La précarité énergétique des ménages dans leur logement sur le SCOT de l Angoumois

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1 La précarité énergétique des ménages dans leur logement sur le SCOT de l Angoumois Avril Carte d identité du territoire et chiffres-clefs Nombre d habitants SCOT (2012) : Nombre de communes SCOT : 38 Nombre de personnes prises en compte dans l étude 1 : Nombre de ménages (2008) : Nombre de ménages hors étudiants (2008) : En considérant un scénario de forte hausse des coûts de l énergie, plus d une personne sur 10 (un ménage sur cinq) serait exposée, soit un point de plus qu à l échelle départementale. Cette différence entre le nombre de personnes et de ménages s explique comme nous allons le détailler ci-après par le nombre important de ménages composés d une seule personne. Les étudiants ont été retirés de l analyse compte tenu de la difficulté d estimer leur revenu disponible et du fait de la grande mobilité de cette population. Note de lecture du tableau : Au coût de l énergie 2011 : ménages hors étudiants (12%) sont exposés à la précarité énergétique soit personnes hors étudiants (8%). En cas de hausse rapide des tarifs de l énergie (prospective 2016) : ménages supplémentaires sont exposés (+8% soit 20% au total) soit personnes (+6% soit 14% au total). 2. Définitions Précarité énergétique liée au logement : Est en situation de précarité énergétique, un ménage qui «éprouve dans son logement des difficultés particulières à disposer de la fourniture d énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison notamment de l inadaptation de ses ressources et de ses conditions d habitat» (loi Grenelle II). Taux d Effort Energétique (TEE) : Part du revenu disponible consacrée par un ménage à ses dépenses d énergie pour un usage domestique. L exposition à la précarité énergétique commence lorsque le TEE d un ménage dépasse le seuil des 10%. Ménages «aux portes de la précarité énergétique» : ménages exposés à la précarité énergétique après une forte hausse des coûts de l énergie (estimation des coûts à court terme, 2016). 1 Ecart entre le nombre d habitant et le nombre de personne considéré dans l étude dû au traitement statistique. 1

2 3. Trois principaux profils Avant de détailler ci-après les caractéristiques les plus marquantes des ménages et de leur logement, trois profils de ménages se distinguent plus particulièrement par leur forte exposition à la précarité énergétique et leur nombre plus important au sein du territoire. Ce sont d une façon générale, les ménages qui combinent un revenu disponible faible et une facture énergétique élevée. Cette dernière résulte elle-même de plusieurs facteurs qui peuvent également se combiner : - De mauvaises performances énergétiques du logement - Une surface de logement supérieure aux besoins du ménage - Des comportements énergivores des occupants - Un coût élevé de l énergie consommée Dans l ensemble, cette méthodologie met en exergue trois populations plus touchées que les autres : les ménages jeunes venant de se former mais aussi et surtout les ménages composés de personnes âgées de plus de 60 ans. Dans une moindre mesure les familles monoparentales sont également concernées. % et Nombre des ménages exposés Nombre 8 % % % 900 Parmi tous les profils caractérisables par la série de variables utilisées dans l étude, ces trois populations sont détaillées ci-dessous : 3.1. Les jeunes vivant seuls Les personnes vivant seules sont les plus exposées (une personne seule sur quatre) et représentent trois quart des ménages exposés (hors étudiants). Lorsque le référent 2 d un jeune ménage est sans activité professionnelle, ouvrier ou employé qu il a moins de 35 ans et lorsqu il est locataire de son logement chauffé au gaz naturel ou à l électricité de 25 à 100 m², alors, son ménage est particulièrement exposé : 400 ménages seraient dans cette situation soit autant de personnes qui représentent 5,4 % du total des ménages exposés (hors étudiants) sur le SCOT de l Angoumois Les ménages âgés d une seule personne ou en couple Après une population jeune particulièrement exposée, à l autre bout de la pyramide des âges, les personnes âgées seules ou en couple sont également très touchées. A plus de 60 ans, lorsque ces personnes vivent seules ou en couple qu elles possèdent une résidence principale de plus de 100 m² chauffée au fioul ou au gaz naturel. Ces ménages représentent : ménages soit 20 % du total des ménages exposés (hors étudiants) du SCOT de l Angoumois Les familles monoparentales Les familles monoparentales sont le deuxième type de ménage concerné par la précarité énergétique après les personnes seules (plus d une famille sur six). Cependant leur nombre est limité à 12% du nombre total de ménages exposés sur le SCOT de l Angoumois contre 74% pour les personnes seules. La majeure partie de ces familles exposées (5,2%) ont un référent dont la profession appartient à une catégorie socioprofessionnelle à revenu faible (sans activité professionnelle, ouvrier ou employé). Il est locataire de son logement chauffé au gaz naturel ou au chauffage urbain (souvent utilisé pour les logements collectifs HLM) et d une surface supérieure comprise entre 70 à 100 m². 400 familles sont dans cette situation soit personnes environ. 2 Au sens de l Insee, un référent de ménage est la personne du ménage qui répond à plusieurs règles dont les principales sont les ressources apporté au ménage, l âge, le fait d être actif ou non et le sexe. Ce sera donc en priorité la personne la plus âgée puis la personne active et enfin l homme s ils ont le même âge et si les deux sont actifs. 2

