A la recherche d un financement pour les programmes de recherche de Défense

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "A la recherche d un financement pour les programmes de recherche de Défense"

Transcription

1 A la recherche d un financement pour les programmes de recherche de Défense David W. VERSAILLES Centre de recherche de l Ecole de l air (CREA) dversailles@cr-ea.net En aucun cas le ministère de la Défense ou l Armée de l air ne peuvent être tenus pour responsables des éléments d analyse et commentaires ci-après, qui engagent la seule responsabilité de leur auteur.

2 Plan... B T I D Base technologique et industrielle de Défense Quel contenu pour le «D»? Quel contenu pour le «I»? Les entreprises qui fournissent les équipements relatifs à la fonction «Défense», ou qui y sont reliés Quel contenu pour le «T»? Quel est le rôle de l acteur public? EA-EMA/CREA 3 Définitions : BTID Base technologique et industrielle de Défense CLecture «free market» CLecture «autarcique» Le périmètre des produits concernés est très grand, mais leur noyau dur est stable par fonction (hors innovations de rupture sur le plan tactique) Les technologies concernées varient au fil du temps, même pour servir la même fonction Vulnérabilité des approvisionnements Crédibilité du «D». la menace. le passage à l acte. l acte EA-EMA/CREA 4

3 Evolution du «D» EA-EMA/CREA 5 Evolution du «D» Evolution géo économique Défense Guerre froide caractère immédiat de la menace et maintien de capacités de production Evolution des zones d instabilité Evolution des développements technologiques liés aux applications militaires Evolution des facteurs de course aux armements Evolution des opinions publiques 1990ies : la menace s estompe et on se limite alors à maintenir en place les capacités technologiques de cette production Sept Fin des dividendes de la paix «Dual use» technologies EA-EMA/CREA 6

4 La BTID et le dual use Produits Dualité Technologies Diversification vers les marchés civils Diminution de la dépendance aux approvisionnements Défense Maintenir en place les capacités de production des armes mais Autres solutions : contrats de licence, collaborations, joint-ventures Problème de compétitivité...sur les marchés civils...pour le procurement des marchés de Défense Frontière de la BTID EA-EMA/CREA 7 Evolution du «I» EA-EMA/CREA 8

5 Typologie du «I» ICBMs IRBMs Short range missiles, sophisticated aircraft, aircraft carriers, sophisticated submarines, stealth technology, sophisticated helicopters Slow fighter aircraft, transport aircraft, detection technologies, military communication systems, large destroyers, submarines, frigates, transport helicopters, tanks, night vision technology Oligopoly theories Monopolistic competition trade theories Mortars, rifles, machine guns, grenades, jeeps, trucks, ammunition, minelayers, minesweepers, patrol boats, gun boats, light helicopters, simple Competitive communication and detection systems, simple aircraft market trade theories EA-EMA/CREA 9 Le marché «Défense» Monopsone 1 seul acheteur : l ETAT Contrôle durable des fournisseurs par le usager / Etat-client L Etat paie les structures de production L Etat paie les structures de recherche L Etat paie les infrastructures Le montant des contrats d armement est calculé pour rémunérer les facteurs de production et donner une prime à l industriel USA : contrats de type cost-plus et material reward = remboursement des coûts de R&DTE sur la totalité du programme EA-EMA/CREA 10

6 Phases et composantes de la R&D : le CVX78 Nouvelle génération de porte avion nucléaire US Etude RAND Corp MR9480 EA-EMA/CREA 11 Le marché «Défense» Fin de Etat Client-Usager la logique Régulateur de Monopsone Imperfection(s) de la Demande Très faible substituabilité des biens Relative «interactive» entre l Etat-client et le fournisseur Le prix des contrats d armement est fixé avant la négociation du contrat Existence d asymétries informationnelles secret industriel (savoir-faire, technologies, organisation industrielle) administration : confidentialité de la préparation du futur, des doctrines et concepts d emploi des forces EA-EMA/CREA 12

