EDITION 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL

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SCHÉMA ORGANISATEUR POUR LE LYCÉE CULTURE DE L INFORMATION ET DES MEDIAS Elle vise à la construction du positionnement personnel de l élève dans la société de l information, en tant qu utilisateur / sujet chercheur d une part, et en tant que producteur / auteur, d autre part ces deux dimensions étant étroitement articulées entre elles. Elle nécessite une approche intégrant les usages informationnels des élèves, qu elle tend à faire évoluer vers une pratique structurée, créative, critique et responsable. EVALUATION DE L INFORMATION : FORMER A "L ART DU FILTRAGE" Espace informationnel CENTRE DE RESSOURCES Valorisation de l'information Attribution d'une signification élevant la donnée au statut d'information Vérifiabilité des données Confrontation avec les données issues de sources distinctes Types d'information Classification par nature de contenus, par finalité... SYSTEME D INFORMATION BASE DE DONNEES CATALOGUE OUTIL DE RECHERCHE REQUETE Document STRUCTURATION DE L INFORMATION Données informationnelles AUTEUR INTENTION DE COMMUNICATION REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE INDEXATION EVALUER L'INFO Relativité Rapport avec le besoin d'information Pertinence Source Validation Identité, notoriété, fiabilité, responsabilité de l'auteur Utilité Apport d'un élément de nouveauté D'après P. Duplessis et I. Ballarini. L évaluation de l information et ses trois composants : la donnée informationnelle, sa source et sa pertinence au regard de l activité de recherche d information [SavoirsCDI, 2007] Véridicité Rapport à la vérité induit par les finalités propres à chaque type de discours Utilisabilité Traitement possible par l'élève (structure, niveau...) Primaire / secondaire Mesure du rapport d'authenticité vis à vis du fait enregistré

DOCUMENT DU PROFESSEUR : OBJECTIFS DU NIVEAU 2 NDE OBJECTIF GENERAL : CONSTRUIRE LES NOTIONS CORRELEES D INFORMATION ET DE DOCUMENT La DONNEE INFORMATIONNELLE, «Matière première» contenue dans le DOCUMENT, nécessite, pour devenir INFORMATION, d être lue (décodée), évaluée (voir EVALUATION DE L INFORMATION) et filtrée en fonction du BESOIN D INFORMATION particulier déterminé. Elle doit être confrontée aux données issues d autres sources (Voir VERIFIABILITE DES DONNEES), et enfin retraitée de manière originale (réorganisée, reformulée) selon l intention de communication particulière organisant la DEMARCHE DE RECHERCHE. BESOIN D INFORMATION Il émerge d un manque d informations identifié lors d une situation de recherche. Il génère un QUESTIONNEMENT aboutissant à sa traduction en un ensemble structuré de MOTS-CLES, voire à une formulation de PROBLEMATIQUE Son état initial sert de point de départ à la DEMARCHE DE RECHERCHE, sa constante réévaluation en fait un processus de planification, de contrôle et de régulation. (Voir OUTIL DE RECHERCHE REQUETE - DOCUMENT DE COLLECTE) VALORISATION DE L INFORMATION : PERTINENCE Critère d'evaluation subjectif portant aussi bien sur le résultat d'une REQUETE que sur les données informationnelles contenues dans un document. Le concept de PERTINENCE, dans une activité de recherche d'informations, s'articule à partir de trois conditions essentielles : 1. RELATIVITE : rapport avec le besoin d information. 