1. Editorial - Immobilier ancien : les vendeurs retrouvent raison p. 04 2. Tableau et graphiques synthétiques p. 08 3. France p. 14 4. Paris p. 16 5.



Documents pareils
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre Tendances. Le contexte macroéconomique

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

la création d entreprise en nord-pas de calais

Observatoire de l Eolien

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE

ISF et intermédiation : Collecte 2009

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N décembre 2011

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

Construction de logements

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre Département Télécom et Equipement Novembre 2014

La France face à la pénurie de maisons de retraite

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique ~

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

Dans le 2,99 % Achat immobilier : le bon moment. billet

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI

Politique européenne de cohésion Etat d avancement des programmes européens

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives

au 1er novembre 2013

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique

TARIFICATION BANCAIRE :

REGION HAUTE-NORMANDIE

L année immobilière 2014

Un dispositif d appui aux très petites entreprises

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

ANNEXE VI. Effet de la réforme sur les ressources des collectivités territoriales

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP Sartrouville

MESURES. de l investissement et de l activité Mercredi 8 avril 2015 POUR UNE ACCÉLÉRATION. Pour plus d'informations :

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES

Édition «Les expatriés investissant en France : projets et attentes spécifiques»

Livret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

Les enjeux du quotidien

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP Sartrouville

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010

Présentation du Programme PHARE

L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME

guide du CREDIT RELAIS IMMOBILIER

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

Evolution des risques sur les crédits à l habitat

D immobilier. en ile-de-france. Un marché du logement à plusieurs vitesses? Février 2014

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre Accelerating success.

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

L épargne de tous au service de l intérêt général

La filière de l expertise comptable

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km

56 rue Laffitte PARIS CEDEX 09 Tél. : Site internet :

Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

Dossier de presse. syndicat de CINOV. FIDI devient le 14 e. La famille des métiers de l ingénierie s agrandit. Paris, le 21 novembre 2013

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Transcription:

1. Editorial - Immobilier ancien : les vendeurs retrouvent raison p. 04 2. Tableau et graphiques synthétiques p. 08 3. France p. 14 4. Paris p. 16 5. Ile-de-France (hors Paris) p. 18 6. Seine-et-Marne p. 20 7. Yvelines p. 22 8. Essonne p. 24 9. Hauts-de-Seine p. 26 10. Seine-Saint-Denis p. 28 11. Val-de-Marne p. 30 12. Val-d Oise p. 32 13. Lyon et son agglomération p. 34 14. Marseille et son agglomération p. 36 15. Cartes de France des prix moyens et prix moyens au m 2 par région p. 38

Immobilier ancien : les vendeurs retrouvent raison EDITORIAL 04 Conférence de presse Une partie des vendeurs a enfin intégré qu il fallait adapter ses prétentions financières aux conditions du marché pour parvenir à vendre son logement. Ainsi, après une légère baisse des prix enregistrée en 2012 (-1,9 %), suivie d un nouveau recul en 2013 (-1,8 %), la tendance s accentue en 2014 et le prix moyen au m² enregistre, au niveau national, un repli de -2,8 %. La contraction de l activité, observée au 1 er semestre 2014, est sans aucun doute à l origine de cette prise de conscience. Cette dernière s est traduite par une correction des prix au second semestre, avec pour corollaire un regain d activité en fin d année. La dynamique amorcée est toutefois trop récente pour impacter le volume annuel des ventes. Ainsi, tandis qu en 2013 le nombre de transactions augmentait de 3,1 %, l activité s érode en 2014 (-2,7 % sur l année). Lemarché des appartements voit notamment le nombre de ses transactions reculer de -6,9 % en 2014, fortement contraint par les nouvelles exigences de la loi ALUR s imposant aux ventes de lots en copropriété, quand celui des maisons se redresse de +1,7 %. Ce contraste en termes de dynamisme se répercute sur les délais de vente qui s allongent encore de 5 jours en 2014 après deux hausses consécutives en 2012 (+9 jours) et 2013 (+3 jours). Ils atteignent 95 jours en moyenne. Sans surprise, la hausse est plus importante pour le segment des appartements que pour celui des maisons (9 jours pour les appartements contre 2 jours seulement pour les maisons). Si, dans l ensemble, le marché fléchit, c est qu un certain nombre d acheteurs-vendeurs demeurent attentistes et sursoient à leurs projets. D autres, en revanche, notamment quand il s agit d acquérir plus grand, comprennent qu en concédant une baisse de prix, ils en sont à leur tour bénéficiaires lors de leur achat, aidés, en outre, par des conditions bancaires exceptionnelles. Les taux d intérêt ne cessent en effet de diminuer. En 2012, avec 3,31 % ils affichaient déjà leur plus bas niveau depuis 1945. Leur repli s est encore accentué depuis pour se situer désormais à 2,38 %, un niveau historiquement bas. La modicité de ces taux est capitale dans le soutien de l activité immobilière. La conjugaison de prix baissiers et de taux d intérêt réduits améliore la solvabilité des ménages, et l on note notamment la forte poussée des moins de 30 ans parmi les acquéreurs (+9,1 % en 2014). Les établissements bancaires se servent du crédit immobilier comme produit harpon pour fidéliser ces jeunes ménages qui tirent profit des conditions qui leur sont proposées pour réaliser 21,5 % des acquisitions, tout en jugulant leur quotité d emprunt (76,17 % contre 78,97 % un an plus tôt).

