Organisation Non Gouvernementale ayant statut consultatif spécial à l ECOSOC aux Nations Unies Pacte Mondial des Nations Unies Communication sur l Engagement 2014-2016 Association des Jeunes Engagés pour l Action Humanitaire «ONG AJEAH»
Communication sur l Engagement auprès du Pacte Mondiale des Nations Unies 23 septembre 2016 Pour les parties prenantes, Je suis heureux de confirmer que l Association des Jeunes Engagés pour l Action Humanitaire, réaffirme son soutien au Pacte mondial des Nations Unies et de sa mission de promotion de la mise en œuvre des engagements de ces principes. Par son adhésion en 2014 au Pacte mondial de l ONU, AJEAH a confirmé cet engagement affirmant dans le même temps son engagement à lutter contre la corruption, protéger l environnement, œuvrer pour le respect des droits de l homme et les normes du travail. Ces engagements structurent la démarche du développement durable de l Organisation dont le Conseil d Administration examine chaque année les avancées. Celles-ci ont été particulièrement notables en 2015 par la participation de plusieurs ateliers/rencontres dans les domaines de la lutte contre la corruption et la gestion des conflits entre les entreprises et les communautés et la promotion des partenariats avec d autres acteurs soutenant la même initiative. Dans cette communication sur l'engagement, nous décrivons nos actions de soutien en permanence au Pacte Mondial des Nations Unies et de ses principes. Nous nous engageons également à partager ces informations avec nos parties prenantes en utilisant nos canaux de communication principale. Cordialement, Directeur Exécutif Amathévi ABOKI
Sommaire 1- RAPPEL : VISION ET MISSION a) Vision b) Mission 2- DESCRIPTION DES ACTIONS a) Rencontres/Ateliers b) Mise en œuvre des activités 3- PROMOTION DES PARTENARIATS EN FAVEUR DE LA MISE EN ŒUVRE DES PRINCIPES DU PACTE MONDIAL DES NATIONS UNIES 4- ACTION A METTRE EN ŒUVRE AU FUTUR
1- RAPPEL : VISION ET MISSION AJEAH = Association des Jeunes Engagés pour l Action Humanitaire est une Organisation non gouvernementale de développement et de droits. Vision Bâtir un monde uni, prospère et solidaire adossé aux principes et valeurs du respect de la dignité humaine, des droits humains notamment des droits civils, des droits politiques, des droits sociaux, économiques et culturels. Cette vision se fonde essentiellement sur les principes fondamentaux énoncés dans la Déclaration Universelle des Droits de l Homme (DUDH) du 10 décembre 1948, ainsi que dans d autres instruments juridiques internationaux et régionaux adoptés par l Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU), la Conférence des Chefs d Etat et de Gouvernement de l Union Africaine (UA), de la Communauté Economique des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). Elle milite en faveur de la consolidation de l Etat de droit, de la démocratie, du respect des droits humains et de la gouvernance légitime. Cette vision s articule autour d une approche globale ou holistique, orientée vers la construction d un monde où les populations seront affranchies de l oppression, de la persécution, de la faim, de la soif, bref un monde où la réalisation du droit des peuples à un développement endogène, harmonieux et durable est pleinement assurée. a) Mission Œuvrer pour l amélioration des conditions de vie des populations en œuvrant pour la promotion, la défense et la protection des droits humains, la sauvegarde des droits des communautés à l accès aux ressources naturelles et la défense des intérêts environnementaux et le développement durable. Les objectifs qui découlent de cette mission visent : Promouvoir la protection de l environnement Promouvoir le développement à la base en luttant contre la pauvreté et l insécurité alimentaire en milieu rural, l éducation et la santé des communautés. Promouvoir la décentralisation et la bonne gouvernance à la base Promouvoir les droits de l homme et la démocratie basée sur une démocratie participative
