RESUME DE LA THESE DE DOCTORAT

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Transcription:

RESUME DE LA THESE DE DOCTORAT L élevage des cailles japonaises représente une activité assez restreinte à l échelle mondiale, par rapport à l élevage des poules et des poulets de chair, mais ayant de grandes perspectives de développement, compte tenant des caractéristiques et de l adaptabilité de cette espèce. L élevage des cailles dans de petits ménages, fréquemment pratiquée dans notre pays, a sûrement certains avantages économiques, mais aussi plusieurs désavantages d ordre zootechnique et technologique. Pour exploiter au maximum le potentiel productif des ces volailles, il est nécessaire que leur exploitation soit intensive, dans des fermes spécialisées, ayant de grands effectifs, et où l on puisse appliquer des techniques modernes de reproduction, de sélection et d amélioration, d alimentation et où l on puisse assurer d une manière correcte les facteurs environnementaux qui contribuent à la productivité de ces volailles. L influence des différents facteurs environnementaux sur la productivité des cailles en élevage intensif a constitué notre préoccupation le long des années de préparation par l école doctorale, les résultats des divers ouvrages scientifiques étant concrétisés en 28 articles scientifiques publiés dans des revues de spécialité de la Roumanie, de la République de Moldavie, de la Turquie et des Etats Unis. Les recherches ont été réalisées dans une ferme de cailles fondée en 2011, ferme à la projection et construction de laquelle j ai participé activement ; il s agit de la Ferme de cailles Gherghiţa appartenant à la Société IONIŢĂ T. LUCIAN Bucarest, aménagée dans la commune Gherghita, village Ungureni, département de Prahova. La thèse de doctorat ayant le titre «RECHERCHES SUR L INFLUENCE DE CERTAINS FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX SUR LES RESULTATS OBTENUS EN EXPLOITATION INTENSIVE DES CAILLES JAPONAISES», élaborée par drd. ing. Lucian Ioniţă, sous la direction de Mme. Prof. univ. dr. ing. Elena Popescu-Micloşanu, est composée de deux parties, structurée en 12 chapitres, ci-inclus les conclusions générales et les recommandations, auxquels s ajoute la bibliographie étudiée. La thèse comprend en tout 241 pages, dont la première partie, Recherches bibliographiques, contient 87 pages (36% de notre ouvrage), tandis que la deuxième partie, Recherches personnelles, comprend 154 pages (64% de l ouvrage). Dans la thèse il y a 170 tableaux, 37 figures et 186 mentions bibliographiques. La Partie I-ère est structurée en 7 chapitres, et la Partie seconde de notre thèse présente un ensemble de recherches sur la caille japonaise de la variété roumaine «de Baloteşti» et elle est composée de 5 chapitres, le dernier exprimant les conclusions générales et les recommandations, auxquels on a ajouté la bibliographie sélective étudiée. CHAPITRE VIII- "LE BUT DES RECHERCHES, L ENDROIT DE LA CONDUITE DE LA RECHERCHE, LE MATERIEL BIOLOGIQUE ET LA METHODE DE TRAVAIL " Dans le cadre du groupe d expériences no.1 nous avons cherché à déterminer l influence de certains facteurs environnementaux (température, humidité d incubation et température élevée durant le stockage des œufs) dans les cas des incubateurs de surface de petites dimensions. Nos recherches ont été réalisées sur un nombre total de 2700 œufs d incubation de caille de la population «Baloteşti». On a conçu 3 expériences (notées E1, E2 et E3), sur 6 lots de 150 œufs chacun. Pour déterminer la température et l humidité optimales durant l incubation des œufs de caille on a utilisé 3 niveaux de température et d humidité : niveaux moyens pour E1

