PUBLICATIONS PÉRIODIQUES AMUNDI GROUP

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1 PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COMPTES ANNUELS) AMUNDI GROUP Société anonyme au capital de euros. Siège social : 90, boulevard Pasteur Paris RCS Paris. Comptes annuels approuvés par l Assemblée générale ordinaire du 12 mai A. Comptes individuels au 31 décembre I. Bilan. (En milliers d euros.) Actif 31/12/13 31/12/12 Opérations interbancaires et assimilées Caisse, banques centrales Effets publics et valeurs assimilées Créances sur les établissements de crédit Opérations avec la clientèle Opérations sur titres : Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable Valeurs immobilisées Participations et autres titres détenus à long terme Parts dans les entreprises liées Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles 9 9 Capital souscrit non versé Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers Autres actifs Comptes de régularisation Total actif Passif 31/12/13 31/12/12 Opérations interbancaires et assimilées Banques centrales Dettes envers les établissements de crédit Comptes créditeurs de la clientèle Dettes représentées par un titre Comptes de régularisation et passifs divers Autres passifs Comptes de régularisation

2 Provisions et dettes subordonnées Provisions Dettes subordonnées Fonds pour risques bancaires généraux (FRBG) Capitaux propres (hors FRBG) Capital souscrit Primes d émission Réserves Ecart de réévaluation Provisions réglementées et subventions d investissement Report à nouveau Résultat en attente d approbation / acompte sur dividendes Résultat de l exercice Total passif Engagements donnés : Hors bilan. 31/12/13 31/12/12 Engagements de financements Engagements de garantie Engagements sur titres Engagements reçus : Engagements de financement Engagements de garantie Engagements sur titres Amundi Group a donné un engagement de financement de milliers d euros à Amundi Finance. Par ailleurs, au 31 décembre 2013, le montant résiduel du Seed Money à acheter à Sgam Banque par Amundi Group s élève à milliers d euros conformément au traité d apport conclu entre Amundi Group et Sgam Banque. II. Compte de résultat. (En milliers d euros.) 31/12/13 31/12/12 Intérêts et produits assimilés Intérêts et charges assimilées Revenus des titres à revenu variable Commissions (produits) Commissions (charges) 1 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés Autres produits d exploitation bancaire Autres charges d exploitation bancaire Produit net bancaire Charges générales d exploitation Dotations aux amortissements et aux dépréciations sur immobilisations incorporelles et corporelles Résultat brut d exploitation Coût du risque

3 Résultat d exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt Résultat exceptionnel Impôt sur les bénéfices Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées 127 Résultat net III. Annexe aux comptes annuels. Note 1 Le cadre juridique et financier et faits caractéristiques de l exercice. 1.1 Cadre juridique et financier. La société AMUNDI GROUP est une société anonyme au capital de ,00 euros dont les statuts et le fonctionnement sont définis par les lois et règlements édictés par le code de commerce. Conformément à l article 44 de la loi du 16 juillet 1992 portant adaptation au marché unique européen de la législation applicable en matière d assurance et de crédit, AMUNDI Group a le statut d établissement de crédit classé parmi les sociétés financières. Ce texte modifie l article 18 de la loi bancaire du 24 janvier 1984 et abroge l article 99. Dans le cadre de la loi de modernisation des activités financières n du 2 juillet 1997, AMUNDI Group a opté pour le statut de société financière, c est-à-dire d établissement de crédit. Le comité des Etablissements de Crédit et des Entreprises d Investissement a redéfini l agrément d AMUNDI Group le 19 février AMUNDI Group est agréé en qualité de société financière à délivrer des garanties en capital et/ou de performance dans le domaine de la gestion d actifs, au profit de clients du groupe Crédit Agricole ou d OPCVM dont la gestion est assurée par celui-ci. Le capital social d AMUNDI Group, s élève à ,00 euros au 31 décembre 2013 Il est divisé en actions de 2,50 euros de valeur nominale chacune. La société est détenue à hauteur de : 73,62 % par Crédit Agricole SA, 21,98 % par Société Générale, 3,02 % par Etoile Gestion Holding, 1,38% par SACAM Développement, Le solde étant détenu par Le Président d Amundi Group et par les sociétés Sigma 39 et Evénements significatifs relatifs à l exercice Suite à la signature le 15 avril 2010 d une convention d intégration fiscale, Amundi Group est tête de groupe d intégration fiscal des sociétés suivantes : CPR Asset Management, Amundi Finance, Amundi Intermédiation, Société Générale Gestion, Amundi, Amundi Alternative Investment SAS, Amundi Immobilier, Amundi Private Equity Funds, Amundi Tenue de Comptes (2012), Valinter 16 (2012), Valinter 17 (2012), Etoile Gestion (2012,) Amundi India Holding (2012). Les sociétés Amundi Investments Solutions et Amundi Alternative Investments Holding, sont sortis du périmètre d intégration fiscale pour cause de fusion avec Amundi. 1.3 Evénements postérieurs à l exercice Aucun événement postérieur à la date de clôture de l exercice, pris en compte en comptabilité ou non, n est intervenu. Note 2 Principes et méthodes comptables. Les états financiers d AMUNDI Group sont établis dans le respect des principes comptables résultant de l application des normes édictées par le Comité de la Réglementation Bancaire. Conformément à l avis n du 23 juin 1998 relatif à la communication financière dans l annexe des entreprises relevant du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière émis par le Conseil National de la Comptabilité, le résultat de l activité bancaire a été détaillé. Charges et produits. Les opérations sont comptabilisées selon le principe de la séparation des exercices. Les produits et charges de commissions sont comptabilisés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent.

4 Opérations sur titres : Titres de placement : Cette catégorie concerne les titres acquis avec un objectif de détention supérieure à six mois, sans intention de les conserver jusqu à leur échéance. Ces titres sont enregistrés à leur prix d acquisition, frais exclus. Les sorties sont valorisées d après le mode premier entré premier sorti. Les moins-values éventuelles par rapport à la valeur probable de négociation, déterminée ligne à ligne, font l objet d une provision pour dépréciation. Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme : Les parts dans les entreprises liées sont les parts détenues dans des entreprises contrôlées de manière exclusive, incluses ou susceptibles d être incluses par intégration globale dans un même ensemble consolidable. Les titres de participation sont des titres (autres que des parts dans une entreprise liée) dont la possession durable est estimée utile à l activité de l établissement de crédit. Les autres titres détenus à long terme correspondent à des investissements réalisés dans l intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l entreprise émettrice, mais sans influencer la gestion de cette dernière, en raison du faible pourcentage des droits de vote détenus. L ensemble de ces titres est comptabilisé au coût historique. Les sorties sont valorisées d après le mode premier entré premier sorti. A la clôture de l exercice, ces titres font l objet individuellement de provisions pour dépréciation lorsque leur valeur d utilité est inférieure au coût historique. Immobilisations. Amundi Group applique le règlement CRC du 12 décembre 2002 relatif à l amortissement et à la dépréciation des actifs. Par conséquent, Amundi Group applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de ce règlement la base amortissable tient compte de l éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. En application du règlement CRC , le coût d acquisition des immobilisations comprend, outre le prix d achat, les frais accessoires, c est-à-dire les charges directement ou indirectement liées à l acquisition pour la mise en état d utilisation du bien ou pour son entrée «en magasin». Les immeubles et le matériel d équipement sont comptabilisés à leur coût d acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les immobilisations figurent au bilan à leur prix d acquisition. Elles sont amorties en fonction de leur durée estimée d utilisation, soit : Agencements et installations 5 ans linéaire Matériel informatique 3 ans dégressif Matériel de bureau 5 ans linéaire Mobilier de bureau 10 ans linéaire Les logiciels acquis figurant en immobilisations incorporelles sont amortis sur une durée de trois ans en linéaire. Ces logiciels font en plus l objet d un amortissement dérogatoire sur 12 mois. Les logiciels créés font quant à eux l objet d un amortissement dérogatoire sur l exercice. Les logiciels en cours de production sont immobilisés et font eux aussi l objet d un amortissement dérogatoire sur l exercice. Fonds pour risques bancaires généraux. Conformément aux dispositions prévues par la IVème directive européenne et le règlement CRBF du 23 février 1990 relatifs aux fonds propres, ces fonds sont constitués par Amundi Group à la discrétion de ses dirigeants, en vue de faire face à des charges ou à des risques dont la concrétisation est incertaine mais qui relèvent de l activité bancaire. Ils sont repris pour couvrir la concrétisation de ces risques en cours d exercice. Au 31 décembre 2012 le solde de ce compte est de ,00 euros. Provisions. Amundi Group applique le règlement du Comité de la Réglementation Comptable n sur les passifs concernant la comptabilisation et l évaluation des provisions entrant dans le champ d application de ce règlement. Ces provisions comprennent notamment les provisions relatives aux engagements par signature, aux engagements de retraite et de congés fin de carrière, aux litiges et aux risques divers. Acomptes versés sur dividendes. Les acomptes sur dividendes versés sont enregistrés conformément aux préconisations de CASA à l actif du bilan en poste «autres actifs». Avantages au personnel postérieurs à l emploi plans de retraite régimes à cotisations définies. Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés «employeurs». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n ont pas suffisamment d actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, Amundi Group n a pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l exercice écoulé. Le montant des cotisations au titre de ces régimes de retraite est enregistré en «frais de personnel». Engagements en matière de retraite, de pré-retraite et d indemnités de fin de carrière régimes à prestations définies. Amundi Group applique à compter du 1er janvier 2013 la recommandation de l Autorité des normes comptables du 7 novembre 2013 relative aux règles de comptabilisation et d évaluation des engagements de retraite et avantages similaires. A ce titre, Amundi Group provisionne ses engagements de retraite et avantages similaires relevant de la catégorie des régimes à prestations. Au 31 décembre 2013, les taux de sensibilité démontrent que : une variation de plus de 50 bp des taux d actualisation conduirait à une baisse de l engagement de 3.8 %. une variation de moins de 50 bp des taux d actualisation conduirait à une hausse de l engagement de 4.1 %. Engagements en matière de retraite. A l intérieur du Groupe AMUNDI Group, AMUNDI a formalisé un contrat d assurance «Indemnité Fin de Carrière» (IFC) avec PREDICA et des conventions de mandat entre AMUNDI et les filiales de l UES ont été signées. Cette externalisation des «IFC» se traduit par un transfert d une partie de la provision de passif qui existait dans les comptes vers le contrat PREDICA. Le solde non externalisé reste inscrit en provision de passif. Participation des salariés aux fruits de l expansion et intéressement. Certaines sociétés du groupe se sont constituées en «Unité Economique et Sociale» (AMUNDI Group, AMUNDI, AITS, AMUNDI FINANCE, AMUNDI TC, AMUNDI Immobilier, AMUNDI INTERMEDIATION, Amundi Investment Solutions, AMUNDI AI SAS, AMUNDI Private Equity Funds, Etoile Gestion à partir du 1 er janvier 2010, S2G au 30 juin 2010, et CPR AM au 01 janvier Des accords relatifs à la participation des salariés et à l intéressement ont été conclus dans ce cadre. La société SGG a adhéré aux accords Participation et Intéressement de cette UES le 30 juin La participation des salariés aux fruits de l expansion de cette «UES» est constatée dans le compte de résultat de l exercice au titre duquel le droit des salariés est né. Elle figure dans les frais de personnel.

5 Une charge estimée correspondant à l intéressement est constatée dans le compte de résultat au même titre que la participation. Elle figure également dans les frais de personnel. Les salariés mis à disposition par Crédit Agricole SA bénéficient des accords signés dans le cadre de l «UES» de cette entité. La charge à payer estimée de la participation et de l intéressement attribués dans ce cadre a été enregistrée dans les comptes. Impôt sur les sociétés. Du fait des mécanismes favorables du régime d intégration fiscale dont la neutralisation des opérations internes au groupe et l imputation des déficits des sociétés membres du groupe d intégration fiscale, Amundi Group enregistre la charge ou le produit d impôt correspondant à différence entre la somme algébrique des résultats des sociétés du groupe et du résultat d ensemble. Elle intègre les conséquences de la contribution sociale sur les bénéfices de 3,3 % ainsi que la majoration exceptionnelle d impôt sur les sociétés de 10,7 % due par les entreprises réalisant un chiffre d affaires supérieur à 250 millions d euros. Les crédits d impôt sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu ils sont effectivement utilisés en règlement de l impôt sur les sociétés dû au titre de l exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d impôt correspondante est maintenue dans la rubrique «Impôts sur le bénéfice» du compte de résultat. En raison de l objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d Impôts pour la Compétitivité et l Emploi (CICE), Amundi Group a fait le choix de comptabiliser le Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (article 244 quater C du Code général des impôts) en déduction des charges de personnel et non en diminution de l impôt. Régime de société mère. Depuis le 1 er janvier 2002, AMUNDI Group établit et publie ses propres comptes consolidés. AMUNDI Group fait également partie du groupe consolidé Crédit Agricole SA. Changements de méthode comptable et de présentation des comptes. La présentation des états financiers d AMUNDI Group est conforme aux dispositions du règlement du Comité de la Réglementation Bancaire (CRB), modifié par le règlement du Comité de la Réglementation Comptable (CRC), relatif à l établissement et à la publication des comptes individuels annuels des entreprises relevant du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière (CRBF) lui-même modifié notamment en 2010 par le règlement ANC N du 07 octobre 2010 relatif à la publication des comptes individuels des établissements de crédit. Note 3 Créances sur les établissements de crédit analyse par durée résiduelle. (En milliers d euros) Etablissements de crédit : Durée résiduelle Créances <3 mois >3 mois <1 an >1 an <5 ans >5 ans Total en principal Comptes et prêts : Créances rattachées Total 31/12/13 Total 31/12/12 A vue A terme Valeurs reçues en pension Titres reçus en pension livrée Prêts subordonnés Total Dépréciations Valeurs nettes bilan Les créances sur les établissements de crédit sont régies par le règlement CRC modifié du 12 décembre Elles sont ventilées selon leur durée initiale ou la nature des concours : créances à vue et créances à terme. Les intérêts courus sur les créances sont portés en compte de créances rattachées en contrepartie du compte de résultat. Le poste «Créances sur les établissements de crédit» comprend les soldes créditeurs des comptes bancaires ouverts à Crédit Agricole SA et des opérations de prêts sur le marché monétaire. Les sommes placées sur le marché monétaire sont pour l essentiel constituées de la centrale de trésorerie alimentée par les excédents de ses filiales. Les comptes bancaires font l objet d une convention de fusion. Note 4.1 Opérations avec la clientèle analyse par durée résiduelle. En milliers d euros Durée résiduelle Créances <3 mois >3 mois <1 an >1 an <5 ans >5 ans Total en principal Opérations avec la clientèle : Créances commerciales Créances rattachées Total 31/12/13 Total 31/12/12 Autres concours à la clientèle Valeurs reçue en pension livrée Comptes ordinaires débiteurs Dépréciations Valeurs nettes au bilan Note 4.2 Opérations avec la clientèle analyse par zone géographique. En milliers d euros 31/12/13 31/12/12 France (y compris DOM-TOM) Autres pays de L U.E. Autres pays d Europe Amérique du Nord

6 Amérique Centrale et Latine Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Non ventilés et organismes internationaux Total en principal Créances rattachées Dépréciations Valeurs nettes au bilan Note 4.3 Opérations avec la clientèle encours douteux et dépréciations par zone géographique. En milliers d euros Encours brut Dont encours douteux 31/12/13 31/12/12 Dont encours Dépréciations Dépréciations Dont encours douteux des encours des encours compromis douteux Encours brut Dont encours douteux douteux douteux compromis compromis France (y compris DOM-TOM) Autres pays de L U.E. Autres pays d Europe Amérique du Nord Amérique Centrale et Latine Afrique et Moyen-Orient Asie et Océanie (hors Japon) Japon Non ventilés et organismes internationaux Total Note 4.4 Opérations avec la clientèle analyse par agents économiques. Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis Particuliers Agriculteurs En milliers d euros Autres professionnels Encours brut Dont encours douteux 31/12/13 31/12/12 Dont encours Dépréciations Dépréciations Dont encours douteux des encours des encours compromis douteux Encours brut Dont encours douteux douteux douteux compromis compromis Société financières Entreprises Collectivités publiques Autres agents économiques Total Note 5 Titres de transaction, de placement, d investissement et titres de l activité de portefeuille. Dépréciations des encours douteux Dépréciations des encours douteux compromis En milliers d euros Effets publics et valeurs assimilées : Transaction Placement 31/12/13 31/12/12 Titres de l activité de portefeuille Investissement Total Total Dont surcote restant à amortir Dont décote restant à amortir Créances rattachées Dépréciations Valeur nette au bilan Obligations et autres titres à revenu fixe : Emis par organismes publics Autres émetteurs Dont surcote restant à amortir Dont décote restant à amortir

7 Créances rattachées Dépréciations Valeurs nettes au bilan Actions et autres titres à revenu variable Créances rattachées Dépréciations Valeurs nettes au bilan Total valeurs nettes Valeurs estimatives Note 5.1 Titres de transaction, de placement, d investissement et titres de l activité de portefeuille (hors effets publics) ventilation par grandes catégories de contrepartie. Administration et banques centrales (y compris Etats) Etablissements de crédit En milliers d euros Encours nets 31/12/13 Encours nets 31/12/12 Sociétés financières Collectivités locales Entreprises, assurances et autres clientèles Divers et non ventilés Total en principal Créances rattachées Dépréciations Valeurs nettes au bilan Note 5.2 Ventilation des titres cotés et non cotés à revenu fixe ou variable. (En milliers d euros) Obligations et autres titres à revenu fixe Effets publics et valeurs assimilées 31/12/13 31/12/12 Actions et autres Obligations et titres à revenu Total Effets publics et autres titres à variable revenu fixe valeurs assimilées Actions et autres titres à revenu variable Titres à revenu fixe ou variable Dont titres cotés Dont titres non cotés Créances rattachées Dépréciations Valeurs nettes au bilan La répartition des parts d OPCVM est la suivante : OPCVM français milliers d euros, OPCVM étrangers milliers d euros. La répartition de l ensemble des OPCVM par nature est la suivante au 31 décembre 2013 : En milliers d euros Valeur d inventaire Valeur liquidative OPCVM monétaires OPCVM autres Total Note 5.3 Informations par implantation. Implantations Zone Pays géographique Nature d activité PNB Effectifs Amundi I.T. Services France France 82.99Z ,0 Amundi Nederland (Amsterdam) Nederland Autres pays de l Union européenne 66.19B 35 4,0 Amundi SGR S.p.A Italie Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,0 Amundi Real Estate Italia SGR S.p.A Italie Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,0 Total