Promouvoir les échanges (organisation des semaines de la biodiversité culturelle, jumelage, coopération décentralisée etc.) 2- DESCRIPTION DES ACTIONS a) Rencontres/Ateliers L année 2015 a été marquée par la participation de plusieurs rencontres/ateliers organisés par différentes organisations : l Office des Nations Unies contre le Crime et la Drogue (ONUDC), le Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Groupe de la Banque Mondiale/Secteur privé et Fondation Peace Nexus. Ces différentes rencontres nous ont permis d avoir échangé et partagé des informations et expériences avec d autres acteurs œuvrant dans les mêmes thématiques. - Atelier pour les parties prenantes sur la Convention des Nations Unies contre la Corruption et son mécanisme d examen à Addis-Abeba/Ethiopie organisé par l Office des Nations Unies contre le Crime et la Drogue (ONUDC) en Février 2015. - Atelier de mise en réseau destiné aux médiateurs, tierces parties neutres et facilitateurs impliqués dans les conflits entre entreprises et communautés en Afrique de l Ouest, organisé par Bureau du conseiller-médiateur pour l application des directives (Compliance Advisor Ombudsman - CAO), le mécanisme de responsabilité environnementale et sociale de la Société financière internationale (SFI) et de l Agence multilatérale de garantie des investissements (AMGI) de la Banque Mondiale en collaboration avec la Fondation Peace Nexus du 12 au 13 mai à Accra au Ghana. - Atelier de sensibilisation et d information sur le rôle des innovations technologiques dans l identification et la réduction de la corruption : Défis et opportunités des Organisations de la Société Civile Ouest Africaine, organisé par le Département de l intégrité et de lutte contre la corruption de la Banque Africaine de Développement à Dakar au Sénégal du 14 au 15 septembre 2015.
b) Mise en œuvre des activités Après avoir pris part à ces différentes rencontres organisées par les partenaires, des ateliers de restitution ont été mises en œuvre au plan local c est dans ce cadre que : L atelier de formation reçue pour les parties prenantes sur la Convention des Nations Unies contre la Corruption et son mécanisme d examen à Addis- Abeba/Ethiopie organisé par l Office des Nations Unies contre le Crime et la Drogue (ONUDC) en Février 2015, a été restitué au profit des acteurs de la société civile, du secteur privé, des médias et des collectivités locale, une attention particulière a été portée sur la contribution du secteur privé dans la lutte contre la corruption. Une action portant sur la communication et la sensibilisation a été organisée au profit des médiateurs locaux, les jeunes, femmes sur la gestion des conflits entre les entreprise et les communautés. Les participants ont été outillés sur les mécanismes de résolution et la gestion des conflits entre les entreprises et les communautés. 25 acteurs de la société civile ont reçu un atelier de restitution sur le rôle des innovations technologiques dans l identification et la réduction de la corruption. Les participants sont aussi sensibilisés sur l importance des TIC pour la promotion de la transparence, de comportements visant la reddition de comptes. 3- PROMOTION DES PARTENARIATS EN FAVEUR DE LA MISE EN ŒUVRE DES PRINCIPES DU PACTE MONDIAL DES NATIONS UNIES Nous avons œuvré pour promouvoir le partenariat avec une série d acteurs basant en France (Global & Local), Perou, Grèce (PIO), Espagne (ALGUAS) soutenant aussi le pacte mondial des nations unies. L objectif de cette action est de contribuer à une coopération fructueuse et durable pour la mise en œuvre effective et efficace des principes. Ces partenariats sont formalisés, des recherches de ressources financières sont en cours afin d implémenter des projets/activités qui sont programmés.
4- Actions à mettre en œuvre au futur Projet «Appui à la consolidation de la Bonne gouvernance et Lutte contre la Corruption dans la Région des Plateaux au Togo», co-bénéficiare, financé par la Commission Européenne. D une durée de 3 ans, l action a pour objectifs : - Accroitre la prise de conscience des citoyens vis-à-vis des méfaits de la corruption sur le développement socio-économique du pays ; - Outiller les citoyens afin de leur permettre de contribuer efficacement à la lutte contre ce fléau qui affecte tous les secteurs de la vie publique ; - Renforcer les capacités des acteurs étatiques, non étatiques de la société civile et des médias sur les mécanismes et instruments juridiques nationaux, régionaux et internationaux de la lutte contre la corruption ; - Promouvoir la transparence dans la gestion foncière, des ressources naturelles ; et des finances publiques (obligation de rendre compte, redevabilité