2.1. hospitaliers. Les équipements. La santé observée dans les régions de France

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2.1. hospitaliers. Les équipements. La santé observée dans les régions de France"

Transcription

1 Les équipements hospitaliers 2.1 Le contexte En France, les équipements hospitaliers ont beaucoup évolué depuis une dizaine d'années sous l effet de différents facteurs souvent liés entre eux : les progrès techniques et médicaux, le développement des alternatives à l hospitalisation traditionnelle (hôpital de jour, hospitalisation à domicile...), l évolution de la demande des patients, les contraintes économiques... Cette évolution s est notamment traduite, sur le plan quantitatif, par une diminution du nombre de lits d'hospitalisation de courte durée (médecine, chirurgie, gynéco-obstétrique), qui est passé de à lits entre 1983 et 1993 (-15 %). Le nombre de lits d hospitalisation consacrés aux soins de suite (rééducation, convalescence) a connu une baisse également, mais moins importante, de à environ lits en dix ans. Les mêmes évolutions se sont produites en ce qui concerne les lits d hospitalisation en psychiatrie (de à lits). En revanche, l accroissement du nombre de lits de soins de longue durée, consacrés à l hébergement médicalisé des personnes âgées, a été très marqué, passant de à entre 1987 et En parallèle, des évolutions plus qualitatives se sont produites : développement des services de radiologie et de biologie, augmentation des équipements matériels lourds pour le diagnostic ou le traitement (scanners, appareils d imagerie à résonance magnétique, lithotripteurs, angiographie numérisée...). Ces diverses évolutions ont contribué à la diminution de la durée moyenne de l hospitalisation. Pour l ensemble de l hospitalisation de courte durée (médecine, chirurgie, gynécologie-obstétrique), cette durée moyenne passe, entre 1987 et 1993, de 7,5 jours à 6 jours environ. Par rapport aux autres pays européens, et selon les données publiées par l OCDE pour l année 1989, la France apparaît parmi les pays les plus équipés en lits hospitaliers derrière l Allemagne, le Luxembourg, la Suisse et l Autriche. Les taux les plus bas s observaient en Espagne, au Portugal, en Irlande, et, hors Europe, aux Etats-Unis. En matière de durée moyenne de séjour, la France se situait parmi les pays où elle était la plus faible, alors que les autres pays bien équipés en lits avaient une durée moyenne de séjour plus longue. Au sein de la France métropolitaine, les disparités régionales sont importantes et font apparaître un équipement important dans le Sud de la France, en Ile-de- France et en. Première édition

2 2.1 Les équipements hospitaliers La santé observée dans les régions de France Depuis une trentaine d années, le souci d améliorer la répartition des équipements sur le territoire a été à l origine de plusieurs mesures législatives successives. Une planification des équipements a été mise en place par la loi hospitalière de 1970 qui a instauré la carte sanitaire, découpant la France en secteurs sanitaires, et a fixé des indices de besoins par discipline et par secteur sanitaire. En 1991, une nouvelle loi hospitalière a créé de nouvelles conditions pour la planification des équipements, en prévoyant, outre la révision des cartes sanitaires, la mise en place de schémas régionaux d'organisation sanitaire (SROS) "déterminant la répartition des installations et des activités de soins dans la région". En 1996, le Gouvernement a lancé une réforme qui va transformer tout le fonctionnement du système de santé. Le Parlement va ainsi voter chaque année les objectifs de dépenses de la sécurité sociale, en fonction des priorités de santé arrêtées par la Conférence nationale de santé. L ordonnance du 24 avril 1996 portant réforme de l hospitalisation publique et privée prévoit la création, dans les régions administratives, d agences régionales d hospitalisation. Elles ont pour mission, dès 1997, de définir et de mettre en œuvre la politique régionale d offre de soins, d analyser et de coordonner l activité des établissements de santé publics et privés, de déterminer leurs ressources, tout en tenant compte des priorités de santé publique établies par chaque conférence régionale de santé. Des contrats pluri-annuels doivent être passés entre les établissements et les agences régionales pour fixer les objectifs et les moyens et s adapter aux besoins de la population. Au sein même des établissements, la contractualisation est également prévue pour accroître la responsabilité des différents acteurs hospitaliers dans l organisation de l hôpital et dans l amélioration de la qualité des soins. Par ailleurs, l ouverture des établissements de santé sur leur environnement est encouragée par des possibilités de coopération entre établissements et par le développement des alternatives à l'hospitalisation et des réseaux de soins. Enfin, l ordonnance prévoit que les établissements hospitaliers fassent tous l objet d une accréditation dans les cinq ans à venir par l Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. 2

