RÔLES ÉMERGEANTS DU CONSEILLER PÉDAGOGIQUE EN FPT ET SAVOIRS DE CONSEILLANCE REVISITÉS COLLOQUE CCCFPT 27 MARS Yves Boucher et Louise Royal, Université de Sherbrooke, Département de gestion de l éducation et de la formation Microprogramme en conseillance pédagogique www.usherbrooke.ca/gef/conseillance-pedagogique/
INTENTIONS DE L ATELIER Dégager collectivement : - les rôles du Cp attendus actuellement par le milieu; - les savoirs de conseillance nécessaires pour répondre à ces attentes; - des pistes d actions susceptibles de favoriser le développement professionnel du CP en cohérence avec ces attentes. 2
LES RÔLES DU CP ATTENDUS ACTUELLEMENT PAR LE MILIEU À partir de la grille: «Les attentes de rôles à l égard du conseiller pédagogique en FPT» (inspirée de l analyse de situation de travail CCCPFT, 2000) - Réflexion personnelle (ajouts si nécessaire) - Partage en sous-groupes (éléments convergents) - Mise en commun 3
NOTRE POSITION COMME CP Qu est-ce qu il serait souhaitable que j exerce comme rôles pour améliorer l efficacité de mon centre? - Discussion en sous-groupes (ajouts si nécessaire) - Mise en commun 4
REGARD SUR LE CONTEXTE ORGANISATIONNEL EN - La gestion axée sur les résultats (GAR) - La recherche sur les principaux facteurs de réussite et de persévérance scolaires - Le CP comme «agent de changement» 5
LA GESTION AXÉE SUR LES RÉSULTATS (GAR) Origine et définition: Colloque CCCPFPT - Boucher et Royal, Le Secrétariat du Conseil du trésor (2000) définit ainsi la gestion axée sur les résultats : La gestion axée sur les résultats est une approche de gestion fondée sur des résultats mesurables répondant aux objectifs et aux cibles définis préalablement en fonction des services à fournir. Elle s exerce dans un contexte de transparence, de responsabilisation et de flexibilité quant aux moyens utilisés pour atteindre les buts visés. MELS, 2009, Guide d implantation 6
LA GESTION AXÉE SUR LES RÉSULTATS (GAR) Il s agit d un virage important dans la gouvernance scolaire : un mode de gouvernance axée sur la responsabilisation de chaque palier et une meilleure cohérence des actions de chacun dans le respect de l autonomie de la commission scolaire et de la spécificité de chaque établissement. La persévérance et la réussite scolaires seront au cœur de la première génération de conventions de partenariat. C est donc pour canaliser nos efforts que nous concentrerons nos énergies sur cinq buts dans les premières conventions. Bien entendu, une commission scolaire pourrait décider de se fixer ellemême des objectifs additionnels, si elle le juge à propos. Le succès de la démarche reposera sur la mobilisation des milliers d intervenants des commissions scolaires, des établissements, des parents et des partenaires socioéconomiques. Le leadership qu exercera la commission scolaire sera ainsi primordial dans la mise en place des conventions. MELS, 2009, Guide d implantation 7
L ÉCOLE, J Y TIENS! MELS 2009 «Il nous faut tout mettre en oeuvre pour améliorer le taux de diplomation, d abord pour les jeunes eux-mêmes, dont l avenir est directement lié à leur formation, mais également pour le Québec, qui a besoin d eux pour relever les défis sociaux, économiques et culturels qui se posent à lui.» Ministère de l Éducation du Loisir et du Sport du Québec. (2009). L école, j y tiens : Tous ensemble pour la réussite scolaire. 8
POURQUOI EST-CE SI IMPORTANT AUJOURD HUI DE FAIRE RÉUSSIR L ENSEMBLE DES ÉLÈVES? 9
Effets du décrochage scolaire Données issues du Rapport Ménard (2008) Colloque CCCPFPT - Boucher et Royal, LES CONSÉQUENCES 1. Enjeux pour les individus Non-diplômés Diplômés Revenu annuel moyen 25 000 $ 40 000 $ Taux de chômage moyen 15 % 7 % Espérance de vie moyenne 75 ans 82 ans Risque de dépression à l âge adulte 15 % 9 % Proportion de la population carcérale 63 % 37 % 2. Enjeux pour la société 2.1 L engagement citoyen Quelques exemples: Les diplômés font du bénévolat de 2 à 5 fois plus que les non-diplômés; Les diplômés votent de 15 % à 30 % plus que les non-diplômés;. 2.2 Les coûts sociaux Pour chaque cohorte annuelle et ce, sur la durée moyenne de vie, le manque à gagner, soit les sommes d argent qu ils ne paieront pas en taxes et impôts versus les sommes d argent qu ils nécessiteront en services sociaux, représente 1,9 milliard $. 10
