Alimentation des ovins : rations moyennes et niveaux d autonomie alimentaire
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- Robert Prudhomme
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1 Juin 2014 Compte-rendu collection résultats Carole Jousseins 1, Edmond Tchakérian 2, Catherine de Boissieu 3, Emmanuel Morin 4, Thomas Turini 5 1. Institut de l Élevage. Département Techniques d Élevage et Environnement. Service Productions de Viandes. 2. Institut de l Élevage. Département Métiers d Éleveurs et Société. Service Approches Sociales et Travail en Élevage. 3. Institut de l Élevage. Département Métiers d Éleveurs et Société. Service Méthodes et Outils pour les Références et le Conseil. 4. Institut de l Élevage. Département Économie. Service Économie des Exploitations d Élevage. 5. Centre d Information des Viandes. Alimentation des ovins : rations moyennes et niveaux d autonomie alimentaire Cette étude a été réalisée à la demande et avec le soutien du Centre d Information des Viandes (CIV).
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3 Carole Jousseins, Institut de l Élevage (Service Productions de Viandes) Edmond Tchakérian, Institut de l Élevage (Service Approches Sociales et Travail en Élevage) Emmanuel Morin, Institut de l Élevage (Service Économie des Exploitations d Elevage) Catherine de Boissieu, Institut de l Élevage (Service Méthodes et Outils pour les Références et le Conseil) Thomas Turini, Centre d Information des Viandes ALIMENTATION DES OVINS : Rations moyennes et niveaux d autonomie alimentaire Cette étude a été réalisée à la demande et avec le soutien du Centre d Information des Viandes (CIV). Collection Résultats
4 1. Résumé Que consomment les ovins en France pour produire la viande et le lait dans les exploitations d élevage? Pour actualiser les connaissances sur le sujet, l Institut de l Élevage a réalisé une étude pour le CIV (Centre d Information des Viandes). Les consommations de fourrages et d aliments concentrés de 477 exploitations ovines suivies entre 2008 et 2011 ont été analysées. Ces fermes sont représentatives de la diversité des systèmes d élevages ovins allaitants et laitiers français. Elles sont suivies annuellement dans le cadre du dispositif Réseaux d Élevage conduit en partenariat avec les Chambres d Agriculture et les organismes techniques intervenant auprès des éleveurs. Les données qui en sont issues fournissent entre autres des éléments relativement précis sur les pratiques d élevage et l alimentation des troupeaux. Les quantités de fourrages et d aliments concentrés, rapportées à l UGB (Unité Gros Bétail) et à la brebis (calculée suivant l EMP - Effectif Moyen Présent 1 ) ont été calculées pour chaque exploitation et leurs moyennes évaluées par grands types de systèmes de production. Les résultats ont ensuite été extrapolés à l échelle «France entière» en calculant une ration moyenne nationale à partir des rations moyennes des différents systèmes, pondérés selon leur représentativité statistique (nombre de brebis, Recensement Agricole 2010) au niveau national. Cette étude permet de dégager les grandes catégories d aliments consommés et leur proportion dans la ration moyenne des animaux. Elle permet également de corroborer deux points : La place importante de l herbe dans les rations, qu elle soit pâturée ou conservée sous diverses formes : 82 % en moyenne pour le cheptel ovin, productions laitière et allaitante confondues. L importante autonomie des ateliers ovins, puisqu en moyenne près de 88 % des aliments consommés sont produits sur l exploitation même. 1 Voir Lexique en fin de document 1
5 Sommaire 1. Résumé Introduction Objectifs de l étude Les données : sources, validation Méthode d'évaluation des consommations d aliments... 5 Fourrages... 5 Aliments concentrés et coproduits considérés comme aliments concentrés Classification des exploitations ovines... 7 Typologie des exploitations ovines allaitantes... 7 Typologie des exploitations ovines laitières... 8 Quantités d aliments consommées selon les systèmes de production Parts des grands types d aliments dans les rations selon les systèmes Systèmes ovins allaitants Systèmes en zone pastorale du Sud-Est Systèmes en zone pastorale Bordure Sud-Ouest du Massif Central Systèmes en zone de Montagnes Humides Systèmes en zone de Haute-Montagne Systèmes en zone de Cultures Fourragères Systèmes en zone de Cultures Systèmes en zone Herbagère du Centre et de l Est Systèmes en zone Herbagère du Nord-Ouest Systèmes en zone Cultures et Élevage du Sud-Ouest Systèmes en zone Cultures et Élevage du Centre-Ouest et du Nord Appréhender la consommation d aliments par les agneaux Systèmes ovins laitiers Élevages du Rayon de Roquefort en zone fourragère et de piémont Élevages du Rayon de Roquefort en zone pastorale
6 Élevages des Pyrénées-Atlantiques en zone fourragère Élevages des Pyrénées-Atlantiques en zone de Haute-Montagne Rations moyennes à l échelle de la France Zoom sur les aliments concentrés Aliments concentrés consommés Aliments concentrés achetés Autonomies fourragère et alimentaire Autonomie massique Illustration de la variabilité des niveaux d autonomie alimentaire dans les exploitations ovines allaitantes en fonction des systèmes Illustration de la variabilité des niveaux d autonomie alimentaire dans les exploitations ovines laitières en fonction des systèmes Autonomie énergétique et protéique Lexique Annexe 1 : Principes généraux sur l alimentation des ovins Fonctionnement de l'estomac d'un ruminant Aliments consommés et besoins nutritionnels Annexe 2 : Carte des différentes zones d élevage en France. Source : Institut de l Elevage Annexe 3 : Systèmes fourragers Annexe 4 : Races ovines de France