2. UTILITE : apport d un nouvel élément de connaissance 3. UTILISABILITE : traitement possible / facile par l élève. Le DOCUMENT est un ensemble constitué d un support matériel sur lequel sont inscrites des INFORMATIONS, structurées et organisées, tant du point de vue intellectuel que de la forme. Il résulte d une INTENTION DE COMMUNICATION et est le produit d une création par un ou plusieurs AUTEURS. Il est référençable (Voir REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE) et indexable (voir INDEXATION). ESPACE INFORMATIONNEL Un ESPACE INFORMATIONNEL est un lieu public - physique ou virtuel - de conservation et de diffusion de l information sur tous types de support (Voir DOCUMENT). Il résulte de la mise en œuvre d un SYSTEME D INFORMATION dont il constitue la partie visible. (Voir INDEXATION - BASE DE DONNEES CATALOGUE ). Il fonctionne généralement en réseau avec d autres espaces informationnels. AUTEUR L AUTEUR (singulier, pluriel, collectif) est à l origine (authenticité, invention, production) d un DOCUMENT. Il est clairement identifié et engage sa RESPONSABILITE EDITORIALE ET INTELLECTUELLE dans la publication. Cela lui confère des droits moraux et patrimoniaux (voir DROITS D AUTEUR DROIT DE L INFORMATION) REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE Elle fournit les éléments d'identification du DOCUMENT, formalisés selon une norme internationale. Elle permet de retrouver un document utilisé. Elle en autorise l'utilisation, dans le cas de la citation directe (Voir DROITS D AUTEUR - DROIT DE L INFORMATION). Mais elle concerne aussi l'utilisation plus diffuse de données empruntées à un document (rapport aux savoirs). CRITERES D ÉVALUATION POUR TOUT TRAVAIL DOCUMENTAIRE, AUTONOME OU ENCADRÉ (DEGRE D EXIGENCE PROGRESSIF AU COURS DE L ANNEE DE SECONDE) L élève exploite les ESPACES INFORMATIONNELS à sa disposition, à l aide D OUTILS DE RECHERCHE complémentaires (CATALOGUE, MOTEUR DE RECHERCHE ), en organisant / régulant sa DEMARCHE DE RECHERCHE à partir d un BESOIN D INFORMATION défini (questionnement, mots clés, problématique). Ce dernier lui sert à filtrer les données informationnelles prélevées selon les trois conditions de la PERTINENCE : RELATIVITÉ, UTILITÉ, UTILISABILITÉ. Il ne conserve que celles dont l AUTEUR est identifiable, et prend l habitude de confronter les données ainsi repérées à celles issues de documents distincts. Tout travail de recherche d information aboutit à une PRODUCTION DOCUMENTAIRE dont l élève est l AUTEUR. La production répond aux critères de STRUCTURATION / ORGANISATION d un document, et à une INTENTION DE COMMUNICATION précise définie par la consigne (fond et forme) et le destinataire. L élève, en tant qu AUTEUR, est RESPONSABLE de sa production : Il utilise les informations issues de la documentation exploitée de manière originale (prise de notes, reformulation, synthèse, résumé exclusion du copier-coller en dehors du statut de brouillon / document de collecte) Il utilise les informations issues de la documentation exploitée dans le respect du DROIT DE L INFORMATION (bibliographie annexée, référencement des extraits de texte et des images, légendage des images ) Il signe sa production, en assume la responsabilité, et se donne les moyens d en répondre, à son niveau.

