Présidents d Honneur. Conseil de Surveillance. Directoire. Commissaires aux Comptes. Jean-Pierre Germot Jean-Pierre Fontaine Jean-Gérard Claudon

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1 R A P P O R T A N N U E L

2 Présidents d Honneur Conseil de Surveillance Président Vice-Président Membres du Conseil Secrétaire Jean-Pierre Germot Jean-Pierre Fontaine Jean-Gérard Claudon Jean-Louis Beffa Eric d Hautefeuille Michel Besson Jean-Gérard Claudon Gilles Cosson Hervé Couffin Jean-Pierre Germot Bernard Field Jean-François Phelizon Amaury-Daniel de Sèze Jacques Lautour Directoire Président Emile François Membres Gilles Colas Directeur Général Adjoint Jean-Marie Laurent Directeur Général Adjoint Jacques Fineschi Secrétaire Jacques Lautour Commissaires aux Comptes Commissaires titulaires Ernst & Young Audit Befec - Price Waterhouse Commissaires suppléants Ernst & Young Audit Befec - Price Waterhouse Patrick Aignan Ramon Gonzalez Daniel Chauveau Antoine Bracchi Gérard Hautefeuille

3 SOMMAIRE Rapport de Gestion du Directoire sur l activité du Groupe et les comptes consolidés Chiffres clés consolidés 3 Environnement conjoncturel 5 Activité du Groupe 6 Distribution de matériaux de construction 6 Menuiseries industrielles 7 Mortiers industriels 9 Tuiles terre cuite 10 Bétons industriels 10 Autres contributions 11 Synthèse des résultats 11 Résultats et structure financière 12 Perspectives 14 Poliet en Bourse 15 Renseignements financiers Comptes consolidés Bilan, compte de résultat, tableau de financement 16 à 19 Annexe aux comptes consolidés 20 Rapport des Commissaires aux Comptes 35 Comptes Société-mère Rapport de gestion du Directoire sur les comptes de la Société-mère 36 Bilan, compte de résultats, tableau de financement 42 à 46 Annexe aux comptes de Poliet Société-mère 47 Résultats financiers de la Société au cours des 5 derniers exercices 53 Inventaire des valeurs mobilières 54 Filiales et participations 55 Rapports des Commissaires aux Comptes Mémento de l actionnaire A - Renseignements généraux 58 B - Capital social 59 C - Administration - Directoire et contrôle 62 D - Evolution du capital social 64 E - Relations avec les actionnaires 64 Observations du Conseil de Surveillance 65 Personnes qui assument la responsabilité du document de référence 67 Projet de résolutions 69 Rapport Annuel

4 Chiffres Clés C H I F F R E D A F F A I R E S (en millions de francs) RÉSULTAT D EXPLOITATION (en millions de francs) Un ensemble unique, R É S U L T A T N E T T O T A L RÉSULTAT NET PART DU GROUPE (en millions de francs) (en millions de francs) Résultat net total Résultat net hors exceptionnel Résultat net part du Groupe Résultat net part du Groupe (hors éléments exceptionnels) 2

5 CAPACITÉ D AUTOFINANCEMENT ET INVESTISSEMENTS 0 (en millions de francs) Capacité d autofinancement Investissements corporels Titres de participations FONDS PROPRES ET EMPRUNT NET TOTAL 0 (après affectation) (en millions de francs) Fonds propres (après affectation) Emprunt net total 692 leader dans tous ses métiers RÉSULTAT NET PAR ACTION ET DIVIDENDE NET E F F E C T I F S D U G R O U P E (hors éléments exceptionnels) (en francs) (au 31 décembre) ,42 30,23 31, Résultat net par action Dividende Rapport Annuel

6 Rapport d activité 1997 Acteur de premier plan dans le secteur des matériaux de construction, le Groupe Poliet est : un distributeur avec le réseau de négoce de matériaux de construction du Groupe Point P et les réseaux de dépôts-vente Lapeyre et GME. un industriel, avec la fabrication de menuiseries, mortiers, tuiles terre cuite et produits béton. Regroupant plus de établissements et employant personnes à fin 1997, Poliet gère un ensemble de marques et d enseignes à forte notoriété auprès des clients et pratique une politique de gestion décentralisée qui fait sa force. Ainsi, dans chacun de ses métiers, le Groupe approche de manière spécifique ses clients, qu ils soient particuliers, artisans, PME ou grandes entreprises. La complémentarité de ses 5 secteurs d activité agissant sur un marché unique permet des échanges commerciaux entre les activités de distribution et les activités industrielles, riches d enseignements et d expertise. Il n y a pourtant ni intégration, ni exclusivité : pour assurer une bonne rentabilité, il ne peut y avoir de marché captif. La forte responsabilité des dirigeants des entités opérationnelles ainsi que la taille humaine des établissements contribuent à la capacité d anticipation, d adaptation et d innovation du Groupe. Il en résulte une croissance interne régulière, malgré un marché actuellement peu porteur, soutenue par une croissance externe sélective. Cette dernière, longtemps limitée à la France et à l Europe proche, devrait s accélérer et s étendre au reste du monde grâce à l intégration dans le Groupe Saint-Gobain. Ces efforts se sont déjà concrétisés, en fin d année 1997, par la prise de contrôle, par Weber & Broutin, de la société Quartzolit, premier producteur brésilien de Mortiers Industriels. ENVIRONNEMENT CONJONCTUREL France Après une baisse d activité supérieure à 2 % en 1996, le secteur du bâtiment est parvenu à enrayer cette chute en 1997, le quatrième trimestre donnant même quelques signes encourageants, notamment au niveau de la construction neuve. La construction neuve Les mises en chantier de logements ont atteint logements en 1997, contre en Cette quasi-stabilité résulte de deux mouvements de sens contraire : une progression de 3,4 % au niveau des logements individuels, qui représentent maintenant 57 % du marché du logement neuf, contre 55 % l année précédente. une continuation de la baisse des mises en chantier de logements collectifs, 5,9 % en 1997 après 12,4 % en Il est cependant à noter une inflexion au quatrième trimestre, qui enregistre une évolution positive, + 0,3 % par rapport au quatrième trimestre La construction de bâtiments non résidentiels a également connu des évolutions contrastées en 1997 : les autorisations de construire ont progressé de 2,5 % par rapport à l année précédente. Les hausses ont été fortes pour les bâtiments de stockage, de culture et de loisirs, plus modérées pour les bâtiments industriels et de santé. A l inverse, celles concernant les locaux commerciaux et d enseignement ont enregistré des baisses sensibles. 4