3 2.1 Les équipements hospitaliers Hospitalisation de courte durée : moins de lits dans le quart Nord-Ouest L ensemble des lits hospitaliers publics et privés, consacrés à l hospitalisation complète de courte durée rassemble les lits de médecine, de chirurgie et de gynécologieobstétrique. Cette capacité d accueil représente un taux de 4,9 lits pour 1000 habitants. D une façon générale, les taux sont plus élevés dans la moitié sud de la France, ainsi que dans l Est et en. Taux d équipement en lits pour l hospitalisation complète de courte durée* au pour 1000 habitants moins de 4,6 4,6 à 5,2 5,3 ou plus France métropolitaine : 4,9 4,4 5,2 4,2 4,0 5,0 4,3 4,1 4,3 5,3 5,2 4,1 5,1 5,4 4,8 5,7 4,8 4,6 4,9 5,1 5,4 5,5 6,2 Sources : SESI, INSEE estimations au Exploitation FNORS * médecine, chirurgie, gynéco-obstétrique Des taux d équipement élevés dans le Sud et l Est En médecine comme en chirurgie, le quart nord-ouest de la France (hormis l Ile-de- France) apparaît comme moins bien équipé, exception faite de la Basse-Normandie. En gynécologie-obstétrique, la répartition sur le territoire est plus uniforme. La moitié sud semble un peu moins équipée (excepté la ). Les taux d équipement les plus élevés s observent dans les régions de l Est, ainsi qu en Basse-Normandie. Taux d équipement en lits de médecine, chirurgie et gynéco-obstétrique au Sources : SESI, INSEE estimations au Exploitation FNORS Médecine 1,9 2,6 2,4 2,7 de médecine pour 1000 habitants moins de à 2,5 2,6 ou plus 2,4 2,5 2,6 2,8 2,7 2,7 Moyenne France : 2,9 Chirurgie 1,7 1,5 2, ,5 Gynéco-obstétrique 2,5 2,4 2,7 2,5 2,9 1,9 3,3 de gynécologie-obstétrique de chirurgie pour 1000 habitants moins de pour 1000 femmes de ans * moins de à Moyenne France : à 2,4 Moyenne France : ou plus 2,5 ou plus * Les taux sont calculés sur les femmes de ans qui constituent la tranche d âge la plus concernée par les lits de gynécologie-obstétrique, bien que ceux-ci incluent la gynécologie médicale qui concerne toutes les tranches d âge. 3

4 2.1 Les équipements hospitaliers La santé observée dans les régions de France En six ans, le taux d équipement en lits d hospitalisation de courte durée a globalement diminué de -11 %. La diminution s observe dans toutes les régions, ne modifiant pas beaucoup le classement des régions et maintenant l importance de l écart entre régions extrêmes. Malgré la baisse importante du taux en et en (-17 %), ces deux régions sont restées parmi les plus équipées. La, l et le Languedoc-Roussillon ont enregistré des diminutions également très marquées (-12 à -13 %). Baisse du taux d équipement dans toutes les régions 7,0 6,5 6,0 5,5 5,0 4,5 4,0 3,5 pour 1000 habitants France métrop : 5,5 France métrop : 4,9 Evolution du taux d équipement en lits d hospitalisation complète de courte durée entre 1987 et 1993 Nord-Pas-de-C Sources : SESI, INSEE estimations au et 1993 Exploitation FNORS Les établissements publics disposent, en France en 1993, de lits d hospitalisation complète de courte durée, soit 63 % de l ensemble de ces lits, et les établissements privés* en comptent (37 %). En et dans plusieurs régions de la moitié sud de la France, le poids du secteur public est moins marqué et se situe entre 50 et 60 %. En revanche, dans quelques régions (,, Poitou-Charentes, Basse- Normandie, ), les établissements publics prédominent très largement, représentant plus des trois-quarts des capacités en lits d hospitalisation de courte durée. Prédominance du secteur public pour les soins de courte durée * privés à but non lucratif (y compris participant au service public hospitalier) et privés lucratifs Nord-P-de-C Pourcentage de lits de soins de courte durée relevant du secteur public au France métrop. : 63 %