DOCUMENT DU PROFESSEUR : OBJECTIFS DU NIVEAU 1 ERE OBJECTIF GENERAL : CONSTRUIRE LA NOTION DE SOURCE La source renvoie aux acteurs qui sont à l ORIGINE DE L INFORMATION considérée, les envisageant du point de vue de leur NOTORIETE et de la CAUTION SCIENTIFIQUE qu ils apportent. Elle s intéresse au DISCOURS produit, dans les intentions et intérêts qui en sont à l origine et le façonnent. Elle permet d identifier le TYPE D INFORMATION produit et, au-delà, de procéder à une EVALUATION DE L INFORMATION. VERIDICITE / TYPE DE SOURCE VALIDATION DE LA SOURCE SOURCE PRIMAIRE / SECONDAIRE La SOURCE d'une information est le lieu de son énonciation, énonciation d'un DISCOURS particulier révélant les fondements, les intérêts et les enjeux du destinateur du message. La VERIDICITÉ, appliquée à la SOURCE de l'information, consiste, par la recherche des intérêts manifestés par ce discours, à établir le rapport entre le contenu de l'information et une certaine représentation de la vérité. Le concept de VERIDICITÉ de la source pose le principe selon lequel l'identification de la SOURCE exerce une influence sur la réception du contenu de l'information par le destinataire. Différents TYPES DE SOURCES peuvent ainsi être identifiées : confessionnel, politique, promotionnel, scientifique, technique, etc. La VALIDATION est un processus critique engagé par le destinataire d'une donnée informationnelle. Il consiste à identifier puis à interroger la SOURCE de cette donnée, et plus particulièrement la responsabilité engagée dans sa production et dans sa publication. En cherchant à vérifier le poids de l'auteur, sa NOTORIÉTÉ, les cautions d'autres auteurs dont il bénéficie, c'est bien la «force» de la source qui est testée. La VALIDATION DES SOURCES s'attachera donc, au terme d'une enquête, à : connaître l'identité du destinateur des données informationnelles proposées s'assurer de son aptitude à assumer la responsabilité des données publiées ; estimer la notoriété, rendre compte de la CAUTION SCIENTIFIQUE dont il bénéficie le cas échéant. L'idée de SOURCE, dans cet emploi particulier de SOURCE PRIMAIRE ou de SOURCE SECONDAIRE, appelle à estimer la distance qui sépare l'informé de L'ORIGINE DE L'INFORMATION. La SOURCE PRIMAIRE correspond à la première publication relatant, traitant ou produisant une information originale et jusque-là inédite. Considérée à ce titre comme étant la plus proche du fait enregistré, elle doit être recherchée au motif qu'elle entretient avec le fait en question un rapport étroit d'authenticité. A contrario, les publications se référant par la suite à cette source primaire, produisent un DISCOURS sur celle-ci, ajoutant ainsi un certain nombre de filtres qui éloignent de cet accès privilégié. Elles sont appelées SOURCES SECONDAIRES ou intermédiaires. CRITERES D ÉVALUATION POUR TOUT TRAVAIL DOCUMENTAIRE, AUTONOME OU ENCADRÉ (DEGRE D EXIGENCE PROGRESSIF AU COURS DE L ANNEE DE PREMIERE) L élève approfondit et applique de manière systématique les objectifs de la classe de seconde : Pendant la phase de recherche : identification du besoin d information, exploitation complémentaire des ressources papier / en ligne, examen de la pertinence des résultats de requête / des ressources obtenues. Pendant les phases d exploitation / production : appropriation personnelle des données, structuration de la production documentaire selon l intention de communication spécifique au travail concerné, mention des références, légendage des images, production systématique d une bibliographie. Il y adjoint progressivement une APPROCHE CRITIQUE des SOURCES D INFORMATION exploitées : en se posant systématiquement les questions suivantes lors d une recherche d information : Qui parle? Dans quelle mesure assume-t-il sa publication? De quelle expertise / de quelle caution peut-il se prévaloir? Quel point de vue développe-t-il / quelle finalité son message porte-t-il? en confrontant systématiquement les données trouvées à celles issues de sources distinctes (VERIFIABILITÉ), et plus seulement de documents distincts ce qui implique d identifier les différents TYPES DE SOURCES en présence. Il expérimente sa condition d AUTEUR dans des cadres divers (publication individuelle / collective, diffusion interne / externe, support papier / numérique blog, réseaux sociaux, responsabilité / contribution, écriture de soi...)