7 les mises en chantiers reculent pour leur part de 4 %, la baisse affectant la plupart des types de bâtiment, et notamment les locaux commerciaux et les bureaux. La réhabilitation Le secteur de l amélioration et de l entretien, qui représente 55 % de l activité du bâtiment, s est maintenu à un niveau proche de celui de 1996 (+ 0,5 %), mais le marché de la rénovation des logements a renoué avec la croissance, la hausse annuelle 1997 s établissant à 1 %. Le volume des travaux réalisés en entretien et rénovation des bâtiments non résidentiels a, pour sa part, reculé d environ 0,5 %, bien que les deux derniers trimestres aient progressé chacun de 0,5 % par rapport à la même période de l année précédente. Europe Le secteur de la construction a bénéficié en Europe de l amélioration de l environnement économique, enregistrant en 1997 une progression de l ordre de 1 %, mais son poids relatif dans l économie continue à décroître régulièrement. L évolution reste néanmoins contrastée suivant les secteurs d activité et selon les pays. La construction de logements neufs a baissé globalement de 0,3 %, la réduction de l investissement public faisant plus que compenser le facteur positif qu a constitué la baisse générale des taux d intérêt. L arrêt de l expansion démographique, déjà sensible dans de nombreux pays, y a donné un coup de frein à la demande de logements. La construction de bâtiments non résidentiels privés, qui avait beaucoup baissé jusqu en 1994, a été poussée par la reprise économique, et a redémarré doucement dans la plupart des pays, à l exception de l Allemagne, l Italie et la Suisse. Le secteur public non résidentiel a continué de souffrir des restrictions budgétaires imposées par le respect des critères de Maastricht. L entretien et la réparation ont continué à bénéficier d une croissance soutenue, due à l ancienneté et à la mauvaise qualité du parc existant, qui dans de nombreux pays, remonte à l immédiat après-guerre. Des politiques d aides fiscales, mises en place notamment en Grande Bretagne et en Italie, ont également contribué à favoriser ce secteur. Par pays, les disparités sont également importantes. On peut distinguer : Deux pays en forte baisse, l Allemagne et la Suisse. Pour ce qui concerne l Allemagne, il s agit plus d un retour à la normale après la hausse due à la demande dans les Laender de l Est. Pour la Suisse, c est la conséquence d une surabondance de l offre, aggravée par la crise économique entraînée par la surévaluation du franc suisse. Des pays qui ont renoué avec des croissances modérées : il s agit notamment de l Italie, de la Belgique, et de l Autriche. Des pays qui ont enregistré une forte croissance : il s agit à ce niveau de la Grande- Bretagne, de l Espagne, et surtout du Portugal, qui a bénéficié dans ce secteur des aides de la Communauté Européenne, et dont l activité a été stimulée par les travaux relatifs à l Exposition Universelle de Rapport Annuel

8 ACTIVITE DU GROUPE POLIET EN 1997 La conjoncture décrite ci-dessus, et particulièrement la meilleure tenue de la rénovation et de la construction de maisons individuelles, a permis à l ensemble des métiers de Poliet d exploiter pleinement leurs atouts et d accomplir une bonne performance sur l ensemble de l année. Le chiffre d affaires des secteurs industriels hors serrurerie, cédée en mai 1997, s établit à MF contre MF en 1996, soit une progression de 4,9 % à périmètre courant, et 3,0 % à taux de change et périmètre constants. Le chiffre d affaires des nouvelles sociétés s élève à 439 MF, mais la sortie du secteur serrurerie ramène la progression à 2,4 %. L analyse de l évolution du chiffre d affaires à structure comparable par trimestre illustre l amélioration lente et progressive de la conjoncture. (en millions de francs) Chiffre d affaires Variation trimestrielle Variation cumulée 1 er trimestre ,1 % 0,1 % 2 e trimestre ,6 % + 1,9 % 3 e trimestre ,0 % + 2,3 % 4 e trimestre ,8 % + 3,0 % Contribution des secteurs d activité (en millions de francs) Chiffre d affaires Capacité d autofinancement Résultat net Secteurs d activité Montant 97/96 % Montant 97/96 % Montant Ecart en MF Point P -Distribution de matériaux , , Lapeyre - Menuiseries industrielles , ,7 395 Weber & Broutin - Mortiers industriels , , Industrielle de Tuiles - Tuiles terre cuite , , Stradal - Bétons industriels , , Société-mère et cessions intersecteurs ,5 14 N. S Total (hors Serrurerie) , , Vachette - Serrurerie 374 N.S. 26 N.S Total du Groupe Poliet , , Les filiales européennes ont enregistré une bonne activité. Leur chiffre d affaires a atteint MF, en augmentation de 9,4 % et 9 % à taux de change et périmètre constants. Distribution de matériaux de construction GROUPE POINT P Contribution au Groupe Poliet (en millions de francs) Chiffre d affaires consolidé Capacité d autofinancement Résultat net consolidé dont part du Groupe Investissements des filiales du secteur Effectifs Globalement, le Groupe Point P a réalisé une bonne année Le chiffre d affaires a progressé de 3,1 % à MF, et de 0,7 % à périmètre constant. Mais la situation est contrastée selon les régions. L Ile de France, la Normandie et l Est ont particulièrement souffert d une conjoncture très dégradée. La baisse des mises en chantiers de logements par rapport à 1996 a été supérieure à 20 % en Basse Normandie, et comprise entre 0 et 10 % en Ile-de-France et dans l Est, pour une moyenne nationale à peu près à l équilibre. Cependant, ces trois régions ont bénéficié du bon niveau d activité du quatrième trimestre, et l évolution de leur chiffre d affaires à structure comparable est redevenue positive par rapport au quatrième trimestre

