Intitulé du projet : Réhabilitation des plages affectées par l érosion marine Zone d intervention : Corniche de Bizerte, Raf-Raf, Radès-Soliman, Kélibia Mammounia, sousse Sud, Baie de Monastir, Jerba L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. Elles concentrent environ 65 % de la population nationale et fournissent environ 90 % de la production industrielle et touristique en ie. Ces zones subissent une dégradation croissante due à l accentuation de l érosion marine qui touche actuellement environ 300 km de côtes sablonneuses. Soutenir la mise en œuvre du programme national de lutte contre l érosion marine, et en particulier, permettre la réhabilitation de 70 km de plages fortement affectées par l érosion marine. Le projet permet de protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Il permet également de réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives Réhabilitation des plages œuvre : Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL) Indicateurs de suivi : Nombre des sites réhabilités, linéaire côtier aménagé, nombre de sites bénéficiant d un dispositif efficace de suivi environnemental. 177,8 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : valeur du capital productif qui serait dégradé a été estimée à plus de 3,6 milliards DT, soit presque 10% du PIB national. Les pertes annuelles de production concernent essentiellement les secteurs de l agriculture et du tourisme. Elles sont estimées à environ 180 MDT, soit environ 0,5% du PIB de 2005.
Galite Bizerte L'Ariana Goulette Kélibia Intitulé du projet : Réhabilitation de la plage de la Corniche de Bizerte Zone d intervention : corniche de Bizerte L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. corniche de Bizerte s étend sur un linéaire de côte d environ 6 km. plage du site subit une érosion aigue, qui a engendré une disparition quasi-totale de la plage. corniche de Bizerte subit une action de dégradation par les houles durant les fortes tempêtes. Permettre la réhabilitation de 5 km de plages fortement affectées par l érosion marine, soit environ 5,6 % de l ensemble des plages sensibles en ie. Le projet permet de protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Il permet également de réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives (v) des travaux périodiques de maintenance et de recharge partielle des plages aménagées. œuvre : Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL) Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, Indicateurs de suivi environnemental 24 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de Bizerte, la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 107 MDT. Aussi, des pertes annuelles de la production agricole ont été mises en exergue, et dont le montant annuel est estimé à 4,2 MDT, soit environ 2,3 % des pertes annuelles à l échelle nationale.
L'Ariana Goulette Kélibia Intitulé du projet : Réhabilitation de la plage de Raf-Raf Zone d intervention : Raf-Raf - Bizerte œuvre : Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL) L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. Le site concerné se situe dans la zone prioritaire de la région de Raf-Raf, à l extrémité Nord du de, sur la façade Nord du Cap Farina, sur un linéaire de côte d environ 3,5 km. Permettre la réhabilitation de 3,5 km de plages fortement affectées par l érosion marine dans la région de Raf-Raf. Le projet permet de protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Il permet également de réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, Indicateurs de suivi environnemental 15,6 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de Bizerte, la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 107 MDT. Aussi, des pertes annuelles de la production agricole ont été mises en exergue, et dont le montant annuel est estimé à 4,2 MDT, soit environ 2,3 % des pertes annuelles à l échelle nationale.
contre l érosion côtière du site de Kélibia- Mamounia Zone d intervention : Kélibia-Mamounia Région de L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. Le littoral de Kélibia-Mammounia sur un linéaire de côte d environ six km est considéré parmi les zones les plus affectées par le phénomène de l érosion marine. Permettre la réhabilitation de 5 km de plages fortement affectés par l érosion marine dans le site prioritaire de Kélibia, soit environ 5,6 % de l ensemble des plages sensibles en ie. Le projet permet de protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Il permet également de réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Penforcement du suivi environnemental œuvre : Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL) Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, Indicateurs de suivi environnemental 18,6 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de, la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 903 MDT, soit environ 25 % des pertes économiques du capital productif à l échelle nationale. Aussi, les pertes annuelles de la production agricole ont été également, mises en exergue, et dont le montant annuel est estimé à 61 MDT, soit environ 34 % des pertes annuelles à l échelle nationale.
L'Ariana Goulette contre l érosion côtière du site de Rades - Soliman Zone d intervention : Rades - Soliman L élévation accélérée du niveau de la mer, estimée à environ 50cm en moyenne à l horizon de l an 2100, peut engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières. S étendant sur un linéaire de 11,5 km, les plages de la région Radès Soliman subissent une érosion continue, due à une élévation du niveau de la mer, accentuée par une diminution d environ 70 % des apports des oueds, notamment Oued Miliane, Bezrik et Soltane, suite à la construction de nombreux barrages. Egalement, les aménagements urbains sur le domaine public maritime ont contribué à favoriser l accentuation de l érosion marine le long du rivage du site. Le retrait de la ligne de côte est estimé entre 30 et 90 m depuis l an 1962. Le projet s intégre dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Son objectif est la réhabilitation d environ 11,5 km de plages, allant de Radès à Soliman, fortement affectées par l érosion marine, soit environ 13 % du linéaire prioritaire, intégré dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique Réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, Restituer aux plages leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, cadence des opérations de suivi environnemental 29,570 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : (Gouvernorat de ) Perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, estimée à 903 MDT. Pertes annuelles de la production agricole estimées à 61 MDT.
