par António Guterres HAUT COMMISSAIRE DES NATIONS UNIES POUR LES RÉFUGIÉS

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1 Des réfugiés centrafricains quittent les abris temporaires du site de transit de Gbiti pour être relogés au camp de Mbile (Cameroun). Dans la tourmente, par António Guterres HAUT COMMISSAIRE DES NATIONS UNIES POUR LES RÉFUGIÉS M aintenant que l année 2014 touche à sa fin, force est de constater qu elle a été bien noire. Plusieurs crises ont éclaté sur différents continents, des conflits anciens ont continué à s envenimer et l on ne compte plus les cas de violations graves des droits de l homme. Par conséquent, des millions de personnes autour du monde ont été obligées de fuir leur foyer chaque jour. À la fin de l année 2013 déjà, les déplacements forcés dans le monde avaient pris une ampleur jamais atteinte depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale : 51,2 millions de personnes étaient déplacées à cause des conflits et des persécutions. Au rythme où vont les choses, ce chiffre risque d être encore plus élevé à la fin de l année Et comme chaque nouvelle crise accentue la pression exercée sur l accès, le financement et la capacité de réponse des organisations humanitaires, les limites de notre action ne sont aujourd hui que trop visibles. À l approche de 2015, on ne peut douter que ces défis persisteront, et certains changements fondamentaux seront nécessaires pour permettre 8 Appel global 2015 du HCR - actualisation

2 préserver la vie aux acteurs humanitaires de continuer à préserver la vie au cœur de la tourmente. Au deuxième semestre 2014, le système humanitaire international a fait face à quatre situations d urgence de grande ampleur, dites de niveau 3, en Iraq, en République centrafricaine, en République arabe syrienne (Syrie) et au Soudan du Sud. Plus de 5,5 millions de personnes ont été déplacées par les événements survenus dans ces pays au cours de la seule année 2014 et d autres crises en Libye, au Nigéria, en République démocratique du Congo, en Somalie, en Ukraine et ailleurs ont forcé des centaines de milliers d autres personnes à prendre la fuite. Dans toutes ces situations, l insécurité a entravé l action et l accès des travailleurs humanitaires aux personnes relevant de leur compétence. La perte de 81 humanitaires, tués en service au cours des neuf premiers mois de l année 2014, montre combien il est important de continuer à investir massivement dans les mesures destinées à garantir la sûreté du personnel et dans la gestion de la sécurité. La priorité absolue de l Organisation est d assurer la sécurité, le bien-être et le perfectionnement de ce qui constitue son bien le plus précieux : son personnel. Notre intervention, dans l environnement mondial très éprouvant qui a caractérisé l année 2014, a été soutenue par trois piliers centraux d appui à la protection des réfugiés. Les pays et les communautés d accueil ont continué à ouvrir leurs portes aux personnes en quête de sécurité, ce qui a souvent eu de lourdes conséquences économiques et sociales. Les donateurs ont maintenu et même accru leur soutien, offrant au HCR quelque 3 milliards de dollars E.-U., soit plus du triple des fonds reçus il y a dix ans. Et les opérations du HCR autour du monde, tout comme son travail de mobilisation, de définition de politiques et d élaboration de guides et de principes directeurs, ont été renforcées par la collaboration exemplaire de nos partenaires. HCR / F.NOY Appel global 2015 du HCR - actualisation 9