9 Le Groupe a poursuivi sa politique de croissance externe par acquisition, qui a contribué pour 315 MF au chiffre d affaires Elle a porté sur vingt sociétés représentant un chiffre d affaires d environ 650 MF en année pleine, réparti sur une quarantaine de points de vente. Les principales sociétés concernées sont La Quincaillerie Lorraine, Pinault Centre-Est, Dispano, Berthon, Progest, Expobois, Sanitapro, Cofisa, Coorevits et Matkit. L investissement correspondant s est élevé à 94 MF. Les autres investissements se sont montés à 289 MF, en hausse par rapport à 1996 de 260 MF. Ils ont été totalement autofinancés par une capacité d autofinancement de 470 MF, en augmentation de 23,2 % sur L amélioration de la rentabilité provient en particulier de la politique d achats, de l organisation logistique et de la maîtrise du risque clients. Enfin, les actions engagées antérieurement dans le domaine du service à la clientèle et de la motivation du personnel commercial, ont été poursuivies et renforcées, notamment à travers une démarche qualité forte. Le résultat net du Groupe Point P est ainsi passé de 217 MF en 1996 à 249 MF cette année. Menuiseries industrielles GROUPE LAPEYRE Contribution au Groupe Poliet (en millions de francs) Chiffre d affaires consolidé Capacité d autofinancement Résultat net consolidé dont part du Groupe Investissements des filiales du secteur Effectifs Les réseaux Lapeyre & GME Les ventes des réseaux Lapeyre et GME ont augmenté de 3,6 % par rapport à Les prix de ventes ayant été stables globalement, la croissance du chiffre d affaires ne résulte que d une croissance des volumes vendus. Du fait des retards induits par la mise en place des nouvelles commissions départementales d équipement commercial issues de la loi Raffarin, il n a été ouvert qu un dépôt-vente Lapeyre et 2 dépôts GME. Le réseau a cependant accéléré son programme de rénovation des sites existants. Enfin, l année 1997 a été marquée par la poursuite de la mise en place des services d installation qui, à fin 1997, étaient opérationnels dans tous les dépôts-vente. Le réseau Lapeyre à l international, qui comprend 9 dépôts en Belgique, 3 en Suisse et 5 en Espagne, a réalisé un chiffre d affaires de 199 millions de francs en progression de 3,7 %, mais sa contribution au résultat consolidé reste négative à 22,7 MF. Les six usines rattachées au réseau Lapeyre ont eu à faire face à une augmentation des matières premières mais grâce aux nouvelles techniques de fabrication et à l amélioration de la productivité, leur niveau de rentabilité est resté peu différent de celui atteint en Activité négoce-bâtiment (SGM-Oxxo-Les Zelles) Dans le secteur des menuiseries destinées aux négociants et aux chantiers de bâtiment, le chiffre d affaires de 1997 est en augmentation de 4 %. Rapport Annuel

10 SGM, au service des négociants, a enregistré une stabilité de son activité tout en renouvelant largement son offre produits en particulier dans la fenêtre PVC. Sur les chantiers de logements collectifs, le chiffre d affaires à terminaison d Oxxo est en recul de 1,9 % mais son chiffre d activité augmente de 7,8 % par rapport à Oxxo a poursuivi son plan de redressement et enregistre des progrès encourageants. La société Les Zelles a réalisé une très bonne performance avec une progression de ses ventes de 18,9 %. Au total, la contribution aux résultats consolidés qui s élève à 26 MF augmente de 24 MF en Activité K par K - O Carré En 1997, les ventes de K par K ont progressé de 15,2 % à 455 MF. O Carré a réalisé un chiffre d affaires de 16 MF. Les deux sociétés ont poursuivi leur implantation géographique. A fin décembre, l organisation K par K comprend 18 agences et 80 magasins, celle d O Carré 2 agences et 6 magasins. Activité Globale Le chiffre d affaires du Groupe Lapeyre s est établi à MF, en progression de 4,8 % par rapport à 1996, et de 5,5 % à taux de change et périmètre comparables. Le résultat avant éléments à caractère exceptionnel s élève à 395 MF, au même niveau que l an dernier, l amélioration de la performance opérationnelle étant compensée par l augmentation de la charge d impôt. Les éléments de nature exceptionnelle, provision pour litige et reprise d impôts différés sur provision pour fluctuation des cours des matières premières, soit une charge nette de 25 MF, ramènent le résultat net total à 370 MF. Les investissements, qui s élèvent à 284 MF, sont largement autofinancés par une capacité d autofinancement de 629 MF, en léger recul par rapport à 1996 (-1,7 %). Mortiers industriels WEBER & BROUTIN Contribution au Groupe Poliet (en millions de francs) Chiffre d affaires consolidé Capacité d autofinancement Résultat net consolidé dont part du Groupe Investissements des filiales du secteur Effectifs Dans la production de Mortiers Industriels, Weber & Broutin a réalisé une bonne performance dans un environnement européen redevenu favorable. Son chiffre d affaires, réalisé sur 14 pays d Europe, augmente de 13,2 % à MF contre MF l année précédente, et de 8,7 % à périmètre et taux de change comparables. Tous les pays, sauf la Suisse, participent à cette croissance et notamment le Portugal et l Espagne. L Italie, après une restructuration lourde entamée en 1994, enregistre en 1997 une bonne progression de son activité (+ 6,4 %), malgré une conjoncture encore peu favorable dans le bâtiment. Pour accompagner cette croissance, le plan d investissements pour l augmentation des capacités de production et de modernisation des installations s est poursuivi, avec 8

