Un commutateur automatique de shunts

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Transcription:

Un commutateur automatique de shunts M. Surdin To cite this version: M. Surdin. Un commutateur automatique de shunts. J. Phys. Radium, 1950, 11 (10), pp.549 552. <10.1051/jphysrad:019500011010054900>. <jpa00234310> HAL Id: jpa00234310 https://hal.archivesouvertes.fr/jpa00234310 Submitted on 1 Jan 1950 HAL is a multidisciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

On Chaque LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. TOME 11, OCTOBRE f950, 549. UN COMMUTATEUR AUTOMATIQUE DE SHUNTS Par M. SURDIN. Commissariat à l Énergie Atomique, Laboratoires du Fort de Châtillon, FontenayauxRoses (Seine). Sommaire. 2014 On décrit un commutateur automatique de shunts et son application à l enregistrement continu de tensions pouvant varier dans de larges limites. L élément essentiel du commutateur est une «échelle binaire de 8», possédant huit «états» d équilibre. Un relais est monté dans la plaque de chacune des six lampes formant l échelle et à chaque shunt on fait correspondre une certaine combinaison de contacts de ces relais. Ainsi, à chaque état de l échelle correspond un shunt différent. Le passage d un état à l autre s obtient en injectant une impulsion dans l une des deux entrées de l échelle. Ces impulsions sont obtenues à l aide de deux contacteurs, actionnés par l équipage mobile de l appareil d enregistrement, et placés à 5 et 95 pour I00 de l échelle. Pour illustrer l application du commutateur à la spectrographie de masse, on donne un enregistrement des différents isotopes du xénon. Introduction. rencontre fréquemment le problème de l enregistrement continu de tensions pouvant varier dans de larges limites. Ce problème s est présenté, en particulier, dans le cas du spectrographe de masse, où l on devait enregistrer l abondance des différents isotopes contenus dans un échantillon. En modifiant progressivement les conditions de focalisation, en agissant par exemple sur le champ magnétique, on amène successivement sur l électrode collectrice les ions de masses différentes. L amplificateur branché sur l électrode collectrice délivre à la sortie un pic de tension, chaque fois que des ions d un isotope donné sont recueillis par l électrode. L amplitude du pic est proportionnelle à l abondance de l isotope correspondant. On a couramment des abondances, donc des amplitudes des pics, variant dans un rapport de i à 04. En asservissant le déroulement du papier de l enregistreur au champ magnétique variable, on peut obtenir un déroulement proportionnel à la masse de l isotope. Si l on désire enregistrer sur une même bande de papier des pics dont l amplitude varie dans un rapport de i à I04, avec un pouvoir de résolution suffisant, il n est pas possible d utiliser un amplificateur proportionnel. Pour résoudre ce problème, plusieurs solutions ont été proposées [1, 2, 3], dont les plus intéressantes sont : l amplificateur à réponse logarithmique et le commutateur automatique de shunts. Comme l amplificateur logarithmique n assure pas une précision suffisante, nous avons adopté la solution du commutateur automatique de shunts. Principe de l appareil. fois que l amplitude à enregistrer est telle que la plume arrive au bord du papier, un shunt convenable est mis automatiquement en circuit, de telle sorte que la plume est ramenée dans la région utile du papier. Par exemple, si dans la «montée» la plume arrive à g5 pour oo de l amplitude maximum dm pouvant être enregistrée sur le papier, un shunt de I/I0e est mis automatiquement en circuit et la plume est ramenée à g,5 pour 100 de Omo A la «descente», quand la plume arrive à 5 pour oo de om, un shunt convenable est mis en circuit, de façon que la sensibilité de l appareil soit multipliée par 1 o et la plume ramenée vers le milieu de la bande de papier. De tels systèmes ont déjà été décrits par différents auteurs [2, 3]. En particulier, D. J. Grove et J. A. Hipple [2] ont utilisé un grand nombre de relais pour une gamme utile d amplitudes variant dans un rapport de 1 à 100. Nous avons abordé le problème sous un autre angle, en faisant appel à la technique des «bascules» [4], couramment employée dans ce laboratoire. L élément essentiel du commutateur est constitué par trois «bascules de 2» montées en cascade, formant ainsi une échelle de 8. Celleci possède deux entrées : une «addition», utilisée pour la montée, l autre «soustraction», utilisée pour la descente. Un relais est monté dans la plaque de chacune des six lampes formant l échelle de 8 et à chaque shunt on fait correspondre une certaine combinaison de contacts de ces relais. lors d une «montée» l état de Supposons que l échelle soit n et le shunt utilisé correspondant à cet état soit Sn. Lorsque la plume arrive à g5 pour i oo de la déviation totale, on s arrange, par la fermeture d un contact, pour envoyer sur l entrée «addition» Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019500011010054900