7 Le marché «Défense» Fin de la Etat Science logique de Industrie Monopsone Imperfection(s) de l Offre Contrats de type «cost plus» Importance du «material reward» Etalement des programmes (R&D et fab) Hasard moral à cause de l incertitude sur les contrats de R&D Barrières à l entrée Economies d échelle importantes coûts fixes irrécouvrables effets d apprentissage EA-EMA/CREA 13 Rétroaction : «I» vers «S» C dans le contexte de la mondialisation des flux commerciaux... C au sein du concert européen... En 5 alternatives principales : d Autonomie nationale en matière de Défense vs. européanisation des économies d Alliance militaire (USA) vs. identité de Défense d Commerce des matériels et technologies militaires organisé politiquement vs exportations de capacités d Spécialisation spontanée (avantages comparatifs ou absolus) du tissu industriel vs sectorisation volontariste d Spécialisation spontanée en matière technologique vs. politique structurante EA-EMA/CREA 14

8 Fin de la logique de monopsone Imperfections de la Demande, avec l Etat dans deux rôles : Client et Usager Régulateur Imperfections de l Offre, avec de nouvelles relations à trouver dans le triptyque : Etat Science Industrie Nouvelles relations de coopération ou co-opération industrielle Maître d ouvrage - Maître d œuvre Sous-traitants & Co-traitants EA-EMA/CREA 15 Technologie et Défense... EA-EMA/CREA 16

9 R & T Le coeur du problème réside dans la gestion et la sauvegarde des compétences : pour co-opérer et/ou coopérer, il faut apporter des compétences maîtriser les technologies existantes être capable de préparer les technologies futures EA-EMA/CREA 17 Variété de «T»s... Analyser non seulement les alliances et coopérations au niveau des Etats et des groupes industriels, mais aussi entrer dans le réseau qui sous-tend l activité des groupes : organisation de la production organisation de la recherche transfert(s) et gestion des compétences EA-EMA/CREA 18

10 «Stratégique» signifie : Sur le plan industriel : des niveaux de rentes et de rentabilité élevés Sur le plan opérationnel : un avantage absolu (ou comparatif) immédiat, en terme de capacité (organisation et volume de production) à venir (préparation du futur), sur la base de la maîtrise de la technologie (R&T) Activités intensives en connaissance EA-EMA/CREA 19 Cycle de vie et rentabilité De A à C : passage de l innovation à l usage Rentabilité maximale (BC) = monopole sur l innovation Spin off, diffusion vache à lait Perte d exclusivité sur l innovation Hypothetical existence Fin de la phase spécifique entrée dans la fabrication Validation du démonstrateur technologique EA-EMA/CREA 20

11 Financements de la R&D actions Dettes ou quasi fonds propres Très grande échelle de temps Subventions apports en nature ETAT Émission de titres Fonds externes épargne publique Dilution du contrôle Risque de défaut prohibitif EA-EMA/CREA 21 Echéanciers temporels Evolution géo-économique économique Planification militaire stratégique à 30 ans Modèle d armée(s) à 15 ans : 2015 Programmation militaire à 5 ou 6 ans (LPM) Planification de l activité industrielle dans le cas d une position dominante durable Planification de l activité industrielle autofinancée (vision claire des débouchés) Commandes d équipement pluri-annuelles Planification des dépenses publiques Annualité de la dépense publique Défense EA-EMA/CREA 22

12 Quel problème? Source : Lacerata, JMG, 2001, p 45 La confrontation entre la firme (logique micro) et l Etat (finances publiques) Gouvernance de l innovation Structure de la propriété Contrôle des parts sociales et droits de vote Contrôle des conseils (administration, surveillance) Concentration (et volatilité) des droits de vote Évaluation du risque systémique (place, ampleur,...) EA-EMA/CREA 23 Quelle action pour le «T»? Objectif LT (risque) (avantage absolu) Retour d expérience Déploiement Apport en R&D Apprentissage Expérience Objectif : débouché CT Banalisation, codage Mise sur le marché EA-EMA/CREA 24

13 Conclusion EA-EMA/CREA 25 Conclusion La B T I D résulte de l interaction entre science, technologie, industrie et acheteur(s) public(s). Les entreprises de la B T I D maximisent économiquement sous des contraintes non économiques. Les entreprises hors B T I D mobilisables dans le cadre d une politique de «sécurité» ne sont pas prisonnières du monopsone «Défense». La B T I D procède d une stratégie à long terme, et de(s) politique(s) publique(s) qui la met(tent) en œuvre. L acteur public n est utile à l interaction entre industrie, science et technologie que s il est structurant. Le rôle de l acteur public est d assumer le risque systémique (y compris industriel). EA-EMA/CREA 26

LA MONDIALISATION EST-ELLE UN FACTEUR DE PAIX?