11 l achèvement de l usine de Lisbonne, et la construction de deux usines, l une à Madrid et l autre à Berlin. D autre part, il a été procédé à des achats de fonds de commerce en Suisse et en Pologne. Au total, les investissements corporels et incorporels se sont élevés à 162 MF contre 123 MF en Ils ont été totalement couverts par la capacité d autofinancement qui a atteint 253 MF, en hausse de 11,4 % par rapport à La croissance externe s est poursuivie activement en 1997 par les acquisitions de Protebat, en France, dans les mortiers et peintures pour sols industriels, et de Especo aux Canaries dans les colles à carrelage. D autre part, Weber & Broutin a utilisé au maximum l aide que pouvait lui apporter l expérience de la Compagnie de Saint-Gobain à l international. Ceci s est concrétisé par l acquisition, en fin d année 1997, et conjointement avec la filiale brésilienne de la Compagnie de Saint-Gobain, de 80 % du capital de la société Quartzolit, premier producteur brésilien de mortiers industriels. Au total, l investissement en titres de participation s élève à 713 MF pour un chiffre d affaires en année pleine de plus de 700 MF. Le résultat net consolidé du Groupe Weber & Broutin se monte à 168 MF contre 125 MF l an dernier, en hausse de 33,5 % due en particulier au retour bénéficiaire de la filiale italienne. Tuiles terre cuite INDUSTRIELLE DE TUILES Contribution au Groupe Poliet (en millions de francs) Chiffre d affaires consolidé Capacité d autofinancement Résultat net consolidé dont part du Groupe Investissements des filiales du secteur Effectifs Le secteur Tuiles Terre Cuite a eu l activité la plus soutenue du Groupe Poliet en 1997 (+10,5 % à structure et taux de change comparables). En France : l activité a été favorisée par le développement de la maison individuelle, les tonnages vendus ont augmenté de 7 % sur ceux de 1996 pour les tuiles (y compris les exportations qui représentent 12 % des ventes totales) et de 12 % pour les briques. Le chiffre d affaires augmente ainsi de 10,4 % sur celui de En Italie : le chiffre d affaires croît de 6,7 % à taux de change comparable. L activité tuiles reste difficile, avec cependant une remontée des prix après la dégradation enregistrée en En Espagne : la baisse se poursuit en volume dans la brique et dans la tuile, mais également avec une remontée des prix. Le chiffre d affaires baisse de 1,4 %. En Malaisie : après un démarrage plus difficile que prévu au plan technique de la nouvelle usine de tuiles, les ventes en 1997 ont été pénalisées par la qualité des tuiles produites eu égard aux exigences des marchés locaux et c est seulement à partir de fin octobre 1997 que les agents commerciaux ont pu mener leurs actions. Le chiffre d affaires s élève à 9 MF. Rapport Annuel

12 Pour faire face au développement de ses ventes, le secteur a engagé des investissements importants : 474 MF. Ils ont porté principalement sur la construction de deux nouvelles unités en France chez Tuileries Briqueries de France et Tuiles Lambert, et de deux nouvelles usines en Italie chez SML. Ce niveau exceptionnel d investissements a largement excédé la capacité d autofinancement de 214 MF, mais l évolution du besoin en fonds de roulement (-95 MF) a permis de limiter le recours à l emprunt. Le résultat net 1997 s élève à 98 MF contre 102 MF en Il est encore obéré par la perte de la filiale malaise de 25 MF. Bétons industriels STRADAL Contribution au Groupe Poliet (en millions de francs) Chiffre d affaires consolidé Capacité d autofinancement Résultat net consolidé dont part du Groupe Investissements des filiales du secteur Effectifs L année 1997 n a pas enregistré d amélioration de l activité dans le secteur des Travaux Publics, pour qui 1996 avait pourtant été une année noire. Géographiquement, la situation est contrastée. Dans les régions où Stradal est fortement implanté, l Ile-de-France, le Nord et l Ouest connaissent une conjoncture particulièrement dégradée, seul le Sud-Est bénéficiant d une activité plus soutenue, sous l effet notamment des travaux liés au TGV. Dans cet environnement difficile, Stradal a poursuivi sa politique générale de réduction des coûts, de rationalisation de son outil de travail et de consolidation de ses positions commerciales. A structure comparable, son chiffre d affaires a augmenté de 2 %, mais de 6,3 % à périmètre courant, du fait de l acquisition, en début d année, de Sobetube, filiale de Pontà-Mousson. Cette société possède en France deux sites de production, à Beaucaire et près de Reims, qui complètent bien le dispositif de Stradal dans ces régions. Elle détient en outre deux participations minoritaires dans des sociétés de bétons industriels en Espagne et en Egypte. Les investissements de l exercice se sont élevés à 105 MF, dont 45 MF au titre de l acquisition de Sobetube. Ils ont été financés par une capacité d autofinancement de 52 MF, et par une augmentation de capital de 35 MF souscrite par Poliet. Le résultat net consolidé s établit à 14 MF contre 0 l année précédente, grâce notamment aux revenus encaissés des participations étrangères. 10

13 AUTRES CONTRIBUTIONS Société Mère et autres Hors éléments extraordinaires, la contribution de la société-mère Poliet et de ses filiales non opérationnelles s élève à 10 MF contre 8 MF en Elle correspond aux éléments suivants : Une perte d exploitation de 10 MF provenant notamment de frais associés au lancement d un nouveau concept de distribution sous l enseigne La Plateforme (25 MF). Des produits financiers nets de 32 MF qui intègrent la rémunération du produit de la vente du secteur Serrurerie fin mai 1997 pour MF, la charge d intérêt de 28 MF sur les obligations remboursables en actions à échéance du 1 er janvier 1998, ainsi que le profit réalisé sur des swaps de taux d intérêt consentis aux filiales (+ 23 MF). Divers pertes et profits exceptionnels pour - 3 MF. Une charge nette d impôt sur les sociétés de 9 MF. Vachette Serrurerie Les résultats des cinq premiers mois d activité du secteur Serrurerie, cédé au Groupe suédois Assa Abloy fin mai 1997 s élèvent à 11 MF contre 57 MF en 1996 en année pleine. Eléments exceptionnels Ils proviennent pour l essentiel du profit réalisé sur la cession du secteur Serrurerie = +341 MF. Le solde, soit - 24 MF, correspond chez Lapeyre à une provision pour litige fournisseur et à la reprise d impôts différés sur provision pour fluctuations des cours des matières premières rendue sans objet suite aux récentes mesures fiscales gouvernementales. La quote-part des intérêts minoritaires de Lapeyre s élève à 6 MF. Synthèse des résultats du Groupe (en millions de francs) RESULTATS Contribution des secteurs d activité Point P - Distribution de matériaux Lapeyre - Menuiseries industrielles Weber & Broutin - Mortiers industriels Industrielle de Tuiles - Tuiles terre cuite Stradal - Bétons industriels 14 0 (2) Société-mère et divers Total (hors serrurerie) Vachette - Serrurerie Amortissements des écarts d acquisition (11) (11) (20) Résultats hors exceptionnel Intérêts minoritaires (94) (92) (90) Résultat part du Groupe Eléments exceptionnels Intérêts minoritaires Eléments exceptionnels - part du Groupe Résultat total - part du Groupe Rapport Annuel