3 RÉPONSE AUX SITUATIONS D URGENCE La pression exercée sur les ressources et les capacités a mis en évidence la nécessité d améliorer encore les mécanismes de réponse d urgence existants ; et l exécution rapide et efficace des activités dans les nouvelles crises de déplacement est toujours notre priorité absolue dans ce domaine. Parmi les mesures prévues en 2015, citons le renforcement des stocks mondiaux et des mécanismes d assistance en espèces, un examen des protocoles d urgence internes et la poursuite des investissements dans la formation, dans l appui technique aux secteurs clés et dans les partenariats de réserve. En outre, le HCR continuera à consolider sa capacité de direction des modules dans les situations de déplacement interne et intensifiera encore l appui aux trois modules (protection, abris, gestion des camps et coordination des camps) dont il est chef de file ou co-chef de file au niveau global. Il est également nécessaire de consentir des efforts soutenus pour réformer la gestion des ressources humaines, de sorte que l Organisation dispose des effectifs requis pour assurer la continuité de sa réponse à moyen et à long terme. PARTENARIAT Le partenariat joue un rôle central dans la réponse d urgence et, à dire vrai, dans l ensemble de l action du HCR. En 2015, nous continuerons de mettre l accent sur le renforcement de la collaboration avec d autres organismes opérationnels des Nations Unies, notamment le PAM et l UNICEF, ainsi que de l appui à l Agenda transformatif du Comité permanent interorganisations (IASC) et à son application. Avec nos principaux partenaires au sein de l IASC, nous poursuivrons également la mise en œuvre du Modèle de coordination pour les réfugiés afin de consolider notre approche inclusive, intégrée et distincte, et de préciser davantage les rôles et les responsabilités. Notre collaboration avec les organisations non gouvernementales sera centrée sur des missions d appui conjointes destinées à faciliter le dialogue sur le terrain, ainsi que sur le resserrement continu des relations bilatérales avec des partenaires clés pour déterminer les synergies possibles et les priorités communes en matière de plaidoyer. Le HCR continuera de s investir avec énergie dans le partenariat avec les acteurs du développement, afin de faciliter la recherche de solutions durables pour les réfugiés et les autres personnes relevant de sa compétence, et en vue d assurer une plus grande complémentarité entre l action humanitaire et l action de développement dès le début de la période de déplacement. Notre collaboration étroite avec la Banque mondiale et le PNUD dans le cadre de la crise de réfugiés syriens vise à stabiliser la situation et à renforcer la résilience à long terme des communautés d accueil et des réfugiés. Cette approche résolument novatrice est à la base du Plan régional pour les réfugiés et la résilience (3RP), qui réunit plus de 150 partenaires et les Gouvernements des pays d accueil. PROTECTION En 2015, le HCR s attachera tout particulièrement à renforcer et à réaffirmer le rôle central de la protection dans tous les aspects des interventions humanitaires, dès le début des situations d urgence et tout au long de la période de déplacement. En outre, l Organisation se consacrera à un certain nombre de priorités globales, dont l apatridie, la protection en mer, la protection des femmes et des enfants, et la mise en œuvre de la stratégie «Au-delà de la détention», récemment publiée. En novembre 2014, le HCR aura lancé sa campagne mondiale pour mettre fin à l apatridie en une décennie. Sachant que le nombre d adhésions à la Convention de 1961 a été plus élevé ces quatre dernières années qu au cours des quatre décennies qui ont suivi l adoption du texte, et qu un nombre croissant d États donnent suite aux engagements qu ils ont pris en matière d apatridie lors de la réunion ministérielle de 2011, on peut considérer qu il y a aujourd hui dans le monde un élan suffisant pour mettre cet objectif l élimination de l apatridie à notre portée. L année 2015 sera la première année de mise en œuvre du Plan d action mondial pour mettre fin à l apatridie, élaboré en étroite coopération avec les États, la société civile et les organisations internationales en vue de résoudre les situations existantes, de prévenir de nouveaux cas et d identifier et de protéger avec plus d efficacité les apatrides. Nous avons assisté ces dernières années à une forte augmentation des déplacements irréguliers par voie maritime et du nombre de disparitions en mer, que ce soit en Méditerranée, dans le golfe d Aden, dans la Caraïbe ou en Asie du Sud-Est. Dans ce contexte, le HCR a lancé en 2014 son Initiative mondiale sur la protection en mer, destinée à soutenir les États dans leurs efforts pour réduire le nombre de décès et répondre aux migrations mixtes irrégulières maritimes en tenant compte des besoins de protection. L édition 2014 du Dialogue sur la protection que j organiserai en décembre sera consacrée à ce même sujet. Cette réunion offrira un forum pour examiner ensemble les défis liés aux mouvements maritimes irréguliers et définir les moyens d aider les États à améliorer le sauvetage et le débarquement, à assurer des conditions d accueil adéquates, à garantir un traitement juste des demandes de protection et, plus important encore, à renforcer la coopération et le partage de la charge au niveau régional. 10 Appel global 2015 du HCR - actualisation