7 2. Introduction L alimentation des animaux d élevage est sujette à de nombreuses questions de la part des consommateurs et des citoyens ; pour des préoccupations en rapport avec la qualité des produits mais également pour les liens qui existent entre les pratiques d alimentation et, plus largement, l environnement et l occupation du territoire. Par exemple, 20 % du territoire national est occupé par des surfaces destinées à nourrir le cheptel bovin produisant du lait et de la viande. Par ailleurs, l élevage d herbivores - bovins, ovins, caprins, équins - est tout particulièrement présent dans les «zones défavorisées» dans lesquelles les prairies restent le mode de valorisation dominant des surfaces. Ces espèces animales, grâce aux spécificités de leur tractus digestif (cf. annexe 1 Tractus digestif des ruminants), sont les seules à pouvoir valoriser l herbe, et exploiter les divers types de surfaces pastorales (parcours, estives ) dans des milieux les plus difficiles. Néanmoins pour répondre aux besoins des animaux, que ce soit en énergie, protéines ou minéraux, cette consommation d herbe pâturée ou récoltée est complétée, selon les systèmes de production, par des aliments concentrés et, si besoin, par d autres fourrages dont les natures et les proportions varient selon les systèmes d élevage et les régions. Cette étude vise à caractériser les profils d alimentation des troupeaux ovins laitiers et allaitants. Les données mobilisées pour ce travail concernent les campagnes 2008 à 2011 afin de couvrir une grande diversité de contextes économiques et d aléas climatiques. Elles proviennent des exploitations suivies dans le cadre du dispositif des Réseaux d Élevage, conduit en partenariat par l Institut de l Élevage, les Chambres d Agriculture, des EDE (Établissement Départemental de l Élevage), des Organisations de Producteurs et des organismes de contrôle de performance. Ce dispositif permet d avoir une connaissance fine des différents systèmes de production, de leur fonctionnement et de leurs performances techniques et économiques. 3. Objectifs de l étude Cette étude vise à répondre aux deux objectifs suivants : Faire le point sur les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommées par les ovins en France. Il s agit d une évaluation de la ration moyenne des troupeaux, à l échelle nationale et dans les principaux systèmes d élevage. Estimer les autonomies fourragères et alimentaires des élevages. 4. Les données : sources, validation Les données utilisées proviennent des Réseaux d Élevage et sont stockées dans une base nationale désignée sous le nom «Diapason», du nom du logiciel qui l alimente. Ces données sont collectées dans le cadre d un suivi pluriannuel d'exploitations réparties dans toutes les grandes zones d élevage définies par l Institut de l Élevage (Annexe 2). La base Diapason contient des éléments sur la structure, les moyens de production, la production fourragère, les performances zootechniques des ateliers herbivores et les résultats économiques des exploitations. Si la dimension des exploitations suivies dans les Réseaux d Élevage est souvent supérieure à la moyenne générale, on considère que les 4
8 systèmes d alimentation des troupeaux concernés ne diffèrent pas foncièrement de ceux pratiqués dans la zone correspondante. Au final, 477 exploitations ovines et 1875 enregistrements répartis sur les campagnes 2008, 2009, 2010 et 2011 ont été mobilisés pour cette étude après élimination des exploitations pour lesquelles les données indispensables à l analyse (production fourragère et détails des consommations des fourrages et des concentrés pour les ateliers ovins) étaient incomplètes ou manquantes. Les exploitations retenues sont pour certaines spécialisées en production ovine viande ou laitière, d autres combinent un atelier ovin avec d autres productions animales (herbivore, granivore) ou végétales (céréales, cultures spéciales ou pérennes). 5. Méthode d'évaluation des consommations d aliments Nous considérons dans cette étude l intégralité des fourrages et des concentrés consommés par l atelier ovin, qu ils soient destinés aux reproducteurs (brebis et béliers), aux agneaux ou aux agnelles de renouvellement. Fourrages Pour les fourrages conservés, la quantification a été réalisée à partir des estimations des quantités de fourrages récoltés, des variations de stocks fourragers, des achats et des ventes (quantité récoltée + achats - ventes +/- variations de stocks). Cette quantification des stocks de fourrages utilisés a été réalisée pour les catégories suivantes : Herbe conservée (foin, ensilage et enrubannage toutes coupes confondues) Maïs ensilage Autres fourrages : betteraves, céréales immatures, sorgho ensilage, dérobées récoltées et coproduits considérés comme fourrage : pulpes surpressées de betterave, drêches Pour déterminer les quantités de fourrages conservés consommées, un taux de pertes (distribution, inconsommables) a été appliqué aux valeurs des stocks utilisés : 10 % pour tous les fourrages conservés. Concernant les fourrages pâturés (herbe y compris les dérobées), l estimation des quantités consommées a été réalisée par différence avec les besoins théoriques en fourrage d une UGB, soit kg de matière sèche. Aliments concentrés et coproduits considérés comme aliments concentrés Les données disponibles ont permis de distinguer : - Les aliments concentrés produits sur l exploitation. Il s agit d une part des céréales (toutes céréales confondues) et d autre part des protéagineux (pois, féverole, lupin ). - Les aliments et coproduits concentrés achetés : ces achats sont soit des matières premières, soit des aliments composés. Pour ces derniers, leurs compositions ne sont pas disponibles dans les données recueillies en ferme. Une estimation des matières premières les composant a donc été faite en s appuyant sur les proportions 5
