La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»"

Transcription

1 Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP MERDRIGNAC Tél : Fax : contact@bio3g.fr - BIO3G Suisse : rue Alexandre Cailler, BROC N Fédéral : CH

2 EARL Société Dervin M. Alain Dervin Orainville 158 ha de SAU dont : 83 ha d orge de printemps 30 ha de blé 30 ha de betteraves 10 ha de pois de conserve 5 ha de jachère Utilisateur depuis 2009 M. Alain Dervin, céréalier dans l Aisne (02) à la frontière de la Marne et des Ardennes depuis 1982, exploite 158 ha de cultures en association avec son fils. M. Dervin, soucieux de pérenniser la continuité de l exploitation familiale, a également créé une entreprise de travaux publics depuis L objectif de M. Dervin est simple : obtenir le meilleur bilan technico-économique sur l exploitation et dégager un E.B.E optimal (Excédent Brut d Exploitation). Toujours dans le but d améliorer sa productivité, M. Dervin décide en 2009 de mettre en place l ACTIV TONIC sur 24 ha de blé. «J ai épandu 100 kg/ha d ACTIV TONIC au moment du premier passage azote. Le but : avoir la meilleure alimentation possible de la plante en favorisant les échanges, assurer une bonne fertilité des épis pour un rendement optimal et limiter le stress de la plante pour réduire mes intrants et mes phytos». Constat : Le blé est plus homogène du tallage à l épiaison avec l ACTIV TONIC. A la récolte, la hauteur d épis est régulière alors que du côté témoin, c est hétérogène. Il y a encore des épillets qui ne sont pas montés. Les épis sont plus grands et plus homogènes du côté ACTIV TONIC. Il y a une meilleure résistance à la verse, le diamètre des pailles est plus important tout comme les andains. L ACTIV TONIC fait travailler l enracinement et ça se voit : environ 30 % de racines en plus. La structure de terre et la vie biologique sont améliorées. «Pour ce qui est du rendement, j estime que l écart moyen est de 10 % de mieux avec l ACTIV TONIC soit 8 qx d écart, sur un rendement moyen de 80 qx». Aujourd hui, M. Dervin pense que l ACTIV TONIC est un produit très approprié pour optimiser les ratios économiques sur son exploitation. «L ACTIV TONIC a un avenir optimal chez moi, compte tenu des résultats obtenus.» conclue M. Dervin. EARL Pillot Thierry et Geneviève Pillot Faye Sur Ardin Utilisateurs depuis 2008 Installés en EARL depuis 1991, M. et Mme Pillot (photo ci-dessous) exploitent dans les DeuxSèvres une surface de 132 ha pour un quota laitier de litres en Prim holstein. La SAU est composée de 33 ha de maïs, 50 ha de blé, 10 ha d orge, 13 ha de colza et le reste en prairies. L objectif premier de l EARL est d être autonome sur l exploitation, en valorisant au mieux ce qui y est produit, notamment le fumier. Il met en place la première fois en 2008 le CALCI TONIC sur son maïs, en laissant un témoin. Il avoue avoir été agréablement surpris du système racinaire et de la tenue du maïs. M. Pillot est très content des résultats obtenus avec la gamme BIO3G : «Les produits agissent très bien, les résultats ont été très visuels et très concluants dès la première année. Et ils se sont confirmés sur les années suivantes. Les résultats sont flagrants, notamment au niveau du maïs, qui reste vert et de meilleure qualité (plus de sucre)». Maintenant, il utilise le CALCI TONIC et l ACTIV TONIC sur les ¾ de sa surface. Thierry et Geneviève Pillot sont satisfaits des autres produits proposés par BIO3G, notamment de l ISOTONIC et L HYGIENOR. SAU de 132 ha dont : 33 ha de maïs 50 ha de blé 10 ha d orge 13 ha de colza 26 ha de prairies 50 VL Prim Holstein

