Diagnostic territorial de la Communauté de Communes du Bassin de Marennes

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1 Analyse des besoins sociaux CIAS du Diagnostic territorial de la Communauté de Communes du BOURCEFRANC -LE-CHAPUS MARENNES HIERS- BROUAGE Communauté de communes du SAINT-JUST-LUZAC NIEULLE- SUR-SEUDRE SAINT- SORNIN LE GUA 15 ter, bd Jean Moulin Nantes Cedex , rue de l Yser - appt Strasbourg , rue Alphonse Daudet Paris Cedex contact@compas-tis.com

2 DIAGNOSTIC TERRITORIAL 2

3 Analyse des besoins sociaux CIAS du Diagnostic territorial Les Centres communaux d action sociale (CCAS) jouent un rôle croissant dans la mise en œuvre des politiques sociales au niveau local. De l aide aux personnes âgées ou handicapées jusqu au soutien aux plus démunis en passant par l accès aux soins, ces acteurs publics sont de plus en plus sollicités. Au-delà des décisions municipales, le CCAS s implique, par le biais de son conseil d administration, auprès des représentants des personnes âgées ou handicapées, des familles, des associations de lutte contre l exclusion, etc. Du maintien à domicile des personnes âgées ou malades aux garanties de ressources pour les plus démunis, les CCAS sont devenus des espaces d innovation et expérimentation sociale. Cette souplesse permet une adaptation rapide à l évolution des besoins sociaux. Pour cela, il importe d établir en continu un état des lieux détaillé de la situation économique et sociale, d alimenter une veille sociale permanente... Il faut, en même temps, animer la connaissance locale des besoins. Ceci via la production d analyses partagées, entre le Compas et les acteurs locaux, mais aussi en organisant un débat entre ces acteurs sur les éléments présentés. Dans ce contexte, le CIAS du a décidé de mettre en œuvre une démarche d Analyse des besoins sociaux (ABS). Le diagnostic territorial présenté dans ce document est un outil qui doit contribuer au développement d une connaissance plus approfondie des évolutions sociales et à une meilleure mise en perspective des besoins locaux. Méthode : notre choix d indicateurs Les indicateurs présentés dans ce document ont été conçus pour comprendre la réalité économique et sociale des territoires de la façon la plus fine possible. Ils permettent notamment la comparaison entre les territoires, en signalant les plus fragiles et les plus dynamiques. Notre analyse repose sur une batterie d indicateurs élaborés à partir de nos bases de données alimentées depuis 20 ans dans de très nombreux domaines, de la démographie aux revenus en passant par l emploi. L utilisation des données implique cependant quelques précautions, pour plusieurs raisons : - certaines populations n apparaissent pas ou quasiment pas dans les enquêtes. Le recensement de la population de l Insee mesure mal par exemple la population sans logis, les gens du voyage, ou les étrangers sans papier notamment. Les enquêtes sur les revenus ne prennent pas en compte les personnes vivant en collectivité, en particulier les personnes âgées vivant en maison de retraite ou les étudiants en cité universitaire, etc. - chaque indicateur repose sur des choix de méthode qui lui sont propre, qui doivent être pris en considération. - on ne dispose pas d indicateurs dans tous les domaines. On ne connaît par exemple la population active d un quartier ou d une commune qu avec un retard de deux ans environ. Ce document a été rédigé par julien BIHEL julien.bihel@compas-tis.com 3

4 DIAGNOSTIC TERRITORIAL SOMMAIRE Page 6 : TERRITOIRE Découpage territorial (page 6) - Localisation - Communes Page 7 : CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Les populations (page 7) - Population légale - Population municipale Les mouvements de population (page 9) - Soldes migratoires et naturels - Immigrants - émigrants - Nouveaux arrivants La structure par âge (page 13) - Pyramides des âges - Classes d âge Les ménages (page 16) - Taille des ménages Page 17 : ENFANCE / FAMILLES La petite enfance (page 17) - Naissances - Confrontation naissances / enfants recensés - Activité des parents - Prestation d accueil du jeune enfant (PAJE) Les structures familiales (page 21) - Familles avec enfant(s) de moins de 25 ans - Ménages et familles allocataires CAF - Ménages et familles allocataires MSA La scolarités (page 24) - Effectifs scolaires Page 25 : JEUNES La population jeune (page 25) ans Lieu de vie des jeunes (page 26) - Lieu de résidence - Lieu de résidence antérieure Les jeunes non scolarisés (page 27) - Taux de scolarisation - Niveaux de formation Les jeunes actifs (page 29) - Taux d activité - Activité à temps partiel La mission locale (page 31) - Ensemble de la mission locale - Les jeunes suivis sur le - Répartition par sexe, âge et situation Page 33 : PERSONNES AGEES La population âgée (page 33) - Structure par âge Le lieu de vie de la population âgée (page 35) - Isolement des personnes âgées - Type de logement des personnes âgées Les ressources des ménages âgés (page 37) - Répartition des revenus par déciles La population âgée dépendante (page 38) - Ratio aidants/aidés - Estimation de la dépendance Laes aides sociales pour personnes âgées (page 40) - Aides à domicile Page 41 : LOGEMENT Le parc de logements (page 41) - Ensemble des logements - Statut d occupation - Taille des logements La construction de logements (page 43) - Evolution des permis de construire Le logement social (page 44) - Parc de logements sociaux Les aides au logement (page 45) - Aides au logement CAF Page 46 : RESSOURCES DES MENAGES Revenus fiscaux par unité de consommation (page 46) Ensemble des ménages - avant redistribution - Répartition par déciles - Ecart inter-déciles - Evolution des revenus 4

5 DIAGNOSTIC TERRITORIAL SOMMAIRE Revenus fiscaux par unité de consommation (page 49) Ensemble des ménages - Après prestations sociales et familiales - Répartition par déciles - Taux de pauvreté Niveaux de salaires des salariés du privé (page 50) - Ensemble des salariés - DADS - Salaires par âge et sexe - Salaires par catégories socio-professionnelles - Ecarts de salaires hommes/femmes Prestations sociales (page 53) - Les minima sociaux - CAF - Les minima sociaux - MSA - Les aides facultatives - CCAS - La couverture maladie universelle complémentaire - CMU-C Page 58 : FORMATION Les niveaux de formation (page 58) - Bas et hauts niveaux de formation - Niveau de formation des ans - Niveaux de formation par sexe - Taux comparatifs de niveaux de formation Page 62 : SITUATION ECONOMIQUE L emploi au lieu de travail (page 62) - Résidentialisation de l emploi - Catégories socio-professionnelles et secteurs d activité L activité des résidents (page 63) - Taux d activité - Catégories socio-professionnelles - Stabilité de l emploi La mixité socio-professionnelle (page 67) - Mixité communale Les navettes domicile - travail (page 68) - Selon le canton de travail - Selon le canton de domicile Le chômage (page 70) - Indices de chômage - Catégories de demandeurs d emploi - Evolution des demandeurs d emploi Page 72 : LES SOURCES DE DONNEES EXPLOITEES Page 73 : DOCUMENT DE SYNTHESE 5