(températures d incubation de 38.0 0 C 38.5 0 C et humidité de 50% - 55%, et durant l éclosion 37.7ºC 38.2ºC et humidité de 65-70 %), dans l expérience E2 des niveaux élevés de température (température d incubation 38.5ºC 39.0ºC, et durant l éclosion une température de 38.2ºC 38.7ºC) et humidité basse (45 % - 50 % pendant l incubation et 60 % - 65 % durant l éclosion), pour E3 des niveaux basses de température (température d incubation de 37.5ºC 38.0ºC, et durant l éclosion 37.2ºC 37.7ºC et humidité élevée (55 % - 60 % pendant l incubation et 70 % - 75 % durant éclosion). En vue de déterminer l effet du stockage des œufs d incubation dans des conditions de température élevée (25 º C) et humidité de 60 % sur les pourcentages moyens d éclosion on a traité et analysé les données moyennes obtenues au cadre de l expérience E2. L expérience no.2 a cherché d établir quelle est la densité meilleure d élevage intensif des jeunes cailles dans la période de 1-6 semaines, ainsi que l effet de l emploi d un supplément vitamino-minéral à base de sélénium dans l eau à boire. Dans ce but, on a établi les performances d élevage à un nombre total de 1200 cailleteaux repartis en 4 lots (avec la densité témoin ou réduite en temps, avec et sans administration de supplément vitamino-minéral). De la même manière, on a déterminé aussi l effet de ces traitements sur les carcasses de caille par l abattage de mâles provenant des lots étudiés. L expérience no. 3 comprend des recherches portant sur l utilisation d un programme d illumination continue (24 heures par jour) par rapport à l illumination discontinue, ainsi que sur l effet des températures différentes à chaque niveau de la batterie des cages sur les performances de production des cailles adultes. Dans ce but, on a établi les performances de production pour un nombre total de 500 cailles adultes disposées en deux batteries de cailles adultes de 5 niveaux chacune. Dans le cas du lot témoin on a utilisé l illumination continue, tandis que les cailles du lot expérimental ont été entretenues à la lumière naturelle, complétée si nécessaire avec lumière artificielle, d une durée moyenne de 13 heures et 20 minutes dans la période de 1-15 mois de ponte, variable par rapport à la courbe de ponte, dont une durée de 12 heures et 30 minutes dans la période de 1-6 mois de ponte, une durée moyenne de 14 heures et 10 minutes dans la période de 8-12 mois de ponte et de 12 heures et 30 minutes dans la période de 13-15 mois de ponte. On a utilisé pour le traitement des données le logiciel Microsoft Excell 2003, et pour le traitement statistique des données obtenues on a utilisé l analyse de variante et les tests Fisher et Tukey (expérience no. 1), les tests Fisher, Tukey et Student (expérience no. 2), ainsi que le plan expérimental en blocs aléatoires complets imaginé par Fisher (expérience no. 3). Chapitre IX - " RESULTATS OBTENUS ET LEUR ANALYSE DANS L EXPERIENCE NO. 1 ETUDE SUR CERTAINS PARAMETRES D INCUBATION CHEZ LES CAILLES DE LA POPULATION DE BALOTEŞTI Le pourcentage le plus élevé d éclosion a été obtenu dans l expérience E3 (67.33 %), où les températures pendant l incubation et l éclosion ont été basses et l humidité élevée. Le pourcentage le plus bas d éclosion a été enregistré dans l expérience E2 (52.5 %), où les températures pendant l incubation et l éclosion ont été élevées et l humidité basse. Le pourcentage le plus élevé d œufs avec des poussins morts en coquille a été enregistré dans le cas de l expérience E2 (21.22 %), les deux autres expériences enregistrant un pourcentage plus bas (16.89 %). Le pourcentage le plus élevé d œufs clairs a été enregistré dans le cas de l expérience E2 (19.77