8 Amundi London Branch Angleterre Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,8 Amundi Group France France 64.99Z ,8 Amundi Investments USA LLC (ex Amundi AI LLC) USA Amérique du Nord 66.30Z ,0 Fund Channel Luxembourg Autres pays de l Union européenne 66.30Z Acajou France France 64.30Z Amundi France France 66.30Z ,4 Amundi Finance France France 64.19Z ,8 Amundi Tenue de Comptes (ex CREELIA) France France 64.19Z ,5 Amundi Intermédiation France France 66.19B ,0 Amundi Deutschland (Ex CAAM Deutschland) Allemagne Autres pays de l Union européenne 66.19B 11,0 Amundi Hong-Kong branch Hong Kong Asie et Océanie (hors Japon) 66.19B 40 Amundi Hong Kong Ltd Hong Kong Asie et Océanie (hors Japon) 66.30Z ,0 Amundi Immobilier France France 66.30Z ,9 Amundi Singapore Ltd Brunei Branch (Ex-CAAM Sin) Brunei Asie et Océanie (hors Japon) 66.19B 2 2,0 Amundi Malaysia Sdn Bhd Malaisie Asie et Océanie (hors Japon) 66.30Z ,0 Amundi Japan Securities Cy Ltd Japon Japon 66.19B ,0 Amundi Singapore Limited Singapour Asie et Océanie (hors Japon) 66.30Z ,0 Amundi Luxembourg SA Luxembourg Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,5 Amundi USA Inc (ex EPEM Inc) USA Amérique du Nord 64.20Z 177 Amundi (UK) Ltd Angleterre Autres pays de l Union européenne 66.30Z 868 5,0 Amundi AI SAS France France 66.30Z ,5 NH-CA Asset Management Co Ltd Corée Asie et Océanie (hors Japon) 66.30Z Amundi Private Equity Funds France France 66.30Z ,6 Amundi Iberia SGIIC SA Espagne Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,0 Amundi Al London Branch Angleterre Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,0 CLAM Philadelphia France France 64.20Z 33 Amundi Hellas MFMC S.A. Grece Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,0 Etoile Gestion France France 66.30Z ,6 Société Générale Gestion (S2G) France France 66.30Z ,4 IKS KB Republique Tcheque Autres pays de l Union européenne 66.30Z ,8 Amundi Japan Holding Japon Japon 66.30Z 551 Amundi Japan Japon Japon 66.30Z ,9 State Bank of India Fund Management Asie et Océanie Inde (hors Japon) 66.30Z Amundi India Holding France France 64.20Z ABC-CA Chine Asie et Océanie (hors Japon) 66.30Z Amundi Suisse Suisse Autres pays de l Europe 66.30Z ,0 WAFA Gestion Maroc Afrique et Moyen Orient 66.30Z Amundi Polska TFI SA Pologne Autres pays de l Union européenne 66.30Z 42 16,0 Amundi Smith Breeden USA Amérique du Nord 66.30Z ,5 Amundi Finance Emissions France France 64.99Z 95 BFT Gestion France France 66.30Z ,1 CPR AM (ex CPR Production) France France 66.30Z ,1 Total ,2

9 Codes activité APE Nature de l activité 64.19Z Autres intermédiations monétaires 64.20Z Activités des sociétés holding 64.30Z Fonds de placement et entités financières similaires 64.99Z Autres activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite, n.c.a B Autres activités auxiliaires de services financiers, hors assurance et caisses de retraite, n.c.a Z Gestion de fonds Note 6 Tableau des titres de participation et de filiales. Filiales et participations Participations dont la valeur d inventaire excède 1 % du capital de l entité : Parts dans les entreprises liées détenues dans des établissements de crédit Devise Capital Capitaux propres autres que le capital Quote-part de capital détenue (en %) Informations financières (En milliers d euros) Valeurs comptables des titres détenus Brutes Nettes Prêts et avance consentis par la société et non encore remboursés Montant des cautions et avants donnés par la société PNB ou chiffre d affaires hors taxes (à préciser) du dernier exercice écoule Résultat (bénéfice ou perte du dernier exercice clos) (1) Dividendes encaissés par la société au cours de l exercice Amundi Finance EUR ,87 % Amundi Tenue de Comptes EUR ,00 % Participations dans des établissements 8 8 de crédit CLC Corse EUR NC NC 30,14 % 8 8 Autres parts dans les entreprises liées Amundi EUR ,00 % CPR Asset Management EUR ,00 % Amundi Immobilier EUR ,00 % Etoile Gestion EUR ,00 % Société Générale EUR ,00 % Gestion Amundi Private Equity Funds EUR ,00 % BFT Gestion EUR ,90 % Valinter 19 EUR ,00 % Valinter 16 EUR ,00 % Amundi ITS EUR ,50 % Autres titres de participations LESICA SAS EUR 500 NC Participations dont la valeur d inventaire est inférieure à 1 % du capital de l entité : Parts dans les entreprises liées dans les établissements de crédit Participations dans des établissements JPY de crédit Autres parts dans les entreprises liées EUR Autres titres de participations Total parts dans les entreprises liées et participations (1) L information «résultat du dernier exercice» concerne le résultat de l exercice en cours. (2) Compte tenu de la nature de la transaction (titres apportés par la Société Générale dans le cadre du rapprochement au ) et de l existence d un put et d un call croisé entre SG et CA S.A. Note 6.1 Valeur estimative des titres de participation. (En milliers d euros) Parts dans les entreprises liées : 31/12/13 31/12/12 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative

10 Titres non cotés Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Valeur nette au bilan Titres de participation et autres titres détenus à long terme : Titres de participation : Titres non cotés Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total titres de participation Autres titres détenus à long terme : Titres non cotés Titres cotés Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Sous-total autres titres détenus à long terme Valeur nette au bilan Total des titres de participation (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Valeur au bilan Valeur estimative Valeur au bilan Valeur estimative Total valeurs brutes Titres non cotés Titres cotés Total Note 7 Variation de l actif immobilisé. Immobilisations financières (En milliers d euros) Parts dans les entreprises liées : 01/01/2013 Augmentations (Acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/13 Valeurs brutes Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Valeur nette au bilan Titres de participation : Valeurs brutes Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Autres titres détenus à long terme : Valeurs brutes

11 Avances consolidables Créances rattachées Dépréciations Valeur nette au bilan Total immobilisations financières Immobilisations corporelles et incorporelles (En milliers d euros) Immobilisations corporelles : 01/01/2013 Augmentations (Acquisitions) Diminutions (cessions, échéance) Autres mouvements 31/12/13 Valeurs brutes 9 9 Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan 9 9 Immobilisations incorporelles : Valeurs brutes Amortissements et dépréciations Valeur nette au bilan Total 9 9 Note 8 Comptes de régularisation et actifs divers. Autres actifs (1) : Instruments conditionnels achetés Comptes de stock et emplois divers (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Débiteurs divers Gestion collective des titres livret de développement durable Comptes de règlement Valeur nette au bilan Comptes de régularisation : Comptes d encaissement et de transfert Comptes d ajustement et comptes d écart Pertes latentes et pertes à étaler sur instruments financiers Charges constatées d avance Produits à recevoir sur engagements sur instruments financiers à terme Autres produits à recevoir Charges à répartir Primes d émission et de remboursement sur emprunts obligataires Autres comptes de régularisation Valeur nette au bilan Total (1) Les montants incluent les créances rattachées. Les autres actifs sont principalement composés des acomptes liés à l intégration fiscale pour milliers d euros, des opérations de cash polling pour milliers d euros. Le poste «Autres produits à recevoir» comprend principalement la garantie accordée par le Crédit Agricole SA pour 64 milliers d euros (Fonds Chorial). Note 9 Dépréciations inscrites en déduction de l actif. (En milliers d euros) Solde au 01/01/2013 Dotations Reprises et utilisations Désactualisation Autres mouvements Solde au 31/12/13

12 Dépréciations déduites de l actif Sur opérations interbancaires et assimilées Sur créances clientèle Sur opérations sur titres Sur autres actifs Total Note 10 Dettes envers les établissements de crédit analyse par durée résiduelle. Dettes Etablissements de crédit Comptes et emprunts : 3 mois > 3 mois 1 an > 1 an 5 ans > 5 ans Total en principal Dettes rattachées Total 31/12/13 Total 31/12/12 A vue A terme Valeurs données en pension Titres donnés en pension livrée Valeur au bilan Les dettes envers les établissements de crédit sont présentées dans les états financiers selon leur durée initiale ou la nature de ces dettes : dettes à vue ou dettes à terme. Les intérêts courus sur les dettes sont enregistrés en compte de dettes rattachées en contrepartie du compte de résultat. Note 13 Comptes de régularisation et passifs divers. Autres passifs (1) : Opérations de contrepartie (titres de transactions) Dettes représentatives de titres empruntés Instruments conditionnels vendus Comptes de règlement et de négociation (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Créditeurs divers Versements restant à effectuer sur titres Valeur au bilan Comptes de régularisation : Comptes d encaissement et de transfert Comptes d ajustement et comptes d écart Gains latents et gains à étaler sur instruments financier Produits constatés d avance Charges à payer sur engagements sur instruments financiers à terme Autres charges à payer Autres comptes de régularisation Valeur au bilan Total (1) Les montants incluent les dettes rattachées. Les AUTRES PASSIFS sont principalement composés des dettes liées à l intégration fiscale pour milliers d euros, des opérations de cash pooling pour milliers d euros, le reste étant composé des dettes sociales et fiscales. Note 14 Provisions.

13 En milliers d euros Solde au 01/01/2013 Dotations Reprises utilisées Reprises non utilisées Autres mouvements Solde au 31/12/13 Provisions pour engagements de retraite et assimilés Provisions pour autres engagements sociaux Provisions pour risques d exécution des engagements par signature Provisions pour litiges fiscaux Provisions pour autres litiges Provision pour risques pays Provisions pour risques de crédit Provisions pour restructurations Provisions pour impôts Provisions sur participations Provisions pour risques opérationnels Autres provisions Valeur au bilan Note 17 - Fonds pour risques bancaires généraux. (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Fonds pour risques bancaires généraux Valeurs au bilan Ce fonds est constitué conformément au règlement n du Comité de Réglementation Bancaire. Son montant demeure inchangé en 2013 à milliers d euros. Note 19 Variation des capitaux propres (avant répartition). (En milliers d euros) Capital Primes, réserves et report à nouveau Capitaux propres Ecarts conversion / réévaluation Provisions réglementées & subventions d investissement Résultat Total des capitaux propres Solde au 31/12/ Dividendes ou intérêts aux parts sociales versés au titre de Variation de capital Variation des primes et réserves Affectation du résultat social 2011 Report à nouveau débiteur Résultat de l exercice Autres variations Solde au 31/12/ Note 20 Composition des fonds propres. (En milliers d'euros) 31/12/13 31/12/12 Capitaux propres Fonds pour risques bancaires généraux Dettes subordonnées et titres participatifs

14 Dépôts de garantie à caractère mutuel Total des fonds propres Note 21 Opérations effectuées avec les entreprises liées et les participations. (En milliers d euros) Opérations avec les entreprises liées et les participations Solde au 31/12/13 Solde au 31/12/12 Opérations avec autres Opérations avec les contreparties entreprises liées et les participations Opérations avec autres contreparties Créances Sur les établissements institutions financières de crédit et Sur la clientèle Obligations et autres titres à revenu fixe Dettes Sur les établissements institutions financières de crédits et Sur la clientèle Dettes représentées par un titre et dettes subordonnées Engagements donnés Engagements de financement en faveur d établissements de crédit Engagements de financement en faveur de la clientèle Garanties données à des établissements de crédit Garanties données à la clientèle Titres acquis avec faculté d achat ou de reprise Autres engagements donnés Note 22 Opérations effectuées en devises. (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Actif Passif Actif Passif Euro Autres devises de l Union Européenne Franc Suisse Dollar Yen Autres devises Total Note 23 Opérations de change, emprunts et prêts en devises. Opérations de change (En milliers d euros) Opérations de change au comptant Devises Euros Opérations de change à terme Devises Euros 31/12/13 31/12/12 A recevoir A livrer A recevoir A livrer

15 Prêts et emprunts en devises Total Note 30 Produits nets d intérêts et revenus assimilés. Produits nets d intérêts (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Intérêts et produits assimilés Sur opérations avec les établissements de crédit Sur opérations avec la clientèle Sur obligations et autres titres à revenu fixe Produit net sur opérations de macro-couverture Autres intérêts et produits assimilés Intérêts et charges assimilées Sur opérations avec les établissements de crédit Sur opérations avec la clientèle Charge nette sur opérations de macro-couverture Sur obligations et autres titres à revenu fixe Autres intérêts et charges assimilées Total produits nets d intérêt et revenus assimilés Note 31 Revenus des titres. (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Titres de placement Livret développement durable Titres d investissement Opérations diverses sur titres Revenus des titres à revenus fixes Parts dans les entreprises liées, titres de participation et autres titres détenus à long terme Titres de placement et titres de l activité de portefeuille Opérations diverses sur titres Revenus des titres à revenus variables Total des revenus sur titres Note 32 Produit net des commissions. (En milliers d euros) Sur opérations avec les établissements de crédit Sur opérations avec la clientèle 31/12/13 31/12/12 Produits Charges Net Produits Charges Net Sur opérations sur titres 1 1 Sur opérations de change Sur opérations sur instruments financiers à terme et autres opérations de hors-bilan Sur prestations de services financiers Provision pour risques sur commissions Total produit net des commissions

16 Note 34 Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placement et assimilés. (En milliers d euros.) 31/12/13 31/12/12 Titres de placement : Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotation ou reprise nette aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de placement Titres de l activité de portefeuille : Dotations aux dépréciations Reprises de dépréciations Dotation ou reprise nette aux dépréciations Plus-values de cession réalisées Moins-values de cession réalisées Solde des plus et moins-values de cession réalisées Solde des opérations sur titres de l activité de portefeuille Total gains ou pertes sur opération des portefeuilles de placement et assimilés Note 35 Autres produits et charges d exploitation bancaire. (En milliers d euros) 31/12/13 31/12/12 Autres produits d exploitation bancaire : Produits divers 3 Quote part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges Reprises provisions Opérations de crédit bail et assimilés Total des autres produits d exploitation bancaire Autres charges d exploitation bancaire : Charges diverses Quote part des opérations faites en commun Refacturation et transfert de charges Dotations provisions Opérations de crédit bail et assimilés Total des autres charges d exploitation bancaire Note 36 Charges générales d exploitation. (En milliers d euros.) Charges générales d exploitation 31/12/13 31/12/12 Frais de personnel : Salaires et traitements Charges sociales Intéressement et participation Impôts et taxes sur rémunérations

17 Total des charges de personnel Refacturation et transferts de charges de personnel Frais de personnel nets Frais administratifs : Impôts et taxes Services extérieurs Autres frais administratifs Total des charges administratives Refacturation et transferts de charges administratives Frais administratifs nets Total des charges générales d exploitation Note 36.1 Effectif moyen. Catégorie de personnel 31/12/13 31/12/12 Cadres 14,8 15,8 Non cadres 1 Total Dont : France Etranger Dont personnel mis a disposition Note 40 Impôt sur les bénéfices. Amundi Group est la société tête de groupe du régime d intégration fiscale formé depuis l exercice clos le 31 décembre Le bénéfice fiscal du groupe pour l exercice clos le 31 décembre 2013 est de Aucun déficit reportable n a été constaté au niveau du groupe pour l exercice clos le 31 décembre Le profit d intégration fiscale est réalisé par la société tête de groupe du fait de l imputation des résultats fiscaux des sociétés déficitaires sur le bénéfice d ensemble. La somme des impôts sur les bénéfices générée par les sociétés du périmètre et constatée en produit chez la société mère est de La dette d impôt dû au Trésor public pour l exercice clos le 31 décembre 2013 par la société tête de groupe s élève à L impôt qui aurait été supporté par les sociétés intégrées en l absence du régime d intégration fiscale s élève à L impôt réellement supporté par la société intégrante (tête de groupe) s est élevé à Conventionnellement, les filiales supportent la charge d impôt sur les bénéfices qu elles auraient subi en l absence du régime d intégration fiscale. Note 45 Implantation dans des états ou territoires n ayant pas conclu avec la France de convention d assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l évasion fiscales permettant l accès aux renseignements bancaires. Dénomination sociale Forme juridique Nature de l agrément (si concerné) Quote-part du capital en % % des droits de vote Pays d implantation Nature de l activité CAAM Distribution Agencia de valores Bureau de SA représentation NC NC NC Chili NC CAAM Singapore Limited Brunei Branch Succursale NC NC NC Brunei NC Note 46 Publicité des honoraires de commissaires aux comptes. La société est consolidée selon la méthode de l intégration globale chez Amundi Group. En conséquence, l information relative aux honoraires des commissaires aux comptes est indiquée dans l annexe des comptes consolidés du Groupe Amundi Group. Rémunérations Versées. La rémunération des dirigeants est connue des actionnaires. IV. Affectation du résultat. L Assemblée Générale Ordinaire, sur proposition du Conseil d Administration, constatant que le résultat social de l exercice est de ,86 euros, et le résultat distribuable de ,12 euros décide : de distribuer un dividende de 1,35 euros par action, soit au total euros. La somme ainsi répartie entre les actionnaire est intégralement éligible à la réfaction de 40 % prévue à l article du CGL. Ce montant correspondant à 50 % du résultat net consolidé.

18 d affecter le solde du résultat de l exercice, soit ,86 euros en report à nouveau. Il est rappelé que les dividendes mis en paiement au titre des trois derniers exercices ont été les suivants : Exercice Dividendes Revenu distribué éligible Revenu distribué non à la réfaction éligible à la réfaction ,09 1, ,39 1, ,60 1,60 0 La résolution est adoptée à l'unanimité. V. Extrait du rapport des commissaires aux comptes sur les comptes individuels. En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l exercice clos le 31 décembre 2013 sur : le contrôle des comptes annuels de la société Amundi Group, tels qu ils sont joints au présent rapport ; la justification de nos appréciations ; les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi. Les comptes annuels ont été arrêtés par le conseil d administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d exprimer une opinion sur ces comptes. I. Opinion sur les comptes annuels. Nous avons effectué notre audit selon les normes d exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d obtenir l assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice. II. Justification de nos appréciations. En application des dispositions de l article L du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, nous portons à votre connaissance les éléments suivants : Dans le cadre habituel de l arrêté des comptes, votre société procède à des estimations comptables significatives portant notamment sur la valorisation des titres non cotés. Nous avons revu les hypothèses retenues et vérifié que ces estimations comptables s appuyaient sur des méthodes documentées conformes aux principes décrits dans la note «Principes et méthodes comptables» de l annexe. Les appréciations ainsi portées s inscrivent dans le cadre de notre démarche d audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport. III. Vérifications et informations spécifiques. Nous avons également procédé, conformément aux normes d exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi. Nous n avons pas d observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du conseil d administration et dans les documents adressés aux actionnaires sur la situation financière et les comptes annuels. En application de la loi, nous nous sommes assurés que les diverses informations relatives aux prises de participation et de contrôle vous ont été communiquées dans le rapport de gestion. Concernant les informations fournies en application des dispositions de l article L du Code de commerce sur les rémunérations et avantages versés aux mandataires sociaux ainsi que sur les engagements consentis en leur faveur, nous avons vérifié leur concordance avec les comptes ou avec les données ayant servi à l établissement de ces comptes et, le cas échéant, avec les éléments recueillis par votre société auprès des sociétés contrôlant votre société ou contrôlées par elle. Sur la base de ces travaux, nous attestons l exactitude et la sincérité de ces informations. Fait à Neuilly-sur-Seine et Paris La Défense, le 25 avril Les commissaires aux comptes : PricewaterhouseCoopers Audit, ERNST & YOUNG et Autres ; Emmanuel Benoist, Catherine Pariset, Olivier Drion. B. Comptes consolidés au 31 décembre 2013 arrêtés par le Conseil d'administration en date du 14 février 2014 et soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire du 12 mai Les comptes consolidés sont constitués du cadre général, des états financiers consolidés et des notes annexes aux états financiers. Cadre général. Conformément à l accord conclu le 9 juillet 2009 entre Crédit Agricole S.A. dont le siège social est situé 12, place des Etats-Unis, Montrouge et Société Générale dont le siège social est situé 29, boulevard Haussmann, Paris, le regroupement de leurs activités de gestion d actifs a été réalisé le 31 décembre A cette même date CAAM Group, société mère du groupe, change de nom pour celui d AMUNDI Group. Cadre Juridique. Le groupe «AMUNDI Group» est un ensemble de sociétés ayant pour activité principale la gestion d actifs pour le compte de tiers.