LA MONDIALISATION EST-ELLE UN FACTEUR DE PAIX? LA MONDIALISATION EST-ELLE UN FACTEUR DE PAIX? 14 avril 2008 Philippe Martin Université de Paris 1, Centre d Economie de la Sorbonne Thierry Mayer Université de Paris 1, Centre d Economie de la Sorbonne

Plus en détail

Division Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées

Division Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées Division Espace et Programmes Interarméeses LE MINDEF en quelques mots 295 000 personnes, militaires et civils. 7000 personnes engagées en opérations extérieures, 80% au sein d une coalition internationale

Plus en détail

STRATEGIES INTERNET INTRODUCTION AUX. Vers une approche globale de la présence sur Internet

STRATEGIES INTERNET INTRODUCTION AUX. Vers une approche globale de la présence sur Internet INTRODUCTION AUX STRATEGIES INTERNET Vers une approche globale de la présence sur Internet 2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Introduction aux Strategies Internet 22/02/2008

Plus en détail

MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES

MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES Sommaire Introduction au marketing international Types de marketing international La stratégie d internationalisation La politique internationale du produit

Plus en détail

1. POLITIQUE NATIONALE EN MATIÈRE DE PPP

1. POLITIQUE NATIONALE EN MATIÈRE DE PPP 2 novembre 2005 Original : anglais PROGRAMME DE PARTENARIAT INDIVIDUEL ENTRE LA SUISSE ET L OTAN pour 2006 1. POLITIQUE NATIONALE EN MATIÈRE DE PPP Le Programme suisse de partenariat individuel (PPI) pour

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

en juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance

en juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance Normes IAS 32 / Instruments financiers : Présentation Normes IAS 39 / Instruments financiers : Comptabilisation et Evaluation Normes IFRS 7 / Instruments financiers : Informations à fournir Introduction

Plus en détail

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises 72 CHAPITRE IV 1. La grande distribution française 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises La distribution française est une des plus importantes au niveau mondial, en raison de

Plus en détail

OUVERTURE des MARCHÉS EUROPÉENS de l ÉNERGIE

OUVERTURE des MARCHÉS EUROPÉENS de l ÉNERGIE Centre de Recherche en Economie et Droit de l Energie OUVERTURE des MARCHÉS EUROPÉENS de l ÉNERGIE (GAZ & ÉLECTRICITÉ) Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I jacques.percebois@univ-montp1.fr

Plus en détail

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches

Plus en détail

Market Research Aerospace

Market Research Aerospace Market Research Aerospace Août 2014 L ETAT DU MARCHE 1. Le marché d assurance des compagnies aériennes historiquement bas Primes brutes encaissées par année civile (en milliards $) 8 7 Corps et RC War

Plus en détail

Le Groupement Momentané d Entreprises

Le Groupement Momentané d Entreprises Le Groupement Momentané d Entreprises Les groupements momentanés d entreprises (GME): LA COTRAITANCE Geoffrey PIESEN Qu est ce qu un GME? C est une juxtaposition d entreprises qui mettent en commun leurs

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière

Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social

Plus en détail

M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA

M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA MINISTÈRE DE LA DÉFENSE M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA A Toulouse, le 9 juillet 2015 Seul le prononcé fait foi Page 1 sur

Plus en détail

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES RAPID est un dispositif de subvention à des projets d innovation duale portés par une entreprise indépendante de moins de 2000 salariés,

Plus en détail

1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12

1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12 TABLE DES MATIÈRES Remerciements... 5 Préface... 7 Introduction... 11 1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12 A De l idéologie à la volonté politique... 12 B L enjeu

Plus en détail

Stratégie de Défense Le canada d abord

Stratégie de Défense Le canada d abord Stratégie de Défense Le canada d abord Message du Premier ministre Le présent gouvernement a pris le pouvoir avec l engagement ferme de défendre le Canada. Pour respecter cet engagement, nous devons assurer

Plus en détail

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess)

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Les bases de la French Connection Un trafic d héroïne planétaire (Liban, Pakistan, France, USA) de 1935