%), et le plus bas dans le cas de l expérience E3 (15.67 %). Le pourcentage le plus bas d œufs secs a été enregistré dans le cas de l expérience E3 (1.22 %), tandis que le pourcentage le plus élevé a été noté dans l expérience E2 (6.44 %). Dans l expérience E1, où l on a suivi l effet des résultats sur l éclosion de certains niveaux moyens de températures et d humidité, du poids moyen des œufs au début de l incubation de 11.23 ± 0.10 g, on est arrivé dans le 15 e jour d incubation à un poids de 9.40 ± 0.07 g, la perte totale de poids durant les premiers 15 jours d incubation étant de 1.86 g/œuf, respectivement 17.37 % du poids moyen initial des œufs. Le pourcentage le plus élevé de perte de poids durant les premiers 15 jours d incubation a été enregistré dans 3-5 jours d incubation (6.57 %), la perte d eau jusqu au 3 e jour étant de 5.27 %, et dans la période de 3-7 jours de 2.32 %. Entre les jours 7 et 10 la perte de poids a été de 1.75 %, et entre les jours 10 et 15 de 1.57 %. Dans le premier jour d incubation (le jour de l introduction des œufs à l incubation) il n y a pas eu de différences significatives entre les deux lots. Les différences entre les 6 lots de l expérience E1 ont été insignifiantes à 5, 10 et 15 jours d incubation. Dans l expérience E2, où l on a suivi l effet des résultats sur l éclosion de certains niveaux élevés de températures et bas d humidité, du poids moyen des œufs au début de l incubation de 11.00 ± 0.25 g, on est arrivé dans le 15 e jour d incubation à un poids de 9.59 ± 0.16 g, la perte totale de poids durant les premiers 15 jours d incubation étant de 1.41 g/œuf, respectivement 13.50 % du poids moyen initial des œufs. Le pourcentage le plus élevé de perte de poids durant les premiers 15 jours d incubation a été enregistré le 5 e jour d incubation (3.28 %), la perte d eau jusqu au 3 e jour étant de 3.27 %, et dans la période de 5-7 jours étant de 2.43 %. Entre les jours 7 et 10 d incubation la perte de poids a été de 2.58 %, et entre les jours 10 et 15 de 1.94 %. Dans le premier jour d incubation (le jour de l introduction des œufs à l incubation), de même que dans les jours d incubation 3, 5, 7, 10 et 15 il n y a pas eu de différences significatives entre les 6 lots de l expérience. Dans l expérience E3, où l on a suivi l effet des résultats sur l éclosion de certains niveaux bas de températures et élevés d humidité, du poids moyen des œufs au début de l incubation de 11.83 ± 0.11 g, on est arrivé dans le 15 e jour d incubation à un poids de 9.80 ± 0.19 g, la perte totale de poids durant les premiers 15 jours d incubation étant de 1.86 g/œuf, respectivement 18.05 % du poids moyen initial des œufs. Le pourcentage le plus élevé de perte de poids durant les premiers 15 jours d incubation a été enregistré dans la période 1-3 jours d incubation (7.12 %), dans la période 3-5 jours étant de 3.82 %, et dans la période de 5-7 jours étant de 2.05 %. Entre les jours 7 et 10 d incubation la perte de poids a été de 2.28 %, et entre les jours 10 et 15 de 2.78 %. Il n y a pas eu de différences significatives entre les 6 lots de l expérience, ni dans le premier jour d incubation (le jour de l introduction des œufs à l incubation), ni dans les jours d incubation 3, 5, 7, 10 et 15. Chapitre X RESULTATS OBTENUS ET LEUR ANALYSE DANS L EXPERIENCE NO. 2 -"ETUDE SUR LA DENSITE DANS L ABRI ET L EFFET DE L ADMINISTRATION D UN PREMIX VITAMINO-MINERAL A BASE DE SELENIUM POUR LES JEUNES CAILLES DE LA POPULATION DE BALOTEŞTI Si à l âge de 1 jour le poids en vif des poussins des 4 lots a été à peu près la même pour tous les 4 lots analysés, les différences étant insignifiantes, à partir de l âge de 7 jours on a enregistré des différences significatives entre le lot témoin (avec une densité normale dans la ferme et sans administration de supplément vitamino-minéral) et le lot expérimental I (qui a bénéficié de la