19 AMUNDI Group, entité consolidante, est une Société Anonyme (numéro d immatriculation RCS Paris - France) au capital de euros composé de titres d un nominal de 2,50 euros. Son siège social est situé au 90 Boulevard Pasteur Paris. Dans le cadre de la loi de modernisation des activités financières n du 2 juillet 1997, AMUNDI Group a opté pour le statut de société financière classée parmi les établissements de crédit. Le Comité des Etablissements de Crédit et des Entreprises d Investissement a redéfini son agrément le 19 février Les sociétés du groupe exerçant une activité de gestion ont obtenu des autorités de surveillance dont elles dépendent, soit en France, soit à l étranger, les agréments nécessaires à celle-ci. La société AMUNDI Group est détenue par Crédit Agricole SA société mère cotée à hauteur de 73,62 %, par SACAM Développement (Groupe Crédit Agricole) à hauteur de 1,38 % et par le Groupe Société Générale à hauteur de 25 %. AMUNDI Group est consolidée par intégration globale dans les comptes de Crédit Agricole SA et du groupe Crédit Agricole et par mise en équivalence dans les comptes du groupe Société Générale. I Etats financiers consolidés Compte de résultat. En milliers d euros Notes 12/ /2012 Intérêts et produits assimilés (a) Intérêts et charges assimilées (b) Commissions (produits) Commissions (charges)

20 Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat (c) Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente (d) Produits des autres activités Charges des autres activités Produits nets de commissions Produits nets financiers (a + b + c + d) Autres produits nets Produit net bancaire Charges générales d exploitation Dotation aux amortissements et aux dépréciations immobilisations incorporelles et corporelles des Résultat brut d exploitation Coût du risque Résultat d exploitation Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence Gains ou pertes sur autres actifs Variations de valeur des écarts d acquisition Résultat avant impôt Impôts sur les bénéfices Résultat net de l exercice Participations ne donnant pas le contrôle Résultat net - part du groupe Résultat par action en euros 2,70 2, Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. En milliers d euros 12/ /2012 Résultat net Gains et pertes actuariels sur avantages post emploi Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables, hors entités mises en équivalence Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres non recyclables des entités mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables ultérieurement en résultat Gains et pertes sur écarts de conversion Gains et pertes sur actifs disponibles à la vente Gains et pertes sur instruments dérivés de couverture 23 Gains et pertes sur actifs non courants destinés à être cédés Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence Gains et pertes avant impôt comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables, hors entités mises en équivalence Impôts sur les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres recyclables des entités mises en équivalence Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres recyclables ultérieurement en résultat Gains et pertes nets comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net et autres éléments du résultat global Dont part du groupe

21 Dont participations ne donnant pas le contrôle Bilan actif. En milliers d euros Notes 12/ /2012 Caisse et banques centrales Actifs financiers à la juste valeur par résultat Actifs financiers disponibles à la vente Prêts et créances sur les établissements de crédit Prêts et créances sur la clientèle Actifs d impôts courants et différés 6-8-a Comptes de régularisation et actifs divers 6-9-a Participations dans les entreprises mises en équivalence Immobilisations corporelles 6-11-a Immobilisations incorporelles 6-11-b Ecarts d acquisition Total actif Bilan passif. En milliers d euros Notes 12/ /2012 Passifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Dettes envers les établissements de crédit Dettes envers la clientèle Passifs d impôts courants et différés 6-8-b Comptes de régularisations et passifs divers 6-9-b Provisions Total dettes Capitaux propres part du groupe Capital et réserves liées Réserves consolidées Gains ou pertes latents ou différés Résultat Participations ne donnant pas le contrôle Total capitaux propres Total passif Tableau de variation des capitaux propres. En milliers d euros Capitaux propres au 1er janvier 2012 Augmentation de capital Capital Capital et réserves liées Primes et réserves consolidées liées au capital Total capital et réserves consolidées Part du groupe Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net En capitaux En capitaux propres non propres recyclables recyclables Capitaux propres part du groupe Participations ne donnant pas le contrôle Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Capital réserves consolidées et résultat En capitaux propres recyclables En capitaux propres non recyclables Participations ne donnant pas le contrôle Capitaux propres consolidés Dividendes versés en Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle Mouvements liés aux stock options

22 Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Quote-part dans les variations de capitaux propres des entreprises mises en équivalence Résultat au 31 décembre Autres variations Capitaux propres au 31 décembre Affectation du résultat Capitaux propres au 1er janvier Augmentation de capital Dividendes versés en Effet des acquisitions / cessions sur les participations ne donnant pas le contrôle Mouvements liés aux stock options Mouvements liés aux opérations avec les actionnaires Variation des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Quote-part dans les variations de capitaux propres des entreprises mises en équivalence Résultat au 31 décembre Autres variations Capitaux propres au 31 décembre Tableau de Flux de Trésorerie. Le tableau de flux de trésorerie, défini par la norme IAS 7, est présenté selon le modèle de la méthode indirecte. Les activités opérationnelles sont représentatives des activités génératrices de produits. Les flux d impôts sont présentés en totalité avec les activités opérationnelles. Les activités d investissement représentent les flux de trésorerie pour l acquisition et la cession de participations dans les entreprises consolidées et non consolidées, et des immobilisations corporelles et incorporelles. Les titres de participation stratégiques inscrits dans le portefeuille «actifs financiers disponibles à la vente» sont compris dans cette rubrique. Les activités de financement résultent des changements liés aux opérations de structure financière concernant les capitaux propres et les emprunts à long terme. La notion de trésorerie nette comprend la caisse, les créances et dettes auprès des banques centrales, les comptes ordinaires de banque (actif et passif) et prêts à vue auprès des établissements de crédit ainsi que les comptes et prêts au jour le jour. La note 7 en annexe explique ces principaux flux. 12/ /2012 Résultat avant impôt Dotations nettes aux amortissements et provisions des immobilisations corporelles et incorporelles Dépréciation des écarts d acquisition Dotations nettes aux dépréciations (1) Quote-parts de résultat liées aux sociétés mises en équivalence Perte nette/gain net des activités d investissement Produits/charges des activités de financement 0 0 Autres mouvements Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit Flux liés aux opérations avec la clientèle Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers Flux liés aux opérations affectant des actifs ou passifs non financiers Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence Impôts versés

23 Diminution/(augmentation) nette des actifs et passifs provenant des activités opérationnelles Total flux nets de trésorerie générés par l activité opérationnelle (A) Flux liés aux participations Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles Total flux net de trésorerie lié aux opérations d investissement (B) Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires Autres flux nets de trésorerie provenant des activités de financement 0 0 Total flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C) Effet de la variation des taux de change et autres flux de variation sur la trésorerie et équivalent de trésorerie (D) Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie (A+B+C+D) Trésorerie et équivalents de trésorerie à l ouverture Solde net des comptes de caisse et banques centrales Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture Solde net des comptes de caisse et banques centrales Solde net des comptes, prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Variation de la trésorerie nette et des équivalents de trésorerie La variation positive de la trésorerie de milliers d euros s explique principalement par les opérations générant les flux suivants : Flux nets liés aux opérations de financement. Le flux négatif de trésorerie de milliers d euros se rapporte au paiement du dividende aux actionnaires hors groupe au titre du résultat de l exercice Flux nets liés aux opérations d investissement. Le flux négatif de trésorerie de milliers d euros relatif aux opérations d investissement se rapporte en particulier aux opérations suivantes : Un flux négatif de milliers d euros découlant de l acquisition de titres de participations tels qu Amundi Smith Breeden, Amundi Global Servicing et Amundi Thailand (net des trésoreries acquises lors des entrées de périmètre). Un flux négatif d investissement net dans les immobilisations corporelles et incorporelles pour un total de milliers d euros dont milliers d euros de versement de commissions «up front». Les autres investissements portent de l exercice portent sur des agencements, du matériel informatique et des logiciels. Ces opérations d investissement et de financement génèrent un besoin de trésorerie net de milliers d euros. Flux nets liés à l activité opérationnelle. En 2013, l activité opérationnelle génère un flux positif de trésorerie de milliers d euros parmi lesquels les flux générés par le résultat avant impôt représentent milliers d euros (l exercice 2012 faisait apparaître un flux positif de milliers d euros). Parmi les autres flux de l activité opérationnelle, celui relatif aux opérations avec les établissements de crédit est négatif à hauteur de milliers d euros. Les flux relatifs aux opérations avec la clientèle génèrent un flux positif de milliers d euros traduisant pour l essentiel, le remboursement des prêts consentis par Amundi Group à la clientèle pour milliers d euros. Les flux relatifs aux actifs et passifs financiers sont positifs à hauteur milliers d euros traduisant les cessions nettes de titres de portefeuille. Les flux relatifs aux actifs et passifs non financiers sont positifs à hauteur de milliers d euros reflétant en particulier la variation nette du collatéral versé et reçu sur l activité de swaps d Amundi Finance. Le flux de trésorerie négatif relatif à l impôt sur les sociétés s établit à milliers d euros. Notes annexes aux états financiers consolidés. 2 Principes et méthodes et périmètre de consolidation Principes et Méthodes applicables dans le Groupe, jugements et estimations utilisés Normes applicables et comparabilité. En application du règlement CE n 1606/2002, les comptes annuels ont été établis conformément aux normes IAS/IFRS et aux interprétations IFRIC applicables au 31 décembre 2013 et telles qu adoptées par l Union européenne (version dite «carve out»), en utilisant donc certaines dérogations dans l application de la norme IAS 39 pour la comptabilité de macro-couverture. Le groupe AMUNDI Group applique ce référentiel. Ce référentiel est disponible sur le site de la Commission européenne, à l adresse suivante : Les normes et interprétations sont identiques à celles utilisées et décrites dans les états financiers du Groupe Crédit Agricole au 31 décembre 2012.

24 Elles ont été complétées par les dispositions des normes IFRS telles qu adoptées par l Union européenne au 31 décembre 2013 et dont l application est obligatoire pour la première fois sur l exercice Celles-ci sont détaillées dans le tableau ci-après : Normes, amendements ou interprétations Amendement de la norme IAS 1, relatif à la présentation des autres éléments du résultat global, nouvelle décomposition des autres capitaux Amendement de la norme IAS 19 relatif aux engagements de retraite (régimes à prestations définies) Amendement de la norme IFRS 1, sur l hyperinflation grave, nouveau guide d application pour les 1ers adoptants qui ont (ou avaient) une monnaie fonctionnelle touchée par une hyperinflation grave Date de publication par l Union européenne Date de 1ère application : exercices ouverts à compter du 05 juin 2012 (UE n 475/2012) 1er janvier juin 2012 (UE n 475/2012) 1er janvier décembre 2012 (UE n 1255/12) 1er janvier 2013 Norme IFRS 13 relative à l évaluation de la juste valeur 11 décembre 2012 (UE n 1255/12) 1er janvier 2013 Amendement d IFRS 7 sur les informations à fournir au titre des compensations d actifs financiers et des passifs financiers 13 décembre 2012 (UE n 1256/12) 1er janvier 2013 Amendement de la norme IAS 12, par rapport au recouvrement des actifs sous-jacents 11 décembre 2012 (UE n 1255/12) 1er janvier 2013 Amendements portant sur les améliorations annuelles des IFRS, cycle modifiant les normes suivantes : IFRS 1, IAS 1, IAS 16, IAS 32, IAS 34, IFRIC 2 27 mars 2013 (UE n 301/2013) 1er janvier 2013 L application de ces nouvelles dispositions n a pas eu d impact sur le résultat et la situation nette de la période. En effet : L amendement de la norme IAS 1 prévoit, au sein des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux, la distinction recyclable/non recyclable. L amendement de la norme IAS 19 prévoit principalement l obligation d enregistrer les écarts actuariels, relatifs aux régimes à prestations définies, en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. Cette méthode était déjà appliquée par Amundi Group. L amendement d IFRS 7 qui vise à réconcilier les règles de compensation IFRS telles que définies dans IAS 32, avec les règles de compensation américaines selon le référentiel US Gaap, prévoit que soient mentionnés les effets des accords de compensation sur les actifs et les passifs financiers. La traduction de cet amendement est l intégration d une note complémentaire (note 6.4 «Informations sur la compensation des actifs et des passifs financiers») au niveau des notes annexes des états financiers au 31 décembre Par ailleurs, Amundi Group n a pas opté pour l application anticipée des normes et interprétations adoptées par l Union Européenne dont la 1ère application obligatoire porte sur les exercices ouverts postérieurement au 31 décembre 2013 et Amundi Group n anticipe pas d impact significatif lié à leur application. Ceci concerne en particulier : Normes, amendements ou interprétations Date de publication par l Union Date de 1ère application obligatoire : européenne exercices ouverts à compter du Norme IFRS 10 sur les états financiers consolidés 11 décembre 2012 (UE n 1254/12) 1er janvier 2014 Norme IFRS 11 sur les partenariats 11 décembre 2012 (UE n 1254/12) 1er janvier 2014 Norme IFRS 12 sur les informations à fournir sur les intérêts détenus dans d autres entités 11 décembre 2012 (UE n 1254/12) 1er janvier 2014 Norme IAS 27 modifiée sur les états financiers individuels 11 décembre 2012 (UE n 1254/12) 1er janvier 2014 Norme IAS 28 modifiée sur les participations dans des entreprises associées et des coentreprises 11 décembre 2012 (UE n 1254/12) 1er janvier 2014 Amendement d IAS 32 sur la présentation des compensations d actifs financiers et des passifs financiers 13 décembre 2012 (UE n 1256/12) 1er janvier 2014 Amendements relatifs aux dispositions transitoires pour les normes IFRS 10 : Consolidation des états financiers, IFRS 11 : Partenariat et IFRS 12 : Informations à fournir sur les intérêts 04 avril 2013 (UE n 313/2013)05 1er janvier 2014 détenus dans d autres entités Amendement de la norme IAS 36 sur les informations à fournir sur la valeur recouvrable des actifs non financiers 19 décembre 2013 (UE n 1374/2013) 1er janvier 2014 Amendements de la norme IAS 39 sur les instruments financiers, par rapport à la comptabilisation et l évaluation de la novation de dérivés et le maintien de la comptabilité de couverture 19 décembre 2013 (UE n 1375/2013) 1er janvier 2014 Par ailleurs, les normes et interprétations publiées par l IASB mais non encore adoptées par l Union européenne n entreront en vigueur d une manière obligatoire qu à partir de cette adoption et ne sont donc pas appliquées par le Groupe au 31 décembre Format de présentation des états financiers. En l absence de modèle imposé par le référentiel IFRS, Amundi Group utilise les formats des documents de synthèse (bilan, compte de résultat, état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres, tableau de variation des capitaux propres, tableau des flux de trésorerie) préconisés par la recommandation ANC n du 07 novembre Principes et méthodes comptables :

25 * Utilisation de jugements et estimations dans la préparation des états financiers : La description des jugements et estimations utilisés dans la préparation des états financiers est présentée dans les différents de la note 1 «principes et méthodes». Sont reprises ci-dessous les exigences de la norme IAS 1 en matière d information sur les jugements réalisés par la direction ou en matière d estimations. Sources principales d incertitudes relatives aux estimations : De par leur nature, les évaluations nécessaires à l établissement des états financiers exigent la formulation d hypothèses et comportent des risques et des incertitudes quant à leur réalisation dans le futur. Les réalisations futures peuvent être influencées par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés nationaux et internationaux ; les fluctuations des taux d intérêt et de change ; la conjoncture économique et politique dans certains secteurs d activité ou pays ; les modifications de la réglementation ou de la législation. Cette liste n est pas exhaustive. Les estimations comptables qui nécessitent la formulation d hypothèses sont utilisées principalement pour les évaluations suivantes : les instruments financiers évalués à la juste valeur ; les participations non consolidées ; les régimes de retraite et autres avantages sociaux futurs ; les plans de stock-options ; les dépréciations durables de titres disponibles à la vente ; les dépréciations des créances irrécouvrables ; les provisions ; les dépréciations des écarts d acquisition ; les actifs et passifs d impôts différés ; la valorisation des entités mises en équivalence. En particulier la détermination de la juste valeur de certains actifs et passifs nécessite l estimation des effets de certains évènements futurs sur ces actifs et passifs à la date de clôture. Ainsi des estimations orientées vers l avenir sont nécessaires pour évaluer les provisions subordonnées au dénouement des litiges en cours et les avantages du personnel à long terme tels que les obligations en matière de retraite. Ces estimations impliquent des hypothèses relatives à des éléments tels que l ajustement des risques en fonction des flux de trésorerie ou des taux d actualisation pratiqués, des modifications salariales futures et des modifications de prix futures influant sur d autres coûts. Les modalités de recours à des jugements ou à des estimations sont précisées dans les paragraphes concernés ci-après. * Instruments financiers (IAS 32 et 39) : Les actifs et passifs financiers sont traités dans les états financiers selon les dispositions de la norme IAS 39 telle qu adoptée par la Commission européenne. Lors de leur comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués à leur juste valeur en intégrant les coûts de transaction (à l exception des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du compte de résultat). Après la comptabilisation initiale, les actifs et passifs financiers sont évalués en fonction de leur classification soit à leur juste valeur, soit au coût amorti en utilisant la méthode du taux d intérêt effectif. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d un actif ou payé pour le transfert d un passif lors d une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d évaluation. Le taux d intérêt effectif est le taux qui actualise exactement les décaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la durée de vie prévue de l instrument financier ou, selon le cas, sur une période plus courte de manière à obtenir la valeur comptable nette de l actif ou du passif financier. ** Titres à l actif : *** Classification des titres à l actif : Les titres sont classés selon les quatre catégories d actifs applicables aux titres définis par la norme IAS 39 : actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature ou sur option ; actifs financiers disponibles à la vente ; prêts et créances ; actifs financiers détenus jusqu à l échéance. Cette dernière catégorie n est pas utilisée dans le groupe AMUNDI Group. **** Actifs financiers à la juste valeur par résultat / affectation par nature ou sur option : Selon la norme IAS 39, ce portefeuille comprend les titres dont le classement en actif financier à la juste valeur par résultat résulte, soit d une réelle intention de transaction affectation par nature, soit d une option prise par AMUNDI Group. Les actifs financiers à la juste valeur par résultat par nature sont des actifs acquis ou générés par l entreprise principalement dans l objectif de les céder à court terme ou qui font partie d un portefeuille d instruments gérés en commun dans le but de réaliser un bénéfice lié à des fluctuations de prix à court terme ou à une marge d arbitragiste. La comptabilisation d actifs financiers à la juste valeur par résultat sur option, quant à elle, pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes d actifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et d évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides. A ce titre, le groupe AMUNDI Group comptabilise dans cette rubrique les OPCVM dédiés non consolidés ainsi que les OPCVM acquis dans le cadre de la gestion de la trésorerie. Les titres classés en actifs financiers à la juste valeur par résultat sont initialement comptabilisés à la juste valeur, hors coûts de transaction directement attribuables à l acquisition (directement enregistrés en résultat) et coupons courus inclus. Ils sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont comptabilisées en résultat.