3 Production viticole Cultures céréalières GAEC Du Maine M. Cyril Barde Saint Méard de Gurçon Utilisateur depuis 2007 Installé à 25 km de Bergerac, le GAEC du Maine est une entreprise familiale. La famille BARDE (famille de viticulteurs) travaille aujourd hui sur deux productions : une partie viticole (60 ha) et une partie céréalière (185 ha cultivés en colza, maïs et blé). Le GAEC est géré par 3 associés : Cyril, le responsable des cultures céréalières et des vignes ; Patrick qui gère la commercialisation du vin (vente directe) ; et Nathalie qui s occupe de la gestion et de la comptabilité. En 2007, Cyril décide de faire confiance à l entreprise BIO3G. Il commence à mettre en place le CALCI TONIC à raison de 400 kg/ha en comparatif sur des parcelles de colza. Suite aux suivis effectués par le technico-commercial en Philippe Le Bars a commencé par utiliser le CALCI TONIC sur colza et maïs, dans le but d améliorer le rendement et valoriser la matière organique. Il pratique le sans labour. La qualité du maïs est importante car les vaches consomment toute l année du maïs ensilage, cumulé aux 8 ha de pâturages autour du bâtiment car M. Le Bars est équipé d un robot de traite depuis Il applique aussi l ISOTONIC sur ses céréales, ce qui lui a permis de passer en 3 fongicides et de diminuer d 1/3 les doses. Il a aussi décidé dernièrement de mettre en place l ACTIV TONIC à 150 kg/ha sur ses haricots. Il constate rapidement un meilleur enracinement et un meilleur rendement. Le ramassage a été facilité, ce qui a réduit les déchets. M. Le bars est satisfait et continue à utiliser les produits BIO3G sur ses cultures. SAU de 245 hectares dont : 60 ha de vignes 70 ha de Colza et tournesol 40 ha de maïs grain, 75 ha de blé 2008, il constate une grande différence d enracinement et une meilleure tenue des cultures par rapport à la partie témoin. Cyril décide donc de continuer ses mises en place en augmentant les surfaces mais en gardant des comparatifs. Il s aperçoit que les rendements sont au rendez-vous malgré les conditions sèches et constate surtout une économie de fertilisation. Aujourd hui, Cyril utilise le CALCI TONIC et l ACTIV TONIC (deux activateurs de sol) sur 3/4 de la surface céréalière. En 2011, Cyril teste l ISOTONIC à 4l/ha en pulvérisation sur les maïs. Au global, la famille Barde est satisfaite de l effet des produits BIO3G sur le bon travail du sol qui est l une de leurs priorités. EARL Philippe Le Bars Le Haut Corlay Utilisateur depuis 2001 SAU 110 ha : 60 ha de céréales (blé et orge) 27 ha de maïs 17 ha de pâtures 6 ha de haricots plein champ 50 vaches laitières

4 Utilisateur depuis 2008 EARL Baudouin M. Etienne Baudouin M. Baudouin est le responsable de l EARL Baudoin en Vendée. Il a une SAU de 78 ha dont 76 ha en cultures de ventes (maïs grain, blé tendre, blé dur, orge, colza, lin, tournesol) et un atelier porcin de 450 places en engraissement Saint Hilaire Des Loges En travaillant dès 2008 avec le CALCI TONIC de BIO3G, il cherche tout d abord à faire travailler son sol. En effet, il possède des terres de groies dites terres «bloquées». Il recherche à libérer les éléments fertilisants qui sont présents dans le sol. Il souhaite aussi valoriser la MO de ses lisiers, tout en apportant moins d engrais chimiques. Son dernier objectif est d obtenir du rendement. Dès la première année, il a laissé des parties témoins. Il a vu la différence au niveau des plantes, qui ont un aspect plus vert et un meilleur racinaire. Les résultats quantitatifs sont aussi très satisfaisants, et généralement supérieurs aux moyennes du secteur : Elevage porcin 450 places en engraissement SAU de 78 ha, dont 76 ha de cultures pour la vente : maïs grain, blé tendre, blé dur, orge, colza, lin, tournesol Concernant le blé, il récolte 92 qtx en 2009 et 79 en 2010, comparé aux 70 à 75 qtx habituellement obtenus dans le secteur. Pour le colza, il obtient 36 qtx en 2009 et 26 qtx en 2010, contre 30 qtx constatés en général. Il obtient aussi des chiffres concluants pour son orge, avec 85 qtx en 2009 et 68 qtx en 2010, alors que le secteur récolte 60 qtx en moyenne. Dans l ensemble, Etienne Baudoin est satisfait de ses résultats et continue en rotation ses apports en CALCI TONIC sur ses terres à colza et terres plus acides et en ACTIV TONIC sur le reste de sa surface. M. Gratadour est maraicher en Gironde. Il exploite une surface de 4 ha dont 1500 m2 de tunnel. Tout au long de l année, il produit toutes sortes de légumes qu il commercialise en direct. Il utilise l ensemble de la gamme BIO3G (les activateurs de sol CALCI TONIC, FERTI TONIC, MULTI+TONIC et le stimulant foliaire : ISOTONIC ) depuis M. Gratadour constate de bons résultats en terme d enracinement entrainant une meilleure tenue des légumes. Les plantes ont une meilleure vigueur, malgré les difficultés climatiques de ces dernières années. «Le fait d avoir une gamme de produits naturels me permet d obtenir des légumes plus résistants aux maladies. Pour la vente directe, c est un atout important» souligne M. Gratadour. Depuis 2010, M. Gratadour a mis en place l ALGO TONIC pour comparer à son apport de matière organique traditionnelle. «Comme je travaille avec du petit matériel, l ALGO TONIC me fait gagner du temps avec d aussi bons résultats. J applique 1t à 1t5 /ha d ALGO TONIC alors qu avant j étais à 6 tonnes de compost par hectare.» M. Gratadour Pierre Le Haillan Utilisateur depuis ha de légumes 1500 m² de cultures en tunnel Vente directe M. Gratadour est pleinement satisfait de l offre BIO3G et ses clients également! Crédit Photos : BIO3G - Fotolia Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel!