LES DÉBOUCHÉS POUR LES NON DIPLÔMÉS Au Canada, en 1976, 25 % des emplois étaient dans le secteur manufacturier. Au Canada, en 2005, 10% des emplois étaient dans le secteur manufacturier. Statistique Canada, 2005 11
LES CINQ BUTS DU MELS PLAN STRATÉGIQUE 2009-2013 La première génération de conventions de partenariat deviendra le porte-étendard des orientations ministérielles notamment en matière de persévérance et de réussite scolaires. Un nombre restreint de buts sont déterminés : L augmentation de la diplomation et de la qualification avant l âge de 20 ans; L amélioration de la maîtrise de la langue française; L amélioration de la persévérance scolaire et de la réussite scolaire chez certains groupes cibles, particulièrement les élèves handicapés ou en difficulté d adaptation ou d apprentissage; L amélioration de l environnement sain et sécuritaire dans les établissements; L augmentation du nombre d élèves de moins de 20 ans en formation professionnelle. 12
SYSTÈME MELS POUR L IMPLANTATION DE LA GAR MELS Convention C.S. (plan str.) (plan str.) Réussite Convention École/Centre (p.é., p.r.) Schéma p.5-guide d implantation MELS, 2009 13
AU REGARD DE LA GESTION AXÉE SUR LES RÉSULTATS Quels rôles déjà identifiés sont particulièrement sollicités? Y a-t-il des rôles nouveaux qui émergent? 14
QU EST-CE QUI FAIT RÉUSSIR ET PERSÉVÉRER LES ÉLÈVES? OU, VU AUTREMENT, QU EST-CE QUI LES FAIT ÉCHOUER, ABANDONNER? 15
L ENSEMBLE DE LA RECHERCHE AU QUÉBEC ET AILLEURS NOUS DIT QUE: - Entre 40% et 50% des décrocheurs ont comme principale caractéristique le manque d engagement, d intérêt, de motivation. - La moitié seulement des décrocheurs a des troubles d apprentissage et/ou de comportement. (Archambault, Janosz, Potvin, Royer ) 16
L INCONTOURNABLE QUESTION DE L ENGAGEMENT / MOTIVATION (USA) Dimensions of motivation Researchers Competence Control / autonomy Interest / Value Relatedness Ryan & Decl Pintrich Seifert The students believes he or she has the ability to complete the task The student feels in control by seeing a direct link between his or her actions and an outcome, and retains autonomy having some choice about whether or how to undertake the task The students has some interest in the task or sees the value of completing it Completing the task brings the student social rewards such as a sense of belonging or approval from a person of social importance Adapté de : Usher, A. & Kober, N. Student Motivation: An Overlooked Piece of School Reform, 2012 CENTER ON EDUCATION POLICY, THE GEORGE WASHINGTON UNIVERSITY 17
L INCONTOURNABLE QUESTION DE L ENGAGEMENT / MOTIVATION(QC) La tâche devrait tenir compte de la «perception» de l élève : - du sentiment de compétence; - du sentiment de contrôle (choix); - de sa valeur ou de son utilité (sens); - du but de performance ou de maîtrise. Tiré de: Archambault, J. et Chouinard, R. (2009). Vers une gestion éducative de la classe. 3 e édition. Montréal. : Chenelière Éducation. p. 172 18
DIT AUTREMENT Les cinq «C» pour la génération «C» L école semble condamnée à être «intéressante» i.e. de satisfaire les besoins des jeunes de: 1- comprendre/connaître (curiosité, sens) 2- choisir ( les modalités, les moments, le médium, ) 3- créer (résoudre, innover) 4- collaborer (travailler avec d autres pour apprendre et pour produire) 5- communiquer (être en relation avec ses pairs, d autres élèves, sa communauté, la planète ). Les enseignants devront être de plus en plus capables d offrir assez régulièrement aux élèves des environnements pédagogiques qui tiendront compte de ces éléments. 19
AU REGARD DES FACTEURS DE RÉUSSITE ET DE PERSÉVÉRANCE SCOLAIRES Quels rôles déjà identifiés sont particulièrement sollicités? Y a-t-il des rôles nouveaux qui émergent? 20