5 2.1 Les équipements hospitaliers Une durée moyenne de séjour plus élevée dans le secteur public, sauf dans deux régions La durée moyenne de séjour (DMS) en hospitalisation de courte durée est nettement plus élevée en médecine (entre 7 et 9 jours) qu en chirurgie (5 à 6 jours) ou en gynécologieobstétrique (5 à 6 jours également). En médecine, pour la moitié des régions, la DMS est plus élevée dans le secteur privé. Les écarts sont importants entre régions, allant de 5 jours en Champagne-Ardenne à 13 en (dans cette région, un établissement a été, en 1996, reclassé en soins de suite). Six régions ont une DMS dans ce secteur privé particulièrement élevée, dépassant 8,6 jours :,, Languedoc-Roussillon,, Haute-Normandie et. Dans le secteur public, les écarts sont moins importants, la DMS allant de 5,5 jours en à 8,4 en. En chirurgie, la DMS est toujours plus élevée dans le secteur public, qui prend en charge des cas plus graves nécessitant des hospitalisations longues ; les différences entre public et privé sont moins marquées qu en médecine. En gynécologie-obstétrique, la DMS du secteur privé est toujours supérieure à celle du secteur public (sauf en et ). Dans certains cas, cette DMS du privé est supérieur d environ 1,5 jour à celle du public, comme en,, Languedoc-Roussillon,,,. Durée moyenne de séjour en hospitalisation de courte durée en 1993 Médecine Chirurgie Gynéco-obstétrique Nord-P-de-C. Nord-P-de-C. Nord-P-de-C. Privé Public jours France métropolitaine public privé 6,9 8,6 privé public 5,0 5,6 public privé 5,0 5,7 5

6 2.1 Les équipements hospitaliers La santé observée dans les régions de France Pour les soins de suite (rééducation, convalescence), la France métropolitaine dispose de lits d hospitalisation complète, soit 1,6 lit pour 1000 habitants. Dans ce domaine, la répartition par région fait apparaître des disparités beaucoup plus marquées que pour l hospitalisation de courte durée. L écart entre les taux va du simple au triple. Le quart Sud-Est de la France est particulièrement bien équipé, avec souvent plus de 2 lits pour 1000 habitants, et des taux maximums approchant 3 en Languedoc-Roussillon et. Les soins de suite : le Sud-Est prédomine Taux d équipement en lits pour les soins de suite* au pour 1000 habitants moins de 1,4 1,4 à 1,9 ou plus France métropolitaine : 1,6 1,9 1,6 1,3 1,4 1,2 1,4 1,2 1,1 0,9 1,4 1,3 1,6 1,6 1,3 1,9 2,8 2,8 1,9 Sources : SESI, INSEE estimations au Exploitation FNORS * rééducation, convalescence Pour la rééducation fonctionnelle comme pour les autres lits de soins de suite, on retrouve les mêmes zones plus équipées et les mêmes zones moins équipées. Les régions du Sud- Est, essentiellement, le Languedoc-Roussillon et la, disposent de taux d équipement élevés dans ces deux grandes disciplines. La région se rapproche de ce groupe en raison d un taux élevé en rééducation fonctionnelle. La et la se caractérisent également par un taux élevé en rééducation fonctionnelle. A l inverse, l dispose d un équipement plutôt orienté vers les autres soins de suite, de même que l et. Dans la plupart des cas, les régions peu équipées le sont aussi bien en lits de rééducation fonctionnelle qu en autres lits : Nord-Pas-de-Calais, Haute-Normandie,,, Champagne-Ardenne, en sont des exemples. Rééducation fonctionnelle et autres soins de suite : une répartition géographique semblable Taux d équipement en lits pour la rééducation fonctionnelle et les autres soins de suite au Rééducation fonctionnelle pour 1000 habitants moins de 0,42 0,42 à 0,52 0,53 ou plus 0,58 Moyenne France : 0,47 0,41 0,31 0,48 0,49 0,35 0,20 0,36 0,28 0,35 0,32 0,24 0,49 0,69 0,43 1,10 0,56 0,49 0,40 0,69 0,38 0,66 Autres soins de suite 1,33 pour 1000 habitants moins de 1,00 1,00 à 1,39 1,40 ou plus 0,77 1,20 1,03 1,34 Moyenne France : 1,16 0,84 1,09 1, ,35 0,74 0,87 0,75 1,76 0,68 0,95 1,70 1,45 1,01 0,85 6 1,57 1,58 Sources : SESI, INSEE estimations au Exploitation FNORS 6