6 Découpage territorial Localisation TERRITOIRE Département de la Charente-Maritime Communes La Communauté de Communes du regroupe les 7 communes suivantes : - Bourcefranc-le-Chapus - Le Gua - Hiers-Brouage - Marennes - Nieulle-sur-Seudre - Saint-Just-Luzac - Saint-Sornin BOURCEFRANC -LE-CHAPUS MARENNES HIERS- BROUAGE SAINT-JUST-LUZAC Communauté de communes du NIEULLE- SUR-SEUDRE SAINT- SORNIN LE GUA 6

7 Les populations Population légale CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Évolution des populations légales La population «municipale» comprend toutes les personnes qui vivent effectivement dans la commune. On y trouve aussi bien les ménages qui demeurent en logement individuel, que les étudiants en cité-universitaire, les personnes âgées en maison de retraite, où les personnes en habitat mobile, etc. La population «comptée à part», comprend les personnes qui habitent hors de la commune, mais qui y ont gardé une résidence : les étudiants qui poursuivent leurs études dans une autre ville, les militaires ou personnes âgées qui ont conservé un logement mais qui ne vivent plus dans la commune notamment. La population totale d une commune est la somme de la population municipale et de la population comptée à part. La somme des populations totales des communes n est pas équivalente à la population française, car elle comprend des doubles comptes. Un étudiant «compté à part», par exemple, peut être enregistré dans deux communes à la fois au sens de la population totale, une fois dans la commune de ses parents, une fois là où il étudie. Seule la population municipale est dite «sans double compte» : la somme est égale à la population totale. Populations légales Population municipale 2008 Evolution de la population municipale Population totale Evolution de la population totale Population comptée à part** * Effectifs % Effectifs % BOURCEFRANC LE CHAPUS , , LE GUA , , HIERS BROUAGE , , MARENNES , , NIEULLE SUR SEUDRE , , SAINT JUST LUZAC , , SAINT SORNIN , , , , Charente Maritime , , France Métropolitaine , , *La population municipale de 2008 se compare à la population sans doubles comptes de 1999 Source : INSEE RP **La population comptée à part de 2008 se compare aux doubles comptes de personnes ont leur résidence habituelle sur le en 2008, ce qui correspond à 2,4% de la population de la Charente-Maritime. La communauté de communes a gagné habitants entre 1999 et Sa population a ainsi augmenté de 16,6% sur cette période. 354 personnes sont comptabilisées dans la population comptée à part en 2008 : il s agit de personnes résidant de façon habituelle en dehors du Bassin de Marennes mais rattachées au territoire (personnes vivant dans une communauté, SDF, mineurs en internat et étudiants majeurs de moins de 25 ans). Ces 354 habitants comptés à part portent ainsi à personnes la population totale du Bassin de Marennes en Notons que seule SAINT-SORNIN, la commune la moins peuplée de la communauté de communes, voit sa population baisser entre 1999 et 2008 (-8,2%) ; les autres communes connaissent la tendance inverse, notamment celle de NIEULLE-SUR-SEUDRE qui en gagnant 315 habitants sur la période a vu sa population augmenter de 49%. La population des communautés Population des communautés en 2007 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Taux de variation de la population entre en % [38, 50] [26, 38[ [14, 26[ [2, 14[ [-10, 2[ % de la population municipale en 2007 BOURCEFRANC LE CHAPUS 132 4,0 LE GUA 198 9,9 HIERS BROUAGE 0 0,0 MARENNES 200 3,8 NIEULLE SUR SEUDRE 0 0,0 SAINT JUST LUZAC 72 4,0 SAINT SORNIN 0 0, ,2 Charente Maritime ,5 France Métropolitaine ,4 Source : INSEE RP Population au 01/01/2008 : habitants Taux de variation : 16,6% POPULATION LEGALE Source INSEE, RP 2008 Parmi la population habituelle du Bassin de Marennes, on recense 602 personnes vivant en communauté (hors logement ordinaire) : personnes résident en service ou établissement de moyen ou long séjour, maison de retraite, foyer ou résidence sociale ; - 46 personnes sont comptabilisées pour leur résidence habituelle dans un établissement hébergeant des élèves ou étudiants (localisées sur BOURCEFRANC-LE-CHAPUS) ; - 59 personnes sont recensées en habitation mobile, ou comme mariniers ou sans-abris. Toutes ces catégories de populations sont inclues dans la population municipale du Bassin de Marennes. 7

8 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Evolution de la population Taux de variation de la population en % Evolution et taux de variation de la population , ,0 +35,4 +50,0 +40,0 +30, , ,6 +13,4 +17,6 +9,0 8,2 +10,0 +0,0 10,0 20,0 MARENNES BOURCEFRANC LE CHAPUS NIEULLE SUR SEUDRE SAINT JUST LUZAC HIERS BROUAGE LE GUA SAINT SORNIN Source : INSEE, RP Population municipale La population du Bassin de Marennes a connu sa plus grande variation entre les deux derniers recensements de l INSEE, puisque celle-ci est passée de habitants en 1999 à habitants en 2008, son plus haut niveau sur la période. Si l évolution du territoire avait suivi la tendance nationale depuis le début des années 60, sa population aurait été légèrement plus élevée ( habitants environ). Toutefois, entre 1999 et 2008, le Bassin de Marennes a connu une évolution de population supérieure à celles de Charente-Maritime et du territoire national (1,7% par an contre 1% par an pour le département et 0,7% pour la France métropolitaine) Evolution de la population sans double compte Evolution réelle Tendance nationale * * Indique l'évolution de population qu'aurait connue Bassin de Source : INSEE RP Marennes si ce territoire avait suivi la tendance nationale Notons par ailleurs que la communauté de communes a connu sa seule baisse significative de population au début des années 70 due à un solde migratoire fortement négatif comme nous le verrons par la suite. Tendances nationales : l évolution de la population française La population française de métropole est passée de 58,8 à 62,8 millions d habitants entre 2000 et 2010, selon l Insee. Une hausse de presque 7 %, qui représente quatre millions d habitants supplémentaires. Depuis les années 2000, la France gagne entre 350 et habitants chaque année. Ce phénomène est lié à trois principaux facteurs. Tout d abord, la fécondité a moins baissé en France que dans d autres pays. Elle a atteint 1,65 enfant par femme en 1993 et a remonté ensuite pour atteindre désormais deux enfants par femme en moyenne. En même temps, l espérance de vie à la naissance continue à progresser, au rythme d environ un trimestre par an. Enfin, le solde migratoire est plus soutenu depuis les années Cette hausse de la population a de nombreuses conséquences sur les infrastructures, des écoles à l offre de soins par exemple. Combinée à la baisse de la taille moyenne des ménages, elle impose un maintien élevé de construction de logements. 8