Il faut souligner que jamais, depuis la création de notre observatoire, leur pouvoir d achat immobilier n a été aussi élevé et l apport nécessaire pour acquérir un logement aussi faible (3 % du montant moyen d une transaction au second semestre 2014 contre 9 % un an plus tôt, 15 % deux ans auparavant et même 21 % il y a trois ans)! En moyenne, les ménages acquièrent un appartement pour 193 178 ou une maison pour 214 399, et profitent des conditions du marché pour acheter légèrement plus grand : 110,8 m² pour une maison (+1,74 m² sur douze mois) et 57,4 m² pour un appartement (+0,26 m²). Ces acquisitions sont réalisées très majoritairement à titre de résidence principale ; les investissements locatifs continuent de reculer de -1,3 % (après avoir déjà chuté de -5,2 % en 2012 et -7,5 %. Résultat : l offre du parc locatif ne cesse de se dégrader. À Paris : un phénomène d appel d air Si les prix s étaient légèrement réajustés en 2013 (-3,9 %) permettant au marché d enregistrer une augmentation du nombre de ses ventes (+4,1 %), le phénomène ne s est pas prolongé en 2014. Le prix moyen au m² parisien connaît une très sensible augmentation de +0,5 %, s établissant à 8230. L activité n en pâtit que peu (-0,8 %). Toutefois, les délais de vente s allongent : +15 jours en 2012, +6 jours en 2013, ils augmentent encore de 11 jours en 2014 pour atteindre 76 jours, soit la durée la plus longue jamais connue dans la Capitale (en 2009, au plus fort de la crise, ils se situaient à 69 jours). Mais pourquoi le marché parisien ne subit-il pas de véritable décrochage? Tout simplement parce que la Capitale connaît un déficit structurel de l offre que la très faible construction de logements neufs ne parvient pas à compenser. Ce déséquilibre maintient une forte pression sur les prix. Il ne faut pas négliger par ailleurs l attrait de la Capitale, agissant comme une force centripète sur les ménages qui profitent du moindre appel d air donné par une correction des prix pour s engouffrer, quitte pour cela à réaliser des sacrifices notamment en termes de superficie. C est ainsi que la surface moyenne d une transaction parisienne baisse de 2,32 m² sur un an pour s établir à 47,2 m², tandis que le montant moyen d une acquisition recule pour s établir à 382 519 (soit près de 14 000 de moins qu. À l instar de l an dernier, ce sont les cadres moyens qui portent le marché parisien et leur part parmi les acquéreurs augmente encore (+22,4 %) pour représenter 39,9 % des acheteurs (prenant la première place du podium). Ces achats sont réalisés majoritairement à titre de résidence principale (54,8 %). Les investissements locatifs, après avoir chuté de -9,8 % en 2012 et de -8,8 % en 2013, se stabilisent à un niveau historiquement bas (25 % des acquisitions parisiennes). Conférence de presse 05