7 2.1 Les équipements hospitaliers Peu de variation des taux d équipement en soins de suite En six ans, le taux d équipement en lits d hospitalisation complète consacrés aux soins de suite a diminué, passant en France métropolitaine de 1,7 lit pour 1000 habitants à 1,6. Les régions les plus équipées en 1987 ont en général enregistré une baisse plus importante que les autres : Languedoc-Roussillon,,,. La baisse en a été moins importante. Quelques régions ont connu une hausse, mais de faible ampleur (,, Poitou-Charentes, ), maintenant leur taux d équipement en deçà de la moyenne nationale. Deux particularités sont à noter : la, dont le taux, déjà supérieur à la moyenne en 1987, a augmenté, et la Basse-Normandie où s est produit le phénomène inverse. 3,5 3,0 2,5 1,5 1,0 0,5 0,0 pour 1000 habitants France métrop : 1,7 Nord-Pas-de-C. Evolution du taux d équipement en lits de soins de suite entre 1987 et 1993 France métrop : 1, Sources : SESI, INSEE estimations au et 1993 Exploitation FNORS La majorité des lits pour les soins de suite relèvent du secteur privé Les établissements publics disposent, au 31 décembre1993 en France, de lits d hospitalisation complète pour les soins de suite, soit 43 % de l ensemble de ces lits, et les établissements privés* en comptent Dans les régions méditerranéennes, ainsi qu en et en, le poids du secteur public est plus faible, représentant moins de 35 % des lits. A l opposé, dans deux régions (Champagne-Ardenne, ), ce poids dépasse 75 %. * Privés non lucratifs (y compris participant au service public hospitalier) et privés lucratifs Pourcentage de lits pour les soins de suite relevant du secteur public au France métropolitaine : 43 % Nord-P-de-C

8 2.1 Les équipements hospitaliers La santé observée dans les régions de France Fin 1992, la France métropolitaine dispose de 470 scanners implantés sur le territoire, soit 0,82 pour habitants, et 103 appareils d imagerie à résonance magnétique (IRM), soit 0,18 pour habitants. Le taux d équipement en scanners varie peu d une région à l autre, se situant presque toujours aux alentours de la moyenne nationale. Deux exceptions opposées : d une part, la, qui avec 3 scanners dispose d un taux d équipement supérieur à 1 pour habitants, et, d autre part, les et le (respectivement 20 et 15 scanners) ont un taux de l ordre de 0,6 pour habitants. Une répartition assez homogène des scanners selon les régions En ce qui concerne les appareils d imagerie à résonance magnétique (IRM), les écarts entre régions sont plus marqués. L regroupe 29 % des appareils, ce qui lui confère un taux d équipement de 0,27 pour habitants. A l opposé, la ne dispose, fin 1992, d aucun appareil, et beaucoup de régions n en n ont qu un ou deux, leur taux d'équipement avoisinant alors 0,1 pour habitants. Nombre de scanners au Nombre de scanners au France métropolitaine : Nombre d appareils d imagerie par résonance magnétique (IRM) au Nombre d'appareiles d'irm au France métropolitaine :