14 Résultat et structure financière du Groupe A la suite de son entrée dans le Groupe Saint-Gobain, dans un souci d harmonisation des méthodes comptables et d amélioration de l information financière, Poliet a procédé à plusieurs changements de méthode. Les principaux ont porté sur les engagements de retraite et les impôts différés. Engagements de retraite : Les provisions pour engagements de retraite correspondaient aux indemnités de départ en retraite pour le personnel en activité de plus de 50 ans, aux avantages viagers consentis à certains personnels retraités et à la partie non financée des engagements relatifs aux droits à complément de ressource du personnel retraité. Elles comprennent dorénavant la totalité des engagements vis-à-vis des retraités et des actifs. Impôts différés : Ils étaient calculés selon la conception restrictive sans reconnaître de position nette active société par société ni au niveau des groupes fiscaux intégrés chez Poliet et chez Lapeyre. Ils sont calculés dorénavant selon la conception étendue y compris sur les provisions pour retraites avec reconnaissance d impôts différés actifs nets société par société sauf pour les sociétés durablement déficitaires, sans toutefois prendre en compte d actif d impôts sur les déficits fiscaux ni sur les amortissements réputés différés. C est ainsi qu ont été imputés, sur le report à nouveau au 1 er janvier 1997, 92 MF au titre des engagements de retraite et qu ont été portés en report à nouveau 78 MF au titre des impôts différés. Au niveau du résultat, l impact de ces changements sur l année 1996 aurait été négligeable : la dotation aux provisions pour retraites aurait été de 19 MF au lieu de 21 MF et le produit d impôts différés de 3 MF au lieu de 19 MF. Les produits de l exercice, comprenant le chiffre d affaires et la production stockée, sont en augmentation de 2,4 %, progression inférieure à celle des coûts d achats et charges externes (+3,4 %). Mais, si l on exclut le secteur Serrurerie, qui ne pèse que pour 5 mois en 1997, les évolutions sont identiques à +5 %. La valeur ajoutée reste stable, alors qu elle progresse de 4,9 % hors Serrurerie. Les charges de personnel sont néanmoins bien maîtrisées puisque leur progression hors Serrurerie est contenue à 3,5 %. L excédent brut d exploitation atteint ainsi MF contre MF l année précédente, en augmentation de 2,8 % et de 7,1 % hors Serrurerie. L évolution du résultat d exploitation, qui passe de MF à MF, est quasi-identique (+2,8 % et +7,3 % respectivement), grâce notamment à la forte diminution du coût des créances douteuses : -104 MF contre -143 MF en Les frais financiers continuent de décroître sous l effet conjugué de la baisse des taux à court terme et de la réduction de l endettement du Groupe (-566 MF). Les produits et charges exceptionnels, une perte nette de 104 MF, comprennent pour l essentiel une provision pour litige fournisseurs de 80 MF. Les plus ou moins values de cession d actifs proviennent principalement de la cession du secteur Serrurerie, cédé en mai L impôt sur les sociétés augmente de 248 MF pour atteindre 670 MF. Il enregistre notamment l impact de la plus-value de cession de Vachette (+81 MF) et l effet des mesures fiscales gouvernementales, environ 67 MF. 12

15 Les provisions pour impôts différés passent d un crédit de 19 MF à un crédit de 54 MF, du fait de la reprise de provisions pour impôts différés sur provisions pour fluctuation des cours des matières premières devenues sans objet suite aux dernières mesures fiscales pour 26 MF, le solde étant essentiellement imputable aux changements de méthode indiqués ci-dessus. Après amortissement des écarts d acquisition de 11 MF et prise en compte des intérêts minoritaires de 88 MF, principalement les 25 % du capital de la société Lapeyre, la part du Groupe dans le résultat net s élève à MF, soit 43,71 francs par action contre 801 MF et 30,23 francs par action. Si l on exclut les éléments à caractère exceptionnel, c est-à-dire le profit sur la cession du secteur Serrurerie, le litige fournisseur et la reprise d impôts différés sur provision pour fluctuation des cours chez Lapeyre qui totalisent 323 MF, le résultat s établit à 840 MF et 31,58 francs par action, en hausse respectivement de 4,9 % et 4,5 %. Les investissements en immobilisations corporelles ont atteint MF pour 955 MF en 1996, tandis que les acquisitions de titres de participation ont représenté 871 MF, portant les investissements totaux de l exercice à MF, montant largement couvert par la capacité d autofinancement de MF et le produit de la vente du secteur Serrurerie de MF. Compte tenu de la distribution de dividendes aux actionnaires et aux intérêts minoritaires de 299 MF et de l augmentation du besoin en fonds de roulement de 30 MF, l endettement financier net des disponibilités baisse de 566 MF et se situe à 692 MF (à raison de 88 % de dette à taux variable et de 12 % à taux fixe). Les capitaux propres du Groupe s élèvent à MF, avant prise en compte des obligations remboursables en action, 369 MF, échues au 1 er janvier 1998, soit 412 francs par action avant toute distribution de dividendes. Rapport Annuel