9 de matières premières entrant dans la composition des aliments composés, d une part pour les brebis laitières et d autre part pour les ovins allaitants (cf. tableau 1) à partir d exemples de formules d aliments du commerce. - Les aliments concentrés consommés, la quantification est réalisée en prenant en compte les aliments concentrés produits sur l exploitation et ceux achetés réellement consommés sur la campagne : (quantité récoltée + achats - ventes +/- variations de stocks). On considère que pour les aliments concentrés, il n y a pas de pertes ni de refus. - Les résultats sont donnés selon les catégories suivantes : Céréales (produites sur l exploitation ou achetées) Protéagineux (produits sur l exploitation ou achetés) Tourteaux de soja Autres tourteaux (colza, tournesol, ) Autres coproduits et divers aliments (pulpes de betteraves déshydratées, luzerne déshydratée, issues de céréales, mélasse ) Aliments minéraux et vitaminiques Tableau 1 : Exemple de composition des aliments composés achetés utilisés dans cette étude. Sources : aliments ovins allaitants : Industriel de l alimentation du Bétail ; aliments ovins laitiers : étude Phénofinlait Aliments industriels pour ovins allaitants Aliments industriels pour ovins laitiers Orge 31 % Maïs 2 % Blé tendre 19 % Orge 25 % Pulpes de betteraves 12 % Blé tendre 7 % Tourteaux de Colza 11 % Triticale 5 % Tourteaux de Tournesol 10 % Tourteaux de Colza 13 % Tourteaux de Soja 5 % Tourteaux de Tournesol 8 % Autres tourteaux 3 % Tourteaux de Soja 8 % Mélasse 5 % Luzerne 25 % AMV 4 % AMV 4 % Drèches de Maïs 2 % Drèches de Blé 1 % Total 100 % Total 100 % Ces données sont partielles et ne rendent pas complètement compte de la diversité des aliments industriels ovins, dont nous n avons pu trouver de composition moyenne auprès du SNIA, compte tenu du faible volume global des aliments ovins, comparativement à celui des granivores ou des bovins. 6
10 6. Classification des exploitations ovines Typologie des exploitations ovines allaitantes Les exploitations ovines allaitantes ont été réparties par zone d élevage idele. Ces zones d élevage ont été définies en fonction de plusieurs critères qui influencent les systèmes (Rouquette et al., 1995) : 1. Le milieu pédoclimatique, avec combinaison des paramètres de climat, type de sol et relief. 2. La structure des exploitations (taille, parcellaire, mécanisation possible ou non ) définissant les conditions locales de production et de travail et pouvant dépendre également de l histoire locale, agricole, économique et sociale. 3. Les potentialités fourragères qui orientent les productions animales (possibilité du maïs ensilage ou importance des parcours par exemple). 4. La démographie locale et la pression foncière. 5. La dynamique d organisation locale de la production et de valorisation (AOP, Appellation d Origine Protégée - IGP, Indication Géographique Protégée). Figure 1 : Répartition des exploitations dont les données ont été valorisées. Source Réseaux d Élevage 7
11 Typologie des exploitations ovines laitières Les exploitations ovines laitières retenues dans cette étude se situent dans deux des principaux bassins de production de lait de brebis en France : Le Rayon de Roquefort (RR) situé sur les départements de l Aveyron, du Tarn, de l Aude, du Gard, de l Hérault et de la Lozère. Les brebis sont de race Lacaune et les exploitations se situent en zones fourragères et de piémont ou en zone pastorale. Les Pyrénées-Atlantiques (PA). Les brebis sont de races Basco-béarnaises, Manech tête noire ou Manech tête rousse et les exploitations se situent en zones fourragères ou en zone de haute-montagne. Les exploitations du bassin laitier Corse et celles «hors-bassins laitiers» n ont pas été étudiées car absentes des Réseaux d Élevage. Néanmoins, les bassins du Rayon de Roquefort et des Pyrénées-Atlantiques représentent la très grande majorité de la production ovine laitière française : 84 % des exploitations et 89 % des brebis laitières (Recensement Agricole 2010). Tableau 2 : Répartition des brebis sur le territoire français. Source : Recensement Agricole 2010 Système et zone d élevage Brebis % UGB OL ou % UGB Coef.UGB UGB ovin (x1000 têtes) OV Totaux Zone fourragère et piémont RR % 7.3 % Zone pastorale RR % 7.6 % Zone fourragère PA % 5.1 % Zones Haute-Montagne PA % 2.9 % Zone Pastorale Sud-Est % 7.5 % Zone Pastorale bordure Sud Ouest du Massif Central % 4.9 % Zone Montagnes Humides % 7.0 % Zone Haute-Montagne % 8.1 % Zone de Cultures fourragères % 9.9 % Zone de Cultures % 5.5 % Zone Herbagère Centre et Est % 19.4 % Zone Herbagère Nord-Ouest % 2.6 % Zone Cultures + Elevage Sud-Ouest % 3.9 % Zone Cultures + Elevage du Centre Ouest et Nord % 8.3 % Les types de brebis, béliers, agnelles de renouvellement et agneaux sous la mère et le niveau de productivité sont pris en compte dans le calcul des UGB ovins grâce au coefficient UGB. La valeur de 0.15 concerne les races légères ou rustiques avec des niveaux de productivité plutôt moyens. Le coefficient 0.17 s applique aux races plus productives ou lourdes que l on retrouve dans les zones de production ovine plus intensive. Les agneaux laitiers engraissés de façon collective, les brebis laitières du bassin Corse et hors bassin sont exclues de cette étude, aucune donnée pour évaluer correctement leur consommation alimentaire n étant disponible. 8