DOCUMENT DU PROFESSEUR : OBJECTIFS DU NIVEAU T ERM. OBJECTIF GENERAL : S APPROPRIER LA NOTION DE SYSTEME D INFORMATION DEFINITION Ensemble de moyens et de protocoles humains et matériels mis en œuvre pour assurer la gestion et l accessibilité des informations, jugées utiles en fonction de besoins identifiés, et contenues dans des documents. Cette gestion implique le repérage et la VALIDATION DES SOURCES et ressources d'information, la collecte (voir VEILLE INFORMATIONNELLE), le traitement, le stockage, l ORGANISATION des ressources, la mise en œuvre de leur accessibilité. Il s agit ici d amener l élève à construire son propre SYSTEME D INFORMATION, répondant à ses BESOINS D INFORMATION et à ses usages médiatiques personnels, dans le respect du DROIT DE L INFORMATION et en tenant compte des enjeux et potentialités du contexte numérique (voir ETHIQUE DE L INFORMATION, PRESENCE NUMERIQUE ). ETHIQUE DE L INFORMATION L'ETHIQUE DE L'INFORMATION est un ensemble de VALEURS (règles de morale, règles de comportement), réfléchies par les professionnels de l'information, conduisant à l'énonciation de droits et de devoirs (DEONTOLOGIE), et qui favorise la responsabilisation de l'auteur, en respect de l'honnêteté intellectuelle, du lecteur et des autres acteurs concernés par l'information. L'éthique est différente de la déontologie. En effet, la déontologie relève des règles morales imposées comme règles dans un groupe, tandis que l'éthique est une invitation à la réflexion morale, avec des limites qu'il est difficile de préciser. IDENTITE / PRESENCE NUMERIQUE Ensemble des caractéristiques qui définissent un individu, à travers les TRACES, (éléments techniques, coordonnées personnelles, publications) qu'il laisse sur Internet et à travers les commentaires et publications d'autrui. L'IDENTITE NUMERIQUE, dans sa construction, dépend de la manière dont l'individu s'identifie, se caractérise, selon ce qu'elle choisit de publier, de partager. Elle dépend aussi de la manière dont les autres le perçoivent, en commentant ses publications, en proposant des publications le concernant. L'identité numérique est très instable, ou fluctuante, pose la question de la CONSERVATION DES TRACES, de leur MEMORISATION, mais aussi de la réputation d'un individu ou d'une organisation. Les élèves seront également amenés à réfléchir et à débattre sur quelques grandes problématiques contemporaines de l information et les médias, en particulier celles induites par le numérique (voir NEUTRALITE / GOUVERNANCE DE L INTERNET, BIENS COMMUNS DE LA CONNAISSANCE ) LA DEMARCHE ATTENDUE L élève approfondit et affine sa maitrise des objectifs notionnels des niveaux seconde et première, il les intègre / se les approprie afin : D être progressivement capable de construire une DEMARCHE DE RECHERCHE personnelle efficace et adaptée / adaptable depuis l analyse du besoin jusqu à la production documentaire - face à différents types de BESOIN D INFORMATION, en exploitant différents SYSTEMES D INFORMATION complémentaires (diversité des sources et outils de recherche), de manière autonome. D utiliser ses connaissances et compétences pour se constituer un SYSTEME D INFORMATION personnel, adapté à un BESOIN D INFORMATION tenant compte de son projet de poursuite d étude et/ou professionnel. L élève est ainsi progressivement amené à construire une pratique personnelle, évolutive et pérenne, de VEILLE INFORMATIONNELLE selon ses BESOINS D INFORMATION spécifiques, à partir d outils diversifiés, en particulier numériques. De comprendre et de se positionner progressivement sur les problématiques et enjeux (éthiques, politiques, sociaux, économiques ) d un environnement informationnel en mutation, incluant le numérique. Cette réflexion active doit amener l élève à faire évoluer ses pratiques informationnelles personnelles, et à participer en tant que jeune citoyen à la réflexion sur l information et le numérique.