16 Perspectives 1998 Le quatrième trimestre a donné quelques signes encourageants de redressement de l activité. Les autorisations de construire des logements ont progressé de 3 % au quatrième trimestre 1997 par rapport au quatrième trimestre Celles concernant les logements individuels se sont stabilisées à un haut niveau, tandis que celles relatives aux logements collectifs ont augmenté de 8,1 % sur la même période. Pour sa part, l entretien-rénovation, a généré au quatrième trimestre un volume de travaux en hausse de 1 %, résultant d une augmentation de 1,5 % en matière d entretien-rénovation de logement, conjuguée à une quasi-stagnation du marché des bâtiments non résidentiels. Sur ces bases, la plupart des organismes de conjoncture s accordent à prévoir une croissance plus soutenue de l activité du bâtiment en Le maintien d un bon niveau d activité dans la construction de la maison individuelle et la croissance de l entretien, également stimulée par les mesures gouvernementales pour la rénovation des logements sociaux, devraient favoriser les PME du bâtiment, cœur de cible de la clientèle du Groupe Poliet. Le Groupe devrait par ailleurs bénéficier du redémarrage de la construction de logements collectifs. A cette tendance positive de nos marchés devrait s ajouter le potentiel de développement par croissances interne et externe de nos activités. Point P, dans la distribution, accentue sa démarche qualité, développe les services à la clientèle et augmente ses parts de marché par acquisitions. Lapeyre va poursuivre et amplifier la croissance de ses activités en France, en développant l activité installation et en ouvrant de nouveaux dépôts-vente Lapeyre (3) et GME (4), ainsi qu une agence et 3 magasins K par K. Parallèlement, Lapeyre va mettre en place les moyens d un développement ambitieux à l International. La Plateforme, après l ouverture d un dépôt à Nanterre en janvier 1998, va continuer à tester la validité de la formule dans 2 nouveaux dépôts qui devraient s ouvrir en cours d année en province à Nice et Lyon. Weber & Broutin va compléter sa couverture européenne et va devoir mener à bien l intégration de Quartzolit, sa première implantation en Amérique du Sud. Industrielle de Tuiles poursuivra sa politique de diversification de ses produits, devra mener à leur terme ses investissements de modernisation et d accroissement de capacité et tenir ses objectifs de rentabilité, notamment par la maîtrise des coûts de démarrage des nouvelles usines. Stradal devra continuer ses efforts d amélioration de la rentabilité, par optimisation des coûts et de la logistique, ainsi que par le développement de l innovation. Toutes ces actions, conjuguées à une tendance favorable de nos marchés, devraient permettre à Poliet de poursuivre son développement dans de bonnes conditions de rentabilité, en particulier hors de France, avec l assistance et les moyens puissants du Groupe Saint-Gobain. 14

17 Poliet en Bourse REPARTITION DU CAPITAL Compagnie Financière de Paribas 33,1 % Flottant 3,9 % Compagnie de Saint-Gobain 63,0 % A la suite de l OPA simplifiée initiée par la Compagnie de Saint-Gobain en juillet 1996 suite aux accords passés avec la Compagnie Financière de Paribas, les actions Poliet dans le public ne représentent plus que 3,9 % du capital. La Société des Bourses Françaises a transféré les actions sur le marché au comptant. Depuis lors, les mouvements sur le titre se sont fortement réduits, les transactions mensuelles variant, sauf cas exceptionnels, entre et titres. Sur un marché aussi étroit, les cotations de l action sont donc peu significatives. Au 1 er janvier 1998, après la conversion en action des ORA, la répartition de l actionnariat est la suivante : Compagnie de Saint-Gobain 63,0 % Compagnie Financière de Paribas 33,1 % Flottant 3,9 % Pour l exercice 1996, l Assemblée des actionnaires avait décidé l attribution d un dividende en espèces de 10 francs net plus avoir fiscal de 5 francs, soit un dividende brut de 15 francs identique à celui de Au titre de l exercice 1997, il sera proposé à l Assemblée du 20 mai 1998, de maintenir le dividende au même niveau que celui de l an dernier soit 10 francs net plus avoir fiscal de 5 francs. Performance boursière Action Poliet Marché et rendement des titres Lambert Frères et Cie jusqu au 25 août 1992 puis Poliet* (*) voir évolution du capital social. Nombre d actions Cours de bourse Moyenne Capitaux échangées Plus haut Plus bas mensuelle échangés (en MF) Janvier ,00 471,00 480,30 5,79 Février ,00 488,50 496,71 7,06 Mars ,00 495,00 499,89 2,35 Avril ,00 499,00 502,00 2,87 Mai ,00 495,00 501,27 2,06 Juin ,00 482,00 491,71 5,55 Juillet 97* ,00 482,00 489, ,16 Août ,00 480,00 490,16 1,90 Septembre ,00 485,00 493,50 24,67 Octobre ,00 491,00 501,74 4,03 Novembre ,00 487,00 496,69 10,14 Décembre ,00 480,00 494,81 4,64 * Ces chiffres comprennent un bloc de titres à 565 francs correspondant à l'exercice d'une promesse d'achat par Saint-Gobain à Paribas. Exercices Nombre de Dividendes Avoir Revenu Cours extrêmes Cours Taux de titres rémunérés distribués fiscal global Plus haut Plus bas de clôture rendement ,00 3,00 9, ,10 % ,50 3,75 11, ,18 % ,00 5,00 15, ,78 % ,00 5,00 15, , ,13 % ,00 5,00 15, ,13 % Résultat par action (en francs) Nombre moyen pondéré d actions en circulation durant l exercice Ensemble consolidé (y compris la quote-part des minoritaires). Résultat avant impôts 70,17 48,91 49,48 Résultat après impôts et éléments exceptionnels 47,02 33,71 31,83 Part du Groupe Résultat net hors éléments exceptionnels 31,58 30,23 28,42 Résultat net part du Groupe 43,71 30,23 28,42 Rapport Annuel

18 Comptes Consolidés B I L A N C O N S O L I D E Actif (millions de francs) Notes Ecarts d acquisition Immobilisations incorporelles Total Immobilisations corporelles Titres mis en équivalence Immobilisations financières Total actif immobilisé Stocks Créances d exploitation Impôts différés nets actifs Autres débiteurs Disponibilités Total actif circulant Total actif

19 Passif (après affectation) Notes Capital Réserves consolidées Capitaux propres du Groupe Minoritaires Capitaux propres de l ensemble Obligations remboursables en actions Fonds non remboursables Impôts différés Autres provisions Emprunts Capitaux permanents Dettes d exploitation Autres dettes Concours de trésorerie Dettes à court terme Total passif Comptes consolidés 17