9 2.1 Les équipements hospitaliers Développement de l hospitalisation partielle L hospitalisation partielle s est développée depuis une dizaine d années, recouvrant des formes diverses : hospitalisation de jour (notamment pour la chirurgie ambulatoire), hospitalisation de nuit, hospitalisation à domicile, traitements ambulatoires (dialyse, chimiothérapie, rééducation...). A partir des données existantes, il est possible de comparer les évolutions récentes en France, en volume de séances ou de venues pour certaines de ces activités. En France, les venues en hospitalisation de jour, dans les établissements publics et privés, sont au nombre de 2 millions en (Rappelons que le nombre de journées d hospitalisation complète en soins de courte durée est d environ 75 millions). Une réglementation des modalités d exercice de l hospitalisation de jour, parue en 1992, soumet l autorisation de fonctionner à un volume minimal d activité et à l existence de locaux et de personnels spécifiquement dédiés à cette activité. Le nombre de séances de dialyse ne cesse de croître, et approche 3 millions en 1993, soit 10 % de plus qu en Il en est de même des séances de chimiothérapie qui ont augmenté de 34 % entre 1991 et 1993 pour atteindre un peu plus de à cette date. Evolution du nombre de venues ou de séances en hospitalisation de jour de 1991 à 1993 en France métropolitaine Nombre de séances de dialyse Nombre de venues en hospitalisation de jour Nombre de séances de chimiothérapie 9

10 2.1 Les équipements hospitaliers La santé observée dans les régions de France Pour les lits de court séjour, au 31 décembre 1990, les Antilles ont un taux d équipement supérieur à la moyenne nationale : 5,8 lits pour 1000 habitants en Guadeloupe et 6,4 en Martinique, capacité la plus élevée observée dans les départements d outre-mer. A l inverse, le taux le plus faible concerne la Réunion (3,9). Le taux d équipement en chirurgie est plus faible dans les DOM qu en métropole. Concernant la médecine, les Antilles ont un meilleur taux d équipement que la métropole. En raison d une forte natalité, l équipement en lits de gynéco-obstétrique est plus élevé que la moyenne nationale. La Réunion est cependant en retrait par rapport aux autres DOM. De à 1990, l équipement en lits d hospitalisation complète de court séjour a diminué dans tous les DOM, mais à un rythme moins soutenu qu en métropole (environ 5 % contre 10 % en métropole). La situation outre-mer Taux d équipement en lits de médecine, chirurgie et gynéco-obstétrique dans les DOM au (1991 en Martinique) (nombre de lits pour 1000 habitants *) 3,7 2,9 3 3,9 2,5 2,4 2,5 1,9 1,9 1,5 Guyane Guadeloupe Martinique Réunion Métropole Médecine Chirurgie Gynéco-obstét. * Sources : SESI, INSEE Exploitation FNORS * En gynéco-obstétriques, les taux sont calculés sur les femmes de ans qui constituent la tranche d âge la plus concernée, bien que ceux-ci incluent la gynécologie médicale qui concerne toutes les tranches d âge. Au début des années 90, les établissements publics disposent dans les DOM de lits d hospitalisation complète de courte durée, soit 71,6 % de l ensemble de ces lits. Les établissements privés en comptent (28,4 %). Cette proportion, plus élevée que la moyenne nationale, est surtout le fait de la Martinique où presque la totalité des lits (91,1 %) relèvent du secteur public. A l inverse, le poids de ce secteur est moins important en Guadeloupe (57 % de l ensemble des lits). Pourcentage de lits de soins de courte durée du secteur public dans les DOM au (1991 en Martinique et en Guadeloupe) Guadeloupe 57,1 Guyane Réunion Martinique 64,3 67,9 91,1% Sources : DDASS, SESI Exploitation FNORS 10

