CONCOURS DE RECRUTEMENT DES INSPECTEURS D'ACADÉMIE - INSPECTEURS PÉDAGOGIQUES RÉGIONAUX

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1 Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche Direction de l'encadrement CONCOURS DE RECRUTEMENT DES INSPECTEURS D'ACADÉMIE - INSPECTEURS PÉDAGOGIQUES RÉGIONAUX 2004 CENTRE NATIONAL DE DOCUMENTATION PÉDAGOGIQUE

2 LES RAPPORTS DES JURYS DES CONCOURS SONT ÉTABLIS SOUS LA RESPONSABILITÉ DES PRÉSIDENTS DE JURY

3 S O M M A I R E REMARQUES SUR LE CONCOURS Le jury...4 Les postes mis au concours...5 Les candidats...6 L'ADMISSIBILITÉ...10 La constitution du dossier...10 Le curriculum vitae...11 La lettre de motivation...11 Les documents annexés...12 Appréciations d'ensemble sur les candidats L'ADMISSION...14 Le déroulement de l'épreuve...14 Critères relatifs à la conduite et à l'évaluation de l'entretien...15 Principaux constats relatifs au déroulement de l'entretien...17 Recommandations aux candidats...18 ANNEXES Composition du jury du concours de recrutement des IA-IPR - Session Informations statistiques Rappel de la réglementation

4 REMARQUES SUR LE CONCOURS 2004 Un rapport de jury a pour fonction de faire le bilan du concours et de clarifier à l'intention des candidats les attentes et les exigences des examinateurs. Comme les précédents, le rapport de la session 2004 s'attache à analyser le déroulement des épreuves de façon à formuler des conseils pour les futurs candidats et éclairer ceux qui, en 2004, n'ont pas franchi le seuil de l'admission. Le jury apprécie la diversité des expériences et des histoires professionnelles et ne recherche nullement un profil type auquel il faudrait se conformer pour être admis. En revanche, les candidats constateront qu'ils sont invités à se préparer sérieusement. Une compétence reconnue dans les fonctions exercées, une réflexion entretenue et ouverte, audelà de la spécialité, sur l'ensemble des questions qui se posent au système éducatif constituent des atouts pour se présenter légitimement au concours. L'information des candidats est complétée par la présentation de statistiques, la composition du jury pour la session 2004 ainsi qu'un rappel des textes qui régissent le concours. Le jury Composition et organisation du jury L'arrêté du 25 octobre 1990 définit à l'article 15 la composition du jury : "Le jury du concours est nommé par le ministre chargé de l'éducation nationale. Il comprend des membres choisis parmi les catégories suivantes : - membres des corps des inspections générales de l'éducation nationale ; - membres de l'enseignement supérieur ; - inspecteurs pédagogiques régionaux - inspecteurs d'académie ; - personnalités extérieures choisies à raison de leur connaissance du système éducatif. Le Président du jury est nommé par le ministre chargé de l'éducation nationale et peut être assisté d'un ou plusieurs vice-présidents". 4

5 Le jury du concours 2004 était composé de cinquante-six membres (cinquante-sept en 2003) dont : - deux professeurs des universités ; - quatre recteurs ; - vingt-six inspecteurs généraux de l'éducation nationale ; - deux inspecteurs généraux de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche ; - dix-sept inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux ; - cinq inspecteurs d'académie - directeurs des services départementaux de l'éducation nationale. La répartition entre les grades et les fonctions des différents membres du jury est restée très proche de celle des années antérieures. La tendance à un meilleur équilibre entre les sexes s'est confirmée (treize femmes en 2002, vingt et une femmes en 2003 et en 2004). Les membres du jury ont été répartis en neuf commissions de quatre membres au minimum. Chacune des commissions était présidée par un inspecteur général. L'harmonisation du travail des commissions est assurée par des réunions des présidents de commissions. La composition et l'organisation du jury traduisent la volonté de prendre en compte la diversité des missions qui sont dévolues aux IA-IPR et montrent que l'on attend à la fois des candidats une maîtrise de leur spécialité et une claire perception du fonctionnement du système éducatif. Sa fonction Le jury assume la responsabilité d'établir la liste des candidats dont le recrutement est proposé au ministre dans la limite des postes ouverts. Il est souverain et il lui incombe de garantir aux candidats comme à l'institution équité, objectivité et rigueur. Sa mission est de retenir parmi les candidats ceux pour lesquels il est possible de diagnostiquer à la fois les compétences scientifiques et les capacités d'adaptation indispensables pour réussir pleinement dans des responsabilités d'inspecteur d'académie - inspecteur pédagogique régional. Les postes mis au concours Le nombre de postes mis au concours en 2004 est de 83, en sensible augmentation (+ 14) par rapport à celui de la session précédente. La répartition des postes entre les différentes disciplines reflète les ajustements habituels. Ceux-ci résultent des prévisions de départs et du constat de déficits dans telle ou telle discipline. En 2004, l'augmentation du nombre de postes a bénéficié principalement à l'allemand (+ 4), à l'économie gestion (+ 4), aux lettres (+ 3), aux sciences physiques (+ 2) et aux sciences et techniques industrielles - secteur biochimie-biologie (+ 2). 5