En Ile-de-France, le marché se grippe Le prix moyen au m² enregistre un nouveau recul de -2,6 % en 2014 pour s établir à 3195 (après avoir diminué de -1,1 % en 2012 et de -2,9 %. Le nombre de transactions franciliennes fléchit de -2,4 %, plombé notamment par le segment des appartements dont les ventes, entravées par l une des mesures de la loi ALUR, s effondrent de -7,2 %. L évolution des délais de vente reflète les divergences de dynamisme entre segments de marché : ils s allongent de 14 jours pour les appartements (contre 4 jours pour les maisons). Seules les ventes à titre de résidence principale se maintiennent, quand celles dédiées aux investissements locatifs se détériorent de -2,5 %. Les acquéreurs franciliens qui passent à l acte profitent des conditions bancaires particulièrement favorables pour acheter plus grand, tout en diminuant leur quotité de financement. Pour un montant moyen de 245 234, ils augmentent leur superficie de 2,14 m² et font passer leur quotité de 78,85 % en 2013 à 74,71 % en 2014. En Province : coups de rabots successifs sur les prix La correction des prix observée en Province depuis 2012 tend à se généraliser. Si en 2013, sept régions avaient vu leurs prix augmenter, en 2014 seule une région est haussière, le Limousin (+3,7 %). Partout ailleurs, les prix reculent, souvent avec plus d intensité qu en 2013. Il n est ainsi pas rare de constater des baisses supérieures à -5 %. C est le cas notamment en Auvergne, dans le Languedoc- Roussillon, en Lorraine, dans le Nord et la Picardie ainsi qu en Poitou-Charentes. Le regain d activité n est cependant au rendez-vous que dans quelques régions : en Basse-Normandie (dont les prix ne cessent de se détériorer depuis 3 ans), Champagne- Ardenne, Franche-Comté, Haute-Normandie, Languedoc- Roussillon, Midi-Pyrénées et Pays-de-la-Loire. La pression fiscale toujours croissante et le chômage ont dégradé la confiance des ménages, les poussant à différer leur projet immobilier, à leurs yeux pourtant primordial. 06 Conférence de presse

Conclusion & perspectives 2015 Finalement, le marché immobilier se révèle d une résistance inespérée au vu du feu d artifices de mesures qui sont venues peser sur le pouvoir d achat des ménages (hausse des impôts, hausse des droits de mutation ), et sur l activité (encadrement des loyers, mesures ALUR)! Loin de s arrêter en si bon chemin, il semble que les pouvoirs publics nous réservent pour 2015 leur lot de nouvelles augmentations (hausse des impôts locaux, surtaxe sur les résidences secondaires ). Encourager ou matraquer : il va falloir choisir, car la stagnation de l activité tire son origine, non pas de prix immobiliers excessifs ou des conditions d octroi de crédit, mais bien des incertitudes fiscales qui ont poussé une partie de la population à l immobilisme, dans la crainte d une inéluctable dégradation de son niveau de vie. L effritement des prix devrait se poursuivre en 2015 sans permettre au marché de retrouver sa vigueur passée. Une hausse brutale des taux d intérêt pourrait transformer cet effritement en véritable correction, voire en dévissage en fonction de son amplitude. Le marché de l ancien ne réclame aucune aide mais, en revanche, la fin des atermoiements fiscaux et la simplification d un formalisme surabondant sont plus que jamais nécessaires. Pour l heure, les Français attendent, mais ils ne savent plus quoi. Conférence de presse 07

TABLEAU SYNTHÉTIQUE PRIX MOYEN AU M 2 ÉVOLUTION SUR 12 MOIS (2014 vs 2013) PRIX MOYEN D ACQUISITION SUPERFICIE DÉLAIS DE VENTE FRANCE ENTIÈRE 2 496-2,8 % 200 443 83,3 m 2 95 j Paris 8 230 + 0,5 % 382 519 47,2 m 2 76 j Ile-de-France (hors Paris) 3 195-2,6 % 245 234 77,7 m 2 92 j Seine-et-Marne (77) 2 320 + 1,1 % 191 131 84,6 m 2 95 j Yvelines (78) 3 307-5,6 % 283 255 87,1 m 2 93 j Essonne (91) 2 768-1,9 % 229 284 84,2 m 2 95 j Hauts-de-Seine (92) 5 268-1,5 % 338 437 64,3 m 2 87 j Seine-Saint-Denis (93) 3 092-2,2 % 214 801 69,4 m 2 99 j Val-de-Marne (94) 3 920-0,3 % 276 408 70,6 m 2 87 j Val-d Oise (95) 2 678-5,2 % 224 677 84,3 m 2 87 j Lyon et son agglomération 2 510-4,1 % 201 010 80,5 m 2 96 j Marseille et son agglomération 2 534-1,1 % 198 621 77,8 m 2 97 j 08 Conférence de presse Source : Réseau CENTURY 21