QUATRE TYPES D ACTIVITES ET TROIS DIMENSIONS A TRAVAILLER POUR UNE ACQUISITION GLOBALE DES NOTIONS INFO-DOCUMENTAIRES Figure 1 : Récapitulatif des catégories de compétences en littératie médiatique. Source : CSEM. Les compétences en éducation aux médias, un enjeu éducatif majeur : cadre général. Bruxelles, septembre 2013. [en ligne]. Disponible sur http://www.educationauxmedias.eu/sites/default/files/files/competenceseducationmedias_web.pdf

EDITION 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL

BILAN PERIODE 1 BILAN PERIODE 2 NIVEAU SECONDE BILAN PÉDAGOGIQUE 2013-14 : UN PARCOURS DÉSTRUCTURÉ ET UN BILAN CLAIREMENT NÉGATIF Le parcours prévu s est vu complètement déconstruire, et les jalons indispensables dans le domaine de l information-documentation en seconde n ont pas pu être posés, ce qui impactera l entrée dans les certainement TPE l an prochain. Trois causes principales sont identifiées : L organisation pédagogique retenue par les équipes en charge de l accompagnement personnalisé 2 nde : aucun apport info-documentaire possible au trimestre 1, pourtant essentiel à l entrée au lycée. (Seul jalon posé sur cette période : la séance découverte et appropriation du centre, organisée dans le cadre du cours de Lettres, mais qui n a aucune pertinence si elle n est pas réinvestie par la suite dans des activités construites). perte de 2h par classe sur les périodes 2 et 3 sur les séances info-documentaires, par le jeu des multiples interventions et évènements exceptionnels placés sur le temps de l AP. La séquence «traces numériques» s est ainsi vue amputée de la moitié de son contenu, le reliquat ayant par ailleurs lourdement pâti de l intervention de l association E-enfance, sur les mêmes temps et thème, avec une entrée par le risque que nous souhaitons précisément éviter. La structure des emplois du temps, comportant de nombreux alignements, a rendu les séances d ECJS - porteuses pour les apprentissages visés - très difficiles à organiser : le démarrage a souvent été très tardif (trimestre 3), et le nombre de séances restreint. L attribution d une salle informatique ne peut constituer une solution : cela ne rend possible ni la disponibilité du professeur documentaliste sur le créneau, ni l accès aux ressources imprimées, complémentaires des ressources numérique. De plus, ces salles sont souvent indisponibles, malgré la réservation théorique. Le problème récurrent de l absence de cohérence autour des consignes liées aux travaux de recherche, autonomes ou encadrés, dans les différentes disciplines, représente un obstacle majeur au développement d un parcours de formation cohérent et porteur de sens pour l élève. On note également que la dimension technique de la recherche / production d information n est pas prise en charge pour les supports traditionnels (traitement de texte, diaporama), et n est pas associée à des apprentissages spécifiques dans le domaine info-documentaire pour les expérimentations de publication en ligne. 1 E QUINZ. SEPT. TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE 2h par classe sur 7 sem. Références bibliographiques et logiciel documentaire PMB Accompagnement de projet informel. Pas d apprentissages structurés, la moitié des classes n ont pas été vues 2h par classe sur 7 sem. Fonctionnement d un moteur de recherche : l exemple de Google Bilan très positif sur ces séances mais un prolongement pratique est nécessaire 2 1 x 2h par classe sur 14 7 sem. Traces numériques, Présence / identité numérique Bilan de la première séance très positif mais concurrence d E-enfance et seconde séance empêchée ECJS DISCIPLINES ET ENSEIGNEMENTS Lettres Découv. CDI Bilan positif Méthode du document de collecte seules quelques classes touchées, démarrage tardif, nombre de séances limité et concertation très variable, parfois inexistante dans l urgence Accompagnement très ponctuel de séances disciplinaire, sans concertation pédagogique - Assistance technique et aide à l accès aux ressources