Plus en détail

René Duringer. www.smartfutur.fr

René Duringer. www.smartfutur.fr La Veille Stratégique René Duringer www.smartfutur.fr Néo-Économie mondiale sans couture = guerre économique ouverte Compétition mondiale : low cost + déflation + agressivité facteur prix (cf. Chine) Des

Plus en détail

Banque nationale suisse

Banque nationale suisse IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et

Plus en détail

Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif :

Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Un dispositif d une telle ampleur et avec tant d innovations, de simplications et de sécurisation, du jamais

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

Indice de Confiance agricole Crelan 2015

Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en

Plus en détail

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments

Plus en détail

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

Plus en détail

243 La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire

243 La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire >Luc Barbé chercheur-associé à Etopia. barbe@telenet.be Le fait que les premières bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki aient été

Plus en détail

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter?

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter? Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises Vers quelles formes de partenariats s orienter? Sommaire Définitions - rappels Les stratégies de croissance de l entreprise Les différentes

Plus en détail

Une crise serait un «changement brutal et

Une crise serait un «changement brutal et Une crise serait un «changement brutal et soudain entre deux états, qui provoque une rupture d'équilibre». Marle Hélène Westphallen, (1994) «La cybercriminalité recouvre toute activité illégale et irrégulière

Plus en détail

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES Afin d augmenter l appui à l innovation duale permettant aux PME et aux entreprises intermédiaires de moins de 2000 salariés de développer

Plus en détail

Convention de cotraitance pour groupement solidaire

Convention de cotraitance pour groupement solidaire Convention de cotraitance pour groupement solidaire Ce modèle peut être modifié, complété en fonction des souhaits émis par les membres du groupement. Il est souhaitable que le maître d ouvrage soit informé

Plus en détail

ADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION)

ADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION) Descriptions des cours Administration ADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION) L entreprise et son environnement ADM-B01-12 401-B01-BR 3-0-3 Automne À la fin de ce cours, l étudiant sera capable d identifier

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

curité des TI : Comment accroître votre niveau de curité

curité des TI : Comment accroître votre niveau de curité La sécurits curité des TI : Comment accroître votre niveau de maturité en sécurits curité Atelier 315 Par : Sylvain Viau Luc Boudrias Plan de la présentation Qui sommes-nous? Pourquoi la sécurité de vos

Plus en détail

La Loi de Finances 2013 soutient vos efforts d investissement

La Loi de Finances 2013 soutient vos efforts d investissement La Loi de Finances 2013 soutient vos efforts d investissement Petit déjeuner débat 11 avril 2013 1 Dominique DENIEL Expert comptable Commissaire aux comptes Ouest Conseils Quimper Pascale DEMONTFAUCON

Plus en détail

Votre implantation à l étranger

Votre implantation à l étranger Votre implantation à l étranger Afin de déterminer la forme de présence la plus adaptée à la commercialisation de vos produits et de vos services, un choix est nécessaire entre quelques grandes options

Plus en détail

Le Ministre Pieter De Crem prend la parole

Le Ministre Pieter De Crem prend la parole Le Ministre Pieter De Crem prend la parole Monsieur Pieter De Crem, Ministre de la Défense nationale, a donné un exposé le 21 mai 2008 à l Institut royal Supérieur de Défense (IRSD) Pendant cette conférence,

Plus en détail

Comment s établir aux États-unis?

Comment s établir aux États-unis? Comment s établir aux États-unis? Zara Law Offices 111 John Street Suite 510 New York, NY 10038 Tel: 1-212-619 45 00 Fax: 1-212-619 45 20 www.zaralawny.com 1 Introduction La récente baisse du dollar constitue

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

Caractéristiques d'un contrat de progrès. Cliquez pour avancer

Caractéristiques d'un contrat de progrès. Cliquez pour avancer Caractéristiques d'un contrat de progrès Cliquez pour avancer La politique de contrats globaux de progrès est formulée au travers de 4 thèmes : le périmètre, les objectifs de progrès, l'expression de besoin

Plus en détail

Énergie et Mondialisation

Énergie et Mondialisation Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau

Plus en détail

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser 2 PLAN : 1 ère Partie : L information : un outil de gestion stratégique

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

L assurance crédit et le financement des exportations. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier

L assurance crédit et le financement des exportations. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier L assurance crédit et le financement des exportations 2 Section 1. Les modalités de paiement des exportations : le crédit documentaire Section 2. Les crédits à court terme et le financement des exportations

Plus en détail

L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique

L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique Les nouvelles formes d'organisation de l'entreprise, fondées sur le partenariat, l'externalisation, les réseaux, se multiplient. Les frontières

Plus en détail

«L année 2013 a été marquée par le lancement du FALCON 5X, qui enrichit la gamme FALCON, et par la consolidation du socle France du RAFALE.