OUTRE LA RÉUSSITE DISCIPLINAIRE, QUELLES COMPÉTENCES ET ATTITUDES LES JEUNES DOIVENT-ILS DÉVELOPPER POUR FAIRE FACE AUX DÉFIS DU 21 E SIÈCLE? 21
RÉFLEXIONS DES ORGANISATIONS Au nombre des compétences les plus importantes que l école permet d acquérir pour ce qui touche à la viabilité, figurent la réflexion critique, l auto-analyse, l analyse des médias, la prise de décisions individuelles et collectives et la résolution des problèmes. (p.43) les compétences cruciales plus élevées, transversales aux individus et aux disciplines, qui préparent de futurs adultes informés et responsables dans le monde du XXIe siècle. (p.44) OCDE, (2001). L école de demain : Quel avenir pour nos écoles? 22
RÉFLEXIONS DES ORGANISATIONS (SUITE) UNESCO, 2009 Une société innovante prépare les gens non seulement à embrasser le changement et à s y adapter, mais aussi à le gérer et à l influencer. Alors que les sociétés sont confrontées à des changements rapides, on privilégie l aptitude des citoyens à penser de façon critique, à résoudre les problèmes, à respecter la diversité et à adopter un mode de vie durable. Vers une vision holistique de l éducation : UNESCO, 2009,Document d information 35C/INF.16 23
RÉFLEXIONS DES ORGANISATIONS (SUITE) The Assessment and Teaching of 21st-Century Skills project brought together more than 250 researchers across 60 institutions worldwide who categorized 21st-century skills internationally into four broad categories: Ways of thinking: Creativity, critical thinking, problem-solving, decisionmaking and learning Ways of working: Communication and collaboration Tools for working: Information and communications technology (ICT) and information literacy Skills for living in the world: Citizenship, life and career, and personal and social responsibility OCDE, (2012). Preparing Teachers and Developing School Leaders for the 21st Century: Lessons from around the World, Schleicher, A.(ed.) 24
RÉFLEXIONS DES ORGANISATIONS (SUITE) Or, le citoyen du XXIe siècle est confronté à des enjeux de plus en plus complexes, où l intégration des connaissances et la capacité de les transférer dans des contextes changeants deviennent incontournables. Les attentes actuelles de la société envers l école se font plus grandes. Si elle doit toujours viser la réussite du plus grand nombre selon des barèmes scolaires, elle doit aussi préparer l ensemble des jeunes à réussir leur vie et à contribuer à l essor de la société. PFÉQ sec 2 e cycle, chapitre 1, page 1 25
RÉFLEXIONS DES ORGANISATIONS (SUITE) Problemsolving, reflection, creativity, critical thinking, learning to learn, risk-taking, collaboration, and entrepreneurship will become key competences for a successful life (p.10) The Future of Learning: Preparing for Change European Commission, 2011, Institute for Prospective Technological Studies 26
DES COMPÉTENCES TRANSVERSALES? ordre intellectuel: exploiter l information; résoudre des problèmes; exercer son jugement critique; mettre en oeuvre sa pensée créatrice; ordre méthodologique: se donner des méthodes de travail efficaces; exploiter les technologies de l information et de la communication; ordre personnel et social: coopérer; (actualiser son potentiel); ordre de la communication: communiquer de façon appropriée. 27
Quelles sont les caractéristiques des environnements d apprentissage efficaces pour justement faire réussir l ensemble des élèves et favoriser le développement des compétences et attitudes nécessaires aux jeunes d aujourd hui? 28