densité témoin, mais auquel on a administré un supplément vitamino-minéral), tandis que entre le lot témoin et les lots expérimentaux II (bénéficiant d une densité expérimentale et non pas de supplément vitamino-minéral) les différences ont été significatives ; entre le lot expérimental II et le lot expérimental III (bénéficiant d une densité expérimentale et aussi de supplément vitamino-minéral) les différences ont été insignifiantes. Des différences extrêmement significatives on a enregistré entre le lot témoin et le lot expérimental III. Entre le lot expérimental I et les lots expérimentaux II et III, ainsi que entre le lot expérimental II et le lot III on n a enregistré que de différences significatives. Les mêmes différences ont été enregistrées aux âges de 14, 21, 28, 35 et 42 jours. Le poids en vif le plus élevé à l âge de 42 jours a été enregistré dans le cas du lot expérimental III (203.78 ± 3.78 g/tête), tandis que le moindre poids en vif a été enregistré dans le cas du lot témoin (178.65 ± 3.78 g/tête), qui n a bénéficié d aucun traitement. Le poids en vif à l âge de 42 jours a été avec 5.45 % plus grande pour le lot expérimental I, avec 10.11 % plus grand pour le lot expérimental II et avec 12.33 % plus grand pour le lot expérimental III, comparativement au lot témoin. Entre le lot témoin et le lot expérimental II, ayant une densité plus petite, la différence de 10.11 % en est une significative, en faveur du lot II, avec une densité réduite. Entre les lots qui ont bénéficié de l administration de supplément de sélénium et celle qui n en ont pas bénéficié, mais ont eu la même densité, les différences ont été assez réduites. Ainsi, on remarque une différence de seulement 2.5% entre le lot II et le lot III. L augmentation moyenne hebdomadaire pour toute la période analysée a enregistré une évolution semblable à celle du poids en vif, respectivement l augmentation moyenne hebdomadaire a été de 5.39 % plus élevé pour le lot expérimental I, de 10.37 % plus grande pour le lot expérimental II et de 12.72 % pour le lot expérimental III, comparativement au lot témoin. L augmentation moyenne a enregistré une croissance constante jusque dans la IIIe semaine, lorsqu on a marqué le plus haut niveau pour tous les 4 lots analysés, suivie d une baisse graduelle jusque dans la VIe semaine d élevage. Entre les lots qui ont bénéficié de l administration de supplément de sélénium et celle qui n en ont pas bénéficié, mais ont eu la même densité, les différences ont été assez réduites. Ainsi, entre le lot témoin et le lot I la différence n a été que de 5.4%, tandis que entre le lot II et le lot III la différence a été de seulement 2.62 %. Durant la période 1-6 semaines d élevage le lot témoin a enregistré une consommation totale de nutriments combinés de 697.28 g/tête, moins de 2.15 % que dans le cas du lot expérimental I, moins de 3.40 % que dans le cas du lot expérimental II et moins de 4.91 % que pour le lot expérimental III (qui a enregistré une consommation totale de nutriments combinés de 733.31 ± 5.99 g/tête), le différences n étant pas à mentionner statistiquement. De même, durant les 1-6 semaines d élevage, pour le lot témoin on a obtenu la consommation spécifique moyenne la plus élevée, de 4.62 ± 1.28 g n.c./g augmentation, de 1.63 % plus grande que pour le lot expérimental I, de 5.60 % moins que pour le lot expérimental II et de2.72 % moins que pour le lot expérimental III, les différences entre les lots étant insignifiantes. Le pourcentage de mortalité le plus élevé dans les 1-6 semaines d élevage a été enregistré pour le lot témoin, respectivement une mortalité de 25.33 %, de 13.66 % plus grand que pour le lot expérimental I, de 20.33 % plus grand que pour le lot expérimental II, et de 23.33 % plus grand que pour le lot expérimental III. Des différences marquantes sont évidemment en faveur des lots à densité réduite et de ceux bénéficiant de supplément de sélénium. Dans le cas des volailles abattus du lot témoin on a enregistré un poids en vif moyen de 170.33 ± 2.55 g/tête, de 6.13 % plus petit que pour le lot expérimental I. Pour le lot expérimental II on a enregistré un poids en vif moyen de 10.19 % plus grand que dans le cas du lot témoin, tandis que