11 2.1 Les équipements hospitaliers En 1990 en Guyane, en 1991 aux Antilles et en 1993 à la Réunion, la durée moyenne de séjour en hospitalisation complète de courte durée est de l ordre de 8 jours dans les établissements publics et de 7 jours dans les établissements privés. Cependant des écarts importants sont observés entre les régions. A la Réunion, la durée moyenne de séjour, secteur public et privé confondus, est inférieure à 6 jours. Elle est supérieure à 9 jours dans le secteur public aux Antilles et tourne autour de 9 jours dans le secteur privé en Guyane et en Guadeloupe. Durée moyenne de séjour en hospitalisation de courte durée (en jours) dans les DOM en 1990 (1991 en Martinique et Guadeloupe, 1994 à La Réunion) Réunion 5,8 5,9 Guyane Guadeloupe Martinique Secteur public 4,2 Secteur privé 7,1 9,1 8,7 9,3 9,5 Sources : DDASS, SESI Pour les soins de suite (rééducation, convalescence), les DOM disposent, au (1991 en Martinique et Guadeloupe) de 846 lits, soit 0,6 lit pour 1000 habitants. L écart avec la métropole est important : le taux d équipement en soins de suite y est trois fois plus important. Les écarts entre les DOM sont également importants puisqu ils varient du simple au quadruple : 0,25 à la Réunion, 0,30 en Guyane, 0,68 en Martinique et 1,04 en Guadeloupe. La répartition des lits de soins de suite entre les secteurs public et privé, varie considérablement entre les DOM. L équipement est totalement public en Guyane, alors qu il ne représente que 14 % des capacités à la Réunion. Pourcentage de lits de soins de suite du secteur public dans les DOM au (1991 en Martinique et en Guadeloupe) Réunion Guadeloupe Martinique Guyane 14,4 58,1 67,5 100,0 % Sources : DDASS, SESI En 1993, les Antilles-Guyane disposent de 4 scanners : 2 en Martinique, 1 en Guadeloupe et 1 en Guyane. La Réunion en compte 3. En termes de taux d équipement, seule la Guyane approche la moyenne métropolitaine. Dans les autres DOM, ce ratio est très inférieur. C est à la Réunion que le taux d équipement est le plus faible : il est 5 fois inférieur à celui de la métropole. A la même date, aucun appareil d imagerie à résonance magnétique (IRM) n est installé. 11

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM

OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 INSTITUT D ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D OUTRE-MER Établissement public national 164, rue de Rivoli - 75001 PARIS Tél. 01 53 44 41 41 Rapport

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

LE CONTEXTE GÉOGRAPHIQUE ET ÉCONOMIQUE

LE CONTEXTE GÉOGRAPHIQUE ET ÉCONOMIQUE La santé observée en CONTEXTE NATIONAL LE CONTEXTE GÉOGRAPHIQUE ET ÉCONOMIQUE Au recensement de 1999, la France compte 60,2 millions d habitants répartis entre la métropole (58,5 millions d habitants)

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

Tableau des garanties Contrats collectifs

Tableau des garanties Contrats collectifs Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention

Plus en détail

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

4. L assurance maladie

4. L assurance maladie L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

Glossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...

Glossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ... Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

isit Assur pour les visiteurs étrangers en France en 2012 2021 international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS

isit Assur pour les visiteurs étrangers en France en 2012 2021 international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS isit Assur L assurance complète spéciale des impatriés Visa Schengen temporaires pour les visiteurs étrangers en France en 2012 2021 Suivez-nous sur Facebook et Twitter! www.facebook.com/aprilexpat

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

isit Assur pour les visiteurs étrangers en France en 2013 international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS

isit Assur pour les visiteurs étrangers en France en 2013 international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS isit Assur L assurance complète spéciale des impatriés Visa Schengen temporaires pour les visiteurs étrangers en France en 2013 Découvrez en vidéo pourquoi les visiteurs étrangers

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

Visit Assur. pour les visiteurs étrangers en France en 2014. international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS

Visit Assur. pour les visiteurs étrangers en France en 2014. international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Visit Assur L assurance complète spéciale des impatriés Visa Schengen temporaires pour les visiteurs étrangers en France en 2014 Découvrez en vidéo pourquoi les visiteurs étrangers

Plus en détail

LES ETUDES DE LA. MUTUALITE FRANÇAISE La prise en charge des dépenses de santé : les évolutions du poids des différents acteurs depuis 2000

LES ETUDES DE LA. MUTUALITE FRANÇAISE La prise en charge des dépenses de santé : les évolutions du poids des différents acteurs depuis 2000 LES ETUDES DE LA MUTUALITE FRANÇAISE La prise en charge des dépenses de santé : les évolutions du poids des différents acteurs depuis 2000 -Analyse réalisée à partir des comptes nationaux de la santé 2011-

