Trachée. Lobe crânial (ou apical) Lobe moyen (ou cardiaque) Lobe azygos. Lobe caudal (ou diaphragmatique) Poumon droit.

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Transcription:

Les affections respiratoires constituent une dominante pathologique de l élevage porcin. La plus fréquente est la pneumonie à Mycoplasma hyopneumoniae, souvent associée à d autres agents infectieux comme Pasteurella multicida ou Actinobacillus pleuropneumoniae. Le syndrome dit grippal est fréquemment responsable de troubles respiratoires. Ce sont les virus de la grippe, le coronavirus respiratoire porcin, le circovirus de type II ou le virus du SDRP qui sont le plus souvent à l origine de ce complexe respiratoire porcin. Viennent ensuite des maladies bactériennes touchant de multiples organes dont l appareil respiratoire (Haemophilus parasuis, Streptocoques suis ). Poumon gauche Trachée Poumon droit Lobe crânial (ou apical) Lobe moyen (ou cardiaque) Lobe azygos Lobe caudal (ou diaphragmatique) Les conséquences de ces pathologies varient selon la sévérité des lésions, l état sanitaire du troupeau et les conditions d élevage : elles peuvent passer inaperçues mais aussi être à l origine de pertes économiques importantes (mortalités, coûts des traitements ). Elles sont souvent associées à une dégradation des performances zootechniques difficilement quantifiable : augmentation de l indice de consommation, chute des performances de croissance et de carcasses. L observation des poumons à l abattoir est un élément essentiel du dispositif de surveillance de la pathologie respiratoire, en complément des autres éléments de diagnostic à notre disposition : le suivi clinique de l élevage, l analyse des résultats techniques au travers des outils de gestion (GTE, classement des carcasses ), l analyse des taux et causes de saisies à l abattoir, la réalisation d autopsie, la mise en œuvre d analyses de laboratoire complémentaires (bactériologie, PCR, sérologie, ). Les objectifs des contrôles à l abattoir sont multiples : mettre en place des systèmes d épidémio-surveillance des lésions respiratoires ; surveiller le statut sanitaire des élevages de sélection-multiplication ; détecter une pathologie subclinique ; confirmer une pathologie clinique ; orienter le diagnostic vers le ou les agents causals ; quantifier l étendue et la gravité des lésions ; hiérarchiser les moyens de lutte à mettre en œuvre ; contrôler l efficacité de certaines stratégies de lutte (vaccination, traitement, conduite d élevage ) ; suivre l évolution des lésions dans le temps.

Les bilans lésionnels pulmonaires réalisés avec une méthode de notation standardisée permettent d apprécier la prévalence et l intensité des lésions des poumons. La notation précise nécessite un examen minutieux de la totalité des sept lobes. Il s agit d un contrôle visuel : aspect, couleur, volume, qui doit être complété par une palpation des tissus (consistance augmentée lors de lésions). Il faut bien distinguer les lésions de pneumonie observées, de certaines altérations liées au process d abattage : l écoffrage : présence de sang dans les poumons provoquée par la perforation de la trachée au moment de la saignée. Il se caractérise par une zone bien délimitée, rouge à violette, de consistance normale à élastique, de volume normal, sans image lésionnelle à la coupe. l échaudage : apport d eau dans les poumons, se produisant si les porcs sont plongés dans le bac d échaudage avant les dernières inspirations précédant la mort. Il correspond à une zone mal délimitée de couleur gris-rose, de consistance et de volume peu modifiés. La méthode de référence est le système de notation par lobe sur 28 car elle est la plus précise et nécessite un examen attentif de la totalité des poumons. C est la méthode qui doit être privilégiée dans les élevages avec très peu de lésions ou dans le cadre du suivi sanitaire des élevages de sélection et de multiplication. Cependant lorsque les cadences des chaînes d abattage sont trop rapides, la notation sur 24 (notation de tous les lobes sauf le lobe azygos) ou la notation globale sur 4 peut être utilisée. Dans ce cas, il faut tout de même observer la totalité des poumons et la présence d un tout petit point de pneumonie doit être notée 1 et non 0. Chaque lobe pulmonaire est noté de 0 à 4, selon la surface des lésions observées. La note globale, obtenue par addition des scores de chaque lobe, est comprise entre 0 et 28. 0 1 2 3 4 Absence de lésions Surface des lésions Surface des lésions Surface des lésions Surface des lésions inférieure à une pièce entre 2 et la moitié entre la moitié supérieure aux 3/4 de 2 de la surface du lobe et les 3/4 de la de la surface du lobe surface du lobe Une note globale selon la surface totale atteinte est attribuée. 0 1 2 3 4 Absence de lésions Surface des lésions Surface des lésions Surface des lésions Surface des lésions inférieure à la moitié équivalente au équivalente au supérieure à plus de 2 lobes de la surface d un lobe maximum à la maximum à la surface d un lobe surface de 2 lobes Notation 0 à 28 0 1, 2 3, 4 5, 6, 7 8 Notation 0 à 24 0 1, 2 3 4, 5, 6 7 Notation 0 à 4 0 1 2 3 4