5 Christian Cadart Houchin Utilisateur depuis vaches allaitantes blondes d Aquitaine 44 hectares de SAU dont 15 ha de céréales 3 ha de maïs grain 14 ha de pâtures 6 ha de betteraves Python & Ardent 6 ha de pommes de terre Bintje M. Christian Cadart a mis en place l ACTIV TONIC au printemps 2010 avant le semi de ses betteraves sucrières suite au passage du technicien. Il a été convaincu de l intérêt de mettre ce produit pour faire travailler la matière organique de son sol. Ce qui a décidé son achat, c est la démonstration sur le lessivage des éléments fertilisants. Le résultat a été très convaincant lors du suivi réalisé le 15 juillet 2010, en comparatif avec le témoin. «Les racines étaient beaucoup plus développées et plus grosses, le feuillage plus important». A la récolte début octobre, la parcelle fertilisée par BIO3G réalise un tonnage de 103 tonnes à 17% de sucre. M. Cadart s estime très satisfait des résultats. Ses voisins lui ont même demandé ce qu il avait mis sur sa parcelle M. Cadart ajoute qu il a pu récupérer plus de pulpes sèches pour ses vaches, compte tenu de son rendement très élevé. D autre part, il a également mis en place l ACTIV TONIC sur pommes de terre Bintje et a été très satisfait du rendement et du calibre (+ de 65% de grosses). Au vu de ses résultats, M. Cadart décide de poursuivre en 2011 le programme BIO3G sur ses cultures de betteraves et pommes de terre. Sur les conseils du technicien, il décide de mettre en place 2 produits supplémentaires de la gamme BIO3G : Le CALCI TONIC sur prairies dans le but de ramener du calcium et faire travailler la MO ; L ISOTONIC sur blé pour protéger davantage la culture et optimiser le rendement sur une période propice en terme de prix. M. Bruno Rivoire Reventin-Vaugris Utilisateur depuis 2007 M. Bruno Rivoire gère une exploitation de polyculture élevage dans l Isère, au sud de Lyon. Il possède un troupeau de 35 vaches allaitantes de race charolaise, nourries principalement au maïs. Il cultive parallèlement sur 130 ha au total des céréales à paille, du tournesol et des prairies. M. Rivoire utilise l activateur de sol CALCI TONIC depuis 2007 principalement sur les maïs. Son objectif étant de faire travailler la matière organique apportée par les fumiers, rééquilibrer ses sols et les stimuler. Les résultats ont été probants dès le départ. Malgré des années aux conditions climatiques variables, les maïs sont très bien enracinés, et sont vigoureux dès le démarrage. De plus, les parcelles sont régulières et de belle couleur. Il a également observé une meilleure tenue à la sécheresse, ce qui est d autant plus important que ses maïs ne sont pas irrigués. Par la suite et compte tenu des résultats obtenus avec CALCI TONIC, M. Rivoire décide d essayer le stimulant foliaire ISOTONIC sur les céréales à paille. Cette année, malgré la météo difficile (conditions de sécheresse importante), les prélèvements réalisés sur ses parcelles (2 mètres linéaires de chaque côté) révèlent une différence positive de 48% sur le poids des grains et ce, malgré un apport tardif de l ISOTONIC (mis en place avec le fongicide à l épiaison). 35 vaches allaitantes charolaises SAU 130 ha maïs (ensilage et grain) blé, prairies tournesol, sorgho et colza