TABLEAU SYNTHÉTIQUE PRIX MOYEN AU M 2 ÉVOLUTION SUR 12 MOIS (2014 vs 2013) PRIX MOYEN D ACQUISITION SUPERFICIE DÉLAIS DE VENTE Alsace Aquitaine Auvergne Bourgogne Bretagne Centre Champagne-Ardenne Franche-Comté Basse-Normandie Haute-Normandie Languedoc-Roussillon Limousin Lorraine Midi-Pyrénées Nord/Picardie Pays-de-la-Loire Poitou-Charentes Provence-Alpes-Côte-d Azur Rhône-Alpes 1 769-3,8% 148 747 85,4 m 2 93 j 2 192 1 228 1 283 1 922 1 516 1 369 1 528 1 804 1 585 1 975 1 270 1 402 1 577 1 556 1 863 1 585 3 438 2 547-1,1% -5,6% -2,1% -0,2% -2,4% -1,2% -2,1% -0,6% -0,1% -7,4% + 3,7 % -7% -2,8% -6% -2,8% -6,7% -2,1% -4% 180 609 104 648 111 926 159 748 144 835 120 631 128 199 155 403 144 685 157 284 109 279 132 686 136 279 143 104 169 133 156 768 261 303 217 151 86,1 m² 95,5 m² 94,7 m² 88,6 m² 99,2 m² 90,4 m² 88,7 m² 88,7 m² 94 m² 82 m² 87,6 m² 99,8 m² 93,3 m² 93,7 m² 93,7 m² 104,1 m² 76,2 m² 84,6 m² 100 j 104 j 99 j 110 j 102 j 79 j 94 j 97 j 99 j 106 j 102 j 93 j 107 j 93 j 86 j 105 j 101 j 99 j Conférence de presse 09

ÉVOLUTION ANNUELLE DES PRIX MOYENS AU M 2 EN FRANCE APPARTEMENTS ET MAISONS (Période : 2000 2014) 10 Conférence de presse

ÉVOLUTION ANNUELLE DES DÉLAIS DE VENTE MOYENS EN FRANCE TOUS BIENS CONFONDUS (Période : 2000 2014) 100 jours 96 95 90 jours 88 90 87 82 80 jours 79 78 75 70 jours 70 68 69 71 66 64 60 jours 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 Conférence de presse 11

ÉVOLUTION DE L APPORT PERSONNEL NÉCESSAIRE POUR FINANCER L ACQUISITION D UN BIEN IMMOBILIER EN FRANCE* (montant du crédit pour une mensualité de 1 000 sur 20 ans) + Montant financé pour 1 000 remboursés par mois sur 20 ans Apport personnel nécessaire Prix moyen d une acquisition, France entière Ces simulations sont communiquées à titre informatif ; elles sont établies sur la base de taux moyens du marché constatés sur les 24 derniers mois pour diverses situations comparables. Cette présentation indicative ne constitue en aucune façon une offre commerciale ou publicitaire de financement et n'a aucune valeur contractuelle. 12 Conférence de presse * Hors frais d enregistrement

QUE S EST-IL PASSÉ EN FRANCE EN 2014? 76,2 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 79% 19,7 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (durée identique 2 496 PRIX MOYEN AU M 2 (-2,8% sur 12 mois) 200 443 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-0,4% sur 12 mois) 5,2 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 5,5% en 2013) 95 jours DÉLAI DE VENTE (+5 jours par rapport à 2013) 83,3 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 81,4 m² 14 Conférence de presse

EN FRANCE La baisse des prix est relativement homogène pour les appartements et les maisons (respectivement -2,9 % et -2,7 %). Le marché toutefois réagit très différemment selon le type de logements : l activité dévisse sur le segment des appartements qui enregistre un effondrement des transactions de -6,9 % (contre un regain de vigueur de +1,7 % pour les maisons). L explication tient à l une des mesures contenues dans la loi ALUR qui exige qu un nombre conséquent de documents soit désormais annexé à la promesse de vente d un logement en copropriété, ce qui vient entraver considérablement la réalisation de la transaction. L autre facteur tient sans doute à l écart de prix constaté entre ces deux segments de marché : 1971 le m² pour une maison contre 3328 le m² pour un appartement, soit un écart, à surface égale, de près de 70 % selon le type de logement retenu. LES ACQUISITIONS EN FRANCE 71,1% 7,6% 15,8% Principales (+1,1%) Secondaires (+2,7%) À titre de Placements (-1,3%) Répartition des acquisitions par tranche d âge QUI A ACHETÉ EN 2014 EN FRANCE? Répartition des acquisitions par CSP 21,5% - 30 ans Employés / Ouvriers 41,4% 26,4% 30-40 ans Cadres moyens 24,3% 20,7% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 14,5% 14,4% 50-60 ans Commerçants / Artisans 6,4% 9,6% 60-70 ans Retraités 13,3% 7,4% + 70 ans Conférence de presse 15

