Pathologie agricole. Jean-Charles Dalphin Service de Pneumologie Besançon
|
|
- Baptiste Grondin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 Pathologie agricole Jean-Charles Dalphin Service de Pneumologie Besançon Les agriculteurs et les employés du milieu rural sont exposés à des risques professionnels et aux risques de l environnement induisant des maladies respiratoires. Le mode d exploitation s est modifié avec la mécanisation, l utilisation de produits chimiques et le confinement des animaux d élevage. De plus, l agriculteur, sa famille et les résidents de plus en plus nombreux dans les zones rurales sont également exposés aux mêmes risques. Les expositions sont multiples, diverses, uniques ou associées dans le temps aboutissant à une agression pulmonaire aiguë ou le plus souvent subaiguë et chronique. Nous allons voir dans un premier temps les principaux aérocontaminants du monde agricole, la pathologie propre et les moyens de prévention nécessaire à promouvoir (1). Le tableau I résume les principales expositions et la pathologie qui en découle. Aérocontaminants du milieu agricole Chaque aérocontaminant peut induire plusieurs syndromes ou maladies, selon des mécanismes différents. Les aérocontaminants les plus fréquents sont les particules organiques qui regroupent les poussières végétales et les microorganismes fongiques ou bactériens avec leurs toxines. En France, la production céréalière, l élevage confiné des porcs ou de la volaille et la production laitière sont des situations d exposition intense aux particules organiques (2). 1.1 Particules organiques Les poussières de céréales sont une mixture de poussières végétales, de pollens, de fragments d insecte, de microorganismes d origine fongique ou bactérienne avec leurs toxines, de pesticides et de déjections es. La taille de ces particules comprises entre <0.01 et 100 µm permet leur inhalation à 40% dans l arbre respiratoire. Les pneumallergènes sont retrouvés dans les poussières de céréales, les zones de stockage (acariens) et les zones de confinement. Le rôle des endotoxines des bactéries gram-négatives (pseudomonas, enterobacter,..) et des toxines fongiques est majeur dans l inflammation de l arbre respiratoire expliquant l atteinte bronchique. 1.2 Gaz toxiques La maladie des silos est due à l inhalation de dioxyde d azote (N0 2 ) produit par la fermentation. Le confinement de l élevage des porcs principalement aboutit à la production d ammoniaque (NH 3 ), de sulfite d hydrogène (H 2 S), de dioxyde de carbone (CO 2 ), et de méthane.
2 2 1.3 Produits chimiques Les pesticides, comme les organophosphorés et les carbamates induisent une broncho-constriction par leur effet anticholinestérase. A l opposé, le paraquat induit une fibrose pulmonaire. 1.4 Particules inorganiques Le travail des labours induit un aérosol de silice et de silicates pouvant induire des anomalies radiologiques évoquant une pathologie interstitielle. 2. Syndromes et maladies respiratoires Les conditions de travail du monde agricole induisent plusieurs pathologies respiratoires qui peuvent s'associer et contribuer à la sévérité de l'atteinte respiratoire. La symptomatologie reste non spécifique et se confond aisément avec une infection respiratoire virale ou bactérienne. Le rôle propre de chaque exposition est difficile à individualiser un individu donné, car le mode de travail induit le plus souvent plusieurs expositions le long d'une vie professionnelle. 2.1 Bronchite chronique La prévalence de la bronchite chronique est variable dans la population rurale (25 à 50 %). La symptomatologie de bronchite chronique : toux et expectoration chronique restent prépondérantes chez les sujets exposés aux poussières végétales, aux microorganismes et aux milieux riches en gaz toxiques et en endotoxines bactériennes ou fongiques. La bronchite chronique agricole reste non spécifique sur le plan clinique, fonctionnel et évolutif. Le tabagisme reste un facteur de risque majeur de la bronchite chronique. Les études montrent que l'exposition agricole a un effet additif et non synergique. Une étude française pertinente a montré que les agriculteurs employés dans la production laitière avaient une augmentation significative des symptômes respiratoires: toux, expectoration évoquant l'apparition d'une bronchite chronique (3). 2.2 Asthme La prévalence de la maladie asthmatique est la même dans la population agricole que la population générale (3 à 8 %). Cependant, les études avec groupe contrôle montrent un excès d'accès de sibilants chez les agriculteurs liés aux expositions. Ces manifestations sont plus fréquentes chez les travailleurs des élevages en batterie et des silos. Les expositions aux endotoxines induiraient une hyper réactivité bronchique, facteur de risque à la fois de l'asthme et la bronchite chronique. L'asthme en milieu agricole est multifactoriel, l'atopie n'est pas plus fréquente et les phénomènes inflammatoires jouent un rôle considérable. L'allergie aux acariens de stockage est bien sûr prépondérante. 2.3 Pneumopathies d hypersensibilité ou Alvéolites allergiques extrinsèques Ce sont des pneumopathies aiguës ou subaiguës, liées à l inhalation de particules organiques chez un sujet sensibilisé. La prévalence de cette maladie rare est autour
3 3 de 2-5 % en fonction des régions et du climat. Le diagnostic est évoqué devant des signes respiratoires non spécifiques, une exposition dans le cadre de l élevage bovin, de volailles, la polyculture, les producteurs de champignon et les travailleurs du bois. 2.4 Bronchopneumopathies toxiques Syndrome toxique des poussières organiques (ODTS organic dust toxic syndrom) : l exposition massive à des particules organiques (poussières de céréales, endotoxines) induit un syndrome grippal avec toux et dyspnée. Le tableau est proche de l alvéolite allergique extrinsèque. Ce tableau s observe chez les travailleurs des silos à grains, et des élevages de porcs et volailles. Oedèmes pulmonaires toxiques : l inhalation de NO2 peut entraîner un œdème pulmonaire et des signes d irritation bronchique (maladie des silos). L exposition accidentelle à certains pesticides peut induire des oedèmes pulmonaires, voire une fibrose. Symptômes respiratoires non spécifiques : les gaz de fermentation du lisier, l ammoniaque (NH3) des milieux industriels d élevage peuvent induire des symptômes d irritation oto-rhino laryngés et bronchiques. On en rapproche le syndrome anglo-saxon «Mucous Membrane Inflammation» lié à une exposition à des particules organiques. Cancer du poumon : la prévalence du cancer du poumon est moindre dans le milieu agricole à tabagisme égal. Le rôle préventif de l exposition aux endotoxines a été avancé. 3. Moyens de prévention La prévention reste une priorité, principalement pour une bonne utilisation des produits phytosanitaires et une réduction de l exposition individuelle aux endotoxines et aux gaz toxiques, tout en prévenant un éventuel tabagisme. L utilisation des équipements de protection individuelle (gants, masques, combinaisons) est à préconiser. Pour les produits phytosanitaires, une observance des contre-indications climatiques et environnementales doit être respectée ainsi qu une limitation des traitements avec une meilleure planification. Une hygiène comportementale personnelle et collective est impérative. Une surveillance accrue doit donc être portée sur les élevages industriels ou les céréaliers pour réduire l exposition aux poussières et aux particules organiques des travailleurs. L utilisation des masques de protection est limitée dans le monde agricole car ces masques sont souvent inconfortables. En pratique, il faut distinguer les petites exploitations avec peu de travailleurs, des moyennes ou grandes exploitations à risque différent. Le milieu pneumologique doit donc poursuivre une collaboration étroite avec la Mutualité Sociale Agricole pour poursuivre des enquêtes épidémiologiques, une information et un dépistage précoce de la pathologie respiratoire agricole. Une surveillance médicale est donc nécessaire avec un dépistage précoce de la bronchite chronique, affection la plus fréquente. Des programmes de surveillance et de prévention sont nécessaires à mettre en place. Le risque phytosanitaire doit faire l objet d une prise de conscience du monde agricole et médical.
4 4 Bibliographie 1. Kirkhorn SR, and Garry VF. Agricultural lung diseases. Environ Health Perspect 2000; 108(suppl 4): Dalphin J-C. Pathologie respiratoire en milieu agricole. La Revue du Praticien 1998 ;48 : Dalphin J-C, Dubiez A, Monnet A, et al. Prevalence of asthma and respiratory symptoms in dairy farmers in the French province of the Doubs. Am J Respir Crit Care Med 1998;158:
5 5 Tableau I. Exposition agricole et pathologies Catégories Sources Environnement Pathologies Environnement Gaz toxiques Céréales, foin, coton, lin, tabac, épices, Silos, granges Bronchite chronique (BC) Asthme, rhinite Produits chimiques - pesticides Infections es Particules inorganiques Moisissures Bactéries Toxines fongiques et bactériennes Céréales, Animaux NH 4, CO, CO 2 Méthane, H 2 S, SO2 Paraquat, Organophosphorés Carbamates Moissons Récoltes Silos, granges Silos Applications ou intoxication Vétérinaires Animaux Hyperréactivité bronchique Alvéolites allergiques extrinsèques Syndrome toxique Obstruction bronchique Rhinite, asthme Rhinite, asthme, Alvéolites allergiques Asthme, maladie des silos Irritation bronchique Œdème pulmonaire Bronchospasme Œdème pulmonaire Fibrose pulmonaire Fièvre Q, psittacose Mycobactérium bovis Microorganismes Labours Fibrose pulmonaire, BC Silicates * adapté de Kirkhorn SR (1) et Dalphin JC (2)
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détaildmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès
dmt TD notes de congrès 160 Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Paris, 21 décembre 2007 Une journée «BPCO et travail» a eu lieu le 21 décembre 2007. Elle était organisée par la
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailGUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca
GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailFiche résumée : PEINTRE EN CARROSSERIE
Fiche résumée : PEINTRE EN CARROSSERIE Peintre en carrosserie, peintre en réparation automobile, tolier peintre, mécanicien tolier peintre. CITP 88 : 7142 PCS 2003 : 634a ROME 1999 : 44142 Le peintre intervient
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailMoisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014
Moisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014 Laurent Groux, Ph.D. Doctorat en Chimie (2003) de L université de Montréal Consultant en
Plus en détailInformation System on International Labour Standards
1 sur 6 03/12/2014 18:37 Information System on International Labour Standards Recherche Guide de l'utilisateur Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l'enregistrement et la
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailPROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE
PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailEffets respiratoires des fumées de soudage chez l Homme
UNITE DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE Effets respiratoires des fumées de soudage chez l Homme Pascal Andujar 1-4 1 Université Paris-Est Créteil - Faculté de Médecine 2 Inserm U955 Equipe 4 8 rue du Général
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailEt si c était le logement?
LES MALADIES de cette famille sont communes, mais peu de médecins pensent à faire le lien avec le logement. Pourtant, la mauvaise qualité de l air de l habitat est courante et constitue le problème environnemental
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailFactsheet Nanoparticules et particules ultrafines au poste de travail
Version septembre 2012 Factsheet Nanoparticules et particules ultrafines au poste de travail Dr Marcel Jost, Dr Claudia Pletscher, Dr Michael Koller Les nanotechnologies ouvrent de nouvelles voies aux
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115
Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailCette fiche concerne l activité
dmt N f i c h e d a l l e r g 52 o l o g i e - p n e u m o l o g i e p r o f e s s i o n n e l l e TR 52 Affections respiratoires professionnelles chez les personnels de nettoyage En résumé Le nettoyage
Plus en détail: Poussière de malt d orge/de blé
Date de révision : 05/04/2013 Version : 1.3 SECTION 1 : IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE L ENTREPRISE Identificateur de produit Nom de la substance : Poussière de malt d orge/de blé Utilisation
Plus en détailSouffle N 65. LES ACTUALITéS DU CNMR. Fibrose pulmonaire idiopathique, la recherche doit continuer
Bulletin de liaison des amis du Comité contre les Maladies Respiratoires Souffle la lettre du fevrier 2012 N 65 P 2-6 P 3 P 4-5 P 6 Notre grand dossier Les fibroses pulmonaires et la fibrose pulmonaire
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailEffets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante
Effets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante Rapport établi à la demande de la Direction Générale de la Santé et de la Direction des Relations du Travail (Ministère de l'emploi et de la Solidarité)
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailAGIR! L habitat. Un air sain chez soi. Des solutions et des pratiques pour améliorer la qualité de l air intérieur
L habitat AGIR! Un air sain chez soi Des solutions et des pratiques pour améliorer la qualité de l air intérieur Édition : décembre 2014 sommaire glossaire introduction Limiter la pollution de notre air
Plus en détailgalités s sociales de cancer chez les travailleurs
Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailmodèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE
modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailLigue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer
Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان http://droitdelhomme.over-blog.com laddhchlef@yahoo.fr laddhchlef@gmail.com http://facebook.com/laddhchlef
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailFICHE SIGNALÉTIQUE. Dénomination chimique et synonymes : Ciment composé (ciment mélangé)
FICHE SIGNALÉTIQUE SECTION 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ Noms des produits : St. Marys Ciment à la fumée de silice, Ciment Portland composé à la fumée de silice, Type CSA GUb, MSb,
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détail1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détail4. Dangers principaux
4. Dangers principaux Toutes machines fixes ou portatives et appareils représentent un danger plus ou moins important si toutes les dispositions concernant la sécurité du travailleur ne sont pas prises
Plus en détailLes dangers de l environnement pour les enfants en bas âge
Enfant Environnement Santé Une information des Médecins en faveur de l environnement Avec le soutien de l Office fédéral de la santé publique Septembre 2007 Documentation 1. Introduction 2. Les dangers
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailPrise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.
Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détail