BILAN PER. 1 BILAN PER. 2 PROJET POUR 2014-15 Harmoniser les consignes données lors des travaux de recherche, autonomes ou encadrés, quelle que soit la discipline support : élaboration d une fiche-guide à destination des enseignants. Maintenir la séance découverte et appropriation sur les 15 premiers jours de l année, dans le cadre du cours de Lettres (Initier la notion d espace informationnel et les notions afférentes) Penser le volet technique en parallèle de la construction de notions info-documentaires de base, par exemple à travers un atelier «Culture numérique» (informatique et information) en accompagnement personnalisé, obligatoire pour toutes les élèves, mené par un binôme prof-doc / prof [ Quelle organisation avec l augmentation du nombre de classes? 2 barrettes? ] : combler les lacunes des élèves en termes de PAO (traitement de texte, diaporama ), tout en explorant de nouvelles formes de production (Prezi présentation dynamique en ligne ) - construire parallèlement la notion de document et de structure du document / de l information. initier aux outils de travail collaboratif (Framapad traitement de texte collaboratif en ligne, Diigo gestionnaire de signets ) intégrer la séance sur le fonctionnement d un moteur de recherche, avec un nouveau volet, sous forme de défi collaboratif, sur les modalités concrètes de recherche avancée. Poser progressivement et régulièrement des jalons méthodologiques systématiques, par le biais d exercices ciblés intégrés dans les activités des enseignements supports et faisant l objet d une évaluation : document / typologie des documents / références bibliographiques / sélection de l information : pertinence [Ex : partage des classes dans le cadre d une préparation pédagogique conjointe professeur HG-ECJS / professeur documentaliste] Systématiser la méthode du document de collecte dans les activités de rechercher documentaire, évaluable en tant que tel (Editorialisation du parcours de recherche), dans une démarche intégrant imprimé (pratique de l annotation, du commentaire, du référencement ) et numérique (copier-coller comme maillon de la démarche globale Application Diigo) - Séparer strictement la phase de collecte de la phase de production, pour favoriser le travail intermédiaire entre information trouvée et production personnelle (partir d un document oral, limiter le temps de collecte, procéder à la rédaction dans une salle non connectée ) PREMIERE APPROCHE DE L INFORMATION-DOCUMENTATION : CONSTRUCTION DES NOTIONS DE BASE ET STRUCTURATION DE LA METHODOLOGIE 1 E QUINZ. SEPT. TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGN. PERSONNALISE BARRETTE 1 Atelier Culture numérique Atelier Culture numérique Atelier Culture numérique BARRETTE 2 Atelier Culture numérique Atelier Culture numérique Atelier Culture numérique ECJS Poser progressivement et régulièrement des jalons méthodologiques systématiques, par le biais d exercices ciblés intégrés et faisant l objet d une évaluation. Systématiser la méthode du document de collecte dans les activités de rechercher documentaire DISCIPLINES ET ENSEIGNEMENTS Lettres Découv. CDI Travaux divers, autonomes ou encadrés. Mise en cohérence des exigences info-documentaires et des consignes, prise en charge collective de la dimension technique.

NIVEAU PREMIERE BILAN PÉDAGOGIQUE 2013-14 : DES PREMIERS JALONS PERTINENTS MAIS UN RÉINVESTISSEMENT INSUFFISANT EN TPE ET DANS LES DISCIPLINES Les équipes dressent un bilan très positif des premières séances menées sur ce niveau, dans le cadre des premiers cours d ECJS dont le programme permet ici une réelle convergence des objectifs : «Exigences particulières des TPE» formalisation des attendus particuliers du TPE en matière de recherche et de production documentaire, introduction de la grille officielle d évaluation. «Evaluer les sources sur le web» - étude critique d une page de résultats Google à partir d une requête portant sur un sujet de controverse, identification des points de vue et cartographie des sources. En revanche, les notions et méthodes initiées lors de ces séances n ont pas fait l objet d un réinvestissement suffisant en TPE - cadre qui aurait pourtant dû permettre de les approfondir et de les stabiliser en termes d apprentissages. Plusieurs pistes sont identifiées, relevant toutes de l absence d une démarche pédagogique commune autour de l encadrement et de l évaluation du dispositif - les apprentissages structurés sont ainsi restreints à la marge, et dépendent à la fois des séries et des équipes encadrantes : La mise en œuvre hétérogène du principe du carnet de bord empêche l objectivation des enjeux info-documentaire pour les élèves, et la prise de conscience de leur caractère central dans la