0+1+0+1+0+0 légèrement atteints 2/24 1/4 0+2+0+0+1+0 3/24 1/4 légèrement atteints 2+2+0+1+0+0 5/24 2/4 moyennement atteints 0+2+0+1+2+1 6/24 3/4 fortement atteints 3+4+1+2+4+1 très fortement atteints 15/24 4/4

Pour un élevage donné, des variations importantes de la fréquence et de la gravité des lésions peuvent être observées. Les principaux facteurs de variation sont un effet bande, un effet début ou fin de bande et un effet type de salle. L influence de la saison est aussi décrite : les lésions de pneumonie sont plus fréquentes en automne et au printemps, c est-à-dire à des périodes où les fluctuations de température sont importantes. Afin d éviter une interprétation erronée des résultats, il convient donc de réaliser des contrôles réguliers, en particulier dans le cadre de la surveillance du statut d un élevage. C est pourquoi, une fréquence de 4 contrôles par an est conseillée en élevage de sélection et de multiplication. Le nombre de poumons à contrôler est déterminé par des tables statistiques en fonction de la prévalence de pneumonie minimale à détecter et en fonction de la précision souhaitée dans l estimation de la prévalence. Un nombre minimum de 50 à 60 poumons permet de détecter une prévalence minimum de 5 % avec une précision correcte. La valorisation des contrôles pulmonaires doit permettre d apprécier la prévalence et l étendue des lésions. C est pourquoi deux indicateurs sont proposés : le pourcentage de poumons indemnes (ceux notés 0 quel que soit le système de notation) le pourcentage de poumons à lésions étendues (ceux présentant une note 5/28, 4/24, 3/4) Ces deux indicateurs présentent l avantage d être facile à calculer, de bien refléter l état du lot contrôlé et aussi d être assez parlant pour un néophyte en pathologie. Un autre indicateur est parfois utilisé, il s agit de la note lésionnelle moyenne du lot (somme des notes de tous les poumons divisée par le nombre de poumons). Cependant elle est établie pour la notation de 0 à 28 et ne permet donc pas de comparaison entre les différents systèmes de notation. De plus, elle est moins évocatrice pour un néophyte que les pourcentages. Par ailleurs, peu de données sont disponibles avec cette note d où l absence de références sur l interprétation des résultats. % indemnes 100 90 80 Votre groupement Votre élevage Groupe de référence Une grille d interprétation des résultats à partir des pourcentages de poumons indemnes et de poumons à lésions étendues selon le type d élevage est proposée. De même, la présentation en graphique des résultats permet de visualiser l évolution de la prévalence d un élevage ou d un groupe d élevages. 70 2 ème semestre 2000 1 er semestre 2001 2 ème semestre 2001 1 er semestre 2002 Sélection Multiplication mâle Multiplication femelle Production % poumons Indemnes Lésions Indemnes Lésions Indemnes Lésions étendues étendues étendues Très bon 90 % 0 % 90 % 0 % 80 % 5% Bon 80 % 0 % 70 % 5% 70 % 5% Moyen 70 % 5% 60 % 10 % 60 % 10 % Mauvais < 70 % > 5 % < 60 % > 10 % < 60 % > 15 %