L appareil Détail 550 une impulsion qui fait passer l échelle de l état n à l état n + i, ce qui par le jeu des contacts des relais des plaques a pour effet d amener en circuit le shunt Sn+1. A la «descente», lorsque la plume arrive à 5 pour i oo de la déviation totale, un autre contact se ferme et une impulsion est envoyée dans l entrée «soustraction». L échelle passe alors de l état n à l état n 2013 I, et le shunt S,,, est mis en circuit. Une échelle de 8 permet d obtenir huit états, donc huit shunts différents. Fig. I, Schéma général de commutateur de shunts. L enregistrement. a été, tout d abord, adapté à un enregistreur photographique. L enregistrement se faisait en impressionnant un papier photographique par le spot fin du galvanomètre, aux bornes duquel était montée la batterie des shunts. Dans ce cas, l échelle de 8 était déclenchée par des impulsions provenant de deux cellules photoélectriques placées à 5 et 95 pour oo de l échelle du galvanomètre. Ces cellules étaient actionnées par un spot auxiliaire, plus large, provenant du miroir du même galvanomètre. Un système de marquage, obtenu par allumage de trois lampes auxiliaires impressionnant le papier, permettait d identifier le shunt utilisé. Afin d éviter les inconvénients du papier photographique, le commutateur est adapté, dans sa forme définitive, à un enregistreur à plume. Avec cet enregistreur particulier les impulsions de déclenchement de l échelle de 8 sont obtenues à l aide de deux contacteurs, actionnés par l équipage mobile, et placés à 5 et 95 pour oo de l échelle totale. Dans ce cas on n a pas trouvé, jusqu ici, de solution satisfaisante qui permette d opérer le pour identifier le shunt utilisé. La commutation de shunts. 2013 marquage Le schéma général de l échelle de 8 est donné par la figure i, le détail des contacts des relais des plaques par la figure 2 et la séquence des fermetures de ces contacts par le tableau I. Comme il a été dit plus haut, le commutateur se compose de trois «bascules de 2», 1, II et III, montées en cascade et formant une échelle de 8. Elles sont constituées respectivement par les lampes L, Fig. 2. des contacts des relais plaques. et L21 L3 et L4, L5 et Lg. Chacune de ces lampes a dans son circuit plaque un relais comportant quatre contacts dont les interconnexions, d une part, et la façon dont ils effectuent les branchements des shunts, d autre part, sont représentées dans la figure 2. L entrée «addition» est désignée par A et l entrée «soustraction» par S. Chaque fois qu à la «montée» la plume arrive à 95 pour I00 de l échelle, le contact m se ferme et

551 une impulsion est envoyée dans l entrée A, faisant passer l échelle de l état n à l état n + i, auxquels correspondent les shunts Sn et Sn rj. Le tableau 1 permet de trouver les différents états des lampes et des contacts des relais rx à r 6 D une façon analogue, lorsque à la «descente» la plume arrive à 5 pour co de l échelle, le contact d se ferme et déclenche trois opérations successives : i l envoi d une impulsion sur la bascule III par l intermédiaire du premier contact du relais r7; 2 la fermeture du second contact du même relais provoquant la fermeture retardée du relais r 8 qui a pour effet d envoyer une impulsion bascule II ; ce sur la 30 la fermeture du second contact du relais r, provoquant à son tour la fermeture retardée du relais r9, ce qui a pour effet d envoyer une impulsion sur la bascule I. Ces trois impulsions correspondent respectivement à quatre, deux et une impulsions, soit à un total de sept impulsions envoyées dans l entrée «addition». On peut constater d après le tableau 1 que l addition de sept impulsions correspond à la soustraction d une seule impulsion. On voit, d ailleurs, que si l échelle était à l état n, l addition de sept impulsions l aurait ramené à l état n 2013 I, et le shunt Sn serait remplacé par Sn1 Supposons, maintenant, que la hauteur du pic à enregistrer soit supérieure à la valeur maximum Dm correspondant au shunt de la plus petite sensibilité S.. Lors de la montée, une impulsion serait envoyée dans A, ce qui aurait pour effet de ramener le shunt S1 qui, rappelonsle, correspond à la plus grande sensibilité. Pour éviter une telle éventualité, qui pourrait avoir pour résultat la destruction de l appareil de mesure, on utilise un contact supplémentaire des relais des lampes paires pour mettre hors circuit l entreé A quand l échelle est à l état 8. De même, les contacts supplémentaires des relais des lampes impaires sont utilisées pour mettre hors circuit l entrée S quand l échelle est l état i (ces contacts ne figurent pas sur le schéma). En outre on dispose d un contacteur manuel permettant de ramener l échelle à un état n, correspondant au shunt désiré, au début de chaque enregistrement. Cet appareil fonctionne d une façon satisfaisante

Rev. Enregistrement 1 de 552 depuis plus â un an. Cependant, l interprétation des enregistrements n est pas immédiate et demande une certaine habitude, à cause du défaut déjà signalé d amplitudes se fait ici par du manque d un moyen d identification du shunt utilisé. Il convient, en outre, de signaler un autre défaut moins important de l appareil; la sélection l intermédiaire de l enregistreur, ce qui amène un accroissement du temps réponse déjà long de l équipage mobile. La figure 3 représente un enregistrement des différents isotopes du xénon (1). On constate sur l enregistrement que l abondance relative des différents isotopes est à i pour 10o près, en accord avec les tables d isotopes récentes., Fig. 3. des isotopes du xénon. Si l on désirait faire des enregistrements rapides, on pourrait remplacer la sélection d amplitude à l aide de l enregistreur par une sélection électronique. Le commutateur de shunts décrit a été monté et adapté à un enregistreur photographique par M. Favreau, lors d un stage dans ces Laboratoires. M. Favreau lui a apporté un certain nombre de perfectionnements, notamment le blocage des sensibilités 1 et 8, et le marquage des shunts par lampes auxiliaires. L adaptation définitive de l appareil sur un enregistreur à plume a été faite par M. Daillant. (1) Cet enregistrement a été obtenu par M. Roth du Service de Chimie physique. Manuscrit reçu le 29 mars 1950. BIBLIOGRAPHIE. [1] WASHBURN H. W., WILEY H. F. et ROCK, S. M. Ind. Eng. Chem. Anal. Ed., I943, 15, 54I. 2014 [2] GROVE D. J. et HIPPLE J. A. Jr. 18, 837. Sci. Inst., I947, 2014 [3] LOSSING F. P., SHIELDS R. B. et THODE H. G. Canad. J. Res., I947, 25, B. 397. [4] BERTHELOT A. J. Phys. Rad., I946, 7, n 7, I85.