démarche. L absence de grille d évaluation commune des TPE ne permet ni l égale prise en compte de ces objectifs spécifiques par tous les enseignants, ni la tenue d un discours commun sur ces questions. L absence de discussion sur les dimensions pédagogiques dans les réunions de préparation des TPE, et l absence, cette année, de réunion bilan malgré l attribution de nombreuses notes basses. Le bilan de l implication des professeurs documentalistes dans l AP est pour sa part clairement négatif. Ici comme en 2 nde, l accompagnement de projets de permet pas la construction d apprentissages, en l absence d une construction conjointe intégrant en amont les contenus spécifiques et la place du professeur documentaliste. L atelier Webzine n a pas rempli ses objectifs ; la variabilité constante du groupe a contraint un accompagnement au coup par coup, sans construction sur le long terme - l intégration du journal lycéen dans un dispositif formel en détourne la nature, et l exclusion des élèves des séries scientifiques ne correspond pas à la logique intégratrice du projet. Cette logique a également exclu, de fait, tous les élèves du lycée professionnel. De manière générale, la reconnaissance de la place spécifique du professeur documentaliste, en termes de contenus d apprentissage relevant de son expertise, pose également problème, dans les TPE comme dans les enseignements disciplinaires, ou la concertation pédagogique de pair à pair ne va toujours pas de soi des collègues menant des séances «info-documentaires» sans aucune collaboration Pour finir, comme pour le niveau 2 nde, les travaux de recherche, autonomes ou encadrés, dans le cadre des enseignements disciplinaires, ne font l objet d aucune concertation quant à la cohérence des consignes données. La prise en compte de la dimension technique de la recherche et de la production documentaire est, là aussi, insuffisamment traitée. ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE TPE ECJS DISC. ET ENS. TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DES ACTIVITES DOCUMENTAIRES ET INFORMATIONNELLES DANS LES PROJETS REFERENTE : MARIE-CHRISTINE FRAPSAUCE Accompagnement du groupe «concours de la Résistance» (équiv. 1 classe) Pas de construction formalisée de compétences / notions infodoc WEBZINE SHOT RÉFÉRENTE : GAELLE SOGLIUZZO Responsabilité du groupe «SHOT» (équiv. ½ classe) Objectifs : recherche et exploitation de l info., démarche de projet, travail d équipe, communication Exclusion des séries scientifiques, groupe perpétuellement modifié qui a rendu impossible la construction d une réelle démarche de projet et d apprentissages ciblés. 2x 1h par demie-classe Exigences des TPE et Evaluer les sources web Bilan très positif sur ces deux séances Evaluation des grilles de prise de référence PUIS des bibliographies (trois deux pour tous) objectif : réinvestissement des notions vues en ECJS. Dispositif pertinent mais insuffisamment intégré dans la démarche globale : reste cantonné à la marge - Retours variables selon les séries. Utilisation des lieux et des ressources - Assistance technique et aide à l accès aux ressources, pas de concertation pédagogique et pas de cohérence des consignes

PROJET ÉTABLI POUR 2014-15 Harmoniser les consignes données lors des travaux de recherche, autonomes ou encadrés, quelle que soit la discipline support : élaboration d une fiche-guide à destination des enseignants. Education civique, juridique et sociale (ECJS) / Histoire-géographie: Maintient des séances préparatoires aux TPE dans le cadre des premières séances d ECJS. Réinvestissement, dans les séances d ECJS ou d histoire-géographie, de la méthode du document de collecte. Approfondissement de la dimension critique (notion de source) via des activités de cartographie des sources. Accompagnement personnalisé (AP) : Remise à plat de l implication des professeurs documentalistes dans l accompagnement personnalisé sur ce niveau. Prévoir le nombre d enseignants nécessaire à l encadrement! Prise en charge de la dimension technique de l activité TPE, via l initiation aux outils numériques, en veillant à intégrer systématiquement des objectifs notionnels dans ces activités courtes et ciblées. Déplacement les deux séances relatives à l identité et aux traces numériques sur ce niveau, au trimestre 3? Travaux personnels encadrés (TPE) : Engagement