«L année 2013 a été marquée par le lancement du FALCON 5X, qui enrichit la gamme FALCON, et par la consolidation du socle France du RAFALE. Prises de commandes 64 FALCON contre 58 en 2012 Livraisons 77 FALCON et 11 RAFALE contre 66 FALCON et 11 RAFALE en 2012 Chiffre d'affaires 4 593 millions d'euros, en hausse de 17% Résultat Net ajusté(*)

Plus en détail

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1. Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés

Plus en détail

Une réponse au défi Création de richesses collectives durables

Une réponse au défi Création de richesses collectives durables 29 Une réponse au défi Création de richesses collectives durables La question de la propriété est au centre des valeurs qui animent l économie sociale. L économie est devenue guerrière lorsqu elle a mis

Plus en détail

ETUDE SECTORIELLE L INDUSTRIE de DEFENSE. en région Centre

ETUDE SECTORIELLE L INDUSTRIE de DEFENSE. en région Centre ETUDE SECTORIELLE L INDUSTRIE de DEFENSE J U I N 2 0 1 2 en région Centre S O M M A I R E PAGE 03 PAGE 04 PAGE 05 PAGE 05 PAGE 06 PAGE 06 PAGE 07 PAGE 08 PAGE 11 PAGE 11 PAGE 13 PAGE 14 PAGE 15 PAGE 15

Plus en détail

Intelligence d affaires nouvelle génération

Intelligence d affaires nouvelle génération Intelligence d affaires nouvelle génération Sept étapes vers l amélioration de l intelligence d affaires par l entremise de la recherche de données À PROPOS DE CETTE ÉTUDE Les approches traditionnelles

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE La cyberdéfense sommaire LE PACTE DéFENSE CYBER...3 La cyberdéfense au ministère de la Défense...4 L organisation opérationnelle de la Cyberdéfense...5 l expertise technique en cyberdéfense dga maîtrise

Plus en détail

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Entretiens Enseignants Entreprises Jean-Paul POLLIN 30 août 2012 Laboratoire d Economie d Orléans (LEO) 1 Plan

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

politique de la France en matière de cybersécurité

politique de la France en matière de cybersécurité dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le

Plus en détail

Le point de vue de l UNSA

Le point de vue de l UNSA Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise

Plus en détail

Chapitre 7 Consolidation et comptes de groupes

Chapitre 7 Consolidation et comptes de groupes Chapitre 7 Consolidation et comptes de groupes Comptabilité approfondie Chapitre 7 1 Pourquoi consolider? La société A a acheté la société B. La somme payée s élève à 9 500 par achat des titres du capital

Plus en détail

Les armes à sous-munitions ne sont pas un enjeu économique pour la Wallonie

Les armes à sous-munitions ne sont pas un enjeu économique pour la Wallonie Note d'analyse Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité 70 Rue de la Consolation, B-1030 Bruxelles Tél.: +32.2.241 84 20 - Fax : +32.2.245 19 33 Internet : www.grip.org - Courriel

Plus en détail

SO00BM24 Introduction aux politiques économiques

SO00BM24 Introduction aux politiques économiques SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91)

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) LA GUERRE FROIDE p82 à 89 Fiche d objectifs/plan détaillé Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) Comment à partir de 1947, Etats-Unis et l URSS s affrontent-ils

Plus en détail

Chapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché?

Chapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 23 février 2015 à 16:02 Chapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché? 1 Quelles sont les différentes structures

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties

Plus en détail

A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I. Article 1 er

A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I. Article 1 er A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I DÉNOMINATION - SIÈGE - DURÉE - BUT Article 1 er Sous le nom d «ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS», il a été constitué une association,

Plus en détail

Les métiers du ministère des Affaires étrangères. m ti. é er. Direction des ressources humaines 2013

Les métiers du ministère des Affaires étrangères. m ti. é er. Direction des ressources humaines 2013 Les métiers du ministère des Affaires étrangères m ti s é er Direction des ressources humaines 2013 Les métiers du ministère des Affaires étrangères Introduction Les agents diplomatiques et consulaires

Plus en détail

«Pour une formation professionnelle duale en Suisse»

«Pour une formation professionnelle duale en Suisse» «Pour une formation professionnelle duale en Suisse» Statuts I. Nom, siège et buts 1. Nom et siège Sous le nom de «Pour une formation professionnelle duale en Suisse» est constituée une Association au

Plus en détail

Pleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés

Pleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés Pleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés BlueBay : À la pointe des titres à revenu fixe spécialisés BlueBay a été fondée

Plus en détail

L Europe en marche vers la défense antimissiles?

L Europe en marche vers la défense antimissiles? L Europe en marche vers la défense antimissiles? Bruno Gruselle Chargé de recherche (24 novembre 2005) L existence d une menace balistique fait l objet d un consensus entre les pays européens. Les deux

Plus en détail

8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières

8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières 8030.305 Master Européen de Management et Stratégies Financières 8030.3051 Référentiel de formation A - Emplois visés : Ce Master Européen s adresse prioritairement à des étudiants ayant validé un diplôme

Plus en détail

Guide de l importation et de l exportation 2011

Guide de l importation et de l exportation 2011 Guide de l importation et de l exportation 2011 Ministry of Jobs, Tourism and Innovation Guide sur l importation et l exportation 2011 GUIDE DE L IMPORTATION ET DE L EXPORTATION COLOMBIE-BRITANNIQUE Import/Export

Plus en détail

ANNEXE 3 AU CCTP PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES GEN DRH 01 2015 GIE GENAVIR CS 20071 29280 PLOUZANE

ANNEXE 3 AU CCTP PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES GEN DRH 01 2015 GIE GENAVIR CS 20071 29280 PLOUZANE GEN DRH 01 2015 ANNEXE 3 AU CCTP Plouzané, le 27 avril 2015 PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Référence du marché Pouvoir adjudicateur GEN DRH 01 2015 GIE GENAVIR

Plus en détail

Statuts de la CFHM. Article 1 - Dénomination. Article 2 - Durée. Article 3 - Siège C.F.H.M. 10/26

Statuts de la CFHM. Article 1 - Dénomination. Article 2 - Durée. Article 3 - Siège C.F.H.M. 10/26 C.F.H.M. 10/26 Article 1 - Dénomination Il est formé entre les membres qui adhèrent aux présents statuts une fédération, régie par les dispositions du Livre IV du code du Travail, qui prend la dénomination

Plus en détail

I La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points)

I La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points) E : «Théories de la finance d entreprise» Master M1 Université Paris-Dauphine Thierry Granger Année Universitaire 2013/2014 Session 1 Aucun document, calculette autorisée Durée 1h30 Respecter la numérotation

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

Rapport au Parlement 2015 sur les exportations d armement de la France

Rapport au Parlement 2015 sur les exportations d armement de la France Rapport au Parlement 2015 sur les exportations d armement de la France Analyses & Références Rapport au Parlement 2015 sur les exportations d armement de la France - Juin 2015 - SOMMAIRE Préface du ministre

Plus en détail

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF

Plus en détail

Mon Master à l ESTIM

Mon Master à l ESTIM Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique L Ecole Supérieure des Technologies d Informatique et de Management Mon Master à l ESTIM Livret des études «A l ESTIM Business School

Plus en détail

ÉCONOMIE en Licence PRÉ-REQUIS ORGANISATION / VOLUME HORAIRE LES DÉBOUCHÉS DE LA FILIÈRE POURSUITES D ÉTUDES / PASSERELLES

ÉCONOMIE en Licence PRÉ-REQUIS ORGANISATION / VOLUME HORAIRE LES DÉBOUCHÉS DE LA FILIÈRE POURSUITES D ÉTUDES / PASSERELLES 2013-2014 ÉCONOMIE en Licence Les informations présentes dans ce document sont valables pour l'année 2013-2014. D'importantes modifications interviendront pour l'année 2014-2015. Il s agit d un cursus

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Examen du réseau d'électricité. de la Nouvelle-Écosse Résumé