26 Cette catégorie de titres ne fait pas l objet de dépréciations. **** Actifs financiers disponibles à la vente : La catégorie «Actifs financiers disponibles à la vente» est définie par la norme IAS 39 comme la catégorie par défaut ou par désignation. Les titres classés en «Actifs financiers disponibles à la vente» sont initialement comptabilisés à la juste valeur, frais de transaction directement attribuables à l acquisition et coupons courus inclus. Les titres classés en«actifs financiers disponibles à la vente» sont ultérieurement évalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur sont enregistrées en gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. En cas de cession, ces variations sont transférées en résultat. L amortissement des éventuelles surcotes / décotes des titres à revenu fixe est comptabilisé en résultat selon la méthode du taux d intérêt effectif. Cette catégorie de titres fait l objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique «dépréciation des titres». **** Prêts et créances : Amundi Group ne détient pas de titres classés en «Prêts et créances». La catégorie «Prêts et créances» enregistre les actifs financiers non cotés sur un marché actif à revenus fixes ou déterminables. Les titres du portefeuille «prêts et créances» sont comptabilisés initialement pour leur prix d acquisition, frais de transaction directement attribuables et coupons courus inclus. Ils sont comptabilisés ultérieurement selon la méthode du coût amorti avec amortissement de la surcote / décote selon la méthode du taux d intérêt effectif corrigé d éventuelles dépréciations. Cette catégorie de titres fait l objet de dépréciations dans les conditions décrites dans le chapitre spécifique «dépréciation des titres» pour les titres évalués au coût amorti. **** Actifs financiers détenus jusqu à l échéance : Amundi Group ne détient pas de titres classés en «Actifs financiers détenus jusqu à l échéance». *** Dépréciation des titres : Une dépréciation doit être constatée lorsqu il existe un indice objectif de dépréciation résultant d un ou plusieurs événements intervenus après l acquisition des titres autres que ceux classés en juste valeur par résultat. Constitue un indice objectif de perte une baisse durable ou significative de la valeur du titre pour les titres de capitaux propres, ou l apparition d une dégradation significative du risque de crédit matérialisée par un risque de non recouvrement pour les titres de dette. Pour les titres de capitaux propres, le groupe AMUNDI Group utilise des critères quantitatifs comme indicateurs de dépréciation potentielle. Ces critères quantitatifs reposent principalement sur une perte par instrument de capitaux propres de 30% au moins de sa valeur ou sur une période de 6 mois consécutifs. Le groupe AMUNDI Group prend également en considération des facteurs de type difficultés financières de l émetteur, perspectives à court terme Au-delà de ces critères, le groupe Amundi Group constate systématiquement une dépréciation en cas de baisse de cours supérieure à 50% ou observée pendant plus de 3 ans. Pour les titres de dettes, les critères de dépréciation sont ceux qui s appliquent aux prêts et créances. La constatation de cette dépréciation se fait : pour les titres évalués au coût amorti via l utilisation d un compte de dépréciation, le montant de la perte étant comptabilisé au compte de résultat, avec une reprise possible en cas d amélioration ultérieure, pour les titres disponibles à la vente par un transfert en résultat du montant de la perte cumulée sortie des capitaux propres, avec possibilité, pour les instruments de dettes, en cas d amélioration ultérieure du cours des titres, de reprendre par le résultat la perte précédemment transférée en résultat lorsque les circonstances le justifient. *** Date d enregistrement des titres. : AMUNDI Group enregistre à la date de règlement livraison, les titres classés dans les catégories «Actifs financiers détenus jusqu à l échéance» (s il en détenait) et «Prêts et créances». Les autres titres, quelle que soit leur nature ou la catégorie dans laquelle ils sont classés, sont enregistrés à la date de négociation. ** Reclassements d actifs financiers : Conformément à l amendement de la norme IAS 39 publié et adopté par l Union européenne en octobre 2008, il est autorisé d opérer les reclassements suivants : des catégories «Actifs financiers détenus à des fins de transaction» et «Actifs financiers disponibles à la vente» vers la catégorie «prêts et créances», si l entité a désormais l intention et la capacité de conserver l actif financier concerné dans un avenir prévisible ou jusqu à l échéance et si les critères d éligibilité à cette catégorie sont respectés à la date de transfert (notamment actif financier non coté sur un marché actif) ; dans le cas de circonstances rares et documentées, de la catégorie «Actifs financiers détenus à des fins de transaction» vers les catégories «Actifs financiers disponibles à la vente» ou «Actifs financiers détenus jusqu à l échéance», si les critères d éligibilité sont respectés à la date de transfert pour chacun des deux postes. La juste valeur à la date de reclassement devient le nouveau coût ou le nouveau coût amorti, selon le cas, de l actif financier reclassé. AMUNDI Group n a effectué aucun reclassement en application de la norme IAS 39 au cours des exercices 2012 et ** Acquisition et cession temporaire de titres : Au sens de l IAS 39, les cessions temporaires de titres (prêts/emprunts de titres, pensions) ne remplissent pas les conditions de décomptabilisation d IAS 39 et sont considérées comme des financements garantis. Les éléments d actif prêtés ou mis en pension sont maintenus au bilan. Le cas échéant, le montant encaissé, représentatif de la dette à l égard du cessionnaire, est enregistré au passif du bilan. Les éléments empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits au bilan du cessionnaire. Une créance est enregistrée en contrepartie du montant versé. En cas de revente ultérieure du titre, le cessionnaire enregistre un passif qui matérialise son obligation de restituer le titre reçu en pension. Les produits et charges relatifs à ces opérations sont rapportés au compte de résultat prorata temporis sauf en cas de classement en actifs et passifs à la juste valeur par résultat. ** Passifs financiers : La norme IAS 39 adoptée par l Union européenne reconnaît trois catégories de passifs financiers :

27 les passifs financiers évalués par nature en juste valeur en contrepartie du compte de résultat. Les variations de juste valeur de ce portefeuille impactent le résultat aux arrêtés comptables ; les passifs financiers évalués sur option en juste valeur, en contrepartie du compte de résultat. La comptabilisation de passifs financiers à la juste valeur par résultat sur option pourra être retenue, sous réserve de répondre aux conditions définies dans la norme, dans les trois cas de figure suivants : pour des instruments hybrides comprenant un ou plusieurs dérivés incorporés, dans une optique de réduction de distorsion de traitement comptable ou dans le cas de groupes de passifs financiers gérés dont la performance est évaluée à la juste valeur. Cette comptabilisation est généralement utilisée pour éviter de comptabiliser et évaluer séparément des dérivés incorporés à des instruments hybrides ; les autres passifs financiers : cette catégorie regroupe tous les autres passifs financiers. Ce portefeuille est enregistré en juste valeur à l origine (produits et coûts de transaction inclus) puis est comptabilisé ultérieurement au coût amorti selon la méthode du taux d intérêt effectif. *** Distinction dettes capitaux propres : Un instrument de dette ou un passif financier constitue une obligation contractuelle : de remettre des liquidités ou un autre actif financier, d échanger des instruments dans des conditions potentiellement défavorables. Un instrument de capitaux propres est un contrat mettant en évidence un intérêt résiduel dans une entreprise après déduction de toutes ses dettes (actif net). ** Instruments dérivés : Les instruments dérivés sont des actifs ou des passifs financiers et sont enregistrés au bilan pour leur juste valeur à l origine de l opération. A chaque arrêté comptable, ces dérivés sont évalués à leur juste valeur qu ils soient détenus à des fins de transaction ou qu ils entrent dans une relation de couverture. La contrepartie de la réévaluation des dérivés au bilan est enregistrée en résultat (sauf dans le cas particulier de la relation de couverture de flux de trésorerie). *** La comptabilité de couverture. : La couverture de juste valeur a pour objet de se protéger contre une exposition aux variations de juste valeur d un instrument financier. La couverture de flux de trésorerie a pour objet de se prémunir contre une exposition à la variabilité des flux de trésorerie futurs sur des instruments financiers associés à un actif ou à un passif comptabilisé (par exemple, à tout ou partie des paiements d intérêts futurs sur une dette à taux variable) ou à une transaction prévue hautement probable. La couverture d un investissement net dans une activité à l étranger a pour objet de se protéger contre le risque de variation défavorable de la juste valeur lié au risque de change d un investissement réalisé à l étranger dans une monnaie autre que l euro. Dans le cadre d une intention de couverture, les conditions suivantes doivent être respectées afin de bénéficier de la comptabilité de couverture : éligibilité de l instrument de couverture et de l instrument couvert, documentation formalisée dès l origine, incluant notamment la désignation individuelle et les caractéristiques de l élément couvert, de l instrument de couverture, la nature de la relation de couverture et la nature du risque couvert, démonstration de l efficacité de la couverture, à l origine et rétrospectivement à travers des tests effectués à chaque arrêté. L enregistrement comptable de la réévaluation du dérivé se fait de la façon suivante : Couverture de juste valeur : la réévaluation du dérivé et la réévaluation de l élément couvert à hauteur du risque couvert sont inscrites symétriquement en résultat. Il n apparaît, en net en résultat, que l éventuelle inefficacité de la couverture ; Couverture de flux de trésorerie : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d un compte spécifique de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour la partie efficace, et la partie inefficace de la couverture est, le cas échéant, enregistrée en résultat. Les profits ou pertes sur le dérivé accumulés en capitaux propres sont ensuite reclassés en résultat au moment où les flux couverts se réalisent ; Couverture d un investissement net dans une activité à l étranger : la réévaluation du dérivé est portée au bilan en contrepartie d un compte d écarts de conversion en capitaux propres et la partie inefficace de la couverture est enregistrée en résultat. Lorsque les conditions ne sont plus respectées pour bénéficier de la comptabilité de couverture, le traitement comptable qui suit doit être appliqué prospectivement : Couverture de juste valeur : seul l instrument de couverture continue à être réévalué en contrepartie du résultat. L élément couvert est intégralement comptabilisé conformément à sa classification. Pour les titres disponibles à la vente, les variations de juste valeur postérieures à l arrêt de la relation de couverture, sont enregistrées en capitaux propres. Pour les éléments couverts évalués au coût amorti, qui étaient couverts en taux, le stock d écart de réévaluation est amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts. Couverture de flux de trésorerie : l instrument de couverture est valorisé à la juste valeur par résultat. Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres jusqu à ce que l élément couvert affecte le résultat. Pour les éléments qui étaient couverts en taux, le résultat est affecté au fur et à mesure du versement des intérêts. Le stock d écart de réévaluation est donc amorti sur la durée de vie restante de ces éléments couverts. Couverture d investissement net à l étranger : Les montants accumulés en capitaux propres au titre de la part efficace de la couverture demeurent en capitaux propres tant que l investissement net est détenu. Le résultat est constaté lorsque l investissement net à l étranger sort du périmètre de consolidation. ** Détermination de la juste valeur des instruments financiers : Les justes valeurs des instruments financiers sont déterminées et présentées selon la hiérarchie définie par IFRS 13. IFRS 13 définit la juste valeur comme le prix qui serait reçu pour la vente d un actif ou payé pour le transfert d un passif lors d une transaction normale entre des intervenants du marché, sur le marché principal ou le marché le plus avantageux, à la date d évaluation. La juste valeur s applique à chaque actif financier ou passif financier à titre individuel. Par exception, elle peut être estimée par portefeuille, si la stratégie de gestion et de suivi des risques le permettent et font l objet d une documentation appropriée. Ainsi, certains paramètres de la juste valeur sont calculés sur une base nette lorsqu un groupe d actifs financiers et de passifs financiers est géré sur la base de son exposition nette aux risques de marché ou de crédit. C est notamment le cas du calcul de CVA/DVA. Amundi Group considère que la meilleure indication de la juste valeur est la référence aux cotations publiées sur un marché actif. En l absence de telles cotations, la juste valeur est déterminée par l application de techniques de valorisation utilisant des données observables ou non observables.

28 *** Juste valeur des émissions structurées : Conformément à la norme IFRS 13, Amundi Group valorise ses émissions structurées comptabilisées à la juste valeur en prenant comme référence le spread émetteur que les intervenants spécialisés acceptent de recevoir pour acquérir de nouvelles émissions du Groupe. *** Juste valeur des dérivés : La norme IFRS 13 intègre dans la juste valeur l évaluation du risque de contrepartie sur les dérivés actifs (Credit Valuation Adjustment ou CVA) et, selon une approche symétrique, le risque de non-exécution sur les dérivés passifs (Debt Valuation Adjustment ou DVA ou risque de crédit propre). Le calcul du CVA/DVA repose sur une estimation des pertes attendues à partir de la probabilité de défaut et de la perte en cas de défaut. La méthodologie employée repose sur des paramètres de marché lorsque la contrepartie dispose d un CDS coté directement ou indirectement observable (Credit Default Swap) ou des paramètres historiques de défaut pour les autres contreparties. Le CVA permet de déterminer les pertes attendues sur la contrepartie du point de vue d Amundi Group, le DVA les pertes attendues sur Amundi Group du point de vue de la contrepartie. *** Hiérarchie de la juste valeur : La norme classe les justes valeurs selon trois niveaux en fonction de l observabilité des données d entrée utilisées dans l évaluation. **** Niveau 1- Justes valeurs correspondant à des cours (non ajustés) sur des marchés actifs : Sont présentés en niveau 1 les instruments financiers directement cotés sur des marchés actifs pour des actifs et des passifs identiques auxquels l entité peut avoir accès à la date d évaluation. Il s agit notamment des actions et obligations cotées sur un marché actif (tels que la Bourse de Paris, le London Stock Exchange, le New York Stock Exchange ), des parts de fonds d investissement cotées sur un marché actif et des dérivés contractés sur un marché organisé, notamment les futures. Un marché est considéré comme actif si des cours sont aisément et régulièrement disponibles auprès d une bourse, d un courtier, d un négociateur, d un service d évaluation des prix ou d une agence réglementaire et que ces prix représentent des transactions réelles ayant cours régulièrement sur le marché dans des conditions de concurrence normale. Sur les actifs et passifs financiers présentant des risques de marché qui se compensent, le groupe AMUNDI Group retient des cours mid-price comme base de l établissement de la juste valeur de ces positions. Pour les positions nettes vendeuses, les valeurs de marché retenues sont celles aux cours acheteurs et pour les positions nettes acheteuses, il s agit des cours vendeurs. **** Niveau 2 - Justes valeurs évaluées à partir de données directement ou indirectement observables, autres que celles de niveau 1 : Ces données sont directement observables (à savoir des prix) ou indirectement observables (données dérivées de prix) et répondent généralement aux caractéristiques suivantes : il s agit de données qui ne sont pas propres à l entité, qui sont disponibles / accessibles publiquement et fondées sur un consensus de marché. Sont présentés en niveau 2 : Les actions et obligations cotées sur un marché considéré comme inactif, ou non cotées sur un marché actif, mais pour lesquelles la juste valeur est déterminée en utilisant une méthode de valorisation couramment utilisée par les intervenants de marché (tels que des méthodes d actualisation de flux futurs, le modèle de Black & Scholes) et basée sur des données de marché observables, Les instruments négociés de gré à gré pour lesquels la valorisation est faite à l aide de modèles qui utilisent des données de marchés observables, c est-à-dire qui peuvent être obtenues à partir de plusieurs sources indépendantes des sources internes et ce de façon régulière. Par exemple, la juste valeur des swaps de taux d intérêt est généralement déterminée à l aide de courbes de taux fondées sur les taux d intérêt du marché observés à la date d arrêté. Lorsque les modèles utilisés sont fondés notamment sur des modèles standards, et sur des paramètres de marchés observables (tels que les courbes de taux ou les nappes de volatilité implicite), la marge à l origine dégagée sur les instruments ainsi valorisés est constatée en compte de résultat dès l initiation. **** Niveau 3 - Justes valeurs pour lesquelles une part significative des paramètres utilisés pour leur détermination ne répond pas aux critères d observabilité : La détermination de la juste valeur de certains instruments complexes de marché, non traités sur un marché actif repose sur des techniques de valorisation utilisant des hypothèses qui ne sont pas étayées par des données observables sur le marché pour le même instrument. Ces produits sont présentés en niveau 3. Il s agit pour l essentiel de produits complexes de taux, de dérivés actions et de structurés de crédit dont la valorisation requiert, par exemple, des paramètres de corrélation ou de volatilité non directement comparables à des données de marché. Le prix de transaction à l origine est réputé refléter la valeur de marché et la reconnaissance de la marge initiale est différée. La marge dégagée sur ces instruments financiers structurés est généralement constatée en résultat par étalement sur la durée pendant laquelle les paramètres sont jugés inobservables. Lorsque les données de marché deviennent «observables», la marge restant à étaler est immédiatement reconnue en résultat. Les méthodologies et modèles de valorisation des instruments financiers présentés en niveau 2 et niveau 3 intègrent l ensemble des facteurs que les acteurs du marché utilisent pour calculer un prix. Ils doivent être au préalable validés par un contrôle indépendant. La détermination des justes valeurs de ces instruments tient compte notamment du risque de liquidité et du risque de contrepartie. Absence de technique de valorisation reconnue pour déterminer la juste valeur d un instrument de capitaux propres : Conformément aux principes d IAS 39, si aucune technique ne peut donner satisfaction, ou si les diverses techniques utilisées donnent des estimations trop divergentes, le titre reste évalué au coût et est maintenu dans la catégorie «Actifs financiers disponibles à la vente» car sa juste valeur ne peut pas être déterminée de manière fiable. Dans ce cas, le Groupe ne communique pas de juste valeur, conformément aux préconisations de la norme IFRS 7 en vigueur. Il s agit principalement de titres de participation de sociétés non cotées sur un marché actif dont la détermination d une juste valeur fiable est difficile. ** Gains ou pertes nets sur instruments financiers : *** Gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat : Pour les instruments financiers désignés à la juste valeur par résultat et les actifs et passifs financiers conclus à des fins de transaction, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : les dividendes et autres revenus provenant d actions et d autres titres à revenu variable classés dans les actifs financiers à la juste valeur par résultat, les variations de juste valeur des actifs ou passifs financiers à la juste valeur par résultat, les plus et moins-values de cession réalisées sur des actifs financiers à la juste valeur par résultat, les variations de juste valeur et les résultats de cession ou de rupture des instruments dérivés n entrant pas dans une relation de couverture de juste valeur ou de flux de trésorerie. Ce poste comprend également l inefficacité résultant des opérations de couverture de juste valeur, de flux de trésorerie et d investissements nets en devises.

29 *** Gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente : Pour les actifs financiers disponibles à la vente, ce poste comprend notamment les éléments de résultat suivants : les dividendes et autres revenus provenant d actions et autres titres à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente, les plus et moins-values de cession réalisées sur des titres à revenu fixe et à revenu variable classés dans la catégorie des actifs financiers disponibles à la vente, les pertes de valeur des titres à revenu variable, les résultats de cession ou de rupture des instruments de couverture de juste valeur des actifs financiers disponibles à la vente lorsque l élément couvert est cédé, les résultats de cession ou de rupture des prêts et des créances, des titres détenus jusqu à l échéance dans les cas prévus par la norme IAS 39. ** Compensation des actifs et passifs financiers : Conformément à la norme IAS 32, Amundi Group compense un actif et un passif financier et présente un solde net si et seulement s il a un droit juridiquement exécutoire à tout moment de compenser les montants comptabilisés et a l intention de régler le montant net ou de réaliser l actif et de réaliser le passif simultanément. ** Décomptabilisation des instruments financiers : Un actif financier (ou groupe d actifs financiers) est décomptabilisé en tout ou partie : lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie qui lui sont liés arrivent à expiration ou sont transférés ou considérés comme tels parce qu ils appartiennent de fait à un ou plusieurs bénéficiaires et, lorsque la quasi-totalité des risques et avantages liés à cet actif financier est transférée. Dans ce cas, tous les droits et obligations créés ou conservés lors du transfert sont comptabilisés séparément en actifs et en passifs. Lorsque les droits contractuels sur les flux de trésorerie sont transférés mais que seule une partie des risques et avantages, ainsi que le contrôle, sont conservés, l entité continue à comptabiliser l actif financier dans la mesure de son implication dans cet actif. Un passif financier est décomptabilisé en tout ou partie uniquement lorsque ce passif est éteint. * Provisions (IAS 37 et 19) : AMUNDI Group identifie les obligations (juridiques ou implicites) résultant d un évènement passé, dont il est probable qu une sortie de ressources sera nécessaire pour les régler, dont l échéance ou le montant sont incertains mais dont l estimation peut être déterminée de manière fiable. Ces estimations sont le cas échéant actualisées dès lors que l effet est significatif. Cette obligation peut être d ordre légal, réglementaire ou contractuel. Elle peut également découler de pratiques du Groupe ou d engagements ayant créé une attente légitime des tiers concernés sur le fait que le groupe assumera certaines responsabilités. Si aucune évaluation fiable de ce montant ne peut être réalisée, aucune provision n est comptabilisée mais une information en annexe est alors fournie le cas échéant. Au titre de ces obligations, le groupe a constitué des provisions pour risques et charges qui couvrent notamment : les risques opérationnels, les risques d exécution des engagements par signature, les litiges et garanties de passif, les avantages au personnel, les risques fiscaux. L évaluation des provisions suivantes peut également faire l objet d estimations : la provision pour risques opérationnels pour lesquels, bien que faisant l objet d un recensement des risques avérés, l appréciation de la fréquence de l incident et le montant de l impact financier potentiel intègre le jugement de la Direction. les provisions pour risques juridiques qui résultent de la meilleure appréciation de la Direction, compte-tenu des éléments en sa possession à la date d arrêté des comptes. Les garanties données par le groupe aux porteurs de parts d OPCVM, non reprises au bilan, font l objet d une provision de passif en cas de sortie probable de ressources ; celle-ci est alors inscrite dans la rubrique «Risques d exécution des engagements par signature». * Avantages au personnel (IAS 19) : Conformément à la norme IAS 19 «avantages au personnel» ceux-ci se regroupent en quatre catégories : les avantages à court terme, tels que les salaires, cotisations de sécurité sociale, congés annuels, intéressement, participation et primes dont le règlement intégral est attendu dans les douze mois qui suivent la fin de l exercice au cours duquel les membres du personnel ont rendu les services correspondants, les avantages à long terme (médailles du travail, primes et rémunérations payables douze mois ou plus après la clôture de l exercice). les indemnités de fin de contrat de travail, les avantages postérieurs à l emploi, classés eux-mêmes en deux catégories décrites ci-après : les régimes à prestations définies et les régimes à cotisations définies. * Plan de retraite régimes à cotisations définies : Il existe divers régimes de retraite obligatoires auxquels cotisent les sociétés «employeurs». Les fonds sont gérés par des organismes indépendants et les sociétés cotisantes n ont aucune obligation, juridique ou implicite, de payer des cotisations supplémentaires si les fonds n ont pas suffisamment d actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pendant l exercice et les exercices antérieurs. Par conséquent, les sociétés du groupe AMUNDI Group n ont pas de passif à ce titre autre que les cotisations à payer pour l exercice écoulé. * Régimes à prestations définies : A l intérieur du groupe AMUNDI Group, AMUNDI a formalisé un contrat d assurance «Indemnité Fin de Carrière» (IFC) avec PREDICA et des conventions de mandat entre AMUNDI et les filiales de l UES ont été signées. Cette externalisation des «IFC» s est traduite par un transfert d une partie de la provision de passif qui existait dans les comptes vers le contrat PREDICA. Le solde non externalisé reste inscrit en provision de passif. Conformément à la norme IAS 19, ces engagements sont évalués en fonction d un ensemble d hypothèses actuarielles, financières et démographiques, et selon la méthode dite des Unités de Crédit Projetées. Cette méthode consiste à affecter, à chaque année d activité du salarié, une charge correspondant aux droits acquis sur l exercice. Le calcul de cette charge est réalisé sur la base de la prestation future actualisée. Les calculs relatifs aux charges liées aux avantages sociaux futurs sont établis en se fondant sur des hypothèses de taux d actualisation, de taux de rotation du personnel ou d évolution des salaires et charges sociales élaborées par la Direction.

30 Les taux d actualisation sont déterminés en fonction de la durée moyenne de l engagement, c est-à-dire la moyenne arithmétique des durées calculées entre la date d évaluation et la date de paiement pondérée par les hypothèses de turn-over. Le taux de rendement prévu sur les actifs des régimes est également estimé par la Direction. Les rendements estimés sont fondés sur le rendement prévu des titres à revenu fixe comprenant notamment le rendement des obligations. Le rendement attendu des actifs de régimes est déterminé sur la base des taux d actualisation retenus pour évaluer l obligation au titre de prestations définies. Le montant de la provision est égal à : la valeur actuelle de l obligation au titre des prestations définies à la date de clôture, calculée selon la méthode actuarielle préconisée par la norme IAS 19 ; diminuée, le cas échéant, de la juste valeur des actifs alloués à la couverture de ces engagements. Ceux-ci peuvent être représentés par une police d assurance éligible. Dans le cas où l obligation est totalement couverte par une police correspondant exactement, par son montant et sa période, à tout ou partie des prestations payables en vertu du régime, la juste valeur de cette dernière est considérée comme étant celle de l obligation correspondante, (soit le montant de la dette actuarielle correspondante). Au titre de ces engagements non couverts, une provision destinée à couvrir les indemnités de départ à la retraite figure au passif du bilan sous la rubrique «Provisions». Cette provisions est égale au montant correspondant aux engagements concernant les personnels d Amundi Group présents à la clôture de l exercice et relevant de l accord d entreprise du groupe Amundi Group. *Avantages à long terme : Les avantages à long terme sont les avantages à verser aux salariés, autres que les avantages postérieurs à l emploi, les indemnités de fin de contrats et avantages sur capitaux propres, mais non intégralement dus dans les douze mois suivant la fin de l exercice pendant lesquels les services correspondants ont été rendus. Sont notamment concernés les bonus différés et autres rémunérations long terme versées douze mois ou plus après la fin de l exercice au cours duquel elles ont été acquises, mais qui ne sont pas indexés sur des actions. La méthode d évaluation est similaire à celle utilisée par le Groupe pour les avantages postérieurs à l emploi relevant de la catégorie de régimes à prestation définie. Les avantages à long terme pouvant être accordés par AMUNDI Group consistent principalement en l attribution de bonus dont le paiement sera différé sur les exercices suivants sous réserve d atteinte des conditions de performance fixées au préalable et de la présence dans le groupe au moment du paiement des salariés à qui ils ont été octroyés. L intégralité des rémunérations variables octroyées au titre de l exercice 2013 et des exercices antérieurs est provisionnée au 31 décembre * Paiements fondés sur des actions (IFRS 2) : La norme IFRS 2 «Paiements en actions et assimilés» impose l évaluation des transactions rémunérées par paiements en actions et assimilés dans les résultats et au bilan de l entreprise. Cette norme, s applique aux transactions effectuées avec les salariés et plus précisément : aux transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en instruments de capitaux propres, les transactions dont le paiement est fondé sur des actions et qui sont réglées en trésorerie. Les plans de paiements fondés sur des actions initiés par le Groupe Crédit Agricole S.A. éligibles à la norme IFRS 2 sont principalement du type de ceux dont le dénouement est réalisé par attribution d instruments de capitaux propres (stock-options, attribution d actions gratuites, rémunérations variables versées en cash-indexé ou en action ). Les options octroyées sont évaluées à l attribution à leur juste valeur majoritairement selon le modèle Black & Scholes. Celles-ci sont comptabilisées en charges dans la rubrique «Frais de personnel» en contrepartie d un compte de capitaux propres au fur et à mesure sur la période d acquisition des droits, soit 4 ans pour tous les plans existants. Une augmentation de capital réservée aux salariés a été effectuée par Crédit Agricole S.A. en Un plan d attribution d actions gratuites a été mis en place par le Groupe Crédit Agricole en 2011, et la libération de ces actions est intervenue en Les souscriptions d actions proposées aux salariés dans le cadre du Plan d Epargne Entreprise relèvent également des dispositions de la norme IFRS 2. Les actions sont proposées avec une décote maximum de 20 %. Ces plans ne comportent pas de période d acquisition des droits mais sont grevés d une période d incessibilité de 5 ans. L avantage consenti aux salariés se mesure comme étant la différence entre la juste valeur de l action acquise en tenant compte de la condition d incessibilité et le prix d acquisition payé par le salarié à la date de souscription multipliée par le nombre d actions souscrites. La charge relative aux plans d attribution d actions dénoués par instruments de capitaux propres de Crédit agricole SA, ainsi que celles relatives aux souscriptions d actions sont comptabilisées dans les comptes des entités employeur des bénéficiaires de plans. L impact s inscrit en charge de personnel en contrepartie d une augmentation des «Réserves consolidées part du Groupe». * Impôts courants et différés (IAS 12) : Conformément à la norme IAS 12, l impôt sur le bénéfice comprend tous les impôts assis sur le résultat, qu ils soient exigibles ou différés. Celle-ci définit l impôt exigible comme «le montant des impôts sur le bénéfice payables (récupérables) au titre du bénéfice imposable (perte fiscale) d un exercice». Le bénéfice imposable est le bénéfice (ou perte) d un exercice déterminé selon les règles établies par l administration fiscale. Les taux et règles applicables pour déterminer la charge d impôt exigible sont ceux en vigueur dans chaque pays d implantation des sociétés du Groupe. L impôt exigible concerne tout impôt sur le résultat, dû ou à recevoir, et dont le paiement n est pas subordonné à la réalisation d opérations futures, même si le règlement est étalé sur plusieurs exercices. L impôt exigible, tant qu il n est pas payé, doit être comptabilisé en tant que passif. Si le montant déjà payé au titre de l exercice et des exercices précédents excède le montant dû pour ces exercices, l excédent doit être comptabilisé en tant qu actif. Par ailleurs, certaines opérations réalisées par l entité peuvent avoir des conséquences fiscales non prises en compte dans la détermination de l impôt exigible. Les différences entre la valeur comptable d un actif ou d un passif et sa base fiscale sont qualifiées par la norme IAS 12 de différences temporelles. La norme impose la comptabilisation d impôts différés dans les cas suivants : Un passif d impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles imposables, entre la valeur comptable d un actif ou d un passif au bilan et sa base fiscale, sauf dans la mesure où le passif d impôt différé est généré par : la comptabilisation initiale de l écart d acquisition ; la comptabilisation initiale d un actif ou d un passif dans une transaction qui n est pas un regroupement d entreprises et n affecte ni le bénéfice comptable, ni le bénéfice imposable (perte fiscale) à la date de la transaction.

31 Un actif d impôt différé doit être comptabilisé pour toutes les différences temporelles déductibles, entre la valeur comptable d un actif ou d un passif au bilan et sa base fiscale, dans la mesure où il est jugé probable qu un bénéfice imposable, sur lequel ces différences temporelles déductibles pourront être imputées, sera disponible. Un actif d impôt différé doit également être comptabilisé pour le report en avant de pertes fiscales et de crédits d impôt non utilisés dans la mesure où il est probable que l on disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels ces pertes fiscales et crédits d impôt non utilisés pourront être imputés. Les taux d impôts de chaque pays sont retenus selon les cas. Le calcul des impôts différés ne fait pas l objet d une actualisation. Les plus-values latentes sur titres, lorsqu elles sont taxables (OPCVM en France), ne génèrent pas de différences temporelles imposables entre la valeur comptable à l actif et la base fiscale. Elles ne donnent donc pas lieu à constatation d impôts différés. Lorsque les titres concernés sont classés dans la catégorie des titres disponibles à la vente, les plus et moins-values latentes sont comptabilisées en contrepartie des capitaux propres. Aussi, la charge d impôt ou l économie d impôt réel supportée par l entité au titre de ces plus-values ou moins-values latentes est-elle reclassée en déduction de celles-ci. En France les plus-values sur les titres de participation, tels que définis par le Code général des impôts, et relevant du régime fiscal du long terme, sont exonérées pour les exercices ouverts à compter du 1 er janvier 2007 (à l exception d une quote-part de 12 % de la plus-value, taxée au taux de droit commun). Aussi les plus-values latentes constatées à la clôture de l exercice génèrent-elles une différence temporelle donnant lieu à constatation d impôts différés à hauteur de cette quote-part. L impôt exigible et différé est comptabilisé dans le résultat net de l exercice sauf dans la mesure où l impôt est généré : soit par une transaction ou un événement qui est comptabilisé directement en capitaux propres, dans le même exercice ou un exercice différent, auquel cas il est directement débité ou crédité dans les capitaux propres ; soit par un regroupement d entreprises. Les actifs et passifs d impôts différés sont compensés si et seulement si : l entité a un droit juridiquement exécutoire de compenser les actifs et passifs d impôt exigible, et les actifs et passifs d impôts différés concernent des impôts sur le résultat prélevés par la même autorité fiscale : a) soit sur la même entité imposable ; b) soit sur des entités imposables différentes qui ont l intention, soit de régler les passifs et actifs d impôts exigibles sur la base de leur montant net, soit de réaliser les actifs et de régler les passifs simultanément, lors de chaque exercice futur au cours duquel on s attend à ce que des montants importants d actifs ou de passifs d impôts différés soient réglés ou récupérés. Les crédits d impôts sur revenus de créances et de portefeuilles titres, lorsqu ils sont effectivement utilisés en règlement de l impôt sur les sociétés dû au titre de l exercice, sont comptabilisés dans la même rubrique que les produits auxquels ils se rattachent. La charge d impôt correspondante est maintenue dans la rubrique «Impôts sur le bénéfice» du compte de résultat. Cependant, en raison de l objectif poursuivi par le législateur de permettre la diminution des charges de personnel par le Crédit d impôts pour la compétitivité et l emploi (CICE), Amundi Group a fait le choix de comptabiliser le Crédit d impôts pour la compétitivité et l emploi (article 244 quater C du CGI) en diminution des charges de personnel et non en diminution de l impôt. * Traitement des Immobilisations (IAS 16, 36, 38 et 40) : Le groupe AMUNDI Group applique la méthode de comptabilisation des actifs par composants à l ensemble de ses immobilisations corporelles. Conformément aux dispositions de la norme IAS 16, la base amortissable tient compte de l éventuelle valeur résiduelle des immobilisations. Les terrains sont enregistrés à leur coût d acquisition, diminué des dépréciations éventuelles. Les immeubles d exploitation et de placement, ainsi que le matériel d équipement sont comptabilisés à leur coût d acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constitués depuis leur mise en service. Les logiciels acquis sont comptabilisés à leur coût d acquisition diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d acquisition. Les logiciels créés sont comptabilisés à leur coût de production diminué des amortissements ou des dépréciations constatés depuis leur date d achèvement. Outre les logiciels, les immobilisations incorporelles comprennent principalement les actifs acquis lors de regroupement d entreprises résultant de droit contractuel (accord de distribution par exemple). Ceux-ci ont été évalués en fonction des avantages économiques futurs correspondants ou du potentiel des services attendus. Dans les comptes consolidés d AMUNDI Group sont par ailleurs enregistrées dans cette rubrique, les commissions de commercialisation payées par avance au distributeur de fonds commun de placement. Les immobilisations sont amorties en fonction de leurs durées estimées d utilisation. L amortissement de l immobilisation incorporelle relative aux commissions payées «Up-front» est enregistré en charge de commissions du produit net bancaire. Les durées d amortissement suivantes ont été retenues par AMUNDI Group. Amortissements : Les immobilisations sont amorties en fonction de leur durée estimée d utilisation. Les principales durées retenues sont les suivantes : Agencements et installations Matériel informatique Matériel de bureau Mobilier de bureau Installations techniques Constructions De 5 à 10 ans linéaire 3 ans dégressif 5 ans linéaire 10 ans linéaire 10 ans linéaire 20 ans linéaire

32 Les terrains ne font pas l objet d amortissement mais peuvent être éventuellement dépréciés. Les frais de réparation et de maintenance sont enregistrés en charges dès qu ils sont encourus, sauf dans le cas où ils contribuent à augmenter la productivité ou la durée de vie de l immobilisation. Pour certains logiciels spécifiques à la gestion, il est pratiqué un amortissement dérogatoire dans les comptes sociaux des sociétés du groupe. Les amortissements dérogatoires, qui correspondent à des amortissements fiscaux et non à une dépréciation réelle de l actif, sont annulés dans les comptes consolidés. La durée d amortissement de l immobilisation incorporelle relative aux commissions payées «Up-front» est celle de la durée de vie du fonds. Les éléments dont dispose AMUNDI Group sur la valeur de ses immobilisations amortissables lui permettent de conclure que les tests de dépréciation ne conduiraient pas à la modification des valeurs inscrites au bilan. * Contrats de location (IAS 17) : Conformément à la norme IAS 17 «Contrats de location», les opérations de location sont analysées selon leur substance et leur réalité financière. Elles sont comptabilisées selon les cas, soit en opérations de location simple, soit en opérations de location financière. Les contrats de location concernant les situations suivantes ont été analysés : le contrat prévoit le transfert obligatoire de la propriété à la fin de la période de location, le contrat contient une option d achat et les conditions de l option sont telles que le transfert de propriété paraît hautement probable à la date de conclusion du bail, la durée du contrat couvre la majeure partie de la vie économique estimée du bien loué, la valeur actualisée de la somme des redevances minimales prévues au contrat est proche de la juste valeur du bien. Ces différentes situations ne présentant pas un caractère significatif, le groupe AMUNDI Group n a pas enregistré d opération entrant dans ce cadre. * Opérations en devises (IAS 21) : En application de la norme IAS 21, une distinction est effectuée entre les éléments monétaires et non monétaires. A la date d arrêté, les actifs et passifs monétaires libellés en monnaie étrangère sont convertis au cours de clôture dans la monnaie de fonctionnement d Amundi Group. Les écarts de change résultant de cette conversion sont comptabilisés en résultat. Cette règle comporte deux exceptions : sur les actifs financiers disponibles à la vente, seule la composante de l écart de change calculée sur le coût amorti est comptabilisée en résultat ; le complément est enregistré en capitaux propres, les écarts de change sur les éléments désignés comme couverture de flux de trésorerie ou faisant partie d un investissement net dans une entité étrangère sont comptabilisés en capitaux propres. Les traitements relatifs aux éléments non monétaires diffèrent selon la nature de ces éléments : les éléments au coût historique sont évalués au cours de change du jour de la transaction, les éléments à la juste valeur sont mesurés au cours de change à la date de clôture. Les écarts de change sur éléments non monétaires sont comptabilisés : en résultat si le gain ou la perte sur l élément non monétaire est enregistré en résultat, en capitaux propres si le gain ou la perte sur l élément non monétaire est enregistré en capitaux propres. * Résultat par action (IAS 33) : Conformément à IAS 33 le résultat par action du groupe est égal au résultat net consolidé divisé par le nombre moyen pondéré d actions en circulation au cours de l exercice. Il n y a pas d instrument de dilution inscrit dans les comptes. * Commissions sur prestations de services (IAS 18) : Les produits et charges de commissions sont enregistrés en résultat en fonction de la nature des prestations auxquelles ils se rapportent. les commissions qui font partie intégrante du rendement d un instrument financier sont comptabilisées comme un ajustement de la rémunération de cet instrument et intégrées à son taux d intérêt effectif, lorsque le résultat d une transaction faisant intervenir une prestation de services peut être estimé de façon fiable, le produit des commissions associé à cette transaction est comptabilisé dans la rubrique «commissions» et en fonction du degré d avancement de la transaction à la date de clôture : a) Les commissions perçues ou versées en rémunération de services ponctuels sont intégralement enregistrées en résultat. Les commissions à verser ou à recevoir sous condition de réalisation d un objectif de performance sont comptabilisées uniquement si l ensemble des conditions suivantes sont respectées : le montant des commissions peut être évalué de façon fiable, il est probable que les avantages économiques associés à la prestation iront à l entreprise, le degré d avancement de la prestation peut être évalué de façon fiable, et les coûts encourus pour la prestation et les coûts pour achever celle-ci peuvent être évalués de façon fiable. b) Les commissions rémunérant des services continus sont, quant à elles, étalées en résultat sur la durée de la prestation rendue. * Actifs non courants destinés à être cédés et activités abandonnées (IFRS 5) : Un actif non courant (ou un groupe destiné à être cédé) est considéré comme détenu en vue de la vente si sa valeur comptable est recouvrée principalement par le biais d une vente plutôt que par l utilisation continue. Pour que tel soit le cas, l actif (ou le groupe destiné à être cédé) doit être disponible en vue de la vente immédiate dans son état actuel et sa vente doit être hautement probable. Les actifs et passifs concernés sont isolés au bilan sur les postes «Actifs non courants destinés à être cédés» et «Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés». Ces actifs non courants (ou un groupe destiné à être cédé) classés comme détenus en vue de la vente sont évalués au montant le plus bas entre leur valeur comptable et leur juste valeur diminuée des coûts de cession. En cas de moins-value latente, une dépréciation est enregistrée en résultat. Par ailleurs, ceux-ci cessent d être amortis à compter de leur déclassement.