3 4. Où se situent les ménages exposés à la précarité énergétique? Taux d exposition des ménages (hors étudiants) Ci-contre, la carte du taux de ménages exposés à la précarité énergétique dans le total des ménages de la commune hors étudiants. Avec étudiants, le cœur d Angoulême s assombrit légèrement. En zone rurale, la taille moyenne des logements augmente et les revenus disponibles sont inférieurs à ceux des milieux urbain et périurbain ce qui explique un taux d exposition plus élevé. Sur la Communauté d Agglomération, un halo d exposition se trouve sur la commune d Angoulême. En périphérie, les communes périurbaines d Angoulême sont plutôt épargnées avec des revenus et des catégories socioprofessionnelles supérieurs plus nombreux ainsi que des logements plus récents. Ci-dessous, la carte des factures énergétiques moyenne des ménages (numérateur du TEE) et celle des revenus disponibles (dénominateur du TEE). Le rapport entre les deux fournit la carte ci-contre. Un territoire moins exposé par rapport au reste de la Charente Facture énergétique moyenne des ménages Revenu disponible moyen des ménages Angoulême Angoulême 3

4 5. Qui sont les ménages exposés à la précarité énergétique? Les caractéristiques des ménages et des logements, 14 au total, peuvent se croiser deux à deux pour approfondir l analyse et identifier les facteurs d exposition à la précarité énergétique Les personnes seules et les familles monoparentales les plus vulnérables Tous modes de cohabitation confondus, les ménages âgés de plus de 60 ans apparaissent comme les plus vulnérables. Cela est particulièrement marqué chez les personnes seules qui comptent le plus d effectifs. Parmi cesdernières, le quatrième âge est encore davantage touché : plus d un ménage sur quatre dont le référent vit seul et a plus de 75 ans (29%). Ce constat s explique et se renforce par l analyse de la taille du logement et la distribution des ménages selon leur catégorie socioprofessionnelle et leur revenu. En effet, les ménages dans le courant de leur vie vont occuper des logements de taille croissante avec davantage de logements de moins de 70 m² lorsque les référents ont moins de 45 ans et plus de 100 m² pour les plus de 60 ans. Cette augmentation de taille induit une surconsommation d énergie et alourdi la facture dès lors que le revenu chute, en particulier au passage à la retraite. Sur le SCOT de l Angoumois, les retraités et les personnes sans activité professionnelle représentent 72% des référents des ménages exposés. Cette proportion est inférieure à celles du département (79%) et de la région (80%). Les catégories socioprofessionnelles aux revenus disponibles faibles sont plus concernées par la précarité énergétique. En revanche, cette situation affecte davantage les employés et les ouvriers que les agriculteurs exploitants. Cependant, parmi les ménages retraités et exposés, le référent est souvent (environ un sur deux parmi tous les ménages exposés, quatre ménages sur cinq parmi les retraités exposés) ancien agriculteur, ancien employé 4