QUE S EST-IL PASSÉ À PARIS EN 2014? 60,7 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 64,4% 18,5 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (durée identique 8 230 PRIX MOYEN AU M 2 (+0,5% sur 12 mois) 382 519 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-3,5% sur 12 mois) 3,6 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (écart identique à 2013) 76 jours DÉLAI DE VENTE (+11 jours par rapport à 2013) 47,2 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 49,5 m 2 16 Conférence de presse

À PARIS La résistance des prix éloigne de la Capitale les catégories socio professionnelles les plus modestes. Si les employés/ouvriers avaient réalisé une percée en 2013, le phénomène s est stoppé net en 2014 et leur proportion diminue de -8,4 % pour ne plus représenter que 9,8 % des acquéreurs parisiens. La Capitale accueille majoritairement les cadres moyens, les cadres supérieurs et les professions libérales qui représentent ensemble 77,8 % des acquisitions. LES ACQUISITIONS À PARIS 54,8% 8,4% 25% Principales (+0,6%) Secondaires (+3,7%) À titre de Placements (+0,8%) QUI A ACHETÉ EN 2014 À PARIS? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 16,7% - 30 ans Employés / Ouvriers 9,8% 26,2% 30-40 ans Cadres moyens 39,9% 24,3% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 37,9% 16,1% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,3% 8,7% 60-70 ans Retraités 8,1% 8,0% + 70 ans Conférence de presse 17

QUE S EST-IL PASSÉ EN ILE-DE- FRANCE EN 2014? 74,7 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 78,8% 21,1 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 21,3 ans 3 195 PRIX MOYEN AU M 2 (-2,6% sur 12 mois) 245 234 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-0,1% sur 12 mois) 5,2 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (écart identique 92 jours DÉLAI DE VENTE (+10 jours par rapport à 2013) 77,7 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 75,6 m² 18 Conférence de presse

EN ILE-DE-FRANCE Seule la Seine-et-Marne voit son prix moyen au m² évoluer à la hausse (+1,1 %) : il s agit cependant du département dont les prix avaient le plus reculé en 2013 (-6,5 %). Par ailleurs, à l exception du Val-d Oise qui profite d un beau regain d activité (+13,8 %) grâce à une correction de ses prix de -5,2 %, tous les autres départements franciliens voient leur nombre de ventes diminuer (jusqu à -14,7 % pour les Hauts-de-Seine dont le prix moyen au m², même s il enregistre en 2014 un recul de -1,5 %, reste le plus élevé de la région : 5268 /m²). LES ACQUISITIONS EN ILE-DE-FRANCE 83,2% 1,9% 11,9% Principales (+0,7%) Secondaires (-9,5%) À titre de Placements (-2,5%) QUI A ACHETÉ EN 2014 EN ILE-DE-FRANCE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 22,5% - 30 ans Employés / Ouvriers 43,8% 33,2% 30-40 ans Cadres moyens 32,4% 22,5% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 12,8% 11,6% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,6% 5,2% 60-70 ans Retraités 6,4% 5,0% + 70 ans Conférence de presse 19

QUE S EST-IL PASSÉ EN SEINE-ET- MARNE EN 2014? 80 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 78,3% 21,5 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (durée identique 2 320 PRIX MOYEN AU M 2 (+1,1% sur 12 mois) 191 131 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-1,6% sur 12 mois) 5,6 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 6,6% en 2013) 95 jours DÉLAI DE VENTE (+4 jours par rapport à 2013) 84,6 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 87,9 m² 20 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS EN SEINE-ET-MARNE 77,9% 1,8% 16,4% Principales (-5,8%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (variation : NS) QUI A ACHETÉ EN 2014 EN SEINE-ET-MARNE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 25,9% - 30 ans Employés / Ouvriers 61,7% 30,8% 30-40 ans Cadres moyens 19,5% 20,8% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 6,6% 12,7% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,4% 4,6% 60-70 ans Retraités 7,8% 5,3% + 70 ans Conférence de presse 21

