LES TOMBEAUX DES FAMILLES ROYALES DE LA PÉNINSULE IBÉRIQUE AU MOYEN AGE
Histoires de famille. La parenté au Moyen Âge Collection dirigée par Martin Aurell 7
Les tombeaux des familles royales de la péninsule ibérique au Moyen Age Xavier Dectot F
2009, Brepols Publishers n.v., Turnhout, Belgium All rights reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system, or transmitted, in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording, or otherwise, without the prior permission of the publisher. D/2009/0095/189 ISBN 978-2-503-52670-6 Printed in the E.U. on acid-free paper
Une politique de la mort, tombeaux royaux de la péninsule ibérique, XIe-XIIIe siècles Pour Philéas et Quitterie Remerciements Au moment de publier ce texte, mes remrerciements s adressent tout d abord à Alain Erlande-Brandenburg qui, après avoir dirigé ma thèse de l Ecole nationale des chartes, accepta de suivre ma thèse de doctorat. Il fut et reste bien plus qu un directeur de thèse. Emmanuel Poulle et Yves-Marie Bercé, alors directeurs de l Ecole nationale des chartes et Jean Canavaggio, alors directeur de la Casa de Velazquez, m ont également prodigué des encouragements sans faille. A la Casa de Velazquez, j ai bénéficié des conseils généreux et avisés de Patrice Cressier, alors directeur des études antiques et médiévales, de l amitié de Benoît Pellistrandi, directeur des études modernes et contemporaines et de son épouse Claire, mais aussi de celle de tous les membres des sections scientifique et artistique, tout particulièrement d Isabelle Cabrol, François Cadiou (et Violaine), Philippe Josserand, Vincent Merlin, Marie-Blanche Requejo, Gregorio Salinero, Agnès Vatican, Cécile Vincent-Cassy et Alexis de Kermoal, qui nous a quitté trop tôt. Les richesses de la bibliothèque et la gentillesse de l ensemble de son personnel m ont grandement aidé dans mes recherches. Sans les riches échanges menés avec nombre de collègues et amis espagnols, je n aurai jamais pu mener à bien ces recherches. Que soient donc ici particulièrement remerciés Isidro Bango Torviso, Francesca Español, Thérèse Martin Elliott, José Luis Senra, Julio Encina, María Raquel García Arancón et Juan Carlos Ruíz Sousa. Les observations pertinentes et sans complaisance des membres de mon jury de thèse, Xavier Barral i Altet, Jean-René Gaborit et Jacques Lacoste m ont permis, je l espère, d améliorer ce texte. Celui-ci n aurait cependant sans doute jamais été édité sans le soutien et les encouragements de Martin Aurell, dont l enthousiasme dès qu il m entendit prononcer le mot de publication et l empressement à m accueillir dans les collections du Centre d études supérieures de civilisation médiévale de Poitiers furent pour moi un aiguillon dans la préparation du manuscrit et une source de remords continuels chaque fois que mes obligations professionnelles m obligeaient à la laisser de côté. Cécile Treffort a accepté la difficile tâche de relire ces pages et s est ainsi acquis durablement ma gratitude. Deux mois après la soutenance de ma thèse, en juillet 2001, j entrais au musée de Cluny. Invitus, invitos, mes collègues y ont été, chacun à leur façon, une motivation pour mener à bien ces recherches. Que soient tout particulièrement remerciés Rachel Boustta, Alain Decouche, Christine Duvauchelle, Marie-Odile Klipfel, Jean- 5
xavier dectot nine Mercier, Jean-Christophe Ton-That et Julia Fritsch, qui, elle aussi, nous a quitté trop tôt. L attachement porté par Elisabeth Taburet-Delahaye, directrice du musée, au développement de l activité scientifique de la conservation, a été d un grand soutien à l heure d achever ce manuscrit. Avec d autres, de moins en moins nombreux, elle est un rempart contre une évolution néfaste de notre profession. Qu elle en soit profondément remerciée. Le soutien de ma famille ne m a jamais fait défaut depuis les premiers temps de mes recherches sur l art funéraire. A mes parents, à ma soeur et à son ami, je souhaiterais associer mes grand-parents et notamment Raymonde Dectot et Pierre Fortin qui ont longtemps espéré que ma thèse deviendrait livre et qui ne le verront pas. Une place toute particulière doit bien évidemment être réservée à mon épouse Agnès, qui non seulement m a soutenu, mais a aussi eu sa part des difficultés liées à l élaboration de cette thèse et qui, depuis sa soutenance en mai 2001, n a cessé de m encourager avec insistance à la publier. Ce texte a aussi largement bénéficié de ses talents de relectrice. 6