6 EARL Du Couderc M. Vincent Prévot Saint-Vincent EARL D ORIVAL Jean-Michel Colombel Sainte Colombe Utilisateur depuis vaches laitières Prim Holstein SAU de 54 ha dont : 12 ha de maïs ensilage 18 ha de céréales 8 ha de patûres 16 ha de tournesol, luzerne et ray-grass Utilisateur depuis 2005 Vincent Prévot élève 30 vaches laitières Prim Holstein sur les coteaux argilo-calcaires du Quercy. Il produit sur son exploitation du maïs destiné à l ensilage, de la luzerne et du ray-grass pour le foin, des céréales et du tournesol. Client BIO3G dès 2005, il utilise ACTIV TONIC depuis 2009 sur son maïs, à raison de 100kg/ha/an. Il l épand à l automne sur les chaumes de céréales, au même moment que le fumier. Son objectif est de gagner en volume et en qualité d ensilage pour optimiser la ration des vaches laitières. Avec ACTIV TONIC, M. Prévot constate une amélioration de l enracinement de l ordre de 20% par rapport au témoin, des feuilles plus vertes et des épis plus précoces et mieux remplis. Le maïs est plus résistant au stress hydrique. Sa croissance est également plus régulière. A la récolte, on constate une augmentation de 18% du nombre de grains/épis. De plus, une analyse comparative de l ensilage montre que le produit amène aussi un gain qualitatif : +10% d UFL, +14% d UFV et +18% d amidon par rapport au témoin. Après 3 ans d utilisation et de constats positifs, M. Prévot est convaincu de l efficacité de l ACTIV TONIC. Il continue à l utiliser sur maïs et l a également mis en place sur luzerne et tournesol. «C est un produit naturel qui me permet de gagner en rendement et en qualité, tout en faisant travailler mon fumier» précise M. Prévot. M. Jean-Michel Colombel a une exploitation de polyculture élevage, et utilise les produits BIO3G depuis Son objectif était initialement de substituer sa fumure PK sur colza et lin, le binaire sur le colza et l azote sur le lin à un coût maitrisé étant donné le prix des fertilisants de ces dernières années. Sur son lin, M. Colombel constate, année après année, une pousse homogène et régulière et ce, malgré les printemps secs (par exemple 2010). De plus, ISOTONIC est utilisé au moment de la floraison pour optimiser le rendement en graines. Sur le colza, l objectif est de valoriser au mieux la matière organique (résidus de culture et fumier) et ainsi valoriser le potentiel de son sol et limiter les intrants chimiques. Il est aussi intéressant de noter l apport significatif de soufre et de magnésie avec CALCI TONIC. Les objectifs de M. Colombel s inscrivent totalement dans le concept proposé par BIO3G à ses clients, à savoir : «Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel». En synthèse, M. Colombel utilise les produits de la gamme Activateurs de sols pour travailler sur ses têtes d assolement, valoriser sa matière organique et donc limiter ses intrants PK. Les produits BIO3G lui permettent ainsi d optimiser le potentiel de son sol et de faire pousser ses plantes même en conditions de stress. 125 Ha de SAU dont : 4 ha de maïs 35 ha céréales 43 ha de patûres 9 ha de légumes plein champ 34 ha autres 60 Vaches allaitantes

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

une belle entreprise pour la Somme

une belle entreprise pour la Somme Janvier 2013 L Agriculture, une belle entreprise pour la Somme La Ferme Somme en quelques chiffres L agriculture, une belle entreprise pour la Somme 1 2 L agriculture, une belle entreprise pour la Somme