12 Quantités d aliments consommées selon les systèmes de production Exprimées en tonne et kilogramme de matière sèche consommée par UGB ou par EMP et par an, les quantités de fourrages et d aliments concentrés ont été calculées pour chaque exploitation. Les moyennes ont été faites selon les classes typologiques définies (cf. paragraphe 7). Ces résultats sont présentés dans les tableaux 3 (exploitations ovines allaitantes), 4 (exploitations ovines laitières) et 5 (toutes exploitations ovines confondues). Ces résultats moyens par classe typologique et la part de chacune des classes dans le cheptel français (exprimée en % des UGB, cf. tableau 2) ont permis de calculer les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommées en moyenne par UGB «ovin allaitant» et par UGB «ovin lait». Ensuite en tenant compte de l importance des UGB «ovins viande» et «ovin lait», les quantités moyennes de fourrages et d aliments concentrés consommés par an, tous ovins confondus ont été estimées. Pour les fourrages, 4.57 t MS proviennent de l herbe t sous forme pâturée, 1.30 t sous forme conservée - sur les 4.75 t MS de fourrage nécessaire à une UGB, soit 96 %. Pour les aliments concentrés, ces quantités atteignent 0.82 t MS (0.31 t produite sur l exploitation et 0.51 t achetée). Ainsi, une brebis (au sens EMP) va consommer en moyenne 532 kg MS d herbe pâturée, 212 kg MS d herbe conservée (foin, enrubannage et ensilage), 10 kg MS d ensilage de maïs et 20 kg MS d autres fourrages et coproduits fourragers. Et, toujours en moyenne, 134 kg MS de concentrés dont 50 kg MS produits sur l exploitation (essentiellement des céréales). 9
13 Tableau 3 : Quantités d aliments consommés en kg de matière sèche par UGB et par brebis dans les systèmes ovins allaitants. Source : Réseaux d Élevage Système Zone pastorale Sud-Est Zone pastorale bordure Sud-Ouest du Massif Central Zone Montagnes Humides Zone Hautes Montagnes Zone Cultures fourragères Zone de Cultures Zone Herbagère Centre et Est Zone Herbagère Nord Ouest Zone Cultures + Élevage Sud-Ouest Zone Cultures + Élevage Centre Ouest et Nord Moyenne En kg MS Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits «fourrages» Total Fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés Total concentré À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis
14 Tableau 4 : Quantités d aliments consommés en kg de matière sèche par UGB et par brebis dans les systèmes ovins laitiers. Source : Réseaux d Élevage Système Zone fourragères et piémont RR Zone pastorale RR Zone fourragère PA Zones Hautes Montagnes PA Moyenne En kg MS Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits «fourrages» Total Fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés Total concentré À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis
15 Tableau 5 : Récapitulatif des quantités d aliments consommées par les systèmes ovins par an. Source : Réseaux d Élevage Système Systèmes Ovins Allaitants Systèmes Ovins Laitiers Systèmes Ovins En kg MS Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits «fourrages» Total Fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés Total concentré À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis À l UGB À la brebis
16 7. Parts des grands types d aliments dans les rations selon les systèmes 7.1 Systèmes ovins allaitants Systèmes en zone pastorale du Sud-Est Ces systèmes concernent 9.8 % des ovins allaitants et 7.5 % des ovins concernés par cette étude. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 44 exploitations. Le coefficient retenu pour le calcul des UGB est de 0.15 UGB pour une brebis et sa suite. Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB et EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 91 % et 9 % (cf. graphique 1). Graphique 1 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «zone pastorale du Sud-Est». Source : Réseaux d Elevage 1% * 0% 4% 5% Herbe pâturée Herbe conservée 22% Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits fourrages 68% Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 0%* : moins de 0.5% d ensilage de maïs dans la ration 13
17 Systèmes en zone pastorale Bordure Sud-Ouest du Massif Central Ce système concerne 6.4 % des ovins allaitants français et 4.9 % des ovins étudiés. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 30 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 83 % et 17 % (cf. graphique 2). Graphique 2 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «zone pastorale Bordure Sud-Ouest du Massif Central». Source : Réseaux d Elevage 8% Herbe pâturée 1% 2% 9% Herbe conservée Ensilage de Maïs 27% 53% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 14