6 Nombre de postes mis au concours Spécialités Rappel Administration et vie scolaire Allemand 4 Anglais 8 8 Arts plastiques 1 2 Économie et gestion 2 6 Éducation musicale 2 2 Éducation physique et sportive 5 6 Espagnol 3 2 Histoire géographie 8 8 Italien 1 Lettres 5 8 Mathématiques 5 4 Philosophie 1 1 Portugais 1 Sciences de la vie et de la terre 4 5 Sciences économiques et sociales 2 1 Sciences physiques 5 7 Sciences et techniques industrielles - secteur industriel secteur arts appliqués secteur biochimie- biologie 2 - secteur sciences médico- sociales et économie sociale et familiale 1 1 Total Aucun poste n'a été mis au concours 2004 en arabe, hébreu, portugais et russe. Les candidats Les conditions de la candidature sont définies dans l'article 23 du décret du 18 juillet 1990 : «Peuvent se présenter au concours les personnels suivants relevant du ministre chargé de l'éducation : professeurs des universités de 2ème classe, maître de conférences hors classe, maîtres de conférences de 1ère classe, maîtres-assistants de 1ère classe, professeurs de chaire supérieure, professeurs agrégés, personnels de direction de 2ème catégorie, 1ère classe, et inspecteurs de l'éducation nationale. Les intéressés doivent avoir accompli cinq ans de services effectifs à temps complet ou leur équivalent dans des fonctions d'enseignement, de direction ou d'inspection. Les conditions de candidatures sont appréciées au 1er janvier de l'année au titre de laquelle est ouvert le concours». 6

7 À la session 2004, 342 candidats se sont inscrits au concours, 6 d'entre eux au titre de deux spécialités. Le nombre de candidatures s'est ainsi élevé à 348. En 2003, 352 candidats avaient déposé 355 candidatures. On observe donc un léger fléchissement des candidatures 1, qui mis regard du nombre de postes offerts au concours, modifie de façon non négligeable la sélectivité du concours : de 5,1 candidatures par poste en 2003, on est passé à 4,2 en il faut rappeler qu'en 2002 on comptait 5,7 candidatures par poste. C'est là une situation préoccupante. En outre, cette moyenne masque d'importantes disparités : si dans la spécialité Administration et vie scolaire on compte plus de 10 candidatures par poste offert au concours, les autres spécialités reçoivent en moyenne 3 candidatures par poste. Dans les spécialités disciplinaires, les écarts sont encore importants : 7,7 candidatures par poste en STI, mais 2 candidatures par poste ou moins en allemand, anglais, arts plastiques, éducation musicale, sciences de la vie et de la terre, STI - secteur biochimie biologie, STIsecteur médico-social, trois candidatures par poste en éducation physique et sportive, philosophie, sciences économiques et sociales, STI- secteur arts appliqués. SPÉCIALITÉS Postes mis au concours Nombre de candidatures Nombre de candidatures par poste Administration et vie scolaires ,6 Allemand 4 8 2,0 Anglais ,9 Arts plastiques 2 4 2,0 Économie et gestion ,2 Éducation musicale 2 4 2,0 Éducation physique et sportive ,0 Espagnol 2 5 2,5 Histoire et géographie ,9 Italien 1 5 5,0 Lettres ,3 Mathématiques ,8 Philosophie 1 3 3,0 Sciences de la vie et de la terre ,0 Sciences économiques et sociales 1 3 STI- secteur industriel ,7 STI- secteur arts appliqués 1 3 3,0 STI - secteur biochimie biologie 2 3 1,5 STI- secteur médico-social 1 2 2,0 3,0 1 Pour mémoire, on comptait en 2001, 435 inscrits pour 100 postes). 7

8 Sciences physiques ,6 T O T A L ,2 Par rapport au concours 2003, certaines disciplines ont néanmoins attiré un peu plus de candidats. C'est le cas en anglais notamment où, même si la situation demeure peu favorable, l'on relève 15 candidatures contre 11 l'année précédente pour le même nombre de postes, ou bien en sciences physiques où 18 candidats concouraient pour 7 postes en 2004 (13 pour 5 postes en 2003). Des baisses non négligeables doivent en revanche être soulignées en STI (23 candidats en 2004 contre 33 l'année précédente). La diversité des corps d'origine se maintient, avec un léger renforcement des candidats issus de l'enseignement supérieur (10 contre 6 l'année précédente) et des professeurs agrégés. En revanche, les candidatures d'inspecteurs de l'éducation nationale (IEN) et surtout de personnels de direction sont moins nombreuses. Ces candidatures sont concentrées dans la spécialité AVS, presque exclusivement pour les personnels de direction (46 sur 47) et très majoritairement pour les IEN (54 sur 66). En 2003, les candidats de cette spécialité étaient issus à raison de 47% du corps des personnels de direction. Cette proportion est tombée à moins de 40% en Il y a là une évolution qui appelle l'attention. Corps d'origine des candidats Rappel Maîtres de conférences 2 5 Professeurs de chaire supérieure 4 5 Personnels de direction Inspecteurs de l'éducation nationale Professeurs agrégés Toutes les académies présentent des candidatures. Certaines comme Créteil, Versailles et Lille fournissent, comme on peut s'y attendre, des groupes importants de candidats. Pour autant, les nombres de candidats par académie varie beaucoup d'un an sur l'autre : si Lille avait «gagné» 9 candidats en 2003, elle en a «perdu» 6 en Même évolution à Amiens : + 7 en 2003, - 12 en 2004). Ailleurs, on observe une évolution inverse : Besançon, par exemple, a vu le nombre de ses candidats baisser de 5 en 2003 pour revenir au chiffre de 2002 cette année. Seules quelques académies connaissent une évolution positive qui se confirme d'un an sur l'autre (Versailles : + 7 et + 3, La Réunion : + 5 et + 4). 8

9 167 candidats ont été déclarés admissibles (soit 48,8 % des inscrits), 80 candidats ont été déclarés admis sur la liste principale (soit 48 % des admissibles), 3 postes n'ont pas été pourvus (en anglais, arts plastiques et lettres) ; 4 candidats ont été proposés sur la liste complémentaire. L'âge moyen des candidats est de 48,3 ans (les âges s'étalant de 33 à 59 ans), celui des admissibles de 47,7 ans, celui admis de 47,9 ans (le plus jeune a 35 ans, le plus âgé 56 ans). La répartition entre les candidatures féminines et les candidatures masculines se présente ainsi : - Candidats inscrits : 122 femmes (35,1 %) et 226 hommes (64,9 %), - Candidats admissibles : 69 femmes (41,3 %) et 98 hommes (58,7 %), - Candidats admis (sur la liste principale) : 33 femmes (41,3 %) et 47 hommes (58,7 %). Entre 2003 et 2004, la part des femmes a augmenté dans des proportions non négligeables : - Candidatures : + 2,8 points ; - Admissibilités : + 4,4 points ; - Admissions : + 10,I points. Des informations statistiques complémentaires sont apportées en annexe de ce rapport. 9