Examen du réseau d'électricité. de la Nouvelle-Écosse Résumé Examen du réseau d'électricité de la Nouvelle-Écosse Résumé Examen du réseau d'électricité de la Nouvelle-Écosse Résumé RÉSUMÉ À l automne 2013, le gouvernement de la Nouvelle-Écosse a adopté la loi

Plus en détail

Statuts de l Association Impacts Environnement

Statuts de l Association Impacts Environnement Statuts de l Association Impacts Environnement Article 1 : Titre Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 Août 1901,

Plus en détail

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part,

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part, Convention Entre Business France établissement public industriel et commercial, immatriculé au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 451 930 051, dont le siège social est sis 77

Plus en détail

Politique de sécurité de l actif informationnel

Politique de sécurité de l actif informationnel TITRE : Politique de sécurité de l actif informationnel Adoption par le conseil d administration : Résolution : CARL-130924-11 Date : 24 septembre 2013 Révisions : Résolution : Date : Politique de sécurité

Plus en détail

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre de devises étrangères contre monnaie nationale dépréciation

Plus en détail

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier Loi n 13-89 relative au commerce extérieur promulguée par le dahir n 1-91-261 du 13 joumada I 1413 (9 novembre 1992), telle quelle a été modifiée et complétée par la loi n 37-93 promulguée par le dahir

Plus en détail

Protection des données, Technologie, Médias et Propriété intellectuelle. local partner for global players

Protection des données, Technologie, Médias et Propriété intellectuelle. local partner for global players Protection des données, Technologie, Médias et Propriété intellectuelle Introduction 3 Compétences TMT 4 Sphère privée et Protection des données 4 E-réputation 4 E-commerce 5 Informatique 5 Télécommunications

Plus en détail

Année charnière pour l économie de la défense et de la sécurité

Année charnière pour l économie de la défense et de la sécurité 1 Groupe Romand pour le Matériel de Défense et de Sécurité News Bulletin 2/2015 Année charnière pour l économie de la défense et de la sécurité Mesdames et Messieurs, 2015 restera dans les annales de l

Plus en détail

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections

Plus en détail

Cet ouvrage couvre totalement le programme de l UE 6 Finance

Cet ouvrage couvre totalement le programme de l UE 6 Finance Cet ouvrage couvre totalement le programme de l UE 6 Finance d entreprise du Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG) des études de l expertise comptable. Il s inscrit également dans le cadre des programmes

Plus en détail

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la

Plus en détail

Présentation de l entreprise. Nom : Adresse : Ville : Numéro client (obligatoire) : o Projet an o An à établir o Remplacement du contrat n

Présentation de l entreprise. Nom : Adresse : Ville : Numéro client (obligatoire) : o Projet an o An à établir o Remplacement du contrat n Cachet et Code de l intermédiaire Service destinataire Formulaire de déclaration de risque responsabilité civile Entreprise Activités industrielles et commerciales Proposant Nom : Adresse : Ville : Code

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Conseil National du Commerce Extérieur La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Anticiper Partager Agir 2000 www.cnce.org.ma Sommaire INTRODUCTION 1. LE NOUVEAU CONTEXTE

Plus en détail

Intelligence économique en PME/PMI Investissement de la sphère Web 2.0 Jacques Breillat Directeur du Master 2 «Intelligence économique et management

Intelligence économique en PME/PMI Investissement de la sphère Web 2.0 Jacques Breillat Directeur du Master 2 «Intelligence économique et management Intelligence économique en PME/PMI Investissement de la sphère Web 2.0 Jacques Breillat Directeur du Master 2 «Intelligence économique et management des organisations», IAE de Bordeaux, Université Montesquieu

Plus en détail

Juin 2010. www.fundesys.com

Juin 2010. www.fundesys.com Une analyse synthétique sur les fonds flexibles Juin 2010 www.fundesys.com Des performances très contrastées Sélection Fonds Flexibles PEA Année 2009 1 an 3 ans sur 1 an sur 1 an Encours Performances arrêtées

Plus en détail

Acheter mieux que la concurrence

Acheter mieux que la concurrence Acheter mieux que la concurrence Club logistique Bordeaux 7 Juin 2012 Principes généraux Curriculum Buyer planner Acheteur groupe Responsable achats Performance économique Directeur achats Consultant Supplier

Plus en détail