18 Systèmes en zone de Montagnes Humides Ce système concerne 9.1 % des ovins allaitants et 7% des ovins étudiés. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 45 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 86 % et 14 % (cf. graphique 3). Graphique 3 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «zone de Montagnes Humides». Source : Réseaux d Elevage 1% 4% 10% 1% Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs 25% 59% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 15
19 Systèmes en zone de Haute-Montagne Ce système concerne 10.5 % des ovins allaitants en France et 8.1 % de l échantillon global ovin étudié. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 36 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 92 % et 8 % (cf. graphique 4). Graphique 4 : Parts des différents aliments consommés en système ovin «zone de Haute-Montagne». Source : Réseaux d Elevage 0% * 6% Herbe pâturée 1% 2% Herbe conservée Ensilage de Maïs 31% 60% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 0%* : moins de 0.5% d ensilage de maïs dans la ration 16
20 Systèmes en zone de Cultures Fourragères Ce système concerne 12.8 % de la population ovine allaitante française et 9.9 % de la population totale ovine étudiée. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 65 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 84 % et 16 % (cf. graphique 5). Graphique 5 : Parts des différents aliments consommés en système ovin «zone de Cultures Fourragères». Source : Réseaux d Elevage 10% Herbe pâturée 2% 1% 6% Herbe conservée Ensilage de Maïs 18% 63% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 17
21 Systèmes en zone de Cultures Ce système concerne 7.1 % des ovins viande en France et 5.5 % de la population ovine couverte par l étude. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 35 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 85 % et 15 % (cf. graphique 6). Graphique 6 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «zone de Cultures». Source : Réseaux d Elevage 9% Herbe pâturée 5% Herbe conservée 12% Ensilage de Maïs 1% 15% 58% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 18
22 Systèmes en zone Herbagère du Centre et de l Est Ce système concerne 25.1 % des ovins allaitants en France et 19.4 % de la population ovine française concernée par cette étude. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 109 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB ou EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 86 % et 14 % (cf. graphique 7). Graphique 7 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «Zone Herbagère du Centre et de l Est». Source : Réseaux d Elevage 1% 1% 5% 9% Herbe pâturée Herbe conservée 16% Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits fourrages 68% Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 19
23 Systèmes en zone Herbagère du Nord-Ouest Ce système concerne 3.3 % des ovins viande français et 2.6 % de l échantillon total. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 23 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 90 % et 10 % (cf. graphique 8). Graphique 8 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande situé en «Zone Herbagère du Nord-Ouest». Source : Réseaux d Elevage 2% 1% 1% 12% 9% Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs Autres fourrages et coproduits fourrages 75% Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 20
24 Systèmes en zone Cultures et Élevage du Sud-Ouest Ce système concerne 5.1 % des ovins viande français et 3.9 % de la population ovine étudiée. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 47 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 87 % et 13 % (cf. graphique 9). Graphique 9 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «Zone Cultures et Élevage du Sud-Ouest». Source : Réseaux d Elevage 1% 2% 6% 8% Herbe pâturée Herbe conservée Ensilage de Maïs 20% 63% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 21
25 Systèmes en zone Cultures et Élevage du Centre-Ouest et du Nord Ce système concerne 10.8 % des ovins viande français et 8.3 % de la population ovine étudiée. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 44 exploitations. Le coefficient UGB retenu est de Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 3. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 84 % et 16 % (cf. graphique 10). Graphique 10 : Parts des différents aliments consommés en système ovin viande «Zone Cultures et Élevage du Centre-Ouest et du Nord». Source : Réseaux d Elevage 0%* : moins de 0.5% d ensilage de maïs dans la ration 22
26 Appréhender la consommation d aliments par les agneaux Cette étude est basée sur l analyse de données enregistrées en fermes expérimentales. S il est possible pour certains aliments achetés de les répartir entre les brebis et les agneaux, il est difficile, dans des conditions de productions commerciales de faire une distinction entre adultes et agneaux pour les concentrés autoproduits ou les aliments du commerce non spécifiques. Il est, en outre, impossible de répartir les consommations de fourrages (pâturés et stockés) entre les animaux d un même atelier. C est pourquoi, dans cette étude, nous avons choisi de considérer la somme des consommations des brebis et de leurs agneaux et de les rapporter à l EMP et à l UGB. Néanmoins, afin d illustrer la diversité des conduites d engraissement et leurs impacts sur la consommation des agneaux, nous présenterons dans le tableau 