9 Les mouvements de population Soldes migratoires et naturels CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Le solde naturel correspond à la différence entre les naissances et les décès. Le solde migratoire est la différence entre les entrées (immigrants) et les sorties (émigrants) d un territoire donné, à titre permanent, pour une année donnée. Le solde naturel est l une des composantes de l évolution de la population. Il correspond à la différence entre les naissances et les décès. Sur le Bassin de Marennes, il est positif jusqu en 1975, et plus particulièrement entre 1962 et 1968 avec près de 45 naissances de plus que de décès par an. A partir du milieu des années 70, ce solde devient négatif et ce phénomène s accentue au fil des années : entre 1999 et 2008, environ 60 décès de plus que de naissances sont recensés chaque année. Evolution du solde naturel et du solde migratoire Intercensitaire moyennes annuelles Solde naturel Solde migratoire Source : INSEE RP & Etat Civil Le solde migratoire est la deuxième composante de l évolution de la population. Il correspond à la différence entre les arrivées et les départs de populations. Le a connu un solde négatif jusqu au milieu des années 70, et plus particulièrement entre 1968 et 1975 avec environ 85 émigrants de plus que d immigrants chaque année : la population totale des 7 communes a diminué sur cette période, le solde naturel n arrivant pas à compenser le solde migratoire. Depuis 1975, la tendance s est inversée : le nombre d arrivées sur le compense largement le nombre de départs, ce qui permet à la population du territoire d augmenter jusqu à la fin de la période. Le solde migratoire, de plus en plus positif, est particulièrement élevé sur la période : on recense 285 immigrants de plus que d émigrants, alors qu on en avait seulement 100 de plus entre 1990 et Tendances : soldes naturels et soldes migratoires Au cours des dix dernières années, le solde naturel est passé de 209 à habitants supplémentaires par an, selon l Insee. Cet indicateur mesure la différence entre les naissances et les décès chaque année sur le territoire français. La hausse est d importance, puisque ces personnes supplémentaires représentent une progression de 23 %. Elle est liée à la remontée de la fécondité ( naissances annuelles sur la période) et au maintien de la hausse de l espérance de vie ( décès annuels). Plus des trois quarts de la progression annuelle de la population est liée au solde naturel. Le solde migratoire est la différence entre les entrées et les sorties d un territoire à un moment donné. Au niveau national, c est l écart entre l immigration les étrangers qui s installent durablement en France et l émigration les résidents français qui s installent à l étranger. Depuis 10 ans, ce solde est en hausse. En 2003 et 2004, il a dépassé les personnes, niveau que la France n avait pas connu depuis les années 1970 même si à l époque la population totale était plus importante qu aujourd hui. Le solde migratoire annuel cumulé a atteint dans les années 2000, contre dans les années Depuis 2007, le solde s est à nouveau réduit ( par an). Ces chiffres doivent être considérés comme des ordres de grandeur : on connaît les entrées (légales) mais on ne dispose pas d information précises sur les sorties, qui sont estimées de façon très approximative. 9

10 Immigrants - émigrants CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Arrivées et départs de populations par groupes de générations, entre 2002 et 2007 Age en 2007 Groupes de générations 80 ans et plus avt ans ans ans ans ans ans 5 14 ans Départs de population (émigrants) Arrivées de population (immigrants) Age Population estimée en 2002 Les migrations entre 2002 et 2007 Population en 2007 Arrivées de population (moyenne Départs de population (moyenne Solde migratoire (moyenne Poids* des arrivées en % Poids** des départs en % En 2007 En 2002 annuelle) annuelle) annuelle) 5 14 ans 0 9 ans ,2 4, ans ans ,7 7, ans ans ,0 16, ans ans ,1 6, ans ans ,2 4, ans ans ,5 2, ans ans ,6 2,1 80 ans et plus 75 ans et plus ,0 0,0 Total Total ,0 4,5 * parmi la population de 2007 Source : INSEE, RP & estimations COMPAS ** parmi la population estimée en 2002 Entre 2002 et 2007, 810 habitants du se sont installés sur la communauté de communes et 550 l ont quittée. Les mouvements de population sont donc importants et constituent en moyenne plus de 5% de la population du territoire. Le graphique ci-dessus nous montre clairement le caractère familial du territoire : le départ des ans est très net sur la pyramide (entrée dans la vie étudiante et mobilité professionnelle importante pour cette tranche d âge), ainsi que l arrivée des jeunes ménages de ans et des ménages avec enfant(s). On remarque également la sur-représentation des populations âgées, notamment les 80 ans et plus : cette situation peut s expliquer par la présence d établissements adaptés pour l hébergement des personnes âgées sur le territoire de la communauté de communes. 10

11 Nouveaux arrivants CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Les nouveaux arrivants lieu de résidence 5 ans auparavant Personnes de 5 ans et plus Habitant la Nouvellement même arrivées sur leur commune en commune de 2002 résidence Poids des nouveaux arrivants parmi les personnes de 5 ans et plus en 2007 en % Personnes de 5 ans et plus Changeant de logement dans la commune Taux de rotation au sein de la commune* en % Population de 5 ans et plus en 2007 BOURCEFRANC LE CHAPUS , , LE GUA , , HIERS BROUAGE ,1 40 9,8 581 MARENNES , , NIEULLE SUR SEUDRE , ,6 777 SAINT JUST LUZAC , , SAINT SORNIN ,4 9 4, , , Charente Maritime , , France Métropolitaine , , Source : INSEE RP 2007 exploitation principale *Le taux de rotation rapporte la population changeant de logement au sein de sa commune de résidence entre 2002 et 2007 à la population de 5 ans et plus habitant la même commune en 2002 et 2007 En 2007, habitants de la communauté de communes sont arrivés sur le au cours des cinq années précédentes. Cela reflète un taux de renouvellement de la population de 30% en cinq ans (près d un tiers de la population s est renouvelé sur la commune en cinq ans). Ce taux est similaire à celui de la Charente-Maritime mais est nettement supérieur à ce qui est observé sur la France Métropolitaine. Le regroupe personnes de 5 ans et plus habitant le même logement en 2002 et en Ainsi, ce sont personnes de 5 ans et plus qui ont changé de logement au sein de leur commune de résidence sur cette période. Parmi les habitants sédentaires (ne changeant pas de commune de résidence), la rotation au sein du parc de logements est de 13%. D un territoire à l autre, la variation du poids des nouveaux arrivants et du taux de rotation dans les logements s explique majoritairement par deux facteurs : le poids des nouvelles constructions et le type d habitat dominant. Les nouvelles constructions attirent de nouveaux habitants : il s agit d «arrivées nettes» de populations. Alors que selon le type d habitat du territoire, c est le rythme de renouvellement de la population qui diffère, avec un renouvellement généralement plus rapide dans le parc locatif (et notamment le parc locatif privé) que chez les propriétaires, et dans les petits logements que dans les grands logements. Le taux de rotation au sein de la commune (la part des habitants changeant de logement sans changer de commune de résidence) est minimal sur SAINT-SORNIN (4%) et maximal sur MARENNES (15,5%). Quand au renouvellement de la population, il est également minimal sur SAINT-SORNIN avec 22,4 % de nouveaux arrivants et maximal sur NIEULLE-SUR-SEUDRE avec 47% de nouveaux arrivants. On se situe autour de 30% pour les autres communes du. CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE MOUVEMENT DE POPULATION Poids des nouveaux arrivants parmi les 5 ans et plus en % en 2007 [42,0, 46,9] [37,1, 42,0[ [32,2, 37,1[ 28,3% 29,5% 29,1% 28,1% [27,3, 32,2[ [22,4, 27,3[ 46,9% 22,4% Nouveaux arrivants en 2007 : habitants Poids des nouveaux arrivants : 29,7 % 28,5% Source INSEE, RP

12 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE La catégorie socio-professionnelle prise en compte ici est celle observée en 2007, quelle que soit la situation de la personnes 5 ans auparavant. Les nouveaux arrivants lieu de résidence 5 ans auparavant par âge et catégorie socio professionnelle Les personnes de... Restées sur leur commune de résidence depuis 2002 Nouvellement arrivées sur leur commune de résidence Poids des nouveaux arrivants en % 5 14 ans , ans , ans ,8 55 ans et plus ,0 Total personnes de 5 ans ou plus ,7 Source : INSEE RP 2007 exploitation principale Les personnes de 15 ans ou plus Restées sur leur commune de résidence depuis 2002 Nouvellement arrivées sur leur commune de résidence Poids des nouveaux arrivants en % agriculteurs exploitants ,2 artisans, commerçants, chefs d'entreprises ,5 cadres et professions intellectuelles sup ,7 professions intermédiaires ,0 employés ,7 ouvriers ,9 retraités ,0 autres sans activité professionnelle ,7 Total personnes de 15 ans et plus ,7 Source : INSEE RP 2007 exploitation complémentaire Principalement deux catégories de population constituent les nouveaux arrivants sur le en 2007 : les ans, où 40% d entre eux sont nouvellement arrivés sur la communauté de communes, et les personnes en âge d être actives professionnellement (les ans) et par conséquent leurs enfants. Cette situation s observe sur l ensemble du territoire français : les flux migratoires sont souvent liés au double effet d un parcours résidentiel pour s adapter à l évolution de la taille de la famille d une part et à l effet mobilité professionnelle (qui peut impacter le lieu de vie) d autre part. A l opposé, les flux de populations liés aux personnes âgées sont souvent très faibles : dans le cas du, le renouvellement de la population des 55 ans et plus est plus faible que pour les autres tranches d âge mais reste néanmoins importante avec 18% de cette classe d âge nouvellement arrivée. Si l on s attache à la part des nouveaux arrivants parmi les différentes catégories socio-professionnelles, on constate que près d un habitant sur deux ayant une profession intermédiaire (infirmier, instituteur, cadre moyen, technicien supérieur, ) ne résidait pas sur le même territoire 5 ans auparavant. Les cadres connaissent également un taux de mobilité important, comme cela est observé très fréquemment, ainsi que les employés (37%). Il s agit là de la démonstration de l impact de la vie professionnelle sur la mobilité géographique pour des personnes qui sont en recherche de progression professionnelle par la mobilité géographique et les changements de postes professionnels. 12

13 La structure par âge Pyramides des âges Recensement 2007 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Source : INSEE, RP 2007 Charente Maritime 0,8% Pyramide des âges de la population totale en % comparaison Charente Maritime 0,6% 0,4% 0,2% 0,0% hommes 0,2% femmes 0,4% 0,6% 0,8% 100 ans e 95 ans 90 ans 85 ans 80 ans 75 ans 70 ans 65 ans 60 ans 55 ans 50 ans 45 ans 40 ans 35 ans 30 ans 25 ans 20 ans 15 ans 10 ans 5 ans moins d' 1,0% L analyse de la pyramide des âges de la commune comparée à celle de l ensemble du département permet de mettre en évidence la dimension familiale du territoire ainsi que la forte présence des seniors sur le territoire (ce qui rejoint le constat fait précédemment sur l impact des installations adaptées pour les personnes âgées présentes sur le territoire). A l inverse, les ans sont fortement sous-représentés par rapport au département (attrait des villes étudiantes telles que La Rochelle ou Saintes). Comparaison Pyramide des âges de la population totale comparaison Source : INSEE, RP 1999 & hommes femmes ans 90 ans 85 ans 80 ans 75 ans 70 ans 65 ans 60 ans 55 ans 50 ans 45 ans 40 ans 35 ans 30 ans 25 ans 20 ans 15 ans 10 ans 5 ans moins d'1 an 150 La seconde pyramide met clairement en évidence le vieillissement de la population entre les deux recensements. L effet de glissement naturel des tranches d âge est très net. Entre 1999 et 2007, l âge moyen de la population de a augmenté de 1 an, passant de 43,2 ans à 44,3 ans, contre 43,6 ans pour la Charente-Maritime. En 2007, l âge moyen de la population française se situe autour de 40 ans (38 ans pour les hommes et 41 ans pour les femmes). Méthode : la pyramide des âges La pyramide des âges est une représentation graphique de la répartition par âge et par sexe de la population une année donnée. Elle est composée de deux histogrammes, l un pour les hommes (à gauche), l autre pour les femmes (à droite). Les effectifs de chaque âge sont représentés par une barre, des plus jeunes aux plus vieux, de haut en bas. La forme de la pyramide est influencée par la fécondité, la mortalité et les migrations. Cette représentation permet de lire graphiquement les grands événements démographiques. Tout en haut, on remarque l écart d espérance de vie entre hommes et femmes, les secondes étant beaucoup plus nombreuses. Ensuite, on voit très nettement le gonflement lié au baby-boom : les plus âgés des enfants de cette période ont 65 ans. On note enfin la baisse des naissances enregistrée au milieu des années 1970 et la relative stabilité depuis. 13

14 Classes d âge CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Population totale Poids de la population de moins de 20 ans en 2007 en Effectifs % en 2007 en % % Effectifs % BOURCEFRANC LE CHAPUS 19, ,3 15, ,4 0,54 LE GUA 20, ,4 13, ,3 0,68 HIERS BROUAGE 23, ,8 8, ,4 0,92 MARENNES 21, ,0 13, ,1 0,70 NIEULLE SUR SEUDRE 28, ,5 6, ,8 1,50 SAINT JUST LUZAC 25, ,0 8, ,0 1,22 SAINT SORNIN 18, ,2 10, ,1 0,58 21, ,8 12, ,7 0,73 Charente Maritime 21, ,1 11, ,0 0,78 France Métropolitaine 24, ,7 8, ,2 1,14 Source : INSEE RP Entre 1999 et 2007, le a vu ses populations de moins de 20 ans et de 75 ans et plus augmenter, respectivement de +16% et de +40% (ceci pour une population totale qui a augmenté de 13,5% sur la période). La structure par âge observée sur la communauté de communes génère un indice de jeunesse de 0,73 ce qui est inférieur à l indice de jeunesse métropolitain (il y a 3 habitants de moins de 20 ans pour 4 habitants de 60 ans et plus). Ainsi la part de la population jeune apparaît plutôt faible par rapport à la population âgée : 22% de la population de est âgée de moins de 20 ans (3 105 personnes), et 12,5 % de 75 ans et plus (1 765 personnes). La part des moins de 20 ans est la plus faible sur les territoires de SAINT-SORNIN (seule commune de la communauté de communes a avoir vu la population de ses jeunes diminuer sur la période) et BOURCEFRANC-LE-CHAPUS avec 19% en 2007 ; de plus, celle des 75 ans et plus est relativement élevée (respectivement 11% et 15%) sur ces deux communes : les indices de jeunesse sont par conséquent faibles, inférieurs à 0,6. Population par âge Evolution de la population de moins de 20 ans Poids de la population de 75 ans et plus CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Poids des moins de 20 ans dans la population en 2007 en % [26,7, 28,7] [24,7, 26,7[ [22,6, 24,7[ [20,6, 22,6[ [18,6, 20,6[ 19,1% 21,9% 23,1% 25,2% Moins de 20 ans en 2007 : habitants Poids des moins de 20 ans : 21,9 % CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Evolution de la population de 75 ans et plus STRUCTURE PAR AGE 28,7% Indice de jeunesse en 2007 (moins de 20 ans / 60 ans et plus) 18,6% 20,9% Source INSEE, RP 2007 STRUCTURE PAR AGE A l inverse, la commune de NIEULLE-SUR-SEUDRE présente l augmentation entre 1999 et 2007 et la part des jeunes de moins de 20 ans en 2007 les plus élevées du des moins de 20 ans entre 1999 et 2007 (respectivement +55% et 29%), ainsi que l augmentation et la part 75 ans et plus les plus faibles (respectivement +5% et 6%) : son indice de jeunesse est de 1,5 en Poids des 75 ans et plus dans la population en 2007 en % [13,4, 15,2] [11,5, 13,4[ [9,7, 11,5[ [7,9, 9,7[ [6,1, 7,9[ 15,2% 13,3% 8,5% 8,0% 6,1% 10,6% 75 ans et plus en 2007 : habitants Poids des 75 ans et plus : 12,5 % 13,7% Source INSEE, RP

15 Tendances nationales : l évolution de la structure par âge de la population CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE L âge moyen de la population est passé de 35 à 40 ans au cours de la seconde moitié du 20e siècle. La part des plus de 60 ans a augmenté de 16,4 % à 22 % entre la fin des années 1950 et aujourd hui, celle des moins de 20 ans a baissé de 34 % à fin des années 1960 à 25 %. Ce phénomène va continuer dans les années qui viennent. Cette situation est due pour l essentiel à deux facteurs : l allongement de la durée de vie et la baisse de la fécondité survenue à la fin des années Deux bonnes nouvelles : le niveau de santé s améliore et l on contrôle mieux le nombre d enfants que l on met au monde. Les conséquences du vieillissement sont souvent exagérées. On vit plus vieux, mais aussi en meilleure santé : les sexagénaires de 2010 sont différents de ceux des années 1950, la notion d âge elle-même a évolué. Ce n est pas tant la baisse des naissances qui constitue un phénomène marquant - elle était déjà marquée dans les années 1920 et que le baby boom qui forme un phénomène d exception. Il faut d ailleurs noter qu au fil du temps, vers 2020, 2030, le décès des baby-boomers (les derniers vont mourir vers ) aura pour effet d aller dans le sens du rajeunissement de la population... Sans la dramatiser, il faut s adapter à cette évolution. En matière de retraites bien sûr, mais aussi de prise en charge des aînés, qui pourront de moins en moins l être par les femmes de la génération suivante, de plus en plus souvent actives et qui portent d autres aspirations. Des enjeux décisifs pour les services publics. Nos sociétés verront aussi de plus en plus de générations coexister, des arrières grands-parents aux petits enfants. 15

16 La taille moyenne des ménages reflète le nombre de personnes vivant par ménage (ou résidence principale). Les ménages Taille des ménages Populations légales CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Évolution de la taille moyenne des ménages Taille moyenne des ménages Nombre de ménages BOURCEFRANC LE CHAPUS 3,02 2,19 2, LE GUA 3,26 2,54 2, HIERS BROUAGE 3,15 2,25 2, MARENNES 3,17 2,25 2, NIEULLE SUR SEUDRE 2,85 2,55 2, SAINT JUST LUZAC 3,00 2,55 2, SAINT SORNIN 2,97 2,45 2, ,10 2,32 2, Charente Maritime 3,22 2,30 2, France Métropolitaine 3,11 2,40 2, Source : INSEE RP Par les effets conjugués de la diminution du nombre d enfants dans les fratries depuis le début des années 60, du vieillissement (il y a moins de personnes dans un ménage dont la personne de référence a plus de 75 ans que dans un ménage où elle a 35 ans), de la décohabitation par le départ des jeunes adultes et de la progression de la séparation des ménages, le nombre de personnes par logement tend à se réduire. Depuis le début des années 60, il y a eu une baisse de 0,9 personne par logement en moyenne (cette baisse en tendance s est ralentie au cours des 8 dernières années avec 0,1 personnes en moins) et cette situation devrait se poursuivre avec le vieillissement de la population sur le territoire intercommunal. Cet effet impacte fortement le nombre d habitants sur le. Or depuis 8 ans, la communauté de communes a su anticiper son besoin de logements pour maintenir et même augmenter son niveau de population : le nombre de résidences principales a augmenté en moyenne de 125 par an au cours de la période (cette augmentation s est faite principalement sur les communes de MARENNES et BOURCEFRANC-LE-CHAPUS comme nous le verrons par la suite). CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE Taille moyenne des ménages en 2007 (nb d habitants par résidence principale) [2,4, 2,5] [2,3, 2,4[ [2,2, 2,3[ [2,1, 2,2[ [2,1, 2,1[ 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 MENAGES 2,2 2,3 Toutes les communes du ont une taille de ménage supérieure à 2 personnes. On remarque néanmoins le caractère plus familial de certaines communes par rapport à d autres, comme NIEULLE-SUR-SEUDRE ou SAINT-JUST-LUZAC avec 2,5 personnes par ménage environ ; il faut noter que ces deux communes ont une structure des ménages similaire : sur 100 ménages, 23 sont des personnes seules, 36 sont des couples sans enfant, 36 sont des couples avec enfant(s) et 6 sont des familles monoparentales avec enfant(s). A l inverse, BOURCEFRANC-LE-CHAPUS est en dessous de la moyenne intercommunale avec 2 personnes par ménage : sur 100 ménages, 33 sont des personnes seules, 38 sont des couples sans enfant, 19 sont des couples avec enfant(s) et 5 sont des familles monoparentales avec enfant(s) (le complément regroupe les autres catégories de ménages). Taille moyenne des ménages en 2007 : 2,2 personnes par ménage Source INSEE, RP 2007 Tendances nationales : la taille des ménages baisse Notons enfin que le nombre de personnes par logement en 2007 sur la communauté de communes est proche de ce que l on observe sur le département de la Charente-Maritime et sur l ensemble du territoire français. Le nombre moyen de personnes par ménage est passé de 2,9 à 2,3 entre le milieu des années 1970 et Deux grands facteurs influencent cette évolution : les modifications de la structure par âge de la population et du mode de formation des couples. Vers la cinquantaine, s amorce le départ des enfants : les ménages âgés sont de taille réduite et leur part dans l ensemble s accroît ce qui joue sur la taille moyenne des ménages. En même temps, les jeunes attendent plus longtemps pour former un couple et les couples qui existent se défont plus souvent qu autrefois. La diminution de la taille des ménages a un effet massif dans le domaine du logement. Si l on compte 2,88 personnes par ménage (comme en 1975), 63 millions de personnes ont besoin de 21,9 millions de logements. Avec 2,3, il en faut 27,4 millions. D où une partie de la pénurie de ces dernières années. L Insee prévoit que la taille moyenne devrait approcher les deux personnes par ménage en 2030, accroissant encore la demande. L évolution pourrait être moins accentuée pour deux raisons : d une part, la fécondité remonte depuis 10 ans, d autre part les scolarités ne s allongent plus, ce qui devrait stabiliser l âge de la formation des couples. Quoi qu il en soit, le besoin en logement, notamment pour les jeunes adultes en couple, restera l un des enjeux sociaux forts des années qui viennent. 16

17 La petite enfance Naissances ENFANCE / FAMILLES Le taux estimé de fécondité est le rapport entre la moyenne des naissances au cours des trois dernières années et la population féminine âgée de 15 à 44 ans (en âge d avoir des enfants). Il diffère de l indice conjoncturel de fécondité calculé par l Insee. Naissances au lieu de domicile de la mère Naissances domiciliées (moyenne ) Poids parmi l'ensemble des naissances de en % Taux d'évolution** des naissances domiciliées en % Taux estimé de fécondité* en % (moyenne ) BOURCEFRANC LE CHAPUS 36 26,1 +18,5 7,3 LE GUA 19 13,4 25,3 5,7 HIERS BROUAGE 8 6,0 16,7 7,6 MARENNES 44 31,8 +0,0 5,2 NIEULLE SUR SEUDRE 14 9,8 +70,8 8,2 SAINT JUST LUZAC 16 11,5 11,1 5,0 SAINT SORNIN 2 1,7 30,0 4, ,2 6,0 Charente Maritime ,1 5,8 France Métropolitaine ,6 6,4 * Nombre de naissances pour 100 femmes de ans Source : INSEE Etat Civil et RP 2007 ** moyenne des naissances par rapport à la moyenne des naissances ENFANCE / FAMILLES 7,3% 5,2% 7,6% 5,0% 8,2% Nombre moyen de naissance : 140 naissances par an Indice de fécondité : 6 naissances pour 100 femmes 4,9% 5,7% PETITE ENFANCE Indice de fécondité en % (nombre moyen de naissance / pop. féminine de ans en 2007) [7,6, 8,2] [6,9, 7,6[ [6,2, 6,9[ [5,6, 6,2[ [4,9, 5,6[ Sources INSEE, Etat-civil et INSEE, RP 2007 On recense 140 naissances domiciliées par an sur le (lieu de domicile de la mère) entre 2007 et 2009, soit seulement 2,3% des naissances domiciliées sur le département. Par rapport à la moyenne des naissances observées sur , la communauté de communes connaît une légère augmentation de ses naissances (+0,2%), mais dans des proportions bien moindres que celles du département et de la France métropolitaine. Le taux de fécondité du territoire est estimé en moyenne à 6 naissances pour 100 femmes de ans, soit un indice similaire à celui de la Charente-Maritime et légèrement inférieur à la moyenne métropolitaine. Au sein du, les communes de SAINT-JUST-LUZAC et de MARENNES présentent des indices de fécondité de 5%, tandis que celui-ci est proche de 8 naissances pour 100 femmes âgées de 15 à 44 ans sur HIERS-BROUAGE et BOURCEFRANC-LE-CHAPUS. L indice de fécondité de SAINT-SORNIN est à prendre avec précaution, cette commune étant la moins peuplée de la communauté de communes. 7,0 Taux estimé de fécondité en % (naissances moyennes sur 3 années / femmes de ans) 6,5 6,0 5,5 5,0 4,5 4,0 3,5 Source: INSEE, Etat Civil et RP , Charente Maritime France Métropolitaine 17