Plus en détail

Atlas fiscal de la France : Édition 2010

Atlas fiscal de la France : Édition 2010 LES CAHIERS DE LA DGFiP Avril 2013 Focus fiscalité Atlas fiscal de la France : Édition 2010 L Atlas fiscal de la France est une nouvelle publication de la DGFiP destinée à proposer une approche du territoire

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE 2014 RELAIS EXP A T L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

VISIT ASSUR L ASSURANCE SPÉCIALE VISA SCHENGEN POUR LES VISITEURS ÉTRANGERS EN FRANCE 2015. Téléchargez notre application mobile gratuite APRIL Expat!

VISIT ASSUR L ASSURANCE SPÉCIALE VISA SCHENGEN POUR LES VISITEURS ÉTRANGERS EN FRANCE 2015. Téléchargez notre application mobile gratuite APRIL Expat! SÉJOURS DE moins DE 3 mois VISIT ASSUR L ASSURANCE SPÉCIALE VISA SCHENGEN POUR LES VISITEURS ÉTRANGERS EN FRANCE 2015 Téléchargez notre application mobile gratuite APRIL Expat! Suivez-nous sur Facebook

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

FRAIS DE GESTION des mutuelles

FRAIS DE GESTION des mutuelles FRAIS DE GESTION des mutuelles Juillet 2014 PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent

Plus en détail

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Rapport final Août 2013 Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé 62 boulevard Garibaldi 75015 Paris

Plus en détail

isit Assur L assurance spéciale Visa Schengen pour les visiteurs étrangers en France international [ LA MOBILITÉ] PARTICULIERS

isit Assur L assurance spéciale Visa Schengen pour les visiteurs étrangers en France international [ LA MOBILITÉ] PARTICULIERS [ LA MOBILITÉ] PARTICULIERS isit Assur L assurance spéciale Visa Schengen pour les visiteurs étrangers en France 2011 Suivez-nous sur Facebook et Twitter! www.facebook.com/aprilexpat www.twitter.com/aprilexpat

Plus en détail

Offre santé 2015 FGMM-CFDT

Offre santé 2015 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Visit Assur. pour les visiteurs étrangers en France en 2014. international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS

Visit Assur. pour les visiteurs étrangers en France en 2014. international [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Visit Assur L assurance complète spéciale des impatriés Visa Schengen temporaires pour les visiteurs étrangers en France en 2014 Découvrez en vidéo pourquoi les visiteurs étrangers

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de

Plus en détail

2.4. Les médicaments de la «liste en sus»

2.4. Les médicaments de la «liste en sus» 2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

VOUS SAVEZ OÙ VOUS ALLEZ

VOUS SAVEZ OÙ VOUS ALLEZ VOUS SAVEZ OÙ VOUS ALLEZ Soins Hospitalisation Rapatriement Accompagnement Garanties santé à l international - 2015 Unéo, la mutuelle santé des forces armées TERRE MER AIR GENDARMERIE Partout dans le monde,

Plus en détail

PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX

PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX Une garantie de paiement (entente préalable) peut être requise pour certaines prestations comme indiqué par un «1» ou un «2» dans le tableau ci-dessous.

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

Guide pratique. Aide à la Complémentaire Santé

Guide pratique. Aide à la Complémentaire Santé Guide pratique Aide à la Complémentaire Santé Les avantages de l Aide à la Complémentaire Santé Vous pouvez obtenir une aide au financement de votre mutuelle. Avec l Aide à la Complémentaire Santé (ACS),

Plus en détail

ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE

ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE ASSURANCE POUR TOUS PARTOUT DANS LE MONDE L assurance santé internationale à la carte. Tous les risques de santé. Quelque soit votre pays d origine ou de résidence. Couverture de soins partout dans le

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UFR DES SCIENCES MEDICALES FACULTE DE MEDECINE Hyacinthe BASTARAUD Campus Universitaire de Fouillole B.P. 145 97154 Pointe-à-Pitre Cedex Tél. : 0590 48 33 33 Fax