10 L'ADMISSIBILITÉ Rappel des articles 12 et 13 de l'arrêté du 26 octobre 1990 : «Le dossier de candidature comprend un état des services, un curriculum vitae, une présentation succincte des motivations du candidat, tous éléments permettant de mettre en évidence son expérience et son aptitude professionnelle, ainsi que la copie des cinq dernières fiches de notation» «Le jury procède à une première sélection des candidats sur examen de leur dossier. Lorsque l'ensemble des dossiers a été examiné, le jury établit la liste des candidats qu'il autorise à poursuivre le concours». Que les candidats ne s'y trompent pas, cette «épreuve», car c'en est une même si elle ne présente pas les caractéristiques classiques d'une épreuve d'admissibilité dans un concours traditionnel, constitue le moment essentiel du concours. C'est d'elle en effet que dépend la poursuite ou non des opérations de sélection. Elle se juge sur les données que comporte un dossier rempli et illustré par le candidat selon une forme prescrite mais lui laissant la liberté de verser autant de pièces qu'il le souhaite aux différentes rubriques : curriculum vitae, lettre de motivation, état des services, travaux d'ordre scientifique ou pédagogique, formations reçues, formations données, etc. La constitution du dossier Il va de soi que la constitution du dossier est un élément primordial de l'épreuve d'admissibilité. Or, force est de constater que tous les candidats n'y attachent pas la même importance alors même qu'il est capital d'y apporter le soin, la rigueur et la cohérence nécessaires à sa bonne lecture et à sa juste évaluation. Ce qui devrait être un exercice prospectif permettant aux candidats d'exprimer leurs représentations et de présenter leurs motivations devient, trop souvent pour un concours de ce niveau, une formalité administrative remplie dans l'urgence et parfois dans la confusion. Le jury invite donc les candidats à s'interroger sur les qualités, les compétences, les expériences qu'ils souhaitent exposer parce qu'elles paraissent le mieux rendre compte de leur potentiel et les plus à même de retenir l'attention des examinateurs. La mission du jury est certes de sélectionner des professionnels reconnus, ceci est un préalable qui ne relève pas de l'évidence pour tous les candidats, mais aussi d'identifier des personnes susceptibles 10

11 d'opérer des changements importants et réussis de situation professionnelle en devenant IA- IPR. Chaque pièce du dossier a une identité propre et une fonction particulière, ce qui n'interdit pas aux candidats d'envisager leurs complémentarités. Si chaque élément a son importance pour la démonstration que veut faire le candidat, ce dernier doit aussi veiller à ne pas lasser par l'abondance ou l'insuffisance du dossier. L'ensemble des pièces doit permettre au jury de retrouver les traits saillants d'une personnalité, d'une carrière, d'un projet. Le jury doit avoir envie de voir le candidat, de l'entendre s'exprimer. Le curriculum vitae C'est un document structuré qui met en avant les points que le candidat distingue dans son itinéraire professionnel. Élément essentiel de connaissance du candidat par le jury, le curriculum vitae peut être éventuellement scandé par des bilans commentés et se présenter comme un développement chronologique ou être organisé autour d'étapes ou de périodes significatives de la carrière. La précision des éléments distingués, la consistance des faits et des actions évoqués, la clarté et la lisibilité de la présentation du parcours professionnel, sont les qualités d'un CV réussi. Le candidat doit savoir sélectionner les informations qu'il présente car si un CV qui comporte des zones d'ombre peut être suspect, un CV trop abondant peut noyer le message. Est-il besoin de rappeler que le CV est aussi un exercice éminemment personnel et qu'un jury peut être irrité quand il se trouve devant une production dont la forme, préfabriquée et étrangement semblable d'un candidat à un autre, fait penser à ce que proposent certains services en ligne sur l'internet? Enfin, le CV ne doit pas être confondu avec un état de services, aussi riche soit-il, ni avec la chronique de sa vie, aussi intéressante soit-elle. Le jury a besoin d'informations pertinentes, pas de panégyriques. La lettre de motivation Comme son nom l'indique, la lettre de motivation doit exprimer les motifs pour lesquels le candidat se présente au concours de recrutement des IA-IPR. C'est un document qui doit révéler un engagement et une prise de position personnelle et qui s'accommode difficilement à la fois de formules convenues et passe-partout et d'emphase excessive. La lettre de motivation doit expliciter les articulations entre l'expérience acquise, la fonction actuelle et le nouveau métier envisagé, et permettre au jury de comprendre pourquoi le candidat souhaite postuler aux fonctions d'inspecteur. Étonnamment, cette fonction est parfois méconnue de certains candidats. 11