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f) LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

Semis direct: de l essai à la pratique

Semis direct: de l essai à la pratique Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture. Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail

Plus en détail

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Trajectoires laitières

Trajectoires laitières Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés

Plus en détail

Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1

Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE

DIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE CHOISIR ET REUSSIR SON COUVERT VEGETAL PENDANT L INTERCULTURE EN AB Cameline (S.Minette, CRA PC) Moutarde, phacélie, avoine, trèfles mais aussi, sarrasin, navette, lentille, moha Tous ces couverts végétaux

Plus en détail

Biogaz et méthanisation

Biogaz et méthanisation Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

légumineuses, seigle, épeautre, pomme de terre, légumes de plein champ. orge, triticale, prairie temporaire, luzerne, oignons.

légumineuses, seigle, épeautre, pomme de terre, légumes de plein champ. orge, triticale, prairie temporaire, luzerne, oignons. Maïs Culture 4.5.11 Généralité Le maïs : est gourmand en éléments fertilisants; met bien en valeur l azote organique; est un fourrage de qualité. Type de sol, climat Sol Favorables Profond; bien structuré;

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015

Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE

FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE Maïs FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Le maïs est cultivé pour : - le grain, qui est intéressant notamment pour son apport énergétique dans la ration biologique des animaux mono

Plus en détail

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités

Plus en détail

Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final

Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final Université catholique de Louvain Faculté d'ingénierie biologique, agronomique et environnementale Unité d économie rurale Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne Rapport final

Plus en détail

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio!

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Catalogue des outils du réseau FNAB pour favoriser les échanges directs entre éleveurs et polyculteurs édition décembre 2014 Sommaire 3 Edito 4 5

Plus en détail

Pour en savoir plus sur la

Pour en savoir plus sur la Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

Développement et applications du biogaz en Allemagne

Développement et applications du biogaz en Allemagne Développement et applications du biogaz en Allemagne Etat s lieux et perspectives en Europe Quel modèle développement pour la méthanisation s effluents d élevage? Vendredi 8 novembre 2009 Stuttgart Michael

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,

Plus en détail

Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne

Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne

Plus en détail

Reussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir

Reussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir le passage au Qu'est-ce que le? C'est travailler le sol sans retournement (sans labour) sur tout ou partie des parcelles de l'exploitation, avec pour objectif à priori l'abandon définitif de la charrue.

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

Info.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE

Info.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts

Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts 1. 2 CHAPITRE 2 : PROTECTION DES CULTURES CONTRE LES ACCIDENTS CLIMATIQUES 2.1 Grêle Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES ORIGINAL: anglais DATE: 18 septembre 2014 UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES Genève F LOGICIELS ÉCHANGEABLES Document adopté par le Conseil à sa quarante-huitième session

Plus en détail

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables: Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle

Plus en détail

CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles

CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles F. Le Ber (engees & loria) J.-F. Mari (loria) M. Benoît, C. Mignolet et C. Schott (inra sad) Conférence STIC et Environnement, Rouen, 19-20 juin

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Guide sur la régie du maïs ensilage BMR

Guide sur la régie du maïs ensilage BMR Guide sur la régie du maïs ensilage BMR Les hybrides BMR de marque Mycogen MD procurent des résultats hors du commun. Ce qui différencie le BMR de Mycogen des autres BMR et hybrides de maïs conventionnels

Plus en détail

Ray-grass anglais auto-regarnissant

Ray-grass anglais auto-regarnissant Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR

Plus en détail

En adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités.

En adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités. cultures. Par exemple, des producteurs biologiques installent des bandes de phacélie en bordure de parcelles de blé ou de choux pour favoriser les auxiliaires aphidiphages (qui consomment des pucerons)

Plus en détail

LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1

LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1 1 LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE par Bruno Tisseyre 1 RÉSUMÉ Avec la médiatisation des applications développées à partir des drones, la télédétection appliquée à l'agriculture fait aujourd hui beaucoup

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

La culture de la fraise à jours neutres

La culture de la fraise à jours neutres La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le

Plus en détail

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation

Plus en détail

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1 n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

Semis direct du maïs

Semis direct du maïs Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail