Un positionnement par GNSS: le DGPS
|
|
- Théophile Guérard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Séminaire INRETS : «GPS et précision: comment avoir les deux?» Un positionnement par GNSS: le DGPS François FUND Doctorant 3ème année Laboratoire de Géodésie et Géomatique de l ESGT/CNAM 1, Bd Pythagore Le Mans François FUND Séminaire INRETS DGPS page 1 Bron, le 2 décembre 2008
2 Plan 1. Généralités sur les systèmes GNSS 2. Les signaux GPS 2.1. Les observables de pseudo-distance 2.2. Les observables de phase 2.3. Les sources d erreurs: la propagation atmosphérique L ionosphère La troposphère 2.4. Autres sources d erreurs 2.5. Equations développées des observables GPS 3. Procédés statistiques de positionnement par GPS 3.1. La méthode des moindres carrés 3.2. Le filtre de Kalman François FUND Séminaire INRETS DGPS page 2 Bron, le 2 décembre 2008
3 4. Stratégies de positionnement par GPS 4.1. Le positionnement absolu ou «naturel» Positionnement «naturel» avec code seul Le lissage du code par la phase («smoothing») Positionnement absolu avec phase 4.2. Le positionnement différentiel Principes généraux Une méthode: la différenciation des observations Une seconde méthode: le calcul de corrections Application en temps réel 5. Les systèmes d augmentation DGPS (SBAS) 6. Bilan 5.1. Les SBAS globaux 5.2. Les SBAS régionaux 5.3. Les réseaux nationaux François FUND Séminaire INRETS DGPS page 3 Bron, le 2 décembre 2008
4 1. Généralités sur les systèmes GNSS François FUND Séminaire INRETS DGPS page 4 Bron, le 2 décembre 2008
5 GNSS : Global Navigation Satellite System Comprend : NAVSTAR GPS : système américain (depuis 1970) GLONASS : système russe (depuis 1970) GALILEO : système européen (2013?) Chinese Navigation Satellite System: Compass (Beidou-2) (2009?) Indian Regional Navigation Satellite System (2012?) Quazi-Zenith Satellite System: système japonais (2012?) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 5 Bron, le 2 décembre 2008
6 Caractéristiques orbitales: GPS GLONASS # de sat Plans orbitaux 6 (~55 ) 3 (~65 ) Excentricité Faible Forte Période de révolution 11h 56min 11h 15min Altitude ~ km ~ km GPS + GLONASS GALILEO COMPASS IRNSS QZSS # de sat Orbites Géostat.(0 ) Géostat. (0 ) 3 plans inclinés + + à 56 Inclinées à 45 Géosynchrones Premiers lancements Géosynchrones inclinées 28/12/ /10/2000 mi-2009? 2009? François FUND Séminaire INRETS DGPS page 6 Bron, le 2 décembre 2008
7 Etat de la constellation GPS (au 21/07/08): Bloc # sat. L1 C/A L1 P/Y L1 M L2 C L2 P/Y L2 M L5 I 0 II 0 II-A 13 II-R 12 II-R-M 6 II-F 0 Signal M : militaire Signal C : Civil Signal L5: lancements bloc II-F prévus début 2009 Satellite GPS II-F François FUND Séminaire INRETS DGPS page 7 Bron, le 2 décembre 2008
8 Signaux des constellations II-A et II-R: FREQUENCE FONDAMENTALE 10,23MHz : L1 1575,42 MHz Code C/A 1,023 MHz Code P 10,23 MHz 120 L2 1227,60 MHz Code P 10,23 MHz 50 BPS MESSAGE SATELLITE François FUND Séminaire INRETS DGPS page 8 Bron, le 2 décembre 2008
9 2. Les signaux GPS François FUND Séminaire INRETS DGPS page 9 Bron, le 2 décembre 2008
10 2.1. Les observables de pseudo-distance (modèle simplifié) (1/2) Mesure basée sur la mesure du temps de propagation du signal entre l antenne satellite et l antenne récepteur rapporté en distance avec la célérité j c. Δ t = t t i R E Mais, horloges satellite ET récepteur biaisé/temps GPS j ( ) ( ) j c. Δ t = t dt t dt i R Ri E E Donc : R = c Δ t = + c dt dt. ρ.( ) j j j j i i i E Ri En pratique : Basé sur le calcul du temps de corrélation de la réplique du code pseudo-aléatoire (C/A ou P) généré par le récepteur avec le code reçu du satellite (signal créneau) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 10 Bron, le 2 décembre 2008
11 2.1. Les observables de pseudo-distance (modèle simplifié) (2/2) Biais d horloge satellite dt j Code généré «trop tôt» Heure d envoi Code généré par le satellite Heure de réception Code reçu du satellite Code généré localement Biais d horloge récepteur dt i dt j Réplique générée «trop tard» Δt Durée vraie du parcours Durée mesurée François FUND Séminaire INRETS DGPS page 11 Bron, le 2 décembre 2008
12 2.2. Les observables de phase (modèle simplifié) (1/2) Basé sur la mesure (biaisée) de déphasage entre la réplique du signal de la porteuse (L1 ou L2) générée par le récepteur avec le signal reçu du satellite Δ =Φ Φ j j ϕ i Ri E Problème : Le caractère sinusoïdal du signal ne permet pas une mesure proche de la distance récepteur-satellite; déphasage entre 0 et 1 - La mesure de phase est ambiguë - Un terme d ambiguïté par satellite à t: nombre de cycles réalisés par le signal entre satellite et récepteur Mais : récepteurs possèdent compteur de cycles permettant de mettre à jour la mesure de déphasage à des valeurs entières j ( ) nt ( ) j λ. Δ ϕ = Φ Φ + i Totale Ri E R François FUND Séminaire INRETS DGPS page 12 Bron, le 2 décembre 2008
13 2.2. Les observables de phase (modèle simplifié) (2/2) Le compteur de cycle permet de lever le caractère stochastique du nombre de cycles inconnus réalisés par le signal - Le terme d ambiguïté est constant - Une valeur différente pour chaque satellite Sans compteur: un terme pour chaque époque et satellite Donc : défaut de rang de 4 des équations normales (cf. moindres carrés) à chaque époque en positionnement absolu (coordonnées + offset récepteur) Avec compteur: redondance des observations et estimation possible pour périodes sans sauts de cycles ou absence de données François FUND Séminaire INRETS DGPS page 13 Bron, le 2 décembre 2008
14 2.3. Les sources d erreurs: la propagation atmosphérique L atmosphère terrestre : François FUND Séminaire INRETS DGPS page 14 Bron, le 2 décembre 2008
15 L'ionosphère (1/4) - S étend de 60 à 800 km environ - Milieu contenant des électrons qui affectent les ondes radio - Phénomène à variations spatiotemporelles -Dépend de l activité solaire Cycle d environ 11 ans - Période : effets iono minimum François FUND Séminaire INRETS DGPS page 15 Bron, le 2 décembre 2008
16 L'ionosphère (2/4) Indice de réfraction modélisé par un développement polynomial : c2 c3 c4 n ph = f f f c f 2 2 pour les ondes porteuses (L1 et L2) n gr 1 c f 2 2 pour les ondes modulées (C/A et P) - Effets iono dépendent de la fréquence du signal - Les ondes L1 et L2 sont accélérées - Les ondes de code sont ralenties Ionosphère = milieu dispersif De l ordre de 0 à 15 m au zénith et jusqu à 45 m à basse élévation!! François FUND Séminaire INRETS DGPS page 16 Bron, le 2 décembre 2008
17 L'ionosphère (3/4) Le coefficient c 2 dépend du nombre d électrons libres Une correction ionosphérique est : δρ 40.3 = + / TEC f iono gr / ph 2 Avec récepteurs bi-fréquences, élimination par combinaison «iono-free» (LC) Avec pseudo-distance : Avec phase : f f RIF = R R f f f f f f f Φ IF = Φ Φ f f f f Soit : R = R R Φ IF = Φ Φ2 IF 1 2 Bruit combinaison LC > bruit sur L1/L2 ou R1/R2!! Pour courtes lignes de base, combinaison à éviter car effets corrélés donc éliminés par simple différence François FUND Séminaire INRETS DGPS page 17 Bron, le 2 décembre 2008
18 L'ionosphère (4/4) - Dépend de l élévation - Une valeur par satellite car milieu considéré non isotrope François FUND Séminaire INRETS DGPS page 18 Bron, le 2 décembre 2008
19 La troposphère (1/3) S étend de 0 à 10/12 km d altitude Milieu électroniquement neutre Indice de réfraction dépend seulement de pression partielle air sec, température et pression partielle vapeur d eau : PS e n = k + T T 1. + k2. k3. e T 2 Troposphère = milieu non dispersif Au zénith : effets troposphériques valent : ZTD. = n ds Peuvent atteindre 2/3 m au zénith et jusqu à 30 m à basses élévations!! Problème principal: détermination de la contribution humide François FUND Séminaire INRETS DGPS page 19 Bron, le 2 décembre 2008
20 La troposphère (2/3) Première solution: modélisation Nombreux modèles de correction troposphérique Utilisent une décomposition en atmosphère hydrostatique et humide (85% et 15% des effets) ZTD = ZHD + ZWD Partie hydrostatique Partie humide Mais, modélisation de l humidité délicate, aujourd hui aucun modèle efficace Deuxième solution: estimation Pour longues lignes de base (> 100/200 km), estimation de ZWD François FUND Séminaire INRETS DGPS page 20 Bron, le 2 décembre 2008
21 La troposphère (3/3) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 21 Bron, le 2 décembre 2008
22 2.4. Autres sources d erreurs (1/3) Les orbites: - Dépend de l orbite choisie : - Orbites radiodiffusées : 160 cm - Orbites précises (sp3) : <5 cm à ~10 cm - Effet réduit en positionnement différentiel, suivant longueur ligne de base db dr - Règle géométrique : = B R Ligne de base Orbites Radiodiff. Précises 1km ~0 ~0 100km 8.0mm 0.5mm 1000km 80mm 5.0mm François FUND Séminaire INRETS DGPS page 22 Bron, le 2 décembre 2008
23 2.4. Autres sources d erreurs (2/3) Les multitrajets: Lors des mesures GPS, hypothèse de trajectoire rectiligne Mais, possibilité de réflexion sur surfaces réfléchissantes et surestimation des mesures Effet perturbateur < 1 cycle, pouvant gêner la résolution des paramètres Solutions multiples : choix du site, angle d élévation minimum des satellites, antenne chock ring... François FUND Séminaire INRETS DGPS page 23 Bron, le 2 décembre 2008
24 2.4. Autres sources d erreurs (3/3) Les variations de centre de phase (PCV) Mesure des phases contenues dans un volume dépendant de l élévation De l ordre de quelques millimètres à basse élévation!! Ex: correction antenne LEICA 303 François FUND Séminaire INRETS DGPS page 24 Bron, le 2 décembre 2008
25 2.5. Equations développées des observables GPS Mesures de pseudo-distance : Mesures de phase :.( ),,,,,,, R = ρ + c dt dt + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ j j j j iono j tropo j multi j antenne j orbite j rel j elec i i E Ri i i i i i i i ( ),,,,,,,, L = ρ + c. dt dt λ. N δρ + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ + δρ j j j i j j iono j tropo j multi j antenne j PCV j orbite j rel j elec i i E R i i i i i i i i i Avec :, - δρ j antenne i Les erreurs liées aux excentrements d antennes -, δρ Les erreurs liées à la relativité : plus la vitesse d un mobile j rel i est grande, moins le temps passe vite ; v sat = 3km/s, - δρ j elec i Les retards électroniques François FUND Séminaire INRETS DGPS page 25 Bron, le 2 décembre 2008
26 3. Procédés statistiques de positionnement par GPS François FUND Séminaire INRETS DGPS page 26 Bron, le 2 décembre 2008
27 3.1. La méthode des moindres carrés classique Procédé basé sur la redondance d observations et un modèle d observation linéaire de la forme : A. ˆ = B+ vˆ Principe : A chaque jeu d observations, sont associées des équations linéaires permettant de rechercher un estimateur sans biais qui minimise la quantité : = vˆ / σ i i i Cet estimateur a pour expression (tirée des équations normales) : χ T ( ) 1 ˆ T = A. P. A. A. PB. De variance-covariance, a priori : T ( A PA) 1 ˆ =.. François FUND Séminaire INRETS DGPS page 27 Bron, le 2 décembre 2008
28 3.2. Le filtre de Kalman (1/2) Principe statistique tenant compte d informations a priori sur le mouvement du point Compromis pour: - mesures de faibles précisions - faible redondance d observations (positionnement dynamique) - fiabilité du positionnement Modèle de transition Équation d observation État à k État prédit à k+1 Vers k+2 État estimé à k+1 Observations prédites Mise à jour Observations mesurées Gain de Kalman François FUND Séminaire INRETS DGPS page 28 Bron, le 2 décembre 2008
29 3.2. Le filtre de Kalman (2/2) Système matriciel fondamental: k + 1 = Ak. k + vk + 1 ( S ): Yk + 1 = H k + 1. k wk + 1 Avec : - : le vecteur d état du système - A : la matrice de transition d état - Y : le vecteur des observations - H : la jacobienne - v et w les bruits respectifs de l équation d état et de l équation d observation On suppose les bruits blancs, gaussiens et indépendants On a alors : 1/2 ( i ) 1/2 ( 0, i ) vi N 0, Q Qi 0 ; E( vi, wi) = w 0 R i N R i La difficulté du filtre est le réglage des variances des bruits François FUND Séminaire INRETS DGPS page 29 Bron, le 2 décembre 2008
30 4. Stratégies de positionnement par GPS François FUND Séminaire INRETS DGPS page 30 Bron, le 2 décembre 2008
31 4.1. Le positionnement absolu ou «naturel» C/A L1 L2 P1 P2 Code seul Temps Différé Temps Rarement utilisé GPS naturel civil Réel GPS naturel militaire Naturel Code lissé par la phase Temps Différé Temps Réel Rarement utilisé GPS naturel civil lissé par la phase Code + phase Temps Différé Temps réel Possible Possible François FUND Séminaire INRETS DGPS page 31 Bron, le 2 décembre 2008
32 Positionnement «naturel» avec code seul (1/6) Moindres carrés: Equation d observation standard: R = ρ cdt. + v j j j i i Ri i Ensemble des sources d erreurs corrigées a priori ou absorbées dans le bruit 4 paramètres à estimer par époque :, Y, Z (coordonnées géocentriques) et dt i Equation nécessite linéarisation au 1 er ordre de Taylor Formation du système : ( k0 ) ( ) R R cdt j j j i i = ρi ( k0) +. k k0. Ri k 0 ( k0 ). ( ) R R R j j j i i i ( k0) = k k0 k 0 Système non linéaire donc estimation récursive François FUND Séminaire INRETS DGPS page 32 Bron, le 2 décembre 2008
33 Positionnement «naturel» avec code seul (2/6) Exemple: station VOUR (sud de Lyon) sur 24h le 16/11/2008 (jour 321) Moindres carrés σ Nord ~1.4m ; σ Est ~1.8m ; σ Up ~4.0m François FUND Séminaire INRETS DGPS page 33 Bron, le 2 décembre 2008
34 Positionnement «naturel» avec code seul (3/6) Moindres carrés σ Nord ~0.7m ; σ Est ~0.9m ; σ Up ~2.0m Réduction de 50%!! François FUND Séminaire INRETS DGPS page 34 Bron, le 2 décembre 2008
35 Positionnement «naturel» avec code seul (4/6) Filtre de Kalman (étendu): Exemple de modèle : on suppose que l antenne ne bouge pas entre 2 époques ˆ = ˆ ; Yˆ = Yˆ ; Zˆ = Zˆ ; cdt. ˆ = cdt. ˆ ; k+ 1 k k+ 1 k k+ 1 k k+ 1 k Les observations prédites sont les observables de pseudo-distance : ( ) Rˆ = ρ ˆ, Yˆ, Zˆ cdt. ˆ j k+ 1 i k+ 1 k+ 1 k+ 1 Ri En mode statique, modèle fiable Observations pondérées comme pour moindres carrés En mode cinématique, modèle moins fiable car introduction vitesse (voire accélération), utilisation mesures Doppler? Par rapport aux moindres carrés, filtre de Kalman lisse solution car compromis entre mesures et modèle François FUND Séminaire INRETS DGPS page 35 Bron, le 2 décembre 2008
36 Positionnement «naturel» avec code seul (5/6) Filtre de Kalman François FUND Séminaire INRETS DGPS page 36 Bron, le 2 décembre 2008
37 Positionnement «naturel» avec code seul (6/6) Filtre de Kalman: - Effet de lissage fonction de la confiance accordée au modèle - Avec confiance «lâche», solution équivalent celle des moindres carrés Valeurs moyennes des variations inter-epoques (amélioration relative en %) Ecart-type du modèle σ=1m σ=10cm σ=1cm Nord 30cm 30cm (0%) 10cm (66%) Est 40cm 40cm (0%) 10cm (75%) Up 100cm 70cm (30%) 10cm (90%) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 37 Bron, le 2 décembre 2008
38 4.1. Le positionnement absolu ou «naturel» C/A L1 L2 P1 P2 Code seul Temps Différé Temps Rarement utilisé GPS naturel civil Réel GPS naturel militaire Naturel Code lissé par la phase Temps Différé Temps Réel Rarement utilisé GPS naturel civil lissé par la phase Code + phase Temps Différé Temps réel Possible Possible François FUND Séminaire INRETS DGPS page 38 Bron, le 2 décembre 2008
39 Le lissage du code par la phase («smoothing») Technique alternative cherchant à tirer profit des avantages de chaque observable pour s affranchir de leurs défauts Phase : mesure précise MAIS ambiguë et avec des «trous» Code : mesure continue MAIS fortement bruitée Idée: algorithme récursif estimant le code lissé à t+1 en utilisant une moyenne pondérée entre la mesure de code à t et la valeur lissée à t, elle-même corrigée de la variation de phase (en mètres) entre t et t+1 Équation fondamentale : Avec : SM ( SM ) ( + 1 ) =. ( + 1) + ( 1 ). ( ) +λφ. ( + 1 ) λφ. ( ) R t wr t w R t t t ( t ) R( ) R SM = 0 t 0 Le poids w est décroissant avec les époques pour donner de plus en plus de confiance à la mesure de phase François FUND Séminaire INRETS DGPS page 39 Bron, le 2 décembre 2008
40 4.1. Le positionnement absolu ou «naturel» C/A L1 L2 P1 P2 Code seul Temps Différé Temps Rarement utilisé GPS naturel civil Réel GPS naturel militaire Naturel Code lissé par la phase Temps Différé Temps Réel Rarement utilisé GPS naturel civil lissé par la phase Code + phase Temps Différé Temps réel Possible Possible François FUND Séminaire INRETS DGPS page 40 Bron, le 2 décembre 2008
41 Positionnement absolu avec phase Principe du Precise Point Positioning (PPP) - Possibilité avec récepteur mono-fréquence - Problématique des ambiguïtés: - A la première époque: plus d inconnues que de paramètres - Nécessité de rester plusieurs époques pour temps d initialisation - Opération à itérer à chaque coupure de signal - Précision accrue: de l ordre de 10cm en planimétrie et quelques décimètres en altimétrie!! - Application en temps réel délicate François FUND Séminaire INRETS DGPS page 41 Bron, le 2 décembre 2008
42 4.2. Le positionnement différentiel C/A L1 L2 P1 P2 Code seul Temps Différé Temps Réel DGPS standard DGPS standard Différentiel Code lissé par la phase Temps Différé Temps Réel DGPS «précis DGPS «précis» Code + phase Temps Différé Temps réel Statique Stop&Go Statique RTK François FUND Séminaire INRETS DGPS page 42 Bron, le 2 décembre 2008
43 Principes généraux (1/2) Objectifs : Eliminer ou réduire les erreurs corrélées et communes entre deux récepteurs Obtenir positions avec précisions de quelques décimètres voire du mètre Processus : Utilisation de deux récepteurs dont un sur point connu Récepteurs généralement mono-fréquence (à bas coût) sur code C/A Détermination du vecteur 3D entre les deux récepteurs François FUND Séminaire INRETS DGPS page 43 Bron, le 2 décembre 2008
44 Une méthode: la différenciation des observations Cette méthode s appuie sur le caractère commun des erreurs liées aux observations entre deux récepteurs Utilisation des doubles différences de mesure: - Simple différence annule termes d horloges satellites et erreurs liées aux orbites - Double différence annule termes d horloges récepteurs ( ) ( ) ( ) ( ) Δ R = R R R R kl, j j l l i, j i k i k Δ R = ρ ρ ρ ρ kl, j j l l i, j i k i k Pour courtes lignes de base, effets atmosphériques corrélés: ΔIi ΔTi j, l, k j, l, k 0 0 François FUND Séminaire INRETS DGPS page 44 Bron, le 2 décembre 2008
45 Une seconde méthode: le calcul de corrections La station de base connaît sa position, il peut donc calculer une correction: ( ) =ρ ( ). ( ) ( ) PRC t t c dt t R t j j j i i Ri i Une correction est calculée pour chaque satellite à chaque époque sur les pseudodistances uniquement Le problème du temps de latence est réduit par une modélisation des corrections au 1er ordre PRC j i j j ( t ) = PRC ( t ) + RRC ( t )(. t t ) R i R Positionnements précis à quelques décimètres. Pour longues lignes de base, modélisation des erreurs i E R E PRC : Pseudo-Range Correction RRC : Range-Rate Correction François FUND Séminaire INRETS DGPS page 45 Bron, le 2 décembre 2008
46 Application en temps réel Données du récepteur fixe OU corrections envoyées par message RTCM SC-104: - Données: format RTCM 19 - Correction: format RTCM 21 Plusieurs moyens pour véhiculer les informations: -Radio -GSM -GPRS - Internet Traitement des observables corrigées en «zéro différence» par moindres carrés ou filtre de Kalman François FUND Séminaire INRETS DGPS page 46 Bron, le 2 décembre 2008
47 5. Les systèmes d augmentation DGPS ou Satellite-Based Augmentation System (SBAS) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 47 Bron, le 2 décembre 2008
48 5.1. Les SBAS globaux (GSBAS) (1/5) Intérêt: réaliser un positionnement différentiel SANS station de base propriétaire Principe : 1/ Chaque station d un réseau de stations bi-fréquences mondial calcule ses propres corrections 2/ Les corrections sont envoyées aux centres de contrôle (Network Control Centre) qui vérifient leurs fiabilités et intégrités 3/ Les corrections, épurées, sont transmises à un satellite géostationnaire qui les diffuse sur sa zone de couverture, sous forme d une grille 4/ Le récepteur, grâce à sa position approchée pondère les corrections avec les distances le séparant des stations de référence et de la qualité intrinsèque des corrections François FUND Séminaire INRETS DGPS page 48 Bron, le 2 décembre 2008
49 5.1. Les SBAS globaux (GSBAS) (2/5) Intérêt des stations de base bi-fréquences: usage de la combinaison dîte «geometry-free» qui estime les effets ionosphériques Autre sources d erreur: utilisation de produits et modèles précis Différents services fournisseurs: 2 2 f1. f2 R GF = f f 2 1 ( R R ) 40.3 TEC - OmniSTAR de Fugro - Starfire de NavCom Technology - Veripos de Subsea 7 Services payants: ex, OmniSTAR au moins 800$/an François FUND Séminaire INRETS DGPS page 49 Bron, le 2 décembre 2008
50 5.1. Les SBAS globaux (GSBAS) (3/5) Stations de référence utilisées: stations IGS ou autres Ex: réseau de référence européen Veripos Système de référence: ITRF 2005 François FUND Séminaire INRETS DGPS page 50 Bron, le 2 décembre 2008
51 5.1. Les SBAS globaux (GSBAS) (4/5) 1 satellite géostationnaire par zone du monde Ex: service OmniSTAR François FUND Séminaire INRETS DGPS page 51 Bron, le 2 décembre 2008
52 5.1. Les SBAS globaux (GSBAS) (5/5) Différentes précisions fournies: ex d OmniSTAR: -Virtual Base Station (VBS) : Les corrections sont issues de mesures mono-fréquences cherchant à réduire les erreurs d orbite, d horloge et d atmosphère Les corrections utilisées sont celles utilisées au lieu de la position approchée du récepteur (à quelques mètres près) Précision annoncée : 70 cm en planimétrie -OMNISTAR High Performance/Extended Preformance (HP/P) Un réseau de stations bi-fréquences calcule des corrections de haute qualité, en éliminant notamment les erreurs ionosphériques Un second réseau, indépendant du premier, estime les erreurs liées aux orbites et aux horloges Précision annoncée : 10 cm en planimétrie et 15 cm en hauteur Nombreux fournisseurs de matériels GPS compatibles : Sokkia, Thalès, Topcon, Trimble François FUND Séminaire INRETS DGPS page 52 Bron, le 2 décembre 2008
53 5.2. Les SBAS régionaux (RSBAS) Actuellement en service et/ou développement MAIS gratuit: Amérique du Nord: WAAS (Wide Area Augmentation System) Opérationnel depuis 2003 Europe: EGNOS (European Geostationary Overlay Service) Premiers test réalisés en 2005, certification en Inde : GAGAN (GPS Aided GEO Augmented Navigation) Opérationnel en 2009? - Japon : MTSAT (Multi-functional Transport SATellite) Opérationnel en 2009? François FUND Séminaire INRETS DGPS page 53 Bron, le 2 décembre 2008
54 5.3. Les réseaux nationaux (1/6) Plusieurs réseaux proposent des corrections via RTCM SC-104, Internet : - TERIA - S@T-INFO - ORPHEON - Réseau des phares & balises (mis en place par le CETMEF : Centre d Études Techniques Maritimes Et Fluviales) Précision : comme DGPS temps réel de l ordre de quelques décimètres François FUND Séminaire INRETS DGPS page 54 Bron, le 2 décembre 2008
55 5.3. Les réseaux nationaux (2/6) RGP/TERIA François FUND Séminaire INRETS DGPS page 55 Bron, le 2 décembre 2008
56 5.3. Les réseaux nationaux (3/6) ORPHEON François FUND Séminaire INRETS DGPS page 56 Bron, le 2 décembre 2008
57 5.3. Les réseaux nationaux (4/6) François FUND Séminaire INRETS DGPS page 57 Bron, le 2 décembre 2008
58 5.3. Les réseaux nationaux (5/6) Différentes stratégies existantes: - FKP (Flächen Korrektur Parameter) (Geo++) - VRS (Virtual Base Station) - MAC (Master Auxiliary Concept) Dans tous les cas, utilisation d un serveur calculant un «réseau» de corrections suivant des protocoles de communication standardisés (RTCM) Les stratégies différent suivant le processus et la méthode d interpolation Mode de communication : GSM/GPRS François FUND Séminaire INRETS DGPS page 58 Bron, le 2 décembre 2008
59 5.3. Les réseaux nationaux (6/6) Intérêts: - Précision décimétrique - Disponibilité et fiabilité - Rattachement à la référence nationale - Gain de temps - Compatible avec tous les récepteurs du marché - Diminution des coûts :un seul récepteur - Abonnements de l ordre de 400euros/trimestre François FUND Séminaire INRETS DGPS page 59 Bron, le 2 décembre 2008
60 6.Bilan François FUND Séminaire INRETS DGPS page 60 Bron, le 2 décembre 2008
61 6. Bilan 10 m Mono-fréquence 5 m Absolu 1 m 0.5 m 1 cm DGPS Bi-fréquences DGPS précis RTK 100 euros 1000 euros euros François FUND Séminaire INRETS DGPS page 61 Bron, le 2 décembre 2008
Développements actuels dans le positionnement satellites GNSS - RTCM - RTK. Moritz Lauwiner / Dr. Werner Lienhart
Développements actuels dans le positionnement satellites GNSS - RTCM - RTK Moritz Lauwiner / Dr. Werner Lienhart Global Navigation Satellite Systems Systèmes GNSS existants et futurs NAVSTAR GPS USA, système
Plus en détailGEOLOCALISATION ET NAVIGATION A L AIDE DES SIGNAUX GNSS
GEOLOCALISATION ET NAVIGATION A L AIDE DES SIGNAUX GNSS Thierry.Chapuis@cnes.fr 08/04/2014 1 EVOLUTION DU SYSTÈME GNSS 1995-2005 2005-2014 2014 GPS GNSS-1 GNSS-2 GLONASS Pas de garantie de service Dégradation
Plus en détailLa (les) mesure(s) GPS
La (les) mesure(s) GPS I. Le principe de la mesure II. Equation de mesure GPS III. Combinaisons de mesures (ionosphère, horloges) IV. Doubles différences et corrélation des mesures V. Doubles différences
Plus en détailPositionnement précis GNSS 4-7 juin 2013, Toulouse
4-6 juin 2013, Toulouse Positionnement précis GNSS Les clés du Géopositionnement précis 2 Plan IGS Les GNSS Equation de mesure Traitement des données Perspectives IGS Ephemerides, horloges précises : l
Plus en détailDocument d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001)
Document d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001) 1. Présentation du GPS Le GPS (Global Positionning System=système de positionnement
Plus en détailLe signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz
Le signal GPS Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Deux signaux en sont dérivés: L1 (fo x 154) = 1.57542 GHz, longueur d onde = 19.0 cm
Plus en détailAvec la mise en service progressive du système. Le développement du positionnement par satellites COMMENT INTERNET ET LES TIC CHANGENT LA VIE
Le développement du positionnement par satellites Le développement du positionnement par satellites a commencé au début des années 1970 aux Etats-Unis et il a abouti à la mise en service du GPS à partir
Plus en détailGuide des modes GPS Statique et Statique Rapide
20 30 40 50 GPS System 500 Guide des modes GPS Statique et Statique Rapide Version 3.0 Français System GPS500 Nous vous adressons tous nos compliments pour l'achat d'un System 500 de Leica Geosystems.
Plus en détailBIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES
BIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES Le guidage par GPS est un outil qui trouve maintenant sa place dans les structures de type polyculture-élevage. Avec des prix de plus en plus abordables,
Plus en détailIntroduction aux Systèmes de Positionnement par Satellite (GNSS)
Introduction aux Systèmes de Positionnement par Satellite (GNSS) Stage de terrain Géopotentiel M1 1 8 octobre 2014 Emilie Klein Principe Général A quoi ça sert? Comment? Déterminer la position et la vitesse
Plus en détailPAUL CORREIA 6 e édition
GUIDE PRATIQUE DU PAUL CORREIA 6 e édition Groupe Eyrolles, 2012, ISBN : 978-2-212-13367-7 Table des matières AVANT-PROPOS.......................................................... 1 Organisation de l
Plus en détailSébastien ROCHE le. Méthodes de poursuite de phase pour signaux GNSS multifréquence en environnement dégradé
Institut Supérieur de l Aéronautique et de l Espace(ISAE) Sébastien ROCHE le jeudi 19 décembre 2013 Méthodes de poursuite de phase pour signaux GNSS multifréquence en environnement dégradé et discipline
Plus en détailThe low-cost GNSS GEOMON system for monitoring landslide displacements
The low-cost GNSS GEOMON system for monitoring landslide displacements M. Demierre 1,2, J.-P. Malet 3, L. Folladore 2, P. Boetzle 3,4, M. Jeanneret 2, G. Ferhat 3,4, P. Ulrich 3 Journées Aléa Gravitaire,
Plus en détailETUDE DE MODELES PREDICTIFS DANS UN RESEAU DE STATIONS GPS PERMANENTES JAMAL ASGARI
Ecole Doctorale Astronomie & Astrophysique d Ile de France THESE DE DOCTORAT DE L OBSERVATOIRE DE PARIS EN DYNAMIQUE DES SYSTEMES GRAVITIONNELS ETUDE DE MODELES PREDICTIFS DANS UN RESEAU DE STATIONS GPS
Plus en détailProduits concernés: CS10, CS15, TS11, TS15, GS05, GS06, GS08, GS10, GS15
V3.50 Apports et bénéfices Produits concernés: CS10, CS15, TS11, TS15, GS05, GS06, GS08, GS10, GS15 Ce document contient d importantes informations au sujet de la version 3.50 de SmartWorx Viva et des
Plus en détailElectron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it
Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE
Plus en détailSystèmes de fusion pour la segmentation hors-ligne de signaux GPS multi-porteuses
Systèmes de fusion pour la segmentation hors-ligne de signaux GPS multi-porteuses Stanislas Boutoille To cite this version: Stanislas Boutoille. Systèmes de fusion pour la segmentation hors-ligne de signaux
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailFouad BENAMEUR. Avril 2011
F o u r n i s s e u r d e s o l u t i o n s s a n s f i l p o u r M a c h i n e t o M a c h i n e ( M 2 M ) Géolocalisation Outdoor Fouad BENAMEUR Avril 2011 Géolocalisation Outdoor G é o l o c a l i s
Plus en détailUtilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par
Plus en détailDeuxième rencontre du club des utilisateurs du PICC & les dix ans de Walcors
Jeudi 5 décembre 2013 Deuxième rencontre du club des utilisateurs du PICC & les dix ans de Walcors Historique du réseau WALCORS Service public de Wallonie Secrétariat général Département de la Géomatique
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailLes questions qu un navigateur maritime se pose le plus souvent sont les suivantes :
INTRODUCTION AU GPS ET DGPS Édition 2000 Les questions qu un navigateur maritime se pose le plus souvent sont les suivantes : Quelle est ma position actuelle? Quel cap dois-je maintenir pour me rendre
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailUTILISATION DU MESSAGE BINAIRE POUR DES APPLICATIONS DE SÉCURITÉ MARITIME
UTILISATION DU MESSAGE BINAIRE POUR DES APPLICATIONS DE SÉCURITÉ MARITIME PIERRE-YVES MARTIN Centre d'études Techniques Maritimes et Fluviales 2, boulevard Gambetta BP 60039-60321 Compiègne cedex - France
Plus en détailLe concept cellulaire
Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailwww.mojortk.com 0800 756 9665 Donnez à votre équipement du mojo!
www.mojortk.com 0800 756 9665 Donnez à votre équipement du mojo! Le nouveau No Drift mojortk de Leica Geosystems révolutionne la technologie RTK dans le secteur de l agriculture. Pourquoi choisir cette
Plus en détailGUIDE GPS pour débutants
Copyright 2002-2003 Garmin Ltd. ou ses filiales Garmin International, Inc. 1200 E 151 st Street, Olathe, KS 66062 U.S.A. Garmin (Europe) Ltd. Unit 5, The Quadrangle, Abbey Park Industrial Estate, Romsey,
Plus en détailLe Global Positionning System
Travail de Maturité 2009 Le Global Positionning System Structure et fonctionnement Roch Jonas Tutrice : Mme Rima Halabi Petter Gymnase cantonal du Bugnon, Lausanne Résumé Pratiquant de la montagne lors
Plus en détailLES GEOCUBES RÉSEAU DE CAPTEURS GÉOLOCALISÉS
LES GEOCUBES RÉSEAU DE CAPTEURS GÉOLOCALISÉS ign.fr 01. DESCRIPTION DESCRIPTION MODULE GPS Module GPS mono-fréquence, faible coût TRÈS FAIBLE CONSOMMATION PORTÉE
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailSystèmes de topographie
Systèmes de topographie GNSS Trimble SYSTEMES GNSS TRIMBLE: RELEVER TOUS LES DEFIS SUR LE TERRAIN DES SOLUTIONS GNSS LEADER DE CE SECTEUR INDUSTRIEL CONÇUES POUR LES TOPOGRAPHES S'appuyant sur la pérennité
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailServices internationaux en géodésie spatiale
«40 ans du GRGS, 1971 2011» Services internationaux en géodésie spatiale F. Deleflie, D. Gambis, P. Bonnefond, et Z. Altamimi, S. Bonvalot 1 Implication GRGS dans les services «40 ans du du GRGS, 1971
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailTESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION
TESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION Bruno Saussereau Laboratoire de Mathématiques de Besançon Université de Franche-Comté Travail en commun
Plus en détailContents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes
Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire
Plus en détailChapitre 2 : communications numériques.
Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailBALISE GPS. Modèle EOLE. MANUEL INSTALLATEUR Version 3.4 GPS+GSM+SMS/GPRS
BALISE GPS GPS+GSM+SMS/GPRS Modèle EOLE MANUEL INSTALLATEUR Version 3.4 Vous venez de faire l acquisition de notre balise EOLE et nous vous remercions de votre confiance. EOLE est une balise utilisant
Plus en détailTS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu
P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération
Plus en détailProspective: Champ de gravité, méthodes spatiales
Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que
Plus en détailGSM/GPRS/GPS Traceur Véhicule G-1000 PRO Manuel D utilisation
GSM/GPRS/GPS Traceur Véhicule G-1000 PRO Manuel D utilisation Version 1.0 Page 1 of 15 Table des matières Chapitre I - préface 1.1 Aperçu 1.2 Fonctions principales 1.1.1 Positionnement et Suivi 1.1.2 Déclenchement
Plus en détailFigure 3.1- Lancement du Gambit
3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh
Plus en détailNOTICE GPSTA1 I. DESCRIPTION II. ACCESSOIRES. J. R International - Eclats Antivols. 2014
I. DESCRIPTION NOTICE GPSTA1 1 : Connecteur antenne GSM 2 : Emplacement carte SIM 3 : Bouton pour faire sortir l emplacement carte SIM 4 : Connecteur jack pour micro 5 : Connecteur antenne GPS 6 : Connecteur
Plus en détailMANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF
MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF 1 SOMMAIRE DU MANUEL UTILISATEUR I. LE POSITIONNEMENT PAR GPS..3 II. INTRODUCTION - GPS HAICOM HI-303MMF... 4 III. COMPOSITION DU PACK GPS...5 IV. INSTALLATION
Plus en détailLeica Monitoring Solutions. Leica TM30 Capteur d auscultation Chaque demi-seconde compte
Leica Monitoring Solutions Leica TM30 Capteur d auscultation Chaque demi-seconde compte Capteur d auscultation Chaque demi-seconde compte Nous vivons dans un monde en mouvement. Les immeubles et les barrages
Plus en détailIntérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale
Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,
Plus en détailLes programmes européens de navigation par satellite
Les programmes européens de navigation par satellite Galileo et EGNOS Autorité de surveillance du GNSS européen Une vision européenne audacieuse L Europe élabore actuellement un système global de navigation
Plus en détailMOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov
1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailDan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier
Détection et reconnaissance des sons pour la surveillance médicale Dan Istrate le 16 décembre 2003 Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Thèse mené dans le cadre d une collaboration
Plus en détailCalcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation
Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et
Plus en détailFonctions de la couche physique
La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailIntroduction à l approche bootstrap
Introduction à l approche bootstrap Irène Buvat U494 INSERM buvat@imedjussieufr 25 septembre 2000 Introduction à l approche bootstrap - Irène Buvat - 21/9/00-1 Plan du cours Qu est-ce que le bootstrap?
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailTP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites
TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailApplications ferroviaires et GNSS: le projet 3InSat et le programme de l entreprise commune Shift²Rail
Applications ferroviaires et GNSS: le projet 3InSat et le programme de l entreprise commune Shift²Rail Francesco Rispoli Recherche et innovation ferroviaires Les bénéfices apportés par la navigation par
Plus en détailCorrection du baccalauréat ES/L Métropole 20 juin 2014
Correction du baccalauréat ES/L Métropole 0 juin 014 Exercice 1 1. c.. c. 3. c. 4. d. 5. a. P A (B)=1 P A (B)=1 0,3=0,7 D après la formule des probabilités totales : P(B)=P(A B)+P(A B)=0,6 0,3+(1 0,6)
Plus en détailTrait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire
Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire 1 Producteurs 2 Dénomination du produit 3 Protection militaire 4 Abréviations 5 Description générale 1. Définition
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailpour quoi faire? Introduction au Séminaire «Véhicules traceurs» Toulouse le 10/12/2010 03/01/2011 François PEYRET LCPC/MACS/GEOLOC
Les véhicules v traceurs : pour quoi faire? Introduction au Séminaire «Véhicules traceurs» Toulouse le 10/12/2010 03/01/2011 François PEYRET LCPC/MACS/GEOLOC 1 Plan de l exposl exposé Qu est-ce qu un véhicule
Plus en détailde calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d
Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation de quelques problèmes de calibration Plan de la présentation 1. Présentation de quelques modèles à calibrer 1a. Reconstruction d une courbe
Plus en détailCOTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre?
COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? Terminale S1 Lycée Elie Cartan Olympiades de Physiques 2003-2004
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN
Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe
Plus en détailModélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005
Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailCharte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon
Charte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon Toute installation d un point d accès est soumise à autorisation auprès du Responsable Sécurité des Systèmes d Information (RSSI) de l INSA
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailDIGIProtect est une solution de radiocommunication numérique offrant des services de sécurité avancés tels que : La Protection du Travailleur Isolé
DIGIProtect est une solution de radiocommunication numérique offrant des services de sécurité avancés tels que : L appel de détresse La localisation outdoor et indoor La Protection du Travailleur Isolé
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailCommande Prédictive. J. P. Corriou. LSGC-ENSIC-CNRS, Nancy. e-mail : corriou@ensic.inpl-nancy.fr
Commande Prédictive J P Corriou LSGC-ENSIC-CNRS, Nancy e-mail : corriou@ensicinpl-nancyfr Ý Consigne Trajectoire de référence Ý Ö Réponse Ý Horizon de prédiction À Ô ¹ Ù ¹ Temps Entrée Ù Horizon de commande
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailTRIMBLE GEO7X : DES SPÉCIFICATIONS INÉDITES p. 4
NUMÉRO 19 www.d3e.fr TRIMBLE GEO7X : DES SPÉCIFICATIONS INÉDITES p. 4 TRIMBLE V10 : la nouvelle méthode d acquisition terrain p. 2 TRIMBLE MX2 : nouvelle génération de Mobile Mapping p. 8 TRIMBLE TERRAFLEX,
Plus en détailNotions d asservissements et de Régulations
I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a
Plus en détailDTS MOBATime's Distributed Time System
GPS ou DCF 77 DTS Masterclock DTS Manager et DTS Master Software DTS MOBATime's Distributed Time System LAN Le serveur de temps multi-usage dans le nouveau Distributed Time System de MOBATIME, basé sur
Plus en détailSoutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes
Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes Bornes inférieures bayésiennes de l'erreur quadratique moyenne. Application à la localisation de points de rupture. M2R ATSI Université Paris-Sud
Plus en détailGalileoLe programme européen de
GalileoLe programme européen de navigation par satellite Commission européenne Galileo Le programme européen de navigation par satellite 1 BR-186 (version française, 2e édition) Novembre 2005 ISBN 92-9092-474-8
Plus en détailSur les vols en formation.
Sur les vols en formation. Grasse, 8 Février 2006 Plan de l exposé 1. Missions en cours et prévues 2. Le problème du mouvement relatif 2.1 Positionnement du problème 2.2 Les équations de Hill 2.2 Les changements
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailDimNet Gradateurs Numériques Evolués Compulite. CompuDim 2000
DimNet Gradateurs Numériques Evolués Compulite La gamme des gradateurs Compulite est conçue autour des technologies les plus récentes et les plus évoluées que ces 20 dernières années ont vu apparaître.
Plus en détail