L'Ariana Goulette contre l érosion côtière du site prioritaire Sud Zone d intervention : Sud L élévation accélérée du niveau de la mer, estimée à environ 50cm en moyenne à l horizon de l an 2100, peut engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. Zone Sud Skanes Monastir est le siège d une grande activité touristique. plate-forme marine présente une pente raide, et le niveau de la mer augmente rapidement, engendrant une érosion très marquée. Le projet s intégre dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Son objectif est de réaliser des études d exécution et d entamer les travaux de réhabilitation du site prioritaire au niveau de la tranche Sud, sur un linéaire d environ 10 km. Le projet permet de protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Il permet également de réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, suivi environnemental 24,350 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de, la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 1001 MDT, soit environ 28 % des pertes économiques du capital productif à l échelle nationale. Les pertes annuelles de la production agricole et touristique ont été estimées à 42 MDT, soit environ 23 % des pertes annuelles à l échelle nationale.
Intitulé du projet : Réhabilitation et lutte contre l érosion côtière de la baie de Monastir Zone d intervention : Monastir L élévation accélérée du niveau de la mer est estimée à environ 50cm en moyenne à l horizon de l an 2100. Zone de la Baie de Monastir, qui s étend sur une longueur d environ 22 km, subit une érosion accentuée sur environ 10 km de longueur. plage subit une pression engendrée, par l expansion démographique sur le domaine public maritime, et un développement continu des infrastructures touristiques, engendrant une érosion continue des plages de la région. Ce phénomène est d autant plus accentué par une élévation du niveau de la mer, vu que cette région insulaire de basse altitude est considérée comme l une des régions les plus vulnérables à l élévation accélérée du niveau de mer. Le projet s intégre dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Son objectif est la réhabilitation de 22 km de plages fortement affectées par l érosion marine, soit environ 25 % de l ensemble des plages sensibles en ie. Protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et de leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Réalisation de travaux périodiques de maintenance et de recharge partielle des plages aménagées. Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, suivi environnemental 31,5 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : En ie, la valeur du capital productif qui serait dégradé a été estimée à plus de 3,6 milliards DT, soit presque 10% du PIB national. Aussi, les pertes annuelles de production sont estimées à environ 180 MDT, soit environ 0,5% du PIB de 2005. Elles concernent essentiellement les secteurs de l agriculture et du tourisme.
L'Ariana Goulette contre l érosion côtière au Nord-Est de l île de Jerba Zone d intervention : Nord-Est de l île de Jerba L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières qui acquièrent une grande importance économique et urbaine. De ce point de vue, la partie Nord-Est de l Ile de Jerba, est considérée comme site prioritaire sur un linéaire d environ 9 km. Le projet s intégre dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Son objectif est la réhabilitation de 9 km de plages dans la région Nord-Est de Jerba. Protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique. Réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine Restituer aux plage leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Réalisation des études techniques permettant d identifier les solutions optimales de réhabilitation Recharge d une barre sous marine parallèle à la côte Recharge artificielle d un tronçon de 9 km, dont 1 km à titre pilote Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, suivi environnemental 24,750 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de Gabès-Médenine, à laquelle appartient le site prioritaire, la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 1018 MDT, soit environ 28 % des pertes économiques du capital productif à l échelle nationale. Aussi, des pertes annuelles de la production agricole et touristique ont été estimées à 101 milliards DT annuellement, soit environ 55 % des pertes annuelles à l échelle nationale.
L'Ariana Goulette contre l érosion côtière au Sud-Est de l île de Jerba Zone d intervention : Sud-Est de l île de Jerba L élévation accélérée du niveau de la mer, suite à la dilatation des masses d eau marines, est estimée à environ 50cm en moyenne, à l horizon de l an 2100, pouvant ainsi engendrer des impacts économiques considérables, aussi bien sur le capital productif côtier que sur la production du secteur touristique et agricole des régions côtières. partie Sud-Est de l île de Jerba s étend de Borj Kastil à Sekia, en passant par la Zone d Aghir. Elle connait un grand développement touristique, et est considérée parmi les sites d intervention prioritaire sur un linéaire d environ 15 km. Le projet s intégre dans le cadre du Plan National de lutte contre l érosion marine. Son objectif est la réhabilitation de 15 km de plages fortement affectées par l érosion marine, soit environ 17 % de l ensemble des plages sensibles en ie. Protéger les plages sensibles aux impacts dus à l élévation du niveau de la mer, suite au réchauffement climatique Réhabiliter les sites côtiers affectés par l érosion marine, et leur restituer leurs valeurs écologiques, économiques et récréatives. Réalisation de travaux périodiques de maintenance et de recharge partielle des plages aménagées. Indicateurs de suivi : Linéaire côtier aménagé, Indicateurs de suivi environnemental 8,650 MDT Risques et vulnérabilité dus à la non action : Dans la région de Gabès-Médenine : la perte économique sur le capital productif, à l horizon de 2050, due à l élévation du niveau de la mer est estimée à 1018 MDT, soit environ 28 % des pertes économiques du capital productif à l échelle nationale. Aussi, des pertes annuelles de la production agricole et touristique ont été estimées à 101 milliards DT annuellement, soit environ 55 % des pertes annuelles à l échelle nationale.