5 ou ancien ouvrier. Les référents sans activité professionnelle sont nombreux dans la tranche de revenu la plus faible (<15 k par an) et de fait ont une exposition très marquée : un ménage sur trois. Les retraités et les employés sont respectivement les deux autres catégories socioprofessionnelles les plus concernées. Les retraités continuent à être très exposés dans la tranche de revenus de 15 à 25 k et sont encore très nombreux dans cette fourchette. Par âge du référent du ménage, un ménage sur huit hors étudiants est exposé lorsque le référent a entre 60 et 74 ans et un ménage sur cinq lorsque ce dernier a plus de 75 ans. Ce constat n est pas spécifique au SCOT mais les catégories exposées le sont bien moins qu à l échelle de la Charente où le caractère rural accentue l exposition des personnes âgées. Les autres tranches d âge semblent davantage épargnées bien que les ménages hors étudiants dont le référent à moins de 25 ans, sont sensiblement plus touchés. Cela s explique par un revenu disponible en début de vie active plus faible en moyenne que pour les autres tranches d âge. L exposition des ménages propriétaires de leur logement est plus faible (8%) sur le SCOT de l Angoumois que sur le département (14%) ou la région (13%). Par ailleurs, la part de ménages propriétaires dans le total des ménages est plus faible sur le SCOT qu en Charente et en région, respectivement 58 % et 67 %. La propriété de sa résidence principale offre l avantage de pouvoir plus librement investir dans la réhabilitation thermique de son logement. Cette acquisition représente néanmoins un frein à la mobilité pour les ménages dont le logement n est plus adapté à leur besoin et à leur mode de vie (couple dont les enfants sont partis et qui se retrouve dans un grand logement) Des ménages exposés surtout dans les grands logements La première variable à influencer l exposition à la précarité énergétique est la taille du logement qu il s agisse de la superficie ou du nombre de pièces. La superficie moyenne des logements du SCOT avoisine les 91 m² contre 85 pour le SCOT du Seuil du Poitou et 100 m² pour la région. Les logements de grande taille (> 100 m²) sont moins nombreux et moins exposés qu au niveau départemental : moins d un sur 5 de plus de 150 m² est exposé pour le SCOT contre un sur 4 en région. Les ménages les plus exposés sont ceux qui vivent dans des logements de plus de 5 pièces. Concernant le type de logement, les appartements, généralement plus petits et moins exposés au froid par les parties mitoyennes représentent 29 % du nombre total de résidences principales ce qui est une différence importante dans la comparaison avec le département ou la région (respectivement 16% et 18%). Cependant, les consommations unitaires ainsi que les taux d exposition des maisons individuelles et des appartements sont très proches. Contrairement à l échelon régional et compte tenu du caractère plus urbain du SCOT de l Angoumois, le taux d exposition est plus important pour les communes urbaines (Une commune urbaine est constituée d un bâti continu d au moins 200 mètres et dénombre minimum de 2000 habitants). 5