20 RESULTATS CONSOLIDES (millions de francs) Notes Chiffre d affaires Production stockée et immobilisée Produit total Coût d achat et charges externes (16 615) (16 066) (15 978) Valeur ajoutée Impôts et taxes (439) (430) (411) Charges de personnel 17.2 (3 984) (4 061) (3 903) Subventions d exploitation Excédent brut d exploitation Amortissements (803) (787) (760) Autres charges et produits d exploitation 1 5 (12) Résultat d exploitation Résultat financier 13 (81) (213) (225) Résultat courant Produits et charges exceptionnels (104) (61) (55) Plus et moins-values de cession d actifs (7) Résultat exceptionnel (49) (62) Résultat d entreprise Participation des salariés (68) (67) (64) Impôt sur les sociétés 15 (670) (422) (467) Provision pour impôts différés Résultat net des sociétés intégrées Résultat des sociétés mises en équivalence Résultat avant écarts d acquisition Amortisssement des écarts d acquisition (11) (11) (20) Résultat de l ensemble consolidé Part des tiers (88) (92) (90) Résultat part du Groupe

21 TABLEAU DE FINANCEMENT Capacité d autofinancement (millions de francs) Résultat net consolidé Amortissements et provisions Incidence des sociétés mises en équivalence Reprise des résultats (7) (10) (3) Dividendes reçus Marge brute d autofinancement Provisions sur actifs circulants (18) (48) (29) Résultats sur cessions d actifs (374) (4) 7 Capacité d autofinancement Tableau de financement (millions de francs) Emplois Investissements Immobilisations corporelles et incorporelles Titres de participation Total investissements Remboursements d emprunts Distribution aux actionnaires Augmentation des créances financières Total emplois Ressources Capacité d autofinancement Produit des cessions d immobilisations Augmentation des capitaux propres Augmentation des emprunts Ressources diverses Total ressources Variation du fonds de roulement Dont : besoin d exploitation et divers 30 (47) (57) Concours de trésorerie/disponible Comptes Consolidés 19

22 ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES en millions de francs I - Faits principaux de l exercice I Activité Poliet a poursuivi sa stratégie de développement, notamment par croissance externe. Ceci s est traduit par l acquisition par Point P des sociétés Pinault Centre Est, Servibat, Expobois, Cofisa, Dispano, Galessi et des Groupes Quincaillerie Lorraine et Coorevits Dans les autres secteurs, Lapeyre a acquis le Groupe FCF, Stradal le Groupe Sobetube et Weber & Broutin les sociétés Quartzolit, Especo, Picard et le Groupe Protebat. Quant au secteur Serrurerie il a été cédé à la société Assa Abloy France SA fin mai I Changements de méthodes A la suite de la prise de contrôle de Poliet par la Compagnie de Saint-Gobain et conformément à l avis n du 18 juin 1997 du Conseil National de la Comptabilité relatif aux changements comptables, il a été procédé en vue d améliorer l information financière à différents changements de méthodes. Engagements de retraite : les provisions pour engagements de retraite correspondaient aux indemnités de départ en retraite pour le personnel en activité de plus de 50 ans, aux avantages viagers consentis à certains personnels retraités et à la partie non financée des engagements relatifs aux droits à complément de ressource du personnel retraité. Elles comprennent dorénavant la totalité des engagements vis-à-vis des retraités et des actifs. Impôts différés : ils étaient calculés selon la conception restrictive sans reconnaître de position nette active société par société ni au niveau des groupes fiscaux intégrés chez Poliet et chez Lapeyre. Ils sont calculés dorénavant selon la conception étendue y compris sur les provisions pour retraites avec reconnaissance d impôts différés actifs nets société par société sauf pour les sociétés durablement déficitaires, sans toutefois prendre en compte d actif d impôts sur les déficits fiscaux ni sur les amortissements réputés différés (cf. paragraphe IV -8). C est ainsi qu ont été imputés sur le report à nouveau au 1 er janvier 1997, 92 MF au titre des engagements de retraite et qu ont été portés en report à nouveau 78 MF au titre des impôts différés (cf. paragraphe IV-6). Quant à l impact de ces deux changements de méthodes sur les résultats des 2 exercices précédents, il est peu significatif : en 1995, la dotation aux provisions pour retraites aurait été de 17 MF au lieu de 8 MF et le produit d impôts différés de 10 MF au lieu de 11 MF, et en 1996, la dotation aux provisions pour retraites aurait été de 19 MF au lieu de 21 MF et le produit d impôts différés de 3 MF au lieu de 19 MF. Subventions d investissement : précédemment maintenues en capitaux propres, elles ont été reclassées en compte de régularisation passif. C est ainsi qu ont été imputés 10 MF à ce titre sur les réserves consolidées (cf. paragraphe IV-6). Mises en équivalence : Dans le secteur menuiseries certaines filiales précédemment intégrées globalement et considérées comme peu significatives ont été consolidées par mise en équivalence (cf. paragraphe IV-3). L impact de ce changement est négligeable sur la présentation des comptes consolidés Poliet. 20