33 Si la juste valeur du groupe d actifs destiné à être cédé diminuée des coûts de vente est inférieure à sa valeur comptable après dépréciation des actifs non courants, la différence est allouée aux autres actifs du groupe d actifs destinés à être cédés y compris les actifs financiers et est comptabilisé en résultat net des activités destinées à être cédées. Est considérée comme activité abandonnée toute composante dont le Groupe s est séparé ou qui est classée comme détenue en vue de la vente, et qui est dans une des situations suivantes : elle représente une ligne d activité ou une région géographique principale et distincte ; elle fait partie d un plan unique et coordonné pour se séparer d une ligne d activité ou d une région géographique principale et distincte ; ou, elle est une filiale acquise exclusivement en vue de la revente. Sont présentés sur une ligne distincte du compte de résultat : le résultat net après impôt des activités abandonnées jusqu à la date de cession ; le profit ou la perte après impôt résultant de la cession ou de l évaluation à la juste valeur diminuée des coûts de la vente des actifs et passifs constituant les activités abandonnées. Le groupe AMUNDI Group n a pas enregistré d opération entrant dans ce cadre au cours de l exercice Principes et méthodes de consolidation. * Périmètre et méthodes de consolidation (IAS 27, 28 et 31). Les états financiers consolidés incluent les comptes de AMUNDI Group et ceux de toutes les sociétés sur lesquelles, selon les dispositions des normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31, AMUNDI Group dispose d un pouvoir de contrôle. Celui-ci est présumé lorsque AMUNDI Group détient, directement ou indirectement, au moins 20 % des droits de vote existants et potentiels. ** Notions de contrôle : Conformément aux normes internationales, toutes les entités sous contrôle exclusif, sous contrôle conjoint ou sous influence notable sont consolidées, sous réserve que leur apport soit jugé significatif et qu elles n entrent pas dans le cadre des exclusions évoquées ci-après. Le caractère significatif de cet impact est apprécié au travers de trois principaux critères exprimés en pourcentage du bilan, de la situation nette et du résultat consolidés. Le contrôle exclusif est présumé exister lorsque AMUNDI Group détient, directement ou indirectement par l intermédiaire de filiales, plus de la moitié des droits de vote existants ou potentiels d une entité, sauf si dans des circonstances exceptionnelles, il peut être clairement démontré que cette détention ne permet pas le contrôle. Le contrôle exclusif existe également lorsque AMUNDI Group détient la moitié ou moins de la moitié des droits de vote, y compris potentiels, d une entité mais dispose de la majorité des pouvoirs au sein des organes de direction. Le contrôle conjoint s exerce dans les co-entités au titre desquelles deux co-entrepreneurs ou plus sont liés par un apport contractuel établissant un contrôle conjoint. L influence notable résulte du pouvoir de participer aux politiques financière et opérationnelle d une entreprise sans en détenir le contrôle. AMUNDI Group est présumé avoir une influence notable lorsqu il détient, directement ou indirectement par le biais de filiales, 20 % ou plus des droits de vote dans une entité. ** Consolidation des entités ad hoc : La consolidation des entités ad hoc (structures créées pour gérer une opération ou un groupe d opérations similaires) et plus particulièrement des fonds sous contrôle exclusif, a été précisée par le SIC 12 (Standing Interpretation Committee). En application de ce texte une entité ad hoc est consolidée lorsqu elle est en substance contrôlée par le groupe, même en l absence de lien capitalistique. Cela concerne en particulier les OPCVM dédiés. La détermination du contrôle s apprécie notamment au regard des circonstances suivantes : les activités de l entité ad hoc sont menées pour le compte d une société du groupe selon ses besoins opérationnels spécifiques de façon à ce que cette société obtienne des avantages de l activité de l entité ad hoc ; cette société a les pouvoirs de décision pour obtenir la majorité des avantages des activités de l entité ad hoc ou, en mettant en place un mécanisme «de pilotage automatique», cette société a délégué ses pouvoirs de décision ; cette société a le droit d obtenir la majorité des avantages de l entité ad hoc et par conséquent peut être exposée aux risques liés aux activités de l entité ad hoc ; ou, cette société conserve la majorité des risques résiduels ou inhérents à la propriété relatifs à l entité ad hoc ou à ses actifs afin d obtenir des avantages de ses activités. La Direction d Amundi Group détermine, en retenant comme élément d appréciation une analyse en «risk & reward», la nécessité de consolider ou non les fonds dont le groupe détient majoritairement les parts ou dont il est le garant. Les cas de détention par une société du périmètre de la majorité des parts d un OPCVM sont exceptionnels et généralement non significatifs (hormis les fonds dédiés, comptabilisés en «juste valeur par résultat»). Ils correspondent à la détention de seed money, pour laquelle le principe posé est que la détention majoritaire ne doit pas excéder 6 mois. Au-delà de 6 mois, le désengagement du seed money est initié sous le contrôle du Comité de placement. A l extrême, un traitement du seed money en «JV par résultat» peut être décidé. S agissant des fonds garantis, l analyse conduisant à la non consolidation des fonds porte essentiellement sur le transfert de la majorité des risques entre le fonds et le garant et sur le partage de la majorité des avantages (cf. infra 3.2). L analyse intègre donc les éléments suivants : - la rémunération éventuelle d AMUNDI Finance en tant que garant, - l analyse en risques. ** Consolidation simplifiée des OPCVM détenus majoritairement : Les OPCVM dédiés et OPCVM de seed money dont Amundi Group détient la majorité des parts sont comptabilisés dans la rubrique des titres à la juste valeur par résultat par option. Ils sont de ce fait considérés comme étant consolidés par une méthode simplifiée en s assurant que leur consolidation effective ne modifierait pas de manière significative les agrégats du bilan et du compte de résultat consolidés ainsi que les emplois pondérés. Cette information est détaillée dans la note Les OPCVM concernés par cette méthode sont les suivants : Acacia OPCVM Amundi Finance Détenteur

34 Acajou Amundi Absolute Credit Amundi HK - Green Planet Fund Amundi Money Market Fund - Short Term (GBP) Amundi Money Market Fund - Short Term (USD) - part OC Amundi Money Market Fund - Short Term (USD) - part OV Amundi Performance Absolue Equilibre Chorial Allocation Genavent Genavent Partners LP Newis Completude OPCI Immanens OPCI Immo Emissions PEG - Portfolio Eonia Garanti Amundi Group Amundi Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Group Amundi Finance Emissions Amundi Finance Emissions Amundi Group * Examen du périmètre de consolidation au regard de la norme IFRS 10. La norme IFRS 10 n a pas d impact matériel sur le périmètre de consolidation. L ensemble des fonds gérés a été revu sur la base des nouveaux critères de décision introduits par IFRS 10. Lorsque le groupe Amundi intervient en qualité de gestionnaire de fonds, il dispose d un pouvoir décisionnel qui, associé à un certain niveau d exposition à la variabilité des rendements, indique qu il agit comme principal. Mais après examen de l ensemble des rémunérations effectivement perçues au titre de la gestion, le groupe Amundi agit en qualité de mandataire et n exerce pas de pouvoir décisionnel suffisant pour justifier le contrôle, y compris lorsque le groupe Amundi garantit aux investisseurs une formule de rendement. * Méthodes de consolidation. Les méthodes de consolidation sont fixées respectivement par les normes IAS 27, IAS 28 et IAS 31. Elles résultent de la nature du contrôle exercé par AMUNDI Group sur les entités consolidables, quelle qu en soit l activité et qu elles aient ou non la personnalité morale : l intégration globale, pour les entités sous contrôle exclusif, l intégration proportionnelle, pour les entités sous contrôle conjoint, la mise en équivalence, pour les entités sous influence notable. L intégration globale consiste à substituer à la valeur des titres chacun des éléments d actif et de passif de chaque filiale. La part des participations ne donnant pas le contrôle dans les capitaux propres et dans le résultat apparaît distinctement au bilan et au compte de résultat consolidés. Les participations ne donnant pas le contrôle sont telles que définies par la norme IAS 27 et intègrent les instruments qui sont des parts d intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l actif net en cas de liquidation et les autres instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe. L intégration proportionnelle consiste à substituer à la valeur des titres dans les comptes de la société consolidante la fraction représentative de ses intérêts dans le bilan et le résultat de la société consolidée. La mise en équivalence consiste à substituer à la valeur des titres la quote-part du Groupe dans les capitaux propres et le résultat des sociétés concernées. La variation de la valeur comptable de ces titres tient compte désormais de l évolution de l écart d acquisition. * Retraitements et éliminations. Les retraitements nécessaires à l harmonisation des méthodes d évaluation des sociétés consolidées du groupe AMUNDI Group avec celles du Groupe Crédit Agricole sont effectués, sauf s ils sont jugés non significatifs. L effet sur le bilan et le compte de résultat consolidés des opérations internes au Groupe est éliminé. Les plus ou moins-values provenant de cessions d actifs entre les entreprises consolidées sont éliminées ; les éventuelles dépréciations durables mesurées à l occasion d une cession interne sont constatées. Les sociétés du groupe AMUNDI Group clôturant leur exercice social au 31 décembre (ou le cas échéant font les retraitements nécessaires à une évaluation à cette date), leurs bilans et comptes de résultat sont consolidés à cette date. * Conversion des états financiers des filiales étrangères (IAS 21). Les états financiers des filiales étrangères sont convertis en euros en deux étapes : conversion, le cas échéant, de la monnaie locale de tenue de compte en monnaie fonctionnelle (monnaie de l environnement économique principal dans lequel opère l entité). La conversion se fait comme si les éléments avaient été comptabilisés initialement dans la monnaie fonctionnelle (mêmes principes de conversion que pour les transactions en monnaie étrangère). conversion de la monnaie fonctionnelle en euros, monnaie de présentation des comptes consolidés du groupe. Les actifs et les passifs sont convertis au cours de clôture. Les produits et les charges du compte de résultat sont convertis au cours moyen de la période. Les écarts de change résultant de la conversion des actifs, des passifs et du compte de résultat sont comptabilisés en tant que composante distincte des capitaux propres. Ces écarts de conversion sont comptabilisés en résultat lors de la cession totale ou partielle de l entité. Dans le cas de la cession d une filiale (contrôle exclusif), le reclassement de capitaux propres à résultat intervient uniquement en cas de perte du contrôle. * Regroupement d entreprises et «Ecart d acquisition» (IFRS 3). Les regroupements d entreprises sont comptabilisés selon la méthode de l acquisition, conformément à IFRS 3 à l exception des regroupements sous contrôle commun lesquels sont exclus du champ d application d IFRS 3. Ces opérations sont traitées, conformément aux possibilités offertes par IAS 8, aux valeurs comptables selon la méthode de la mise en commun d intérêts, par référence à la norme américaine ASU qui apparaît conforme aux principes généraux IFRS. A la date de prise de contrôle, les actifs, passifs et passifs éventuels identifiables de l entité acquise qui satisfont aux critères de comptabilisation de la norme IFRS 3 sont comptabilisés à leur juste valeur. En particulier, un passif de restructuration n est comptabilisé en tant que passif de l entité acquise que si celle-ci se trouve, à la date d acquisition, dans l obligation d effectuer cette restructuration.

35 Les clauses d ajustement de prix sont comptabilisées pour leur juste valeur même si leur réalisation n est pas probable. Les variations ultérieures de la juste valeur des clauses qui ont la nature de dettes financières sont constatées en résultat. Seules les clauses d ajustement de prix relatives à des opérations dont la prise de contrôle est intervenue au plus tard au 31 décembre 2009 peuvent encore être comptabilisées par la contrepartie de l écart d acquisition car ces opérations ont été comptabilisées selon IFRS 3 non révisée (2004). La part des participations ne donnant pas le contrôle qui sont des parts d intérêts actuelles et qui donnent droit à une quote-part de l actif net en cas de liquidation peut être évaluée, au choix de l acquéreur, de deux manières : à la juste valeur à la date d acquisition ; à la quote-part dans les actifs et passifs identifiables de l acquise réévalués à la juste valeur. Cette option peut être exercée acquisition par acquisition. Le solde des participations ne donnant pas le contrôle (instruments de capitaux propres émis par la filiale et non détenus par le Groupe) doit être comptabilisé pour sa juste valeur à la date d acquisition. L évaluation initiale des actifs, passifs et passifs éventuels peut être modifiée dans un délai maximum de douze mois à compter de la date d acquisition. La contrepartie transférée à l occasion d un regroupement d entreprises (le coût d acquisition) est évaluée comme le total des justes valeurs transférées par l acquéreur, à la date d acquisition en échange du contrôle de l entité acquise (par exemple : trésorerie, instruments de capitaux propres ). Les coûts directement attribuables au regroupement considéré sont dorénavant comptabilisés en charges, séparément du regroupement. Dès lors que l opération a de très fortes probabilités de se réaliser, ils sont enregistrés dans la rubrique «Gains ou pertes nets sur autres actifs», sinon ils sont enregistrés dans le poste «Charges générales d exploitation». L écart entre la somme du coût d acquisition et des participations ne donnant pas le contrôle et le solde net, à la date d acquisition, des actifs identifiables acquis et des passifs repris, évalués à la juste valeur est inscrit, quand il est positif, à l actif du bilan consolidé, sous la rubrique «Ecarts d acquisition» lorsque l entité acquise est intégrée globalement ou proportionnellement et au sein de la rubrique«participations dans les entreprises mises en équivalence» lorsque l entreprise acquise est mise en équivalence. Lorsque cet écart est négatif, il est immédiatement enregistré en résultat. Les écarts d acquisition sont inscrits au bilan à leur coût initial libellé dans la devise de l entité acquise et convertis sur la base du cours de change à la date de clôture. En cas de prise de contrôle par étape, la participation détenue avant la prise de contrôle est réévaluée à la juste valeur par résultat à la date d acquisition et l écart d acquisition est calculé en une seule fois, à partir de la juste valeur à la date d acquisition des actifs acquis et des passifs repris. Les écarts d acquisition font l objet de tests de dépréciation dès l apparition d indices objectifs de perte de valeur et au minimum une fois par an. Les choix et les hypothèses d évaluation des participations ne donnant pas le contrôle à la date d acquisition peuvent influencer le montant de l écart d acquisition initial et de la dépréciation éventuelle découlant d une perte de valeur. Pour les besoins de ces tests de dépréciation, chaque écart d acquisition est réparti entre les différentes unités génératrices de trésorerie (UGT) du groupe qui vont bénéficier des avantages attendus du regroupement d entreprises. Les UGT ont été définies comme le plus petit groupe identifiable d actifs et de passifs fonctionnant selon un modèle économique propre. Lors des tests de dépréciation, la valeur comptable de chaque UGT, y compris celle des écarts d acquisition qui lui sont affectés, est comparée à sa valeur recouvrable. La valeur recouvrable de l UGT est définie comme la valeur la plus élevée entre sa valeur de marché et sa valeur d utilité. La valeur d utilité est calculée comme la valeur actuelle de l estimation des flux futurs dégagés par l UGT, tels qu ils résultent des plans à moyen terme établis pour les besoins du pilotage du Groupe. Lorsque la valeur recouvrable est inférieure à la valeur comptable, l écart d acquisition rattaché à l UGT est déprécié à due concurrence. Cette dépréciation est irréversible. Dans le cas d une augmentation du pourcentage d intérêt d AMUNDI Group dans une entité déjà contrôlée de manière exclusive, l écart entre le coût d acquisition et la quote-part d actif net acquis est constaté dans le poste «Réserves consolidées part du Groupe» ; en cas de diminution du pourcentage d intérêt de AMUNDI Group dans une entité restant contrôlée de manière exclusive, l écart entre le prix de cession et la valeur comptable de la quote part de la situation nette cédée est également constaté directement en réserves consolidées part du Groupe. Les frais liés à ces opérations sont comptabilisés en capitaux propres. Le traitement comptable des options de vente accordées aux actionnaires minoritaires est le suivant : lorsqu une option de vente est accordée à des actionnaires minoritaires d une filiale consolidée par intégration globale, une dette est enregistrée au passif du bilan ; sa comptabilisation initiale intervient pour la valeur présente estimée du prix d exercice des options consenties aux actionnaires minoritaires. En contrepartie de cette dette, la quote-part d actif net revenant aux minoritaires concernés est ramenée à zéro et le solde est inscrit en réduction des capitaux propres ; - les variations ultérieures de la valeur estimée du prix d exercice modifient le montant de la dette enregistrée au passif, en contrepartie de l ajustement des capitaux propres. Symétriquement, les variations ultérieures de la quote-part d actif net revenant aux actionnaires minoritaires sont annulées par contrepartie des capitaux propres. En cas de perte de contrôle, le résultat de cession est calculé sur l intégralité de l entité cédée et l éventuelle part d investissement conservée est comptabilisée au bilan pour sa juste valeur à la date de perte de contrôle Périmètre de consolidation Principales opérations externes réalisées au cours de l exercice. Amundi USA Inc a acquis le 30 septembre 2013 la société Smith Breeden, société de gestion d actifs située aux Etats-Unis. Suite à cette acquisition, Smith Breeden a été renommée Amundi Smith Breeden. Un complément de prix conditionnel a été comptabilisé pour milliers de dollars ( milliers d euros) portant l écart d acquisition à un montant de milliers d euros Autres évolutions du périmètre de consolidation de l exercice : * Entrées dans le périmètre de consolidation : Le dépassement des seuils de significativité a conduit à consolider à compter du 1 er janvier 2013 les sociétés Amundi Malaysia Sdn Bhd et Wafa Gestion, détenues respectivement à 100 % et 34 % par Amundi.