OCDE Colloque CCCPFPT - Boucher et Royal, AU-DELÀ DES CONTENUS DISCIPLINAIRES: CONCLUSIONS TRANSVERSALES SUR L APPRENTISSAGE: 1-L environnement d apprentissage reconnaît que les apprenants sont ses participants essentiels, encourage leur implication active et les aide à comprendre leur activité apprenante 2- L environnement d apprentissage se fonde sur la nature sociale de l apprentissage et encourage activement l apprentissage coopératif bien organisé. 3-Les professionnels de la communauté d apprentissage sont très conscients des motivations des apprenants et du rôle déterminant des émotions dans les résultats. 4- L environnement d apprentissage est très attentif aux particularités individuelles de ses apprenants, notamment au plan de leur bagage cognitif. 5- L environnement d apprentissage conçoit des programmes qui demandent du travail et sont stimulants pour tous, mais sans excès. 6- L environnement d apprentissage opère dans la clarté des attentes et déploie des stratégies d évaluation conformes à celles-ci ; il accorde une place privilégiée au feedback formatif en appui aux apprentissages. 7- L environnement d apprentissage promeut fortement la «connexité horizontale» entre domaines de connaissances et disciplines, mais aussi avec la communauté et le monde par l apprentissage par investigation (projets, résolution de problème, ) et l utilisation des TIC. - COMMENT APPREND-ON? LA RECHERCHE AU SERVICE DE LA PRATIQUE OECD 2010 - Preparing Teachers and Developing School Leaders for the 21st Century, Lessons from around the World, OECD 2012 29
TROP POUR UN PROF? Une piste moderne La CAP 30
LES ORGANISATIONS APPRENANTES DANS LA LITTÉRATURE Fin des années 1980: le terme ORGANISATION APPRENANTE apparaît explicitement dans la littérature Depuis les années 90: un nouveau paradigme de changement marque les travaux de recherche: les théories de l apprentissage, et certaines approches d orientation constructiviste.
LES CARACTÉRISTIQUES D UNE CAP QUE L ON RETROUVE DANS L ENSEMBLE DE LA LITTÉRATURE SCIENTIFIQUE ET PROFESSIONNELLE Vision et valeurs communes Mise en commun des pratiques professionnelles Mise à l essai de nouvelles pratiques Dialogue réflexif Centration sur les apprentissages Utilisation de CIR
CONTEXTE PERTINENT POUR AMÉLIORER L EFFICACITÉ DE L ORGANISATION, PARTICULIÈREMENT POUR LES MILIEUX OÙ L ON FAIT FACE À: La complexité du mandat (connaissances et compétences requises) La pression externe (compétition/reddition de comptes) Le besoin d innovation (amélioration continue) L abondance de R&D L interdépendance des acteurs Des ressources limitées Cohendet, Roberts et Simon, Revue Gestion, Hiver 2011
ET CE CONTEXTE ÇA NOUS RESSEMBLE? «Tous les intervenants membres de la direction de l école, du personnel enseignant, du personnel des services éducatifs complémentaires et du personnel de soutien doivent collaborer pour créer les conditions d enseignement-apprentissage les plus favorables. Il faut ainsi dépasser les compétences individuelles et faire émerger une compétence collective. L école : une organisation apprenante: À cette fin, ces organisations s assurent de l adhésion de tous les personnels à une vision commune; elles font appel au partage d expertise de même qu à la communication et à la concertation entre des acteurs aux formations et aux talents divers; elles investissent dans la formation continue; elles constituent un lieu de construction de savoirs et d émergence de solutions inédites aux problèmes auxquels elles font face.» PFEQ, sec. 2e cycle, p22
AU REGARD DES COMPÉTENCES DU 21 E SIÈCLE ET DES ENVIRONNEMENTS D APPRENTISSAGE EFFICACES Quels rôles déjà identifiés sont particulièrement sollicités? Y a-t-il des rôles nouveaux qui émergent? 35
LE CP COMME AGENT DE CHANGEMENT Facilitateur Spécialiste du processus Chercheur Conseil à la prise de décision Collaborateur Formateur Expert Avocat Système-CLIENT CONSEILLER Centré sur le processus Centré sur l expertise Lippitt et Lippitt, 1980 36
AU REGARD DU CONTINUUM DE RÔLES DE LIPPITT & LIPPITT Quels rôles déjà identifiés sont particulièrement sollicités? Y a-t-il des rôles nouveaux qui émergent? 37