6, des résultats d essais menés dans les stations expérimentales du Mourier (87) et de Carmejane (04) où les consommations des agneaux ont été enregistrées. De nombreux facteurs peuvent influencer ces consommations : période d agnelage, lactation à l herbe ou en bergerie, qualités laitières des mères, type génétique de l agneau, poids à atteindre et donc âge à l abattage (agneau de report, agneau gris ), qualité des fourrages, concentration énergétique et protéique des concentrés ou encore obligation des cahiers des charges des signes officiels de qualité (âge, nature de l alimentation ). Tableau 6 : Exemples de consommation alimentaire des agneaux. Sources : Institut de l élevage, CIIRPO et ferme de Carmejane Type génétique de l agneau Mouton vendéen Age à l abattage 123 j Alimentation Céréale, tourteau de soja, CMV Foin Alimentation (kg brut) j 256 j Aliment complet j 237 j Aliment complet j 291 j Agneaux de report 284 j 292 j Agneaux de report Orge Enrubannage Orge Enrubannage F1 croisé charollais 149 j 150 j Aliment complet Mouton vendéen et F2 Préalpes du Sud et F1 162 j 168 j Mélange fermier (Triticale + CMV) Paille 162 j 168 j 110 j ( et ) 119 j ( et ) 121 j ( et ) Mélange fermier (Triticale + CMV) Paille *Aliment complet ou mélange orge+maïs+cmv Foin *Orge + Protéagineux (vesce, pois ou féverole) Foin *Maïs Foin de luzerne *ration sevrage/abattage (Naissance/sevrage : aliment fermier + foin de graminées) 23
27 7.2 Systèmes ovins laitiers Élevages du Rayon de Roquefort en zone fourragère et de piémont Ce système couvre 31.9 % des ovins laitiers concernés par l étude et 7.3 % de l effectif ovin total étudié. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 21 exploitations. Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 4. Le coefficient UGB retenu pour les brebis de race Lacaune est de Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 79 % et 21 % (cf. graphique 11). Graphique 11 : Parts des différents aliments consommés en système ovin lait «Rayon de Roquefort - zone fourragère et de piémont». Source : Réseaux d Elevage 24
28 Élevages du Rayon de Roquefort en zone pastorale Ce système concerne 33.1 % des ovins laitiers concernés par l étude et 7.6 % des ovins de la population étudiée. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 14 exploitations. Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB/EMP sont indiquées dans le tableau 4. Le coefficient UGB retenu pour les brebis de race Lacaune est de Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 80 % et 20 % (cf. graphique 12). Graphique 12: Parts des différents aliments consommés en système ovin lait «Rayon de Roquefort - zone pastorale». Source : Réseaux d Elevage * 0%* : moins de 0.5% d ensilage de maïs dans la ration 25
29 Élevages des Pyrénées-Atlantiques en zone fourragère Ce système concerne 22.4 % des brebis laitières françaises étudiées et 5.1 % de l effectif ovin total concerné par l étude. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 16 exploitations. Le coefficient UGB retenu pour les brebis de race ovines laitières des Pyrénées est Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB sont indiquées dans le tableau 4. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 83 % et 17 % (cf. graphique 13). Graphique 13 : Parts des différents aliments consommés en système ovin lait «élevages des Pyrénées-Atlantiques - zone fourragère». Source : Réseaux d Elevage Herbe pâturée 2% 1% 15% 4% Herbe conservée Ensilage de Maïs 21% 57% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 26
30 Élevages des Pyrénées-Atlantiques en zone de Haute-Montagne Ce système concerne 12.7 % des brebis laitières françaises étudiées et 2.9 % de la population ovine totale concernée par l étude. Les données qui ont permis d évaluer les quantités de fourrages et d aliments concentrés proviennent de 14 exploitations. Le coefficient UGB retenu pour les brebis de races ovines laitières des Pyrénées est Les quantités de fourrages et d aliments concentrés consommés exprimées en kg de matière sèche par UGB sont indiquées dans le tableau 4. Les parts relatives de l ensemble des fourrages et des aliments concentrés sont respectivement de 86 % et 14 % (cf. graphique 14). Graphique 14 : Parts des différents aliments consommés en système ovin lait «élevages des Pyrénées-Atlantiques - zone de Haute-Montagne». Source : Réseaux d Elevage Herbe pâturée * 0% 13% 2% 6% Herbe conservée Ensilage de Maïs 20% 59% Autres fourrages et coproduits fourrages Concentrés produits sur l exploitation Concentrés achetés 0%* : les concentrés produits sur l exploitation représentent moins de 0.5% de la ration 27
31 8. Rations moyennes à l échelle de la France Les données obtenues selon les groupes typologiques ont été agrégées en tenant compte de leur poids statistique - relativement au nombre de brebis issu du recensement agricole afin d évaluer les quantités moyennes de fourrages et d aliments concentrés consommées par UGB/EMP à l échelle nationale. En moyenne, tous systèmes confondus (ovin lait et ovin viande), la ration alimentaire moyenne est constituée à 85 % de fourrages et 15 % d aliments concentrés (cf. graphique 15). En ovin viande, cette ration alimentaire moyenne est composée de 86 % de fourrages et 14 % d aliments concentrés (cf. graphique 16). Pour les ovins laitiers, la ration alimentaire est constituée de 82 % de fourrages et de 18 % d aliments concentrés (cf. graphique 17). Graphique 15 : Parts des aliments consommés «tous systèmes ovins lait et ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage et Recensement agricole 2010 Graphique 16 : Parts des aliments consommés «tous systèmes ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage et Recensement agricole