12 La lettre de motivation est donc un exercice difficile qu'il ne faut surtout pas sous-estimer. Elle doit éviter un certain nombre de défauts fréquemment relevés comme une écriture illisible, une longueur démesurée, une répétition rédigée du curriculum vitae, voire même des fautes d'orthographe ou de syntaxe. Être concis (il ne paraît pas raisonnable de produire une lettre de motivation de plus de deux pages) et précis révèle souvent mieux l'authenticité de l'engagement personnel que de longs discours convenus et jargonnants, généraux et généreux. Les documents annexés Ils doivent être soigneusement choisis et sélectionnés avec parcimonie. Il est évidemment souhaitable qu'ils soient en rapport, certes plus ou moins directement, avec la représentation que le candidat se fait de la fonction d'inspecteur. Ils ne doivent pas donner le sentiment au jury que le candidat a voulu, par un amoncellement de notes, de rapports, de relations d'expériences, d'attestations de toutes sortes, étourdir les examinateurs et emporter leur décision. C'est là un bien mauvais calcul. Cette pléthore souvent désordonnée conduit à des dossiers copieux et indigestes, révèle un candidat qui ne sait pas distinguer l'essentiel de l'accessoire et laisse le jury perplexe, voire sévère. Que penser, par exemple, d'un candidat qui croit bon de joindre à son dossier des documents complètement inutiles qui relèvent de son dossier administratif mais non de son dossier de concours, telles ces autorisations d'absence pour voyage Les candidats doivent comprendre que l'envie d'entendre un candidat à l'oral du concours est parfois en rapport inverse avec le volume des documents annexés. Appréciations d'ensemble sur les candidats De façon générale, même si le vivier est parfois et de façon inquiétante limité, les candidats sont d'un bon niveau. Les dossiers témoignent souvent de parcours riches et variés et les meilleurs d'entre eux reflètent une forte implication à la fois au service de leur discipline ou spécialité (participation à des actions de formation, travaux de recherche, publications ) et au service du système éducatif (diversification et élargissement de l'expérience professionnelle) : les compétences disciplinaires sont certes nécessaires et premières, elles ne suffisent pas à étayer solidement une candidature. De plus, les bons dossiers éclairent également le jury sur la capacité du candidat à changer de fonction. Ils montrent que les candidats pensent la fonction d'inspecteur dans une stratégie à moyen terme, y compris en prenant en compte des besoins en formation, et ne donnent donc pas l'impression que les candidatures sont déclarées pour régler un problème local par une promotion ou dans l'urgence. Parmi les éléments qui conduisent à ne pas retenir un dossier, on peut relever l'absence de contact avec sa discipline depuis de nombreuses années et une méconnaissance du second degré. En outre, certains dossiers ne présentent pas toutes les garanties scientifiques 12

13 nécessaires. Les candidats non admissibles ont également et généralement une expérience professionnelle limitée, manquent d'ouverture et ignorent manifestement ce qu'est la fonction d'inspecteur et ce que sont les fonctions d'encadrement. Certains candidats auraient intérêt à lire les rapports de jury et à rencontrer au moins un IA-IPR de leur discipline ou spécialité au moment où ils composent leur dossier de candidature de manière à savoir au moins à quoi ils s'engagent. 13

14 3. L'ADMISSION Rappel de l'article 14 de l'arrêté du 26 octobre 1990 : «L'épreuve orale d'admission consiste, à partir du dossier du candidat, en un entretien avec le jury permettant d'apprécier la compétence dans la spécialité, l'expérience professionnelle et l'aptitude aux fonctions d'inspection». Durée de l'épreuve : quarante-cinq minutes maximum. Le jury a bien conscience du caractère déstabilisant que peut présenter, pour un adulte qui a déjà donné maintes preuves de sa compétence, la rencontre d'un jury de quatre personnes qui, même si elles tentent de mettre le candidat à l'aise, représentent toujours la même image «quasi juridictionnelle» qu'il a réellement connue plusieurs années auparavant. S'y greffe l'inquiétude naturelle face à une épreuve au contenu imprécis et sans programme défini, contrairement aux standards d'autres concours. Le déroulement de l'épreuve Chaque commission comporte quatre membres, deux spécialistes de la discipline ou spécialité et deux «généralistes». Les membres spécialistes sont inspecteur général de l'éducation nationale, enseignant-chercheur ou IA-IPR ; les membres généralistes sont inspecteur général (IGEN ou IGAENR), recteur ou IA-DSDEN. L'un des membres généralistes est le coordonnateur de la commission : c'est lui qui accueille le candidat, présente ses collègues et distribue la parole. Il s'agit d'un entretien, c'est-à-dire que le temps de l'épreuve débute par la libre parole du candidat invité à s'exprimer sur ses aspirations, son parcours, sur les thèmes qui lui semblent importants dans la politique éducative en application. Cette période est d'abord destinée à rassurer le candidat sur ses capacités d'expression. Après cette phase courte (moins de 10 minutes), l'entretien se décompose en deux parties de durées comparables : dans une première partie, les questions du jury concernent essentiellement la discipline ou spécialité alors qu'au cours de la seconde, l'interrogation porte sur le système éducatif en général. 14

15 Qu'attend légitimement le jury d'un candidat aux fonctions d'ia-ipr? D'abord qu'il sache se présenter : les premiers pas dans la salle de concours, la présentation du candidat, sa façon de prendre possession de l'espace qui lui est réservé sont autant de critères indicibles et pourtant importants. Comme les premiers pas, les premiers mots peuvent parfois être déterminants, surtout s'ils sont un peu malhabiles, trop convenus, ou encore s'ils manifestent une attitude dominatrice ou à l'inverse quelque peu servile. Le candidat est apprécié sur ses connaissances, d'abord les connaissances professionnelles : l'ia-ipr est un expert dans son domaine et le jury attend qu'il le prouve. En revanche, le jury n'attend pas du candidat qu'il maîtrise la totalité des compétences attendues d'un IA-IPR : la formation dont il bénéficiera comme stagiaire s'il est reçu est faite pour cela. Dans le champ disciplinaire, il attend en revanche que le candidat connaisse les différents aspects de l'enseignement de la discipline au collège et au lycée. Pour la spécialité AVS, il attend des éléments d'expertise concernant non seulement la vie scolaire et les établissements mais également l administration et le fonctionnement de l ensemble du système éducatif dans un contexte de décentralisation et de déconcentration croissantes. Dans le champ généraliste, le jury attend que le candidat ait une vision globale du fonctionnement du système éducatif et des grands enjeux actuels (cette année, il devait être au courant du grand débat, par exemple). Il doit savoir aussi comment s'insère un IA-IPR dans le système, même s'il peut ignorer le détail des tâches qui lui sont dévolues. Le jury attend surtout que le candidat lui montre qu'il est prêt à occuper une fonction d'encadrement dans le système éducatif. Pour cela, il est indispensable qu'il ait une vision claire du rôle et de la position des corps d'inspection, notamment auprès des établissements, et qu'il sache l'exposer avec conviction et personnalité. Confronté à un problème, il faut qu'il montre sa capacité de réflexion pour inventer, dans le respect de la réglementation, des solutions adaptées, plutôt que de se cantonner dans la solution «toute faite» impulsée par le simplisme et la pauvreté de la réflexion. Critères relatifs à la conduite et à l'évaluation de l'entretien On peut classer les critères pris en compte à la session 2004 pour le classement des candidats selon les rubriques suivantes (liste non limitative) : Capacités à communiquer qualité de l'expression orale ; clarté et précision des propos ; conviction et implication personnelle dans les propos ; écoute des questions et des attentes du jury ; maîtrise des émotions ; capacité à échanger avec plusieurs personnes. 15