4 Le Haut Commissaire bavarde avec des réfugiés syriens dans leur abri familial, situé dans la vallée de la Bekaa (Liban). HCR / A. MCCONNELL La protection des femmes et des enfants restera au centre des priorités de l Organisation en À ce titre, les opérations bénéficieront d un solide soutien pour prévenir la violence sexuelle et sexiste et y répondre, et plusieurs programmes de formation seront mis en place. Et comme un réfugié sur deux dans le monde est aujourd hui âgé de moins de 18 ans, les interventions de protection de l enfance seront encore renforcées afin de guider les opérations nationales pour les aider à protéger les enfants de la violence et de l exploitation sexuelle, du recrutement forcé, du travail des mineurs, du mariage précoce et des autres pratiques néfastes auxquelles ils sont exposés du fait de leur déplacement. La déclaration des naissances, l accès à une éducation de qualité, l accompagnement psychosocial et le renforcement de l attention accordée aux adolescents et aux jeunes seront les piliers de l intervention du HCR dans ce domaine. Enfin, l accent sera également mis en 2015 sur la mise en œuvre de la stratégie Au-delà de la détention ( ), en partenariat avec la Coalition internationale contre la détention et d autres acteurs. À l heure où le placement en détention est devenu la règle, plutôt que l exception, dans bon nombre d États confrontés à l arrivée de demandeurs d asile en situation irrégulière, cette stratégie vise à aider les gouvernements à faire face à ces défis, moyennant des solutions de remplacement qui sont à la fois plus efficaces et plus respectueuses de la dignité et des droits de l homme. SOLUTIONS DURABLES ET AUTOSUFFISANCE Alors que la population réfugiée avait diminué pendant plus d une décennie, les déplacements transfrontaliers sont plus nombreux que les solutions durables depuis quatre ans, de sorte qu aujourd hui, plus de 6 millions d individus réfugiés de par le monde sont piégés dans des situations d exil prolongées. Pour donner à davantage de réfugiés une chance de refaire leur vie, il faudra un solide engagement institutionnel, un renforcement des partenariats et des investissements soutenus dans les actions qui préparent des solutions durables - notamment la formation, l appui aux moyens de subsistance pérennes et une initiative visant à simplifier les procédures de réinstallation en collaboration avec les États. Comme les approches intégrées sont sans doute les plus aptes à résoudre les situations d exil prolongées, le HCR continuera à soutenir énergiquement un certain nombre de stratégies, comme celles qui sont mises en œuvre pour les réfugiés afghans en Asie du Sud-Ouest, pour les Angolais, les Rwandais et les Libériens, ou pour les Colombiens réfugiés en Équateur. L année 2015 sera également marquée par un appui continu à l Alliance pour les solutions, qui réunit des institutions onusiennes et des représentants de la société civile, des gouvernements de pays Appel global 2015 du HCR - actualisation 11

5 d accueil et de pays donateurs, ainsi que des acteurs des milieux universitaires et du secteur privé, afin de promouvoir des approches collectives, stratégiques, permettant d apporter des solutions durables dès le début du déplacement. Les sections locales de l Alliance poursuivront leur travail en Zambie et en Somalie, notamment au titre de l Initiative mondiale pour les réfugiés somaliens. Dans ce cas aussi, les partenariats jouent un rôle essentiel et le HCR travaillera en étroite coopération avec des gouvernements, des institutions onusiennes, des partenaires non gouvernementaux et d autres acteurs pour promouvoir des solutions durables, ainsi que des programmes d appui aux moyens de subsistance pérennes, orientés sur les besoins du marché, dans le cadre de sa stratégie mondiale à quatre ans. S il n y a pas de solutions disponibles dans l immédiat, le HCR continuera d appuyer l autosuffisance et la mobilité, qui permettent aux personnes déplacées de faire une contribution constructive à la vie des communautés qui les accueillent. Dans ce contexte, nous entreprendrons en 2015 de mettre en œuvre notre politique sur les alternatives aux camps, récemment publiée, de concert avec les gouvernements d accueil et un vaste éventail de partenaires. Cette politique, qui étend les principaux objectifs de la politique sur les réfugiés urbains à tous les contextes opérationnels, devrait s avérer utile pour améliorer les résultats, au bénéfice des réfugiés comme des pays d asile. REPENSER LES INTERVENTIONS HUMANITAIRES L augmentation exponentielle des besoins humanitaires à laquelle nous avons assisté ces dernières années risque de se poursuivre dans un avenir proche. En raison de la faible capacité de la communauté internationale à prévenir et à régler les conflits, il y a fort à craindre qu une multitude de crises, nouvelles ou prolongées, ne continuent de chasser les gens de leur foyer. En outre, la conjonction de plusieurs phénomènes urbanisation, croissance démographique, insécurité alimentaire, pauvreté et inégalités économiques aggravés par les changements climatiques, rend l augmentation des déplacements forcés encore plus probable. De toute évidence, ceci remet en question la suffisance et la durabilité des ressources disponibles dans le monde pour l action humanitaire. Si nous voulons que le système humanitaire international soit en mesure de faire face aux défis présents et à venir, il faut envisager un certain nombre de changements. L un de ceux-ci concerne le financement. Il convient de poursuivre les efforts actuellement déployés pour élargir l éventail des donateurs et d étudier des pistes pour renforcer le financement de l action humanitaire en faisant preuve d inventivité par exemple en examinant la possibilité de créer un fonds d intervention d urgence pour les crises de grande ampleur. En outre, les relations entre le financement de l action humanitaire et le financement de l aide au développement doivent être revues. À défaut d une plus grande complémentarité et d une action plus précoce de la part des organismes de développement, les ressources humanitaires continueront d être ponctionnées pour répondre à des besoins qui devraient être pris en charge par les budgets d aide au développement (qui représentent aujourd hui huit fois le montant total des fonds disponibles pour l aide humanitaire dans le monde). Près de deux décennies après que l expression «combler le fossé» soit devenue un slogan, il reste beaucoup à faire pour transformer cette formule en une réalité opérationnelle. Mise à part la question du financement, pour repenser les interventions humanitaires, nous devons nous adapter à l évolution de la situation. C est pourquoi le HCR mettra davantage l accent sur l innovation en 2015 par exemple, en développant l utilisation des espèces et des bons d échange, en mettant les technologies d aujourd hui au service de la communication, de l enregistrement et de l assistance, ou en favorisant l accès sans risque aux combustibles et à l énergie. DÉFIS ET OPPORTUNITÉS L année 2015 sera vraisemblablement caractérisée par la persistance des défis et des pressions humanitaires, mais fera également naître des opportunités. Citons notamment des initiatives prévoyant une collaboration internationale dans les domaines relevant du mandat de protection du HCR, ainsi qu une occasion d influer sur l avenir du développement durable et de l action humanitaire. Le HCR continuera de jouer un rôle central dans les efforts de sensibilisation visant à faire en sorte que les solutions durables au déplacement forcé soient intégrées dans le programme de développement pour l après-2015, ainsi que dans les travaux préparatoires du Sommet mondial sur l aide humanitaire, qui doit se tenir à Istanbul à la mi En cette fin d année 2014, année qui a brutalement fait ressortir les limites de l action humanitaire, il faut de toute évidence s attaquer aux causes profondes des déplacements et des souffrances humaines. En définitive, ceci nécessite une capacité internationale de prévention et de résolution des conflits plus solide ; et fondamentalement, c est la volonté politique qui permettra à la communauté internationale de se rassembler et de surmonter ses divergences et ses contradictions. 12 Appel global 2015 du HCR - actualisation