36 La société Amundi Polska, société de gestion d actifs située en Pologne, a été créée le 18 mars Amundi Polska est entrée dans le périmètre de consolidation à compter de sa date de création. La société Amundi Finance Emissions (ex Valinter 15) dépassant les seuils de significativité au cours de l exercice a été consolidée à compter du 1 er janvier * Fusion :La société Amundi AI Holding a été absorbée par Amundi le 30 avril 2013 avec effet rétroactif au 1 er janvier La société Amundi Investment Solutions a été absorbée par Amundi le 30 juin 2013 avec effet rétroactif au 1 er janvier Co-entreprises : AMUNDI group n a pas de participation consolidée dans une co-entreprise OPCVM détenus majoritairement : La consolidation intégrale de tous les fonds détenus par Amundi Group à plus de 40 % aurait pour conséquence la comptabilisation de 100 % des actifs détenus par les fonds (et non de la seule quote-part détenue) et la comptabilisation de la part non détenue par Amundi Group en passifs financiers à la juste valeur par résultat. Au 31/12/2013 la quote-part d actifs des fonds non reconnus s élève à milliers d euros. Le montant d emplois pondérés correspondant est de milliers d euros. Au 31/12/2012 la quote-part d actifs des fonds non reconnus s élevait à milliers d euros et le montant d emplois pondérés correspondant était de milliers d euros. Sociétés françaises : Sociétés consolidées 2.4. Périmètre de consolidation au 31 décembre Evolution du périmètre (a) Méthode % de contrôle 31/12/13 % d intérêt 31/12/13 % de contrôle 31/12/12 % d intérêt 31/12/12 Amundi Group Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi (1) Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi AI Holding S 100,00 100,00 France Amundi AI SAS (2) Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Immobilier Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Investment Solution S Globale 100,00 100,00 France BFT Gestion Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France CPR AM Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Private Equity Funds Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Tenue de Comptes Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Finance Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi Finance Emissions E Globale 100,00 100,00 France Amundi Intermediation Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi IT Services Globale 83,13 83,12 82,88 82,88 France Société Générale Gestion Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Etoile Gestion Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France CLAM Philadelphia Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Amundi India Holding Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Acajou Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 France Sociétés étrangères : Amundi Malaysia Sdn Bhd E Globale 100,00 100,00 Malaysie Wafa Gestion E Equivalence 34,00 34,00 Maroc Implantation Amundi Ltd Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Royaume Uni NH-CA (ex Nonghyup-CA) Equivalence 40,00 40,00 40,00 40,00 Corée Amundi Iberia SGIIC SA Globale 55,00 55,00 55,00 55,00 Espagne Amundi Suisse Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Suisse Amundi Polska E Globale 100,00 100,00 Pologne IKS KB Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 République Tchéque Amundi Hellas Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Grèce Amundi Hong Kong Ltd Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Hong Kong Amundi SGR Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Italie Amundi Real Estate Italia SGR Spa Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Italie Amundi Japan Securities Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Japon Amundi Japan Holding Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Japon Amundi Japan Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Japon Amundi Luxembourg Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Luxembourg Fund Channel Equivalence 50,04 50,04 50,04 50,04 Luxembourg Amundi Singapore Ltd (3) Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 Singapour ABC-CA Fund Management Equivalence 33,33 33,33 33,33 33,33 Chine SBI FM Equivalence 37,00 37,00 37,00 37,00 Inde Amundi USA Inc Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 USA Amundi Investments USA LLC Globale 100,00 100,00 100,00 100,00 USA Amundi Smith Breeden Globale 100,00 100,00 USA

37 a) Entrée (E) et Sortie (S) du périmètre au cours de l excercice. (1) Y compris les succursales de Londres, Francfort, Hong Kong et Amsterdam. (2) Y compris la succursale de Londres. (3) Y compris la succursale de Brunei Participations non consolidées. Ces titres enregistrés au sein du portefeuille «Actifs disponibles à la vente», sont des titres à revenu variable représentatifs d une fraction significative du capital des sociétés qui les ont émis et destinés à être détenus durablement. 12/13 12/12 En milliers d euros pourcentage de pourcentage de Valeur au bilan détention Valeur au bilan détention Resona Holding ,5 % ,5 % Wafa Gestion ** ,0 % Amundi Global Servicing * ,0 % Euroclear ,2 % ,2 % SG Russel AM ,0 % Amundi Malaysia ** ,0 % Amundi Thailand * ,0 % TOBAM Holding Company * ,5 % ,5 % Amundi Australia ,0 % ,0 % Amundi Distributors Inc ,0 % ,0 % Amundi Islamic Malaysia * ,0 % Amundi Canada ,0 % ,0 % Amundi ACBA Asset management * ,0 % DNA ,0 % ,0 % Amundi Taiwan Limited ,0 % ,0 % LCL Emissions ,0 % Vigeo 191 3,8 % 98 3,8 % SGAM Brazil ,0 % ,0 % SGAM Deutschland ,0 % Autres sociétés Total Les sociétés notées * sont retenues pour leur prix de revient dans les comptes. Les sociétés notées ** sont entrées dans le périmètre de consolidation au cours de l exercice. Les principales variations de l exercice correspondent à la souscription au capital des sociétés Amundi Global Servicing, Amundi Thailand et Amundi ACBA Asset Management et à la liquidation de la société SG Russell AM Intégration fiscale. Un groupe d intégration dont Amundi Group est la tête de groupe a été mis en place au 1 er janvier Les sociétés composant au 31 décembre 2013 le groupe d intégration fiscale sont Amundi Group, Amundi, Amundi Alternative Investments SAS, Amundi Finance, Amundi Immobilier, Amundi Intermédiation, Amundi Private Equity Funds, CPR Asset Management, Société Générale Gestion, Amundi India Holding, Amundi Finance Emissions, LCL Emissions, Etoile Gestion et Amundi Tenue de Comptes Ecarts d acquisition. (En milliers d euros) 31/12/12 brut 31/12/12 net Augmentations Diminutions Pertes de valeur Ecart de Autres (acquisitions) (cessions) de la période conversion mouvements 31/12/13 brut 31/12/13 net Amundi Société Générale Gestion Etoile Gestion Amundi Intermediation Amundi Smith Breeden Amundi Japan IKS KB Amundi Private Equity Funds Amundi Immobilier Amundi SGR Amundi Investments USA LLC CPR AM

38 Amundi AI Holding Total Le reclassement de l écart d acquisition entre Amundi AI Holding et Amundi s explique par la fusion des deux sociétés. L unité génératrice de trésorerie (UGT) constituée par l ensemble des sociétés consolidées d Amundi Group a fait l objet d une évaluation selon la méthode des flux de trésorerie actualisés. Cette évaluation n a pas conduit à constater en 2013 de dépréciation des écarts d acquisition. Les hypothèses suivantes ont été utilisées : Flux futurs estimés : données prévisionnelles à 3 ans établies dans le cadre du processus budgétaire, Fonds propres alloués : 8% des emplois pondérés, Taux de croissance à l infini : 2 %, Taux d actualisation : 9,7 %. Une variation des ces hypothèses (+/- 50 points de base du taux d actualisation, +/- 100 points de base du niveau de fonds propres alloués) n aurait pas modifiée la conclusion du test de dépréciation Parties liées. Transactions entre des parties liées (IAS 24). Les parties liées sont les entreprises qui directement ou indirectement contrôlent ou sont contrôlées par, ou sont sous contrôle commun avec l entreprise présentant ses états financiers. AMUNDI Group est partie liée avec les sociétés du Groupe Crédit Agricole, à savoir les Caisses Régionales, Crédit Agricole SA et ses filiales. Aucun montant relatif à ces relations ne fait l objet de provision pour dépréciation. Amundi Group est partie liée avec Société Générale et ses filiales. Principales transactions enregistrées au cours de l exercice 2013 : Résultat : 31/12/13 En milliers d euros CA SA Predica CA CIB Caceis Group Cariparma Friuladria LCL Caisses régionales Incidence dans les rubriques du bilan et compte de résultat Intérêts Commissions nettes Bilan actif : Prêts et créances émis sur EC Comptes de régul, et actifs divers Actifs financiers à la JV par résultat Bilan Passif : Dettes envers les EC Comptes de régul, et passifs divers Passif financiers à la JV par résultat Hors-bilan : Garanties données Garanties reçues Résultat 31/12/13 En milliers d euros Société Générale Crédit du Nord Sogecap Incidence dans les rubriques du bilan et compte de résultat Intérêts Refacturations nettes Commissions nettes Bilan actif Prêts et créances émis sur EC Comptes de régul, et actifs divers Bilan Passif Dettes envers les EC Comptes de régul, et passifs divers Hors-bilan Garanties données Garanties reçues Les informations ci-dessus relatives au résultat ne tiennent pas compte notamment des revenus encaissés sur les OPCVM pour le compte des entités du groupe.

39 Les seules transactions entre Amundi Group et ses principaux dirigeants sont les rémunérations versées au titre des contrats de travail et enregistrées en frais de personnel de la période Risque de taux d intérêt sur le portefeuille bancaire : 3 - Gestion financière, exposition aux risques et politique de couverture La gestion du bilan les risques financiers structurels de taux et de liquidité. 1. Objectifs et politique : L activité principale d Amundi, la gestion pour compte de tiers ne génère pas directement de risque de taux. En l absence d activités récurrentes d emprunts et de crédits, c est essentiellement les fonds propres nets des goodwills et des incorporels qui génèrent un risque de taux selon la politique de placement de ces derniers. L excédent de Fonds Propres, considéré à taux fixe, crée une impasse. La gestion de cette impasse repose sur la politique d investissement de l actif du bilan d Amundi Group. La gestion du risque de taux s inscrit dans le cadre global fixé par CASA pour l ensemble de ses filiales. Elle se fait au niveau consolidé d Amundi Group car les postes du bilan sont les plus significatifs. La gestion du risque de taux s appuie sur 2 mesures effectuées au niveau d Amundi Group consolidé : Le Risque de Taux d Intérêt Global (RTIG), La Valeur Actuelle Nette (VAN). Ces éléments sont présentés à chaque Comité ALM dont la fréquence est trimestrielle. Le comité ALM est l instance qui pilote la gestion des fonds propres et des ratios de risque financier du Groupe Amundi. Il est présidé par le Directeur Général d Amundi Group (ou en son absence par le Directeur Général Délégué), et composé de membres de la Direction Financière, de la Direction des Risques, de la Compliance et de la Direction Générale. Il a pour missions de : Suivre, analyser l évolution du portefeuille de placement (encours, répartition par classe d actifs, performance, risque) et s assurer du respect des limites fixées par la Direction des Risques. Prendre les décisions de gestion nécessaires (allocation des placements volontaires, refinancement, couverture ). Suivre et analyser les risques financiers (risque de liquidité, risque de taux et risque de change). S assurer du respect des ratios réglementaires (Liquidité, AMF ) * Périmètre de compétences : Le Comité a vocation à avoir une vision globale de tous les risques financiers consolidés du Groupe Amundi, de tous les portefeuilles pour compte propre détenus par les entités du Groupe. Le Comité a tous pouvoirs pour décider des politiques de gestion, des investissements et désinvestissements dans le portefeuille. * Fonctionnement et formalisation : Chaque membre permanent du Comité peut être dûment représenté par une personne qu il aura désignée. Pour que le comité puisse se tenir valablement, au minimum 3 membres permanents doivent être présents, dont le Président ou le Vice - Président. L ordre du jour est établi par le directeur Financier. Les décisions sont prises en séance, après avis formulé des différents membres, sur la base de l exposé de la Direction Financière et de l audition éventuelle d un expert sur un sujet traité. Chaque comité donne lieu à un compte-rendu relevant les décisions de la séance. Il est distribué aux membres dans les jours suivants, avec copie à la Direction Financière de Crédit Agricole SA. Les décisions sont mises en œuvre par la Direction Financière. * Procédure de décision accélérée : En cas de nécessité, le Comité ALM peut prendre des décisions entre deux réunions formelles. Dans ce cas, la décision doit être validée par au moins 2 membres permanents, dont le Président du Comité. Ces décisions peuvent être exprimées par échange d s qui seront conservés par le Secrétaire du Comité. Toute décision prise dans le cadre de cette procédure accélérée sera ratifiée lors de la réunion suivante du Comité. 2. Dispositif de mesure et de suivi du risque de taux : * Outils : Amundi Group applique les principes et les normes de gestion des risques structurels définis par Crédit Agricole SA. Le RTIG est un gap de taux d intérêt qui présente sur chaque période la différence signée entre les passifs et les actifs à taux fixe dans une devise donnée. Les postes du bilan sont écoulés sous forme de produits échéances afin de pouvoir mesurer le risque et en assurer la couverture. Ce gap de taux fixe constitue un risque directionnel sur les opérations à taux fixe. La VAN consiste à calculer l impact en P&L d un choc de 200 pb sur les taux (toutes maturités). Elle correspond à la somme actualisée des impacts du choc sur les gaps de chaque année (sur un horizon de 10 ans). * Périodicité des mesures : Ces 2 indicateurs ont été établis 5 fois en 2013, à chaque publication du bilan consolidé (Mars, Juin, Septembre, Novembre et Décembre) et ont fait l objet d un reporting vers CASA via l outil ITAC. * Méthodologie : Principales caractéristiques de ce suivi : Les gaps sont produits pour l ensemble des devises significatives du bilan.

40 Si les 3 critères suivants sont remplis, les montants dans cette devise sont considérés comme significatifs : Leur contribution au bilan représente plus de 1 %, Ils représentent plus d un million d euros, Il n existe pas une politique d adossement systématique. Période de référence utilisée : suivi mensuel jusqu à la fin de l année n+1 (soit 13 à 24 mois selon la date de calcul) puis par année civile afin d avoir des gaps sur les 8 prochaines années. Les encours retenus sur chaque sous période sont des encours moyens. Au cours du second semestre 2013, la durée d écoulement des Fonds Propres et actifs liés est passée de 10 ans à 5 ans. L horizon d écoulement des Fonds Propres a été réduit à un niveau plus homogène avec les investissements effectivement engagés par Amundi. La limite de Risque de Taux a été révisée. Elle est désormais constante à 1.8 Md EUR jusqu à 5 ans. De 6 à 10 ans, elle est constante à 500 MEUR. La limite de VAN est de 180 MEUR. * Présentation des conventions d écoulement utilisées par l établissement (préciser le périmètre couvert, les principales hypothèses retenues, le traitement des options explicites, implicites et comportementales et de la production nouvelle) : Postes de l actif Type de taux Ecoulement Echéance Goodwills Taux Fixe Linéaire 5 ans Titres de participations Taux Fixe Linéaire 5 ans Immobilisations Taux Fixe Linéaire 5 ans Titres de placement : Actions détenues en direct Taux Fixe Linéaire 1 jour Oblig. et TCN en direct Taux Fixe In fine Echéance Oblig. à taux fixe Taux Fixe In fine Echéance Refixing Taux Oblig. à taux variable Taux variable In fine Durée résiduelle OPCVM : OPCVM Monétaire -Actions-Diversifié : Alternatif-Structuré Taux variable In fine 1 jour OPCVM Obligataire Taux Fixe In fine Max 5 ans Prêts subordonnés et autres prêts Nature du Taux Contractuel Contractuelle Actifs d impôts : Impôts courants Taux Fixe In fine 3 mois Impôts différés Taux Fixe In fine 1 an Actifs divers et comptes de régularisation Taux Fixe Linéaire 3 mois Postes du passif Type de taux Type écoulement Echéance Capital, primes, réserves Taux Fixe Linéaire 5 ans Report à nouveau Taux Fixe Linéaire 5 ans Dettes Subordonnées et autres dettes Nature du Taux Contractuel Contractuelle Résultat en formation Taux Fixe In Fine Date de distribution du dividende Résultat en attente d affectation : Partie distribuée sous forme de dividende Taux Fixe In Fine Date de distribution du dividende Partie mise en réserve Taux Fixe Linéaire 5 ans Provisions pour risques et charges Taux Fixe In Fine 1 an Actifs d impôts : Impôts courants Taux Fixe In fine 3 mois Impôts différés Taux Fixe In fine 1 an Passifs divers et comptes de régularisation Taux Fixe In fine 3 mois * Résultats des indicateurs de mesure du risque de taux d intérêt global utilisés par l établissement : Les gaps ont été calculés sur la base du bilan consolidé d Amundi group au 31 décembre Ils reflètent une position emprunteuse à taux fixe.

41 L impasse de taux est en dépassement le 1 er mois de 81 MEUR. Limites ALM sur le gap de taux La VAN : Années Gap Moyen Choc 2 % / Gap Impact annualisé Taux ZC VAN Tx ZC + 2 % VAN Tx ZC 2 % VAN * Dispositif de surveillance du risque de taux : La gestion du Risque de taux est encadrée par des limites validées en CRG CASA. Le Comité des Risques Groupe Crédit Agricole qui s est tenu le 25 septembre 2013 a validé les points suivants : modification des règles d écoulement des fonds propres à 5 ans contre 10 ans Auparavant. la limite est passée à 1.8 Md EUR jusqu à 5 ans, puis constante à 500M de 6 à 10 ans. la limite sur la VAN est passée de 170 MEUR à 180 MEUR. * Dispositif de contrôle permanent de la gestion du risque de taux : La Direction des Risques (RSK) est en charge du contrôle de niveau 2 sur la gestion du risque de taux. Elle contrôle la cohérence des données et des hypothèses utilisées pour la mesure du gap de taux et de la VAN. * Résultats des contrôles permanents menés en matière de risque de Taux : La procédure de contrôle a été appliquée sur la situation au 31/12/2013. La direction des Risques a vérifié la cohérence des données sources et l application correcte des règles d écoulement. L impasse produite et la VAN calculée sont conformes aux règles. Au 31/12/2013, la limite est très légèrement dépassée sur le 1er mois. Ce dépassement de 81 MEUR sera résolu fin mars. Cette situation a été présentée au Comité ALM du 30 janvier