pour le lot expérimental III ce poids a été de 12.94 % plus grand que dans le cas du lot témoin. Dans le cas du lot témoin on a noté un poids moyen des carcasses après éviscération de 120.15 ± 1.75 g/tête, moins de 7.66 % que dans le cas du lot expérimental I. Le lot expérimental II a enregistré un poids moyen en vif de 11.16 % plus grand que dans le cas du lot témoin, tandis que pour le lot expérimental III, de poids a été de 13.96 % plus grand que dans le cas du lot témoin. Le rendement à l abattage dans le cas du lot témoin a été de 73.35 ± 3.05 %, dans le cas du lot expérimental I de 71.21 ± 3.34 %, dans le cas du lot expérimental II de 72.05 ± 3.54 %, tandis que dans le cas du lot expérimental III ce poids a été de 71.84 ± 3.38 %. Les différences entre les moyennes entre le lot témoin et celles des lots expérimentaux II et III ont été significatives, pour le reste étant insignifiantes. Chapitre XI RESULTATS OBTENUS ET LEUR ANALYSE DANS L EXPERIENCE NO. 3 - "ETUDE SUR L INFLUENCE DU NIVEAU DE LA BATTERIE DE CAGES ET DE LA DUREE MOYENNE QUOTIDIENNE D ILLUMINATION SUR LES PERFORMANCES DE PRODUCTION DANS LE CAS DES CAILLES D ŒUFS DE LA POPULATION DE BALOTEŞTI Les cailles du lot témoin, qui ont bénéficié de programme d illumination continue (24 heures par jour), ont enregistré un taux moyen de ponte de 61.35 % ± 6.15 au niveau I, c est-à-dire le niveau disposé le plus haut, de 58.50 % ± 5.75 au niveau II, de 56.46 % ± 5.52 au niveau III, de 55.56 ± 5.08 au niveau IV et de 54.34 % ± 4.96 au niveau V, respectivement le niveau placé le plus bas. Les différences des taux de ponte des cailles, bien qu insignifiantes du point de vue statistique, ont été de 4.66 % chez les cailles du niveau II, de 7.97 % chez les cailles du niveau III, de 9.43 % chez les cailles du niveau IV et de 11.44 % chez les cailles du niveau V, comparativement aux cailles du niveau I. Les cailles du lot expérimental qui ont été entretenues à la lumière naturelle, complétée avec lumière artificielle, d une durée moyenne de 13 heures et 20 minutes, comprise entre 12 et 14 heures lumière, par rapport à la courbe de ponte, ont enregistré un taux moyen de ponte de 69.42 % ± 4.18 au niveau I, de 68.71 % ± 4.12 au niveau II, de 67.12 % ± 4.03 au niveau III, de 65.34 % ± 3.41 au niveau IV et de 64.19 % ± 3.64 au niveau V. Les différences entre les niveaux, bien qu insignifiantes du point de vue statistique, ont été de 1.02 % pour les cailles du niveau II, de 3.06 % pour les cailles du niveau III, de 4.45 % pour les cailles du niveau IV et de 5.66 % pour les cailles du niveau V, comparativement aux cailles du niveau I. Les différences entre les 5 niveaux dans le cas du lot expérimental ont été de presque 50 % plus petites par rapport aux différences entre les 5 niveaux du lot témoin. Durant les 1-15 mois de ponte dans le cas des cailles du lot témoin, on a enregistré un taux moyen de ponte de 54.34 % ± 4.96, tandis que dans le cas des cailles du lot expérimental on a enregistré une production moyenne de 67.45 % ± 3.94, de 10.21 % plus élevée que dans le cas du lot témoin, les différences étant significatives. La production moyenne dans le cas du lot témoin a été de 24.94 ± 2.67 œufs/cage/niveau, tandis que pour les cailles du lot expérimental celle-ci a été de 31.94 ± 2.02 œufs/cage/niveau, de 21.92 % plus élevée que dans le cas des cailles du lot témoin, la différence étant significative. La consommation moyenne spécifique de nutriments combinés per ensemble, dans le cas des cailles du lot témoin a été de 64.28 ± 11.22 g/œuf, tandis que pour le lot expérimental elle a été de 47.88 ± 11.11 g/œuf, de 25.51 % plus bas que dans le cas du lot témoin, la différence étant très significative.