32 Graphique 17 : Parts des différents aliments consommés «tous systèmes ovins lait» Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage et Recensement agricole 2010 Les graphiques 18, 19 et 20 présentent une illustration de la composition de la ration complète basée sur les formules des aliments du bétail présenté en tableau 1. Graphique 18 : Parts des différents aliments consommés «tous systèmes ovins lait et viande» avec composition détaillée des aliments concentrés. Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 1% 1% 0.1% 1% 1% 1% 0.5% Herbe pâturée Herbe conservée 10% Maïs ensilage 1% 2% Autres fourrages et co-produits fourragers céréales protéagineux tourteaux de soja 23% 59% tourteaux de colza autres tourteaux luzerne déshydratée divers aliments et coproduits AMV 29
33 Graphique 19 : Parts des différents aliments consommés «tous systèmes ovins viande» avec composition détaillée des aliments concentrés. Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 0.4% 1% 1% 0.2% 0.1% 1% 0.5% Herbe pâturée Herbe conservée 1% 2% 9% Maïs ensilage Autres fourrages et co-produits fourragers céréales protéagineux 20% tourteaux de soja 63% tourteaux de colza autres tourteaux luzerne déshydratée divers aliments et coproduits AMV Graphique 20 : Parts des différents aliments consommés «tous systèmes ovins lait» avec composition détaillée des aliments concentrés. Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 1% 1% 1% 1% 1% 0,5% Herbe pâturée 0,1% * 1% 2% 10% Herbe conservée Maïs ensilage Autres fourrages et co-produits fourragers céréales 23% 59% protéagineux tourteaux de soja tourteaux de colza autres tourteaux luzerne déshydratée 30
34 9. Zoom sur les aliments concentrés Aliments concentrés consommés La quantité d aliments concentrés consommée est de 820 kg de MS / UGB pour l ensemble des exploitations «ovins lait» et «ovins viande» étudié, soit 134 kg de MS / brebis et 14.7 % de la ration totale. Elle atteint 734 kg de MS / UGB (120 kg MS / brebis) pour les exploitations «ovin viande», soit 13.4 % de la ration totale ; et kg de MS par UGB dans les systèmes ovins laitiers étudiés, soit 183 kg MS / brebis et 19 % de la ration totale. À partir des compositions des aliments concentrés présentées dans le tableau 1 et des quantités de matières premières et d aliments complets et complémentaires consommées par les élevages analysés, les graphiques 21, 22 et 23 présentent une évaluation de la composition en matières premières des aliments concentrés. Tous élevages ovins lait et viande confondus, le tiers des aliments concentrés est composé d aliments non concurrents de l alimentation humaine (coproduits végétaux : tourteaux, son de blé, drèches, pulpes...), bien valorisés par les ruminants pour produire du lait et de la viande. Graphique 21 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés consommés «tous systèmes ovins lait et ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait céréales produites sur l'exploitation 6% 4% céréales achetées 5% 6% 4% 7% 38% protéagineux produits sur l'exploitation protéagineux achetés tourteaux de soja tourteaux de colza autres tourteaux * 0% 0% * 30% luzerne déshydratée divers aliments et coproduits AMV *0% : protéagineux achetés et produits représentent moins de 0.5% de la composition 31
35 Graphique 22 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés consommés «tous systèmes ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait céréales produites sur l'exploitation 3% 9% 3% céréales achetées protéagineux produits sur l'exploitation 8% 36% protéagineux achetés tourteaux de soja 6% tourteaux de colza * 2% 0% 0% * autres tourteaux luzerne déshydratée divers aliments et coproduits 33% AMV *0% : protéagineux achetés et produits représentent moins de 0.5% de la composition Graphique 23 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés consommés «tous systèmes ovins lait». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 1% 3% céréales produites sur l'exploitation céréales achetées 16% protéagineux produits sur l'exploitation protéagineux achetés 3% 40% tourteaux de soja 4% tourteaux de colza 8% autres tourteaux luzerne déshydratée * 0% * 0% divers aliments et coproduits 25% AMV *0% protéagineux achetés et produits représentent moins de 0.5% de la composition 32
36 Aliments concentrés achetés La quantité d aliments concentrés achetée est de 515 kg de MS / UGB pour l ensemble des exploitations «ovin lait» et «ovin viande», soit 84 kg de MS de concentrés achetés par brebis et 9,2 % de la ration totale. Elle atteint 468 kg de MS / UGB ou 77 kg de MS par brebis dans les systèmes ovins allaitants, soit 8.5 % de la ration totale. En système ovin laitier, ce sont 676 kg de MS de concentrés qui sont achetés par UGB, soit 109 kg MS par brebis laitière et 11.5 % de la ration. À partir des compositions des aliments concentrés présentées dans le tableau 1 et des quantités de matières premières et d aliments complets et complémentaires achetées, les graphiques 24, 25 et 26 présentent une évaluation de la composition en matières premières des aliments concentrés. Graphique 24 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés achetés «tous systèmes ovins lait et ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 10% 6% céréales protéagineux tourteaux de soja 11% 49% tourteaux de colza autres tourteaux 10% luzerne déshydratée 8% 6% 0% * divers aliments et coproduits AMV *0% : moins de 0.5% de protéagineux dans la composition 33