42 * Conclusion synthétique sur l exposition au risque de taux : Le risque de taux d Amundi a essentiellement deux sources : les fonds propres et le portefeuille de placement. Il est principalement dépendant des conventions d écoulement sur ces postes qui ont été revues en 2013 dans le but de prendre en compte les spécificités de l activité d Amundi Le risque de liquidité et de financement Selon le règlement CRBF modifié par l arrêté du 5 mai 2009 : «On entend par risque de liquidité, le risque [ ] de ne pas pouvoir faire face à ses engagements ou de ne pas pouvoir dénouer ou compenser une position en raison de la situation du marché, dans un délai déterminé et à un coût raisonnable». Pour Amundi Group les risque est principalement celui de ne pas pouvoir faire face à ses engagements. Néanmoins, Amundi Group bénéficie structurellement d un excédent de liquidité de par un fort niveau de capitalisation et une activité courante ne nécessitant pas de besoins de liquidité structurelle. Cet excédent de trésorerie est principalement investi en OPCVM maison soit sous forme de «seed money» soit sous forme de «placements volontaires». Il peut également être placé sous forme de prêts sur différentes échéances. Plusieurs activités sont potentiellement «consommatrices» de liquidité : Le financement des appels de marge liés au collatéral des swaps sur fonds garantis : Amundi Finance est la contrepartie de swaps de performance réalisés avec des OPCVM garantis. Le swap entre le fonds et Amundi Finance ne fait pas l objet d accord de collatéral, alors que celui entre Amundi Finance et le marché est collatéralisé. Amundi Finance est donc amené à payer ou recevoir des appels de marge sur ces swaps. Des mesures de soutien aux fonds : Ces mesures de soutien consistent à reprendre en compte propre certains actifs illiquides des fonds. La société porte alors ces actifs jusqu à ce que la liquidité du marché s améliore et qu elle puisse les vendre. Il est néanmoins essentiel de rappeler que la société de gestion n a aucune obligation de procéder à de telles mesures et que celles-ci sont strictement encadrées. Les limites de risque fixées par les organes d Amundi fixent à un plafond absolu de 1Md pour les mesures de soutien. Dans la pratique, l utilisation de cette limite est extrêmement faible, d où la mise en place d un seuil d alerte à DRG CASA dès lors que le seed de soutien excèderait 200 M. Les mesures de soutien mises en place remontent à la crise A fin 2013, il ne reste qu un montant résiduel (moins de 0.5 M ). L aide au démarrage des nouveaux fonds : «seed money d amorçage» : Lors du lancement de nouveaux fonds il arrive parfois qu Amundi Group souscrive dans ces fonds pour leur permettre d avoir une taille suffisante pour pouvoir : être gérés de façon optimale, éviter aux premiers investisseurs d avoir un ratio d emprise trop important. Ce type d investissement dénommé «seed money d amorçage» est décidé en Comité Seed Money sur proposition de la Direction du Marketing Stratégique et après avis des Directions des Risques, de la Compliance et de la Finance. L investissement est décidé pour une durée de 6 mois, éventuellement renouvelable sur nouvelle décision du Comité Seed Money. La durée d investissement de 6 mois n est pas contractuelle, Amundi Group peut décider de désinvestir avant 6 mois en cas de besoin de liquidité. Principales sources de financement long terme : Données d Amundi Group au : Emprunt échéance déc.2017 à 197 M auprès de Crédit Agricole SA London Branch, Emprunts échéance déc.2014 à 150 M auprès de Crédit Agricole SA London Branch. Principales sources de financement court terme : Emprunt en CAD, échéance mars 2014 à 4M CAD auprès de CACIB, Emprunt en USD, échéance janv à 403M USD auprès de CACIB, Emprunt en JPY, échéance janv.2014 à 6Md JPY auprès de CACIB, Emprunt en GBP, échéance avril.2014 à 400 M auprès de CACIB. * Dispositif de mesure et de suivi (et méthodologie utilisée) du risque de liquidité : La liquidité est gérée de façon à répondre aux besoins courants de Trésorerie des entités d Amundi Group dans le cadre des limites données par CASA tout en répondant aux exigences réglementaires. * Suivi de la liquidité au quotidien : Un dispositif de Centrale de la Trésorerie est mis en place au niveau d Amundi Group pour les filiales françaises (cash pooling). Amundi Group refinance par ailleurs à MLT toutes les filiales du Groupe, françaises et étrangères. Amundi Finance, dans le cadre de son activité de collatéral, bénéficie également d une convention de financement conclue avec Amundi Group. En cas d insuffisance de cash collatéral, Amundi Finance peut emprunter auprès d Amundi Group les ressources nécessaires qui seront facturées au taux de Eonia flat. Inversement, si Amundi Finance est bénéficiaire de flux de collatéral, le montant sera intégré dans la Centrale de Trésorerie d Amundi Group contre rémunération à Eonia. Les filiales étrangères gèrent localement leurs excédents de trésorerie dans le cadre d une procédure spécifique. Un tableau de bord permet le suivi quotidien du solde de trésorerie et du respect de la Limite Court Terme attribuée par Crédit Agricole SA. * Reportings à CASA sur base consolidée et respect de la limite CT : Jusqu à fin octobre, un bilan de liquidité sur base consolidée était remonté à CASA via l outil Pelican. Il regroupait l ensemble des postes du bilan de liquidité et leur échéancier, les réserves de liquidité et les prévisions d activité. Ces remontées permettent à CASA de calculer un GAP statique et dynamique, sur la base d un scénario central et de scenarii de crise particuliers et de vérifier que les limites accordées notamment la Limite Court Terme est bien respectée. La synthèse de ces éléments est restituée en comité ALM d Amundi Group. Dans le cadre de Bâle III, un nouvel outil a été développé par CASA et fourni aux filiales afin de répondre aux nouvelles exigences de calcul du LCR. A partir du mois d octobre, le nouvel outil NewDeal a été le seul utilisé pour remonter les données de bilan des établissements de crédit du groupe, élargi progressivement à d autres entités significatives du groupe.

43 Ainsi, à fin décembre, 14 entités étaient intégrées. Sur la base des éléments remontés, le respect de la LCT est vérifié ainsi que l application de scenarii de stress. Tombées cumulées <=1M <=3M <=6M <=12M Ressources de Marché CT Emprunt JJ Emprunt CT CC bancaires Actifs CT Comptes courants bancaires Prêts CT Refi net CT % Théorique de la LCT par maturité 60 % 95 % 97,5 % 100 % Sous Limite de LCT * Déclarations réglementaires sur bases sociales et respect des ratios : Le suivi de la liquidité au niveau réglementaire fait l objet de 2 reportings vis-à-vis de l ACPR pour les établissements de crédit du groupe : Amundi Group, Amundi Finance, Amundi Intermédiation Amundi Tenue de Compte. * Liquidité à 7 jours : Chaque mois est évaluée la situation de trésorerie c est à dire le solde entre les montants de décaissements prévisionnels et les encaissements prévisionnels à sept jours calendaires. * Coefficient de liquidité : Chaque mois le ratio entre les liquidités et les exigibilités à 1 mois est calculé. Quelques jours avant l arrêté comptable trimestriel, le coefficient de liquidité est estimé à la date d arrêté, et des mesures sont prises de manière à assurer son respect en date d arrêté notamment via des accords de refinancement qui sont soumis à la validation de l ACPR. 31/12/12 31/03/13 30/06/13 30/09/13 31/12/13 Amundi Group 146 % 175 % 163 % 162 % 254 % Dont accord de Refi donné à AF 250 M 250 M 250 M 250 M 250 M Amundi Finance 128 % 146 % 223 % 250 % 140 % * Stress scenarii : Plusieurs scenarii de crises sont appliqués. ** Crise idiosyncratique : Objectif : maintenir une situation de trésorerie excédentaire pendant 1 mois en cas de crise de confiance portant sur le seul nom Crédit Agricole. Objectif du Scenario Crise Idiosyncratique Maintenir durant au moins 1 mois une situation de trésorerie excédentaire dans un scénario de crise de confiance portant sur le seul nom Crédit A gricole Hypothèses du scénario Fermeture Partielle de l accès au marché CT : Renouvellement des Ressources CT à 25 % Hypothèse sur les postes du bilan Fermeture totale de l accès au marché LT Prêt/ Emprunt CT Renouvellement à 25 % Prêt / Emprunt LT Engagements Mobilisation des réserves avec de faibles décôtes et faibles Aucun Renvellement (Max 560M - Appels de marge Actif) linéarisé sur 1 mois Hypothèse sur les titres en réserve : Tx décôte Tx & Délai liquéfaction 1 OPCVM à VL quotidienne : a) OPCVM Monétaires 0 % Linéaire sur 1 mois b) OPCVM Obligataires 10 % Linéaire sur 1 mois

44 c) OPCVM Actions & autres 10 % Linéaire sur 1 mois 2 OPCVM à VL non Quotidienne : a) OPCVM monétaires 10 % Linéaire sur 1 mois b) OPCVM obligataires 10 % Linéaire sur 1 mois c) Autres OPCVM 10 % Linéaire sur 1 mois 1M 2M 3M 6M 9M 12M Actifs clientèle (prévisions) Replacement CT (hors dépôts BC et comptes) Replacement LT Comptes courants (actif) Actif cumulé Ressources clientèle (particuliers) Ressources clientèle (PME) Ressources clientèle (corporate non financiers) Refinancement CT (hors banque centrale) comptes courants (passif) Ressources de marché LT Réserves banque centrale Passif cumulé Données supplémentaires (Triggers, intraday, réductio Gap stressé cumulé (hors réserves) (M ) Réserves cumulées (M ) Gap final avec réserves (M ) Ce stress est respecté à fin décembre ** Crise systémique : Crise Systémique Objectif du scénario Maintenir durant au moins 1 an une situation de trésorerie excédentaire dans un scénario de crise systémique Hypothèses du scénario Fermeture Partielle de l accès au marché CT : Renouvellement des Ressources CT à 35 % Fermeture Partielle de l accès au marché LT : Renouvellement des Ressources LT : 0 % pdt 3 mois, 25 % pdt les 3 mois suivants et 50 % sur les 6 mois suivants en moy à 31 % Hypothèse sur les postes du bilan Prêt/ Emprunt CT Renouvellement à 35 % Prêt / Emprunt LT Renvellement des Ressources LT : 0 % pdt 3 mois, 25 % pdt les 3 mois suivants et 50 % sur les 6 mois suivants en moy à 31 % Engagements 2,5 % fonds garantis en cours de vie ou éch dans le mois Hypothèse sur les Titres en réserve : Tx décôte Tx & Délai liquéfaction 1 OPCVM à VL Quotidienne : a) OPCVM Monétaires 10 % Linéaire sur 1 mois

45 b) OPCVM Obligataires 20 % Linéaire sur 3 mois c) OPCVM Actions & Autres 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois 2 OPCVM à VL non Quotidienne : a) OPCVM Monétaires 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois b) OPCVM Obligataires 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois c) Autres OPCVM 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois A fin décembre 2013, sur la base des hypothèses de crise systémique (définies par CASA), Amundi Group ne présente pas de déficit de liquidité sur 1 an : 1M 2M 3M 6M 9M 12M Actifs clientèle (prévisions) Replacement CT (Hors dépôts BC et comptes) Replacement LT Comptes courants (actif) Actif cumulé Ressources clientèle (Prévisions) Refinancement CT (hors Banque Centrale) Ressources de marché LT Reserves Banque centrale comptes courants (passif) Passif cumulé Garanties données Hors bilan cumulé Données supplémentaires intraday, réduction (Triggers, AM sur opérations de dérivés AM sur repos Gap stressé cumulé (Hors réserves) (M ) Réserves cumulées (M ) Gap stressé avec réserves (M )

46 ** Crise globale : Objectif : maintenir une situation de trésorerie excédentaire pendant 2 semaines en cas de crise globale (idiosyncratique et systémique). Objectif du scénario Hypothèses du scénario Crise globale Maintenir durant au moins 2 semaines une situation de trésorerie excédentaire dans un scénario de crise globale (idiosyncratique et systémique) Fermeture totale des marchés (0 % de renouvellement) Mobilisation des réserves de liquidité avec des décôtes Hypothèse sur les postes du bilan : Prêt/ Emprunt CT Auncun Renouvellement lors échéances Prêt / Emprunt LT Auncun Renouvellement lors éch Engagements 2,5 % fonds garantis en cours de vie ou éch dans le mois Hypothèse sur les titres en réserve : Tx décôte Tx & Délai liquéfaction 1 OPCVM à VL quotidienne : a) OPCVM monétaires 10 % Linéaire sur 1 mois b) OPCVM obligataires 20 % Linéaire sur 3 mois c) OPCVM actions & autres 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois 2 OPCVM à VL non quotidienne : a) OPCVM Monétaires 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois b) OPCVM Obligataires 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois c) Autres OPCVM 50 % 50 % Linéaire < 3 mois 50 % 6 mois 1M 2M 3M 6M 9M 12M Actifs clientèle (prévisions) Replacement CT (Hors dépôts BC et comptes) Replacement LT Comptes courants (actif) Actif cumulé Ressources clientèle (Particuliers) Ressources clientèle (PME) Ressources clientèle (corporate non financiers) Refinancement CT (hors banque centrale) comptes courants (passif) Ressources de marché LT Réserves banque centrale Passif cumulé HB contingent (particuliers/pme) HB contingent (corporate non financiers) HB contingent (institutions financières) Garanties données Véhicules de titrisation Hors-bilan cumulé Données supplémentaires (Triggers, intraday, réductio AM sur opérations de dérivés AM sur repos Gap stressé cumulé (hors réserves) (M ) Réserves cumulées (M )

47 Gap final avec réserves (M ) * Dispositif de surveillance du risque de liquidité : Le dispositif de surveillance du risque de liquidité s appuie sur les éléments suivants : un contrôle de la mesure de liquidité (LCT) calculée par la Direction Financière ; ce contrôle est effectué par les Risques ; la fréquence est semestrielle, elle correspond à la fréquence de production par la Direction Financière ; un contrôle plus spécifique sur le risque de liquidité associé au collatéral (évolution méthodologique exposée ci-dessous) : avec une fréquence hebdomadaire, une mesure courante du risque, sur la base d une simple variation du marché actions (variation progressive jusqu à 20 % à la hausse ou à la baisse) ; avec une fréquence mensuelle, une mesure stressée du risque, sur la base de chocs appliqués au marché actions et taux (chocs extrêmes du groupe Crédit Agricole S.A.) ; Ces mesures sont reprises dans le tableau de bord mensuel RSK. * Dispositif de contrôle permanent de la gestion du risque de liquidité : La Direction des Risques (RSK) est en charge du contrôle de niveau 2 sur la gestion du risque de liquidité. Elle contrôle la cohérence des données et des hypothèses utilisées pour la mesure de la LCT, notamment le traitement du portefeuille de placement, l estimation du besoin de collatéral. * Dispositif complémentaire de suivi du risque de liquidité mis en œuvre par les prestataires de services d investissement qui apportent leur garantie de bonne fin : NA. * Pour les établissements de crédit (et les succursales d établissements de crédit ayant leur siège à l étranger) : Le tableau de trésorerie prévisionnelle permet de donner une vision des besoins de refinancement à 1 semaine (7 jours calendaires) en situation courante. Périmètre : Etablissement de Crédit en social. Les opérations sont prises en compte en fonction de leurs dates d engagement et de valeur. Les flux sont renseignés en principal et en intérêts. Les flux de trésorerie sont calculés en Euro ainsi que pour chaque devise significative. Le stock d actifs liquides est constitué des titres investis en placement volontaire avec l application de la décote ci-dessous : monétaire : 0 % obligataires : 10 % autres OPCVM : 10 % * Résultats des contrôles permanents menés en matière de risque de liquidité : La Limite Court Terme de 500M a été occasionnellement dépassée durant quelques jours en août 2013 car les placements en JJ auprès de CASA étaient plus faibles (peu de collateral reçu) face à des emprunts en devises plus importants. La limite Court Terme a été respectée au 31 décembre Concernant les stress scenarii : le stress systémique n a pas été respecté sur une faible durée pour les mois suivants : En février et mai, pendant 4 jours, En mars, pendant 1 semaine, En juin et août, pendant 3 semaines, le stress idiosyncratique a été dépassé sur au maximum 1 semaine au cours de l année Les Risques ont vérifié la cohérence des données sur les principaux postes, notamment le portefeuille de placement et les hypothèses sur le collatéral. Lors de ces contrôles aucune incohérence matérielle n a été décelée. * Conclusion synthétique sur l exposition au risque de liquidité : Le groupe Amundi est globalement excédentaire en liquidité. Cette situation reflète un fort niveau de capitalisation et une activité courante ne nécessitant pas de besoins de liquidité structurelle. A fin 2013, Amundi a néanmoins eu recours à la ligne de crédit court terme accordée par Crédit Agricole SA.A. pour 378 MEUR (limite de 500 MEUR). Les besoins sous-jacents sont essentiellement liés au seed de fonds monétaires et de trésorerie sur la fin d année L activité de collatéralisation qui représente le poste le plus volatil présente un solde positif (cf graphique). Evolution de la situation nette des échanges de collatéral pour Amundi Finance en 2013 (en millions d EUR) :

48 3.2.1 Risque de marché sur les produits garantis : Les engagements relatifs aux fonds garantis sont détaillés ci-dessous : 3.2. Risques de marché. En milliers d euros 12/ /2012 Ordre d établissements de crédit Clientèle Total Les garanties données à la «clientèle» sont celles données par Amundi Finance à des OPCVM pour un montant de milliers d euros. Le montant correspondant aux Indemnités d Engagements Reprises (IER) sur des fonds garantis en création est inscrit dans le poste «Ordre d établissement de crédit» pour un montant de milliers d euros. * Cadre général d intervention en matière de risques sur les produits garantis : ** Politique générale et stratégies risques : Amundi Group et sa filiale Amundi Finance sont les entités habilitées à émettre des garanties en faveur d OPCVM garantis ou de clients de mandats garantis ou de produits obligataires émis par des véhicules dédiés. Les garanties sont conçues comme des aides à la vente nécessaires au développement d activités nouvelles ou constituent des gammes de produits. Une gamme regroupe les produits qui présentent des caractéristiques homogènes (type de garantie, règles de gestion) et entrent dans le même cadre de suivi et de reporting. Les stratégies de développement sont établies en fonction de l environnement réglementaire, de la demande clientèle et des stratégies commerciales. ** Périmètre de mesure et de surveillance des risques : Le périmètre de mesure et de surveillance des risques sur les produits garantis s est élargi en 2013 avec le démarrage d une activité d émission obligataire, effectuée depuis des véhicules consolidés par Amundi Finance (Amundi Finance Emission et LCL Emission). ** Cartographie des risques : La nature des risques encourus par le garant dépend de la typologie des fonds garantis : fonds gérés en assurance de portefeuille d une part, fonds structurés d autre part, obligations structurées pour finir. Les fonds gérés en assurance de portefeuille ont pour objectif d offrir une participation partielle au rendement d actifs risqués, ceci étant accompagné d une garantie définie à l origine. Le fonds est composé pour partie d un actif dit risqué, porteur de risque de marché, pour partie d un actif dit de monétarisation, dont la détention permet de faire face à la garantie émise. La proportion d actif de monétarisation peut en principe est comprise entre 0 % et 100 %. Dans les conditions de marché actuelles, les fonds démarrent généralement avec une proportion non nulle d actif de monétarisation. Le gérant dispose d une marge de gestion qu il peut utiliser pour des investissements en actifs risqués sans pour autant mettre en risque la garantie. Cette marge, appelée «coussin», est égale à la différence entre la valeur réelle du portefeuille et la valeur actualisée de la garantie. Les règles d allocation entre actifs risqués et non risqués sont strictes : le paramètre de perte (perte maximale sur les positions risquées) doit rester à tout moment inférieur au coussin. En cas de baisse de la valeur de l actif risqué, la valeur résiduelle du fonds une fois réinvestie en actifs sans risque doit permettre d atteindre le montant garanti (au moment de la monétarisation pour les garanties continues ou à l échéance pour les garanties à échéance). Les fonds structurés ou «à formule» ont pour objectif de livrer un rendement prédéfini, sur la base d une formule. Les caractéristiques des portefeuilles sont précisément établies par un montage qui combine un adossement et des produits dérivés (swaps de performance). L adossement peut être constitué d obligations ou de pensions (on parle de fonds à formule taux) ou d actions (on parle de fonds à formule PEA). En principe, le fonds n a pas besoin du garant pour atteindre la formule. Hormis conditions particulières (défaut d une contrepartie ou d un émetteur, évolution des spread défavorable cumulée avec des rachats importants, risques opérationnels) le garant n est pas appelé. Cette activité peut donner lieu à la prise de risque de marché marginaux à plusieurs titres : un mécanisme d engagements de reprise : la taille du swap de performance sur lequel repose le montage du fonds dépend de la souscription. Pour fixer le niveau de la formule servie au client, il est nécessaire de figer la taille du swap avant le lancement du fonds qui intervient ulétrieurement. Dans ce cadre, le garant Amundi Finance s engage pour le compte du fonds à acheter le montant nominal théorique fixé à l origine en cas de non lancement du

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