La mortalité moyenne chez les cailles du lot témoin a été de 22.8 %, respectivement 11.2 % pour le lot expérimental. La viabilité a été significativement plus élevée que dans le cas des cailles du lot témoin. Chapitre XII CONCLUSIONS GENERALES ET RECOMMANDATIONS Conclusions générales et recommandations suite à l expérience no. 1 De l analyse des résultats obtenus on pourrait affirmer que la température recommandée qui a mené au plus haut taux d éclosion à l incubation des cailles (67.33 % taux moyen d éclosion) est comprise entre 37.5 º C et 38 º C durant l incubation et de 37.2 º C 37.7 º durant l éclosion. De bons résultats ont été aussi obtenu à des températures comprises entre 38.0 º C et 38.5 º C durant l incubation et de 37.7 º C 38.2 º durant l éclosion. En ce qui concerne le niveau de l humidité, celui-ci devrait être de 55 60 % U.R. durant l incubation et de 70 75 % durant l éclosion. De bons résultats on a enregistré aussi à une humidité moins élevée (50 % - 55 % U.R. pendant l incubation et de 65-70 % pendant l éclosion). Les températures plus élevées (38.0 º - 39.5 º C) tendent raccourcir la période d éclosion, tandis que l utilisation d une température de moins de 38 º C durant les 0-17 jours d incubation mène également à une proportion réduite de poussins avec des embryions morts en coquille, ainsi qu à des proportions plus basses de perte de poids des œufs durant l incubation. Compte tenant de la proportion assez élevée d œufs avec des poussins morts en coquille dans chacune des 3 expériences, il est important d établir la cause de cette mortalité et la possibilité de réduction de celle-ci. Une cause pourrait être l humidification insuffisante de l air, surtout dans la première partie de l éclosion, si l on pense que ces poussins sont pourtant complètement développés. Une autre possibilité d augmentation du taux d éclosion serait l amélioration du système de ventilation de l incubateur durant l éclosion, par l accroissement du taux de ventilation, compte tenant du fait que le nécessaire en oxygène et la production de dioxyde de charbon augmentent à mesure que l incubation avance. Vu le fait que pour les œufs plus frais, 1-3 jours, l éclosion commence plus tôt (même le jour 15 d incubation et se déroule dans la plupart des cas entre les jours 16 et 17), tandis que pour les œufs moins frais l éclosion commence plus tard (à partir du jour 16, pouvant être prolongée jusque dans le jour 18), pour l augmentation du taux total d éclosion on pourrait opter pour une production en séries des poussins, tout en établissant une vieillesse de maximum 3 jours des œufs d incubation. L utilisation de petits incubateurs permet leur remplissage tour à tour avec des œufs plus frais et l obtention de poussins tous les 3 jours. Dans ce cas il faudrait assurer un espace suffisant pour l élevage des poussins par compartiments différents. Conclusions générales et recommandations suite à l expérience no. 2 Selon nos recherches, l application de la densité expérimentale, réduite graduellement à mesure du vieillissement, mène à des résultats supérieurs dans l élevage des jeunes cailles, comparativement au lot témoin. C est pourquoi on recommande l emploi de la densité expérimentale de 300 poussins/m 2 dans les 0-3 jours d élevage, 200 cailleteaux/m 2 dans les 4-7 jours, de 150 cailleteaux/m 2 dans les 8-21 jours et de 100 cailleteaux/m 2 dans les 22-42 jours de vie. L administration de produit vitamino-minéral à base de sélénium durant les premiers 14 jours de vie mène aussi à l amélioration des performances d élevage des jeunes cailles et des résultats à l abattage des cailles, voilà pourquoi on recommande l application d un tel traitement. Les

performances d élevage des cailleteaux se sont améliorées également dans le cas du lot qui n a pas bénéficié de la densité expérimentale, mais qui a bénéficié de l administration du produit vitamino-minéral à base de sélénium (lot expérimental I), ainsi que dans le cas de l application de la densité expérimentale et du supplément (lot expérimental III). L application de la densité expérimentale et l administration du produit vitamino-minéral à base de sélénium a mené principalement à une mortalité plus basse (2% mortalité, par rapport à 25.33% pour le lot témoin). Conclusions générales et recommandations suite à l expérience no. 3 En conséquence des recherches réalisées sur l influence du niveau de la batterie de cages et de la durée d illumination sur les performances de production chez les cailles d œufs, on pourrait affirmer que la durée quotidienne d illumination influence d une manière significative le taux moyen de ponte, la production moyenne par tête et la consommation de nutriments combinés, et d une manière très significative la consommation spécifique de nutriments combinés et la viabilité. Dans la première partie de la courbe de ponte (0-6 mois de ponte) on pourrait utiliser un programme discontinu avec une