La pleurésie correspond à une inflammation aiguë ou chronique de la plèvre, membrane qui enveloppe les poumons et tapisse la cavité thoracique. Elle se traduit par la présence de flammèches de fibrine sur le poumon ou sur la cavité thoracique et la plèvre perd son aspect lisse, transparent et brillant. Les lésions de pleurésie discrète (petit foyer de pleurésie viscérale, adhérence entre lobes) ou sévère (morceaux de poumon collés à la cavité thoracique) peuvent être enregistrées avec un système de notation en 0, 1, 2 ou 3. Une telle notation nécessite un examen minutieux des poumons, parfois difficile lors de cadences de chaînes d abattage importantes. 0 Absence de pleurésie 1 Pleurésie interlobaire 2 Pleurésie pariétale localisée (surface < pièce de 2 euros) 3 Pleurésie pariétale étendue (surface pièce de 2 euros) Remarque : un poumon avec de la pleurésie interlobaire (note 1) et de la pleurésie pariétale localisée (note 2) aura une note de pleurésie de 2 (et non de 3). Les seuils d alerte retenus sont de 2 à 4 % en sélection ou multiplication et de 5 % à 8 % en production. Au delà, il est conseillé de réaliser des examens complémentaires pour poser le diagnostic étiologique et de mettre en œuvre des mesures correctives. pleurésie interlobulaire pleurésie pariétale localisée pleurésie pariétale étendue Les abcès pulmonaires doivent aussi être observés tout en distinguant : les petits abcès disséminés, en général bénins, les foyers de nécroses et/ou abcès et/ou hémorragies (lésions évocatrices d Actinobacillus pleuropneumoniae). Attention, pour les lésions hémorragiques, il faut bien savoir les distinguer des poumons atteints d écoffrage. Pour cette deuxième catégorie, un examen bactériologique avec recherche d Actinobacillus pleuropneumoniae (App), de Pasteurelles et d Haemophilus parasuis peut aider à confirmer le diagnostic. Les prélèvements doivent être alors envoyés au laboratoire en utilisant des moyens de conservation adaptés et en s assurant que le laboratoire pratique en routine ce type d analyses. petits abcès foyer de nécrose d App hémorragies à App écoffrage

La péricardite correspond à une inflammation du péricarde, membrane qui enveloppe le cœur. Dans ce cas, le cœur reste collé au péricarde. La notation des péricardites est un élément d information supplémentaire, mais il paraît difficile, en raison des cadences, de la systématiser. Aussi, des pourcentages ne pourront être calculés que si tous les cœurs sont systématiquement observés. Le système d enregistrement devra donc bien distinguer les péricardites non notées en systématique de celles notées en systématique. péricardite cœur normal D autres lésions pulmonaires peuvent également être observées à l abattoir : la pneumonie en damier, l œdème pulmonaire, la congestion pulmonaire pneumonie en damier œdème pulmonaire Également disponibles dans cette collection : les plaquettes Lésions de rhinite atrophique et Observation des ovaires Contact : isabelle.correge@itp.asso.fr Remerciements au LDA 22 pour le prêt de photos illustrant cette plaquette. La Motte au Vicomte B.P. 35104 35651 Le Rheu Cedex Tél. : + 33 (0) 2 99 60 98 20 Fax : + 33 (0) 2 99 60 93 55