6 Au sein de ces zones urbaines, les logements construits avant 1975 sont les plus exposés, près d un ménage sur huit (13%). La moindre qualité thermique des bâtiments explique cette exposition particulièrement élevée compte tenu de l absence de règlement thermique à ces périodes et du peu d information concernant le niveau de réhabilitation de ces logements depuis leur construction L énergie de chauffage pèse peu dans l exposition à la précarité énergétique Enfin, les profils énergétiques du SCOT de l Angoumois divergent de ceux du département par la proportion importante de logement au gaz naturel et à l électricité qui sont de loin les deux énergies les plus fréquentes. Les logements équipés au fioul ont une exposition deux fois moindre qu au niveau départemental (16% du total des ménages au fioul contre 29% en Charente). Ces logements au fioul se situent dans la couronne périurbaine avec des ménages qui ont en moyenne des revenus supérieurs au reste du milieu rural équipé avec la même énergie L exposition à la précarité énergétique n est pas directement liée au coût de l énergie principale de Chauffage mais dépend de la combinaison des facteurs qui rentrent en compte dans la qualité thermique du logement (en particulier la surface et la période de construction) et du revenu disponible du ménage (mode de cohabitation et catégorie socioprofessionnelle). En effet, les deux énergies les plus chères sont le GPL (gaz en bouteilles ou citerne) et l électricité or ce ne sont ni celles qui comptent le plus de ménages exposés en nombre ni celles dont les taux d exposition sont les plus élevés : respectivement 13% et 5%. De même, les ménages chauffés au chauffage urbain (pourtant moins onéreux que le fioul ou l électricité : 8 c /kwh et permettant de mutualiser les coûts au sein du réseau de chaleur) sont fortement exposés : un ménage sur trois et ce, du fait de catégories socioprofessionnelles moins favorisées (personnes sans activités professionnelle, retraités, employés ou ouvriers)(cf. ci-avant) Quelques pistes de réflexion Au regard des profils de ménages les plus concernés et des caractéristiques des logements qu ils occupent, quelques pistes de réflexion seraient envisageables pour réduire leur exposition à la précarité énergétique : - Continuer à limiter l étalement urbain et à encourager la compacité du parc résidentiel au sein des bourgs ou des agglomérations. - Inciter à la mise en place avec l appui de bailleurs sociaux, de logements collectifs multigénérationnels qui regrouperaient des personnes âgées avec des étudiants ou de jeunes ménages seuls. Cela permettrait de créer du lien social, de limiter la dépendance de ces personnes vulnérables et d améliorer le taux d occupation des logements. - Innover dans des instruments économiques encourageant la réhabilitation thermique des logements. - Développer la modularité des logements et des surfaces chauffées en fonction de l occupation totale ou partiel du logement au cours de la vie du ménage. 6

7 6. Méthodologie L étude socio-économique sur la précarité énergétique du SCOT de l Angoumois s appuie sur les données du Recensement de la Population (Insee) 2008 qui collecte des informations sur tous les logements et les caractéristiques de ses occupants à l échelon communal. Les informations relatives au bâti (période de construction, énergie, type d habitat, type de chauffage) permettent, par croisement avec les données de consommation unitaire du CEREN corrigées du climat (source ATMO), une reconstitution de la consommation énergétique de chaque logement. Le modèle considère une réhabilitation moyenne du parc mais ne prend pas en compte les projets locaux ni les efforts récents de réhabilitation des logements. Il ne prend pas en compte l effet comportemental des ménages (auto-restriction ou surconsommation) ce qui permet de comparer leur consommation d énergie à isocomportement. Seules les résidences principales sont prises en compte. Les consommations énergétiques sont présentées en énergie finale et en données réelles. Multipliées par les tarifs énergétiques 2011, les consommations d énergie sont transformées en factures énergétiques. Une prolongation de la tendance des cours de l énergie issus du service statistique du ministère a été effectuée pour la prospective à court terme (2016) sauf pour l électricité et le bois où des taux de croissance annuels moyens ont été appliqués. Les quatre usages de l énergie qui sont pris en compte sont : le chauffage, l Eau Chaude Sanitaire, la cuisson et l électricité spécifique. Le revenu disponible est affecté à chaque ménage par un modèle économétrique réalisé par l Insee et appliqué aux ménages du Recensement de la Population Au résultat, cette méthode permet d estimer le Taux d Effort Energétique pour chaque ménage de la région Poitou- Charentes à l échelon communal. Pour en savoir plus : oreges@arecpc.com Agence Régionale d Evaluation environnement et Climat 60 rue Jean Jaurès CS POITIERS Cedex Tél : Fax :

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