6 HCR / R. ARNOLD L Envoyée spéciale L Envoyée spéciale fait la connaissance de Baw Meh, une réfugiée karenni de 75 ans, originaire du Myanmar, au camp de Ban Mai Nai Soi (Thaïlande). Après 14 années de bons et loyaux services auprès du HCR, Angelina Jolie continue à joindre sa voix à celle du Haut Commissaire pour attirer l attention sur la nécessité d améliorer la protection, l assistance et les solutions offertes aux réfugiés, en particulier dans les situations d urgence complexes comme la crise syrienne. En 2014, après s être rendue au Liban pour rencontrer des réfugiés syriens, l Envoyée spéciale a passé la Journée mondiale du réfugié en compagnie de réfugiés du Myanmar accueillis dans le nord de la Thaïlande. L actrice a été émue par la résilience de ces déracinés au terme de plus de trois décennies d exil. Elle a appelé à un soutien accru, afin de leur donner les qualifications professionnelles et l instruction nécessaires pour se tourner avec confiance vers l avenir. Angelina Jolie, Envoyée spéciale du HCR Angelina Jolie a également indiqué qu il fallait aider le Myanmar à se préparer à leur retour sûr et durable lorsque les conditions s y prêteront. L Envoyée spéciale continue d exprimer son inquiétude au sujet de l aggravation de la crise en Syrie et de ses répercussions sur les pays de la région : «les conflits en Syrie et en Iraq sont manifestement devenus des menaces pour la stabilité de la région, compromettant la paix et la sécurité au niveau mondial». Par la suite, Angelina Jolie a accompagné le Haut Commissaire lors d une visite à Malte, où tous deux ont alerté l opinion sur l ampleur de la crise en Méditerranée et appelé les nations européennes à participer plus activement au sauvetage des migrants irréguliers en péril en haute mer. Il existe un lien direct entre les conflits en Syrie et ailleurs, et la hausse de la mortalité en mer Méditerranée. Nous devons comprendre ce qui pousse ces personnes à prendre la terrible décision de risquer la vie de leurs enfants à bord d embarcations dangereuses et surchargées ; c est leur quête irrésistible de refuge. Appel global 2015 du HCR - actualisation 13

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