durée quotidienne d illumination de 12-13 heures de lumière (combinée, naturelle et artificielle) et 11-12 heures d obscurité, et dans la seconde partie de la courbe de ponte un programme d illumination moyenne de 14 heures et 10 heures d obscurité par jour. L emploi de l illumination artificielle d une durée de 24 heures a mené à un taux moyen de ponte et à une production moyenne par tête plus bas que dans le cas de l utilisation de l illumination discontinue combinée naturelle et artificielle. De même, la consommation quotidienne de nutriments combinés et la consommation spécifique ont été plus élevées dans le cas du lot soumis à l illumination continue. La viabilité a été d environ 50% plus élevée dans le cas de l emploi de l illumination discontinue. L utilisation de l illumination discontinue a mené à des résultats supérieurs par rapport à l illumination continue, surtout dans la deuxième partie de la courbe de ponte. De même, l emploi de l illumination discontinue a conduit à une extension de la vie productive des cailles au-delà du mois 12 de ponte, tout en obtenant des résultats supérieurs voire dans le 15 e mois de ponte, comparativement à l illumination continue. On n a pas enregistré de différences significatives en ce qui concerne le poids moyen de l œuf et le poids corporel en vif entre les durées d illumination utilisées. Pour ce qui est du niveau de la batterie des cages, dans le cas de l emploi de l illumination continue, de même que dans le cas de l illumination discontinue il y a des différences entre les performances productives des cailles sur les 5 niveaux, mais ces différences ne sont significatives que dans le cas de la consommation spécifique et de la viabilité. Néanmoins il faudrait mentionner que les différences entre les températures sur les niveaux hauts et celles sur les niveaux bas n ont pas dépassé 4 0 C. CONCLUSIONS GENERALES ET RECOMMANDATION Suite aux résultats obtenus au cadre des trois expériences que nous avons réalisées sur l incubation des cailles on a constaté que le meilleur niveau de température qui assure un taux élevé d éclosion doit être compris entre 37.5 º C et 38 º C durant l incubation et de 37.2 º C 37.7 º durant l éclosion, tandis que en ce qui concerne le niveau d humidité, celle-ci devrait être de 55 60 % U.R. durant l incubation et de 70 75 % durant l éclosion. En ce qui concerne l expérience réalisée sur l élevage des jeunes cailles de la population de Baloteşti, on a constaté que l emploi de densités réduites graduellement au fur et à mesure du

vieillissement, de 300 poussins/m 2 dans les 0-3 jours d élevage, 200 cailleteaux/m 2 dans les 4-7 jours, de 150 cailleteaux/m 2 dans les 8-21 jours et de 100 cailleteaux/m 2 dans les 22-42 jours d élevage mène à des résultats supérieurs dans l élevage des jeunes cailles et leur abattage à l âge de 6 semaines, surtout dans le cas du poids des carcasses éviscérées. Les recommandations visent l élevage des jeunes cailles dans la direction de la production d œufs (car l application de la densité expérimentale conduit d une part à un poids plus grand des femelles en début de ponte, mais aussi à un poids plus grand des mâles élevés pour l abattage), et l élevage des jeunes cailles de chair à la fois (cela mène directement à l obtention de carcasses plus lourdes à l abattage). L administration d un produit vitamino-minéral à base de sélénium durant les premiers 14 jours de vie a mené à l amélioration significative des performances d élevage des jeunes cailles analysé. Pour ce qui est de l effet de l illumination sur l élevage des cailles adultes de la population Baloteşti dans la direction de la production d œufs, on a constaté que l illumination naturelle complétée avec une durée variable de l illumination artificielle dans la limite de 12-13 heures quotidiennement dans les 0-6 mois de ponte des cailles et de 14 heures dans la seconde partie du cycle de ponte mène à des résultats supérieurs dans l élevage et l exploitation des cailles adultes d œufs. L utilisation de l illumination naturelle à résultats convenables montre que dans l exploitation des cailles adultes d œufs la durée d illumination a une très grande importance (complétée, par rapport aux nécessités avec la lumière artificielle) ; l intensité lumineuse est moins importante (celle-ci varie au cas de l illumination naturelle selon la position du soleil et les conditions météorologiques, tandis que dans le cas de l illumination artificielle est constante). Il est possible que la durée d illumination et l intensité lumineuse artificielle stimulent la production d œufs si elles continuent l illumination naturelle. L influence du niveau de la batterie des cages sur les performances de production des cailles d œufs est insignifiante du point de vue statistique, mais il faudrait accorder une attention particulière aux variations de température sur chaque niveau, de sorte que celle-ci ne dépassent 3.5 C - 4 C.