QUE S EST-IL PASSÉ DANS LES YVELINES EN 2014? 74,4 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 75,5% 20,6 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 20,9 ans 3 307 PRIX MOYEN AU M 2 (-5,6% sur 12 mois) 283 255 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-1,1% sur 12 mois) 4,9 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 5,5% en 2013) 93 jours DÉLAI DE VENTE (+15 jours par rapport à 2013) 87,1 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 81,8 m² 22 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS DANS LES YVELINES 82,1% 0,8% 11,6% Principales (-1,9%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (+8,4%) QUI A ACHETÉ EN 2014 DANS LES YVELINES? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 21,9% - 30 ans Employés / Ouvriers 28,9% 34,0% 30-40 ans Cadres moyens 40,6% 19,8% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 18,9% 13,2% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,0% 5,0% 60-70 ans Retraités 7,7% 6,1% + 70 ans Conférence de presse 23

QUE S EST-IL PASSÉ EN ESSONNE EN 2014? 75,2 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 84% 22,1 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 21,7 ans 2 768 PRIX MOYEN AU M 2 (-1,9% sur 12 mois) 229 284 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-0,2% sur 12 mois) 5,5 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 5,4% en 2013) 95 jours DÉLAI DE VENTE (+ 8 jours par rapport à 2013) 84,2 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 82,7 m² 24 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS EN ESSONNE 84,5% 1,7% 8,2% Principales (+4,4%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (-16,3%) QUI A ACHETÉ EN 2014 EN ESSONNE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 23,0% - 30 ans Employés / Ouvriers 48,4% 29,0% 30-40 ans Cadres moyens 28,5% 27,4% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 10,5% 9,0% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,6% 6,0% 60-70 ans Retraités 8,1% 5,5% + 70 ans Conférence de presse 25

QUE S EST-IL PASSÉ DANS LES HAUTS-DE- SEINE EN 2014? 69,4 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 74% 20,6 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 20,7 ans 5 268 PRIX MOYEN AU M 2 (-1,5% sur 12 mois) 338 437 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (+0,2% sur 12 mois) 3,8 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 3,1% en 2013) 87 jours DÉLAI DE VENTE (+18 jours par rapport à 2013) 64,3 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 63,7 m² 26 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS DANS LES HAUTS-DE-SEINE 78,9% 3,6% 15,3% Principales (-1,9%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (+2,7%) QUI A ACHETÉ EN 2014 DANS LES HAUTS-DE-SEINE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 17,2% - 30 ans Employés / Ouvriers 10,5% 38,7% 30-40 ans Cadres moyens 46,4% 20,7% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 32,3% 11,6% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,0% 7,0% 60-70 ans Retraités 6,8% 4,8% + 70 ans Conférence de presse 27

QUE S EST-IL PASSÉ EN SEINE- SAINT-DENIS EN 2014? 74,2 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 84% 20,5 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 21,1 ans 3 092 PRIX MOYEN AU M 2 (-2,2% sur 12 mois) 214 801 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (+5,5% sur 12 mois) 5,7 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 6,4% en 2013) 99 jours DÉLAI DE VENTE (+13 jours par rapport à 2013) 69,4 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 63,9 m² 28 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS EN SEINE-SAINT-DENIS 83,4% 2,1% 12,9% Principales (+4%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (-18,4%) QUI A ACHETÉ EN 2014 EN SEINE-SAINT-DENIS? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 23,0% - 30 ans Employés / Ouvriers 55,5% 32,2% 30-40 ans Cadres moyens 28,3% 20,2% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 5,3% 12,4% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,6% 6,7% 60-70 ans Retraités 6,2% 5,5% + 70 ans Conférence de presse 29

QUE S EST-IL PASSÉ DANS LE VAL-DE- MARNE EN 2014? 74,3 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 78,9% 20,7 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 20,6 ans 3 920 PRIX MOYEN AU M 2 (-0,3% sur 12 mois) 276 408 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (+1,9% sur 12 mois) 5,5 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 5,1% en 2013) 87 jours DÉLAI DE VENTE (+7 jours par rapport à 2013) 70,6 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 68,4 m² 30 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS DANS LE VAL-DE-MARNE 85,2% 1,7% 10,8% Principales (+4,7%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (-27%) QUI A ACHETÉ EN 2014 DANS LE VAL-DE-MARNE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 20,5% - 30 ans Employés / Ouvriers 32,1% 32,7% 30-40 ans Cadres moyens 40,6% 22,1% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 16,4% 14,0% 50-60 ans Commerçants / Artisans 5,9% 5,3% 60-70 ans Retraités 5,0% 5,3% + 70 ans Conférence de presse 31

QUE S EST-IL PASSÉ DANS LE VAL-D OISE EN 2014? 75 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT 22,2 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 23,3 ans 2 678 PRIX MOYEN AU M 2 (-5,2% sur 12 mois) 224 677 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-1,1% sur 12 mois) 5,7 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 5,5% en 2013) 87 jours DÉLAI DE VENTE (+8 jours par rapport à 2013) 84,3 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 81,3 m² 32 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS DANS LE VAL-D OISE 88,1% 1,4% 8,8% Principales (-1,1%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (+6%) QUI A ACHETÉ EN 2014 DANS LE VAL-D OISE? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 24,2% - 30 ans Employés / Ouvriers 57,0% 35,9% 30-40 ans Cadres moyens 28,8% 24,7% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 6,2% 8,8% 50-60 ans Commerçants / Artisans 4,1% 2,9% 60-70 ans Retraités 3,9% 3,4% + 70 ans Conférence de presse 33

QUE S EST-IL PASSÉ À LYON ET DANS SON AGGLOMÉ- RATION EN 2014? 69,8 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT 20,2 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 19,8 ans 4,3 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 4,1% en 2013) 96 jours DÉLAI DE VENTE (+11 jours par rapport à 2013) 2 510 PRIX MOYEN AU M 2 (-4,1% sur 12 mois) 201 010 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (-1,7% sur 12 mois) 80,5 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 79 m² 34 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS À LYON ET DANS SON AGGLOMÉRATION 71,8% 2,1% 14,8% Principales (-4,3%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (+19,4%) QUI A ACHETÉ EN 2014 À LYON ET DANS SON AGGLOMÉRATION? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 26,5% - 30 ans Employés / Ouvriers 41,5% 30,0% 30-40 ans Cadres moyens 22,8% 17,9% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 16,5% 10,9% 50-60 ans Commerçants / Artisans 8,7% 6,8% 60-70 ans Retraités 10,6% 7,9% + 70 ans Conférence de presse 35

QUE S EST-IL PASSÉ À MARSEILLE ET DANS SON AGGLOMÉ- RATION EN 2014? 80 % FINANCEMENT PAR EMPRUNT (contre 74,7% 19,4 ans DURÉE MOYENNE DU CRÉDIT (contre 20,9 ans 6,4 % ÉCART DE PRIX Mise en vente versus compromis (contre 7,2% en 2013) 97 jours DÉLAI DE VENTE (+7 jours par rapport à 2013) 2 534 PRIX MOYEN AU M 2 (-1,1% sur 12 mois) 198 621 PRIX MOYEN D UNE ACQUISITION (+6,6% sur 12 mois) 77,8 m 2 SUPERFICIE MOYENNE D UN BIEN ACHETÉ (contre 72,6 m² 36 Conférence de presse

LES ACQUISITIONS À MARSEILLE ET DANS SON AGGLOMÉRATION 73,1% 2,7% 21,5% Principales (+2,1%) Secondaires (variation : NS) À titre de Placements (-12,6%) QUI A ACHETÉ EN 2014 À MARSEILLE ET DANS SON AGGLOMÉRATION? Répartition des acquisitions par tranche d âge Répartition des acquisitions par CSP 17,6% - 30 ans Employés / Ouvriers 36,5% 25,1% 30-40 ans Cadres moyens 25,8% 23,9% 40-50 ans Cadres sup. / Prof. Lib. 13,8% 16,4% 50-60 ans Commerçants / Artisans 11,0% 7,5% 60-70 ans Retraités 12,9% 9,5% + 70 ans Conférence de presse 37

PRIX DE VENTE MOYEN ET SURFACE DES TRANSACTIONS PAR RÉGION BRETAGNE 159 748 88,6 m² PAYS-DE-LA- LOIRE 169 133 93,7 m² BASSE- NORMANDIE 155 403 88,7 m² HAUTE- NORMANDIE 144 685 94 m² CENTRE 144 835 99,2 m 2 NORD/PICARDIE 143 104 93,7 m 2 CHAMPAGNE - ARDENNE 120 631 90,4 m 2 BOURGOGNE 111 926 94,7 m 2 LORRAINE 132 686 99,8 m 2 FRANCHE- COMTÉ 128 199 88,7 m 2 ALSACE 148 747 85,4 m 2 78 95 93 75 92 94 91 77 < 130 000 130 000-150 000 150 000-200 000 200 000-250 000 > 250 000 POITOU- CHARENTES 156 768 104,1 m 2 AQUITAINE 180 609 86,1 m² LIMOUSIN 109 279 87,6 m 2 MIDI-PYRÉNÉES 136 279 93,3 m² AUVERGNE 104 648 95,5 m² LANGUEDOC- ROUSSILLON 157 284 82 m 2 RHÔNE-ALPES 217 151 84,6 m 2 PACA 261 303 76,2 m 2 ILE-DE-FRANCE : 245 234-77,7 m² PARIS (75) HAUTS-DE-SEINE (92) 382 519 / 47,2 m 2 338 437 / 64,3 m 2 SEINE-ET-MARNE (77) SEINE-SAINT-DENIS (93) 191 131 / 84,6 m 2 214 801 / 69,4 m 2 YVELINES (78) VAL-DE-MARNE (94) 283 255 / 87,1 m 2 276 408 / 70,6 m 2 ESSONNE (91) VAL-D OISE (95) 229 284 / 84,2 m 2 224 677 / 84,3 m 2 38 Conférence de presse