16 Connaissance de la discipline histoire, évolution ; débats actuels et passés ; innovations, utilisation des nouvelles technologies ; état et orientations de la recherche universitaire. Connaissance de l'état de l'enseignement de la discipline programmes et directives pédagogiques ; enjeux actuels et débats ; corps enseignant ; place de la discipline dans les examens ; influence dans l'orientation des élèves ; difficultés et réussites. Connaissance du système éducatif aux niveaux local, régional et national débats actuels ; orientations politiques nationale et régionale ; organisation générale, synergies ; évolution et avenir. Connaissance des faits et débats de société relatifs à l'école laïcité ; citoyenneté ; insertion professionnelle ; mondialisation ; décentralisation Représentations relatives au métier d'ia-ipr et, plus généralement, aux fonctions d'encadrement place dans la hiérarchie ; sens du service public et déontologie ; loyauté ; sens de l'autorité ; position vis-à-vis des enseignants. Attitudes et attentes concernant l'adaptation au nouvel emploi besoins en formation ; actualisation des connaissances ; mobilité géographique. À travers les questions posées, le jury cherche à déceler chez le candidat la motivation réelle pour les fonctions d'ia-ipr, la capacité à s'investir dans le métier et à s'y adapter. 16

17 Principaux constats relatifs au déroulement de l'entretien Les commissions constatent une très grande hétérogénéité de niveau entre les candidats. Dans toutes les commissions se sont présentés des candidats de grande valeur : ils savent montrer leur connaissance du système éducatif et leur motivation. Pour les disciplines et spécialités où leur nombre était important, certains candidats ont dû être écartés, faute de place, mais ne sont pas pour autant indignes d'accéder aux fonctions d'ia-ipr. Le jury les encourage à persévérer. Dans toutes les commissions se sont présentés aussi des candidats sans conviction, insuffisamment motivés et non préparés. Ceux-la doivent prendre la mesure des différents aspects de la fonction à laquelle ils aspirent et, pour cela, doivent se préparer sérieusement s'ils envisagent une candidature postérieure. Pour les candidats non admis Parmi les causes d'échec, il est possible d'en mettre en avant plusieurs (non exclusives). - Le candidat se laisse submerger par l'émotion et le trac et perd toute lucidité, toute capacité d'écoute et de réaction. - Le candidat élude les questions ou évite d'y répondre avec précision. - Le candidat ne montre aucune motivation réelle pour le métier envisagé : l'entretien montre que la lettre de motivation est convenue et ne correspond à aucune réalité. - Le candidat ne s'est jamais intéressé au fonctionnement du système éducatif. - Le candidat considère simplement le métier d'ia-ipr comme un couronnement de carrière et une reconnaissance de l'institution. - Le candidat ne montre pas la loyauté attendue par l'institution et se présente plutôt comme «super représentant» de la discipline. Pour les candidats admis - Le candidat est capable d'instaurer un véritable dialogue avec le jury : il défend ses positions, sait argumenter et accepte la controverse. - Le candidat a une connaissance synthétique de l'enseignement de sa discipline aux différents niveaux d'enseignement et de ses évolutions. - Le candidat a une vision du système qui va bien au-delà de sa discipline ou spécialité. - Le candidat est capable de se projeter dans sa future fonction, même s'il n'en a qu'une vision partielle et idéalisée. 17

18 - Le candidat a pris la mesure des contraintes liées à l'exercice de l'autorité et au devoir de loyauté. - Le candidat est capable d'étudier un cas concret en faisant preuve de bon sens et d'imagination. Les chargés de mission Un nombre important de chargés de mission auprès des IA-IPR, voire de professeurs détachés dans le corps des IA-IPR, se présentent au concours. Pour la plupart d'entre eux, cette charge de mission constitue une excellente préparation au concours. Ils pratiquent une partie des tâches dévolues aux IA-IPR et, à leur côté, découvrent les autres ; ils prennent conscience des charges et des obligations inhérentes à la fonction ; ils en profitent pour mener une réflexion sur le système éducatif, son évolution et la place des corps d'encadrement. Le jury n'a plus qu'à constater une motivation s'appuyant sur une bonne connaissance du métier, une grande capacité d'expression et de communication «en situation» et une connaissance de la déontologie. D'autres, malheureusement, et leur nombre n'est pas négligeable, donnent l'impression d'avoir occupé une fonction sans réflexion et sans aucun recul ; ils montrent une conception réductrice de la fonction, qui se borne, à leurs yeux, à des séries d'inspections ou d'animations. Cela traduit, sans doute, la réalité de leur mission mais montre qu'ils n'ont pas eu la curiosité de regarder autour d'eux, d'échanger avec les IA-IPR : leur charge de mission ne les a pas sensibilisés aux enjeux et aux débats actuels. Dans ces conditions, le jury a dû les écarter. Auront-ils alors une légitimité suffisante pour reprendre cette mission dans leur académie? Recommandations aux candidats On ne saurait trop insister sur la nécessité d'une préparation : un candidat doit avoir une connaissance solide de sa discipline ou spécialité à tous les niveaux d'enseignement. Il doit avoir une connaissance générale mais réfléchie de l'architecture du système éducatif (voies et séries, options) et doit avoir compris l'essentiel des textes fondamentaux : loi d'orientation, circulaire de rentrée, etc., ainsi que des enjeux et débats d'actualité (collège unique, voie professionnelle, alternance, place des TICE, régionalisation, évaluation, ). Il doit aussi avoir conscience des grandes interrogations sur le système éducatif, ses grandes tendances d'évolution, ses difficultés et les voies dans lesquelles on s'engage pour leur trouver des solutions, la place des institutions régionales et les extensions prévues. Cette prise de conscience nécessite une préparation efficace qui ne masque pas les questions essentielles d'aujourd'hui : réforme de l'état, entrée en vigueur de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), nouvelles attributions des régions, place du système éducatif français dans l'union européenne, etc. 18

19 Dans le cadre de cette préparation, il est recommandé aux candidats de chercher à rencontrer des IA-IPR de leur discipline et d'une autre discipline et de discuter avec l'encadrement de leur établissement. La moindre des choses est de lire les rapports des concours antérieurs et d'essayer de s'imprégner des recommandations qui y sont données. Ces rapports peuvent être l'occasion d'un échange avec des cadres du système (IA-IPR, personnels de direction) ou avec des collègues. Les candidats doivent aussi se préparer à l'art difficile de l'entretien et de la communication. Les qualités de communication et d'échange qu'ils ont pu développer comme enseignants sont certes utiles mais ne suffisent pas. Le jury attend en effet des capacités à mener une discussion posée et réfléchie, à développer une argumentation à travers un discours cohérent, en usant d'un registre de langue soutenu. Autant les connaissances fines sur le système peuvent être encore à acquérir autant les capacités de communication orale doivent être déjà présentes. 19

20 ANNEXES 1. Composition du jury du concours de recrutement des IA-IPR - Session 2004 M. Aublin, Michel, Inspecteur général de l'éducation nationale M. Barbaras, Renaud Professeur des universités Mme Beck, Michèle Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régional Mme Belloubet-Frier, Nicole Rectrice M. Bénéfice, Jean-Luc Inspecteur d'académie directeur des service départementaux de l'éducation nationale M. Bocognani, Claude Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Boichot, Claude Inspecteur général de l'éducation nationale M. Borne, Dominique Doyen de l'inspection générale de l'éducation nationale M. Bravo, Frédéric Professeur des universités Mme Calderon, Claire Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Chouquet, Etienne inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional Mme Courtillot, Dominique Mme Deguen, Eliane Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Delahaye, Jean-Paul Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Delahaye, Janine Mme Déléris, Régine Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Desquesnes, Jacky inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Dorel, Gérard Inspecteur général de l'éducation nationale M. Dubreuil, Bernard Recteur 20

21 M. Fasquel, Michel Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional Mme Flamand, Brigitte Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Gagneux, Marcel Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Gaillard, Geneviève Inspectrice générale de l'éducation nationale M. Geoffroy, Jean Inspecteur général de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche M. Hagnerelle, Michel Inspecteur général de l'éducation nationale M. Hébrard, Alain Inspecteur général de l'éducation nationale M. Jost, Rémy Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Kavoudjian, Martine Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Kuhn, Jean-Georges Inspecteur général de l'éducation nationale M. Langrognet, Jean-Louis Inspecteur général de l'éducation nationale M. Le Goff, François Inspecteur général de l'éducation nationale M. Leroy, Michel Recteur Mme Lesko, Monique Inspectrice d'académie, directrice des services départementaux de l'éducation nationale M. Loscot, Francis Inspecteur général de l'éducation nationale M. Maestracci, Vincent Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Mamecier, Annie Inspectrice générale de l'éducation nationale M. Marois, William Recteur Mme Christiane Ménasseyre, Inspectrice générale de l'éducation nationale M. Moirin, Jean-Yves Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Moisan, Jacques Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Monlibert, Élisabeth Inspectrice d'académie, directrice des services départementaux de l'éducation nationale Mme Quatreville, Claudine Mme Roux-Perinet Sarah Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Salin, Gérard Inspecteur d'académie directeur des services 21

22 départementaux de l'éducation nationale M. Saurat, Gérard Inspecteur général de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Mme Scoffoni, Annie Inspectrice générale de l'éducation nationale M. Secrétan, Daniel Inspecteur général de l'éducation nationale M. Séré, Alain Inspecteur général de l'éducation nationale M. Sevin, Bernard Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Simler, Bernard Inspecteur général de l'éducation nationale Mme Sivirine, Anne Inspectrice d'académie, directrice des services départementaux de l'éducation nationale Mme Thiery, Marie-Thérèse Inspectrice d'académie inspectrice pédagogique régionale M. Titeux, Pascal Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Verclytte, Jacques Inspecteur général de l'éducation nationale M. Vinard, Pierre Inspecteur d'académie inspecteur pédagogique régional M. Warzee, Alain Inspecteur général de l'éducation nationale Weinland, Katherine Inspectrice générale de l'éducation nationale 22

23 2. Informations statistiques Voir pages suivantes : Tableaux statistiques Nombre de candidats inscrits par rectorat et par discipline au concours IA-IPR Analyse des candidatures Analyse des admissibilités Analyse des admissions Graphiques Ensemble du concours : - répartition des candidatures, des admissibilités et des admissions par âge, - répartition des candidatures, des admissibilités et des admissions par sexe Spécialité AVS : - répartition des candidatures, des admissibilités et des admissions par âge - répartition des candidatures, des admissibilités et des admissions en fonction du corps d'origine 23

24 Académies Nbre de postes concours AVS Alleman d Anglais Arts plastiqu es Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Nombre de candidats inscrits par académie et par discipline au concours IA-IPR - Session Économ ie gestion Éducatio n musicale EPS. Espagn ol H et G Italien Lettres Math Philo SVT SES Sc.phys STI STI Arts STI bio STI SMS Total Aix-Marseille Amiens Besançon Bordeaux Caen Clermont-Ferrand Corse SIEC 0 Créteil Paris Versailles Dijon Grenoble Guadeloupe Guyane 0 Lille Limoges Lyon Martinique Montpellier Nancy-Metz Nantes Nice Orléans-Tours Poitiers Reims La Réunion Rennes Rouen Strasbourg Toulouse Mayotte N elle Calédonie Polynésie-française Adm. Centrale Total des inscrits

25 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Analyse des candidatures Candidats inscrits SPÉCIALITÉS Postes mis au concours Nombre de candidatures IEN Pers de direct. Corps d'origine Sexe Age Agrégés Maîtres de conf Prof. chaire sup. F H Mini Moyen Ecart type Maxi Administration et vie scolaires ,0 4,2 59 Allemand ,5 4,1 55 Anglais ,4 6,2 57 Arts plastiques ,3 3,3 50 Économie et gestion ,5 5,3 56 Éducation musicale ,8 4,8 44 Éducation physique et sportive ,5 3,9 56 Espagnol ,4 7,7 55 Histoire et géographie ,8 6,5 57 Italien ,8 6,5 57 Lettres ,4 7,4 57 Mathématiques ,2 5,2 56 Philosophie ,0 6,0 55 Sciences de la vie et de la terre ,4 6,7 55 Sciences économiques et sociales ,3 4,9 53 STI- secteur industriel ,9 5,5 56 STI- secteur arts appliqués ,0 7,9 50 STI - secteur biochimie biologie ,0 2,6 48 STI- secteur médico-social ,5 0,7 56 Sciences physiques ,4 7,2 58 T O T A L ,3 5,

26 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Analyse des admissibilités SPÉCIALITÉS Postes mis au concours Nombre d'admissibles IEN Pers de direct. Candidats admissibles Corps d'origine Sexe Age Agrégés Maîtres de conf Prof. chaire sup. F H Mini Moyen Ecart-type Maxi Administration et vie scolaires ,1 3,2 54 Allemand ,1 4,3 55 Anglais ,5 6,0 57 Arts plastiques ,3 4,0 50 Economie et gestion ,8 5,4 53 Education musicale ,0 5,0 44 Education physique et sportive ,4 4,0 56 Espagnol ,4 7,7 55 Histoire et géographie ,6 5,3 54 Italien ,0 3,6 53 Lettres ,3 7,2 55 Mathématiques ,3 3,5 55 Philosophie ,0 8,5 55 Sciences de la vie et de la terre ,3 6,7 54 Sciences économiques et sociales ,3 4,9 53 STI- secteur industriel ,3 3,8 51 STI- secteur arts appliqués ,0 8,5 47 STI - secteur biochimie biologie ,0 2,6 48 STI- secteur médico-social ,0 0,0 55 Sciences physiques ,1 5,5 56 T O T A L ,7 5,

27 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Analyse des admissions Candidats admis SPÉCIALITÉS Postes mis au concours Nombre de candidatures Candidats présents à l'admission Candidats non admis (+ LC) Nombre Agrégés IEN Corps d'origine Sexe Age Pers de direct. F H Mini Moyen Ecart-type Maxi Administration et vie scolaires ,2 3,2 54 Allemand ** ,5 4,2 52 Anglais ,0 5,9 54 Arts plastiques ,0 0,0 50 Économie et gestion ,3 6,5 53 Éducation musicale ,5 3,5 44 Éducation physique et sportive ,5 5,0 56 Espagnol ,5 4,9 43 Histoire et géographie ,9 3,2 54 Italien ,0 0,0 46 Lettres ,0 7,2 55 Mathématiques ,0 2,4 51 Philosophie ,0 0,0 55 Sciences de la vie et de la terre ,2 5,1 54 Sciences économiques et sociales ,0 0,0 44 STI- secteur industriel ,0 3,5 47 STI- secteur arts appliqués ,0 0,0 47 STI - secteur biochimie biologie ,5 3,5 48 STI- secteur médico-social ,0 0,0 55 Sciences physiques ,1 4,5 54 T O T A L ,9 4,9 56 * maître de conférences 27

28 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Répartition des candidatures, admissibilités et admissions par âge candidats inscrits EFFECTIFS candidats admissibles candidats admis AGES On peut constater un éventail des candidatures largement ouvert (de 33 à 59 ans), mais une forte prédominances des candidats ayant entre 43 et 55 ans. Au fil des opérations de recrutement, l'éventail tend à se réduire, avec notamment un seul admis de plus de 55 ans, aucun de plus de 56 ans. 28

29 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Répartition des candidatures, admisssibilités et admissions par sexe % 250 EFFECTIFS 200 F % 41% H 50 59% 41% 59% 0 Candidats inscrits Candidats admissibles Candidats admis Le concours est encore peu féminisé (35% des candidatures), mais à l'issue des épreuves du concours, le déséquilibre s'est réduit. 29

30 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 Répartition des candidatures, admissibilités et admissions par âge Spécialité AVS EFFECTIFS 8 6 candidats inscrits candidats admissibles 4 candidats admis AGES Dans la spécialité AVS, dont la plupart des candidats exercent déjà une fonction d'encadrement, on trouve pas de candidats de moins de 40 ans. À l'issue des épreuves 2004, les âges des candidats admis se concentrent entre 45 et 54 ans. 30

31 Concours de recrutement des IA-IPR session 2004 REPARTITION DES CANDIDATS EN FONCTION DU CORPS D'ORIGINE EN AVS 60 46% 50 39% 40 Effectifs % 59,5% 10 34,5% 6% 55% 45% 0 Candidats inscrits Candidats admissibles Candidats admis IEN Pers de direct. Agrégés 31

32 3. Rappel de la réglementation Décret no du 18 juillet 1990 Premier ministre ; Éducation nationale, Jeunesse et Sports ; Économie, Finances et Budget ; Fonction publique et Réformes administratives ; Budget ; Enseignement technique) Vu L. no du mod. ens. L. no du mod. ; L. no du ; avis CTP min. du ; avis Cons. sup., Fonct. publ. du ; Cons. État sect. fin. ent. Statuts particuliers des inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux et des inspecteurs de l'éducation nationale. (Intitulé modifié par le décret no du 13 janvier 1999) NOR : MENF D CHAPITRE PREMIER Dispositions générales Article premier (modifié par le décret no du 13 janvier 1999)[1]. - Les inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux et les inspecteurs de l'éducation nationale forment deux corps classés dans la catégorie A prévue à l'article 29, de la loi du 11 janvier 1984 susvisée. Art. 2 (idem)[1]. - Les inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux et les inspecteurs de l'éducation nationale exercent les missions suivantes : I. Les inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux et les inspecteurs de l'éducation nationale veillent à la mise en oeuvre de la politique éducative arrêtée par le ministre charge de l'éducation. A cet effet, dans le cadre du programme de travail académique arrêté conjointement par l'inspecteur général de l'éducation nationale correspondant académique et le recteur de l'académie, ils ont vocation à exercer sous l'autorité de ce dernier les missions ci-après : Ils évaluent dans l'exercice de leur compétence pédagogique le travail individuel et le travail en équipe des personnels enseignants, d'éducation et d'orientation des écoles, des collèges et des lycées et concourent à l'évaluation de l'enseignement des disciplines, des unités d'enseignement, des procédures et des résultats de la politique éducative. Ils procèdent, notamment, à l'observation directe des actes pédagogiques. Ils inspectent, selon les spécialités qui sont les leurs, les personnels enseignants, d'éducation et d'orientation des écoles, des collèges et des lycées et s'assurent du respect des objectifs et des programmes nationaux de formation, dans le cadre des cycles d'enseignement ; ils sont chargés des missions d'inspection prévues par l'article L du Code du travail. Ils participent à l'animation pédagogique dans les formations initiales, continues et par alternance, prêtent leur concours à l'élaboration des projets d'établissement et collaborent avec l'inspection générale de l'éducation nationale pour l'évaluation des expériences pédagogiques et leur généralisation. Ils ont vocation à participer au recrutement et à la formation des personnels de l'éducation nationale et à l'organisation des examens. Ils assurent des missions d'expertise dans ces différents domaines ainsi que pour l'orientation des élèves, les examens, la gestion des personnels éducatifs et dans le choix des équipements pédagogiques. En outre, le recteur de l'académie peut confier à des inspecteurs de l'éducation nationale et à des inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux, pour une durée déterminée, dans le cadre départemental ou académique, des missions particulières. 32

33 II. Par décision du recteur d'académie, les inspecteurs de l'éducation nationale peuvent notamment être chargés d'une circonscription d'enseignement du premier degré ou exercer des fonctions de conseil auprès de l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'éducation nationale dans les domaines des enseignements primaire, technique, professionnel et de l'apprentissage, de l'information et de l'orientation, de l'adaptation, de l'intégration et de la psychologie scolaires. Lorsqu'ils sont chargés d'une circonscription du premier degré, les inspecteurs de l'éducation nationale, sous l'autorité des inspecteurs d'académie, directeurs des services départementaux de l'éducation nationale, ont compétence sur les écoles publiques et privées sous contrat du premier degré et leurs personnels. Les inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux inspectent les personnels de direction d'établissements d'enseignement ou de formation, les directeurs de centre d'information et d'orientation, les professeurs agrégés, ainsi que les enseignants en fonctions dans les classes postbaccalauréat. Les inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux ont vocation à être détachés dans les emplois d'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'éducation nationale, et d'inspecteur d'académie adjoint, conformément aux dispositions régissant ces emplois. Le ministre chargé de l'éducation peut leur confier les fonctions de délégué académique à la formation continue, de directeur du centre régional de documentation pédagogique, de chef des services académiques d'information et d'orientation, de conseiller technique auprès du recteur d'académie dans les domaines des enseignements techniques, professionnels et de l'apprentissage. Art. 3 (modifié par les décrets nos du 6 janvier 1994, du 13 janvier 1999 et du 7 janvier 2002). - Le corps des inspecteurs de l'éducation nationale comprend deux classes : a) La classe normale qui comprend neuf échelons ; b) b) La hors-classe qui comprend huit échelons (à compter du 1er janvier 2001) Le nombre des emplois de la hors-classe ne peut excéder 40 % de l'effectif budgétaire global du corps (à compter du 1er septembre 2001). Le corps des inspecteurs d'académie - inspecteurs pédagogiques régionaux comprend deux classes : a) La classe normale qui comprend sept échelons, b) b) La hors-classe qui comprend deux échelons. CHAPITRE II Dispositions propres au corps des inspecteurs de l'éducation nationale CHAPITRE III Dispositions propres aux corps des inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux (Modifié par le décret no du 13 janvier 1999) SECTION I Recrutement Art. 21 (idem). - Les inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux sont nommés en qualité de fonctionnaires stagiaires par arrêté du ministre chargé de l'éducation. Ils sont titularisés par décret du Président de la République. Le ministre chargé de l'éducation reçoit délégation de pouvoir pour l'ensemble des actes de gestion concernant les inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux, à l'exception des sanctions des groupes III et IV prévues à l'article 66 de la loi du 11 janvier 1984 susvisée. Art. 22 (idem). - Les inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux sont, dans les conditions précisées par les articles suivants, recrutés par concours et, dans la limite du quart des nominations en qualité de stagiaires intervenues l'année précédente, par voie de liste d'aptitude arrêtée par le ministre chargé de l'education. Art. 23 (modifié par les décrets nos du 6 juillet 2000 et du 7 janvier 2002). - Le concours, qui prend en compte l'expérience et la formation préalable des candidats, est ouvert par spécialité. La liste des spécialités est fixée par un arrêté conjoint des ministres chargés de l'éducation nationale et de la fonction publique. 33

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