23 I Présentation des états financiers 1998 A partir des comptes de l exercice 1998, il sera procédé à un changement dans la présentation des états financiers avec l adoption d un compte de résultat par destination. II - Principes et techniques de consolidation II Principes généraux Les comptes consolidés au 31 décembre 1997 sont établis conformément aux règles fixées par la loi du 3 janvier 1985 et le décret du 17 février Aucune méthode dérogatoire n a été retenue. II Principes de consolidation II Périmètre de consolidation Les sociétés dans lesquelles Poliet exerce directement ou indirectement un contrôle exclusif sont consolidées par intégration globale sauf celles considérées comme peu significatives par le secteur Menuiseries qui sont consolidées par mise en équivalence. Les sociétés dans lesquelles Poliet exerce directement ou indirectement une influence notable, sans toutefois exercer un contrôle exclusif, sont consolidées par mise en équivalence. II Ecart de première consolidation Un écart de première consolidation est constaté lorsque le prix d acquisition des titres, incluant le cas échéant les frais d acquisition, est supérieur, à la date d achat, à la quote-part d actif net de la société acquise. Cet écart est réparti, dans un délai d un an, en écart d évaluation affecté aux postes appropriés du bilan et pour l éventuel écart résiduel en écart d acquisition. L affectation à des parts de marché ou à des marques ne peut engendrer un écart d acquisition négatif. Les écarts d évaluation sont amortis ou provisionnés selon les modalités propres aux postes auxquels ils sont affectés. Les écarts d acquisition sont amortis selon un plan dont la durée doit refléter les objectifs fixés lors de l acquisition. Cette durée, variable en fonction du secteur d activité, est comprise entre 5 ans et 15 ans. La première annuité d amortissement des écarts correspondant aux acquisitions de l année est calculée prorata temporis. Si les différents facteurs définis lors de l acquisition évoluent défavorablement par rapport aux prévisions effectuées initialement, les écarts d acquisition concernés font l objet de réductions de valeur, au-delà des amortissements prévus par le plan. II Retraitements et éliminations L incidence sur les comptes des écritures passées par la seule application des législations fiscales (provisions pour hausse des prix, amortissements dérogatoires et autres provisions réglementées) est neutralisée. Les plus-values nettes d impôts dégagées lors de cessions ou apports de valeurs immobilisées, intervenues entre les sociétés consolidées, ont été extraites des résultats de l exercice et imputées directement en situation nette. Leur montant n est pas significatif. Comptes Consolidés 21

24 II Méthode de conversion - couvertures : II Conversion des comptes de filiales étrangères Les comptes des sociétés étrangères ont été convertis en francs français dans les conditions suivantes : Dans le cas général : Les postes du bilan des sociétés étrangères sont convertis en francs français sur la base des taux de change officiels en vigueur à la clôture de l exercice. Les postes du compte de résultat de ces mêmes sociétés sont exprimés en francs français en utilisant pour chaque devise le taux de change moyen de l exercice. Les différences de conversion, ainsi dégagées lors de la conversion en francs français des états financiers des sociétés étrangères, sont enregistrées directement au bilan consolidé dans les capitaux propres au poste Différence de conversion, jusqu à ce que les investissements étrangers auxquels ils se rapportent soient vendus ou liquidés. Dans le cas des sociétés situées dans des pays à forte inflation : Les comptes des sociétés situées dans des pays à forte inflation (Brésil) ont été convertis selon la méthode dite du taux historique dans les conditions suivantes : au bilan, la conversion est effectuée au taux de clôture pour les éléments monétaires et au taux historique pour les éléments non monétaires, au compte de résultat, les produits et les charges sont convertis au taux moyen de la période, à l exception des dépréciations d éléments d actif convertis au taux historique. Les écarts de conversion résultant de l application de cette méthode sont considérés comme un résultat exceptionnel. II Couvertures de change et de taux Les contrats de change à terme et les options sont réévalués au 31 décembre et les gains ou pertes non réalisés sont : soit affectés en compensation des gains ou des pertes correspondants sur les actifs ou passifs couverts auxquels ces instruments avaient été affectés ; soit différés s ils sont affectés à des opérations prévues de l exercice suivant ; soit pris en résultat s ils n ont pas été affectés. Les charges et les produits générés par les swaps de taux d intérêt sont rapportés dans les résultats prorata temporis. III - Règles d évaluation III - 1 Immobilisations incorporelles III Frais d établissement Les frais d établissement sont intégralement amortis dès la première année. III Frais de recherche et développement Les frais de recherche et développement sont comptabilisés systématiquement en charges. III Autres immobilisations incorporelles Au travers de ses différents métiers, le Groupe intervient tant en France qu à l étranger sur de très nombreux marchés. Son développement, notamment par croissance externe, 22

25 III Immobilisations corporelles le conduit à acquérir des marques et/ou des parts de marché. Ces actifs incorporels, le plus souvent non valorisés dans les bilans des sociétés acquises sont évalués dans ce cadre par référence aux indicateurs les plus utilisés par le Groupe pour apprécier les atouts des entreprises qu il compte acquérir, l excédent brut d exploitation, ou le chiffre d affaires. Les immobilisations incorporelles ainsi portées à l actif restent inscrites au bilan à leur valeur historique d origine et ne sont donc pas amorties, dans la mesure où ces actifs ne perdent pas de leur valeur. Au cours des exercices suivant l acquisition, il est systématiquement procédé, pour chaque part de marché et marque, à la comparaison entre la valeur à cette date découlant des critères retenus, et la valeur initiale déterminée lors de l acquisition. Cette réappréciation périodique, effectuée en prenant en considération l évolution des données économiques et de l environnement de l entreprise acquise, peut le cas échéant donner lieu à une réduction de valeur, reflétant la perte de valeur de la part de marché ou de la marque considérée. Les fonds commerciaux sont amortis sur une durée qui n excède pas 10 ans. Les droits au bail ne sont pas amortis. Elles sont évaluées à leur coût d acquisition hors frais financiers intercalaires à l exception des nouvelles implantations industrielles d un montant supérieur à 100 MF. Dans ce cas, le coût du financement spécifique est intégré au prix de revient. Les différentes catégories d immobilisations corporelles sont évaluées au coût de revient d origine. Les amortissements sont calculés en fonction des durées d utilisation estimées des biens. Les durées d amortissement généralement pratiquées sont les suivantes : Constructions Matériels, outillage, installations techniques Autres immobilisations 10 à 20 ans 2 à 10 ans 2 à 10 ans L amortissement dégressif s applique aux immobilisations d une valeur unitaire inférieure à 10 MF, le linéaire s appliquant aux autres immobilisations. Les biens réévalués à la suite de fusion sont maintenus au bilan pour leur valeur d apport. Leur montant n est pas significatif. Les contrats de crédit-bail et assimilés sont traités comme des contrats de locationexploitation. III Immobilisations financières Les immobilisations financières comprennent les titres de participation dans des sociétés non consolidées, évalués, soit à leur coût historique hors frais d acquisition, soit à leur valeur d apport, soit à leur valeur réévaluée légale de A la clôture de l exercice, cette valeur est comparée à la quote-part d actif net tenant compte des perspectives de rentabilité et d éventuelles plus-values. Si cette valeur lui est supérieure, la différence fait l objet d une provision. Comptes Consolidés 23

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