PRIX MOYEN AU M² PAR REGION ET VARIATION SUR 12 MOIS BRETAGNE 1 922 (- 0,2 %) BASSE- NORMANDIE 1 804 (- 0,6 %) PAYS-DE-LA-LOIRE 1 863 (- 2,8 %) HAUTE - NORMANDIE 1 585 (- 0,1 %) NORD/PICARDIE 1 556 (- 6 %) CENTRE 1 516 (- 2,4 %) CHAMPAGNE- ARDENNE 1 369 (- 1,2 %) BOURGOGNE 1 283 (- 2,1 %) LORRAINE 1 402 (- 7 %) FRANCHE- COMTÉ 1 528 (- 2,1 %) ALSACE 1 769 (- 3,8 %) 78 95 92 93 75 91 94 77 POITOU- CHARENTES 1 585 (- 6,7 %) LIMOUSIN 1 270 (+ 3,7 %) AUVERGNE 1 228 (- 5,6 %) RHÔNE-ALPES 2 547 (- 4 %) ILE-DE-FRANCE : 3 195 (- 2,6 %) AQUITAINE 2 192 (- 1,1 %) MIDI-PYRÉNÉES 1 577 (- 2,8 %) LANGUEDOC- ROUSSILLON 1 975 (- 7,4 %) PACA 3 438 (- 2,1 %) PARIS (75) HAUTS-DE-SEINE (92) 8 230 (+ 0,5 %) 5 268 (- 1,5 %) SEINE-ET-MARNE (77) SEINE-SAINT-DENIS (93) 2 320 (+ 1,1 %) 3 092 (- 2,2 %) YVELINES (78) VAL-DE-MARNE (94) 3 307 (- 5,6 %) 3 920 (- 0,3 %) Prix au m² en baisse > -5% Prix au m² en baisse de 0 à -5% Prix au m² en hausse de 0 à +5% Prix au m² en hausse de +5% ESSONNE (91) VAL-D OISE (95) 2 768 (- 1,9 %) 2 678 (- 5,2 %) Conférence de presse 39

1 er réseau d agences immobilières dans le monde, CENTURY 21 fédère en France 850 agences et cabinets, et regroupe 5 500 personnes qui interviennent sur les métiers de la transaction (immobilier résidentiel neuf et ancien, entreprise et commerce), de la gestion locative et de la gestion de copropriétés sur l'ensemble du territoire français. FICHE DE PRÉSENTATION DU RÉSEAU CENTURY 21 Créé en 1987, le Réseau CENTURY 21 a connu progressivement un fort développement grâce à l application rigoureuse de méthodes de management et de contrôle de qualité. Notre appartenance au groupe Nexity permet à notre réseau d offrir à ses clients une plus large palette de produits et services et de bénéficier de nouvelles perspectives de développement. Plus de 2 000 000 de projets immobiliers réalisés en France en 25 ans Près de 850 agences en France Près de 5 500 collaborateurs en France Près de 460 agences proposent les services de gestion immobilière et gèrent 130 000 lots en gestion locative, 81 000 lots de copropriété, 40 000 locations en 2014 Près de 50 agences spécialisées en immobilier de commerce et d entreprise Plus de 12 000 journées de formation ont été dispensées en 2014 auprès de 1 700 stagiaires 70 000 biens proposés à la vente et à la location sur notre site www.century21.fr

Contacts presse Franck THIEBAUX FT&Consulting 06 73 76 74 98 franckthiebaux@ft-consulting.net Christel VILLEDIEU Century 21 France 01 69 11 99 02 06 22 57 90 50 cv@century21france.com #confcentury21 Suivez-nous sur Twitter Century 21 France: @century21fr Laurent VIMONT : @LaurentVimont Christel VILLEDIEU : @c_villedieu Découvrez notre infographie interactive http://conf.century21.fr Infographie

#confcentury21