d une concertation pédagogique pour une meilleure intégration des enjeux info-documentaires dans la démarche globale. Maintient du dispositif d accompagnement de constitution de la bibliographie. Elaboration d un cahier de bord et d une grille commune d évaluation des TPE, formalisant clairement les objectifs info-documentaires, pour un discours collectif cohérent. Engagement d un rapprochement avec les collègues en charge d options spécifiques (Littérature et société ) en amont de la constitution des projets pour l an prochain, dans le but de faire émerger des points d appui pour les apprentissages info-documentaires. STRUCTURATION DES ACQUIS ET ADJONCTION DES NOTIONS LIÉES A LA DIMENSION CRITIQUE, DANS L OBJECTIF DES TPE TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE Prise en main de Diigo et des outils de travail collaboratif en ligne (Framapad) Initiation aux outils de publication en ligne Aide à la construction des supports à la présentation orale Identité / présence numérique Traces numériques TPE Carnet de bord [formalisation et suivi de la démarche de projet] et grille d évaluation construits en concertation, communs à tous les groupes. Suivi, par les professeurs documentalistes, de la démarche de sélection / évaluation des sources [document de collecte multi-supports, bibliographie] ECJS 2x 1h par demie-classe Exig. des TPE / Evaluer les sources web Réinvestissement et approfondissement de la méthode du document de collecte, réinvestissement des séances initiales par des activités de cartographie des sources sur des sujets de controverse ou des sujets sociétaux. DISCIPLINES ET ENSEIGNEMENTS Travaux divers, autonomes ou encadrés. Mise en cohérence des exigences info-documentaires et des consignes, prise en charge collective de la dimension technique. Intégration d objectifs info-documentaires dans les enseignements d exploration?

NIVEAU TERMINALE ÉTAT DES LIEUX 2013-14 : UN MAILLON DU PARCOURS INEXISTANT MALGRÉ DES PROPOSITIONS TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGN. PERSONNALISE Aucun apport info-documentaire dans ce cadre, aucune utilisation du lieu ou des ressources par les équipes en charge de l AP terminale ECJS Très peu de séances effectives d ECJS la préparation au BAC prime sur le reste et oblitère les possibilités de travailler spécifiquement en information-documentation DISCIPLINES ET ENSEIGNEMENTS Utilisation très ponctuelle des lieux et des ressources - Assistance technique et aide à l accès aux ressources, pas de concertation pédagogique et pas d apprentissages spécifiques PROJET ÉTABLI POUR 2014-15 Mise en sommeil de ce maillon du parcours, faute d appuis dans les dispositifs et enseignements supports. Etablissement d une fiche-guide pour les enseignants, afin d envisager a minima une mise en cohérence des consignes et exigences dans le cadre d activités documentaires autonomes ou encadrées. Proposition de séances «clé en main» autour des outils numériques collaboratifs de recherche / publication aux professeurs / aux élèves? Etablissement et mise à disposition de tutoriels, dans un cadre spécifique favorisant le recours individuel au professeur documentaliste? (Entrée par l outil permettant un apport notionnel minimal?) Engagement d un rapprochement avec les collègues en charge d options spécifiques (Histoire, Droit ) dans le but de faire émerger des points d appui pour les apprentissages info-documentaires? VERS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR : CONSTRUIRE UNE STRATEGIE DE RECHERCHE / PRODUCTION PERSONNELLE ET VARIEE TRIMESTRE 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRE 3 ACCOMPAGN. PERSONNALISE - ECJS DISCIPLINES ET ENSEIGNEMENTS

BALLARINI-SANTONOCITO Ivana. DUPLESSIS Pascal. «Petit dictionnaire des concepts info-documentaires : approche didactique à l usage des enseignants documentalistes». SavoirsCDI [en ligne], 2007. http://www.cndp.fr/savoirscdi/chercher/dictionnaire-des-conceptsinfo-documentaires.html «Wikinotions infodoc». FADBEN [en ligne], 2009. http://www.fadben.asso.fr/wikinotions CSEM. Les compétences en éducation aux médias, un enjeu éducatif majeur : cadre général. Bruxelles, septembre 2013. [en ligne]. Disponible sur http://www.educationauxmedias.eu/sites/default/files/files/compet enceseducationmedias_web.pdf EDITION 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL