Chapitre 7. L Offre agrégée et la demande agrégée. Objectifs. Objectif: Expliquer les déterminants de l offre agrégée.
|
|
- Solange Malo
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 7 L Offre et la demande Objectifs Expliquer les déterminants de l offre Expliquer les déterminants de la demande Expliquer l équilibre macroéconomique 1 2 Objectifs (suite) Expliquer les effets des changements de l offre et de la demande s sur la croissance économique, l inflation et les cycles économiques Expliquer la croissance économique du Canada ainsi que l inflation et les cycles économiques à l aide du modèle de l offre et de la demande s Objectif: Expliquer les déterminants de l offre Le modèle de l OFFRE ET DE LA DEMANDE AGRÉGÉES nous aide à mieux comprendre: la croissance du PIB potentiel l inflation les fluctuations du cycle économique 3 4 Principes de l offre La quantité offerte de PIB réel (Y) dépend : 1. de la quantité de main-d œuvre (L) 2. du stock de capital (K) 3. de l état de la technologie (T) La fonction de production décrit comment ces facteurs influencent le PIB réel: Y = F(L, K, T) Principes de l offre À n importe quel moment dans le temps, la quantité de capital et l état de la technologie demeurent inchangés. La population est également fixe alors que la quantité de main-d œuvre peut varier. Des salaires plus bas entraînent de plus grandes quantités de main-d œuvre demandée. Des salaires plus élevés entraînent de plus grandes quantités de main-d œuvre offerte. 5 6
2 Principes de l offre Le taux de salaire d équilibre est le taux de salaire pour lequel la quantité de maind œuvre demandée est égale à la quantité de main-d œuvre offerte. À ce taux de salaire, il y a plein emploi. Même en situation de plein emploi, l activité économique est telle qu il existe des personnes à la recherche d un emploi. Tout comme aussi, il existe des firmes à la recherche de personnes à embaucher. Principes de l offre Le taux de chômage pour lequel l économie est au plein emploi est appelé taux de chômage naturel. Au plein emploi, la quantité offerte de PIB réel est le PIB potentiel. Au cours du cycle économique l emploi fluctue autour du taux de chômage naturel et, le PIB réel fluctue autour du PIB potentiel. 7 8 L offre à long terme L économie est sans cesse bombardée d événements qui éloignent le PIB réel du PIB potentiel (et éloignent le taux de chômage de celui du plein emploi). Le long terme en macroéconomie est une période de temps suffisamment longue pour permettre aux forces favorables au rapprochement du PIB réel et du PIB potentiel de réaliser le plein emploi. L offre à long terme L offre à long terme est la relation entre la quantité offerte de PIB réel et le niveau des prix lorsque, à long terme, le PIB réel équivaut au PIB potentiel. La courbe d offre à long terme est verticale et se situe au PIB potentiel. 9 1 L offre à long terme Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) PIB potentiel L offre à long terme Le PIB potentiel est indépendant du niveau des prix. Ainsi, sur la courbe le niveau des prix, le taux de salaire nominal et les autres prix des facteurs doivent nécessairement augmenter (ou diminuer) du même pourcentage. Ceci a pour conséquence que les prix relatifs et le taux de salaire réel demeurent inchangés
3 L offre à court terme Le court terme macroéconomique est la période durant laquelle le PIB réel est soit plus bas, ou soit plus élevé que le PIB potentiel. Ceci s accompagne d un taux de chômage qui est soit supérieur, ou soit inférieur au taux de chômage naturel. 13 L offre à court terme L offre à court terme est la relation entre la quantité offerte de PIB réel et le niveau des prix à court terme, lorsque le salaire nominal, tous les autres prix des facteurs et le PIB potentiel demeurent constants. La courbe d offre à court terme (OACT) a une pente positive et est égale à lorsque le PIB réel équivaut au PIB potentiel. 14 L offre à court terme Niveau des prix PIB réel (indice implicite du PIB) (en milliards de dollars de 1992) a 7 b c 8 d e 15 L offre à court terme Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) OACT d e c b a PIB réel inférieur PIB réel supérieur au PIB potentiel au PIB potentiel Les mouvements le long des courbes et OACT Une augmentation du niveau des prix accompagnée d une augmentation équivalente (en pourcentage) du salaire nominal et des autres prix des facteurs fait que les prix relatifs et le salaire réel demeurent inchangés. Le PIB réel demeure constant et équivaut au PIB potentiel. Il y a ainsi déplacement le long de l. 17 Déplacements le long des courbes d offre Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Le niveau des prix et le salaire nominal augmentent d un même pourcentage OACT 18
4 Les mouvements le long des courbes et OACT Lorsque le niveau des prix augmente alors que les salaires et les prix des autres facteurs demeurent inchangés, la quantité offerte de PIB réel s accroît; il y a donc un déplacement le long de l OACT. 19 Déplacements le long des courbes d offre Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Le niveau des prix augmente et le taux de salaire nominal demeure inchangé OACT 2 Les variations de l offre Les variations du niveau des prix entraînent un déplacement le long des courbes d offre. De tels changements ne modifient pas l offre. Il y a déplacement de la courbe d offre lorsque l un des facteurs qui peuvent influer sur la production, mis à part le niveau des prix, subit un changement. Les variations de l offre Lorsque le PIB potentiel change, il y a déplacement à la fois de l offre à court terme et de l offre à long terme. Les trois sources principales à la base du changement du PIB potentiel sont: 1) Les variations du niveau de plein-emploi de la main-d œuvre 2) Les variations dans le stock de capital 3) Le progrès technologique Variation du PIB potentiel Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Augmentation du PIB potentiel OACT OACT 1 Les variations du PIB potentiel Comment le niveau de plein emploi de la main-d œuvre affecte-t-il le PIB potentiel? Le PIB potentiel s accroît lorsque le niveau de plein emploi de la maind œuvre augmente. Les fluctuations de l emploi au cours du cycle économique ne représentent pas des changements du PIB potentiel et ne modifient pas l offre à long terme
5 Les variations du PIB potentiel Comment le stock de capital affecte-t-il le PIB potentiel? Pour une économie prise dans son ensemble, plus élevé est le stock de capital, plus productive sera sa maind œuvre et donc plus élevé sera le PIB potentiel. Le capital comprend le capital humain. Les variations du PIB potentiel Comment les progrès technologiques affectent-ils le PIB potentiel? Les progrès technologiques peuvent augmenter le PIB potentiel, même dans une situation dans laquelle le niveau de la maind œuvre et du stock de capital sont fixes. Ces progrès sont, et de loin, la principale source de l augmentation de la production durant les deux derniers siècles Les variations du salaire nominal et des autres prix des facteurs Les variations du salaire nominal et des autres prix des facteurs modifient la courbe d offre à court terme mais ne modifient pas l offre à long terme. Les variations du salaire nominal affectent l OACT car, pour les entreprises, elles constituent des changements dans les coûts. L n est pas affectée car les variations du salaire nominal s accompagnent d une variation du niveau des prix par un même pourcentage. 27 Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Variation du taux de salaire nominal Hausse du taux de salaire nominal b a 7 8 OACT 1 OACT 28 Objectif: Expliquer les déterminants de la demande La quantité demandée de PIB réel est la somme des valeurs réelles des dépenses de consommation (C), des dépenses d investissement (I), des dépenses gouvernementales (G) et des exportations (X) moins les importations (IM). Y = C + I + G + X IM 29 La demande La quantité demandée de PIB réel est la somme des biens et services finis produits au Canada que les ménages, les entreprises, les gouvernements et les clients étrangers ont l intention d acheter. Les intentions d achat dépendent: Du niveau des prix Des politiques budgétaire et monétaire De l économie mondiale Des anticipations 3
6 La courbe de demande La demande est la relation entre la quantité demandée de PIB réel et le niveau des prix. La demande Niveau des prix PIB réel (indice implicite du PIB) (en milliards de dollars de 1992) a' Toutes choses étant égales par ailleurs, plus le niveau des prix est élevé, plus la quantité demandée de PIB réel est faible. On illustre la demande par un barème de demande et une courbe de demande. b' 85 c' 8 d' 75 e' Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) La demande e' d' c' Diminution de la quantité demandée de PIB réel. Augmentation de la quantité demandée de PIB réel. b' a' DA La courbe de demande La courbe de demande a une pente négative pour deux raisons: L effet de richesse Les effets de substitution L Effet de richesse Toutes choses étant égales par ailleurs, lorsque le niveau des prix monte, la richesse réelle diminue. La richesse réelle est le montant des actifs (argent en banque, obligations, actions et autres actifs) que les gens possèdent, mesuré en termes de biens et services que tous ces actifs permettent d acheter. Les gens essaient de rétablir leur richesse en augmentant l épargne et en réduisant la consommation. Il s ensuit une diminution de la quantité demandée de PIB réel. Les effets de substitution Toutes choses étant égales par ailleurs, lorsque le niveau des prix monte, les taux d intérêt montent aussi. Les gens substituent leur consommation future à la consommation présente (c.-à-d. réduisent leurs achats présents) en raison des taux d intérêt plus élevés: il s agit ici d un effet de substitution inter temporelle. Par ailleurs, comme les biens étrangers deviennent plus abordables en raison de coûts plus faibles à l étranger, les consommateurs canadiens vont substituer les biens importés aux biens domestiques
7 Les variations de la demande Toute variation de l un des facteurs qui peuvent influer sur les intentions d achat, mis à part le niveau des prix, entraîne un changement de la demande, soit un déplacement de la courbe de demande. La politique budgétaire et la politique monétaire Le gouvernement se sert de la politique budgétaire pour tenter d influer sur l économie en établissant et en modifiant le montant des impôts, des paiements de transfert et des dépenses gouvernementales. Les principaux facteurs pouvant ainsi déplacer la demande sont : Les politiques budgétaire et monétaire L économie mondiale Les anticipations Les modifications d impôts ou de paiements de transfert affectent le revenu disponible des ménages. Le revenu disponible est le revenu agrégé moins les impôts plus les paiements de transfert La politique budgétaire et la politique monétaire L économie mondiale Une augmentation du revenu disponible entraîne une augmentation de la demande. Le taux de change et les revenus des pays étrangers influent sur la demande. La politique monétaire consiste en des changements des taux d intérêt et de la quantité de monnaie dans l économie. Le taux de change est le montant d une devise étrangère qu on peut acheter avec un dollar canadien. Une augmentation de la quantité de monnaie entraîne une augmentation de la demande. Des taux d intérêt plus faibles entraînent une augmentation de la demande. 39 Lorsque le taux de change monte, la demande diminue. Lorsque les revenus des pays étrangers augmentent, la demande augmente. 4 Les anticipations Les anticipations relatives aux revenus, à l inflation et aux profits futurs influent sur les intentions d achat d aujourd hui. Une augmentation des anticipations quant au revenu futur entraînera une hausse de la demande. Une augmentation du taux d inflation anticipé provoque une augmentation de la demande. Une augmentation des profits anticipés entraîne une augmentation de la demande. 41 Déplacement de la courbe de demande Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Diminution de la demande DA 2 Augmentation de la demande DA DA 1 42
8 Déplacement de la courbe de demande La demande diminue si : La politique budgétaire entraîne une diminution des dépenses gouvernementales, une augmentation des impôts et des taxes, ou une diminution des paiements de transfert. La politique monétaire fait diminuer la masse monétaire et augmenter les taux d intérêt. Le taux de change augmente ou le revenu des pays étrangers diminue. Les anticipations sont à la baisse quant au revenu disponible, à l inflation ou aux profits. Déplacement de la courbe de demande La demande augmente si : La politique budgétaire entraîne une augmentation des dépenses gouvernementales, une diminution des impôts et des taxes, ou une augmentation des paiements de transfert. Le taux de change diminue ou le revenu des pays étrangers augmente. Les anticipations sont à La politique monétaire fait la hausse quant au augmenter la masse monétaire revenu disponible, à et diminuer les taux d intérêt. l inflation ou aux profits Objectif: Expliquer l équilibre macroéconomique Le modèle de la demande et de l offre s vise à expliquer les changements du PIB réel et le niveau des prix. Pour cela il faut combiner l offre et la demande s et déterminer ainsi l équilibre macroéconomique. L équilibre macroéconomique Il y a équilibre macroéconomique à court terme lorsque la quantité demandée de PIB réel est égale à la quantité offerte de PIB réel. L équilibre macroéconomique à court terme est le point d intersection de la courbe DA et de la courbe OACT L équilibre macroéconomique à court terme Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) e' d' c' d c b b' a Les entreprises augmentent la production et les prix. Les entreprises réduisent la production et les prix. DA e e' OACT Équilibre macro-économique à court terme 47 L équilibre macroéconomique Lorsqu il y a équilibre macroéconomique à court terme, le salaire nominal est fixe. Il ne s ajuste pas pour permettre l atteinte du plein emploi. Par conséquent, le PIB réel peut être à court terme inférieur, supérieur ou égal au PIB potentiel. À long terme il y a ajustement du salaire nominal. 48
9 L équilibre macroéconomique Il y a équilibre macroéconomique à long terme lorsque le PIB réel est égal au PIB potentiel ou de manière équivalente, lorsque l économie est sur la courbe d offre à long terme. L équilibre macroéconomique à long terme est le point d intersection de la courbe DA et de la courbe. 49 Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) L équilibre à long terme Au long terme le salaire nominal s ajuste OACT DA Objectif: Expliquer les effets des changements de l offre et de la demande s sur la croissance économique, l inflation et les cycles économiques Au fil des ans, il y a croissance économique en raison de l augmentation de la maind œuvre, de l accumulation de capital et des progrès technologiques. Ces changements déplacent vers la droite. La croissance économique et l inflation L inflation a lieu au fil des ans, lorsque la courbe de demande augmente à un rythme plus rapide que ne le fait la courbe d offre à long terme. En d autres termes, il y a inflation lorsque le déplacement vers la droite de la courbe de demande est plus élevé que celui de la courbe d offre à long terme Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) La croissance à long terme et l inflation Une augmentation de entraîne de la croissance économique Croissance économique 1 8 DA DA 1 Une augmentation de DA supérieure à celle de entraîne de l inflation 53 La croissance économique et l inflation Le principal facteur qui influe à long terme sur la demande est la croissance de la quantité de monnaie. Au cours du cycle économique le PIB réel fluctue autour du PIB potentiel. L inflation fluctue aussi au même moment. 54
10 Les cycles économiques Il y a des cycles économiques parce que la demande et l offre à court terme fluctuent mais les ajustements du salaire nominal ne se font pas assez rapidement pour maintenir le PIB réel au niveau du PIB potentiel. Les cycles économiques L équilibre de chômage est un équilibre macroéconomique à court terme pour lequel le niveau du PIB réel est inférieur à celui du PIB potentiel. Le montant auquel le PIB potentiel dépasse le PIB réel est appelé écart récessionniste Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Équilibre de chômage Écart récessionniste a DA OACT 57 L équilibre à long terme Il y a équilibre à long terme lorsque le PIB réel est égal au PIB potentiel. L équilibre macroéconomique à long terme a lieu lorsque les courbes de demande et d offre à court terme se croisent à l intersection des courbes de demande et d offre à long terme. 58 Équilibre de plein emploi Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Plein emploi OACT 1 b DA L équilibre de suremploi L équilibre de suremploi est un équilibre macroéconomique à court terme pour lequel le niveau du PIB réel est supérieur à celui du PIB potentiel. Le montant auquel le PIB réel dépasse le PIB potentiel est appelé écart inflationniste. 6
11 Équilibre de suremploi Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) Écart inflationniste OACT 2 c DA 2 61 Fluctuations du PIB réel Écart récessionniste PIB actuel PIB potentiel a b Plein emploi Écart inflationniste Année c 62 Les variations de la demande Le PIB réel fluctue autour du PIB potentiel, en raison notamment des variations de la demande. Que se passe-t-il lorsque la demande augmente? 63 Effet à court terme d une augmentation de la demande Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) OACT DA DA 1 64 Les variations de la demande L économie ne peut pas produire indéfiniment au-delà son potentiel. Alors que le niveau des prix monte, le salaire nominal demeure par contre inchangé. Il y a donc à la fois diminution des salaires réels et augmentation des profits. Les travailleurs demanderont des salaires plus élevés; les entreprises vont satisfaire à leurs exigences. Le nouvel équilibre à long terme a lieu lorsque le salaire nominal augmentera d un même pourcentage que l augmentation du niveau des prix. 65 Effet à long terme d une augmentation de la demande Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) OACT 1 OACT DA 1 66
12 Les variations de l offre Le PIB réel fluctue autour du PIB potentiel, en raison notamment des variations de l offre à court terme. Que se passe-t-il en cas d augmentation substantielle, mais temporaire, du prix du pétrole? 67 Une diminution de l offre Niveau des prix (indice implicite du PIB = en 1992) OACT 1 OACT AD Une augmentation du prix du pétrole entraîne une diminution de l offre à court terme. 68 Éléments clés d un cycle économique Indicateurs Indicateurs de la confiance des consommateurs: Contexte général (TC, Taux d intérêt, OM,Solde commerciaux) Confiance des consommateurs Consommation Confiance des entreprises Dépenses d investissement Production Efficacité Niveau des prix taux de chômage (chômage fl confiance consommation ) Indicateurs de la consommation: ventes au détail, mises en chantier Indicateurs de la confiance des entreprises: commandes en carnet, enquêtes sur les investissements Indicateurs de l efficacité: taux d utilisation de la capacité(pib/stock de K): si (>85.5%) il y a surcapacité. On surutilise le capital et devient moins efficace Cycles: Exemple Si confiance des consommateurs Consommation Investissements Production (PIB ) Exemple (suite) Les producteurs se forcent pour répondre à la demande Le coût marginal de production le niveau des prix (L IPC ) : inflation L inflation mine la confiance des consommateurs On engage plus de monde et de capital dans le processus de production même les ressources les moins habiles et adaptées On recommence la boucle mais en descendant D où le cycle 71 72
13 Séries clés du cycle économique Séries clés du cycle économique Taux directeur de la BDC: - en récession: la BDC baisse le taux pour stimuler l économie - En expansion: la BDC hausse le taux pour stimuler l économie Taux de chômage: - en récession: le taux augmente Mises en chantier: - en récession: baissent - En expansion: augmente Faillites d entreprises: - en récession: augmentent - En expansion: baissent Ratio livraisons/stocks: - En expansion: le taux baisse - en récession: baisse - En expansion: augmente Séries clés du cycle économique Croissance du PIB : - en récession: baisse - En expansion: augmente Utilisation de la capacité : (PIB/stock de K) - en récession: baisse (plus efficace) - En expansion: augmente (moins efficace) Inflation: Objectif: Expliquer la croissance économique du Canada, l inflation et les cycles économiques à l aide du modèle OA-DA L économie est continuellement en changement. - en récession: baisse - En expansion: augmente Comment l économie canadienne a-t-elle évolué depuis 1971? La demande et l offre : La croissance économique Le PIB réel a augmenté au fil des ans. Les forces à la base de la croissance économique sont celles qui augmentent le PIB potentiel. Ces forces sont: la croissance de la quantité de main-d œuvre, l accumulation du capital humain et physique et les progrès technologiques. Leur action a été la plus forte au cours des années 6, au milieu des années 8 et à la fin des années
14 L inflation Le niveau des prix a augmenté au fil des ans mais a chuté en La principale force responsable de cette augmentation soutenue du niveau des prix est la tendance de la demande à augmenter à un rythme plus rapide que ne le fait l offre à long terme. Le taux de croissance de la masse monétaire explique la persistance de l inflation. Les cycles économiques Les cycles économiques s expliquent du fait que l augmentation de l offre à court terme, de même que la croissance de la demande, ne suivent pas un rythme stable et fixe L évolution de l économie de 1971 à 1998 Au début des années 7, il y a eu une forte hausse du PIB réel accompagnée d un faible taux d inflation. Vers le milieu des années 7 il y a eu à la fois récession et accélération de l inflation (soit une stagflation). Une série d augmentations importantes du prix du pétrole a d une part diminué OACT (déplacement vers la gauche); d autre part, des augmentations rapides de la masse monétaire ont augmenté DA (déplacement vers la droite). L évolution de l économie de 1971 à 1998 La récession a pu avoir lieu parce que le déplacement de la courbe d offre à court terme vers la gauche s est effectué beaucoup plus rapidement que ne l a été le déplacement de la demande vers la droite. Le reste des années 7 a connu une inflation élevée et une croissance modérée du PIB réel L évolution de l économie de 1971 à 1998 L évolution de l économie de 1971 à 1998 À partir de 198, l inflation était un problème majeur et, la Banque du Canada a pris des mesures vigoureuses pour la réduire. Les taux d intérêt ont augmenté pour atteindre des niveaux sans précédent. La demande diminua. À partir de 1992, l économie sombra dans une profonde récession. De 1983 à 1989, l accumulation de capital et les progrès soutenus de la technologie ont provoqué un déplacement régulier vers la droite (augmentation) de la courbe d offre à long terme. La courbe d offre à court terme a également augmenté. La croissance de la demande a suivi celle de l offre ; ce qui a permis a PIB réel de poursuivre sa croissance et de maintenir le taux d inflation relativement stable
15 L évolution de l économie de 1971 à 1998 Une diminution de la demande a provoqué la récession de En 1992, l économie est entrée dans une nouvelle phase d expansion, toujours présente en Le PIB réel avoisinait le PIB potentiel et l économie était presque au plein emploi. FIN 85 86
Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détail6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux
6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailAux chapitres 14 et 15, nous avons vu
Chapitre 16 La monnaie et les marchés des biens et des services Sommaire Xxxxxxxx Les effets des variations monétaires sur le revenu national........ 519 Les effets sur la monnaie des variations sur le
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailComment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances
Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailLes crises des changes dans l étalon or
7 Le système Bretton Woods Les crises des changes dans l étalon or Déficit du compte courant sortie d or - Banque centrale doit offrir l or aux étrangers en échange des billets -Réserves finies pas soutenable
Plus en détailAssemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC
Assemblée générale du 5 décembre 2013 Le RRUQ Définition et fonctionnement 1 Le RRUQ Le RRUQ est le régime de retraite de l Université du Québec. Tous les professionnels, employés de soutien et professeurs
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailLes entreprises de distribution de radiodiffusion
Les entreprises de distribution de radiodiffusion A) Ensemble du Canada Entreprises et abonnements D un bout à l autre du Canada, près de douze millions de foyers sont abonnés à un service de distribution
Plus en détailDANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?
DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours
Plus en détailTOTEM, le nouveau modèle de projection et d analyse de politiques de la Banque du Canada
TOTEM, le nouveau modèle de projection et d analyse de politiques de la Banque du Canada Paul Fenton et Stephen Murchison, département des Recherches Lorsque le Modèle trimestriel de prévision (MTP) est
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailPOUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA. Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES
POUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES FÉDÉRATION DES CHAMBRES IMMOBILIÈRES DU QUÉBEC Novembre 2010
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailRAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE
A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D
Plus en détailConférence téléphonique
Conférence téléphonique T2-2015 Énoncés prospectifs et mesure non établie selon les IFRS Mise en garde concernant les déclarations prospectives Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs
Plus en détailExposé 1: Les aspects théoriques des relations monétaires internationales
Guide à l attention de l enseignant Jour 5: Les relations monétaires internationales H. Michelsen Université d'hohenheim Cette journée d étude a pour but de raviver les connaissances de base sur les relations
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailCHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE?
CHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 3.1 COMMENT EXPLIQUER LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES? Introduction : 1. La croissance économique n est pas régulière. A une période d expansion succède
Plus en détailFlash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011
Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailCommentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme
Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailLe guide de l indice de mission
Catalogue no. 62F0072GIF Le guide de l indice de mission 2006 Statistique Canada Statistics Canada Comment obtenir d autres renseignements Toute demande de renseignements au sujet du présent produit ou
Plus en détailINTRODUCTION Événements importants survenus au cours de l année
RÉGIME DE RETRAITE À L INTENTION DU GROUPE MANOEUVRES, HOMMES DE MÉTIER ET DE SERVICES DES DISTRICTS SCOLAIRES DU NOUVEAU-BRUNSWICK Rapport de l administrateur pour l année 2006 Décembre 2007 TABLE DES
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailRésultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005
Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 16 février 2006 P. 1 Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette présentation concernant
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailIntroduction des. comptes d épargne libre d impôt
Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le
Plus en détailExiste-t-il un taux d endettement optimal des États?
Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.
Plus en détailLA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS
LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailAssociation canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015
Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailPÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE
PÉRENNISER NOS RÉGIMES À PRESTATIONS DÉTERMINÉES: UN DÉFI DE TAILLE Présentation au SEPB Par Marie Josée Naud, conseillère à la FTQ L état des lieux au Canada 2 Les cinq étages du système de retraite canadien
Plus en détailProjection des équilibres financiers des gouvernements du Canada et des provinces et territoires. Mise à jour Février 2004
Mise à jour Février 2004 Projection des équilibres financiers des gouvernements du Canada et des provinces et territoires PERFORMANCE ET TENDANCES ÉCONOMIQUES Le Conference Board du Canada Le Conference
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLa conversion et la consolidation des états financiers des filiales étrangères
RÉSUMÉ DU MODULE 8 La conversion et la consolidation des états financiers des filiales étrangères Le module 8 porte sur la conversion et la consolidation des états financiers d une filiale résidente d
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailRésumé : «Diagnostic sectoriel de la main-d œuvre du secteur des technologies de l information et des communications 2011»
Résumé : «Diagnostic sectoriel de la main-d œuvre du secteur des technologies de l information et des communications 2011» (Étude préparée par Raymond Chabot Grant Thornton) Faits: Le PIB généré par le
Plus en détailPierre Marchand Consultant
Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de
Plus en détailFIBROSE KYSTIQUE CANADA
États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailLa retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus
En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus La retraite n est pas un privilège! Fascicule 1 Avantpropos Depuis plusieurs mois déjà, de grands médias tirent à boulets rouges sur les régimes
Plus en détailImpact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca
Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF Le camping est une belle occasion de passer du temps en famille, de créer de beaux souvenirs qui dureront
Plus en détailCOURS 9 : TARIFICATION Aspects mathématiques
COURS 9 : TARIFICATION Aspects mathématiques 9.1 RAPPEL Prime théorique = Fréquence X gravité + Frais La gravité est souvent appelée «sévérité» (anglicisme commode) Certains facteurs influencent la fréquence
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détail