18 Confrontation naissances / enfants recensés ENFANCE / FAMILLES BOURCEFRANC-LE-CHAPUS enregistre un solde migratoire des moins de 3 ans négatif : ces enfants, nés entre 2004 et 2006, sont moins nombreux que les naissances domiciliées sur la commune sur la période. La commune recense néanmoins en 2007 sur son territoire près de 90 enfants de cette tranche d âge, soit un enfant sur 5 du. Le graphique ci-contre met ainsi en évidence les départs des jeunes enfants sur la période MARENNES compte 140 enfants de moins de 3 ans, soit un tiers des enfants de moins de 3 ans recensés sur le Bassin de Marennes et environ 10 enfants de plus que la moyenne des naissances domiciliées sur la période Notons enfin que NIEULLE-SUR-SEUDRE affiche la migration la plus importante de la communauté de communes, avec 16 enfants de plus que la moyenne des naissances domiciliées. Sur l ensemble du, les migrations des enfants de 3 à 5 ans sont nettement plus importantes que celles des moins de 3 ans, globalement nulles an (nés en 2006) Confrontation des naissances domiciliées aux populations recensées en an (nés en 2005) 2 ans (nés en 2004) 3 ans (nés en 2003) 4 ans (nés en 2002) 5 ans (nés en 2001) 6 ans (nés en 2000) naissances domiciliées nb enfants RP ans (nés en 1999) 160,0% 140,0% 120,0% 100,0% 80,0% 60,0% 40,0% 20,0% 0,0% % des enfants présents en 2007 Tendance (% des enfants présents en 2007) Confrontation des naissances domiciliées et des populations recensées Soldes migratoires des jeunes enfants Moins de 3 ans 3 5 ans BOURCEFRANC LE CHAPUS 5 0 LE GUA HIERS BROUAGE MARENNES NIEULLE SUR SEUDRE SAINT JUST LUZAC SAINT SORNIN Charente Maritime Source : INSEE Etat Civil et RP 2007 Tendances nationales : l évolution de la fécondité Depuis le milieu des années 1990, la fécondité conjoncturelle est nettement orientée à la hausse en France : elle est passée de 1,66 à deux enfants par femme. Cette tendance est perceptible dans la plupart des pays d Europe, même si les niveaux divergent. La remontée de la fécondité résulte d abord d un effet dit de «calendrier». L indicateur conjoncturel mesure la fécondité une année donnée toutes générations confondues. Quand les couples décident simplement de reporter les naissances mais de faire autant de bébés au final, l indicateur diminue dans un premier temps, puis remonte avec la hausse de la fécondité aux âges plus élevés. C est ce qui se passe actuellement : les couples «rattrapent» leur retard... Mais le niveau de fécondité tient aussi à d autres facteurs, liés en particulier à la place des femmes. Les pays où la fécondité est la plus faible sont ceux où la venue d un enfant impose le plus souvent aux femmes d arrêter de travailler. La France est l un des pays où la conjonction de la maternité et de la vie professionnelle est à la fois le moins difficile en pratique et le plus valorisé socialement. Les politiques familiales développées accompagnent ce processus. Tout est loin d être simple dans notre pays, mais la situation est critique ailleurs... 18

19 Activité des parents ENFANCE / FAMILLES Répartition des enfants de moins de 11 ans selon l'activité des parents enfants vivant dans des familles Nombre d'enfants de moins de 3 ans 3 à 5 ans 6 à 10 ans Total des enfants de 0 10 ans Total des enfants de 0 10 ans % Total des enfants de 0 10 ans % Charente Maritime monoparentales avec 1 actif occupé ,7 9,3 monoparentales sans actif occupé ,8 6,5 monoparentales ,5 15,7 couples avec 2 actifs occupés ,0 55,0 couples avec 1 seul actif occupé ,4 24,9 couples sans actif occupé ,1 4,4 couples ,5 84,3 total ,0 100,0 Source : INSEE RP 2007 En 2007, les données du recensement de la population distinguent, parmi les 390 enfants de moins de trois ans habitant le, près de 60 enfants vivant en famille monoparentale soit 15% d entre eux. Cette proportion est de 14% pour les enfants de 3 à 5 ans et de 19% chez les enfants âgés de 6 à 10 ans. Les enfants de moins de 10 ans vivent majoritairement au sein de familles de type «couples avec 2 actifs occupés». Représentant 46% des enfants chez les moins de 3 ans, cette proportion est de 60% chez les 3-5 ans et de 56% chez les 6-10 ans. La part des familles monoparentales avec un actif occupé augmente avec l âge des enfants, à l image des tendances habituelles. Parmi les 390 enfants de moins de 3 ans, un enfant sur 2 vit dans une famille où le ou les adultes sont actifs ; cette proportion est de 2 enfants sur 3 pour les enfants de 3-5 ans et de 6-10 ans. Cela concerne au total plus de enfants sur l ensemble du, ce qui se traduira par des besoins importants en matière de mode de garde de la petite enfance ou d accueil périscolaire (cantine, accueil périscolaire du matin et du soir, CLSH). Prestation d accueil du jeune enfant (PAJE) La prestation d'accueil du Jeune Enfant Nombre d'enfants de moins de 3 ans CAF Enfants couverts par la PAJE complément mode de garde* Nombre Part parmi les moins de 3 ans Enfants couverts par la PAJE complément d'activité temps complet Nombre Part parmi les moins de 3 ans Enfants couverts par la PAJE complément d'activité temps partiel Nombre Part parmi les moins de 3 ans BOURCEFRANC LE CHAPUS , , ,3 LE GUA , ,1 secret stat HIERS BROUAGE 24 secret stat secret stat secret stat MARENNES , ,7 8 6,3 NIEULLE SUR SEUDRE , ,0 6 12,0 SAINT JUST LUZAC , ,9 secret stat SAINT SORNIN 7 secret stat secret stat secret stat , ,4 33 8,5 * garde chez une assistante maternelle ou à domicile Source : CAF, 31/12/2009 Sur les 388 enfants de moins de 3 ans de la CAF, 266 sont couverts par la PAJE en Parmi eux, 146 enfants sont couverts par la PAJE complément mode de garde, soit 3 enfants de moins de 3 ans CAF sur 8. Notons également qu en 2010, une quinzaine d enfants des allocataires MSA sont couverts par la PAJE complément mode de garde. 120 enfants du de moins de 3 ans vivaient fin 2009 au sein d une famille percevant une allocation compensatoire d une cessation d activité de l un des deux parents pour leur garde. La part des enfants couverts par la PAJE complément d activité temps complet est nettement supérieure à celle des enfants couverts par le complément d activité temps partiel (tendance généralement observée), et elles représentent respectivement 22,5% et 8,5% des enfants de moins de 3 ans CAF de la communauté de communes. Un tiers des enfants de 3 ans couverts par la CAF vivent sur la commune de MARENNES. On retrouve la part la plus importante des enfants couverts par la PAJE complément mode de garde sur la commune de NIEULLE-SUR-SEUDRE où près des deux tiers des enfants CAF sont couverts. Celle de SAINT-JUST-LUZAC est également élevée (42%) et près de 30% des enfants sont couverts par le complément d activité temps complet sur cette commune. Etant donné les petits effectifs concernés, ces résultats sont à prendre avec précautions. 19

20 ENFANCE / FAMILLES Tendances nationales : un manque de places d accueil On comptait en France 1,1 million de places d accueil pour enfants de moins de trois ans à la fin 2008, selon une étude de la Cnaf (1). Cela signifie que seul un enfant sur deux peut être accueilli, dont la moitié ( ) auprès d une assistante maternelle et 14 % ( ) dans des structures collectives. Les écarts sont énormes entre les territoires, notamment entre le pourtour méditerranéen, où la capacité est comprise entre 24 et 39 %, et l Ouest, où elle dépasse les 60 %. Ces données doivent être considérées avec précaution : les taux de scolarisation à deux ans ne sont pas identiques selon les régions ce qui joue sur les besoins en places. Il n en demeure pas moins que dans toutes les régions de très nombreux couples doivent avoir recours à une aide informelle (grands-parents ou amis notamment) et une partie des femmes est contrainte d interrompre son activité professionnelle pour s occuper de ses enfants. (1) «En 2008, près d un enfant sur deux âgé de moins de 3 ans bénéficie d un mode d accueil collectif ou individuel», L e-essentiel n 101, Cnaf, août

21 Une famille monoparentale est constituée d un adulte isolé ayant la charge d un ou plusieurs enfants. L adulte est dans 90 % des cas la mère. Par «enfant» on entend les personnes âgées de moins de 25 ans. On ne considère que les enfants célibataires. Une famille nombreuse est une famille comprenant au moins trois enfants de moins de 25 ans. Les structures familiales Familles avec enfant(s) de moins de 25 ans Familles avec enfants (de moins de 25 ans) Structures familiales aux RP 1999 et 2007 Familles monoparentales ENFANCE / FAMILLES Poids des familles monoparentales en % Familles nombreuses Poids des familles nombreuses en % BOURCEFRANC LE CHAPUS ,4 22, ,1 13,7 LE GUA ,0 16, ,0 17,9 HIERS BROUAGE ,8 19, ,5 14,3 MARENNES ,7 24, ,3 17,0 NIEULLE SUR SEUDRE ,3 13, ,7 25,0 SAINT JUST LUZAC ,7 17, ,0 17,5 SAINT SORNIN ,1 27, ,2 9, ,0 20, ,0 16,8 Charente Maritime ,9 21, ,9 14,6 France Métropolitaine ,4 20, ,1 18,5 Source: INSEE RP Sur le on recense 21% de familles monoparentales en 2007 (contre 15% en 1999) et 17% de familles nombreuses en 2007 (taux similaire à celui de 1999) parmi les familles avec enfant(s). Parmi ces familles, la part des familles monoparentales est maximale sur le territoire SAINT-SORNIN (27%). Elle est également supérieure à 20% sur les deux communes les plus peuplées de la communauté de communes : 22% pour BOURCEFRANC-LE-CHAPUS et 24% pour MARENNES. A l inverse, NIEULLE-SUR-SEUDRE connaît le taux le plus bas du avec 13,6%. La part des familles nombreuses varie d une famille sur 11 sur le territoire de SAINT-SORNIN à une famille sur 4 sur celui de NIEULLE-SUR-SEUDRE. Depuis 1999, le a gagné 164 familles avec enfant(s). Parmi les 1764 familles recensées, 296 sont des familles nombreuses et 368 des familles monoparentales. Le a ainsi gagné 128 familles monoparentales. 24 familles nombreuses de plus qu en 1999 sont recensées en ENFANCE / FAMILLES STRUCTURE FAMILIALE Structure familiale de Situation 2007 des 1764 familles familles avec 1 ou 2 enfant(s) familles nombreuses Poids des familles monoparentales INSEE en 2007 en % [24,5, 27,3] [21,8, 24,5[ [19,1, 21,8[ 22,1% 24,2% 19,0% 17,5% 368 familles monoparentales Variation des familles entre 1999 et 2007 (+164 familles) familles avec 1 ou 2 enfant(s) familles nombreuses [16,4, 19,1[ [13,6, 16,4[ Familles monoparentales INSEE en 2007 : 368 familles Poids des familles monoparentales : 20,8 % des familles avec enfant(s) 13,6% 27,3% 16,1% Source INSEE, RP 2007 Tendances nationales : couples et familles, des structures plus souples familles monoparentales 13 Source : INSEE, RP Plus de ruptures, et aussi plus d unions : le couple se fait et se défait plus vite qu hier. On compte divorces chaque année et le taux de divorcialité a dépassé les 10 pour couples mariés, deux fois plus qu au milieu des années Et encore, les séparations de couples vivant en union libre ne sont pas mesurées. En même temps, le Pacte civil de solidarité (Pacs) continue son essor avec contrats passés en 2000 pour mariages. Mis en place fin 1999 pour proposer un cadre d union aux couples de même sexe, il s est très largement diffusés, ces derniers ne représentant plus que 5 % des Pacs conclus chaque année. Ces recompositions ne sont pas récentes. Elles se sont accélérées dans les années 1970 et sont largement entrées dans les mœurs. Le couple est plus souple, mais il demeure l horizon de la très grande majorité des adultes. Ce qui n empêche qu un plus grand nombre de personnes vivent seules, notamment du fait de ces séparations. 21

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