LES DÉTERMINANTS DE LA PERFORMANCE SCOLAIRE................. 177 5. CONCLUSION.................................................... 179

246 L école à l épreuve de la performance CHAPITRE 9 Le travail réel des directeurs d établissements scolaires en Suisse romande au temps de la nouvelle gouvernance................... 181 1. INTRODUCTION.................................................. 182 2. LE SYSTÈME ÉDUCATIF SUISSE : ENTRE CULTURE DE LA DIVERSITÉ ET VOLONTÉ D HARMONISATION DES PRATIQUES SCOLAIRES............... 184 3. ÉLÉMENTS MÉTHODOLOGIQUES DE L ENQUÊTE......................... 185 4. SPÉCIFICITÉS D UN TRAVAIL MARQUÉ PAR LA TRANSITION ENTRE DEUX MODÈLES DE PILOTAGE................................. 186 4.1 Un travail envahi par les tâches bureaucratiques................... 187 4.2 L art de composer avec des sollicitations contradictoires............ 188 4.3 Le rôle d interface entre priorités du système et réalités du contexte local................................... 190 4.4 La légitimité d une fonction sans réel pouvoir de contrôle........... 192 5. CONCLUSION.................................................... 194 CHAPITRE 10 La performance comme outil de gouvernance : quelles conséquences sur le travail des enseignants de l école primaire?.................... 195 1. L ÉCOLE FRANÇAISE À LA RECHERCHE DE LA PERFORMANCE............... 196 2. LA LOLF : LA PERFORMANCE COMME PRINCIPE ET COMME MÉTHODOLOGIE. 198 3. LA LOI DE 2005 ET LE PILOTAGE DE L ÉCOLE PAR LA PERFORMANCE....... 200 4. RECHERCHE DE PERFORMANCE ET IDÉAL D ÉGALITÉ DES CHANCES.......... 203 5. LA CULTURE DU RÉSULTAT ET L EXEMPLE DES ÉVALUATIONS NATIONALES DES ÉLÈVES DE L ÉCOLE PRIMAIRE................................... 205 6. L INCOMPRÉHENSION DES ENSEIGNANTS FACE À L INTRODUCTION DE LA PERFORMANCE............................................. 207 7. CONCLUSION.................................................... 209 Index............................................................. 211 Bibliographie générale.......................................... 217 Annexes.......................................................... 239 1. ANNEXE AU CHAPITRE 1 : MÉTHODOLOGIE DE LA REVUE DE LA LITTÉRATURE............................................... 239 2. ANNEXE AU CHAPITRE 3 : ENTRETIENS MENÉS......................... 240