37 Graphique 25 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés achetés «tous systèmes ovins viande». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 14% 6% céréales protéagineux tourteaux de soja 4% tourteaux de colza 52% autres tourteaux 12% luzerne déshydratée 9% divers aliments et coproduits AMV 3% 0% * *0% : moins de 0.5% de protéagineux dans la composition Graphique 26 : Évaluation des principales matières premières dans les aliments concentrés achetés «tous systèmes ovins lait». Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010, Industriel de l alimentation du Bétail, étude Phénofinlait 1% 5% céréales protéagineux tourteaux de soja 27% 42% tourteaux de colza autres tourteaux luzerne déshydratée 4% 7% 14% 0% * divers aliments et coproduits AMV *0% : moins de 0.5% de protéagineux dans la composition 34
38 10. Autonomies fourragère et alimentaire L'autonomie est définie comme la part des aliments produits (fourrages et concentrés) (P) sur l'exploitation par rapport à ceux consommés par l ensemble des animaux de l élevage (produits et achetés) (C) ( %) = ( ) é ( é )( ) L autonomie alimentaire d un élevage peut être analysée à l aide de trois indicateurs. - l autonomie alimentaire massique, - l autonomie énergétique, - l autonomie protéique. Autonomie massique - En considérant les quantités d aliments, on calcule l autonomie alimentaire massique (cf. tableaux 7, 8 et 9 et graphique 27). On peut alors distinguer l autonomie sur les seuls fourrages ou concentrés, et l autonomie relative à la ration totale. Les quantités d aliments produits, achetés et consommés sont exprimées en kg de matière sèche (MS). Sur la ration totale, l autonomie massique est en moyenne de 87.6 % pour les systèmes ovins lait et viande confondus (variabilité de 72 % à 93 % selon les systèmes d élevage). L autonomie en fourrages est élevée : elle atteint 96.3 % et varie de 84 % à près de 100 % suivant le système. Celle en concentrés est plus faible (37.1 %) et sensiblement variable entre systèmes (de moins de 2 % à près de 55 %). Pour l ensemble des systèmes ovins viande, les fourrages sont produits à 97.1 % sur l exploitation. Quant aux aliments concentrés, la part produite sur l exploitation est de 36.2 %. Au final, l autonomie alimentaire atteint 88.9 %. Pour les élevages ovins laitiers étudiés, l autonomie massique moyenne est de 83.5 % avec une production de fourrages couvrant 93.8 % de la consommation et une consommation autonome en concentrés de 39.2 %. Tableau 7 : Autonomie alimentaire massique dans les exploitations ovines (lait et viande confondus). Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010 En Tonnes de MS / UGB Quantités consommées Quantités produites sur exploitation Autonomie Fourrages % Concentrés % Fourrages + concentrés % 35
39 Tableau 8 : Autonomie alimentaire massique dans les exploitations ovin viande. Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010 En Tonnes de MS / UGB Quantités consommées Quantités produites sur exploitation Autonomie Fourrages % Concentrés % Fourrages + concentrés % Tableau 9 : Autonomie alimentaire massique dans les exploitations ovin lait. Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole 2010 En Tonnes de MS / UGB Quantités consommées Quantités produites sur exploitation Autonomie Fourrages % Concentrés % Fourrages + concentrés % 36
40 Graphique 27: Autonomie massique (en % sur la base des kg de MS). Source : Institut de l élevage, d après données Réseaux d Elevage, Recensement agricole % Elevages ovins 96.3% 87.6% Elevages ovins lait 39.2% 83.5% 93.8% Concentrés Fourrages Ration Totale 36.2% Elevages ovins viande 88.9% 97.1% 0.0% 20.0% 40.0% 60.0% 80.0% 100.0% 37
41 Illustration de la variabilité des niveaux d autonomie alimentaire dans les exploitations ovines allaitantes en fonction des systèmes Le graphique 28 met en évidence la forte homogénéité des exploitations ovines allaitantes en termes d autonomie alimentaire totale (fourrage + concentré). Cependant, les zones de haute-montagne et de cultures présentent une plage de variation très importante et un écart tangible entre la moyenne et la médiane de la population étudiée. La variabilité des niveaux alimentaires de ces deux zones s explique à la fois par des niveaux d autonomie en concentrés très variables mais qui se retrouvent également pour d autres zones (graphique 29) et surtout, compte tenu des rapports entre surfaces pour les stocks et taille du cheptel, par une forte variabilité de niveaux d autonomie fourragère, ce qui leur est plus spécifique (graphique 30). Clé de lecture des graphiques Graphique 28 : variabilité de l autonomie alimentaire massique totale en fonction des systèmes ovins viande. Source : Réseaux d Elevage 38
42 Graphique 29 : variabilité de l autonomie en concentrés en fonction des systèmes ovins viande. Source : Réseaux d Elevage Graphique 30 : variabilité de l autonomie fourragère en fonction des systèmes ovins viande. Source : Réseaux d Elevage 39
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