Plus en détail

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et

Plus en détail

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat Pages économiques et sociales des Antilles-Guyane N 36 - mai 2013 Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat En Guadeloupe, en 2010, un ménage sur trois est endetté

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE

COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE L assurance de trouver la meilleure des mutuelles santé! Notre équipe est à votre écoute au : 01 76 29 75 76 du lundi au vendredi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h contact@assurance-sante.com

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

Comment payer votre mutuelle moins cher. Guide pratique. Aide à la Complémentaire Santé

Comment payer votre mutuelle moins cher. Guide pratique. Aide à la Complémentaire Santé Comment payer votre mutuelle moins cher Guide pratique Aide à la Complémentaire Santé Les avantages de l Aide à la Complémentaire Santé Vous pouvez obtenir une aide au financement de votre mutuelle. Avec

Plus en détail

Conditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA

Conditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA Le Groupe Helsana comprend Helsana Assurances SA, Helsana Assurances complémentaires SA, Helsana Accidents SA, Avanex Assurances SA, Progrès Assurances SA, Sansan Assurances SA et Maxi.ch Assurances SA.

Plus en détail

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information CIRCULAIRE CIR-2/2012 Document consultable dans Médi@m Date : 03/01/2012 Domaine(s) : gestion des prestations en nature à Mesdames et Messieurs les Directeurs CPAM CARSAT UGECAM CGSS CTI Agents Comptables

Plus en détail

Les territoires de santé : des approches régionales variées de ce nouvel espace de planification

Les territoires de santé : des approches régionales variées de ce nouvel espace de planification Document de travail Working paper Les territoires de santé : des approches régionales variées de ce nouvel espace de planification Magali Coldefy (Irdes, Umr Géographie-Cités, Université Paris 1) Véronique

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

Les Notes de l Institut d émission

Les Notes de l Institut d émission Les Notes de l Institut d émission Janvier 2011 Le chômage empêche la convergence du revenu des ménages 164 rue de Rivoli 75001 Paris 01 53 44 41 41 - télécopie 01 44 87 99 62 Sommaire INTRODUCTION...

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

Prémi Santé. assurer l essentiel

Prémi Santé. assurer l essentiel M U T U E L L E G É N É R A L E D E L É C O N O M I E, D E S F I N A N C E S E T D E L I N D U S T R I E Prémi Santé assurer l essentiel 2015 Vos prestations* Prémi Santé vous rembourse les actes les plus

Plus en détail

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Plus en détail

Guide de prise en charge des frais de transport de patients

Guide de prise en charge des frais de transport de patients Juillet 2013 Guide de prise en charge des frais de transport de patients GUIDE DE PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE TRANSPORT DE PATIENTS L assurance maladie procède à la prise en charge des frais de transport

Plus en détail

des mutuelles FRAIS DE GESTION PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE

des mutuelles FRAIS DE GESTION PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE FRAIS DE GESTION des mutuelles PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Les Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent 3 milliards

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Choisissez le niveau de vos remboursements

Choisissez le niveau de vos remboursements Brochure Choisissez le niveau de vos remboursements Les taux et les forfaits indiqués dans le tableau ci-dessous incluent les remboursements de MIEL Mutuelle et ceux du Régime Obligatoire (RO). Les pourcentages

Plus en détail

GARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE

GARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants 5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin Une

Plus en détail

MUTUELLE GÉNÉRALE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE. Multi Santé. des prestations renforcées

MUTUELLE GÉNÉRALE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE. Multi Santé. des prestations renforcées MUTUELLE GÉNÉRALE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE 2015 Multi Santé des prestations renforcées Vos prestations* Multi Santé intègre une participation sur les dépassements d honoraires et offre

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

La solution santé et prévoyance modulable de Generali.

La solution santé et prévoyance modulable de Generali. La solution santé et prévoyance modulable de Generali. 2 Pour faire face aux aléas de la vie La Prévoyance Entreprise 6-20 de Generali est un contrat de prévoyance/santé qui vous permet d apporter à vos

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

Qui sont les enseignants?

Qui sont les enseignants? Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),

Plus en détail