ATTENTES, RÔLES ET SAVOIRS DE CONSEILLANCE Le CP détient une fonction conseil auprès de tous les intervenants scolaires Le CP est un accompagnateur et intervient afin d atteindre des cibles organisationnelles Il est un acteur important au sein des équipes Ses interventions font appel à de nouveaux savoirs sans égard à leur domaine d expertise: les savoirs de conseillance Royal, Gagnon et Ménard (2013). La création d un microprogramme en conseillance pédagogique: une expérience de partenariat. In Formation continue, recherche et partenariat, Landry et Garant (Dir.). Québec: PUQ, p. 93-113 38
SAVOIRS DE CONSEILLANCE REGROUPÉS 1- Formateur d adultes (andragogie, formation professionnalisante/transfert, vigie de recherche, ) 2- Savoirs relationnels (travail d équipe, CAP, conseil, distribution du leadership, ) 3- Facilitateur de changement (analyse de situation, analyse des forces et défis, propositions de stratégies de changement, ) 39
À PARTIR DE CE QUE L ON DEVRAIT FAIRE Quels sont les savoirs de conseillance qui découlent des rôles jugés souhaitables et qui sont essentiels pour être efficace et efficient? - Discussion en sous-groupes - Mise en commun 40
POUR PERMETTRE LE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU DES CP AU REGARD DES SAVOIRS DE CONSEILLANCE ESSENTIELS AUJOURD HUI Ensemble, pouvons-nous identifier des ressources et des conditions organisationnelles favorables et réalistes? Ressources: formations externes, co-développement, CAP, organismes, colloques, réseautage, sites web Conditions: conditions de travail, organisation du travail, organisation des services 41
RETOUR SUR LES INTENTIONS Dégager collectivement : - les rôles du Cp attendus actuellement par le milieu; - les savoirs de conseillance nécessaires pour répondre à ces attentes; - des pistes d actions susceptibles de favoriser le développement professionnel du CP en cohérence avec ces attentes. 42
RÉFÉRENCES Archambault, J. et Chouinard, R. (2009). Vers une gestion éducative de la classe. 3 e édition. Montréal. : Chenelière Éducation. p. 172 Janosz, (2000). L ABANDON SCOLAIRE CHEZ LES ADOLESCENTS, http://www2.cndp.fr/revuevei/122/10512711.pdf Lippitt, G. et Lipptt R. (1980). La pratique de la consultation. Ottawa : Éditions NHP (1 re édition américaine 1978). MELS, Guide d implantation, GAR, 200 http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/publications/publications/bsm/convpart enariat_guideimplantation.pdf Ministère de l Éducation du Loisir et du Sport du Québec. (2009). L école, j y tiens : Tous ensemble pour la réussite scolaire. http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/publications/publications/epeps/format ion_jeunes/lecolejytiens_tousensemblepourlareussitescolaire.pdf 43
RÉFÉRENCES Ménard, (2008). Savoir pour pouvoir : Entreprendre un chantier national pour la persévérance scolaire http://www.bmo.com/bmo/files/images/4/2/savoirpourpouvoir.pdf OCDE, (2001). L école de demain : Quel avenir pour nos écoles? http://www.keepeek.com/digital-asset-management/oecd/education/quel-avenirpour-nos-ecoles_9789264295001-fr OCDE, (2010). Comment apprend-on? La recherche au service de la pratique http://www.keepeek.com/digital-asset-management/oecd/education/commentapprend-on_9789264086944-fr OCDE, (2012). Preparing Teachers and Developing School Leaders for the 21st Century: Lessons from around the World, Schleicher, A.(ed.) http://browse.oecdbookshop.org/oecd/pdfs/free/9812021e.pdf 44
RÉFÉRENCES Royal, Gagnon et Ménard (2013). La création d un microprogramme en conseillance pédagogique: une expérience de partenariat. In Formation continue, recherche et partenariat, Landry et Garant (Dir.). Québec: PUQ, p. 93-113 Royal (À paraître). Processus d intervention du conseiller pédagogique. Tardif, J. (1997). Pour un enseignement stratégique. L apport de la psychologie cognitive. 2 e édition, Montréal, Éditions Logiques UNESCO, 2009,Document d information 35C/INF.16 : Vers une vision holistique de l éducation http://unesdoc.unesco.org/images/0018/001838/183841f.pdf Usher, A. & Kober, N., (2012). Student Motivation: An Overlooked Piece of School Reform, CENTER ON EDUCATION POLICY, The George Washington University http://www.cep-dc.org/displaydocument.cfm?documentid=405 45